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Cette voiture a une histoire peu banale. (Index en page 1)


jensen
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Invité §6su164aD

Tout à fait

6 personnes avec armes et bagages :sol:

 

 

Mais 4 ou 5 grand max si Goering fait partie du voyage. :D

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(modifié)

 

 

 

BMW 3.23i E21 : "C'est vous la grosse brute ?"  :o

 

 

 

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1975...

Déjà deux années passées depuis "le choc pétrolier" d'octobre 1973. :\

 

 

Ce fameux "choc" fut initié par les pays Arabes producteurs de pétrole en représailles à la riposte d'Israël suite à l'attaque dont ce pays fut l'objet par ses voisins le 6 octobre 1973.

Une manière comme une autre de dénoncer l'aide occidentale à l'état Juif, en bref il s'agissait non d'une pénurie mais surtout d'un acte politique.

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Que biens des "experts patentés" ont alors transformé en signe avant-coureur de la fin de l'ère pétrolière

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Même si les choses ne seront plus jamais "comme avant" les Cassandre qui nous annonçaient "la fin du monde pétrolier" pour l'an 2000 voire même avant commencent à se faire rares et sont de moins en moins écoutés... slimfat.gif.e1a1af5ca1cf071dc578269cc6d5ddca.gif

 

Et si le prix du baril de brut, qui a quadruplé en quelques semaines, ne baissera pas avant de longues années les constructeurs automobiles sortent de leur léthargie et recommencent à croire en leurs produits. :)

 

Bon d'accord les Français, toujours les premiers à se tirer une balle dans le pied, nous font le coup des "économies d'énergie certifiées chasse au Gaspi" avec les Renault 30 et Peugeot 604 dotées de leurs moteurs PRV amputés de deux cylindres, la SM qui est sacrifiée car "M'enfin mon bon Monsieur la vitesse est désormais limitée et plus personne ne voudra d'une auto qui dépasse les 220 km/h ! " et Simca qui reporte aux Calendes Grecques sa 1000 Rallye 3.

 

Monica ? Jean Tastevin a jeté l'éponge… :sic:

 

Matra ? La Bagheera U8 à moteur huit cylindres est annulée. :pfff:

 

Alpine ? L'A110 en fin de carrière n'a jamais été vraiment remplacée par une A310 mal finie et beaucoup trop chère pour ce qu'elle offre. :bah:

 

 

Les plus âgés d'entre vous n'ont pas du oublier tout le battage médiatique initié par cette fameuse "chasse au Gaspi".

Le second millénaire n'a pas l'apanage des "Campagnes de sensibilisation" débiles, malheureusement ! :pfff:

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Bref si on veut encore voir un monde automobile qui propose autre chose qu'une crise de neurasthénie mieux vaut passer la frontière. :D

 

A l'Est il suffit de traverser un fleuve en chute (de rein…) pour trouver un pays qui croit encore à la belle bagnole et qui n'a même pas instauré de limitation de vitesse sur ses autoroutes au nom "des économies d'énergies" : L'Allemagne (enfin… la RFA hein ! Parce qu'en 1975 la RDA "Démocratie Populaire" n'a rien de transcendant, ni sur la route ni ailleurs… :o )

 

Volkswagen nous présente en septembre à Francfort sa Golf GTI, le prélude d'un triomphe pourtant pas annoncé et encore moins évident au départ.

 

Mercedes a fini par se décider à sauter le pas et commercialise également en 1975 sa légendaire 450 SEL 6.9 de 286 ch.

 

Et BMW ?  :voyons: 

 

Ah ! Vous voulez parler de cette marque Bavaroise plus ou moins marginale qui a failli disparaître à l'orée des années 60 ? :o

 

Il est exact que la firme s'est brillamment sortie du marasme qui fut à deux doigts de l'emporter avec sa fameuse Neue Klasse et les dérivés qui s'ensuivirent à partir de 1966.

 

Le coup de crayon latin de Giovanni Michelloti assorti à des performances dynamiques au top niveau pour l'époque vont faire sortir la marque de l'ombre qui lui faisait de l’œil avec insistance (une ombre d'étoile à trois branches… :cyp: )

 

 

La Neue Klasse, quitte ou double pour BMW !

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Au tout début des années 70 BMW est désormais sorti de l'anonymat mais n'est pas totalement entré dans la lumière, et la firme est encore souvent considérée comme un fabricant de motos qui se diversifie sur quatre roues.

 

La BMW 2002 Turbo bien aidée par le Concept Car BMW Turbo de Paul Bracq présenté en 1972 remet les pendules à l'heure, sans parler d'une Série 5 E12 très bien accueillie par la critique, mais au milieu de cette décennie la marque est à la croisée des chemins : Va t-elle continuer avec la Baraka qui ne la quitte plus depuis une quinzaine d'années ou devra t-elle, compte-tenu de l'avis de beaucoup d'experts qui affirment qu'il n'y aura pas de place pour les constructeurs aux chiffres de production inférieurs au million d'exemplaires durant la prochaine décennie, devoir trouver un "partenaire" qui finira par l'absorber à plus ou moins long terme ?

 

BMW croit à sa chance et va tenter de remplacer sa "petite" série 02, le constructeur nous la joue sans filets:o 

 

 

Bien dessinée, fiable et performante la série 02 fut une vraie réussite.

