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Le Mans 1967

 

Matra MS630/02 BRM n°30

 

Après un printemps dramatique et une série de contretemps, des forfaits à Spa et au Nurburgring, l’équipe réduit la voilure pour le Mans où seules deux MS630 à l’aérodynamique revue seront inscrites.

Ce sont deux voitures vierges de compétition qui se présentent à la pesée.

 

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Un capot arrière longue queue sera essayé sur la 30 pendant les essais, mais ne sera pas retenu pour la course.

Mais les Matra, malgré la cure d’amaigrissement subie par rapport aux 620 restent très lourdes et notre 30 rend par exemple près de 170kg à la Porsche 907 de Mitter Rindt.

 

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Au milieu du duel Ford Ferrari, la bagarre des 2 litres passe inaperçue. Mais en fait les 907 survolent la catégorie et nos deux MS630 sont juste capables de se mêler aux Porsche 910.

 

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Qualifiée en 27ème position et 4ème de la catégorie 2 litres, la « Jaussaud Pesca » se fera remarquer aux yeux sévères du patron en rentrant au stand dès le premier passage !

En effet Jaussaud, qui a pris le départ, a coincé son harnais dans la portière, qui du coup mal fermée s’est déformée et carrément ouverte dans les hunaudières.

 

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L’auto repart 41ème et après deux heures se retrouve 21ème lorsque la portière droite fait de nouveau des siennes !

Beaucoup de remous dans le stand et finalement après plusieurs tentatives de réparation la voiture ne repartira pas et abandonnera peu avant 22 heures.

 

La seconde auto fera un peu mieux mais ne verra pas non plus le jour se lever…mais c’est une autre histoire.

 

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modèle: Top Model (on fait avec ce que l'on a)

 

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Le Mans 1967

 

Matra MS630/02 BRM n°30

 

Après un printemps dramatique et une série de contretemps, des forfaits à Spa et au Nurburgring, l’équipe réduit la voilure pour le Mans où seules deux MS630 à l’aérodynamique revue seront inscrites.

Ce sont deux voitures vierges de compétition qui se présentent à la pesée.

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/694501/DSCN4146.jpg

 

Un capot arrière longue queue sera essayé sur la 30 pendant les essais, mais ne sera pas retenu pour la course.

Mais les Matra, malgré la cure d’amaigrissement subie par rapport aux 620 restent très lourdes et notre 30 rend par exemple près de 170kg à la Porsche 907 de Mitter Rindt.

 

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Au milieu du duel Ford Ferrari, la bagarre des 2 litres passe inaperçue. Mais en fait les 907 survolent la catégorie et nos deux MS630 sont juste capables de se mêler aux Porsche 910.

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/694501/DSCN4148.jpg

 

Qualifiée en 27ème position et 4ème de la catégorie 2 litres, la « Jaussaud Pesca » se fera remarquer aux yeux sévères du patron en rentrant au stand dès le premier passage !

En effet Jaussaud, qui a pris le départ, a coincé son harnais dans la portière, qui du coup mal fermée s’est déformée et carrément ouverte dans les hunaudières.

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/694501/DSCN4149.jpg

 

L’auto repart 41ème et après deux heures se retrouve 21ème lorsque la portière droite fait de nouveau des siennes !

Beaucoup de remous dans le stand et finalement après plusieurs tentatives de réparation la voiture ne repartira pas et abandonnera peu avant 22 heures.

 

La seconde auto fera un peu mieux mais ne verra pas non plus le jour se lever…mais c’est une autre histoire.

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/694501/DSCN4150.jpg

 

modèle: Top Model (on fait avec ce que l'on a)

 

 

Elle semble réussie cette Top Model, pourquoi ces réserves ?

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C'est vrai que sur la photo elle se défend plutôt pas mal (grace au photographe :sol: ), mais à l'oeil elle a tout de même un pare-brise drôlement bombé (avec un esui-glace qui brasse l'air), les crochets avant transformés en petits pâtés bleus, une peinture un peu grossière, un logo Elf sur la bande rouge,...les petits détails qui font qu'un modèle est réussi ou pas. ;) ...à mes yeux, chacun étant libre par ailleurs d'apprécier ce qui lui plait.

