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Le premium automobile est-il une illusion de haut de gamme ?


Invité §Lau620QA
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Invité §Lau620QA

Est-ce que vous pensez que le premium automobile peut-être catégorisé dans le premium médiocre, c'est à dire l'illusion du luxe , du faux haut de gamme ?

 

 

MARKETING[h1]PREMIUM MÉDIOCRE, L'ILLUSION DU LUXE[/h1]30/04/2019 - par Delphine Le Goff

[h2]Termes ronflants, exclusivité feinte… Burgers « Signature », classes affaires des compagnies low-cost, noms italiens de cafés industriels… Le « premium médiocre » permet à tout un chacun de toucher du doigt le haut de gamme… sans vraiment consommer du haut de gamme.[/h2]

 

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Aimez-vous les cupcakes ? Le yaourt glacé ? Les toasts à l’avocat ? Assaisonnez-vous vos plats à l’huile de truffe ? Êtes-vous prêt à payer un supplément aux compagnies aériennes afin de bénéficier d’un espace supplémentaire pour vos jambes ? Si vous avez répondu par l’affirmative à l’une ou plusieurs des affirmations précédentes, vous êtes sans doute, et probablement sans le savoir, adepte du « premium médiocre ». Oui, ça fait mal.

S’il n’est pas des plus flatteurs, le terme claque. Il nous vient d’un consultant et auteur américain, Venkatesh Rao, qui attablé avec son épouse chez Veggie Grill – une chaîne veggie californienne qui se la raconte – a une révélation : celle d’être cerné par le premium médiocre. Les bateaux de croisière ? Premium médiocre. Game of Thrones ? Premium médiocre. La pizza artisanale ? Premium médiocre. « Le premium médiocre, ce sont les noms italiens des boissons Starbucks, et plus globalement, le café Starbucks », continue à énumérer Venkatesh Rao. Un résumé ? « Le premium médiocre, c’est la nourriture qui est plus appétissante sur Instagram qu’en réalité. »

Un certain « masstige »

Le concept, qui a eu son petit succès sur les réseaux sociaux américains, n’est pas fondamentalement inédit. « Le premium médiocre, c’est ce que l’on désigne également par le “masstige” [produits de prestige pour les masses], remarque Tomas Couvry, planneur stratégique chez CLM BBDO. Ça peut aller des macarons Ladurée à l’engouement pour le Spritz en passant par les burgers Signature de McDo. »

Termes ronflants, exclusivité feinte. Chez les marques, on n’hésite pas à se pousser du col, en inventant des « wordings » hyper-valorisants, une novlangue chic et charme. L’on y trouve pêle-mêle les « barista » des voitures-bars des TGV, la « classe affaire » EasyJet... « Depuis Marx, chaque objet possède à la fois une valeur d’usage et une valeur d’échange, rappelle François Peretti, planneur stratégique chez Rosapark. La particularité du premium médiocre, c’est qu’elle indexe la valeur d’échange non plus sur l’argent mais sur l’image. Et cette image prend le pas sur le reste. » Et de rappeler ce que Gilles Lipovetsky appelle le « capitalisme de séduction », ainsi que cette fameuse phrase de Guy Debord dans La Société du spectacle : « Toute la vie des sociétés dans lesquelles règnent les conditions modernes de production s'annonce comme une immense accumulation de spectacles. »

En somme, reprend François Peretti, la consommation premium médiocre permet, a fortiori, de « tisser entre les gens des rapports sociaux médiatisés par des images. Comme dans American Psycho, où la marque des costumes, la matière des cravates et le papier des cartes de visite suffisent à définir la position de chaque yuppie chez Pierce & Pierce. Les stéréotypes (jeune branché, rebelle, serial worker, etc.) produisent ainsi des modèles à suivre, interchangeables mais incarnés. Ainsi que l’explique Edward Norton dans les premières minutes de Fight Club : “Comme tant d’autres, j’étais devenu l’esclave du cocooning Ikea. Je feuilletais les catalogues en me demandant : Quel genre de vaisselle me définit en tant que personne ?” »