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Sa remplaçante se devra d'être à la hauteur

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Une fois n'est pas coutume la nouvelle Série 3 Type E21 n'est pas présentée à Francfort en septembre 1975 mais au Salon de Munich en juillet.

 

 

L'essentiel est préservé : En particulier cette calandre en nez de squale. :love:

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Globalement le concept de la Série 02 est intégralement repris : Berline à deux portes avec coffre mais au design plus moderne inspiré de la récente Série 5.

 

Les mécaniques sont d'ailleurs les mêmes que sur la série précédente, on trouve dans la gamme initiale la 3.16 avec son quatre cylindres de 90 ch, la 3.18 de 99 ch et la 3.20 de 109 ch qui coiffe la gamme et se reconnait à sa calandre à quatre phares.

 

 

Les quatre optiques sont pour la 3.20, mais je vous rassure l'éclairage était aussi mauvais qu'avec les versions à deux phares ! :lol:

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Une chose méconnue : La Série 3 fut présentée telle qu'elle, sans bandeau entre les feux arrières.

Les critiques venues tant des journalistes que des futurs clients qui affirmaient tous que "quelque chose manquait à l'arrière" forcera BMW à agir en urgence

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 Une simple plaque de plastique striée à trois Deutschemarks pièce

Ce n'était pas grand-chose mais ça changeait tout ! :sol:

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La commercialisation ne débute qu'en décembre et les modèles pour le marché Français ne débarquent en concession qu'au premier trimestre 1976.

 

Et c'est d'emblée le succès : Bien construites, au dessin équilibré, performantes et bien campées sur l'asphalte les "petites" BMW sont bien nées ! :bien:

 

 

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De visu ? :o 

 

Une carrosserie agréablement dessinée digne héritière des séries précédentes mais néanmoins moderne, un intérieur certes austère (c'est tout noir ou tout gris…) mais avec des sièges fermes qui, sur longues distances, sont incomparablement plus confortables que le moelleux "Chewingumesque" des nombreuses autos de la concurrence, en particulier hexagonale… :sic:

 

La planche de bord est un modèle du genre avec sa forte tendance au narcissisme puisque tout est délicatement tourné en direction du conducteur, seul Maître à bord après Dieu ! :D

 

Par contre si on a souvent brocardé à l'époque les constructeurs Nippons pour leur usage systématique de l'Anglais à bord de leurs produits les possesseurs de BMW doivent eux se familiariser avec la langue de Goethe : Tout est écrit en Allemand quelque soit le marché sur lequel la voiture est vendue. :bah:

 

 

Le traitement dit "égoïste" de la planche de bord était une belle avancée ergonomique mais avait tendance à "rejeter" les passagers au rôle de simples occupants d'une auto entièrement vouée à son conducteur.

Au fait, vous êtes Germanophone ?  :)  Non ? Ah c'est ballot… :o

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Les sièges de série étaient loin d'être des baquets de compétition mais ils avaient l'énorme avantage d'être étudiés "fermes", c'était souverain sur longues distances et surtout permettait à ces derniers de conserver un bel aspect au fil des kilomètres.

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A l'arrière même si la banquette est suffisante pour deux adultes son accès du fait des deux portes (cette série n'aura jamais de déclinaison à quatre portes) était problématique.

 

Sous le capot l'amateur est comblé car le quatre cylindres baptisé M10 est, pour son époque, une réussite.

 

D'une cylindrée de 1 573 cm3 sur la "petite" 3.16 il permet tout de même de se faire plaisir avec ses 90 ch à 6 000Trs à une époque où une berline est souvent considérée comme "sportive" sitôt passée la barre des… 75 ch DIN ! :ddr:

 

 

Les 3.16 et 3.18 étaient malgré une puissance un peu juste de bonnes routières, bardées de qualités.

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Alors la 3.18 et son M10 retravaillé à 1 770 cm3 pour 99 ch approche du Nirvana de l'automobiliste Français qui doit alors se contenter au mieux des 95 ch d'une Renault 16TX au comportement routier à la fois moins rigoureux du fait de suspensions trop souples mais aussi plus "rassurant" avec sa traction avant.

 

Car la BMW sait très vite se montrer amusante, voire même carrément attachante avec sa transmission aux roues arrières. :oui:

Est-elle pour autant dangereuse ? :??:

 

Non, pas tant que l'on reste dans le domaine du raisonnable (et que le Gugusse derrière le volant ne se surestime pas trop…)

 

Les liaisons au sol sont modernes et composées d'une suspension de type McPherson à l'avant, le train arrière semi-rigide dispose de ressorts hélicoïdaux et de bras triangulés, on note aussi la présence de barres stabilisatrices sur les deux essieux.

 

Même à un rythme endiablé la Série 3 reste soudée à la route, sauf si cette dernière est mouillée, et c'est dans cette situation que l'auto va révéler une nette tendance au survirage, propulsion oblige… :(

 

 

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Bien entendu plus la puissance est affichée et plus cette tendance s'affirme.

 

Les deux versions au sommet de la gamme sont de celles-ci :

 

La 3.20 est dotée du même quatre cylindres que le reste de la gamme mais cette fois-ci porté à 1 990 cm3 pour 109 ch et la 3.20i lui rajoute une injection Bosch K-Jetronic qui pousse le M10 jusqu'à 125 ch, cette fois nous entrons de plain-pied dans le domaine de l'automobile sportive avec une pêche d'enfer et largement plus de 180 km/h en pointe.

