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1/18ème

[1/18] Récap des championnes du monde d’endurance en image


Steed83
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Bah je suis d'accord, pas d'intérêt particulier pour ce modèle si ce n'est qu'il comble un trou dans mon thème et que je l'ai eu à moitié prix.

Pour les pneus, oui sans doute un peu surdimensionnés mais ça ne choque pas en vitrine. Les photos accentuent les choses.

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PORSCHE 919 Hybrid #2 24H du Mans 2017 Hartley-Bamber-Bernhard

43212784872_c07124ff73_o.jpg919 LM17 by Steed, on Flickr

La Porsche 919 Hybrid version 2017 est dévoilée à Monza le 31 mars. Même si la monocoque est restée inchangée, 60 à 70% du prototype allemand sont nouveaux !

Cela se voit bien sur l’aérodynamisme, ainsi les arches de roues, les pontons, la face avant sont totalement différents. Plus de rétroviseurs à l’extérieur non plus, le système de rétrovision est intégré dans les ailes avants.

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43212744652_3f505f8f93_o.jpgIMG_3750 by Steed, on Flickr

Toujours plus efficient également, le moteur thermique est un V4 très compact de 2 litres de cylindrée à double turbo et injection directe de près de 500ch, auquel s’ajoute un moteur électrique délivrant 400 ch couplé à 2 systèmes de récupération d’énergie : un KERS sur les freins avants et un système de récupération des gaz d’échappement. Evidemment la 919 concourt toujours dans la catégorie d’hybridation la plus élevée, disposant ainsi de 8MJ par tour sur le circuit du Mans.

28392830437_f3efeb6198_o.jpgIMG_3751 by Steed, on Flickr

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28392831247_524544e8ed_o.jpg. by Steed, on Flickr

28392832057_9f4d377e8b_o.jpg. by Steed, on Flickr

Pour les deux premières épreuves de la saison, Porsche décide d’utiliser d’emblée son kit aérodynamique « faibles appuis » surtout destiné au Mans.

Résultat le rival japonais Toyota remporte les 6H de Silverstone en avril et les 6H de Spa en mai, avant l’arrivée du WEC dans la Sarthe.

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43212748012_9ee067dbb3_o.jpg. by Steed, on Flickr

Pour ces 24H du Mans, 3ème épreuve du championnat qui se refuse depuis si longtemps à Toyota, la marque nippone engage pour la première fois 3 TS050 qui feront face à seulement 2 919 dans le clan germanique. Le début de course est animé et Toyota domine son sujet dans les premières heures.

Mais les déconvenues vont s’accumuler pour les prototypes LMP1 : problèmes techniques lourds pour le Porsche n°2 et la Toyota n°8 dès le samedi après-midi, accident pour la Toyota n°9, mésentente à la sortie des stands pour la Toyota n°7 et enfin fiabilité provoquant un abandon en piste pour la Porsche n°1 le dimanche matin. Au final, c’est une Oreca 07 LMP2 privée qui est en tête de la course à midi ! Mais malgré son long arrêt pour réparer son système hybride la veille, la Porsche n°2 a pu repartir et va cravacher toute la nuit pour revenir sur la tête.

Et par un scénario totalement improbable, elle va finir par rattraper l’Oreca de tête en début d’après-midi pour remporter la course de justesse. Un calcul rapide nous apprend que si la n°2 avait passé 5 minutes de plus au stand, elle ne finissait que seconde.

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43212742832_986457627c_o.jpg. by Steed, on Flickr

La spirale de réussite va continuer pour la n°2, qui une fois équipée du kit « forts appuis » va dominer les Toyota sur les 3 épreuves suivantes (Nürburgring, Mexico et COTA) et prendre une avance décisive au championnat. Porsche y remporte même 3 doublés sans contestation.

Et même si comme souvent les japonaises seront plus performantes en fin de saison en gagnant à Fuji, Shangai et Barhein, il est trop tard et Porsche est champion du monde des marques pour la troisième année consécutive. Il n’y aura pas de ligne supplémentaire en 2018 car la marque allemande a annoncé au cours de l’été son retrait du WEC en LMP1 à la fin de la saison.

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Y'a pas d'ouvrant sur ta Spark ?

 

 

:p:lol:

Sacré Hugues,

si un jour tu passes pas loin de la maison, il faut vraiment que je te montre l'impact visuel d'une collection au 1/18. Avec ou sans ouvrants :jap: ...