Merci de ton intéret. legendcars.gif.2a759bd66a82033cf81d3ec47230b743.gif

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Le Mans 1968

 

Matra MS630 M n°24

 

Cette 630 03 déjà vue l’année précédente au Mans est équipée cette fois du V12 Matra présenté en janvier par Lagardère.

Elle est rebaptisée MS630 M et se distingue par un empattement allongé de 5,7 cm, des voies arrière élargies de 5 cm, de nouvelles portes s’ouvrant en élytre et un nouveau capot arrière, plus long de 22 cm dessiné par Robert Choulet ingénieur polytechnicien nouvellement recruté.

 

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Le moteur n’étant pas prêt à temps, l’équipe a du faire l’impasse sur les essais préliminaires et la 630M ne courra qu’à Spa en Mai, ou elle sera immédiatement éliminée par la faute d’un allumage allergique à l’humidité.

Heureusement, pour les raisons que l’on connaît, les 24 heures du Mans sont reportés en Septembre et cela permet à Matra de ne pas déclarer forfait, bien que jusqu’au bout le doute ai plané sur sa participation.

 

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Des essais pratiqués le 9 Septembre sur le Bugatti se révèlent très peu concluants. Le moteur limité à 9500 tr/mn par souci de fiabilité ne semble pas rendre l’auto plus performante qu’avec le BRM et dans l’habitacle les pilotes sont incommodés par une chaleur excessive, par des vapeurs d’huile et les gaz d’échappement . Pour couronner le tout un accident survient qui détruit partiellement l’auto.

Le 16 Septembre, de nouveaux essais donneront cette fois plus de satisfaction, la voiture tournant 16 heures d’affilées sans gros soucis.

 

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Ce sont Servoz-Gavin et Pescarolo qui sont choisis pour piloter l’unique Matra présentée au pesage. Celle-ci bien que plus puissante que les Porsche 908, souffre encore d’un poids trop élevé et d’une aéro perfectible l’empêchant de franchir les 300km/h dans les Hunaudières.

Ceci dit Boyer est confiant et comme à son habitude pari sur la régularité et calcul qu’en fonction de la consommation, il faudra récupérer le gros quart d’heure perdu aux stand par rapport aux rivaux en tournant 3’’ au tour plus vite !

 

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Aux essais la 630 est en retrait par rapport aux 908 et autres GT40, mais se qualifie en 6ème position.

Pourtant des le premier tour de course couru sur une piste détrempée, Servoz-Gavin est obligé de rentrer pour réparer l’essuie-glace en panne.

 

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Malgré cela et après une remontée méthodique, la n°24 est pointée en 2ème position peu après 22 heures. Un fol espoir est entrain de naître dans les tribunes du Mans. Mais alors que la pluie a repris, l’essuie-glace rend l’âme alors que Pescarolo est au volant. Servoz prend le relais et après avoir manqué de peu l’accident, ne veut plus conduire dans ces conditions épouvantables.

Alors Pescarolo réveillé par Lagardère reprends le volant vers 5h10 et enchaine trois relais dans des conditions dantesques !

Au lever du jour, alors que la pluie a cessée, la Matra est troisième avec l’Alfa de Giunti-Galli en point de mire !

 

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A trois heures de l’arrivée et après avoir perdu du temps suite à une crevaison en roulant sur les débris d’un concurrent accidenté, Pescarolo est toujours troisième à moins d’une minute de la Porsche 907 de Steinemann-Spoerry à laquelle il reprend du temps. Malheureusement pour les mêmes raisons une nouvelle crevaison survient et cette fois le pneu partant en lambeaux provoque un court circuit sur la batterie et un incendie.

Fin des espoirs des bleus. Pescarolo sera critiqué par Paul Frère qui maintiendra qu’en prenant un peu plus au large il aurait évité les fameux débris et…qui sait ?

 

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Malgré l’immense déception, la légende est en marche, celle de Matra mais aussi celle du grand barbu Pesca !

 

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modèle Bizarre

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Le Mans 1969

 

Matra MS630-650 n°35

 

 

L’analyse des résultats de l’édition 1968, l’immense succès populaire suscité par la chevauchée de Pescarolo sur la 630 et la fusion de Matra Sports avec la maison mère, donnent des ambitions nouvelles à Lagardère : il avance d’un an l’objectif d’une victoire au Mans, ni plus ni moins.

