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Motorisation, énergie, et environnement

Le topic des VHs électrique / hybride / Hydrogène et autres énergies


Invité §geg572mh
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Invité §geg572mh

25 avril 2013

 

[h1]Distribution d’électricité[/h1][h2]Hautes tensions sur la qualité d’alimentation des Français par QUE CHOISIR[/h2]

 

 

 

 

http://image.quechoisir.org/var/ezflow_site/storage/images/media/images/ouverture-reseau-electrique/4216577-1-fre-FR/ouverture-reseau-electrique_small.jpg

Dans le cadre du débat actuel sur la qualité d’alimentation en électricité des Français au sein de la Commission de régulation de l’énergie (CRE) et du Conseil national du débat sur la transition énergétique, l’UFC-Que Choisir dévoile ce jour son étude alarmante relative aux importantes tensions dans la distribution d’électricité et en appelle aux pouvoirs publics.

Coupures de courant : des écarts de 1 à 10 entre les départements

Si, au national, la croissance du temps de coupure de la dernière décennie (passage de 50 à 200 minutes de coupure de 2002 à 2009) semble enrayée depuis 2010, notre analyse permet en revanche de dénoncer l’extrême disparité existant entre les départements.

Ainsi, alors que les parisiens supportent en moyenne 20 minutes de coupure par an, les habitants du Morbihan en subissent près de 10 fois plus : 195 minutes.

Pire, certains départements, parfois les plus touchés (Morbihan, Loire-Atlantique) voient leur temps de coupure augmenter depuis 4 ans.

Qualité du réseau de distribution : 1,2 milliard d’euros par an à trouver d’ici 2020

De 1992 à 2004, les investissements dans le réseau ont baissé de 50 % entrainant un vieillissement prématuré des installations avec pour conséquence directe la hausse des coupures. Malgré la reprise récente des investissements, ceux-ci restent bien trop faibles pour assurer la qualité du réseau : seulement 826 millions d’euros, alors que le besoin est estimé à 2 milliards d’euros par an d’ici 2020.

Comment ne pas s’étonner d’un tel chiffre alors les consommateurs paient déjà 1,9 milliard d’euros au titre de la taxe sur la consommation finale d’électricité, somme collectée par les communes, mais qui n’est pas forcément affectée au réseau électrique ?

Mécanismes de régulation : bonus pour ERDF… et malus pour les consommateurs

Ce sous-investissement dans la qualité du réseau est dû à la trop grande faiblesse des deux mécanismes d’incitation existant en France. Le dispositif de Bonus/Malus de la CRE se base principalement sur une moyenne nationale du temps de coupure sans prise en compte des disparités territoriales.

En 2011, ERDF a ainsi obtenu un bonus de 7,5 millions d’euros malgré la fracture territoriale déjà décrite. De même, si ERDF doit compenser financièrement les coupures très longues, le niveau de compensation est aujourd’hui trop faible (moins de 10 € pour 48 heures de coupure continue) pour l’inciter à améliorer le réseau, mais aussi pour indemniser le préjudice subi par les clients.

Comparativement, nos voisins Italiens ou Suédois obtiennent des indemnisations 10 à 15 fois supérieures sur un temps comparable.

Au vu de ces éléments, et aux fins de garantir un accès de qualité, pour tous, au réseau électrique, l’UFC-Que Choisir demande :

  • Une plus grande transparence des gestionnaires de réseaux sur l’information diffusée, notamment la fréquence des coupures ou la régularité de la tension délivrée ;
  • La mise en place de mécanismes véritablement incitatifs permettant d’améliorer la qualité d’alimentation et de reconnaitre le préjudice réel subi par les consommateurs.

 

 

 

 

Consultez l'intégralité de notre étude sur l'amélioration de l'information et de l'incitation sur la qualité d'alimentation d'électricité

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Invité §geg572mh

[h1]Livraison de la première Bolloré Bluecar en France[/h1]

 

La Bluecar est surtout connue pour être le véhicule du service d’auto-partage parisien Autolib’.

Mais depuis peu la Bluecar est disponible à la vente pour les entreprises et les particuliers. Le premier exemplaire vient d’être livré ce samedi matin par le grand patron lui-même.

Tout un symbole pour Vincent Bolloré et sa famile, les clés de cette première Bluecar ont été délivrées à Quimper. La ville est le fief originel des Bolloré et de leur ancienne marque phare les papiers OCB.

Cette première Bluecar a été livrée à l’entreprise Bellocq spécialisée dans la création et l’entretien d’espaces verts et de jardins.

Une entreprise aussi verte ne pouvait faire autrement que de rouler en électrique.

Si le premier exemplaire a été livré à une entreprise, Vincent Bolloré explique que « Le premier particulier sera livré dans quelques semaines à Bordeaux ».

L’Alsace a accueilli à bras ouverts la Renault Zoe, la Bretagne devrait quant à elle être une « chasse gardée » de la Bluecar.

La préfecture du Finistère, la commune de Fouesnant, ainsi que la communauté de communes, d’autres municipalités comme Ergué-Gabéric mais également d’autres entreprises devraient recevoir leur Bluecar d’ici plusieurs semaines.

La Bluecar est vendue au prix de 12 000 euros TTC incluant les 7 000 euros de bonus écologique de l’Etat (et hors diverses aides locales possibles).

Elle offre 4 places et possède une autonomie entre 150 et 250 km selon le type de route et la conduite adoptée.

Un modèle découvrable et un modèle commercial (2 places et sans TVA) devraient bientôt être au catalogue.

Source : Ouest-France, Photo : Bolloré

 

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Invité §geg572mh

 

 

http://www.autodeclics.com/dossier/48965-plan_montebourg_un_succes_ou_pas.html

[h1]Plan Montebourg : un succès ou pas ? /[/h1][h2]Véhicules électriques et hybrides : Arnaud Montebourg fâché avec les chiffres[/h2]

Le 20/05/2013 par Laurent Meillaud

 

http://img4.autodeclics.com//images/content/big/plan_montebourg_un_succes_ou_pas.jpg

 

 

Dans un texte publié par le Huffington Post, le ministre du Redressement Productif vante le succès du plan automobile pour les ventes de modèles électriques et hybrides, grâce aux bonus. Sauf que ce n’est pas tout à fait vrai.

Il s’agit en fait d’un droit de réponse. Le bouillant bourguignon semble ne pas avoir goûté un article intitulé « Prime auto écolo : la fausse bonne idée d'Arnaud Montebourg » et signé de notre confrère Michel Holtz.

 

Pourtant, celui-ci ne faisait que reprendre des arguments largement partagés par les experts, à savoir que les bonus pour l’hybride profitent davantage à Toyota qu’à PSA et que le marché de l’électrique ne décolle pas pour autant.

 

Premier motif de satisfaction pour Arnaud Montebourg : les ventes de véhicules hybrides, qui étaient inférieures à 6.000 véhicules sur les quatre premiers mois de l'année 2012, ont dépassé 15.000 véhicules sur les quatre premiers mois de l'année 2013. « Une augmentation de 158,8 % en un an, dans un marché automobile difficile », claironne le ministre.

 

Sauf que le site autoactu.com précisait récemment que les volumes ont reculé en avril (3300 véhicules contre 4500 en mars) et que la part de marché de l’hybride était retombée à 2 %, contre 2,7 % précédemment.

 

Mais qu’importe. Le ministre préfère retenir que derrière Toyota, acteur historique de la motorisation hybride, PSA détient 34 % de parts de marché.

Et le locataire de Bercy de se satisfaire de voir que, derrière, Honda, Audi, Opel (ce n’est pourtant pas une hybride mais une électrique avec prolongateur d’autonomie), Mercedes et Kia ne dépassent pas les 6 % de part de marché.

 

Certes, mais c’est surtout chez les étrangers (+ 165 % de croissance pour l’Auris hybride chez Toyota, production doublée chez Volvo pour la V60 Hybrid Plug in) que la demande décolle.

 

« Ces premiers chiffres sur l'année 2013 permettent d'anticiper des ventes de véhicules hybrides sur l'ensemble de l'année de l'ordre de 60.000 unités, en ligne avec nos prévisions de juillet 2012 », écrit Arnaud Montebourg.

Sauf que le plan automobile évoquait un objectif de 70 000 véhicules…

 

En ce qui concerne les ventes de véhicules électriques, le ministre évoque également une « dynamique positive ».

Celles-ci ont doublé sur les quatre premiers mois de l'année 2013 pour atteindre près de 5000 unités (3188 pour les particuliers et 1780 pour les professionnels).

