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peut-on nier le réchauffement climatique ?


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Désolé Softroader mais ta réponse, à mon point de vue, n'est pas correcte.

Premièrement, Je n'ai pas dit de maintenir la tôle à la température "t"

Moi non plus... J'ai dit que si tu fournissais la même quantité d'énergie, tu aurais la même température... Si tu filtres une partie de l'énergie "d'origine", ta température sera donc nécessairement plus basse...

 

Deuxièmement, Je parle de même quantité d'énergie = puissance x temps.

Pour peu que la plaque de verre absorbe une petite partie du rayonnement incident, une certaine quantité de cette énergie sera ré-émise vers l'extérieur et l'autre vers la tôle. Au final la tôle recevra moins d'énergie. Résultat la tôle sera moins chaude !

Sauf que ta tôle reflètera une partie du rayonnement, qui sera aussi en partie à nouveau renvoyé par la plaque de verre vers ta tôle qui en absorbera encore un peu et en reflètera à nouveau, ainsi de suite...

C'est le parfait exemple des nuages... qui en pleine journée, ils diminuent la quantité de rayonnement incident touchant le sol par réflexion vers l'espace d'où les températures plus basses, mais qui la nuit jouent le même rôle en sens inverse, c'est à dire en renvoyant le rayonnement émis par le sol vers le sol, justement...

 

 

Un gaz comme le CO2 capable d'absorber une certaine quantité d'énergie (sur une gamme de fréquence spécifique) joue le rôle d'écran solaire plutôt que celui d'effet de serre.

Sauf que ton gaz, à un moment, il doit bien la restituer l'énergie qu'il a absorbé, un... Et il ne fait en priorité quand il n'est pas soumis à un rayonnement qu'il absorbe... Et c'est là, le problème des gaz à effet de serre... Ils absorbent le rayonnement incident, ils ne le reflètent pas...

Et ce moment, c'est la nuit... C'est même ces températures qui semblent augmenter...

 

Remettre en cause l'effet de serre et la notion de gaz à effet de serre est à mes yeux un mauvais angle d'attaque...

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Invité §Pac464vE
Sauf que ta tôle reflètera une partie du rayonnement, qui sera aussi en partie à nouveau renvoyé par la plaque de verre vers ta tôle qui en absorbera encore un peu et en reflètera à nouveau, ainsi de suite...

 

Et bien voilà un bel exemple d'argument spécieux ! Le fait que le rayonnement fasse du ping pong entre la tôle et la plaque de verre ne multiplie pas l'énergie !

Je répète que la quantité d'énergie est identique avec ou sans plaque de verre. Ce qui trompe c'est que la masse de la tôle à chauffer est très faible par rapport au bombardement thermique du soleil. Ce n'est pas du tout la même chose quand une masse comme la terre est soumise à un rayonnement fini.

 

Sauf que ton gaz, à un moment, il doit bien la restituer l'énergie qu'il a absorbé, un... Et il ne fait en priorité quand il n'est pas soumis à un rayonnement qu'il absorbe... Et c'est là, le problème des gaz à effet de serre... Ils absorbent le rayonnement incident, ils ne le reflètent pas...

Et ce moment, c'est la nuit... C'est même ces températures qui semblent augmenter...

 

Derechef un mauvais argument. Les gaz n'ont pratiquement pas d'inertie thermique. Sur la côte on connaît un phénomène typique de ce fait. Dès le coucher du soleil il y a une brise du large : L'air chaud au dessus de la mer qui vient vers la terre où l'air s'est refroidi rapidement. C'est une fable de croire que l'énergie absorbée le jour est ré-émise la nuit.

 

Ce qu'on sait du CO2 c'est que la molécule absorbe et ré-émet un rayonnement d'une certaine fréquence correspondant à la fréquence de vibration intermoléculaire du CO2 (valable pour tous les gaz tri-atomiques. -voir théorie de la spectroscopie). L'absorption et la ré-émission d'énergie se fait pendant l'exposition au rayonnement. C'est comme une antenne de radio, elle absorbe et ré-émet dans le même temps.

L'énergie absorbée le jour est ré-émise dans toutes les directions, immédiatement. Comme on prétend que l'oxygène et l'azote sont absolument transparents à ce rayonnement, ils ne peuvent se réchauffer. Quel est le comportement du CO2 dès lors ?

 

 

Remettre en cause l'effet de serre et la notion de gaz à effet de serre est à mes yeux un mauvais angle d'attaque...
.

Et pourquoi pas ? Pourquoi la lecture d'un phénomène spectroscopique ne pourrait pas être faite suivant un autre angle.... celui de la thermodynamique par exemple.

 

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Invité §geg572mh

Édition du dimanche 7 novembre 2010

Pyrénées / L'inquiétante fonte des glaciers

http://www.midilibre.com/img/photos/biz/diaporama/1445186/M308glacier.jpg

 

Publié à 7 h  - Mis à jour à 9 h 45 - L’observatoire du changement climatique tire des conclusions alarmantes sur le réchauffement. En 150 ans, 85 % de l’ensemble des glaciers pyrénéens ont fondu ; partout dans le Midi et en Espagne, les vendanges sont, depuis 1990, de plus en plus précoces (15 jours plus tôt à Banyuls, dans les P-O par exemple) ; certaines stations de ski pyrénéennes ont perdu quinze jours d’enneigement - sur une saison de trois mois - depuis 1971 (*). A Ce sont les toutes premières conclusions du nouvel observatoire du changement climatique des Pyrénées, créé en janvier dernier.

