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Motorisation, énergie, et environnement

Les gaz d'échappement de diesel classés cancérogènes par l'OMS


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Enfin, le moteur diesel est officiellement reconnu malsain par un organisme de santé international, il était temps!

 

 

Les gaz d'échappement des moteurs diesel sont désormais classés parmi les cancérogènes certains pour les humains. C'est le Centre international de recherche sur le cancer (Circ), une agence spécialisée de l'Organisation mondiale de la santé, qui a pris cette décision mardi 12 juin.

En 1988, le Circ, basé à Lyon, avait déjà classé les émissions des moteurs diesel parmi les cancérogènes probables pour l'homme (groupe 2A). Les experts réunis à Lyon ont estimé qu'il y avait à présent suffisamment de preuves montrant qu'une exposition aux gaz d'échappement de ces moteurs est associée à un risque accru de cancer du poumon.

Ils ont donc classé ces gaz dans le groupe des cancérogènes certains pour les humains (groupe 1). Depuis 1971, plus de 900 agents ont été évalués, parmi lesquels plus de 400 ont été classés comme cancérogènes ou potentiellement cancérogènes pour l'homme.

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Invité §eas311JM

En 60km aujourd'hui, j'ai été victime de 3 attaques du poulpe.

 

 

 

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Invité §tot686Cd

Et maintenant l'OMS que va t'il faire (interdire les diesels en france, aligné le prix du gazoil sur le prix de l'essence)?

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On coupe la poire en deux: 1.46€ pour les deux carburants.

 

Vu qu'il y a plus de diesels, on fera rentrer de l'argent dans les caisses de l'état et au passage on récompensera les bons OPVistes.

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Invité §tot686Cd

Je pense qu'on va bien rire dans quelques temps s'ils interdisent le diesel dans les villes (zone zapa et autres) et qu'ils mettent le gazoil au même prix que l'essence.

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Invité §Ree363Xp

Et maintenant l'OMS que va t'il faire (interdire les diesels en france, aligné le prix du gazoil sur le prix de l'essence)?

 

Tu rêves, il y a longtemps que certains composés de l'essence SP et des gaz d'achappement des moteurs essence sont déjà classés cancérogènes, au même titre que d'autres: les poussières de bois, la fumée de tabac, les HAP...

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Tu rêves, il y a longtemps que certains composés de l'essence SP et des gaz d'achappement des moteurs essence sont déjà classés cancérogènes, au même titre que d'autres: les poussières de bois, la fumée de tabac, les HAP...

 

 

par qui? ton association locale lobbyiste pro diesel? jeuinterdit.gif

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Invité §Ree363Xp

 

par qui? ton association locale lobbyiste pro diesel? jeuinterdit.gif

 

 

Par l'OMS bien sûr: 107 agents en groupe 1.

Avant, les gaz d'échappement diesel étaient en groupe 2, ils rejoignent les gaz de l'essence ou la fumée de tabac et c'est pas pour autant qu'on a interdit le tabac ou le SP.

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Invité §zrD350GM

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Rapports de divulgation

 

 

 

[h1]> 2-Effets de l'essence sur la santé[/h1]

 

 

[h2]Quels sont les principaux dangers pour la santé liés à l'inhalation d'essence?[/h2]

L'inhalation de vapeurs d'essence provoque une dépression du système nerveux central (SNC). Aucun effet important ne fut observé, sauf une irritation des yeux et de la gorge, chez des volontaires exposés pendant 30 minutes à des concentrations atteignant 1054 parties par million (ppm) ou pendant 8 heures à 150-270 ppm environ.

Chez des volontaires, de légers étourdissements furent ressentis après exposition pendant 1 heure à 2600 ppm et des étourdissements prononcés après 5 minutes à environ 1100 ppm. D'autres effets sur le SNC peuvent être ressentis : maux de tête, manque d'appétit, somnolence et incoordination. Dans un cas, l'exposition pendant quelques minutes à des concentrations très élevées (plus de 5000 ppm) d'essence pour avions a entraîné une perte de connaissance, de l'oedème pulmonaire (accumulation de liquides dans les poumons qui pose un danger pour la vie) et le décès.

[h2]Qu'arrive-t-il lors d'un contact cutané avec l'essence?[/h2]

Lorsque l'essence N'EST PAS piégée contre la peau, et qu'elle peut s'évaporer librement, elle est probablement légèrement irritante ou non irritante. Cependant, des cas montrent que si elle est piégée contre la peau (vêtements trempés dans l'essence ou contact cutané avec une flaque), pendant une longue période (probablement plus de 30 minutes), de graves brûlures ou une corrosion de la peau peuvent survenir. Il y a absorption à travers la peau, mais elle n'est pas importante.

[h2]L'essence est-elle dangereuse pour les yeux?[/h2]

Des volontaires ont signalé une irritation lors de l'exposition pendant 30 minutes à des vapeurs ayant une concentration de seulement 164 ppm. Des éclaboussures de liquide dans l'œil (les yeux) peuvent causer des douleurs passagères, sans toutefois aucun dommage permanent. Aucun signe d'un irritation importante n'a été observé lors des études réalisées chez le lapin.