 

"Sur ces ventes, la part des véhicules produits sur le territoire français dépasse 80 %", écrit Arnaud Montebourg qui fait effectivement référence à la Zoé (748 ventes en avril) et à la Kangoo ZE, assemblées respectivement à Flins et Maubeuge mais dont la technologie (moteur allemand, batteries coréennes et japonaises) n’est pas vraiment tricolore.

 

Arnaud Montebourg ne relève pas non plus la disparition des véhicules de PSA (3 immatriculés en avril, contre 41 le mois précédent) des écrans radar, ni la santé très fragile de Mia dont les autos sont fabriquées dans les Deux-Sèvres et qui se vendent beaucoup moins que prévu.

 

Le ministre du Redressement Productif ne fait pas allusion non plus à un chiffre qui avait été avancé lors de la présentation de son plan, en juillet 2012.

La prévision était de 27 000 voitures électriques en 2013, un objectif qui ne sera clairement pas atteint.

Pourtant, l’Etat fait preuve de bonne volonté.

 

Tenu d’acheter 25 % de véhicules propres, il a prévu de faire l’acquisition de 449 véhicules hybrides et de 257 véhicules électriques en 2013.

 

Mais, ce n'est pas suffisant pour faire du "véhicule écologique populaire" une réalité.

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http://www.autodeclics.com/dossier/48965-plan_montebourg_un_succes_ou_pas.html

[h1]Plan Montebourg : un succès ou pas ? /[/h1][h2]Véhicules électriques et hybrides : Arnaud Montebourg fâché avec les chiffres[/h2]

Le 20/05/2013 par Laurent Meillaud

 

Cet article est bourré d'inexactitudes, d’approximations et de chipotage.

Par exemple, depuis quand compare-t-on les chiffres d’immatriculations d’un mois sur l’autre, la règle et la logique veut que l’on se réfère au mois de l’année précédente, donc Montebourg a raison les immatriculations de véhicules « propre » ont augmentés de 158,8 % en un an et qui plus est dans marché globale en fort replis.

Pour les hybrides , il a aussi raison de dire, que cela profite avant tout a PSA.

Car + 165 % de croissance pour l’Auris hybride cela ne veut strictement rien dire vue qu’elle faisait quasiment rien l’année dernière et 165% de quasiment rien ca fait toujours pas grand-chose a ce niveau ce sont les chiffres en volume ou la PDM qui comptent.

Idem en ce qui concerne la V60 Hybrid la production double peut être mais sur de très faible volume et elle ne se vend pratiquement pas en France.

Quand aux Renault Zoé et Kango ZE, plus de 60% de leur valeur ajouté est d’ores et déjà réalisé en France et si les moteurs et les Batteries ne sont pas 100% français, les modules des batteries de la Zoé sont déjà assemblés a Flins et les batteries seront bientôt 100% Françaises, ainsi que les moteurs (non pas 100% allemand puisque l’électronique est Française) qui seront avant la fin de l’année entièrement fabriqué a Cléon.

Enfin la disparition des véhicules électrique de PSA évoqué comme étant un problème pour l’industrie Française, là encore le journaliste est complément a côté de la plaque puisque pour le coup ce sont des véhicules 100% japonais qui justement sont chassé par des véhicules en grande majorité Français.

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Invité §geg572mh

Batteries : Toyota souhaite passer au tout lithium-ion

Publié par Emmanuel Genty | mardi 21 mai 201

Le constructeur japonais Toyota devrait multiplier par six sa production de batteries lithium-ion dans les années à venir, privilégiant cette technologie par rapport au Ni-Mh qui équipe en majorité ses modèles actuels.http://www.cartech.fr/i/edit/2013/05/39790505/batterie-toyota-prius.jpg

Toyota utilise essentiellement pour ses modèles hybrides des batteries Ni-Mh, se convertissant au lithium-ion petit à petit, grâce notamment à l’introduction sur le marché de la Prius+ et de la Prius Rechageable.

Mais cette fois, le constructeur japonais semble décidé à effectuer un virage radical comme l’annoncent le quotidien nippon Nikkei et l’agence Reuters.

Il compte en effet multiplier par six dans les années à venir sa production de batteries lithium-ion, prévoyant avec son allié Panasonic de développer une nouvelle chaîne de production, pour un investissement de 20 milliards de yen (150 millions d’euros environ).

Ce qui devrait porter la capacité de production de ces batteries lithium-ion à 200 000 unités par an.

Cela signifie sans doute que les prochaines générations d’hybrides de Toyota, qu’il s’agisse de la Prius mais aussi de l’Auris et de la Yaris, devraient comme leurs grandes sœurs passer au lithium-ion, une technologie plus intéressante que le Ni-Mh puisque grâce à une densité énergétique supérieure, elle permet de créer des batteries à la fois plus endurantes et moins encombrantes.

Elles offrent également l’avantage de se recharger plus vite.

Toyota a déjà écoulé plus de 5 millions de véhicules hybrides dans le monde depuis le lancement de la première Prius en 1997, dont 1,2 millions rien que sur l’année 2012.

 

et

 

[h1]Infiniti veut harmoniser la recharge par induction[/h1]Publié par Benoît Solivellas | mardi 21 mai 2013

  • Infiniti lancera en 2014 une version luxueuse de la Nissan Leaf.

Cette voiture électrique possèdera un système de recharge par induction que la marque compte bien populariser.

 

http://www.cnetfrance.fr/cartech/i/edit/2012/04/39770484/1-Infiniti-LE-Concept.jpg

Au printemps 2012, Lexus présentait LE Concept, une berline électrique basée sur la Nissan Leaf.

Le concept disposait d’un chargeur sans fil (par induction) et par la suite la marque a rapidement annoncé que la version commerciale, attendue en 2014, possederait elle aussi ce dispositif de charge. Une première parmi les voitures électriques de grande série.

Dans un article publié par le magazine anglais Autocar, Andy Palmer, le patron d’Infiniti, donne quelques précisions sur cette innovation. Pour lui, la recharge par induction est un raffinement qui colle avec l’esprit haut de gamme d’un véhicule premium, dans le sens où ce système évite de manipuler un câble. Il explique aussi qu’il n’existe pas de standard mondial pour l’induction et que son déploiement sera à condiérer suivant les régions du monde.

Infiniti tente également de convaincre les autres constructeurs d'adopter une norme d’induction commune, développée à partir d’une technologie open source.

Une bonne nouvelle qui montre qu'il n’est donc pas encore trop tard pour éviter les querelles de standard qui ont eu lieu avec les prises de recharge.

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Invité §geg572mh

Belgique via FEBIAC /

LE MARCHÉ DES VOITURES ÉLECTRIQUES S’ÉCROULE. FEBIAC TIRE LA SONNETTE D’ALARME (03/05/13)
http://www.febiac.be/images/pix.gifhttp://www.febiac.be/images/pix.gif

 

Durant le premier trimestre de cette année, 96 voitures électriques seulement ont été immatriculées dans notre pays. Au cours de cette même période en 2012, nous en dénombrions pas moins de 237.

Avoisinant les 60%, ce recul concerne en grande partie les voitures 100% électriques et celles qui sont équipées d’un range extender.

Il s’agit d’un contraste violent avec la situation constatée dans nos pays voisins.

Presque partout, les ventes de voitures électriques sont en hausse, principalement en raison d’une politique de soutien cohérente menée par les pouvoirs publics.

 

C’est là que le bât blesse dans notre pays.

Depuis la suppression, fin de l’année dernière par le gouvernement fédéral, de la réduction d’impôt pour les voitures électriques, il appartient désormais aux régions d’établir des mesures de soutien pour les véhicules propres. Pour les sociétés,

c’est le nouveau calcul de l’avantage de toute nature qui constitue un réel frein à l’acquisition de voitures de société électriques.

FEBIAC demande dès lors aux gouvernements régionaux de relever le gant et de travailler au développement d’une prime écologique régionale destinée aux véhicules propres.

Au gouvernement fédéral, FEBIAC propose d’adapter le calcul de l’avantage de toute nature de manière à ce que les véhicules économes et propres ne soient plus pénalisés à cause de leur valeur catalogue supérieure.

“A partir de maintenant : tout le monde sur le pont !

Nos différents gouvernements doivent jouer leur rôle dans le soutien des véhicules propres et électriques, ” commente Luc Bontemps, administrateur délégué de FEBIAC. “Les ventes de véhicules électriques ont grimpé de 40% en Europe de l’Ouest durant les deux premiers mois de cette année. Ce qui est possible en Europe doit l’être également chez nous.”

Pour plus d’informations :

FEBIAC asbl Joost Kaesemans – Directeur de la Communication Tel.: 02 778 64 93

 

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[h1]Renault Zoé : 1,2l aux 100 km ![/h1]

 

Nous avons passé une semaine au volant de la Renault Zoé pour juger cette voiture électrique lors d’un usage quotidien. Elle nous a surpris pas sa consommation électrique record : 11,8 kwh aux 100 km, ce qui correspond à 1,2 litres aux 100 km sur une voiture thermique.