 

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Quatre voitures de modèles différents seront engagées aux 24 heures du Mans, selon les résultats des épreuves de début de saison. La première confrontation de la 640 de Choulet et de la 650 de Boyer est prévue à Spa le 11 Mai. Parallèlement un nouveau châssis de la 630M est également construit.

 

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Le nouveau règlement de la CSI pour les prototypes est une aubaine pour l’équipe qui se nomme dorénavant Matra Elf. En effet la disparition du coffre à bagages et de la roue de secours ainsi que la suppression de la « hauteur protégée », donne naissance à de nouveaux spiders. Boyer avec l’aide de Roland Roy dessine une carrosserie spider et l’adapte sur un châssis de 630.

 

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La nouvelle 630-650 est plus légère et plus stable. Ses réservoirs sont passés dans les bas de caisse, le radiateur d’eau à l’avant et ceux d’huile à l’arrière des flancs qui désormais reçoivent les entrées d’air.

De son coté le V12 n’est pas en reste : il est plus souple, plus puissant, moins gourmand et sera lubrifié par une nouvelle huile développée par Elf, aidant également à une meilleure fiabilité.

 

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Cette auto montée à partir du châssis de la n°30 du Mans 1967, a été terminée la veille du pesage et c’est in extrémis qu’une fuite d’essence sera réparée avant le départ.

C’est l’italien Nanni Galli qui prend le meilleur départ des bleus avant de boucler la première heure en 9ème position juste derrière la 34 de Servoz-Gavin.

 

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Peu avant 18h30, l’anglais Robi Widdows alors au volant rate une vitesse et part en tête à queue au tertre Rouge, abimant l’arrière gauche et perdant du même coup sa 6ème place.

Plus grave un problème d’entrainement de pompe à essence fait stopper Galli dans les Hunaudières. Il parvient à regagner le stand ou la panne aura du mal à être diagnostiquée.

La 35 perdra près d’une heure et demi et sera pointée en 18ème position à la mi-course.

 

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Les pilotes parviennent à remonter la voiture en 10ème position et malgré la perte du premier rapport et une réparation de l’aile arrière gauche coûtant encore 11 minutes, cette Matra reprend encore une place.

Finalement après l’abandon de deux Porsche, elle se classera 7ème, parcourant 330 tours à la moyenne de 185,166 km/h.

 

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et tu verrai quand tu lui parles de Renault................ :D:D:D:D:D:D:D:D:D:D:D

sinon, jolis modèles Orka, y'en a quelques unes que j'aimerai avoir dans ma collec....................

 

 

:lol: ah ? j'n'ai pas essayé. Je le ménage quand même, il est l'un des rares à venir me visiter ici. :ange:

 

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Oui, Bizarre... :) M'avais trompé :)

 

 

Effectivement, j'avais vu quelquepart que la #13 et la #14 de 72 devaient sortir à l'origine en Octobre chez Bizarre.

 

Elles devraient venir bientôt rejoindre ma collection...j'ai reçu aujourd'hui la 660 #31 de 70 :love:

 

bientôt de nouveles photos, mais peut être pas ce we car outre une pièce à parqueter, j'ai commencé à m'occuper un un peu plus sérieusement d'un blog consacré aux modèles réduits du Mans...suis comme ça moi, un peu perso :lol:

 

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Moi j'ai pas pu résister et l'ai acheté hier soir à un petit chinois chez qui est devenu mon second dealer. :) 48 US$ port compris après négo, c'est honnête. :love:

 

 

Bien joué. Les nouvelles qui se trouvent encore dans le commerce, je les prends en général à la BAM au même prix, mais avec une remise de 5% quand la carte de fidélité est pleine.

 

Ceci dit si ton dealer est bon et que tu ne souhaite pas spécialement le garder pour toi, je suis toujours friand de bons tuyaux. :ange:

 

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salut orka racing team, belle collection, commme tu fais du kart, moi aussi j'en fais a l'exterieur avec mon rotax intrepid :D

 

viens voir ma collections de voitures : http://forum-auto.caradisiac.com/automobile-pratique/modelisme-modeles-reduits/sujet6651.htm

 

 

Merci de ton intéret. Pour le kart, en effet c'est mieux en extérieur que sur le tapis du salon :lol::lol::lol:

 

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Le Mans 9 et 10 Juin 1979.