Pour les millennials

Vingt-sept ans après la parution du roman de Bret Easton Ellis, vingt ans après la sortie du film de Fincher (inspiré d’un livre de Chuck Palahniuk), les incontournables millennials semblent constituer une clientèle de choix pour le premium médiocre. « Celui-ci rencontre le désir de cette génération, plus précaire mais aussi plus consumériste que les générations précédentes : accéder à des produits premium sans avoir le pouvoir d’achat pour consommer luxueux ou durable », analyse Tomas Couvry.

D’autant que les réseaux sociaux, au premier rang desquels Instagram, constituent une galerie marchande infinie, aux vitrines tout autant tentatrices qu’inaccessibles. « Quels que soient nos revenus, on a plus que jamais accès à l’univers du haut de gamme, remarque Manon Le Roy-Oclin, planneuse stratégique chez BETC. Autrefois, il fallait pousser la porte des boutiques de luxe. Aujourd’hui, il suffit d’aller sur Instagram où par ailleurs les célébrités achètent et exposent des produits clinquants… »

Éternel supplice de Tantale, en mode 2.0. Les objets de désir se multiplient, sans que, pour autant, on puisse les posséder. « La consommation premium médiocre renoue avec ce que l’économiste Thorstein Veblen théorisait comme la “Conspicuous consumption” : une double économie, à la fois liée à la production des biens et services utiles à la vie, mais aussi tributaire de leur manipulation symbolique par la classe possédante, explique François Peretti. Ce qu’on a appelé “effet Veblen” : cette volonté des classes inférieures de consommer à l’identique des classes supérieures, qui parachèvent leur domination par leur double mainmise, sur les capitaux économiques comme symboliques. » Sauf que si le premium médiocre a une vertu, c’est qu’il restaurerait une forme… d’égalité : « Là où le premium est fait pour exclure, le rôle du premium médiocre est d’inclure. Jusqu’à inventer des recettes sans café, pour rallier ceux qui en préfèrent l’imaginaire “serial worker” au goût. Le premium médiocre, c’est une forme d’accès au “modern dream” ; tout le monde peut enfin accéder à cet imaginaire d'accomplissement créé et véhiculé par la société de consommation, pas seulement par les objets mais plutôt, par les images de ces objets. »

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Invité §Lau620QA

Bah est-ce qu'avoir une Mercedes/Audi/Volvo/BMW/DS/Alfa Romeo/Tesla/Land Rover/Mini est du vrai haut de gamme ?

 

Ou est-ce que ce n'est pas finalement que du marketing avec des termes ronflants, des pubs avec des codes de luxe, bref une image surfaite et artificielle ?

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Invité §Man350lx

C'est une question d'interprétation.

 

Pour moi, tu peux enlever DS et Mini du Premium, voire même Alfa Romeo. Et c'est pas une tare.

 

Tu vois, on a deja des avis différents sur les marques premium ou non. Par ailleurs, c'est un terme que je n'aime pas trop. En ce qui me concerne, je peux très bien préférer des modèles généralistes à des modèles dits premium.

 

Mais la encore, est-ce qu'on considère une marque comme premium pour certains de ses modèles ou pour absolument toute sa gamme ? Si je prends l'exemple de Mercedes, j'ai du mal à mettre une Classe B au même niveau qu'une SLS...

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C'est une question d'interprétation.

 

Pour moi, tu peux enlever DS et Mini du Premium, voire même Alfa Romeo. Et c'est pas une tare.

 

Tu vois, on a deja des avis différents sur les marques premium ou non. Par ailleurs, c'est un terme que je n'aime pas trop. En ce qui me concerne, je peux très bien préférer des modèles généralistes à des modèles dits premium.