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PORSCHE 962C n°2 1000 km de Brands Hatch 1985 Bell/Stück

Pour la saison 85, l’usine Porsche engage pour la première fois des 962, une évolution qui a débuté l’année précédente en IMSA : Par rapport à la 956, l’empattement est allongé pour permettre l’adoption d’un pédalier derrière l’axe des roues avant.

En devenant « 962 C » (pour groupe C), elle disposera toutefois d’un moteur à double turbo alors que cela est interdit en IMSA.

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Notons que le championnat du monde devient un classement de teams et non de marques, ce qui donne des espoirs aux meilleurs équipes Porsche privées (on en reparlera l'année suivante). Le règlement prévoit cette fois une réduction de 15% de l’allocation en carburant, ce qui ne manquera pas de créer des soucis en cours de saison …

Enfin pour le panneautage, la n°1 sera surnommée « MIX » pour Mass-Ickx, tandis que la n°2 sera nommée « BEST » pour Bell-Stuck.

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30514395207_a669a6eb3c_o.jpg. by Steed, on Flickr

30514397617_7dc3a88550_o.jpg. by Steed, on Flickr

Brands Hatch est le cadre de la 8ème épreuve, et le titre pilotes peut s’y jouer si « BEST » domine « MIX ». Les Lancia sont bien sûr présentes en arbitres, mais aussi les nouvelles Jaguar XJR6 qui ont fait leur début à Mosport.

Si leur V12 trop fragile élimine rapidement les anglaises, c’est un pilote Lancia appelé en renfort, à savoir De Cesaris l’ancien pilote Ligier, qui va décider du sort de la course ...

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31579669118_cfa0c9cf85_o.jpg. by Steed, on Flickr

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Celui-ci trouve le moyen de s'accrocher avec la seconde LC2 de Patrese qui pouvait encore l’emporter, puis avec Jacky Ickx sur la Porsche n°1, offrant ainsi la victoire à la n°2.

Bell et Stuck ont alors 36 points d’avance et ne peuvent être rejoints sur les 2 épreuves restantes.

 

Le team Rothmans-Porsche remporte finalement le titre haut la main, devant le Martini-Lancia et le Joest Racing qui se console avec sa victoire au Mans.

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Bon, je ne suis pas un grand fan des 962 et autres 956 et celle-ci ne va pas me renverser, même si la déco Rothmans est très chouette. La miniature semble tout à fait honnnête et la présentation est très soignée. Bravo John :jap:

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Bon, je ne suis pas un grand fan des 962 et autres 956 et celle-ci ne va pas me renverser, même si la déco Rothmans est très chouette. La miniature semble tout à fait honnnête et la présentation est très soignée. Bravo John :jap:

 

 

Salut Hugues,

 

Un modèle unique, pas si simple à réaliser car il a fallu changer de course (Hockenheim sans les "R...mans" au départ. Et surtout ces fameux R...mans ont été faits sur mesure car ceux existants au 1/18 sont pour des 956 (empattement différent ...).

 

Manque plus que la 956 de 1984 pour avoir les 4 versions "Usine" dhampionnes du monde.

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Ferrari 315 S #535 Taruffi Mille Miglia 1957

Alors que les anglais de Jaguar et Aston Martin ont choisi de rester « raisonnables » dans l’escalade à la puissance avec des 6 cylindres ne dépassant pas les 300ch, chez les italiens de Maserati et Ferrari on ne se fixe pas de limites : Ainsi du côté de Maranello, les V12 à 4 ACT des nouvelles 315/335 Sport atteignent certainement les 360 voire 390ch, tandis que Scaglietti s'est chargé de la carrosserie des nouveaux protos.

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Le recrutement 1957 des pilotes chez les rouges est tout aussi impressionnant avec Hawthorn, Collins, Hill, Musso, Castellotti, de Portago, Trintignant, Gendebien, von Trips ou Taruffi.

Cette 5ème édition du championnat du monde des marques marque également le retour des 24H du Mans au calendrier, pour un total de 7 courses dont les 4 meilleurs résultats seront retenus.

45685462194_d2ba71c37c_o.jpg. by Steed

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Les premières épreuves courues en Amérique (Buenos Aires et Sebring) verront Ferrari, puis Maserati se partager les victoires. Au mois de mai retour en Europe avec l’escale italienne du championnat, à savoir les Mille Miglia :

Bien que les organisateurs aient revu leurs effectifs à la baisse, ce sont 300 participants qui vont s’élancer de Brescia pour près de 1600 km d’une dangereuse compétition sur route. Ferrari y engage 5 voitures d’usine, dont 4 barquettes « sport ». Combien exactement de 315 et de 335, difficile à dire … L’une d’entre elle, la 535, est confiée à Piero Taruffi dont c’est la 13ème participation et qui a promis à son épouse « Si je gagne, j’arrête aussitôt la compétition ».