 

 

http://www.cnetfrance.fr/cartech/i/edit/2013/05/39790638/1-renault-zoe.jpg

 

 

Il y a trois ans, l’expérience était assez mitigée. Passer une semaine au volant d’une voiture électrique – c’était une Citroën C-Zero – donnait l’impression de devoir faire quelques concessions sur ses habitudes quotidiennes. Le manque d’autonomie, de place et de confort observés sur cette voiture ne lui permettaient de faire jeu égal avec un modèle thermique.

Avec la Zoé, la voiture électrique franchi une nouvelle étape. Certes, l’autonomie et le temps de ravitaillement ne sont pas ceux d’un modèle essence mais il est maintenant possible de l’envisager comme une voiture quotidienne (hors grands trajets) et sans contrepartie.

1,2l aux 100k et 3,5g de CO2/km

Le gain le plus appréciable reste celui de l’autonomie. Grâce à différents perfectionnements techniques, la Zoé limite sa consommation électrique, nous avons ainsi relevé une moyenne de 11,8 kWh aux 100 km. Pour bien saisir la performance que représente une telle consommation, comparons là à une voiture thermique. Si la Zoé consommait du carburant, elle aurait demandé 1,2 litre aux 100 km puisqu'un litre contient environ 10 kWh d’énergie (un peu moins pour l’essence, un peu plus pour le diesel). Mais prudence sur ce chiffre, car même avec une telle efficacité, la voiture électrique doit fonctionner avec une électricité peu carbonée pour rester compétitive face au thermique en matière d’émission de CO2. Si cette électricité est produite avec une énergie fossile telle que le charbon, le bilan n’est pas bon. En France, la production d’électricité à partir de charbon émet 960g de CO2 par kWh (Source RTE), ce qui donne des émissions de 113g de CO2 par kilomètres sur la Zoé. Avec du fioul, les émissions de CO2 tombent à 94g/km et à 42g/km pour le gaz. En prenant la moyenne française, reposant sur une forte proportion d’énergie nucléaire, les émissions de CO2 de la Zoé ne sont que de 3,5g/km. Dans l'hexagone, le gain face à un véhicule thermique est donc énorme, tant au niveau du CO2 que des polluants atmosphériques.

http://www.cartech.fr/i/edit/2013/05/39790638/2-renault-zoe.jpg

 

Plus de 160 km d’autonomie

Il faut l’avouer, pour arriver à une telle consommation, les 206 km de cet essai ont été parcourus avec une conduite économe... mais réaliste. C'est-à-dire en roulant à la même vitesse que les autres véhicules et en empruntant des voies rapides. Nous avons roulé en mode Eco, pris soin de limiter la vigueur des accélérations et optimisé les décélérations afin de récupérer le maximum d’énergie. Les grincheux auront vite fait de remarquer que cette conduite ne correspond pas à celle de l’automobiliste moyen. C’est exact mais l’acheteur d’une Zoé n’aura probablement pas la conduite de monsieur Toutlemonde, mais on peut parier qu'en ayant fait la démarche d’opter pour une électrique, cet automobiliste sera certainement plus sensibilisé que la moyenne à l’écoconduite.

Nous ne sommes pas allés jusqu’au bout des capacités de la batterie, préférant recharger régulièrement dès que l’occasion se présentait, mais avec la consommation moyenne relevée l’autonomie totale est théoriquement supérieure à 160 km.

http://www.cartech.fr/i/edit/2013/05/39790638/3-renault-zoe.jpg

 

Recherche de bornes sur R-Link

A défaut de d'une borne domestique compatible, la Zoé s’est bien accommodée des stations de recharge publiques parisiennes Autolib. Sur ces points de ravitaillement, un arrêt d’une heure permet de récupérer environ 10% de la capacité de la batterie. Pour trouver ces points de recharge, l'application dédiée sur le système R-Link est parfaitement adaptée et indique même si la prise sera compatible.

Terminons par une petite remarque sur les impressions au volant où on retrouve effectivement la même agilité que celle constatée dans notre essai. Mais à l’épreuve d’une semaine de ville, la Zoé a montré un petit défaut : lors des manouvres de stationnement, l’accélérateur manque de précision et il est difficile de contrôler finement la voiture. Les autres électriques de la marque partagent elles aussi ce problème.

 

 

 

"la voiture électrique doit fonctionner avec une électricité peu carbonée pour rester compétitive face au thermique en matière d’émission de CO2. Si cette électricité est produite avec une énergie fossile telle que le charbon, le bilan n’est pas bon. En France, la production d’électricité à partir de charbon émet 960g de CO2 par kWh (Source RTE), ce qui donne des émissions de 113g"

 

Pas tout a fait exact puisque du puits à la roue même la meilleure des hybrides émet plus de 113g de co2 au km.

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Invité §Yog224lq

"En prenant la moyenne française, reposant sur une forte proportion d’énergie nucléaire, les émissions de CO2 de la Zoé ne sont que de 3,5g/km."

 

C'est faux. Sérieux, on nage en plein bidonnage, là. A ce train là, le mois prochain, la zoé fonctionnera au mouvement perpétuel... Ce journaliste cite RTE comme source, mais ne sait apparemment pas lire les petites lignes. Le graphique cité est avant tout un machin marketing (à base de sophisme de généralisation) pour rassurer le consommateur et le politicien pas regardant. Cf les notes ADEME/RTE sur les contenus CO2eq du kwh électrique en France par usage, en particulier ce qui est relatif à la production électrique marginale.

Par ailleurs, les essais journalistique sur moteurnature.com ou autre montrent une conso un peu supérieure, à 15.5kwh/100. Au final, la zoé consomme 40kwh/100 et 78gCO2eq/km du puits à la roue.

 

EDIT : hybride ou pas, il suffit que la conso réelle passe sous 4.2l/100 essence ou 3.9l/100 gazole pour passer sous les 113gCO2eq/100km. Il me semble que la dernière Yaris hybride y est ou presque, non?

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EDIT : hybride ou pas, il suffit que la conso réelle passe sous 4.2l/100 essence ou 3.9l/100 gazole pour passer sous les 113gCO2eq/100km. Il me semble que la dernière Yaris hybride y est ou presque, non?

 

Pas du puits a la roue, il faut rajouter minimum 30% pour l'extraction du pétrole son transport, son raffinage, etc... et ca peut dépasser 50% si la base est un petrole de mauvaise qualité, par exemple sable bitumineux.

donc une voiture calculé a 100gr est au minimum en réalité a 130gr, largement au dessus d'un VE qui roulerai avec de l’électricité a base de charbon.

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Invité §geg572mh

 

[h1]Renault ZE : Carlos Ghosn préfère optimiser les batteries plutôt…[/h1]publié par Frédéric Euvrard dans Ecologie & Environnement le mai 10, 2013

 

… que de poursuivre les investissements dans le domaine des véhicules électriques équipés d’un système rapide d’échange de batterie autrement dit ceux équipés du système de changement rapide de batteries Better Place. Le patron de Renault affirme que l’avenir est aux véhicules électriques à batteries fixes et permanentes c’est à dire non échangeables dans un lieu autre que les concessions du constructeur automobile.

Cette annonce de ne pas poursuivre les investissements dans ce domaine risque fort de mettre l’entreprise israëlienne encore plus en difficulté qu’elle ne l’est actuellement (depuis l’été 2012) et on voit mal comment les installations danoises et israëliennes permettront à l’entreprise de survivre dans les prochains mois ou prochaines années sachant qu’à ce jour, aucun autre constructeur (en dehors de Renault) n’a montré d’intéret réel pour proposer un VE équipé du système Quick Drop développé par Better Place.

On oubliera pas de mettre au débit de Better Place, des stations d’échange hors de prix puisqu’il faut compter aux environs de 1.000.000€ HT (hors terrain) pour construire un tel équipement. On comparera ce coût élevé alors qu’une borne de recharge de nouvelle génération (type CHAdeMo 50kW) coûte, selon les modèles, entre 10.000 et 20.000€ HT ce qui veut dire qu’un concessionnaire peut avoir sa station de recharge avec 5 bornes pour un budget inférieur à 100.000€ HT tout en proposant un service quasi similaire (recharge en 30 minutes maximum). Par ailleurs on a appris que dans le cadre du partenariat Renault-Better Place, seulement 2000 autos électriques ont été mises en circulation en 2 ans alors que le contrat porte sur un beau package de 100.000 livraisons.