 

Mais la encore, est-ce qu'on considère une marque comme premium pour certains de ses modèles ou pour absolument toute sa gamme ? Si je prends l'exemple de Mercedes, j'ai du mal à mettre une Classe B au même niveau qu'une SLS...

 

 

C’est exactement la question.

La classe B est premium, parce qu’elle ne véhicule que l’image de la marque, sans rien apporter de notable de plus qu’un scenic.

Tandis que la SLS est une vraie voiture sportive, classe, exclusive, et relativement luxueuse.

 

Le définition du premium, c'est d'arriver à faire payer plus cher le client, juste pour l'image.

Le produit est souvent bon, pas forcément meilleur, mais toujours conçu et présenté pour que le client se sente valorisé.

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Encore faut il avoir une définition exacte de ce qu'est le premium.

 

Le premium c'est pour moi un service:

 

Show room raffiné. Décoration soignée. Accueil de qualité, sobre et élégant. Prise en charge immédiate du client. Considération élevée du client. (Qui parle de leche cul? )

:ange:

 

Apres le service, il y a bien sur le produit: avant tout qualitatif. Que ce soit par la qualité de construction, et aussi de présentation. Le produit doit etre qualitativement supérieur à la moyenne.

Ensuite la prestation du produit doit pouvoir etre élevée, toujours par rapport a la moyenne. Le premium doit pouvoir proposer du haut contenu technologique, technique. Grand choix de transmissions, grand choix de motorisation, grand choix d'équipements technologiques : suspensions pilotées, instrumentalisation numérique, voiture connectée, aides à la conduite élevées.

Et enfin, personnalisation à la carte du vehicule: choix des cuirs, des couleurs, sûr piqûres, boiseries, carbone, alu, voir des teintes carrosserie exclusives.

 

Enfin le premium c'est aussi l'image.

Une maitrise parfaite de son image, qui permet de justifier un positionnement prix élevé, en rapport avec le produit proposé.

 

 

Si la marque automobile arrive a réunir ces 3 critères (service, produit, image) alors la marque est premium.

 

Si il manque un de ces trois critères, alors t'es pas premium.

 

Enfin je considère plusieurs échelles de classement dans l'automobile. Et qui peuvent parfois se croiser:

 

Low cost, généraliste, premium, luxe, ultra luxe.

Sport pouvant s'accorder avec tous.

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que du marketing avec des termes ronflants, des pubs avec des codes de luxe, bref une image surfaite et artificielle ?

 

 

 

Pour certains complètement :jap:

 

30-11-2019_10:24:54.png

 

**musique Marseillaise au piano**

 

"Nouveau ds7 crossback opera bastille tivoli, 1.6 puretch pack performance line 130ch, disponible au carré VIP de votre agent Citroën "

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Invité §Rou757sQ

Je ne sais pas ce que vaut DS aujourd'hui, mais j'ai eu de 2010 à 2012 une Citroën DS3, et oui à l'époque c'était Citroën. J'ai adoré cette voiture, mais faut être franc et dire que c'était plus une C3 coupé avec plus de personnalisation et un plus gros moteur (avec le THP 156) plus qu'une voiture premium de mon point de vue. De l'extérieur on entendait les plastiques grésiller à cause du caisson de basse, bof pour du dit premium quand même.

 

Après je suis jamais monté dans une A1 ou une Mini de la même époque pour comparer.

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C’est exactement la question.

La classe B est premium, parce qu’elle ne véhicule que l’image de la marque, sans rien apporter de notable de plus qu’un scenic.

 

 

Une B250 4matic apporte 60ch et 2 roues motrices de plus qu'un scenic le plus haut de gamme.

Certes tu me diras qu'il se vend bien plus de classe B cdi a moteur Renault mais il a le mérite d'être proposé.

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Par rapport à Renault ou PSA ... oui :lol:

 

Ça reste encore à démontrer.