 

Toutes les voitures sont livrées avec boite 4 (nous sommes au milieu des années 70 hein ! :o ), il est possible d'opter pour une automatique ZF à 3 rapports ou une boite manuelle à 5 vitesses sur demande.

 

 

Très rare en France : La boite automatique sur une E21. :o

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On pense alors en 1977 que cette gamme est définitivement figée, couvrant un spectre de 90 à 125 ch très largement suffisant pour une auto de 4,35 m de long, mais c'est mal connaître BMW qui dispose d'un formidable moteur : Le six cylindres en ligne M20 ! :fier:

 

Ce groupe, au vilebrequin à sept paliers en acier forgé et non coulé pour une meilleure résistance, est déjà monté sur la Série 5 E12.

 

En fait le Bavarois va tenter, avec un groupe d'une rare noblesse, ce que VW vient de réussir sur sa Golf : Le concept "petite voiture/gros moteur" !

 

Les 3.20 et 3.20i à quatre cylindres sont remplacées pour le millésime 1978 par une unique 3.20 à six cylindres et double carburateur Solex 4A1 de 125 ch.

 

 

La série 3 était une auto vraiment amusante, surtout en 6 cylindres avec un poids guère supérieur à 1 100 kg !

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Mais "LA" surprise arrive en même temps : Une 3.23i avec un sissenligne à allumage électronique réalésé à 2 315 cm3 pour 143 ch à 6 000Trs !

 

190 km/h et 9,5 secondes pour passer de 0 à 100 ! :eek:

 

Et tout ça dans une "honnête berline" qui ne se différencie des autres que par ses logos et sa double sortie d'échappement…

 

C'est très vite un vent de folie qui souffle chez les amateurs de belles autos et la Bêhême va être la coqueluche des beaux quartiers, à égalité avec la Golf GTI bien que les deux voitures ne jouent pas vraiment dans la même catégorie.

 

Toutes les 3.23i sont alors livrées avec une boite 4 à grille sport aux rapports assez longs et avec un différentiel autobloquant, les liaisons au sol sont également retravaillées et les freins sont désormais à quatre disques, ventilés à l'avant.

 

Mais le plus jouissif dans l'affaire ?

 

LE BRUIT ! :love:

 

Ce moteur est une véritable merveille de sonorité, envoûtante et même diabolique "en haut dans les tours" ! :miam:

 

 

Ne vous plaignez pas : J'offre l'image, mais pas le bruit :chut:

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C'est l'un des rares trucs livré de série d'ailleurs, parce que pour le reste… :roll:

 

Hormis une monte pneumatique plus généreuse, les deux sorties d'échappement et la calandre à quatre phares rien ne distingue une 3.23i d'une 3.16 !

 

Cela peut partir d'un bon sentiment ("Pour vivre heureux-vivons cachés"...) mais c'est aussi une sacrée économie d'échelle pour un constructeur qui vend ici très cher son moteur et sa carrosserie : 61 300 Francs en 1978, alors qu'une Peugeot 604 TI n'en vaut "que" 57 000 au même moment avec un niveau d'équipement et de présentation sans commune mesure (et pourtant la firme Sochalienne n'était alors pas vraiment considérée pour le niveau de dotation de ses produits).

Remarquez bien que rien ne vous empêche de piocher dans la liste des options, BMW est "réputé" à cette époque… :buzz:

 

Et c'est ici que j'ouvre une amusante parenthèse qui va, je l'espère, me démarquer de la concurrence des autres sites qui ont déjà été pour le moins généreux concernant l'étude de cette légende à quatre roues. ;)

 

Des options pour personnaliser votre BMW 3.23i, vous en voulez ? :sol:

 

En voila… :o (Je n'indique pas les tarifs car ils n'ont de nos jours plus grand intérêt)

 

-Boite Getrag à cinq vitesses (la démultiplication finale est la même que sur la boite 4 livrée d'origine)

-Boite automatique ZF à 3 rapports

-Peinture métallisée

-Peinture noire vernie

-Omission du logotype (une "option gratuite" souvent choisie par les possesseurs de 3.23i qui n'avaient pas compris que les voleurs les reconnaissaient à trois kilomètres avec leur double sortie d'échappement)

-Vitres teintées vertes

-Vitres teintées bronze

-Vitres teintées et pare-brise clair (Si si ! Ça a bien existé :W )

-Pare-brise avec bandeau vert teinté dégradé

-Vitres arrière entrouvrables

-Sièges sport Recaro à l'avant

-Sellerie velours

-Sellerie similicuir

-Sellerie cuir

-Appuie-tête aux places arrières

-Direction assistée avec volant de 380 mm

-Rétroviseur gauche réglable de l'intérieur

-Rétroviseur droit (réglable de l'intérieur ou non)

-Climatisation

-Jantes en alliage (13 ou 14")

-Différentiel autobloquant à 50% (20% de série)

-Lave-essuie phares

-Antibrouillards avant

-Feu de brouillard arrière

-Radio K7 (plusieurs modèles disponibles)

-Antenne (télescopique manuelle ou électrique)

-Tapis de sol

-Serrure de boite à gants

-Trousse à pharmacie

-Extincteur

-Condamnation centralisée

-Toit ouvrant (manuel ou électrique)

 

 

On ne pouvait pas dire que la Série 3 était suréquipée, mais elle pouvait le devenir… Moyennant finances !