Même si, pour rester politiquement correct, Carlos Ghosn a dit qu’il suspendait provisoirement les investissements dans ce secteur particulier du développement des VE, on comprend à demi mot qu’après l’emballement et le greenwashing des années 2007-2010, il est venu le temps en ces périodes de crise, du réalisme et du pragmatisme économique qui pourrait bien conduire assez vite Better Place à sa perte …

A suivre.

NDLA : Renault annonce pour le salon de Francfort une Fluence ZE « new gen » équipée d’un nouveau pack de batteries d’une plus grande capacité et un moteur moins énergivore pour une consommation électrique qui devrait être réduite ce qui devrait permettre à cette berline ZE d’annoncer une autonomie plus importante.

Via Men’s Up, AVEM, Renault.

 

Lire la suite: Renault ZE : Carlos Ghosn préfère optimiser les batteries plutôt… http://blogautomobile.fr/renau [...] z2SxtahO7i

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26/05/2013 | Mise à jour : 15:30 via JOURNAL DE l'AUTO[h1]Voitures électriques: Better Place, partenaire de Renault, demande sa liquidation[/h1]

 

La compagnie israélo-américaine Better Place, spécialisée dans le rechargement des véhicules électriques et partenaire de Renault-Nissan, a annoncé samedi qu'elle allait demander sa liquidation judiciaire, faute de pouvoir lever des fonds supplémentaires.

Better Place, qui a mis au point un système de changement rapide des batteries des voitures électriques, s'était alliée à Renault en 2008 pour installer les infrastructures permettant une plus grande autonomie à ces véhicules, dont c'est le traditionnel point faible.

Dans un communiqué, Better Place a expliqué avoir saisi la cour du district de Lod, près de Tel-Aviv, "pour demander sa dissolution et la nomination d'un liquidateur temporaire".

Cette décision a été prise "face à son échec à lever des fonds supplémentaires et à l'absence des ressources nécessaires pour poursuivre ses activités", a ajouté Better Place.

Elle survient après que son principal partenaire financier Israel Corp. a annoncé à la Bourse de Tel-Aviv qu'il ne participerait pas à l'actuel tour d'investissement, "étant donné qu'aucun investisseur n'était intéressé".

Fondée en 2007 par l'entrepreneur israélo-américain Shai Agassi, Better Place a depuis 2012 créé un réseau de sites "de rechargement et de changement de batteries" pour les usagers de véhicules électriques en Israël et au Danemark.

Alors que Renault et Better Place tablaient en 2009 sur la commercialisation de 100.000 voitures au moins dans ces deux pays d'ici 2016, seulement 900 voitures équipées de telles batteries circulent en Israël, et bien moins au Danemark, selon la presse israélienne.

Better Place a perdu quelque 850 millions de dollars (657 millions d'euros) depuis sa création, selon cette source.

"Malheureusement, après un an d'opérations commerciales, il a été clair pour nous que malgré de nombreux clients satisfaits, l'adhésion d'un public plus large ne serait pas suffisante et que le soutien des fabricants automobile manquait", a affirmé l'actuel PDG Dan Cohen. Shai Agassi avait démissionné de ce poste en octobre.

Une porte-parole de Renault a indiqué à l'AFP que le constructeur prenait "acte de la décision du conseil d'administration de Better Place".

"Le véhicule électrique est une révolution et Renault explore toutes les pistes technologiques, celles des Quick Drop (stations d'échange rapide de batteries ndlr), comme celles d'autres modes de charge", a-t-elle précisé.

"Cette décision ne remet nullement en cause la stratégie de l'alliance Renault-Nissan en matière de véhicules électriques", a-t-elle souligné.

RENAULT

© 2013 AFP

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Invité §car351Su

c'est quand même dommage l'histoire de la ZOE avec ses batteries louées qui ne conviennent pas à tout le monde, les chargeurs spécifiques d'un côté, et de l'autre le système Better Place...

 

Ce qui aurait été plus intéressant c'est de faire un système d'échange universel (tous modèles voire même multimarques) puisque les batteries sont louées, pas de chagrin de laisser sa batterie neuve et de la changer contre une plus ancienne, possibilité de partir en vacances et de ne pas avoir de soucis d'autonomie...

 

C'est beau de rêver :p

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Invité §ebi210kH

11.8 kwh/100 km c'est un excellent résultat. Avec 25 km/h de moyenne et 200 km en plus de 7 heures c'est de la conduite surtout urbaine et même parisienne, certes

ils ont dû faire un peu de périphérique mais pas grand chose. Les électriques excellent en consommation urbaine car elles ne consomment rien à l'arrêt. Par contre extrapoler cela pour dire que c'est une voiture capable de remplacer une thermique c'est aller un peu vite. Sur route ou autoroute la consommation sera beaucoup moins flatteuse, de même que l'autonomie. La différence entre une C-Zéro et une Zoé se chiffre à environ 30 km de plus, de là à changer radicalement les choses il y a un pas de géant.

 

Par ailleurs, et c'est un gros souci de comparaison, certaines voitures donnent un chiffre de consommation électrique au tableau de bord (la Zoé par exemple),

alors que d'autres non. La seule comparaison efficace est celle du courant débité par le compteur électrique car il inclut les pertes de charge qui peuvent

être variables selon les voitures.

 

C'est un peu l'histoire de l'ordinateur de bord et de ses mesures... ce qui compte c'est le nombre de litres que l'on met effectivement dans le réservoir.

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Invité §geg572mh

 

 

 

 

26/05/2013 | Mise à jour : 15:30 via JOURNAL DE l'AUTO[h1]Voitures électriques: Better Place, partenaire de Renault, demande sa liquidation[/h1]

 

La compagnie israélo-américaine Better Place, spécialisée dans le rechargement des véhicules électriques et partenaire de Renault-Nissan, a annoncé samedi qu'elle allait demander sa liquidation judiciaire, faute de pouvoir lever des fonds supplémentaires.

Better Place, qui a mis au point un système de changement rapide des batteries des voitures électriques, s'était alliée à Renault en 2008 pour installer les infrastructures permettant une plus grande autonomie à ces véhicules, dont c'est le traditionnel point faible.

Dans un communiqué, Better Place a expliqué avoir saisi la cour du district de Lod, près de Tel-Aviv, "pour demander sa dissolution et la nomination d'un liquidateur temporaire".

Cette décision a été prise "face à son échec à lever des fonds supplémentaires et à l'absence des ressources nécessaires pour poursuivre ses activités", a ajouté Better Place.

Elle survient après que son principal partenaire financier Israel Corp. a annoncé à la Bourse de Tel-Aviv qu'il ne participerait pas à l'actuel tour d'investissement, "étant donné qu'aucun investisseur n'était intéressé".

Fondée en 2007 par l'entrepreneur israélo-américain Shai Agassi, Better Place a depuis 2012 créé un réseau de sites "de rechargement et de changement de batteries" pour les usagers de véhicules électriques en Israël et au Danemark.

Alors que Renault et Better Place tablaient en 2009 sur la commercialisation de 100.000 voitures au moins dans ces deux pays d'ici 2016, seulement 900 voitures équipées de telles batteries circulent en Israël, et bien moins au Danemark, selon la presse israélienne.

Better Place a perdu quelque 850 millions de dollars (657 millions d'euros) depuis sa création, selon cette source.

"Malheureusement, après un an d'opérations commerciales, il a été clair pour nous que malgré de nombreux clients satisfaits, l'adhésion d'un public plus large ne serait pas suffisante et que le soutien des fabricants automobile manquait", a affirmé l'actuel PDG Dan Cohen. Shai Agassi avait démissionné de ce poste en octobre.

Une porte-parole de Renault a indiqué à l'AFP que le constructeur prenait "acte de la décision du conseil d'administration de Better Place".

"Le véhicule électrique est une révolution et Renault explore toutes les pistes technologiques, celles des Quick Drop (stations d'échange rapide de batteries ndlr), comme celles d'autres modes de charge", a-t-elle précisé.

"Cette décision ne remet nullement en cause la stratégie de l'alliance Renault-Nissan en matière de véhicules électriques", a-t-elle souligné.

RENAULT

© 2013 AFP

 

Ici :

 

http://www.lepoint.fr/auto-addict/business/renault-minimise-l-impact-de-la-faillite-de-better-place-27-05-2013-1672548_649.php

 

Et la :

http://www.lefilauto.fr/actualites-de-l-automobile/1297-court-circuit-entre-renault-et-better-place

 

+ ici :

 

27/05/2013 | Mise à jour : 07:12 via Journal de l'Auto /[h1]Voiture électrique: Renault minimise l'impact de la faillite de Better Place /[/h1]

 

Renault a minimisé lundi l'impact de la faillite de l'israélo-américain Better Place, pionnier du changement rapide de batteries de voitures électriques, qui ne "remet pas du tout en cause" la stratégie du groupe automobile français dans le véhicule électrique.