 

Il y a pas mal d'années, j'avais acheté une Laguna 1 en même temps qu'un collègue achetait une Mercedes classe C. Pour le même prix, j'avais eu la version haut de gamme BVA alors que lui avait le modèle de base BVM...

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Une B250 4matic apporte 60ch et 2 roues motrices de plus qu'un scenic le plus haut de gamme.

Certes tu me diras qu'il se vend bien plus de classe B cdi a moteur Renault mais il a le mérite d'être proposé.

 

 

Oui, je suis d'accord. Ici on n'est effectivement plus dans le premium.

Ce type de véhicule apporte un réel plus en terme de contenu.

 

Ce n'est plus nécessairement l'image qui a suscité l'achat, du moins on peut laisser le bénéfice du doute à l'acquéreur.

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Ça reste encore à démontrer.

 

Il y a pas mal d'années, j'avais acheté une Laguna 1 en même temps qu'un collègue achetait une Mercedes classe C. Pour le même prix, j'avais eu la version haut de gamme BVA alors que lui avait le modèle de base BVM...

 

 

Tu confonds niveau de finition en équipements et niveau de finition en qualité banditito.gif.6e0c5bc6c4a359149113b639a39fdfa4.gif ... et je crois pas qu'une Laguna 1 était mieux finie qu'une Mercedes, sinon ça se saurait :lol:

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Bah est-ce qu'avoir une Mercedes/Audi/Volvo/BMW/DS/Alfa Romeo/Tesla/Land Rover/Mini est du vrai haut de gamme ?

 

Ou est-ce que ce n'est pas finalement que du marketing avec des termes ronflants, des pubs avec des codes de luxe, bref une image surfaite et artificielle ?

 

Le premium apporte un plus par rapport au généraliste, un peu comme le luxueux apporte un plus par rapport au premium.

Et une même marque peut disposer des deux propositions, voir trois en prenant compte de certains modèles placés comme généraliste dit "modèle d'appel du chaland". :o

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Le premium apporte un plus par rapport au généraliste, un peu comme le luxueux apporte un plus par rapport au premium.

Et une même marque peut disposer des deux propositions, voir trois en prenant compte de certains modèles placés comme généraliste dit "modèle d'appel du chaland". :o

 

 

C'est très discutable.

Pour le même prix, le premium en apporte au contraire moins que le généraliste.

Il faut bien faire payer l'image de marque.

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Le premium apporte un plus par rapport au généraliste, un peu comme le luxueux apporte un plus par rapport au premium.

Et une même marque peut disposer des deux propositions, voir trois en prenant compte de certains modèles placés comme généraliste dit "modèle d'appel du chaland". :o

 

 

C'est très discutable.

Pour le même prix, le premium en apporte au contraire moins que le généraliste.

Il faut bien faire payer l'image de marque.

 

 

On paye bien entendu la qualité du produit, la qualité du service et bien sûr l'image de marque.

 

Le premium c'est l'opposé du bon rapport qualité prix, ça n'a rien de nouveau.

 

Et oui, bien sûr, une image, une marque, ça se paye.

Ici c'est mal vu. (Sur FA, en France)

Niveau mondial, rien n'est moins sur.

 

En France, le fric, la réussite sociale, c'est mal vu. Donc quand tu roules en premium t'auras toujours un idiot (jaloux) qui t'expliquera que tu t'es fait avoir, que pour le même prix tu avais mieux, blablabla

 

Un peu comme l'idiot du village qui se vantera d'avoir doubler une ferrari avec son fourgon diesel, qui vaut 1% du prix de la ferrouse, plus fiable, plus confortable, plus pratique, et qui roule comme la sportive italienne a 130.

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Invité §Lau620QA

Je ne sais pas ce que vaut DS aujourd'hui, mais j'ai eu de 2010 à 2012 une Citroën DS3, et oui à l'époque c'était Citroën. J'ai adoré cette voiture, mais faut être franc et dire que c'était plus une C3 coupé avec plus de personnalisation et un plus gros moteur (avec le THP 156) plus qu'une voiture premium de mon point de vue. De l'extérieur on entendait les plastiques grésiller à cause du caisson de basse, bof pour du dit premium quand même.