[h2]Qu'arrive-t-il en cas d'ingestion accidentelle d'essence (pénétration dans l'appareil digestif)?[/h2]

L'essence a une toxicité modérée par ingestion. Elle peut causer des brûlures de la bouche, de la gorge et de la poitrine ainsi qu'une irritation de l'estomac, des nausées, des vomissements et de la cyanose (décoloration et bleuissement du bout des doigts, des orteils, des lèvres et des autres extrémités). Des symptômes de dépressions du système nerveux central comme la perte de connaissance et le coma peuvent se manifester. L'essence qui est gardée dans la bouche, ingurgitée ou vomie peut être inhalée dans les poumons (aspiration). L'aspiration d'essence, même de petites quantités (moins d'une once), est dangereuse et peut causer le décès. L'essence aspirée peut causer une pneumonite chimique (inflammation des poumons) et/ou un oedème pulmonaire (accumulation de liquides dans les poumons qui pose un danger pour la vie).

[h2]Quels sont les effets à long terme de l'exposition à l'essence?[/h2]

EFFETS CUTANÉS : Le contact répété ou prolongé peut dessécher (dégraisser), fissurer et irriter la peau et causer une dermatite. Des réactions allergiques (hypersensibilité) ont été signalées, mais ce sont des cas rares.

EFFETS SUR LE SANG : On a signalé des effets sur le sang chez des membres de l'équipage de pétroliers et chez des peintres exposés à l'essence. Ces travailleurs furent probablement exposés à d'autres substances, de sorte qu'il n'est pas possible d'établir une relation de cause à effet. Cependant, l'essence peut renfermer de petites quantités de benzène, dont les effets nocifs sur le sang sont notoires.

EFFETS SUR LE SYSTÈME NERVEUX PÉRIPHÉRIQUE : L'essence se compose de diverses paraffines (alcanes) comme le n-hexane. L'exposition prolongée et/ou répétée au n-hexane peut entraîner des dommages irréversibles au système nerveux périphérique. Pour que l'essence ait cet effet, il faut qu'elle renferme une certaine concentration de n-hexane et la gravité de l'effet dépend du degré et de la durée de l'exposition.

EFFETS NEUROLOGIQUES : L'inhalation abusive de vapeurs d'essence par les « renifleurs » entraîne de nombreux effets neurologiques. Des étourdissements, des tremblements, des hallucinations visuelles et auditives et des pertes de mémoire sont des symptômes qui ont été signalés lors d'études de cas de personnes ayant reniflé des vapeurs d'essence chaque jour pendant des années. Cette situation ne correspond pas aux conditions d'exposition professionnelle.

Des effets sur la mémoire, les capacités intellectuelles, la capacité psychomotrice et la capacité d'apprentissage ont été observés chez les préposés à la distribution exposés aux vapeurs d'essence pour plus de 5 ans. Très peu d'effets furent observés chez les préposés exposés pendant moins d'un an. Les concentration d'exposition ne sont pas mentionnées dans l'étude. Il est donc difficile d'en évaluer les résultats.

[h2]L'essence est-elle cancérogène?[/h2]

L'information recueillie jusqu'ici chez l'humain ne permet pas une telle évaluation, car elle ne comporte pas de données détaillées sur l'exposition réelle à l'essence. L'essence sans plomb cause le cancer des reins chez le rat mâle et le cancer du foie chez le rat femelle. Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) conclut que l'essence est un cancérogène possible chez l'humain (groupe 2B). L'essence peut contenir des cancérogènes connus (p. ex., benzène, dibromure d'éthylène).

[h2]L'essence a-t-elle des effets nocifs quelconques sur l'appareil reproducteur?[/h2]

L'information existante ne permet aucune évaluation. Lors d'une étude faite en Russie chez des femmes exposées à des teneurs en essence supérieures aux teneurs admises, on a observé des effets sur le cycle menstruel et sur la grossesse et la lactation. De plus, un certain nombre de nouveau-nés présentaient des malformations. Ni la concentration réelle d'exposition, ni la durée de l'exposition n'étaient mentionnées, de sorte que cette étude ne permet pas de procéder à une évaluation.

[h2]L'essence agit-elle sur le fœtus/bébé avant sa naissance?[/h2]

Il n'existe aucune information sur les effets chez l'humain. Aucun effet n'a été observé lors d'une étude chez le rat.

[h2]L'essence a-t-elle un effet de synergie avec d'autres matières (c'est-à-dire : est-ce que les effets ressentis sont plus prononcés que la somme des effets de l'exposition à chaque produit chimique seul)?[/h2]

La méthyléthylcétone ou la méthylisobutylcétone augmentent l'action du n-hexane. Le n-hexane est une des paraffines (alcanes) présentes dans l'essence.

[h2]Y a-t-il possibilité d'accumulation de l'essence dans l'organisme?[/h2]

L'information existante ne permet pas une évaluation.

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Invité §jl3733aT

Moi qui suis d'habitude pondéré, je ne peux m'empêcher d'écrire que je n'ai jamais vu réponse plus stupide que les 2 dernières.

Ce n'est pas parce que les moteurs à essence polluent aussi et que les fumées de cigarettes ou de poêles à bois sont dangereuses pour la santé que cela minimise le problème sanitaire des véhicules à moteur diesel en centre urbain. Or c'est bien ce que vous cherchiez à faire croire n'est-ce pas ?

 

On ne passe pas sa vie à renifler les vapeurs d'essence alors que, lorsqu'on habite en ville, et bien on passe sa vie à respirer l'air ambiant. Il y a donc une différence, j'espère que vous l'avez comprise.