Le millier de Renault Fluence électriques vendu par la marque au losange à Better Place --essentiellement en Israël, ainsi qu'au Danemark et aux Pays-Bas-- "c'est à peine un peu plus de 1% du volume total" des ventes de véhicules électriques de Renault-Nissan à ce jour, a fait valoir Gilles Normand, directeur des opérations du groupe pour la région Asie-Pacifique.

"Il ne s'agit pas du tout d'une remise en cause de notre stratégie liée au véhicule électrique", a-t-il déclaré. "C'est une des pistes qui ne marche pas, mais le futur du véhicule électrique n'est absolument pas remis en cause".

Renault, qui était partenaire mais pas actionnaire de Better Place, n'a pas souhaité donner le montant de ses investissements dans ce partenariat, pour lequel il a notamment développé une technologie ("Quick Drop" ;) permettant le changement rapide de la batterie du moteur.

L'investissement représente "une part extrêmement limitée" des 4 milliards d'euros consacrés jusqu'en 2015 par Renault-Nissan à l'électrique, domaine où le groupe est leader mondial, a simplement indiqué M. Normand.

En 2009, Better Place et Renault espéraient pas moins de 100.000 véhicules électriques vendus en Israël et au Danemark d'ici 2016, pour des ventes au final 100 fois moindres.

"Quand vous voulez être leader sur un segment, il faut prendre des risques. Lorsque vous ouvrez le chemin d'une innovation aussi importante que le véhicule électrique, il faut surtout pas fermer les portes, au contraire", a plaidé M. Normand.

Renault va désormais "regarder" selon M. Normand s'il abandonne ou non la technologie Quick Drop --dont Better Place était le seul client. "En coordination avec eux, on est en train de travailler pour continuer à assurer le service après-vente, notamment en Israël", a-t-il précisé.

Better Place, qui selon la presse israélienne a englouti 850 millions de dollars depuis sa création par l'entrepreneur Shai Agassi en 2007, disposait d'une cinquantaine de stations (38 en Israël, 17 au Danemark).

Sa technologie, consistant à "faire le plein" en substituant à l'aide d'un robot la batterie vide par une batterie chargée, visait à annuler une des failles de la voiture électrique: devoir la brancher pendant souvent plusieurs heures.

RENAULT

© 2013 AFP

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Invité §geg572mh

 

 

http://www.caradisiac.com/Toyota-propose-une-extension-pour-la-garantie-de-ses-batteries-86943.htm

 

 

Et ici :

 

[h1]Toyota : Une extension de garantie pour les batteries des voitures hybrides[/h1]publié par Frédéric Euvrard dans Actualité, Economie, Vie des marques le mai 27, 2013

 

Nous connaissons tous les fameuses extensions de garantie proposées par les commerciaux lorsque nous allons acheter une voiture neuve ou un véhicule d’occasion récent. +2 ans/+25.000 km, +5 ans/20.000 km, +3 ans/75.000 km et j’en passe tant les variantes et les noms sont nombreux pour ces fameuses extensions de garantie que l’on trouve parfois onéreuses ou peu utiles sauf en cas de pépin important au trentième mois !

Et là on se dit souvent si j’avais su, j’aurais pris cette extension de garantie plutôt que la toujours magique remise de 20% sur les tapis de sol 3D en moquette « Luxus » avec nom du modèle brodé en gris…oui la broderie rouge, ça faisait trop kéké…

Bref, tout ça pour vous annoncer que Toyota va désormais proposer aux clients et aux possesseurs de voitures hybrides de profiter d’une extension de garantie pour les packs de batteries des Auris, Prius, Yaris de la gamme du constructeur (quid de Lexus ?).

Jusqu’alors Toyota proposait une garantie de 5 ans/100.000 km pour ces hybrides mais maintenant vous allez pouvoir profiter d’une extension de la dite garantie qui pourra aller jusqu’à 5 années supplémentaires et 75.000 km. Pour profiter de cette extension, le propriétaire d’une Toyota hybride devra emmener une fois l’an, son auto chez un concessionnaire Toy’ siglé « Expert Hybride ». Ainsi après contrôle de l’état des batteries, s’il n’y a pas de problème ou défaillance, il suffira de souscrire une extension de garantie à l’année (avec 15.000 km) qui pourra être renouvelée 4 fois. Cette opération est liée à la voiture et non au nom sur la Carte Grise, ce qui veut dire qu’une Prius achetée d’occasion pourra en profiter si elle a moins de 5 ans.

Le coût de cette extension de garantie à l’année est en fait le coût du diagnostic annuel Expert Hybride c’est à dire 35€ HT ou 41.86€ TTC. Ainsi, en imaginant que le prix du diagnostic reste figé pendant 5 ans, l’extension totale + 5 ans et +75.000 km (soit au total pour un VN 10 ans/175.000 km) aura un prix de 209.30€ TTC.

Un rappel toutefois, cette nouvelle extension de garantie est uniquement dédiée aux batteries et ne propose pas les mêmes prestations que l’habituelle et classique extension Confort Extracare vendue par le réseau Toyota.

Via Toyota.

 

Lire la suite: Toyota : Une extension de garantie pour les batteries des voitures hybrides http://blogautomobile.fr/toyot [...] z2UZueMHjE

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Invité §geg572mh

[h1]Le gouvernement serait enfin acquis à la charge rapide[/h1][h3]28/05/2013 — Un projet d'envergure nationale à l'étude.[/h3]http://www.moteurnature.com/zvisu/2013/88/charge-rapide.jpgAprès les exemples méritants de la Norvège et de l'Estonie, il apparait que la France songerait elle aussi, enfin, à se doter d'un réseau national de bornes rapides.

Ce réseau serait ambitieux, puisqu'il est question de 5000 bornes.

L'information est donnée par Les échos.

On approuve avec enthousiasme. C'est évident que si on veut vraiment le succès de la voiture électrique, un réseau de charge rapide, efficace et étendu est primordial.

Ce serait le minimum que nulle part sur le territoire métropolitain, on ne puisse être à plus de 40 km d'une borne de charge rapide, et moins que cela dans les zones les plus densément peuplées.

 

Mais derrière cette grande idée, nous sommes plus circonspects devant l'idée d'un opérateur national unique.

Les français sont habitués à l'idée de concurrence pour le ravitaillement de leurs autos.

Si on n'aime pas Esso, on va chez Total et inversement.

La France souffre déjà assez de la mainmise d'EDF et de sa toute puissance.

L'électricité est moins chère aux Etats-Unis (même l'électricité renouvelable), le différentiel entre heures pleines et heures creuses y est plus important, et les heures creuses y sont plus longues.

Alors plutôt que de chercher à créer une nouvelle administration, le gouvernement pourrait réfléchir à ce qui attirerait les investisseurs.

 

Soit par exemple, une totale liberté de fixer les tarifs, et la garantie d'un monopole territorial pendant au moins 10 ans. Les automobilistes sont déjà acquis à l'idée des carburants plus chers sur les autoroutes ou au centre de Paris.

Alors si un entrepreneur était libre de vendre de l'électricité à 3,00 € TTC les 10 kWh (en heures pleines, en moins de 20 minutes), avec la garantie légale de n'avoir aucun concurrent dans un rayon de 10 km pendant une décennie...

Bien sûr, tout cela n'a rien d'idéal, mais quand les finances publiques sont au plus mal, et que le marché de l'électrique est encore balbutiant, il faudra donner de sérieux gages pour appâter l'investissement privé.

 

Laurent J. Masson

 

Rubrique(s) et mot(s)-clé : moteur-electrique-batterie-recharge

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Invité §Yog224lq

L'électricité est moins chère aux Etats-Unis

Peut-être (à vérifier) mais à quel prix? (*)

Réseau vétuste. Plusieurs blackouts massifs que les experts tendent à imputer à leur marché fortement libéralisé

http://www.rfi.fr/actufr/artic [...] _23740.asp

http://fr.academic.ru/dic.nsf/frwiki/1287474

http://usatoday30.usatoday.com [...] tage_N.htm

S'y ajoute tous les évênements 'mineurs' et relativement réguliers. Tant et si bien qu'un pote dans la Silicon Valley et un autre à Boulder en rigolaient faute de mieux en parlant de "tiers-mondisation de la high tech américaine)...

 

C'est sûr qu'en sabrant dans l'entretien du réseau, on arrive sans problème à tirer les prix vers le bas. Ensuite, quand ça lâche en foutant un bazar pas possible, les opérateurs privés n'ont alors plus qu'à qu'à demander des subventions exceptionnelles pour enfin faire (au rabais) les travaux d'entretien pour lesquels ils ont déjà été payés. C'est la magie des "partenariats public-privé"...