 

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Au soir de sa belle victoire de 1978, Renault annonce qu’elle ne défendra pas son titre et se tourne exclusivement vers la Formule 1.

En écho à cette décision, l’usine Porsche décide à son tour de stopper toute activité sportive officielle pendant un an.

Du coup, les Mirage M10 à moteur Ford engagées par Grand Touring Cars et appuyées par les concessionnaires Ford France font figure de favorites, mais il apparaitra très vite qu’elles sont trop âgées et trop lourdes pour espérer briguer une victoire.

 

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Au dernier moment, Porsche sponsorisée par le pétrolier Essex et piquée par une participation « officielle » de Ford décide de présenter au départ ses deux 936 de 1978.

Mais là encore, manque de préparation et voitures trop lourdes auront raison des espoirs de la marque et de ses pilotes.

 

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Les outsiders pressentis, que sont alors les autres groupe VI comme Dome, Lola ou Rondeau, pècheront par manque de moyens et de préparation, ce qui déterminera leur résultat, à l’exception toutefois de la Rondeau n° 5 qui prendra une jolie 5ème place emportant la victoire en GR VI et prenant date pour la suite.

 

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Mais venons-en à la course.

 

Qualifiée en troisième position en 3'34'86, juste derrière les deux 936 du team Essex par Klaus Ludwig, la 935 n°41 prend un bon départ aux mains de Bill Whittington, qui après seulement douze tours connaît des soucis de consommation et évite l’abandon de justesse. A la fin de la première heure la K3 est pointée en 7ème positon. Occupant la troisième place, elle est alors en grosse bagarre avec la Porsche 935 n°36 du team Gelo et prend la tête à la septième puis à la 11ème heure.

 

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La nuit et la pluie provoquent de gros dégâts et notre K3 poursuit son chemin en évitant tous les pièges et sans soucis majeures.

Pourtant, à 10h35 du matin, le speaker des 24 heures -Jean-Charles Laurens- signale la Porsche 41 arrêtée au poste 55 dans les Hunaudières ! C’est la courroie de la pompe d’injection qui a cédé. Après une première réparation qui lui coûte 31mns, Don Whittington doit stopper à nouveau et cette fois remplacer la courroie défaillante par celle de l’alternateur, perdant encore 35mns.

Arrivant enfin au stand à 11h48, l’auto blessée repartira 20mns plus tard aux mains de Bill, avec trois tours d’avance sur la 935 rouge de Stommelen. La messe est dite, la K3 ne sera plus inquiétée et offre à Porsche sa 5ème victoire aux 24 heures du Mans, assortie d’un triplé puisque trois 935 monopolisent le podium.

 

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Cette belle victoire décriée par certains, est pourtant une consécration méritée pour le Kremer Racing, présent en compétition depuis 1964 et au Mans depuis 1970. En effet Erwin et Manfred Kremer ont alors déjà à leur actif un joli palmarès dont –excusez du peu- une victoire aux 24 heures de Spa 1967, une victoire en GT au Mans 1970 sous le déluge, ainsi que deux victoires de catégorie au Mans en 77 (groupe VI) et 78 (groupe V).

 

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Modèle Spark

 

 

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même si il y avait mauvaise prépa chez Porsche on peut considérer que les conditions atmosphérique épouvantable cette année là ( j' y étais ) on provoquer la perte des groupe 6 dans leurs ensemble en effet pour la même largeur de pneus ( approximative ;) ) les groupe 5 pesait une bonne centaine de kilo de plus et dans ces conditions cela a été un avantage ( ce qui est tres rare j' en conviens )

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Une petite nouvelle arrivée tout droit d'Hong Kong.

 

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Le Mans 15 et 16 Juin 1985

 

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En 1984, l’équipe américaine Group 44 de Bob Tullius a permis à la marque Jaguar d’être à nouveau représentée au Mans avec deux XJR-5 ayant déjà fait leurs preuves aux Etats Unis. Malheureusement, après une prestation prometteuse, les deux autos abandonneront. Celle de Ballot-Lena Watson Adamowicz sera pour sa part victime d’une violente sortie de route après une crevaison due à des débris sur la piste.