 

Je rappelle que, dans les zones urbaines proches d'axes de circulation fréquentés (comme le périf. parisien ou certaines avenues marseillaises), le trafic routier (et à 90% les véhicules diesels) est responsable de l'émission de 40 à 70 % des particules fines en suspension dans l'air (source,voir l'ANSES).

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Invité §jl3733aT

"Organisation Mondiale de la Santé :

 

Aide-mémoire N°313

Septembre 2011

 

...

 

Les particules en suspension ont plus d'effets sur la santé que tout autre polluant. Les principaux composants en sont les sulfates, les nitrates, l’ammonium, le chlorure de sodium, le carbone, les matières minérales et l’eau. Elles se composent d'un mélange de substances organiques et minérales, sous forme solide ou liquide, et on les classe en fonction de leur diamètre aérodynamique: PM10 (diamètre de moins de 10 μm); PM2,5 (diamètre de moins de 2,5 μm). Ces dernières sont plus dangereuses car, après inhalation, elles peuvent atteindre la région alvéolaire et altérer les échanges gazeux à l'intérieur des poumons.

 

...

 

"

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Invité §aXC003ve

<div class="quote" quotemsg="15031816,13,39608" reference="15031816,13,39608"><b class="s1">Citation :</b><br>

Moi qui suis d'habitude pondéré, je ne peux m'empêcher d'écrire que je n'ai jamais vu réponse plus stupide que les 2 dernières.<br>

Ce n'est pas parce que les moteurs à essence polluent aussi et que les fumées de cigarettes ou de poêles à bois sont dangereuses pour la santé que cela minimise le problème sanitaire des véhicules à moteur diesel en centre urbain. Or c'est bien ce que vous cherchiez à faire croire n'est-ce pas ?<br><br>

On ne passe pas sa vie à renifler les vapeurs d'essence alors que, lorsqu'on habite en ville, et bien on passe sa vie à respirer l'air ambiant. Il y a donc une différence, j'espère que vous l'avez comprise.<br><br>

Je rappelle que, dans les zones urbaines proches d'axes de circulation fréquentés (comme le périf. parisien ou certaines avenues marseillaises), le trafic routier (et à 90% les véhicules diesels) est responsable de l'émission de 40 à 70 % des particules fines en suspension dans l'air (source,voir l'ANSES).<br></div>

 

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Invité §jl3733aT

"Les gaz d'échappement des moteurs diesel sont associés à un risque accru de cancer des poumons et de cancer de la vessie, selon des experts de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

 

C’est une annonce qui ne surprend pas vraiment, mais elle devrait néanmoins faire réfléchir de nombreux conducteurs au moment de tourner la clef de contact de leur véhicule. Les gaz d'échappement des moteurs diesel sont désormais classés parmi les «cancérogènes certains» pour les humains par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC/IARC), qui est l'agence pour le cancer de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

 

 

En 1988, le CIRC, basée à Lyon (France), avait déjà classé les émission des moteurs diesel parmi les cancérogènes «probables» pour l'homme (groupe 2A), a rappelé le CIRC à l'issue d'une réunion de travail qui s'est achevée mardi.

Les experts réunis à Lyon ont estimé dans un communiqué qu'il y avait à présent assez de preuves démontrant qu'une exposition aux gaz d'échappement de moteurs diesel est associée à un risque accru de cancer du poumon, pour classer ces gaz dans le groupe des cancérogènes «certains» pour les humains (Groupe 1). Le CIRC a aussi estimé que ces gaz étaient associés «à un risque accru de cancer de la vessie».

Des preuves irréfutables

 

«Les preuves scientifiques sont irréfutables et les conclusions du groupe de travail ont été unanimes: les émanations des moteurs diesel causent des cancers du poumon», a déclaré le Dr Christopher Portier. «Étant donnés les impacts additionnels pour la santé des particules diesel, l'exposition à ce mélange chimique doit être réduite dans le monde entier», a-t-il ajouté dans une déclaration. De surcroît, les experts ont noté une «association positive» avec un risque accru de cancers de la vessie sur la base d'éléments plus limitées.

D'importantes populations sont exposées quotidiennement dans le monde aux émissions des moteurs diesel non seulement par le biais des véhicules routiers, mais aussi par d'autres modes de transport (trains comme les TER en France, bateaux...) et par des générateurs d'électricité, rappelle le CIRC.

 

Près de 60% des voitures en France

Une porte-parole de l’Association des constructeurs européens d’automobiles s’est déclarée surprise par l’annonce, ajoutant que l’industrie automobile devrait « étudier les données de l’enquête dans le moindre détail».

 

Les véhicules diesel sont particulièrement populaires en Europe de l’Ouest, où des avantages fiscaux ont encouragé les progrès technologiques et favorisé un bond de la demande. En France: il équipe près de 60% du parc automobile aujourd'hui, contre à peine plus du quart en 1995. Réputé meilleur pour le climat que le moteur à essence en générant moins de CO2 au kilomètre, le diesel émet en revanche des particules fines.

 

 

..."