 

(*) En fait, c'est une généralisation abusive, une opinion politique du journaliste et non un fait clair et objectif.

La moitié des US paye le kwh >12,5cts

En France, ça va apparemment de 9 à 15,6cts le kwh selon le fournisseur.

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Invité §Yog224lq

Ah, j'oubliais, n'en déplaise aux journalistes en manque total d'objectivité politique, l'électricité française est dans les moins chères d'Europe. Que le gouvernement soit bleu ou rouge ou teinté de vert (ou toute autre couleur de la gay pride)

http://www.google.com/search?q=prix+kwh+europe

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Invité §geg572mh

[h1]L'État veut booster la voiture électrique[/h1]

Le Point.fr - Publié le 27/05/2013 à 23:54 - Modifié le 28/05/2013 à 08:58[h2]L'exécutif souhaite créer un réseau national de bornes de recharge, avec un maillage à l'image des stations-service.[/h2]http://www.lepoint.fr/images/2013/05/27/ok-1514634-jpg_1396724.JPGLe gouvernement veut relancer le secteur des véhicules électrique, en dotant le pays d'un réseau national de bornes de recharge © MOPIC / AWO / SCIENCE PHOTO LIBRARY

http://www.lepoint.fr/images/commun3/sourceafp.png

http://www.lepoint.fr/auto-addict/actualites/les-voitures-electriques-en-perte-de-vitesse-27-05-2013-1672801_683.php

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Invité §geg572mh

[h1]L'usine française de LG Chem attendra une reprise du marché[/h1]Mis à jour le 28 mai 2013, à 14h13 - Publié le 28 mai 2013, à 12h57

http://www.usinenouvelle.com/images/petite_fleche_000000.gifConstruction automobile, Voiture électrique

 

http://www.usinenouvelle.com/mediatheque/3/7/7/000143773_5.jpg

© D.R.

INFOS REUTERS Le projet d'usine de batteries de voitures électriques envisagé en France par le coréen LG Chem est actuellement suspendu en raison du marasme du marché automobile européen, a déclaré mardi le PDG de Renault.

"Le projet d'usine de batteries est toujours là. Nous avons mis comme condition qu'il soit en France, il est vrai que pour l'instant il est gelé compte tenu de la situation du marché", a dit Carlos Ghosn en marge d'une visite du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg à l'usine Renault de Flins (Yvelines).

"Un peu comme tout le monde, quand ils voient le marché européen qui baisse de 10% par an depuis un certain nombre d'années, il y a quand même une petite pause en disant : j'attends que le marché se stabilise ou se redresse avant de lancer cet investissement, ce que nous comprenons", a-t-il ajouté.

Le site de Flins, qui produira à l'horizon 2016 la nouvelle Micra de Nissan, devait également accueillir une usine de batteries, mais ce projet a été annulé.

A la place, Renault a annoncé que LG Chem choisirait la France pour construire sa première usine européenne de batteries, sans précision à ce jour sur le lieu de cette future installation.

(Reuters, par Gilles Guillaume)

 

 

 

http://www.lemagauto.fr/BEI-et-RENAULT-400-millions-d-EUR-pour-les-vehicules-ecologiques_a12300.html

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Invité §Yog224lq

Le montage juridique pourrait ainsi prendre la forme "d'une délégation de service public ou d'un partenariat public-privé, en transposant ce qui se fait pour les hôpitaux ou les prisons" à la recharge des véhicules électriques.

Ben tiens, quand on parle du loup...

 

Une borne (de recharge rapide) coûte de 35 000 à 40 000 euros

Je ne sais plus dans quel topic on m'avait rit au nez quand j'avais évoqué le coût non négligeable pour installer une recharge rapide, en arguant que c'était juste quelques pauvres bouts de cuivre et basta...

 

Ben voilà. Entre 35 et 40k€. Blam.

A titre indicatif, une pompe GNV rapide, c'est 10 à 15k€.

 

Le modèle d'une société publique locale est également envisagé, précisent Les Échos. Mais il reste à gérer la question du financement, sachant qu'une borne coûte de 35 000 à 40 000 euros.

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Invité §geg572mh

[h1]Véhicule électrique : un opérateur national pour gérer 5 000 bornes de recharge publiques ?[/h1]Usine nouvelle Publié le 28 mai 2013, à 11h34

 

 

http://www.usinenouvelle.com/mediatheque/1/1/4/000148411_5.jpg

 

Pour stimuler les ventes de véhicules électriques, l'Etat réfléchirait à confier à un opérateur national la gestion d'un parc de bornes de recharge rapide, 5 000 environ.

 

D'après Les Echos, Bercy attendrait le feu vert de Matignon pour ce projet qui pourrait être financé via les investissements d'avenir.

 

Créer un écosystème favorable à la mobilité électrique.

 

L'Etat envisagerait actuellement la création d'un opérateur national afin de mettre en place et de gérér un réseau dense de bornes de recharge, indique le journal Les Echos ce mardi 28 mai

 

D'après le quotidien, cet opérateur aurait à sa charge la gestion d'un parc de 5 000 bornes environ, capables de recharger un véhicule en moins de 30 minutes.

Le ministère du Redressement productif attendrait le feu vert de Matignon pour lancer ce projet avec une réponse attendue pour cet été.

 

JUSQU'À 200 MILLIONS D'EUROS POUR INSTALLER LES BORNES

Mais en période de restrictions budgétaires, reste à savoir comment serait financée la mise en place de ce réseau. Le coût d'installation d'une borne de recharge rapide représente en effet une dépense comprise entre 35 000 et 40 000 euros, soit un investissement total pouvant atteindre les 200 millions d'euros !

 

Une piste pourrait être d'obtenir l'appui des investissements d'avenir mais encore faut-il que l'Etat trouve un modèle économique viable pour son opérateur.

Toujours d'après le journal économique, ERDF, mais aussi des opérateurs privés comme[/color] Bolloré, qui dispose de 4 000 bornes Autolib’, JC­Decaux,

Veolia, ou encore Vinci seraient candidats à la gestion de ce réseau de bornes de recharge.

Le montage juridique pourrait prendre la forme d’une délégation de service public, d’un partenariat public-privé ou d’une société publique locale, précise Les Echos.

 

RASSURER LE CONSOMMATEUR

Actuellement, les industriels estiment que dans une large majorité les utilisateurs rechargent la batterie de leur voiture à leur domicile ou dans une moindre mesure sur leur lieu de travail.

Mais la mise en place de bornes publiques constitue pour le gouvernement un facteur clé de l'essor de ce type de véhicules.

"D'abord, l'existence d'infrastructures publiques rassure l'usager. Ensuite, cela permet de prolonger l'autonomie des véhicules au-delà de leur rayon d'action sans recharge. Enfin, ces installations publiques permettent aux acquéreurs d'un véhicule électrique de se recharger même si leur domicile n'est pas encore équipé d'un dispositif de charge", expliquait ainsi dans une interview au Monde début avril le ministre du Redressement productif Arnaud Monteboug.

Il estimait alors qu'entre 8 000 et 10 000 bornes de recharge publiques installées par les collectivités locales ou des opérateurs privés seraient disponibles d'ici à la fin de l'année.

Julien Bonnet

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Invité §geg572mh

[h1]Vers un opérateur national pour les véhicules électriques[/h1]

Publié le 28/05/2013 via CCFA

http://www.ccfa.fr/IMG/arton122621.png?1369733593

Le gouvernement souhaiterait relancer le secteur des véhicules électriques en dotant le pays d’un réseau national de bornes de recharge, avec un maillage à l’image des stations-service. D’après LES ECHOS (28/5/13), l’Etat réfléchirait à la création « d’un opérateur dans les infrastructures de recharge », capable de gérer un maillage territorial. Il aurait sous sa responsabilité « environ 5 000 » bornes de recharge rapide pouvant recharger des véhicules en 30 minutes.

ERDF apparaît comme « un candidat naturel » pour la gestion de ce réseau, estime le quotidien, mais cette mission pourrait aussi intéresser Bolloré, Veolia, JC Decaux, voire Vinci. Le montage juridique pourrait prendre la forme « d’une délégation de service public ou d’un partenariat public-privé, en transposant ce qui se fait pour les hôpitaux ou les prisons » à la recharge des véhicules électriques. Le modèle d’une société publique locale serait également envisagé, précise le journal économique, mais il reste à gérer la question du financement, sachant qu’une borne coûte entre 35 000 et 40 000 euros.

L’idée du ministère serait que le projet puisse « être soutenu par les investissements d’avenir », un exercice « complexe », car le véhicule électrique « n’a pas encore démontré son potentiel ». Il s’agirait également de trouver un modèle économique attractif pour l’opérateur désigné.