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Bref, avec la main un peu lourde sur le bon de commande on tutoyait la barre alors mythique des "10 patates" ! :buzz:

 

 

Les sièges sport optionnels procuraient un maintient parfait, je n'ai hélas jamais pu les "essayer" à l'époque, rares étaient ceux qui les choisissaient en France.

Il faut dire que le prix de base de l'auto était déjà pour le moins conséquent.

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Pourtant le succès est phénoménal et "sort" définitivement la marque Bavaroise de l'ombre, bien aidée par les journaux de l'époque qui dénoncent les crimes du grand banditisme qui n'hésite plus à braquer en plein jour des banques pour disparaître au volant de "puissantes BMW", à une période ou nos Gendarmes roulaient encore en 4L ou en Estafette:hihi:

 

La série 3 fera souvent la première page des journaux locaux, en grande partie pour sa capacité à faire disparaître la canaille dans la nature :ddr:

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Bref La marque à l'hélice entre désormais dans le cercle très fermé des berlines au tempérament vraiment sportif dont les 3.23i et 5.28i sont les porte-drapeaux.

 

En août 1979 la Série 3 est légèrement revue et corrigée : Intérieur modifié, nouveaux rétroviseurs, jupe avant redessinée, feu arrière de brouillard livré de série et intégré aux feux.

La boite à cinq rapports est désormais en première monte mais la 3.23i perd… Son autobloquant désormais relégué au rang de simple option ! :eek:

 

Cela posera problème sur sol gras-mouillé, rendant l'auto parfois très difficile à contrôler. :pfff:

 

Pourtant le succès ne se dément pas et la voiture commence à intéresser très sérieusement divers préparateurs sérieux dont le plus emblématique se nomme Alpina.

 

Le garagiste de Buchloe proposera, entre autres, de novembre 1978 à janvier 1983 SA version de la 3.23i avec le six cylindres porté à 2.8 litres (2 788 cm3 exactement) pour une puissance comprise entre 200 et 218 ch suivant l'époque : La B6.

 

 

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Un bon 220 km/h en pointe pour 7,1 secondes de 0 à 100.

 

533 exemplaires produits, avec très souvent des aménagements spécifiques, une révision totale des trains roulants et les fameuses "peintures de guerre" si chères à Alpina. :D

 

 

Les bandes latérales sont d'ailleurs toujours la marque de fabrique d'un préparateur devenu depuis quelques temps constructeur à part entière !

Une belle récompense pour le sérieux de son travail.

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Baur propose lui une version découvrable de la Série 3 (il était déjà présent sur la Série 02), la qualité du produit est telle que BMW l'intègre à son catalogue d'options et en assure diffusion et après-vente dans son réseau.

 

 

Toutes les Séries 3 pouvaient être modifiées par Baur

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 Qui ne travaillait que sur des bases neuves

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 Suivant l'aménagement il fallait compter entre 15 000 et 22 000 Francs pour la transformation.

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4 595 exemplaires trouveront preneurs, un score honorable pour une réalisation assez confidentielle, chez nous du moins.

 

Le succès de la Série 3 E21 ne se démentira pas, ni en Europe, ni au Japon, ni au Moyen-Orient et encore moins aux USA où la BMW E21 est la voiture du jeune cadre dynamique New-Yorkais ou Californien.

 

Bon d'accord, la voiture était "un peu" défigurée par les normes de sécurité locales… :buzz:

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 Mais elle fera une belle carrière outre-Atlantique, bien que moins puissante (pot catalytique…) et 8 fois sur 10 vendue en automatique.

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En 1981 les ventes s’essoufflent et BMW élargit sa Série 3 vers le bas en proposant une basique 3.15 dotée du 1 600 d'origine développant 75 ch... :sic:

 

Considérée par BMW comme une auto d'entrée de gamme pour le futur "Béhémiste" ce modèle sous-motorisé n'avait pas grand-chose pour lui en 1982 : Moteur anémique, carrosserie dépassée, équipement chiche pour… 80 000 Francs ! :eek: 

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C'est cette dernière qui ferme les chaines de production de la série E21 en 1983, désormais remplacée par la E30 plus moderne mais dont la version 3.23i proposée fin 1982 ne convaincra pas la clientèle à cause d'un amortissement taré beaucoup trop souple.

 

Il faudra attendre la 3.25i et ses 170 ch pour que la 3.23i originelle soit vraiment remplacée dans la gamme BMW mais d'une manière différente, le côté "Dragster" étant désormais plus aseptisé.

 

 

La Série 3 E21 sera produite à 1 354 961 exemplaires, dont 320 455 3.20 à 6 cylindres et 137 107 3.23i.

 

 

Au musée la vieille !  :o 

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Elles passeront ensuite une quinzaine d'années "entre deux eaux", souvent dans des mains aussi peu fortunées qu'inexpérimentées (c'est là que je ferais sa connaissance… :oops: ) qui vont décimer leurs rangs avant d'éveiller l'intérêt des amateurs de Youngtimers et des quinquagénaires désormais débarrassés autant des gamins que des dettes et qui courent après leur jeunesse passée, je suis très bien placé pour le savoir… :(

 

Les E21 sont désormais des collectors recherchés, et une 3.23i présentable ne se trouve plus à moins de 9 500€ (moitié moins pour une 4 cylindres).