 

En un mot, le réchauffement climatique, comme vient de la valider l’Académie des Sciences, est une réalité. Il s’accélère et « l’homme en est la cause 

essentielle ».

 

Serge Planton, responsable du groupe de recherche climatique de l’observatoire et climatologue à Météo France, à Toulouse le confirme : « En un siècle, le réchauffement climatique a été de l’ordre de +1,1 % sur l’ensemble du Sud-Ouest de la France. »

 

Ce qui signifie que le climat de Montpellier a fait un bond de 200 km vers le nord. « C’est aussi, pour demain, l’inconnu : comment les espèces animales et végétales vont-elles s’adapter ? 

Si elles ont suffisamment de temps pour le faire », ajoute Serge Planton. 

Ce dernier précise que « la moyenne montagne est plus touchée car plus sensible que la haute montagne au réchauffement climatique ».

 

Quant à l’avenir annoncé, il fait froid dans le dos. Serge Planton résume : « Les simulations actuelles font état de deux scénarios : dans le plus optimiste, la température moyenne annuelle grimpera de 2,5 °C en France d’ici la fin du siècle, soit un mois d’enneigement en moins pour les stations pyrénéennes. 

 

Et de 3 à 3,5° C pour le scénario le plus pessimiste. »

 

La vérité sera entre les deux. Mais les conséquences à venir sur la faune, la flore et les activités humaines seront considérables. 

Encore une preuve, s’il en fallait une. Accompagnateur de haute montagne et président de l’association pyrénéenne de glaciologie (Moraine), Pierre René mesure la fonte des glaciers depuis dix ans.

« Douze glaciers ont déjà disparu, a calculé ce passionné. En dix ans, l’englacement de ce massif est passé de 5 km2 à 3,5 km2. »

 

Dans le même temps, un rapport de l’Agence européenne de l’Environnement joue les Cassandre.

Les précipitations chutent. Les espèces végétales remontent de trois mètres. « Le réchauffement aurait un effet catastrophique sur les espèces endémiques montagnardes. » Toujours selon ce rapport, 60 % des espèces végétales sont menacées d’extinction, d’ici la fin du siècle. 

Face à la réduction de leur habitat, elles ne seront pas capables de s’adapter, de se déplacer et encore moins de retrouver des conditions climatiques idoines. 

 

Une menace pour les stations de ski

 

L’observatoire du changement climatique  des Pyrénées est né en janvier 2010 « d’une volonté politique », explique Thibault Merz, chargé de mission au conseil régional de Midi-Pyrénées qui préside la Communauté de travail des Pyrénées (CTP) jusqu’à fin 2011. Cette CTP réunit les régions Languedoc- Roussillon, Midi-Pyrénées, Aquitaine, Andorre, Pays Basque espagnol, Navarre, Aragon et Catalogne et est à l’origine de l’observatoire. L’explorateur Jean-Louis Étienne en préside le conseil scientifique. « Cette fièvre chronique de la terre est difficile à faire entendre, dit-il. La température moyenne s’est élevée de 0,8 °C en un siècle. Mais le réchauffement n’est pas perceptible par le corps humain et c’est là tout le problème. » L’observatoire étudie son impact sur le milieu naturel, les écosystèmes et les activités socio-économiques.

 

« C’est un outil d’aide à la décision », précise Thibault Merz. Y compris, peut-être demain, d’aide à la reconversion, notamment dans le tourisme. Car, avec le réchauffement, « les stations de ski de moyenne montagne pourraient s’attendre, demain, à une perte d’un quart de leur chiffre d’affaires ».

 

Olivier SCHLAMA 

 

 (*) La commune de l’Hospitalet-près-l’Andorre (Ariège), sise à 1 400 m, l’a précisément mesuré.

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Invité §Pac464vE

Salut !

Oui bon, phénomène spectaculaire archi-connu.

En un mot, le réchauffement climatique, comme vient de la valider l’Académie des Sciences, est une réalité. Il s’accélère et « l’homme en est la cause

essentielle »

.

 

Réchauffement climatique d'accord, mais je n'aime pas l'auto-flagellation !

Ce que j'étais en train de développer plus haut je le résume ici :

Si le CO2 absorbe le rayonnement de 15 microns de longueur d'onde il le fait aussi bien pour le rayonnement entrant que pour le rayonnement sortant de l'atmosphère.

Si la terre émet dans l'infra-rouge, le soleil émet aussi sur cette longueur d'onde et pas un peu ! :sol:

Conclusion, le jour le CO2 joue le rôle de filtre : il absorbe et ré-émet une part du rayonnement solaire, il nous protège donc, (exactement comme le fait l'ozone d'ailleurs). Comme il y a saturation, il n'influence pas le rayonnement terrestre.

