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Les questions des nouveaux venus

CASSE MOTEUR ESPACE 4 SOUS GARANTIE


Invité §JES722Gg

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Invité §JES722Gg

Bonjour,

Merci d'avance pour votre aide ...

 

Voici mon histoire : :non:

Le 23 février 2010, j’ai acheté un véhicule de type Renault Espace 4 2,2l DCI dans un garage près de chez moi couvert par une garantie de 12 mois. Ce véhicule de 2003 nous a séduit car son moteur avait été changé par Renault (donc garanti également constructeur) et avait 0 km parcouru. Nous l’avons payé 11 673 euros après négociation de la reprise de notre ancien véhicule.

 

De mars 2010 à décembre 2010 la voiture est restée plusieurs longues semaines immobilisée au garage pour plusieurs raisons :

- Une panne au niveau de la climatisation (qui a due être réparée à 2 reprises et a nécessité plusieurs semaines environ 3 ou 4 d’immobilisation du véhicule en juin et en aout 2010) couverte par la garantie du garage ( pas de justificatif puisque garantie)

- Des rotules de direction ayant dues être changées après la reconnaissance d’un bruit suspect en 2 fois

- Et la commande d’équipements Renault complémentaires (tapis de sols, housses de sièges et attache caravane pour un montant de plus de 800 euros) que nous avons effectué pour aménager notre nouveau véhicule qui a été plus compliquée que d’accoutumée ( puisque 2 ou 3 allers-retours entre le garage et la maison mère Renault ont dû être réalisés afin de corriger les erreurs de dimensions )

 

Soit quasiment plusieurs mois d’immobilisation alors que la garantie du véhicule courrait …

 

Nous avons su rester patients et courtois jusqu’à l’incident le 29 décembre 2012.

 

En effet, ce jour là, ma mère souhaitait emmener ses 4 petits enfants au cinéma et sur l’autoroute qui la menait à sa destination, après une petite quinzaine de kms effectués, le moteur s’est soudainement emballé et le véhicule a fini sa course sur la bande d’arrêt d’urgence sans autre conséquence dramatique dieu soit loué.

 

Le véhicule a été dépanné et transporté jusqu’au garage qui nous avait vendu ce véhicule.

 

Sur place, comme nous conservions des rapports courtois voire amicaux avec le garagiste, nous avons tout d’abord patienté que ce dernier ait le temps de trouver la cause de la panne. Ensuite, lorsqu’il s’est penché sur le véhicule et le moteur, il s’est un peu effrayé de voir les conséquences sur plusieurs parties techniques (injecteurs) du moteur qui auraient totalement fondu lors de l’incident.

 

Il nous invite à être patient, nous prête gracieusement un véhicule et dit vouloir se retourner contre Renault ou contre le garage ayant effectué le changement du moteur. Nous lui faisons confiance et le laissons entamer la procédure.

 

En date du 9 mai 2011 (soit 4 mois après l’incident !!!), nous recevons un courrier avec accusé de réception nous stipulant de nous rendre à une réunion d’expertise. Nous ne nous surprenons pas de cette convocation puisque notre garagiste nous expliquait que c’était la procédure, que les clients ou « victimes » devaient servir de témoins … Et nous nous y rendons confiants, avec le seul souhait d’élucider la problématique de cette voiture que nous sommes toujours en train de payer à crédit . Ne pouvant être présent en qualité de propriétaire ( obligations professionnelles) et n’ayant pas eu le choix de la date, nous invitons mon père à s’y rendre pour nous y représenter car ma mère et conductrice au moment de l’incident est hospitalisée à ce moment là.