 

20 minutes on line : diesel et cancer

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Invité §Ree363Xp

"Les gaz d'échappement des moteurs diesel sont associés à un risque accru de cancer des poumons et de cancer de la vessie, selon des experts de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

 

C’est une annonce qui ne surprend pas vraiment, mais elle devrait néanmoins faire réfléchir de nombreux conducteurs au moment de tourner la clef de contact de leur véhicule. Les gaz d'échappement des moteurs diesel sont désormais classés parmi les «cancérogènes certains» pour les humains par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC/IARC), qui est l'agence pour le cancer de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

 

 

En 1988, le CIRC, basée à Lyon (France), avait déjà classé les émission des moteurs diesel parmi les cancérogènes «probables» pour l'homme (groupe 2A), a rappelé le CIRC à l'issue d'une réunion de travail qui s'est achevée mardi.

Les experts réunis à Lyon ont estimé dans un communiqué qu'il y avait à présent assez de preuves démontrant qu'une exposition aux gaz d'échappement de moteurs diesel est associée à un risque accru de cancer du poumon, pour classer ces gaz dans le groupe des cancérogènes «certains» pour les humains (Groupe 1). Le CIRC a aussi estimé que ces gaz étaient associés «à un risque accru de cancer de la vessie».

Des preuves irréfutables

 

«Les preuves scientifiques sont irréfutables et les conclusions du groupe de travail ont été unanimes: les émanations des moteurs diesel causent des cancers du poumon», a déclaré le Dr Christopher Portier. «Étant donnés les impacts additionnels pour la santé des particules diesel, l'exposition à ce mélange chimique doit être réduite dans le monde entier», a-t-il ajouté dans une déclaration. De surcroît, les experts ont noté une «association positive» avec un risque accru de cancers de la vessie sur la base d'éléments plus limitées.

D'importantes populations sont exposées quotidiennement dans le monde aux émissions des moteurs diesel non seulement par le biais des véhicules routiers, mais aussi par d'autres modes de transport (trains comme les TER en France, bateaux...) et par des générateurs d'électricité, rappelle le CIRC.

 

Près de 60% des voitures en France

Une porte-parole de l’Association des constructeurs européens d’automobiles s’est déclarée surprise par l’annonce, ajoutant que l’industrie automobile devrait « étudier les données de l’enquête dans le moindre détail».

 

Les véhicules diesel sont particulièrement populaires en Europe de l’Ouest, où des avantages fiscaux ont encouragé les progrès technologiques et favorisé un bond de la demande. En France: il équipe près de 60% du parc automobile aujourd'hui, contre à peine plus du quart en 1995. Réputé meilleur pour le climat que le moteur à essence en générant moins de CO2 au kilomètre, le diesel émet en revanche des particules fines.

 

 

..."

 

20 minutes on line : diesel et cancer

 

 

D'habitude la propagande nous sert aussi les 40.000 morts chaque année dûs au diesel...

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Invité §Pdw762fm

http://www.autonews.fr/Ecologie/Actualite/diesel-cancer-particules-danger-risque-nox-pollution-co2-tdi-hdi-320073/

 

Le CIRC s'est montré moins sévère avec les rejets des moteurs essence, qui émettent de moins en moins de gaz à effet de serre mais, avec la généralisation de l'injection directe, de plus en plus de particules, plus fines que celles du Diesel.

Les gaz d'échappement des moteurs essence ne changent cependant pas de classification et restent considérés comme "potentiellement cancérigènes", comme c'est le cas depuis 1989.

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Invité §BdS607Zi

[h1]L’OMS classe les gaz d’échappement des moteurs diesel dans la catégorie "cancérogène certain" pour l’homme[/h1]

Publié le 13/06/2012

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Les gaz d’échappement des moteurs diesel ont été classés dans la catégorie "cancérogène certain" pour l’homme par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC/IARC) de l’OMS. En 1988, le CIRC avait classé les émissions des moteurs diesel parmi les "cancérogènes probables".

Le groupe de travail chargé de cette étude souligne toutefois que les populations à risque sont essentiellement celles qui sont exposées quotidiennement à de fortes concentrations d’émissions de ce type, tels que les travailleurs évoluant près des trains, des bateaux ou encore des générateurs d’électricité. (ECHOS 13/6/12, AFP 12/6/12)

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Ah si le gouvernement pouvais rendre les taxes identiques sur l'essence et le diesel et interdire ce dernier aux véhicules particuliers.romainrd.gif

 

Mais la je rêve malheureusement, l'état à toujours soutenu cette motorisation, entre nos constructeurs qui ne savent plus faire de moteurs essences et le gouvernement qui fait croire qui le diesel ne pollue pas à coups de bonus pour faire plaisir aux bobos éclos, c'est pas demain l'ordre sera rétabli.dalpin.gif

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Enfin, le moteur diesel est officiellement reconnu malsain par un organisme de santé international, il était temps!

 

 

Les gaz d'échappement des moteurs diesel sont désormais classés parmi les cancérogènes certains pour les humains. C'est le Centre international de recherche sur le cancer (Circ), une agence spécialisée de l'Organisation mondiale de la santé, qui a pris cette décision mardi 12 juin.

En 1988, le Circ, basé à Lyon, avait déjà classé les émissions des moteurs diesel parmi les cancérogènes probables pour l'homme (groupe 2A). Les experts réunis à Lyon ont estimé qu'il y avait à présent suffisamment de preuves montrant qu'une exposition aux gaz d'échappement de ces moteurs est associée à un risque accru de cancer du poumon.

Ils ont donc classé ces gaz dans le groupe des cancérogènes certains pour les humains (groupe 1). Depuis 1971, plus de 900 agents ont été évalués, parmi lesquels plus de 400 ont été classés comme cancérogènes ou potentiellement cancérogènes pour l'homme.