Le ministère du Redressement productif centralise le dossier, qui devra encore attendre l’arbitrage de Matignon, « à priori d’ici à cet été », croit savoir le journal. (AFP 27/5/13)

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Invité §ebi210kH

Un maillage de bornes rapides... y'a du bon et du moins bon dans ces annonces.

 

.Avoir des bornes rapides sur autoroute et surtout sur route serait une excellente chose

 

.Qu'un véritable maillage existe permettrait d'envisager une mobilité électrique décente, pouvant

se réaliser même si une ou deux bornes sont H.S.

 

.Si cette mesure s'accompagne d'autres sur quelques petits trucs (gratuité stationnement, voies bus, buffet à volonté sol.gif)

 

 

Par contre de beaux écueils aussi :

 

.L'effet d'annonce, la bonne tarte à la crème de la politique française (1/ on annonce à grands frais 2/ on va inaugurer en grande pompe (sic) la superbe borne numéro 1 du réseau, avec la presse, les politicards du coin, serrage de paluches 3/ on ne fait jamais le reste du réseau)... Avec Montebourg aux commandes en plus, aïe.

 

.Mettre la charrue avant les boeufs, l'un des besoins criants c'est un réseau de charge lente, capable d'un petit appoint par-ci par-là, pas indispensable mais capable d'ajouter de l'autonomie et de faire fuir la crainte de la panne... et ça ça fera vendre des caisses électriques : Et pour le prix d'une borne rapide on installe des tas de prises classiques, d'autant que la charge rapide est plutôt nocive à la longévité des batteries.

 

.Le prix de la recharge rapide. Il faut que ce soit payant, à un coût réaliste. Une borne qui balance du 10-15 kwh en 20 minutes ça coûte, c'est un ampérage important. Si l'on veut éviter les VE "opportunistes" sur ces bornes pour au contraire les réserver à ceux qui en ont vraiment besoin pour un trajet long. En recharge domestique 15 kwh coûte environ 1.5 €, si l'on veut que ces bornes soient utilisées réellement pour augmenter l'autonomie, il faut un tarif "dissuasif" vis à vis de la recharge domestique, mais pas dissuasif tout court... 5 € pour 100 km ? De quoi éviter quand même de prendre sa thermique. Et puis il faut viser à ce que ces bornes s'autofinancent, que la nouvelle mobilité ne soit pas payée par ceux qui ne l'utilisent pas et qui se prennent déjà assez de taxes.

 

>> Bref, il y a moyen de faire ça bien, ou pas. Et encore je n'ai pas parlé de lobbies, aller placer des bornes inutiles dans des coins inaccessibles pour faire plaisir à machin, je suis sûr qu'on peut.

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Invité §Yog224lq

(...)

Par contre de beaux écueils aussi :

 

.L'effet d'annonce, la bonne tarte à la crème de la politique française (...)

 

.Mettre la charrue avant les boeufs, l'un des besoins criants c'est un réseau de charge lente (..)

Je plussoie.

Tout ça ressemble beaucoup à ce qui s'est passé pour le GNV (prime, effet d'annonce, une paire de véhicules +/- sérieux de la part des constructeurs français, puis règlementation en impasse sur la charge lente + obstacles sur le GNV publique, suppression de la prime, désintérêt total des constructeurs français).

Continuons néanmoins d'espérer des lendemains qui chantent...

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Invité §Sol751DF

+1 aussi.

Le temps d'un repas au resto et je récupère 50% de la batterie avec les prises classiques mises en place dans certains parkings souterrains

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Invité §geg572mh

[h1]Arnaud Montebourg appelle à développer véhicules électriques et bornes de recharge[/h1]20 contributions

Créé le 28/05/2013 à 18h29 -- Mis à jour le 28/05/2013 à 18h52

 

 

http://cache.20minutes.fr/img/photos/jdn/2013-05/2013-05-28/article_photo_1369758186472-1-HD.jpg

Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, le 27 mai 2013 à Paris FRED DUFOUR AFP

 

[h2]AUTOMOBILE - Le «made in France» attaque un nouveau secteur...[/h2]

Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a incité mardi à développer les véhicules électriques en France, insistant sur la progression d'un réseau national de bornes de recharge.

«Les ventes de véhicules électriques pour les quatre premiers mois de l'année sont en train de dépasser les 5.000 unités» en France, dont 80% fabriquées sur le territoire national, a-t-il déclaré au cours d'une conférence de presse au côté du patron de Renault, Carlos Ghosn.

Les Français peuvent se contenter de la Zoé

Invité à l'usine Renault de Flins (Yvelines), où est fabriquée notamment la voiture électrique Zoé, le ministre a souligné que «85% des Français font moins de 65 km par jour» et «peuvent donc se contenter d'une bonne Zoé et d'une bonne prise» de recharge.

Le gouvernement veut «tenir l'objectif de 8.000 prises de recharge d'ici la fin 2013» et, «en dix mois, nous avons triplé le nombre de prises de recharge ouvertes au public», a affirmé Montebourg, les chiffrant à plus de 6.000 aujourd'hui, contre 1.800 en juillet 2012.

Le ministre s'est dit lui-même «propriétaire satisfait et heureux» d'une Zoé, la première Renault à avoir été entièrement conçue pour être électrique. «Je l'adore, je la préfère à ma voiture de fonction», a-t-il lancé, vantant sa luminosité et ses «capacités d'accélératon et de conduite», en effleurant l'un des modèles assemblés sur la chaîne de montage à l'usine de Flins.

Faire «confiance aux acteurs publics et aux acteurs privés»

De son côté, le patron de Renault a indiqué que son groupe était «engagé sur 4 milliards d'euros jusqu'en 2015 ou 2016 pour développer des voitures électriques», se disant «fondamentalement convaincu que l'électrification des voitures, c'est l'avenir».

Mais il a prévenu que, compte tenu de la situation morose du marché automobileeuropéen, qui connaît sa sixième année de baisse, le projet d'une usine envisagée en France par le groupe coréen LG Chem pour la fourniture de batteries de véhicules électriques en Europe a dû être «gelé pour l'instant».

Pour renforcer le réseau des bornes de recharge, Montebourg a dit faire «confiance aux acteurs publics et aux acteurs privés», comme les autoroutes, les parkings privés, les souterrains, les supermarchés.

Des acteurs privés que nous stimulons politiquement

Concrètement, il a dit avoir obtenu que l'enseigne Leclerc mette à disposition des bornes de recharge rapide dans certains de ses 500 supermarchés et a demandé au patron du groupe Casino, Jean-Charles Naouri, de choisir certains de ses points de vente pour y installer des bornes de recharge rapide ou lente.

«Il y a des acteurs privés que nous stimulons politiquement», a souligné le ministre, en attirant «leur attention sur une nouvelle attitude par rapport à la voiture qui s'installe comme un phénomène de société».

Selon le quotidien économique Les Echos, l'Etat réfléchirait à la création «d'un opérateur dans les infrastructures de recharge», capable de gérer un maillage territorial, à l'image des stations-services.

«Plutôt qu'un opérateur national de grande envergure, nous avons fait le choix de procéder par appels d'offres pour aider les collectivités locales à financer les installations de prises au bon endroit», a indiqué le ministre, appelant les collectivités à «passer un peu plus à l'acte».

Renault a vendu 2.248 exemplaires de sa citadine électrique Zoé au premier trimestre 2013.

La Zoé n'est pas le premier véhicule électrique de la marque au losange puisqu'elle commercialise depuis fin 2011 une version électrifiée de son utilitaire Kangoo, de sa berline Fluence, ainsi que du quadricycle Twizy.

L'usine de Flins, qui emploie 2.604 salariés, a fabriqué plus de 17 millions de véhicules et 18 modèles depuis son ouverture en 1952. Elle produit 620 voitures par jour, dont 80 ZOE, environ 130 Clio III et 400 Clio IV, dont la commercialisation a débuté en octobre 2012.

Elle va produire dès 2016 la prochaine génération de Nissan Micra, avec un objectif de production annuelle de 82.000 véhicules.

Avec AFP

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Invité §geg572mh

Autour de l'auto - 29/05/2013[h3]Pas d’aide au secteur privé pour l’installation de bornes de recharge, selon Arnaud Montebourg[/h3]

 

http://www.autoactu.com/pas-d-aide-au-secteur-prive-pour-l-installation-de-bornes-de-recharge--selon-arnaud-montebourg.shtml

 

 

Le site de Flins annonce un rythme de production de 80 Zoé par jour depuis avril (60/j au premier trimestre), soit une moyenne de 1 600 véhicules par mois.