 

Après je suis jamais monté dans une A1 ou une Mini de la même époque pour comparer.

 

 

DS ne peut plus se permettre de faire une finition moyenne comme à l'époque des modèles badgés Citroen. Quoique la DS5 est plutôt bien finie même quand elle était Citroen.

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Invité §Lau620QA

 

 

Pour certains complètement :jap:

 

30-11-2019_10:24:54.png

 

**musique Marseillaise au piano**

 

"Nouveau ds7 crossback opera bastille tivoli, 1.6 puretch pack performance line 130ch, disponible au carré VIP de votre agent Citroën "

 

 

Complètement, la publicité des premiums comme DS et d'autres est encore plus surfaite que dans les pubs de Twingo, Seat et compagnie :

 

http://www.enilorac.fr/wp-content/uploads/2018/02/enilorac-pub-audi-1024x768.jpg

 

Un Q2 n'a pourtant rien d'inclassable ni de sportif ...

 

 

Au moins là BMW fait dans le rationnel pour son monospace :

 

http://i.ytimg.com/vi/Wa-LjWSz99k/hqdefault.jpg

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On paye bien entendu la qualité du produit, la qualité du service et bien sûr l'image de marque.

 

Le premium c'est l'opposé du bon rapport qualité prix, ça n'a rien de nouveau.

 

Et oui, bien sûr, une image, une marque, ça se paye.

Ici c'est mal vu. (Sur FA, en France)

Niveau mondial, rien n'est moins sur.

 

En France, le fric, la réussite sociale, c'est mal vu. Donc quand tu roules en premium t'auras toujours un idiot (jaloux) qui t'expliquera que tu t'es fait avoir, que pour le même prix tu avais mieux, blablabla

 

Un peu comme l'idiot du village qui se vantera d'avoir doubler une ferrari avec son fourgon diesel, qui vaut 1% du prix de la ferrouse, plus fiable, plus confortable, plus pratique, et qui roule comme la sportive italienne a 130.

 

 

Je ne crois pas justement qu'on paie une quelconque qualité du produit.

On se fait juste avoir, effectivement.

Dans le monde d'aujourd'hui, les gens donnent de l'importance à l'apparence, plus qu'à la qualité réelle des choses.

La notion de premium permet aux entreprises, et en particulier aux constructeurs, d'en tirer un profit maximum.

 

Quant à la jalousie, elle serait mal placée. 80% des premium qui circulent sont soit des véhicules de société, soit des achats d'occasion.

Non, le premium suscite plutot de l'ironie, que de la jalousie,

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C'est très discutable.

Pour le même prix, le premium en apporte au contraire moins que le généraliste.

Il faut bien faire payer l'image de marque.

 

Je ne parle pas de rapport qualité-prix

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En France, le fric, la réussite sociale, c'est mal vu. Donc quand tu roules en premium t'auras toujours un idiot (jaloux) qui t'expliquera que tu t'es fait avoir, que pour le même prix tu avais mieux, blablabla

 

Un peu comme l'idiot du village qui se vantera d'avoir doubler une ferrari avec son fourgon diesel, qui vaut 1% du prix de la ferrouse, plus fiable, plus confortable, plus pratique, et qui roule comme la sportive italienne a 130.

 

 

Tu as visé en plein dans le mille, sauf pour ta première phrase. La réussite sociale est en fait souvent bien vue, ou enviée ; ce qui est mal vu est de le manifester sous certaines formes, en particulier par l'automobile qui est considéré comme un bien frivole.

 

Ça me fait penser à ceci :

 

 

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Tu parles pour ne rien dire, alors.

 

Et il y a des généralistes qui apportent plus que des premium, et inversement.