 

Ce qu’il fait ! Nous commettons là une première grave erreur, celle de faire confiance aux professionnels auxquels nous avons affaire et celle de ne pas se rendre compte à ce moment là de la tournure que prendra par la suite la procédure… En effet, déjà là nous aurions dû faire appel à un expert avec notre assistance juridique, mais très mal conseillés ou alors influencés de mauvaise manière, mon père qui d’ailleurs ne connaît rien à la mécanique se retrouve confronté à des discours techniques et des exigences de preuve auxquelles il est incapable de répondre. Il se conforte en répondant comme il se doit aux questions posées et en restant témoin de la procédure débutante … Le côté humain ayant déjà été complètement laissé de côté à ce moment là car mon père souhaitait tout de même exprimer l’angoisse qu’a connu son épouse et les 4 enfants dans le véhicule qui est passé de 130 kms/h à 0 sur l’autoroute au milieu de nombreux véhicules et qui a patienté 30 minutes avec le gilet fluorescent derrière la rambarde de sécurité accompagnée de 4 enfants dont le plus petit avait 4 ans à peine !!! « Ce n’est pas là le problème » lui a-t-on répondu …

 

Dans le premier procès verbal, apposé en face de mon nom, on trouve la signature de mon père au lieu de la mienne (n’y aurait-il pas un vice de forme ?). Nous y voyons aussi apparaitre le statut de demandeur en notre nom alors que nous n’avions rien demandé si ce n’est la réparation du véhicule ! vice de procédure ? Et pour couronner le tout, le procés verbal identifie un véhicule immatriculé 363... alors que notre immatriculation est AM.... S’agit-il du bon véhicule ? Du bon moteur ? Il y a de quoi douter vu le comportement accusateur d’un des experts présent.

 

2ème convocation et 2ème réunion (22 juin ) : un courrier nous est adressé afin que soit présente la conductrice de la voiture au moment des faits. On lui demande un descriptif des faits vécus (après quasiment 6 mois et … pour l’anecdote : de gros soucis de santé vécus juste avant la réunion chez une personne vulnérable de 65 ans) et on la harcèle de questions techniques … elle s’efforce de décrire comme elle le peut le déroulement des faits, de répondre aux questions posées notamment une à laquelle elle répond par la négative : « vous avez parcouru 17000 kms avec cette voiture vous avez dû faire ou faire faire des appoints d’huile ? Ou votre beau fils ? » elle répond ne pas savoir et doute que son beau fils puisse mettre de l’huile alors qu’il n’est pas bricoleur du tout … J’en profite pour rajouter qu’il aurait fallu également que la voiture nous indique un manque d’huile et que cette dernière est sous garantie ! Donc aucun intérêt à y toucher !!!

Pour autant un des experts écrit dans le procès verbal n°2 : « Appoint d’huile fait par Mr ... le beau fils » et poursuit en notant en conclusions techniques : présence d’huile dans l’échangeur en quantité importante justifiant l’emballement du moteur … Et le tour est joué !!! Mensonge !!! Aucune recherche de fuite d’huile n’est effectuée, aucun comparatif de marque ou de sorte d’huile n’est effectué … Mais la victime est devenue coupable … Et surtout ni Renault, ni le garage Renault, ni le garage vendeur du véhicule ne sont mis en cause …

Dans le second procès verbal de nouveau des erreurs d’écriture se dévoilent : encore une erreur d’immatriculation et Mr présent signe pour Mme considérée cette fois comme notre substitut ! Mme signe également ( d’ailleurs s’en se rendre compte des fausses indications notées au sujet de l’appoint d’huile ) puisqu’on lui explique que ce document reprend l’ensemble des dires de la réunion mais uniquement écrit par un des experts à chaque rencontre … Il n’est pourtant pas demandeur et n’a pas de statut différent que celui des autres acteurs de la réunion … Cependant il aura été à chaque fois le commanditaire des actions au sein du groupe et le rédacteur des procès verbaux : à quel titre ? avec quel statut privilégié ?

3ème convocation et 3ème réunion (7 juillet ): Etant donné le silence soudain de notre garagiste autour de cette histoire, le harcèlement vécu par ma mère à la dernière réunion, l’usage de « faux témoignage » utilisé dans le dernier procés verbal, mon mari et moi faisons le nécessaire pour être présent. C’est d’ailleurs ce qui peut être à l’origine de l’interrogation pour la première fois des experts au sujet de l’absence d’aide juridique pour notre cas. Nous expliquons les conseils du garagiste et expliquons que nous ne savions même pas que nous étions demandeur de quelque chose mis à part la récupération de notre véhicule en état de marche.