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Invité §Yog224lq

"Pour Philippe Hirtzman, en charge du dossier, ce refus d’aider les grandes surfaces est une nouveauté mais ne remet pas totalement en cause les aides au secteur privé : "Il est normalement prévu que les acteurs privés sous concession de service public, comme les sociétés d’autoroute ou les parkings, soient aidés", dit-il. Pour les stations-service, l’Etat voudrait en revanche faire prendre en charge une partie des investissements par le fonds d’aide du CPDC. La mise en place du dispositif d'aide au secteur public, s'il n'est pas abandonnée, est prévue avant la mi-2013."

 

Aaaaaah, je vois que le PPP a encore de beaux jours devant lui...

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Invité §ebi210kH

"se contenter d'une Zoé"... belle vision d'une nouvelle mobilité, faudrait penser à atterrir des fois, au pays des gens qui souvent se contentent

d'encore moins bien non.gif.

 

"stimuler politiquement" ? C'est à dire ? Baratiner mais ne pas mettre un rond sur la table ? pfff.gif

 

 

Bref, un non-évènement de plus. Les chaînes de magasins et les managers qui y sentiront un intérêt le feront,

les autres non. Les pétroliers dans leurs stations service ne vont sans doute pas se presser, surtout qu'installer une borne de puissance

dans le même environnement que des hydrocarbures a sans doute quelques contraintes.

 

On aura donc ... ce qu'on aura, un ensemble de sous-réseaux, avec leur propre badge, leurs horaires (parce que la boutique est fermée),

leurs type de prise accepté ou pas (Non, môssieur, ici on aime pas les Chademo !), les concessionnaires de la marque machin qui accepteront

de recharger les voitures de la marque (Non, môssieur, ici c'est Renault, allez crever avec votre Nissan).

 

Baratin, baratin, aucune vision, aucune action, du vent... à part installer des éoliennes au conseil des ministres je ne vois pas quoi faire.

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Invité §Yog224lq

EDIT : hybride ou pas, il suffit que la conso réelle passe sous 4.2l/100 essence ou 3.9l/100 gazole pour passer sous les 113gCO2eq/100km. Il me semble que la dernière Yaris hybride y est ou presque, non?

 

Pas du puits a la roue, il faut rajouter minimum 30% pour l'extraction du pétrole son transport, son raffinage, etc... et ca peut dépasser 50% si la base est un petrole de mauvaise qualité, par exemple sable bitumineux.

donc une voiture calculé a 100gr est au minimum en réalité a 130gr, largement au dessus d'un VE qui roulerai avec de l’électricité a base de charbon.

 

Le puits au réservoir est déjà intégré dans les chiffres que j'ai donné.

=> 4.2l essence /100km correspond à 111gCO2eq/km, sur la base des abaques ADEME et IFP 2006 pour le contenu CO2eq des carburants conventionnels en France.

A priori, la Yaris y arrive dans les même conditions d'utilisation usuelle qu'une zoé (= urbain / péri-urbain)

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Invité §geg572mh

[h1]Comment l'Allemagne va booster les ventes d'électriques /[/h1][h3]29/05/2013 — Deux idées maitresses.[/h3]

http://www.moteurnature.com/actu/uneactu.php?news_id=26987

http://www.moteurnature.com/zvisu/2013/88/elektromobilitat-konferenz.jpg

A l'initiative du gouvernement allemand, il s'est tenu hier et avant-hier à Berlin une vaste conférence sur la mobilité électrique. Angela Merkel, la chancellière, y a réaffirmé l'objectif d'un million de voitures électriques à l'horizon 2020.

En filigrane, on aura entendu lors de cette conférence comment l'Allemagne va s'y prendre pour parvenir à cet objectif.

 

1/ Des super-crédits

Les constructeurs allemands traversent aujourd'hui une passe difficile à Bruxelles du fait de leur spécialité. La voiture allemande moyenne est plus grosse et plus puissante qu'une française ou qu'une italienne, et elle rejette conséquemment plus de CO2. Or, la commission européenne cherche aujourd'hui à réduire drastiquement les émissions de CO2 des produits de chaque constructeur, pris isolément.

 

Quand c'est précisément avec leurs plus gros et plus puissants modèles que les constructeurs allemands font des bénéfices, ce serait ennuyeux d'arrêter cette activité pour vendre des voitures électriques sans aucune marge bénéficiaire (voire même à perte).

Les constructeurs automobiles allemands ont profité de la conférence pour expliquer encore une fois à tous les politiciens présents le besoin de super-crédits dans les calculs européens, de telle manière qu'ils puissent continuer à vendre leurs plus beaux modèles, en compensant leurs fortes émissions par la vente de modèles électriques zéro émission.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/20130521trib000765689/c02-le-lobby-auto-allemand-veut-des-normes-moins-contraignantes.html

 

Il faut s'attendre à ce que les représentants allemands à Bruxelles, défendent cette idée avec plus de véhémence encore.

 

2/ Une fiscalité allégée pour les entreprises

La VDA (l'association des constructeurs automobiles allemands) a demandé exprèssément à ce qu'une entreprise qui achète un véhicule électrique bénéficie d'une fiscalité très allégée par rapport à celle applicable aux véhicules de société essence ou diesel.

La mesure serait particulièrement effective en Allemagne, où les achats des professionnels représentent presqu'un tiers du marché auto national. Cette proposition aurait reçu l'approbation de la chancellière.

Il n'est donc pas question d'un bonus comme en France, mais on notera surtout que pour l'heure, les allemands ne semblent pas croire au succès de la voiture électrique auprès des particuliers. Leurs actions ne leur sont pas destinées.

 

Laurent J. Masson

Rubrique(s) et mot(s)-clé : commerce-industrie voiture-electrique

 

 

 

 

http://www.caradisiac.com/Angela-Merkel-soutient-toujours-la-voiture-electrique-86941.htm

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Invité §geg572mh

[h1]Accélérer sur les bornes de charge rapide sans négliger la charge à domicile / Publié le 29 mai 2013, à 10h02[/h1]http://www.usinenouvelle.com/images/petite_fleche_000000.gifVoiture électrique, Automobile

 

http://www.usinenouvelle.com/mediatheque/8/1/3/000147318_5.jpg

© Pascal Guittet - L'Usine Nouvelle

Le projet du gouvernement de déployer un réseau national de bornes de charge rapide est jugé positivement par les grands électrotechniciens français. Pour Schneider et Legrand, il faudrait aussi accélérer sur la recharge à domicile.

Le gouvernement semble se convertir à la charge rapide. Du moins si l’on en croit Les Echos, qui, mardi 28 mai, indiquaient que l’Etat réfléchissait à la création d’un réseau de quelque 5 000 bornes de charge rapide le long des routes et autoroutes du pays. Ces bornes qui permettent de recharger un véhicule à 80% en moins d’une demi-heure apparaissent bien plus utiles que les bornes dites lentes (recharge en 7-8 heures) prévues par dizaines de milliers sur la voirie dans le plan Borloo .

Outre qu’elles permettraient aux voitures électriques de s’aventurer hors des agglomérations, elles assureraient surtout un rôle psychologique en rassurant le conducteur angoissé par la panne sèche. De quoi lever un frein important à l’essor des véhicules électriques. Nissan en est convaincu, qui a fourni gracieusement une quarantaine de bornes de recharge rapides aujourd’hui installées en France.

LES POUVOIRS PUBLICS DANS LEUR RÔLE

"La charge rapide sécurise, confirme Xavier de Froment, directeur général de Legrand France, et les pouvoirs publics seraient bien dans leur rôle en finançant ces infrastructures." Le coût des bornes rapides est d’environ 40 000 euros, quatre fois plus que leurs petites sœurs plus lentes. La création évoquée par Les Echos d’un opérateur national, public, en délégation ou en partenariat public-privé"serait une excellente initiative", salue Christian Girardeau, à la tête de l’activité véhicule électrique deSchneider Electric. "A l’image du secteur des télécommunications, les infrastructures de recharge des véhicules électriques pourraient se construire autour d’un acteur central, sur le réseau duquel pourront se greffer d’autres opérateurs", poursuit le dirigeant.

Reste que pour Legrand comme pour Schneider, il ne faut pas négliger les bornes de charge dans le résidentiel et le tertiaire. "La recharge dans les bâtiments et les parkings est complémentaire de la charge rapide à l’extérieur, souligne Xavier de Froment, il faut aussi accélérer de ce côté." Pour Schneider, une piste à explorer serait la mise en place d’incitations financières à l’installation de bornes dans le résidentiel et le tertiaire. Pour les particuliers, par exemple, "il y a des incitations pour l’achat du véhicule, mais pas pour celui de la borne", relève Christian Girardeau. Or les études le montrent : environ 90% des recharges sont faites à domicile. Le projet du gouvernement, s’il se confirme, ne pourra ignorer le résidentiel.

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