 

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Cette année, le grand Claude fait à nouveau partie de l’équipe de Tullius et est associé au boss sur la n°44 (châssis 006) avec Chip Robinson. Les XJR-5 portent toujours les n°40 et 44 et ont surtout subi des modifications de détails par rapport à 1984.

 

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Toujours équipés du fameux V12 de 5,3 litres à injection directe Lucas placé en position centrale arrière, les deux Jaguar bénéficient en outre d’une excellente aéro et d’un châssis moderne et bien conçu. Grâce à ces deux excellentes autos et fort de l’expérience engrangée l’année précédente l’équipe semble fin prête pour redonner un lustre mérité aux couleurs de la marque britannique.

 

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Aux essais la n°44 se qualifie au 16ème rang en 3’35’’32 derrière l’armada des Porsche intouchables et première des non C1 juste devant la voiture sœur pointée à 2’’.

 

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Très régulière en course, elle sera constamment pointée entre la seizième et la douzième place, figurant même un moment en 11ème position trois heures avant l’arrivée, avant d’être dépassée par la Porsche de Jacky Ickx et l’EMKA Aston Martin n°66, toutes deux en pleine remontée. La 44 sera la seule des deux Jaguar à rejoindre l’arrivée, se classant finalement 13ème.

 

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Malgré une course discrète, éclipsée par la domination des Porsche et la fiabilité des Lancia à moteur Ferrari, une inscription en GTP permet à l’équipage de remporter une victoire de classe. Il s’agit de la sixième pour Claude Ballot-Lena, qui, à 49 ans et après cette 20ème participation consécutive, n’en a pas fini d’écrire les glorieuses pages des 24 Heures

 

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modèle Bizarre

 

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57ème édition des 24 Heures du Mans, 10 et 11 Juin 1989.

 

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C'est en 1985 que Peter Sauber, trouvant une oreille attentive à Stuttgart, décide de se lancer dans le grand bain au Mans avec Mercedes. Le châssis coque fabriqué à Inwil sera propulsé par un V8 Mercedes de sept litres suralimenté par deux turbos KKK, qui après un passage chez le préparateur Mader développera 600 ch. Quant à la carrosserie, elle sera étudiée directement dans la soufflerie du célèbre constructeur allemand. La Sauber Mercedes C8 est née.

 

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Après quelques essais à Zeltweg puis Hockheneim, la belle auto blanche progresse régulièrement au cours des essais officiels des 24 Heures du Mans avant de décoller sur la bosse des Hunaudières le jeudi soir. Nielsen alors au volant s'en tire indemne, mais il s'agit là d'un miracle car après avoir effectué un décollage à 360 km/h et plusieurs loopings, la Sauber est retombée sur ses roues...et sur la piste. Néanmoins c'en est fini pour cette année.

En 1986 deux C8 évoluées et "habillées" par Kouros se présentent au départ. Malheureusement les deux belles seront accablées de pépins divers dès le début de course et abandonneront finalement en début de soirée, l'une victime de son moteur, l'autre de sa boite de vitesse.

 

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L'année suivante Peter Sauber est de retour au Mans avec deux nouvelles «Kouros Mercedes» C9. Outre l'injection Bosch Motronic, les flèches pas encore d'argent, arborent une boite Hewland renforcée et des pneus Michelin. Cette fois encore, malgré les espoirs entrevus, les belles ne rejoindront pas l'arrivée.

 

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1988 marque le réengagement quasi-officiel dans la compétition de Daimler Benz, qui déclare réactiver son service course. Sauber apparaît donc clairement comme le bras armé de Mercedes et la robe des voitures est aux couleurs d'AEG, filiale du groupe allemand. Les C9 qui ont encore progressé tiennent cette fois la dragée haute à la concurrence, mais au Mans, pendant les essais, un accident dû à une crevaison aux causes non élucidées entrainera par mesure de sécurité le forfait des deux autos pour la course.

 

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C'est en 1989 qu'apparaît enfin le logo Mercedes sur la magnifique carrosserie des C9. Les voitures ne cessent de progresser et avant le grand rendez vous du Mans, elles comptent un doublé et deux podiums à Suzuka et Dijon. Cette année, le Mans se court hors championnat et du reste l'équipe Sauber Mercedes précise qu'elle s'y est préparée comme pour une simple troisième manche et que le vrai rendez-vous au Mans est pour 1990 !