 

Mais n'oubliez pas que cette série est une auto à l'ancienne : Pas d'ABS, d'ESP, d'Airbags, de clim' automatique, de sièges électriques ou de calage d'admission variable (en gros jamais d'emmerdes ! :lol: )

 

 

Côté facilité d'entretien il n'y a pas photo !

Par contre perfs' et comportement routier n'ont plus rien à voir désormais

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Mais gare aux freins plus du tout dans l'air du temps et aux dérobades du train arrière sur chaussée glissante ! :o

 

Quand à la dotation de bord elle est fluctuante en fonction des moyens et des désirs du premier propriétaire… :bah:

 

 

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Vidéo de présentation de 1975 :

 

 

 

Une belle 3.23i de nos jours :

 

 

 

Ce bruit :lover::

 

 

 

Fiche technique complète : https://www.auto-forever.com/constructeurs-allemands/bmw/bmw-serie-3-e21-histoire-et-fiche-technique/

 

 

:coucou:

 

Jensen.

 

 

Modifié par jensen
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Invité guest527

Et dire que j'ai failli acheter une 320i e30 cab pour moins de 1000€ :cyp:

Oki, s'pas la klass d'une E21 :o

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Invité §pas471gx

Celle-ci a fait rêver !!!

 

Encore beaucoup de plaisir à lire une de tes présentations, chapeau !

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Dire que j'ai pu monter dans un tel exemplaire tout petit, une Grün, sans vraiment savoir ce que c'était. En tout cas c'est bien le bruit qui marque dans cette auto :)

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Dire que dans ma ville je connais une 323Baur brasilbraun metallic

 

Quand tu pense que j'ai eu une 320i E30 certe en échange d'une E34 en panne triste époque.

 

Effectivement cette histoire de truand est de voitures de banlieusard colle toujours à la peau de ces vielles BM (je ne compte plus les fois ou je fut contrôlé :pfff: )

 

 

Est pour les options effectivement des proprio avais parfois des goûts bizzard comme ma e34 cosmoschartz ou j'ai toujours dit qu'elle avais du appartenir à un cadre commercial qui aurais rêver d'être truand :lol:

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Et tu en as gardé quoi comme souvenirs ?

 

Anecdotes touSSa... :o

 

En ce qui me concerne j'en ai fréquenté deux de 3.23i :

 

-La première de 1981 fut acheté par le frère de ma mère en 1986 (habitué des caisses neuves en leasing il avait "craqué" cette fois-là)

La voiture avait 95 000km mais un carnet à jour qui stipulait un entretien suivi par le réseau.

 

Gris clair métal, jantes alu, toit ouvrant, direction assistée et vitres teintées électriques.

 

Il l'a revend au bout de six mois, lassé par le manque de tenue du train arrière par mauvaises conditions atmosphérique (il habitait Besançon et se rendait souvent dans le Haut-Doubs pour son boulot).

 

-La seconde c'est plus marrant... :ddr:

Un modèle de fin 1979 acheté en septembre 1988 par un copain : Clairement "l'affaire du siècle", c'est du moins ce qu'il m'avait dit au téléphone... :buzz:

 

Noire métal, vitres teintées électriques, radio-K7 "Alpine" d'origine (mais à moitié déglinguée).

 

87 000km "certifiés/promis-juré" par le vendeur ! :W

 

Pas besoin d'être un expert diplômé pour s'apercevoir que la BM était bien rincée : Couvre-pédales usés, volant à la jante "lisse", siège conducteur élimé, corrosion sur les arches de roues, du jeu dans la direction et surtout de belles volutes bleues à l'accélération...

 

Il me prend de haut lorsque je lui demande si le "1" devant le "87 000" n'aurait pas été oublié par "un geste malencontreux" et s'il était certain que tous les pigeons se trouvaient dans le ciel. :hihi:

 

Le plus clair de l'histoire sera qu'il engloutira une vraie fortune dans une remise en état douteuse (la 3.23i sera d'ailleurs plus retapée que réparée faute de moyens).

 

Elle finira un samedi soir de 1990 à Grenoble avec un feu tricolore encastré dans le capot à l'angle du cours de la libération et de la rue des alliés, officiellement après avoir tenté d'éviter une AX qui avait grillé le feu, mais il est fort probable que l'AX en question fut rose avec une longue trompe en guise de capot...

 

C'était l'expérience de Jensen en 3.23i... :buzz:

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Invité §pie367dg

Et tu en as gardé quoi comme souvenirs ?

 

Anecdotes touSSa... :o

 

En ce qui me concerne j'en ai fréquenté deux de 3.23i :

 

-La première de 1981 fut acheté par le frère de ma mère en 1986 (habitué des caisses neuves en leasing il avait "craqué" cette fois-là)

La voiture avait 95 000km mais un carnet à jour qui stipulait un entretien suivi par le réseau.

 

Gris clair métal, jantes alu, toit ouvrant, direction assistée et vitres teintées électriques.