Par contre la nuit, c'est bien un effet de serre pour le rayonnement terrestre qui se réfléchit (un peu) sur ces 0,04 % de CO2 dans l'atmosphère.

Si on fait la balance de ces deux effets le déficit varie selon les saisons. L'effet est intéressant en hiver, où les nuits sont longues => Effet de serre appréciable.

En été, le CO2 nous protège contre les ardeurs du soleil.

Au total c'est kif ! La présence du CO2 a un effet tout à fait neutre si on le rapporte à une année complète ! (Neutralité typique à l'équinoxe).

 

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Invité §Pac464vE

T'auras quand même du mal à démonter ma petite démonstration.

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Sans doute, mais je ne suis pas physicien, ni climatologue, par contre j'ai une serre chez moi, et il y fait plus chaud dedans que dehors, en hivers comme en été, alors que selon ton raisonnement il devrait y faire la même température....

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Invité §Pac464vE

L'exemple de la serre c'est de l'a peu près, du n'importe quoi !

Premièrement, dans ta serre, il n'y a pas de courant d'air.

Plus sérieusement, le verre est transparent au rayonnement visible et ultra-violet mais opaque à l'infrarouge. Ce n'est pas du tout le même fonctionnement dans l'atmosphère.

Comparaison n'est pas raison !

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Certainement, mais ça montre au moins qu'il y a une faille dans ton raisonnement et qu'il existe des systèmes, ou pour une quantité donné d'énergie de rayonnement ou de chaleur qui rentrent, il peut y avoir des quantités différentes qui en sortent selon la natures des matériaux ou des gaz qu'elles ont traverser.

 

De toutes façon la question n'est pas là! L'effet serre est un phénomène démontré, et admis par tout les scientifiques, même par les plus extrémistes des négationnistes anti-rechauffement. La question porte sur le rôle que le CO2 joue dans ce phénomène, et surtout de son accroissement dans l'atmosphère du a l'activité humaine.

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Salut !

Si on fait la balance de ces deux effets le déficit varie selon les saisons. L'effet est intéressant en hiver, où les nuits sont longues => Effet de serre appréciable.

 

C'est ce que je te dis depuis le début...

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Invité §Pac464vE
C'est ce que je te dis depuis le début...

En quelque sorte, oui.... tout compte fait tu as raison mais j'en fais une autre lecture.

J'arrive à la conclusion que le CO2 est neutre question de réchauffement !

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Invité §Pac464vE

Percer a dit

De toutes façon la question n'est pas là! L'effet serre est un phénomène démontré, et admis par tout les scientifiques, même par les plus extrémistes des négationnistes anti-rechauffement. La question porte sur le rôle que le CO2 joue dans ce phénomène, et surtout de son accroissement dans l'atmosphère du a l'activité humaine.

Ce qui est démontré c'est le réchauffement climatique (qui semble marquer le pas récemment).

Ce qui est aussi démontré c'est que le CO2 et les gaz triatomiques (ou plus) absorbent et émettent un rayonnement électromagnétique de fréquence déterminée (voir spectroscopie)

Par contre la notion d'effet de serre est une notion très mal choisie et on l'abandonne doucement.

Quant au rôle du CO2 tu as mon point de vue.... et j'aimerais qu'on me démontre où il y a une erreur dans mon raisonnement. :jap:

 

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Invité §Pac464vE

J'ai écrit plus haut : "La présence du CO2 a un effet tout à fait neutre si on le rapporte à une année complète ! (Neutralité typique à l'équinoxe). "MAIS C'est pas pour autant que le CO2 n'a pas d'influence sur le climat : si, pendant les nuits de l'hiver, le refroidissement est moins marqué, les températures nocturnes sont moins basses et la formation de glace diminue. Ceci pourrait expliquer la diminution de la banquise et des glaciers.

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Invité §jl3733aT

Serge Planton de Météo France me semble bien péremptoire quand il écrit que le recul des glaciers est du au réchauffement sur une période de 150 ans !

 

Qu'en pense les glaciologues qui me semblent un peu plus compétents :

 

CNRS

 

Communiqué de presse du 24 mai 2005

 

http://www2.cnrs.fr/presse/communique/681.htm

 

"Paris, 24 mai 2005

Le recul des glaciers alpins depuis 150 ans : d'abord un manque de neige, ensuite des étés plus chauds

Le recul généralisé des glaciers alpins, depuis 150 ans, serait dû à une diminution de plus de 25% des chutes hivernales de neige, selon des glaciologues du Laboratoire de glaciologie et géophysique de l'environnement (CNRS- Université Joseph Fourier, Grenoble) et de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (ETHZ). Cette analyse résout le paradoxe du recul des glaciers, survenu à une époque où les températures estivales restaient stables. L'augmentation des températures n'a affecté les glaciers alpins qu'à partir du début du 20ème siècle et surtout depuis la décennie 1980.

 

http://www2.cnrs.fr/sites/communique/image/sans_titre_1web.jpg

 

La Mer de Glace en 1995.