 

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Depuis le début de saison le V8 Mercedes délivre plus de 700CV et se montre moins gourmand, grâce notamment à ses quatre soupapes par cylindre. Pour sa part le châssis développé à Inwill est passé à la moulinette des ordinateurs de Stuttgart tout comme l'aéro. Les pneumatiques sont eux aussi l'objet de l'attention particulière de l'équipe ...et de Michelin. Personne n'a oublié la mésaventure de 1988.

 

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Le match à trois « Jaguar Mercedes Porsche » va pouvoir commencer ! Car en effet, aux deux écuries favorites il faut ajouter le team Joest Racing et ses trois Porsche dont un châssis neuf piloté par Wollec et Stuck. Du reste, à l'issue des essais la première ligne est toute allemande (#62,#61), la seconde toute britannique (#1,#3) et la Porsche Joest n°9 occupe la cinquième place de grille. Quant à la Sauber n°63 de Mass Reuter et Dickens, elle prendra le départ en 11ème position.

 

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Dès le départ la bataille fait rage et au deuxième tour Jones sur la Jaguar n°3 prend la tête poursuivie par la Porsche de Wollek dans un train d'enfer. Cette Jaguar restera devant pendant les trois premières heures, puis la Porsche du Joest Racing prendra la tête jusqu'à ce que vers une heure du matin, alors leader avec trois tours d'avances, Hans Stuck perde 15 mns au stand à cause d'une fuite d'eau.

 

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Pendant tout ce temps la Sauber n°63 continue sa remontée, un moment pointée en vingtième position et à deux tours de la tête après avoir ramassé un corps étranger sur la piste vers 17h30, forçant Manuel Reuter à rentrer au ralenti au stand.

 

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Peu après six heures du matin, la Jaguar n°1 est toujours en tête devant les Sauber N°61 et 63 chassées par la Porsche n° 9 revenue en 4ème position à trois tours, mais elle va devoir très bientôt stopper et perdre 52’ pour changer sa boite de vitesse.

 

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Malgré deux voitures en tête aux deux tiers de la course Peter Sauber sait qu’il ne peut encore se détendre, surtout avec le faible écart séparant Stanley Dickens de Mauro Baldi. Et malheureusement il a raison car ce dernier fait un tout droit à la chicane Dunlop. Pas trop de dégâts mais suffisamment pour nécessiter un passage aux stands et laisser la tête à son compagnon d’écurie sur la n°63.

 

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L’ordre des voitures de tête restera alors le même jusqu’à l’arrivée. La Sauber Mercedes n°63 remporte la victoire devant sa sœur d’écurie, la Jaguar n°1 et la Porsche n°9 du Joest Racing.

La troisième Sauber termine quant à elle en 5ème position consacrant l’écurie et démontrant une belle fiabilité, que l’on n’attendait peut être pas à ce niveau.

 

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modèle HPi

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Ferrari 365 GTB 4 n°37 / Le Mans 1972

 

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Après l’impressionnante démonstration de Porsche l’année précédente et l’absence de Ferrari officielles, 1972 offre un grand bol d’air au sport automobile Français avec la première victoire d’une « bleue » depuis 1950.

L’autre grand vainqueur de cette 40ème édition n’est autre que Ferrari. En effet le gros potentiel des GTB 4 « Daytona » entrevu l’année dernière avec la voiture du NART malheureusement pas encore homologuée en GT, se confirme.

 

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Ce ne sont donc pas moins de neuf Daytona qui se présentent sur la grille de départ en cette après midi du 10 Juin 1972 : trois pour les américains du NART, deux pour l’importateur français Charles Pozzi, deux également pour les suisses de la Scuderia Filipinetti, une pour les belges de l’Ecurie Francorchamps ainsi que pour les anglais de Maranello Concessionnaires.

 

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Les Daytona vont écraser la concurrence en prenant les cinq premières places du classement des GT, la première d’entre elles – une française aux mains d’Andruet / Ballot-Lena – se classant même cinquième du général.