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45685463094_7f74bfc84c_o.jpg. by Steed

Après les déboires mécaniques de Maserati, la victoire d’une Ferrari ne laissait rapidement aucun doute, mais laquelle ? Peter Collins sur la 534 semble d’abord en mesure de s’imposer quand sa transmission en décida autrement. Taruffi est alors le nouveau leader, avec toutes les autres Ferrari d’usine à ses trousses.

Rien n’est fait, d’autant que la transmission de l’italien donne elle aussi des signes de fatigue et que la 315 S de Von Trips réduit l’écart qui les sépare. Mais Piero s’obstina et remportera la victoire finale (aidé tout de même, comme on l’apprendra plus tard, par la sportivité de Von Trips et les consignes du « Commendatore » …).

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45685463634_30d6876fcd_o.jpg. by Steed

46357901502_215eb58d6b_o.jpg. by Steed

Pourtant ce qu’on retiendra de ces Mille Miglia qui seront les dernières, c’est l’horrible accident d’Alfonso de Portago à 40 km de l’arrivée qui tuant sur le coup ses 2 occupants, emportera également une dizaine de spectateurs dont plusieurs enfants.

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46357903062_da2b45d3b1_o.jpg. by Steed

Ferrari avait repris la tête du championnat mais les jeux étaient loin d’être faits, d’autant que les anglais vont venir semer le trouble avec une victoire pour Aston Martin au Nürbürgring et une autre pour Jaguar au Mans.

Maserati fait durer le plaisir en l’emportant en Suède, et c’est donc à l’issue de la dernière épreuve que nous connaitrons le nom du champion.

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45685467084_129f85c2ba_o.jpg. by Steed

Celle-ci a lieu au Vénézuela au sein de la ville de Caracas. Ce sera un triomphe pour Ferrari après une incroyable succession de drames vécus par Maserati, entre carambolages en piste et voiture en feu dans les stands.

La scuderia se succède ainsi à elle-même et remporte un 4ème titre de champion du monde.

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Salut Hugues,

 

Un peu ancienne pour toi, je me doute :lol:

Cela dit effectivement je suis content de la qualité de cette minia, les détails sont bien réalisés et ça reste à mes yeux un des beaux protos de cette époque.

Reste un prix un peu élevé pour un modèle sans ouvrants, mais bon on a l'habitude avec ce fabricant.

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Fiat 306/2 Bartoletti Alan Mann Racing 1965

Spa 1965

Datant théoriquement de 1956, ce transporteur Fiat nomenclaturé lors de sa vente aux enchères en 2015 comme 306/2, fut transformé chez Bartoletti pour le convoyage de Formule 1 partout en Europe pour Maserati, puis pour le team américain Scarab et enfin brièvement pour Lotus. Il est doté d’un moteur diesel de 11 litres de cylindrée donné pour 180ch, ce qui lui autorise des « pointes » à 90 km/h !

Bon, soyons clair, cette partie de l’historique n’est pas claire !

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De façon certaine cette fois, il sera racheté par Carol Shelby pour la campagne européenne de ses Cobra en championnat du monde 1964. Un axe de roues supplémentaire est ajouté à cette occasion, le poids des coupés américains n’étant pas celui de légères monoplaces … Il fut ensuite repris par le « Alan Mann Racing » dès 1965. Repeint à cette occasion en « guardian blue », en rapport avec la nouvelle couleur des Cobra Daytona qui vont remporter le titre mondial cette année-là.

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46442639471_9221cd1187_o.jpg. by Steed

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Disposant dèjà du modèle Exoto de la gagnante en GT des 12H de Reims (la °26), j’ai choisi de rajouter la seconde voiture du team engagée sur cette épreuve. La n°27 n’existant pas dans le commerce, elle a été réalisée à partir d’une base CMR.

Inconvénient, pas de 3ème modèle à ajouter sur le camion. En tout cas je n’ai pas de document attestant du transport de 3 autos sur cette course.

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32570454958_ab7fbc2187_o.jpg. by Steed

Modèle Norev

Difficile de savoir sur quels documents Norev s'est basé. Tant la déco que la présence des haubans ne se retrouvent pas sur toutes les photos. Ni sur le modèle restauré apparemment.

Sans doute un mélange 1964/65.

Mais ne boudons pas notre plaisir, même s'il est en partie inexact, ce transporteur historique en "jette" vraiment dans une vitrine

:) .

Version restaurée

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