 

Les glaciers alpins ont connu une période de forte extension au cours du « Petit Age de Glace » entre les années 1550 et 1850. La Mer de Glace s'étendait 1,8 km plus en aval et atteignait le village des Bois dans la vallée de Chamonix ; le glacier d'Argentière, avec 1,4 km supplémentaires, venait mourir au pied du village d'Argentière. Le paroxysme de l'épisode de progression des glaciers alpins s'est produit entre les années 1760 et 1830. Or, cette dernière phase d'extension du Petit Age de Glace est en complète contradiction avec l'évolution des températures : sur la même période, les températures d'été étaient supérieures à la moyenne de celles du 20ème siècle, ce qui aurait dû conduire à un recul et une perte de volume des glaciers.

 

Les glaciologues montrent que cette avancée de 1760 à 1830 est en réalité survenue suite à une augmentation des précipitations hivernales (supérieures d'au moins 25% par rapport à la moyenne du 20ème siècle). Le phénomène inverse s'est ensuite produit à partir des années 1830-1850 : le recul des glaciers alpins a résulté d'une diminution des précipitations hivernales d'au moins 25%, et non pas d'un réchauffement. En effet les températures d'été demeuraient stables et plus froides que durant les décennies précédentes. L'effet du réchauffement estival ne devient visible qu'à partir du début du 20ème siècle. Depuis, les fluctuations des glaciers alpins sont principalement liées à l'évolution des températures d'été dans les Alpes.

 

Pour parvenir à ces conclusions, les glaciologues ont d'abord déterminé les variations de volume de quelques glaciers français, suisses et autrichiens au cours des deux derniers siècles. De vieilles cartes indiquent les extensions des glaciers dans le passé. Pour les compléter, les chercheurs ont utilisé un modèle d'écoulement de la glace, contraint par les positions maximales des moraines(1), obtenues grâce à des relevés de terrain et des photos aériennes. Ensuite, ces variations de volume ont été simulées à l'aide des températures observées depuis 1760 et de différents scénarios de précipitations.

 

Ces recherches ont bénéficié du soutien du programme ECLIPSE (Environnement et CLImat du Passé : hiStoire et Evolution) du CNRS-INSU.

 

http://www2.cnrs.fr/sites/communique/image/figuresweb.jpg

 

 

Notes :

 

(1) Accumulation de pierres transportées puis déposées par les glaciers au front du glacier ou sur ses rives.

Références :

 

Solving the paradox of the end of the Little Ice Age in the Alps, Vincent C., Le Meur E., Six D. et Funk M., , Geophysical Research Letters, VOL. 32, L09706, doi:10.1029/2005GL022552, 13 mai 2005"

 

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Serge Planton de Météo France me semble bien péremptoire quand il écrit que le recul des glaciers est du au réchauffement sur une période de 150 ans !

 

Qu'en pense les glaciologues qui me semblent un peu plus compétents :

 

CNRS

 

Communiqué de presse du 24 mai 2005

 

http://www2.cnrs.fr/presse/communique/681.htm

 

"Paris, 24 mai 2005

Le recul des glaciers alpins depuis 150 ans : d'abord un manque de neige, ensuite des étés plus chauds

Le recul généralisé des glaciers alpins, depuis 150 ans, serait dû à une diminution de plus de 25% des chutes hivernales de neige, selon des glaciologues du Laboratoire de glaciologie et géophysique de l'environnement (CNRS- Université Joseph Fourier, Grenoble) et de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (ETHZ). Cette analyse résout le paradoxe du recul des glaciers, survenu à une époque où les températures estivales restaient stables. L'augmentation des températures n'a affecté les glaciers alpins qu'à partir du début du 20ème siècle et surtout depuis la décennie 1980.

 

http://www2.cnrs.fr/sites/communique/image/sans_titre_1web.jpg

 

La Mer de Glace en 1995.

 

Les glaciers alpins ont connu une période de forte extension au cours du « Petit Age de Glace » entre les années 1550 et 1850. La Mer de Glace s'étendait 1,8 km plus en aval et atteignait le village des Bois dans la vallée de Chamonix ; le glacier d'Argentière, avec 1,4 km supplémentaires, venait mourir au pied du village d'Argentière. Le paroxysme de l'épisode de progression des glaciers alpins s'est produit entre les années 1760 et 1830. Or, cette dernière phase d'extension du Petit Age de Glace est en complète contradiction avec l'évolution des températures : sur la même période, les températures d'été étaient supérieures à la moyenne de celles du 20ème siècle, ce qui aurait dû conduire à un recul et une perte de volume des glaciers.

 

Les glaciologues montrent que cette avancée de 1760 à 1830 est en réalité survenue suite à une augmentation des précipitations hivernales (supérieures d'au moins 25% par rapport à la moyenne du 20ème siècle). Le phénomène inverse s'est ensuite produit à partir des années 1830-1850 : le recul des glaciers alpins a résulté d'une diminution des précipitations hivernales d'au moins 25%, et non pas d'un réchauffement. En effet les températures d'été demeuraient stables et plus froides que durant les décennies précédentes. L'effet du réchauffement estival ne devient visible qu'à partir du début du 20ème siècle. Depuis, les fluctuations des glaciers alpins sont principalement liées à l'évolution des températures d'été dans les Alpes.