 

Il l'a revend au bout de six mois, lassé par le manque de tenue du train arrière par mauvaises conditions atmosphérique (il habitait Besançon et se rendait souvent dans le Haut-Doubs pour son boulot).

 

-La seconde c'est plus marrant... :ddr:

Un modèle de fin 1979 acheté en septembre 1988 par un copain : Clairement "l'affaire du siècle", c'est du moins ce qu'il m'avait dit au téléphone... :buzz:

 

Noire métal, vitres teintées électriques, radio-K7 "Alpine" d'origine (mais à moitié déglinguée).

 

87 000km "certifiés/promis-juré" par le vendeur ! :W

 

Pas besoin d'être un expert diplômé pour s'apercevoir que la BM était bien rincée : Couvre-pédales usés, volant à la jante "lisse", siège conducteur élimé, corrosion sur les arches de roues, du jeu dans la direction et surtout de belles volutes bleues à l'accélération...

 

Il me prend de haut lorsque je lui demande si le "1" devant le "87 000" n'aurait pas été oublié par "un geste malencontreux" et s'il était certain que tous les pigeons se trouvaient dans le ciel. :hihi:

 

Le plus clair de l'histoire sera qu'il engloutira une vraie fortune dans une remise en état douteuse (la 3.23i sera d'ailleurs plus retapée que réparée faute de moyens).

 

Elle finira un samedi soir de 1990 à Grenoble avec un feu tricolore encastré dans le capot à l'angle du cours de la libération et de la rue des alliés, officiellement après avoir tenté d'éviter une AX qui avait grillé le feu, mais il est fort probable que l'AX en question fut rose avec une longue trompe en guise de capot...

 

C'était l'expérience de Jensen en 3.23i... :buzz:

 

 

 

Je ne savais pas que Citroën avait produit ce type d' AX :lol:

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Ah la E21, que de souvenirs!

 

C'est vrai qu'à l'époque, elle avait (du moins surtout la 323i) et comme la 528i E12, une image de "bad boys" qui lui collait à la peau en raison de sa cote d'amour au près des voleurs en tout genre.

 

Mais peu importe, c'était LA sportive bourgeoise par excellence (en comparaison avec la Golf 1 GTI qui était la petite sportive légère).

 

Personnellement, j'étais fou de cette voiture et elle fut mienne très rapidement après le permis en poche (se fut ma deuxième voiture après une Ford Fiesta 1.1 S grise à bande sport orange et intérieur noir et orange).

Attention, pas une neuve mais une "simple" 320 6 cylindres vert bouteille avec un intérieur en velours vert (un must à l'époque de sa sortie!).

Qui plus est, dans un état très loin d'être irréprochable mais avec ce fameux L6 à la sonorité pour le moins inimitable, surtout à l'époque.

 

Je garde un souvenir mémorable de cette voiture, de ses dérobes du train arrière sur le mouillé et surtout sur la neige, de ses performances supérieurs à la moyenne, de la tête des badauds en voyant ce jeune permis au volant de cette voiture à la sonorité endiablée, ...

 

J'avoue, j'étais super fier à son volant, d'autant plus que j'avais travaillé tous mes we et toutes mes vacances pour me la payer (j'étais bien sûr encore étudiant à l'époque).

 

Lorsque j'ai voulu changer cette 320, j'aurai aimé prendre un 323i E21 mais ... impossible de trouver un assureur car j'étais trop jeune.

Je me suis donc rabattu sur une 320i E30.

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Bonjour tout le monde

 

J'ai fait un rallye en tant que copilote sur une 318.C'était le Charbo 2011 en VH.On fini 13éme...et dernier.

Que de bons souvenirs à bord de cette auto.Pas très puissante (100cv) à tel point que j'avais souvent le temps de regarder le paysage

entre 2 notes... :ange:

 

Photo 009.jpg

 

Charbo 2011.jpg

 

Je pense que l'on a roulé plus vite en reco que pendant le rallye car on n'avait ça pour reconnaitre:

 

Photo 001.jpg

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Invité §6su164aD

Pour moi la 323i, c'est avant tout un grand regret.

 

Un pote qui faisait le ferrailleur au noir il y a une vingtaine d'années en a récupéré une, sortie de garage, peu de bornes, état absolument nickel hormis évidemment les frais inhérents à une remise en route (pneus KO notamment) elle était verte intérieur vert, avec une boite 4. Aucune possibilité de récupérer la CG, la dame qui en était propriétaire tenait mordicus à ce qu'elle soit détruite.

 

J'en suis malade encore maintenant. wrkzo.gif.7517537dd0110145e7f4950e159b8542.gif

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La E21!!! :jap:

Un ami, en a possédé plusieurs, uniquement en (6)... Actuellement propriétaire de la plus ancienne O2 de France...

Bref, il faudrait qu'il passe par là, une bible sur les BMW anciennes (Gregory Coupé, pour ceux qui le connnaissent)!

Anecdote sympa, avec lui en 2002, devant le garage Rover d'Arcachon, mon regard est attiré brièvement par un anachronisme dans la vitrine... une E21!

Et par n'importe laquelle... une Hartge 3 avec Hifi d'époque, sièges Recaro électriques... (etc), première main, état neuf! Vendue près de 9000 euros ou quelque chose du genre...