Je commence par souligner les propos erronés relatés dans le procés verbal n°2 et insistons sur le sentiment de ma mère dont les propos ont été faussement relatés puisque totalement interprétés … On nous répond que « ça ne changera rien » ! On demande que soient corrigés ces propos et en échange il est indiqué que « Mr ( mon mari) informe en contradiction de la déclaration de Mme L qu’il n’a jamais effectué d’appoint d’huile … » ce n’est de nouveau pas nos propos mais comme ça ne change rien on continue d’observer le démontage du moteur devant nous… :cry:

Entre temps, un ouvrier du garage nous montre un ustensile transparent opaque vide dans lequel il y aurait été collecté l’huile se trouvant dans le moteur ( photos prises par les experts) mais cet ustensile démontrait bien des traces sur les rebords prouvant la stagnation d’huile mais il était vide lors de l’expertise . Où était l’huile ? Quelles preuves avons-nous qu’il s’agissait de l’huile trouvée dans le moteur de notre véhicule ?

Nous n’en savons rien et personne ne s’en inquiète ! Des photos sont prises sur un ustensile VIDE ! Pour terminer, les culasses et autres pièces techniques sont décrites, observées, démontées, … devant nous avec l’utilisation de vocabulaires techniques incompréhensibles pour nous … Le moteur est épluché, chacun des professionnels compétents donne son avis puis nous sommes invités au compte rendu au cours duquel un des experts ( toujours le même ) nous donne son sentiment : il y a eu un ajout d’huile conséquent justifiant de l’emballement du moteur et cet appoint d’huile n’a pu être fait que juste avant l’utilisation du véhicule pour la dernière fois c'est-à-dire au moment de l’incident. Nous nous sentons complètement visés … Alors que nous n'étions même pas présents au moment du départ de ma mère avec les enfants nous étions au boulot!!!

Du statut de victime nous sommes confortés dans le statut de coupables par l’un des experts…

Les autres professionnels nous expliquent que l’huile présente en trop grande quantité dans le moteur explique l’emballement et la fusion de certaines pièces. Cependant personne ne se penche sur comment est arrivée cette huile dans le moteur ? Sauf peut être l’ouvrier du garage qui en aparté m’explique que plusieurs causes techniques peuvent être à l’origine de la fusion (fuite d’huile, trop plein d’huile …). Mais aucun professionnel ne s’attarde sur les causes, nous nous rendons compte que les conséquences sont plus intéressantes sur les pièces moteur. Soupapes abimées, têtes de pistons présentant des points de fusion, bougies de préchauffage fondues … OUI mais pourquoi ? toujours pas de réponses … :??:

En conclusion, on ressent bien que l’épilogue qui se joue est :

- que nous récupérons un véhicule irréparable sauf changement complet du moteur (véhicule qui vaut zéro euros alors que nous payons encore le crédit)

- qu’il peut nous être réclamé les honoraires de main d’œuvre de démontage du moteur pour expertise

- qu’il peut aussi nous être réclamé les frais de garage du véhicule et du prêt du véhicule de courtoisie

- et surtout que nous n’avons plus de voiture en état de marche !!! :cry:

 

Nous attendons une contre expertise demandée dans le cadre de notre protection juridique... et croisons les doigts

 

Quel scénario n'est ce pas ... Merci encore pour votre aide !! :(

 

 

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Invité §106034NK

ce n'est pas ici qu'il faut poster, tu n'auras pas de réponses....

de toute façon la première erreur viens de toi, si tu t'étais renseigné avant d'acheter un 2?2dci, tu aurais su que ce moteur ne vaut rien...

 

et puis acheter un vehicule avec un moteur neuf est une chose, mais se poser la question de savoir pourquoi il a été changé si vite en est une autre....

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