 

Pour toi, dans l'automobile, il n'y a que le tarif qui compte?

Un contenu technique ou technologique dans la catégorie n'est pas un plus?

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Invité §shu041Vl
:o c'est l'image que le proprio - payeur en a qui fait le premium ( pas le rapport qualité prix ) qui n'a rien à voir ( une sandero a un tres bon rapport q- p) mais objectivement une ds offre plus de plaisir de conduite , question de priorité :ange:
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Invité §Rou757sQ

Pour toi, dans l'automobile, il n'y a que le tarif qui compte?

Un contenu technique ou technologique dans la catégorie n'est pas un plus?

 

Ca dépend, je suis sans doute un cas particulier mais, n'ayant pas de smartphone, les derniers auto radios me casse les... Enfin vous voyez.

 

Donc pour ma prochaine voiture, si je veux écouter ma musique, il faudra que je rajoute un smartphone à la facture... Ok.

 

Et toutes ces technos augmentent sensiblement le prix des voitures, même non premium; mais c'est un autre débat.

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Tu as visé en plein dans le mille, sauf pour ta première phrase. La réussite sociale est en fait souvent bien vue, ou enviée ; ce qui est mal vu est de le manifester sous certaines formes, en particulier par l'automobile qui est considéré comme un bien frivole.

 

Ça me fait penser à ceci :

 

 

 

 

Je crois qu'on ne se comprend pas.

Une Classe A, disons une A180d, ce n'est en rien un signe de réussite sociale. Ça ne suscite pas l'envie.

 

On peut la trouver jolie, éventuellement, mais c'est très personnel.

 

Je soupçonne que ça s'achète plus par souci d'apparence que par gout personnel.

 

C'est la définition du premium.

 

En ce qui me concerne, je trouverai toujours plus à mon gout, et intrinsèquement mieux, chez un généraliste.

 

Par contre, je comprends très bien qu'on mette 80, 100k€ ou plus dans une voiture. Ça ne me pose aucun problème.

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Pour toi, dans l'automobile, il n'y a que le tarif qui compte?

Un contenu technique ou technologique dans la catégorie n'est pas un plus?

 

 

Non le tarif est secondaire. Je veux juste ne pas y mettre plus de six mois de revenus.

C'est justement le contenu qui m'intéresse.

 

Le contenu en tant que voiture, plateforme, moteur, transmission, etc.. pas en tant que tablette à roues.

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Je ne crois pas justement qu'on paie une quelconque qualité du produit.

On se fait juste avoir, effectivement.

Dans le monde d'aujourd'hui, les gens donnent de l'importance à l'apparence, plus qu'à la qualité réelle des choses.

La notion de premium permet aux entreprises, et en particulier aux constructeurs, d'en tirer un profit maximum.

 

Quant à la jalousie, elle serait mal placée. 80% des premium qui circulent sont soit des véhicules de société, soit des achats d'occasion.

Non, le premium suscite plutot de l'ironie, que de la jalousie,

 

 

je pense que si justement, on paye une réelle qualité du produit. Car même si la qualité PERCUE a fait d'enorme progres chez les généralistes, notamment Peugeot, la qualité non visible: peinture, ajustement, protections, soubassement, conception, c'est un cran au dessus des généralistes.

 

Tu payes également la RD, car même si tu profites pas du icockpit, des suspensions pilotées réliées au GPS ou de la vision matrix led laser, pour que ces équipements soient disponibles, il a fallu les développer, et les démocratiser. Et c'est bien les premium qui font la recherche et donc en supporte le cout.

 

Je ne suis absolument pas sur de tes chffres annoncés ou 80% des premium seraient des 316d ou des a4 tdi business...

 

Il n'y a qu'a voir le prix moyen des marques généralistes VS les marques premium:

 

+ de42 000 euros le prix moyen d'une audi, 46 000 pour bmw, 47 000 pour mercedes

50 000 pour Volvo ! 53 000 pour Jaguar!