 

Pour parvenir à ces conclusions, les glaciologues ont d'abord déterminé les variations de volume de quelques glaciers français, suisses et autrichiens au cours des deux derniers siècles. De vieilles cartes indiquent les extensions des glaciers dans le passé. Pour les compléter, les chercheurs ont utilisé un modèle d'écoulement de la glace, contraint par les positions maximales des moraines(1), obtenues grâce à des relevés de terrain et des photos aériennes. Ensuite, ces variations de volume ont été simulées à l'aide des températures observées depuis 1760 et de différents scénarios de précipitations.

 

Ces recherches ont bénéficié du soutien du programme ECLIPSE (Environnement et CLImat du Passé : hiStoire et Evolution) du CNRS-INSU.

 

http://www2.cnrs.fr/sites/communique/image/figuresweb.jpg

 

 

Notes :

 

(1) Accumulation de pierres transportées puis déposées par les glaciers au front du glacier ou sur ses rives.

Références :

 

Solving the paradox of the end of the Little Ice Age in the Alps, Vincent C., Le Meur E., Six D. et Funk M., , Geophysical Research Letters, VOL. 32, L09706, doi:10.1029/2005GL022552, 13 mai 2005"

 

 

Oui bon le climat ça varie quoi :W

On l'a toujours su mais maintenant c'est l'homme le responsable, il faut toujours trouver un responsable :blague:

 

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Invité §jl3733aT

Je ne suis pas du tout convaincu par les prévisions du GIEC hein :)

 

Je mentionnais juste que, contrairement à l'article du journal local qui présentait une diminution des glaciers pyrénéens uniquement due au réchauffement, les glaciologues, eux, expliquent le recul rapide des glaciers depuis 150 ans d'abord par un manque de neige.

 

J'ai joint pour preuve un communiqué de presse du CNRS (CNRS- Université Joseph Fourier, Grenoble).

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Invité §LBP084DJ

Bien sûr qu'on peut. Des scientifiques de renom le démontrent de façon très étayée (Claude Allègre notamment).

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L'Académie des sciences a désavoué les climato-sceptiques Le rapport de l'Académie des sciences a été accepté à l'unanimité de ses membres. Claude Allègre y compris :ange:

http://www.sudouest.fr/2010/10/29/l-academie-des-sciences-a-desavoue-les-climato-sceptiques-224646-4723.php

 

 

Je pense que c'est un tout petit peu plus compliqué que ce que les médias annoncent :

 

 

Réaction de Vincent Courtillot au rapport de l'Académie des Sciences

Le rapport de l'Académie des Sciences pour clore le débat sur les origines du réchauffement climatique est caricatural, a estimé le climato-sceptique Vincent Courtillot, directeur de l'Institut de physique du globe, ce vendredi.

 

"Le résumé du rapport est totalement caricatural", a déclaré ce matin sur France Inter Vincent Courtillot, membre de l'Académie des Sciences, mais qui n'a pas voté le texte car il était en Martinique sur la Montagne Pelée.

 

"La science ne se vote pas", a-t-il lancé, ajoutant : "je pense qu'il y a des erreurs dans ce rapport". Parlant d'un "compromis raisonnable", Vincent Courtillot trouve dans ce rapport "12 points d’accord, et 8 points de désaccord".

 

Le débat oppose les tenants de la thèse de la responsabilité des activités humaines dans le réchauffement climatique et les climato-sceptiques, tels l'ex-ministre Claude Allègre et Vincent Courtillot.

Et le géo-physicien de réaffirmer sa thèse sur la fausse perception concernant la température. "Depuis 1975 l'activité solaire décroît alors que la température croît, cette phrase est à mon avis inexacte", a-t-il insisté en faisant référence à l'une des conclusions du rapport de l'Académie publié jeudi.

 

"La température, en fait, elle décroît depuis 12 ans et on a beaucoup de mal à le dire et le rapport ne le fait qu'une seule fois (...) et si on le regarde avec soin, on y voit même des points contradictoires", a-t-il souligné.

 

"La température a augmenté pendant 30 ans, quand est-ce qu'elle s'est arrêtée? en 1998, et il y a 12 ans que cela diminue, donc le débat continue et ce rapport n'est qu'une étape" a conclu le géophysicien.

 

Même Jean Jouzel, vice-président du GIEC pour la France (réchauffiste convaincu) parle d'une "pause" dans le réchauffement depuis une dizaine d'années, alors ! ...

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Je parle uniquement de Claude Allègre, qui lui a bel et bien et bien changé d'avis sur la question et signé le rapport (ce qui en dit long su la crédibilité des "anti-rechaufiste"), ceci juste pour dsouligner que LBP n'a pas choisi le bon, bonhomme dans son exemple.

Même Jean Jouzel, vice-président du GIEC pour la France (réchauffiste convaincu) parle d'une "pause" dans le réchauffement depuis une dizaine d'années, alors !