 

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Notre GTB 4 anglaise aura moins de chance. En effet correctement qualifiée en 27ème position, puis navigant aux alentours de la 20ème place aux mains des anglais Peter Westbury et John Hines, elle sera trahie par son moteur dès la neuvième heure de course.

 

Il est à noter que cette Ferrari est équipée d’une conduite à droite.

 

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modèle RedLine

 

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Le Mans 24 et 25 juin 1950

 

Cette deuxième édition d’après guerre va sonner la « revanche des bleus ». En effet la victoire d’une petite –et quasi-inconnue- petite barquette rouge l’année précédente a frappé les esprits et les susceptibilités patriotes. Aussi cette année, la volonté de la marque Talbot associé à la bravoure du pilote-mécano Louis Rosier va être récompensée.

 

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Le succès de l’épreuve est tel, que l’on compte 112 demandes d’inscription et huit nouvelles marques –dont Jaguar dont on reparlera bientôt- parmi les 60 véhicules admis au départ. C’est malgré tout encore une année de transition et peut-être la dernière occasion pour les marques d’avant guerre de briller : c’est notamment le cas des Delahaye, Delage ou Bentley.

 

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Chez Talbot on ne fait pas les choses à moitié et ce sont trois T26C à moteur 4,5 litres qui sont engagées. La T26, apparue en 1946, est en fait une Formule 1, qui sera pour l’occasion grée en biplace sport. Elle est de ce fait un peu plus rapide que les meilleures Ferrari 195 S 2400cc.

 

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La n°5 est pour Louis Rosier et son fils Jean Louis, alors que la 6 est pour le duo Morel-Chambas et la 7 pour Meyrat–Mairesse.

 

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Fort de cette excellente vitesse de pointe, Louis Rosier engagé avec son fils Jean Louis appliquera un plan de circonstance. En effet dès le début de la course, Sommer s’échappe avec sa Ferrari 195S bleu de France. Parti comme un boulet de canon, il battra le record du tour avant de rétrograder pour finalement abandonner à la douzième heure. Derrière, Rosier alors deuxième, gère l’échappée de Sommer, mais une fois celui-ci hors de combat, l’auvergnat accélérera pour se défaire de la menace des Ferrari, Allard et Jaguar. Il bat à son tour le record du tour, puis grâce à son rythme et à sa régularité se met hors de portée de ses poursuivants.

 

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Malheureusement, au petit matin, il doit stopper pour remplacer une rampe de culbuteurs. Le pilote garagiste réparera en 40 minutes et après avoir déjà piloté durant treize heures laissera repartir son fils jean Louis pour reprendre des forces.

 

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Mais Louis veut gagner et deux tours et deux bananes plus loin il reprend le volant et repart à l’attaque. Durant ce temps la voiture sœur de Meyrat-Mairesse mène la danse devant une Jaguar XK120.

Alors 3ème, Louis déborde bientôt la Jaguar de Johnson-Hadley et à 9 heure du matin, reprend la 1ere place à l’autre Talbot, il totalise alors plus de 16 heures au volant.

 

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Peu après 15 heures, le vieux record de distance détenu par Bugatti a vécu et sera battu par les 5 premiers classés.

 

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C’est un succès sans partage des Talbot, qui ont proprement écrasé la concurrence, grâce à des autos très rapides et fiables, emmenées par des pilotes hors paire.

 

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Louis Rosier, pilote et homme d’exception, décèdera six ans plus tard sur l’autodrome de Montlhéry et il faudra attendre 22 longues années pour voir une voiture bleue à nouveau couper la ligne en vainqueur au Mans.

 

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A bientôt les amis.

 

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Merci bcp à tous les deux.

En effet, un hiver un peu tourmenté, mais bon, les beaux jours reviennent (hum hum) et un rayon de soleil m'a conduit vers une boutique ou j'ai craqué pour la p'tite bleue...et une jag que je présenterai bientôt.

Dimanche on a le droit à une première (vrai fausse) confrontation au sommet en avant première du Mans. Avec l'équipage choisi par Audi, on saura vraiment ce que cette R15 plus a dans le ventre...et tenez, perso je pense bien que la vraie fausse Peugeot (que je trouve superbe dans cette livrée) doit être bichonnée de très près par le gros lion.

 

Et puis encore autre chose: qui peux battre Cancelara sur la route de Roubaix ? :lol:

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