D'après une telle étude, il serai donc naturel que le gouvernement interdise purement et simplement la production de moteurs Diesels et encourage les flottes d'entreprise à switcher en essence :??:

 

Mais à votre avis, quels seraient les résultats avec un moteur Diesel tournant à l'huile de colza ?

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D'après une telle étude, il serai donc naturel que le gouvernement interdise purement et simplement la production de moteurs Diesels et encourage les flottes d'entreprise à switcher en essence :??:

 

Mais à votre avis, quels seraient les résultats avec un moteur Diesel tournant à l'huile de colza ?

 

Je pense qu'il faudrait limiter drastiquement les voitures diesel en agglomération, c'est ici qu'elles sont le plus nocives.

 

Sinon, il faut favoriser les energies alternatives, obliger les distributeurs de carburant à installer des pompes GPL, GNV et E85 et surtout remonter les taxes du GO sur celles du SP98, c'est une hérésie que de moins taxer un carburant qui pollue plus!

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Invité §dwm021OF

[h1 id=news_titre]La voiture, cancer de nos sociétés ?[/h1]

En classant le diesel cancérogène pour l'homme, le CIRC remet en question l'ensemble des politiques qui ont jusque-là privilégié les motorisations diesel à l'essence. Mais pas seulement : l'essence est classée cancérogène probable.

 

Air | 13 juin 2012 | Actu-Environnement.comRéduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail

 

http://www.actu-environnement.com/images/illustrations/news/15922_une.jpg

© arkna

 

 

L'agence internationale pour la recherche sur le cancer (CIRC), qui fait partie de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), a estimé, après une semaine de travaux d'experts, que les preuves étaient suffisantes pour classer les gaz d'échappement de moteurs diesel comme cancérogènes pour l'homme (groupe 1). L'exposition à ces gaz présenterait un risque accru de cancer du poumon, confirmé encore récemment par une étude publiée en mars 2012 sur des travailleurs exposés dans des mines souterraines. L'étude concluait à un risque accru de décès par cancer du poumon. Pour Kurt Straif, chef du programme des monographies du CIRC, si "les principales études qui ont conduit à cette conclusion ont été réalisées auprès des travailleurs fortement exposés, nous avons appris d'autres cancérogènes, comme le radon, que les études montrant un risque chez les groupes professionnels fortement exposés étaient suivies par les mêmes conclusions pour la population générale". Depuis 1988, les gaz d'échappement du diesel étaient classés comme cancérogènes probables (groupe 2A) mais un groupe consultatif du CIRC recommandait déjà à cette date de réévaluer en priorité les impacts du diesel sur la santé.

Le CIRC a également indiqué que les gaz d'échappement de moteurs diesel étaient probablement à l'origine de risques accrus de cancers de la vessie, mais que les preuves actuelles étaient limitées (groupe 1).

En outre, le groupe de travail indique que les gaz d'échappements issus de moteurs essences sont considérés comme cancérogènes probables (groupe 2B).

Revoir les normes environnementales

Le CIRC estime donc que les gouvernements et les décideurs ont suffisamment de données probantes pour réexaminer les normes environnementales pour les émissions gazeuses du diesel. "L'augmentation des préoccupations environnementales au cours des deux dernières décennies a abouti à la mise en place de mesures réglementaires en Amérique du Nord, en Europe et ailleurs, telles que des normes d'émissions plus strictes pour les moteurs diesel et essence", note le CIRC, ajoutant : "Pour les moteurs diesel, cela a conduit à des baisses marquées de la teneur en soufre, à une meilleure efficacité des moteurs dans le brûlage du carburant diesel et à la réduction des émissions grâce au contrôle technologique des échappements".

Seulement les normes mises en place ont eu des effets pervers... Les pots catalytiques, s'ils permettent de diminuer les émissions de monoxyde de carbone (CO), d'oxydes d'azote (NOx) et d'hydrocarbures imbrûlés, créent des protoxydes d'azote (N2O) et des particules.

De plus, ils ne sont efficaces qu'à partir d'une certaine température, rarement atteinte lors d'un déplacement urbain. Quant au filtre à particules, il augmenterait de façon importante les émissions de dioxyde d'azote (NO2).

En septembre 2009, l'Afsset s'inquiétait dans un rapport des niveaux persistants de dioxyde d'azote (NO2) liés à l'installation des filtres à particules peu performants sur les véhicules diesel et recommandait un renforcement de la réglementation européenne, en intégrant systématiquement le NO2 comme critère pour toute nouvelle norme des émissions des véhicules routiers. L'agence indiquait notamment que la norme EURO ne prenait pas assez en compte ces émissions et qu'il faudrait "attendre 2014 et la sixième génération de norme EURO avec de nouvelles réductions à l'émission sur plusieurs polluants (hydrocarbures et NOx notamment) pour envisager de premiers effets bénéfiques". Elle préconisait également de ne retenir que les filtres à particules les moins émetteurs de NO2, particulièrement lorsqu'ils sont installés sur les bus, les véhicules utilitaires et les taxis.

Vers une suppression des avantages fiscaux du diesel ?