Greg me disait "achète"!!! Je n'avais pas de ronds, pas de garage... vous voyez le truc! Aujourd'hui... :pfff:

C'était une première main, avec toutes les factures dont le graal!!! Le bon de commande... :love: :love: :love: :love:

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FORD SIERRA : Originale ? Vous avez dit "Originale" ? Comme c'est étrange !

 

 

 

[...]

 

...Partout en Europe !

f36.jpg

 

 

Bref, pour une simple berline familiale un peu "originale sur les bords" on a connu pire !

 

De nos jours hormis les versions Cosworth très recherchées le reste a presque entièrement disparu, à commencer par des XR4i qui font beaucoup parler de nos jours mais qui, à l'époque, passèrent totalement inaperçues chez nous.

 

Pourtant une belle 2.0 litres V6 "90cv" en finition Ghia ça aurait de la gueule dans les rassemblements Youngtimers, et puis ça ferait parler !

Quand je pense que mon quatre cylindres de 1 600cm3 en développe 186...

 

 

Berline V6 2.3 litres Ghia :

 

Le Break V6 2.0 litres :

 

Essai de la XR4i (en Allemand) :

 

Les Corsworth en action !

 

 

 

Jensen.

Le p100 est une base de transit (d'ou les jantes 5 trous)

Les Sierra XR4i ont existé en 2.8 2.9 et 2L (pinto et DOHC)

Dommage justement de ne pas avoir parlé du DOHC et de sa MT75

Une petite parenthèse sur la Merkur mais pas sur l'XR6 ni l'XR8 !!!

Les anglais ont eu la chance d'avoir de bons kits moteur (notamment turbo technics ) ou des versions améliorées des Sierra. Sierra Rouse sport par exemple 302R et la 304-R.

Mais ils ont eu la version la plus puissante de série aussi. Quoi ? la Cosworth 4x4 ? noooon... La Ford Sierra Minker... avec un V6 2.9 gavée par 2 petits Garett T2 pour sortir 320 cv ^^

 

Sinon, bon article qui réveille bien dès le matin ^^

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Le p100 est une base de transit (d'ou les jantes 5 trous)

Les Sierra XR4i ont existé en 2.8 2.9 et 2L (pinto et DOHC)

Dommage justement de ne pas avoir parlé du DOHC et de sa MT75

Une petite parenthèse sur la Merkur mais pas sur l'XR6 ni l'XR8 !!!

Les anglais ont eu la chance d'avoir de bons kits moteur (notamment turbo technics ) ou des versions améliorées des Sierra. Sierra Rouse sport par exemple 302R et la 304-R.

Mais ils ont eu la version la plus puissante de série aussi. Quoi ? la Cosworth 4x4 ? noooon... La Ford Sierra Minker... avec un V6 2.9 gavée par 2 petits Garett T2 pour sortir 320 cv ^^

 

Sinon, bon article qui réveille bien dès le matin ^^

 

 

 

Ouais... :D

 

 

Bon, je crois qu'une petite mise au point s'impose... :)

 

Ce Topic n'a jamais eu vocation à être exhaustif et pour tout dire les plus assidus doivent se souvenir que je n'en suis pas l'auteur (Pierre99 à l'origine qui m'avait contacté en MP pour me demander de l'animer à temps perdu... :cyp: )

 

Pour avoir souvent discuté avec des professionnels de l'écriture (souvent des journalistes d'ailleurs) il y a une règle lorsque l'on écrit un sujet : Ne jamais faire trop long (de mémoire jamais plus de 750 mots...) afin de conserver l'attention du lecteur. :oui:

 

C'est un "truc" archiconnu dans la profession, et c'est aussi ce qui explique que beaucoup d'articles écrits par des pro' peuvent souvent vous sembler "formatés". :jap:

 

Pour la Sierra il me semble bien que les 750 mots étaient de très loin dépassés (si quelqu'un a du temps à perdre il peut compter... ;) ) et qu'il fallait bien "finir" à un moment ou à un autre.

 

J'étais parfaitement au courant de l'existence de la XR8... Sur le marché Sud-Africain en pleine période d'Apartheid ! :ddr:

 

C'est certes intéressant mais j'avais estimé en avoir assez dit et être déjà au taquet, j'ai donc fait des choix... astonfan74.gif.30cf38c70be9aaaac577088c7f5424ff.gif

 

Et je suis bien conscient qu'un passionné de PL pourra aussi en dire et en redire sur le Berliet PR100 ou les Bernard, là aussi j'ai passé des paragraphes sous silence pour ne pas endormir "ma clientèle".

 

Et j'ai fait de même avec la 3.23i : Les versions Alpina C1 et toutes les Hartge n'y sont pas.

 

J'ai de trop mauvais souvenirs en rubrique "anciennes" où, précisément, j’essayais de faire le plus précis possible.

 

Je n'en ai récolté que deux trucs :

 

-Le vieux casse-burnes (pour rester poli...) qui vient m'incendier en MP parce que la couleur "gris mouette/alizé" n'était pas au millésime 1956 mais uniquement les six premiers mois de 1955... :roll:

 

-Le jeune intéressé par l'automobile qui cherche (et c'est un peu le but de FA) à parfaire sa connaissance et qui finira par m'avouer IRL que mes "Topics officiels" sont certes très intéressants mais beaucoup trop longs pour aller jusqu'au bout sans en oublier la moitié... :sic:

 

Voilà donc la raison de ma présence iSSi, avec "la trouvaille" du format qui parvient à être à la fois précis (mais pas parfait) et assez court pour que tout le monde aille jusqu'au bout. ;)

 

Donc pour ce Topic : Précis oui, exhaustif jamais ! :deuxsanssix:

 

:coucou:

 

PS : Et bonne année à tous et à toutes hein ! :o

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Bonne année à tous,

 

Personnellement, je trouve la longueur des articles idéale. Suffisamment riche pour le néophyte et pour ceux qui sont le plus intéressés par un modèle, il reste un peu de découverte à faire via d'autres médias.