Alors ça prouve que contrairement a ce que beaucoup disent ici, les rapports du GIEC découlent bien d'analyses de processus, d'expérimentations et de données scientifiques, et non d'un lobby politico écolo acquis d'avance a la cause "réchauffiste ".

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Je parle uniquement de Claude Allègre, qui lui a bel et bien et bien changé d'avis sur la question et signé le rapport (ce qui en dit long su la crédibilité des "anti-rechaufiste"), ceci juste pour dsouligner que LBP n'a pas choisi le bon, bonhomme dans son exemple.

Même Jean Jouzel, vice-président du GIEC pour la France (réchauffiste convaincu) parle d'une "pause" dans le réchauffement depuis une dizaine d'années, alors !

Alors ça prouve que contrairement a ce que beaucoup disent ici, les rapports du GIEC découlent bien d'analyses de processus, d'expérimentations et de données scientifiques, et non d'un lobby politico écolo acquis d'avance a la cause "réchauffiste ".

 

 

Claude Allègre a je pense signé le rapport car ce qui y est écrit n'est pas tout à fait la traduction qu'en font les médias. Pour les médias, la cause est entendue, le réchauffement (dû à l'homme et au CO2) est confirmé.

En fait, c'est beaucoup plus nuancé, de nombreux doutes subsistent quant à la nature de ce réchauffement et la stagnation voire refroidissement depuis une dizaine d'années est confirmée.

En clair, les recherches continuent, mais les affirmations péremptoires du style d'Al Gore (la cause est entendue) font maintenant parties du passé.

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Invité §LBP084DJ

L'Académie des sciences a désavoué les climato-sceptiques Le rapport de l'Académie des sciences a été accepté à l'unanimité de ses membres. Claude Allègre y compris :ange:

http://www.sudouest.fr/2010/10/29/l-academie-des-sciences-a-desavoue-les-climato-sceptiques-224646-4723.php

 

 

 

C'est quoi au juste "l'académie des sciences" l'autorité scientifique suprême? :??:

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Claude Allègre a je pense signé le rapport car ce qui y est écrit n'est pas tout à fait la traduction qu'en font les médias. Pour les médias, la cause est entendue, le réchauffement (dû à l'homme et au CO2) est confirmé.

En fait, c'est beaucoup plus nuancé, de nombreux doutes subsistent quant à la nature de ce réchauffement et la stagnation voire refroidissement depuis une dizaine d'années est confirmée.

En clair, les recherches continuent, mais les affirmations péremptoires du style d'Al Gore (la cause est entendue) font maintenant parties du passé.

 

 

 

Pourtant la conclusion du rapport ne laisse place a aucune interprétation ni ambiguïtés.

 

 

• Plusieurs indicateurs indépendants montrent une augmentation du

réchauffement climatique de 1975 à 2003.

• Cette augmentation est principalement due à l’augmentation de la

concentration du CO2 dans l’atmosphère.

• L’augmentation de CO2 et, à un moindre degré, des autres gaz à effet de serre,est incontestablement due à l’activité humaine...

Et il l'a signé!

 

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Je parle uniquement de Claude Allègre, qui lui a bel et bien et bien changé d'avis sur la question et signé le rapport (ce qui en dit long su la crédibilité des "anti-rechaufiste"), ceci juste pour dsouligner que LBP n'a pas choisi le bon, bonhomme dans son exemple.

Même Jean Jouzel, vice-président du GIEC pour la France (réchauffiste convaincu) parle d'une "pause" dans le réchauffement depuis une dizaine d'années, alors !

Alors ça prouve que contrairement a ce que beaucoup disent ici, les rapports du GIEC découlent bien d'analyses de processus, d'expérimentations et de données scientifiques, et non d'un lobby politico écolo acquis d'avance a la cause "réchauffiste ".

 

Au contraire, cela prouve surtout que le GIEC essaie d'adapter son discours à la réalité des faits, sans changer de ligne de fond :p pour ne pas paraître ridicule et perdre de l'influence, voir pour ne pas faire écrouler l'économie basée sur l'écologie et la réduction des émissions de CO2...

Peut-on m'expliquer pourquoi le réchauffement ferait une pause avec les émissions de CO2, qui elles, ne font pas de pause, si les deux sont directement liés ? :??::ange:

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l'économie basée sur l'écologie et la réduction des émissions de CO2...

c'est une plaisanterie? :lol:

Quoi, le marché du développement durable et de tout ce blabla sur l'écologie, cela n'existe pas ?

Je ne parle pas de toute l'économie, mais d'un pan de celle-ci ! C'est si difficile à comprendre ? Comment essayer d'avoir le beurre et l'argent du beurre, et pourquoi pas le cul de la crémière :D

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Quoi, le marché du développement durable

c'est peanuts, c'est 0,00001% de l'économie mondiale, c'est de l'alibi même les producteurs de pétrole font de l'écologie :ange:

et de tout ce blabla sur l'écologie, cela n'existe pas ?

Le discourt écologique est récupéré un peu par tout le monde, et complétement dévoyé.

au mieux on prend des mesurettes homéopathique qui servent a a amuser le peuple et a récupérer des voies aux élections. Au pire ca sert d'alibi pour que les industriels puissent continuer a polluer tranquille.