Pour Michèle Rivasi, eurodéputée du groupe des Verts, "le diesel a été favorisé par la lutte contre le changement climatique car son pouvoir de réchauffement global est inférieur à celui de l'essence : en luttant contre un fléau nous en avons généré un autre. Il faut cesser d'opposer santé et environnement, l'un ne va pas sans l'autre. On voit d'ailleurs là toute l'inconséquence du Grenelle de l'environnement et de son bonus/malus qui aura favorisé une technologie plus néfaste pour la santé que d'autres".

Fort d'une fiscalité privilégiée en Europe, le diesel a considérablement augmenté sa part de marché depuis 1995, pour atteindre 60 % du parc automobile.

Outre les impacts environnementaux engendrés, cette évolution pèse sur la sécurité énergétique de l'UE : celle-ci importe du diesel et exporte de l'essence.

En avril 2011, la Commission européenne présentait son projet de nouvelle directive sur les produits énergétiques, qui prévoyait notamment une suppression des avantages fiscaux pour le diesel. La Commission visait particulièrement les droits d'accise qui, selon elle, ne reflètent pas l'impact environnemental des différents combustibles concernés. Au contraire, ceux-ci encourageraient la consommation des combustibles les plus préjudiciables pour l'environnement ou les moins économes en énergie. L'exemple français, qui favorise le diesel par rapport à l'essence, est notamment cité. La Commission préconise donc la mise en place d'une taxe carbone sur les carburants (la taxe sur le diesel serait ainsi 20 % plus élevée que la taxe sur l'essence) ou une taxe basée uniquement sur le contenu énergétique (13 % plus élevée pour le diesel). Mais cette proposition a été retoquée en avril dernier par les députés européens. Ceux-ci jugeaient qu'un tel dispositif engendrerait une hausse du prix du diesel, une mesure jugée inappropriée en période de crise.

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Invité §twF047lL

Encore du sensationnalisme pour vendre du papier.

 

L'étude est basée sur quoi ?

Des mesures prises en extérieur ou des mesures sur véhicules actuels ?

Le parc automobile actuel n'est pas représentatif de la production actuelle.

 

Parmi les diesels actuels certains sont déjà bien moins polluants que les essences équivalents.

Les NOX ont largement baissé en vue de l'euro 6 et ce sans surcoût par rapport aux modèles actuels.

 

L'article parle d'émissions de particules fines,d'hydrocarbures imbrûlés et de NOX nocifs.

Or les hydrocabures imbrûlés et les particules fines sont bien plus élevées dans un moteur essence actuel que dans un diesel actuel.

 

Pourtant pas un mot à ce sujet.

 

Sans doute dans 10 ans vu l'inertie de ces pseudos journalistes, on aura droit au même article mais avec les mots essence et diesel inversés.

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Invité §Pdw762fm

[h1]"Il n’y a plus de problème de particules avec les moteurs Diesel"[/h1]Par Pauline Ducamp - Publié le 14 juin 2012, à 11h42

http://www.usinenouvelle.com/images/petite_fleche_000000.gifConstruction automobile, Le choix de la rédaction, PSA

http://www.usinenouvelle.com/mediatheque/7/8/1/000152187_5.jpg

© PSA

ENTRETIEN Christian Chapelle est directeur des chaines de traction chez PSA Peugeot Citroën. Après la publication le 12 juin de l’avis du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) sur les particules issus des moteurs Diesel désormais classés parmi les substances cancérigènes , il revient pour L’Usine Nouvelle sur ce type de motorisation.

L’Usine Nouvelle – Les particules issues des moteurs Diesel sont-elles cancérogènes, comme l’affirme l’étude du CIRC ?

Christian Chapelle – Cette étude doit être prise avec prudence. Elle a été réalisée sur des mineurs de fond entre les années 1967 et 1997, donc dans un milieu confiné, qui sont face à des équipements Diesel anciens. Si à la base, tous les moteurs à combustion interne produisent des particules, l’industrie automobile a depuis longtemps développé les technologies pour traiter les moteurs Diesel. Depuis 1990, les véhicules sont équipés de catalyseurs d’oxydation. Depuis 2000, PSA a introduit en première mondiale le filtre à particules (FAP), que la norme Euro 5 a rendu incontournable depuis 2011 sur tous les véhicules. La qualité des carburants s’est aussi améliorée. Ainsi, si en 1970, une Peugeot 404 Diesel émettait 1200mg de particules par km, une 406 HDi de 1998 n’émettait plus que 30mg et nos Diesel Euro 5 sont sous la barre du mg. Il n’y a plus de problème de particules avec les moteurs Diesel.

En dehors des particules, les scientifiques s’inquiètent des conséquences des nanoparticules sur la santé, beaucoup plus nocives a priori ?

Il est ici question de la taille des particules. Chez PSA, nous nous sommes basés sur une étude de l’ADEME qui montre que les particules comprises entre 10 nanomètres et 100 micromètres sont celles qui s’infiltrent le plus dans les voies respiratoires. C’est sur ce type de particules que notre FAP est le plus efficace. Il filtre 99,9% des particules.

 

Cette étude est-elle dangereuse pour l’industrie automobile ?

Elle nous inquiète, car dans l’industrie automobile française, et chez PSA en particulier, nous avons un coup d’avance dans le domaine du Diesel. Nous ne contestons pas la pertinence et l’intérêt de cette étude, nous pensons qu’elle n’est pas représentative du monde automobile moderne. Et comme elle traite des moteurs Diesel d’ancienne génération, elle incite plutôt à éliminer les vieux moteurs et à rajeunir le parc. Le moteur Diesel d’aujourd’hui est une technologie très propre et particulièrement efficace pour réduire les émissions de CO2 et la consommation. S’il était interdit, comme le demandent certains, nous nous priverions d’une arme incroyable pour lutter contre le réchauffement climatique.