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Ouais... :D

 

 

Bon, je crois qu'une petite mise au point s'impose... :)

 

Ce Topic n'a jamais eu vocation à être exhaustif et pour tout dire les plus assidus doivent se souvenir que je n'en suis pas l'auteur (Pierre99 à l'origine qui m'avait contacté en MP pour me demander de l'animer à temps perdu... :cyp: )

 

Pour avoir souvent discuté avec des professionnels de l'écriture (souvent des journalistes d'ailleurs) il y a une règle lorsque l'on écrit un sujet : Ne jamais faire trop long (de mémoire jamais plus de 750 mots...) afin de conserver l'attention du lecteur. :oui:

 

C'est un "truc" archiconnu dans la profession, et c'est aussi ce qui explique que beaucoup d'articles écrits par des pro' peuvent souvent vous sembler "formatés". :jap:

 

Pour la Sierra il me semble bien que les 750 mots étaient de très loin dépassés (si quelqu'un a du temps à perdre il peut compter... ;) ) et qu'il fallait bien "finir" à un moment ou à un autre.

 

J'étais parfaitement au courant de l'existence de la XR8... Sur le marché Sud-Africain en pleine période d'Apartheid ! :ddr:

 

C'est certes intéressant mais j'avais estimé en avoir assez dit et être déjà au taquet, j'ai donc fait des choix... astonfan74.gif.30cf38c70be9aaaac577088c7f5424ff.gif

 

Et je suis bien conscient qu'un passionné de PL pourra aussi en dire et en redire sur le Berliet PR100 ou les Bernard, là aussi j'ai passé des paragraphes sous silence pour ne pas endormir "ma clientèle".

 

Et j'ai fait de même avec la 3.23i : Les versions Alpina C1 et toutes les Hartge n'y sont pas.

 

J'ai de trop mauvais souvenirs en rubrique "anciennes" où, précisément, j’essayais de faire le plus précis possible.

 

Je n'en ai récolté que deux trucs :

 

-Le vieux casse-burnes (pour rester poli...) qui vient m'incendier en MP parce que la couleur "gris mouette/alizé" n'était pas au millésime 1956 mais uniquement les six premiers mois de 1955... :roll:

 

-Le jeune intéressé par l'automobile qui cherche (et c'est un peu le but de FA) à parfaire sa connaissance et qui finira par m'avouer IRL que mes "Topics officiels" sont certes très intéressants mais beaucoup trop longs pour aller jusqu'au bout sans en oublier la moitié... :sic:

 

Voilà donc la raison de ma présence iSSi, avec "la trouvaille" du format qui parvient à être à la fois précis (mais pas parfait) et assez court pour que tout le monde aille jusqu'au bout. ;)

 

Donc pour ce Topic : Précis oui, exhaustif jamais ! :deuxsanssix:

 

:coucou:

 

PS : Et bonne année à tous et à toutes hein ! :o

 

 

Bonne année à toi et aux tiens aussi !

 

Puis s'il manque des précisions dans tes articles, ceux qui les connaissent peuvent aussi les apporter...

 

D'ailleurs je vais le faire à propos de la Sierra : Ce n'est pas gris mouette mais gris goéland/alizé, et c'est de mars à juin 86 uniquement tu parles d'un restylage de la face avant, mais dans mes souvenirs il y a surtout eu un restylage des portières pour augmenter la surface des vitres latérales et gommer l'effet "hublot", dont je me rappelle bien qu'il a beaucoup été critiqué lors de la sortie du modèle.

 

Et je te renouvelle mes félicitations pour ton talent à rendre sympathiques même les modèles les plus mal-aimés en leur temps...

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Puis s'il manque des précisions dans tes articles, ceux qui les connaissent peuvent aussi les apporter...

 

 

 

 

Toutafé ! :o

 

J'ai d'ailleurs profité de l'intervention de dRicC pour le préciser : Ça ne lui était pas directement destiné, que les choses soient très claires. :oui:

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A la base l'idée du topic était de conter l'histoire d'une voiture en particulier mais cette idée trouvait vite c'est limites, Jensen en reprenant le sujet à fait évoluer le topic en élargissant le thème. Le format "court" des articles est très bien je trouve. Cela me fait penser au site auto Boitier Rouge http://boitierrouge.com/ qui à le mème format et style d'article.

 

D'ailleur jensen tu en ferais pas parti? :D

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" Ce groupe, au vilebrequin à sept paliers en acier coulé et non forgé pour une meilleure résistance, est déjà monté sur la Série 5 E12. "

 

Tu ne voulais pas plutôt écrire l'inverse?

Le forgé est logiquement plus résistant. A moins que l'on ne parle pas de la même chose.

Super article en tout cas :bien:

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