Comme tu le dis c'est beaucoup de blabla... et peu d'actions.

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c'est peanuts, c'est 0,00001% de l'économie mondiale, c'est de l'alibi même les producteurs de pétrole font de l'écologie :ange:

 

Le discourt écologique est récupéré un peu par tout le monde, et complétement dévoyé.

au mieux on prend des mesurettes homéopathique qui servent a a amuser le peuple et a récupérer des voies aux élections. Au pire ca sert d'alibi pour que les industriels puissent continuer a polluer tranquille.

Comme tu le dis c'est beaucoup de blabla... et peu d'actions.

:love: Merci de confirmer que tout ce blabla écologique n'est que foutaise :D et de montrer que justement, il y a de gros lobbies qui peuvent faire pression pour que l'on ne casse pas leur reconversion :lol:

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Invité §Pac464vE

Il ne saurait y avoir de certitude en matière de climat ! C'est tout à fait impossible.

En fait on essaie de faire à l'échelle de la planète des mesures de laboratoire ... et on prétend, quelle gageure, pouvoir mesurer l'énergie absorbée par les océans (qui forment le volant thermique de notre planète), incriminer le CO2 dans la foulée et ainsi en déduire le climat future. Quelle imposture ! :D

Celui qui a fait ne fut-ce qu'un tout petit peu de thermodynamique sait que la chasse aux dernières calories pour un bilan thermique c'est déjà tout un art alors qu'on se trouve dans les conditions idéalisées d'un laboratoire !

La science (en fait il ne s'agit que d'un petit groupe de scientifiques) n'a pas assez de recul pour être aussi péremptoire dans ses déclarations actuelles. Elle n'a que quelques outils pour mesurer un système infiniment complexe. Tout au plus peut-on parler de principe de précaution.

On rencontre hélas trop souvent des Cassandres, des faux prophètes et une masse de croyants intégristes - de ces gens qui ont pris leur parti de culpabiliser leurs semblables - mais qui n'en gardent pas moins les mêmes comportements que ceux qu'ils dénoncent.... genre Al Gore pour ne pas le nommer. :q

 

L'air n'a pratiquement aucune inertie thermique, ce n'est pas avec les variations momentanées (et locales) de la température de l'atmosphère qu'on pourra prédire le climat dans 50 ans !

Mesurer l'énergie emmagasinée dans les océans est une gageure !

L'élément déclencheur de l'emballement climatique c'est le soleil ! (Une augmentation de 0,1 % de l'activité du soleil correspond à une doublement de la production mondiale d'énergie . Question réchauffement d'origine humaine on peut repasser )

(Rappelons que dans les années 70 tous les scientifiques craignaient l'arrivée d'une petite ère glacière - autre temps, autre discours).

Fin des années 70 début 80 le soleil était en période de suractivité. C'est à partir de là que tout a commencé.

Années 80 : Grève des mineurs en Angleterre, Tatcher veut casser le mouvement en dénigrant (entre autre) l'énergie provenant du charbon. Elle finance les premières recherches sur l'impact de CO2 dans l'atmosphère.

L'influence du CO2 serait neutre dans le bilan thermique annuel global (voir ma démonstration plus haut).

Le CO2 pourrait tout au plus justifier de nuits d'hiver moins froides et donc d'un déficit de glaciation.

Dans les carottages de glaces on a constaté des périodes de glaciation concomitantes avec une forte concentration de CO2.

Le CO2 serait indirectement responsable du réchauffement par suite de la diminution de l'albédo qu'il provoquerait.

La diminution de l'albédo est un élément important du réchauffement ; de même q'une augmentation de l'hygrométrie.

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On connait le discour c'est du réchauffé négationniste, le problème c'est que comme toujours ça mêle habillement le vrai et le faux! Donc je ne vais pas revenir la dessus tout a été dit et on va pas tourner en rond constamment.

 

Donc si on vous suis il y a un complot a l'échelle planétaire initié par Tatcher, avec la complicité de la grande majorité des scientifiques, climatologues mondiaux, qui selon vos dire sont soit, au mieux des incompétents ( Celui qui a fait ne fut-ce qu'un tout petit peu de thermodynamique sait que....) ca sous entend qu'ils n'ont même pas fais un tout petit peu de thermodynamique, ou soit s'ils le savent et sont au pire sont des escrocs qui travaillent pour des lobbys.

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c'est peanuts, c'est 0,00001% de l'économie mondiale, c'est de l'alibi même les producteurs de pétrole font de l'écologie :ange:

 

Le discourt écologique est récupéré un peu par tout le monde, et complétement dévoyé.

au mieux on prend des mesurettes homéopathique qui servent a a amuser le peuple et a récupérer des voies aux élections. Au pire ca sert d'alibi pour que les industriels puissent continuer a polluer tranquille.

Comme tu le dis c'est beaucoup de blabla... et peu d'actions.