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Invité §Pdw762fm

:D Allez circuler , il y a rien a voir , polémique et tentative de discréditer le diesel , comme pour la soit disant augmentation diffusée par le PARISIEN ( tient encore lui ) , cette histoire va faire pshitttttttttt

 

http://www.autodeclics.com/voiture_bio/39695-une_motorisation_accusee_d_etre_cancerigene.html

 

 

[h1]Une motorisation accusée d'être cancérigène[/h1][h2]Diesel : l'origine de la polémique[/h2]

 

Le 14/06/2012 par Laurent Meillaud

http://img4.autodeclics.com//images/content/big/une_motorisation_accusee_d_etre_cancerigene.jpg

 

Depuis quelque temps, le diesel fait l'objet d'attaques très violentes. Sont-elles fondées et surtout qu'est-ce qui les justifie ?

Tout avait commencé par un titre du parisien du 5 juin. Le quotidien, citant un expert (Europe Qualité Expertise) rappelait alors que les particules du diesel tuaient 42 000 personnes par an en France. Emoi garanti, alors que ce chiffre est sorti il y a quelques années dans l'indifférence générale.

 

Le même jour, un congrès sur le diesel se tient à Rouen. Les constructeurs y discutent des normes Euro 6 et même Euro 7, en présentant des solutions pour réduire encore plus les particules et surtout les oxydes d'azote (Nox). Mais, cela n'intéresse personne.

 

Volonté de nuire du Parisien ? Même pas. Il se trouve que le même jour débute à Lyon un séminaire d'une semaine (!) organisé par le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer) et consacré justement aux risques de cancer engendrés par le diesel. Un meeting qui s'est terminé le 12 juin. Le CIRC, qui fait partie de l'OMS, conclut alors qu'il y a "suffisamment de preuves pour dire que le diesel peut provoquer un cancer du poumon". Il précise par ailleurs que ce risque n'est pas seulement lié aux voitures, mais aussi aux camions et aux bateaux.

 

Le centre sur le cancer indique également que ce risque de cancer concerne également... les moteurs à essence. Mais là, personne n'a relevé.

 

Du coup, les médias s'emballent et on recherche des boucs émissaires. Qui est responsable de ce poison lent qui a conquis une part de marché de 60 % dans le parc automobile français ? Satanés français qui préfèrent payer le gazole moins cher. Salauds de contructeurs... C'est un peu ce qu'on peut lire dans la presse.

 

Qu'en pensent les politiques ? "Sans doute faut-il améliorer les pots catalytiques", dit la nouvelle ministre de l'Ecologie Nicole Bricq sur Europe 1. Ses conseillers ne savent pas apparemment que c'est déjà fait.

 

Le raccourci évident est que c'est la fin du diesel. Cependant, la réalité est un peu plus complexe. S'il est vrai qu'il y aura un (léger) rééquilibrage en faveur de l'essence sur les petites voitures, en raison des surcoûts imposés par la norme Euro 6, le diesel ne va pas disparaître pour autant. Il consomme moins et reste à ce jour le type de motorisation qui émet le moins de CO2, d'autant qu'avec l'hybridation (légère ou plus poussée) ces seuils seront encore abaissés.

 

Après, libre aux automobilistes de ne pas choisir le diesel et de calculer plus sérieusement les avantages en termes de coût d'utilisation. Et de toute façon, la taxation va à terme rapprocher le gazole de l'essence.

 

Dans cette polémique, il y a sans doute deux gagnants : les pétroliers qui ne raffinent pas assez de gazole en France (et qui préfèrent un rééquilibrage en faveur de l'essence) et Renault qui, par rapport à PSA, pourra faire valoir que lui mise sur l'électrique qui n'est pas cancérigène...

 

Mais, attendons les prochaines polémiques : faut-interdire l'essence, l'électrique doit il devenir obligatoire, faut-il interdire la voiture en ville

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[h1]"Il n’y a plus de problème de particules avec les moteurs Diesel"[/h1]Par Pauline Ducamp - Publié le 14 juin 2012, à 11h42

http://www.usinenouvelle.com/images/petite_fleche_000000.gifConstruction automobile, Le choix de la rédaction, PSA

http://www.usinenouvelle.com/mediatheque/7/8/1/000152187_5.jpg

© PSA

ENTRETIEN Christian Chapelle est directeur des chaines de traction chez PSA Peugeot Citroën. Après la publication le 12 juin de l’avis du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) sur les particules issus des moteurs Diesel désormais classés parmi les substances cancérigènes , il revient pour L’Usine Nouvelle sur ce type de motorisation.

L’Usine Nouvelle – Les particules issues des moteurs Diesel sont-elles cancérogènes, comme l’affirme l’étude du CIRC ?