 

Peugeot, Seat, Ford, Renault, Toyota, c'est sous la moyenne et ca avoisine les 25 000 en moyenne le prix moyen.

 

 

 

Mais je pense aussi qu'il faut avoir une vision un peu plus internationale, plutot que ricaner sur l'A3 tdi 120 du voisin ou la 114d du collegue.

En Chine, chez Audi, ce sont les A4 L, A6 L (L pour limousine, ou version rallongée pour rester plus modeste) qui se vendent comme des petits pains.

Aux etats unis, je ne pense pas que Mercedes doit son salue à la classe A moteur de base.

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Invité §Lau620QA

Ça reste encore à démontrer.

 

Il y a pas mal d'années, j'avais acheté une Laguna 1 en même temps qu'un collègue achetait une Mercedes classe C. Pour le même prix, j'avais eu la version haut de gamme BVA alors que lui avait le modèle de base BVM...

 

 

De toute façon, à prix egal, on aura toujours moins équipé, moins puissant, moins performant avec un premium par rapport à un généraliste.

 

Mais est-ce que la qualité et le soin, ainsi que l'image sont supérieures ? Je pense que c'était vrai dans les années 90. Quand on regarde une Mercedes de 25 ans, on est souvent étonnés par la qualité intérieure, les équipements parfois rares à l'époque, le vieillissement général. Je trouve que c'est nettement moins vrai pour les autos des années 2010 et pour pour 2020. Certaines marques généralistes sont fortes sur ces points là, de qualité général.

 

Puis l'hybride et l'électrique redistribuent les cartes : un 12 cylindres, 8 cylindres et même un 6 cylindres semblent des propositions du passé alors que ça participait grandement au prestige il y a encore peu

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Complètement, la publicité des premiums comme DS et d'autres est encore plus surfaite que dans les pubs de Twingo, Seat et compagnie :

 

http://www.enilorac.fr/wp-cont [...] 24x768.jpg

 

Un Q2 n'a pourtant rien d'inclassable ni de sportif ...

 

 

Au moins là BMW fait dans le rationnel pour son monospace :

 

http://i.ytimg.com/vi/Wa-LjWSz99k/hqdefault.jpg

 

 

 

Justement, DS manque encore de légitimité pour etre vrai premium. Pour le moment cette marque c'est que du marketing et rien d'autre.

 

Le service? Il doit etre correct, des vrais efforts ont été faits dans les show room

 

L'image? encore proche du 0. Donc justement, DS fait de la pub ronflante, des noms grotesques qui veulent rappeler surement le luxe à la Française. Ca a du mal a prendre. Et le marché visé en priorité, la Chine, n'a pas du tout été receptive aux dénomintions "bastille, Opera, Tivoli"

 

Le produit? Idem, ça suit toujours pas. Le DS7 a mis la barre très haut, mais ca ne suffit pas encore. la gamme n'est pas assez riche, pas assez innovante. Attendons deja les DS7 hybride 4x4 de 300ch. Mais au final, j'ai peur que ce beau fleuron ne se transforme en baleine peu efficace, lourde, aux performances très decevantes... alors que les vrais premium proposent des SQ8, X5M, G AMG, du V6 T, du V8, de l'hybride, du full electrique... bref, toujours une belle longueur d'avance

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Ca dépend, je suis sans doute un cas particulier mais, n'ayant pas de smartphone, les derniers auto radios me casse les... Enfin vous voyez.

 

Donc pour ma prochaine voiture, si je veux écouter ma musique, il faudra que je rajoute un smartphone à la facture... Ok.

 

Et toutes ces technos augmentent sensiblement le prix des voitures, même non premium; mais c'est un autre débat.

 

Je pense pas que le smartphone soit obligatoire pour écouter de la musique...

Si tu as un PC à la maison, un clé USB peut suffire. ;)

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