:love: Merci de confirmer que tout ce blabla écologique n'est que foutaise :D et de montrer que justement, il y a de gros lobbies qui peuvent faire pression pour que l'on ne casse pas leur reconversion :lol:

 

Vous pensez ce que vous voulez, mais ne faites pas semblant de ne pas comprendre ce que je veux dire, merci!

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Invité §Pac464vE

 

Posté le 14-11-2010 à 08:37:24 par Percer

 

On connait le discour c'est du réchauffé négationniste, le problème c'est que comme toujours ça mêle habillement le vrai et le faux! Donc je ne vais pas revenir la dessus tout a été dit et on va pas tourner en rond constamment.

 

Donc si on vous suis il y a un complot a l'échelle planétaire initié par Tatcher, avec la complicité de la grande majorité des scientifiques, climatologues mondiaux, qui selon vos dire sont soit, au mieux des incompétents ( Celui qui a fait ne fut-ce qu'un tout petit peu de thermodynamique sait que....) ca sous entend qu'ils n'ont même pas fais un tout petit peu de thermodynamique, ou soit s'ils le savent et sont au pire sont des escrocs qui travaillent pour des lobbys.

 

T8/T9/10 torpilleur coulé ! J'ai fait mouche pourtant ce que je dis est tout à fait vérifiable. En quoi vois-tu du négationnisme là-dedans. Je me suis documenté assez sérieusement, je ne nie pas le réchauffement actuel, je constate comme tout un chacun la fonte des glaciers et je relativise l'impact des gaz à effet de serre.

J'applique dans mon quotidien une attitude respectueuse de mon environnement mais je verse pas dans le catastrophisme et suis assez sage pour ne pas prendre parti pour les réchauffistes.

Les scientifiques ne sont pas omnipotents. Ils ont des pistes qu'ils étudient mais vu la complexité et l'ampleur du phénomène il ne peuvent honnêtement certifier leurs conclusions. Tout doit encore être vérifié , contrôlé, analysé, validé ou invalidé.

Si la messe était dite, comme on l'annonce trop souvent, le Giec n'aurait plus de raison d'être et ça aussi c'est une évidence !

Y a-t-il encore débat sur l'électricité, la physique, la chimie, la biologie ? Non bien sûr, les choses sont claires et universellement acceptées. Si on fait encore des découvertes dans ces domaines elles sont saluées par la communauté scientifique toute entière ... tout au plus parlera-t-on d'éthique dans certains domaines. Ca c'est de la science !

La climatologie est encore largement controversée (et c'est tant mieux). Même si les procédés d'analyse sont scientifiques on ne dispose pas encore d'un modèle mathématique global universellement accepté. Tant qu'on n'y sera pas les avis pour et contre relèvent de la pure spéculation et sont donc dérisoires ! :jap:

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Invité §jl3733aT

On connait le discour c'est du réchauffé négationniste, le problème c'est que comme toujours ça mêle habillement le vrai et le faux! Donc je ne vais pas revenir la dessus tout a été dit et on va pas tourner en rond constamment.

 

Donc si on vous suis il y a un complot a l'échelle planétaire initié par Tatcher, avec la complicité de la grande majorité des scientifiques, climatologues mondiaux, qui selon vos dire sont soit, au mieux des incompétents ( Celui qui a fait ne fut-ce qu'un tout petit peu de thermodynamique sait que....) ca sous entend qu'ils n'ont même pas fais un tout petit peu de thermodynamique, ou soit s'ils le savent et sont au pire sont des escrocs qui travaillent pour des lobbys.

 

 

 

On peut être convaincu et avoir tort !

De plus la plupart des scientifiques qui restent sceptiques ne parlent pas de complot mais de compétence ce qui change tout :D

 

Le point clef c'est que les climatologues rattachés au GIEC proposent des scenarii pour 2100 basés sur des modèles extrapolées d'hypothèses dont certains scientifiques doutent de leur capacité à représenter le modèle climatique de façon suffisamment pertinente.

 

Je ne vois pas en quoi cela fait de ces scientifiques sceptiques des imbéciles. Ce sont plutôt les autres que l'on trouverait présomptueux et même tellement présomptueux que cela en devient suspect.

 

Freeman Dyson, un sceptique, qui a signé la pétition : Global Warming Petition Project (bis repetita) :

 

"j'ai étudié les modèles du climat et je sais ce qu'ils peuvent faire. Les modèles résolvent les équations de la dynamique des fluides et ils font un très bon travail en décrivant les mouvements des fluides dans l'atmosphère et dans les océans. Mais ils font du très médiocre travail en décrivant les nuages, les poussières, la chimie et la biologie du terrain, des exploitations et des forêts. Ils ne sont pas encore au début de la description du monde réel dans lequel nous vivons. Le monde réel est boueux et sale. Il est plein de choses que nous ne comprenons pas encore. Il est plus facile, pour un scientifique, de rester assis dans un bâtiment à air-conditionné à faire tourner des modèles d'ordinateur, plutôt que d'enfiler des vêtements d'hiver et d'aller mesurer ce qui se produit réellement dans les marais et les nuages. C'est pour cela que les experts des modèles climatiques finissent par croire dans leurs propres modèles."

 

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