Christian Chapelle – Cette étude doit être prise avec prudence. Elle a été réalisée sur des mineurs de fond entre les années 1967 et 1997, donc dans un milieu confiné, qui sont face à des équipements Diesel anciens. Si à la base, tous les moteurs à combustion interne produisent des particules, l’industrie automobile a depuis longtemps développé les technologies pour traiter les moteurs Diesel. Depuis 1990, les véhicules sont équipés de catalyseurs d’oxydation. Depuis 2000, PSA a introduit en première mondiale le filtre à particules (FAP), que la norme Euro 5 a rendu incontournable depuis 2011 sur tous les véhicules. La qualité des carburants s’est aussi améliorée. Ainsi, si en 1970, une Peugeot 404 Diesel émettait 1200mg de particules par km, une 406 HDi de 1998 n’émettait plus que 30mg et nos Diesel Euro 5 sont sous la barre du mg. Il n’y a plus de problème de particules avec les moteurs Diesel.

En dehors des particules, les scientifiques s’inquiètent des conséquences des nanoparticules sur la santé, beaucoup plus nocives a priori ?

Il est ici question de la taille des particules. Chez PSA, nous nous sommes basés sur une étude de l’ADEME qui montre que les particules comprises entre 10 nanomètres et 100 micromètres sont celles qui s’infiltrent le plus dans les voies respiratoires. C’est sur ce type de particules que notre FAP est le plus efficace. Il filtre 99,9% des particules.

 

Cette étude est-elle dangereuse pour l’industrie automobile ?

Elle nous inquiète, car dans l’industrie automobile française, et chez PSA en particulier, nous avons un coup d’avance dans le domaine du Diesel. Nous ne contestons pas la pertinence et l’intérêt de cette étude, nous pensons qu’elle n’est pas représentative du monde automobile moderne. Et comme elle traite des moteurs Diesel d’ancienne génération, elle incite plutôt à éliminer les vieux moteurs et à rajeunir le parc. Le moteur Diesel d’aujourd’hui est une technologie très propre et particulièrement efficace pour réduire les émissions de CO2 et la consommation. S’il était interdit, comme le demandent certains, nous nous priverions d’une arme incroyable pour lutter contre le réchauffement climatique.

 

 

C'est a peu près le même discours que tenaient les fabricants de cigarette pour vanter les mérites de leurs produits avec filtre...

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Invité §jl3733aT

Je crois que la question à se poser est l'inverse : pourquoi vouloir privilégier à tout prix les voitures à moteur diesel ?

 

Il y a deux points importants :

 

1) La France n'est pas le centre du monde et PSA n'est pas une si grande entreprise que ça à l'échelle mondiale. Le constat du caractère cancérogène certain est fait par l'Organisation Mondiale de la Santé. Cela fait bientôt 30 ans que l'on fait des études épidémiologiques pour arriver à cette conclusion aujourd'hui. Les 1ère études ont été faites aux U.S.A. et en Europe du Nord si je ne me trompe pas. Il y donc un problème de santé publique en France avec tous ces véhicules à moteur diesel en circulation dont aucun n'est Euro 6 pour l'instant. Il faut bien que le grand public en prenne conscience,

 

2 Quant à l'article de Laurent Meillaud, il précise que le risque de cancer concerne les moteurs essence mais il ne parle pas des proportions et des différences de risque. Les moteurs à essence présentent beaucoup moins de risques pour la santé. J'invite tout le monde à vérifier sur internet et à aller sur le site de l'AFSSET où vous trouverez tous les liens sur des études précises à ce sujet.

 

Maintenant on remarque que plein de comptes invité sont du type "invit-diesel" et soulignent le caractère infondé des attaques sur le diesel. Je suppose que ce sont des personnes qui travaillent pour l'automobile, PSA ou ses sous-traitants, et essayent de minimiser cette information.

Croyez-vous que les médecins qui ont réalisé toutes ces études depuis des dizaines d'années appartiennent en fait à des lobbies anti-voitures ? Et que l'OMS aussi ?

Ça semble un peu trop gros non ?

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[h1]"Il n’y a plus de problème de particules avec les moteurs Diesel"[/h1]Par Pauline Ducamp - Publié le 14 juin 2012, à 11h42

http://www.usinenouvelle.com/images/petite_fleche_000000.gifConstruction automobile, Le choix de la rédaction, PSA

http://www.usinenouvelle.com/mediatheque/7/8/1/000152187_5.jpg

© PSA

ENTRETIEN Christian Chapelle est directeur des chaines de traction chez PSA Peugeot Citroën. Après la publication le 12 juin de l’avis du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) sur les particules issus des moteurs Diesel désormais classés parmi les substances cancérigènes , il revient pour L’Usine Nouvelle sur ce type de motorisation.

L’Usine Nouvelle – Les particules issues des moteurs Diesel sont-elles cancérogènes, comme l’affirme l’étude du CIRC ?

Christian Chapelle – Cette étude doit être prise avec prudence. Elle a été réalisée sur des mineurs de fond entre les années 1967 et 1997, donc dans un milieu confiné, qui sont face à des équipements Diesel anciens. Si à la base, tous les moteurs à combustion interne produisent des particules, l’industrie automobile a depuis longtemps développé les technologies pour traiter les moteurs Diesel. Depuis 1990, les véhicules sont équipés de catalyseurs d’oxydation. Depuis 2000, PSA a introduit en première mondiale le filtre à particules (FAP), que la norme Euro 5 a rendu incontournable depuis 2011 sur tous les véhicules. La qualité des carburants s’est aussi améliorée. Ainsi, si en 1970, une Peugeot 404 Diesel émettait 1200mg de particules par km, une 406 HDi de 1998 n’émettait plus que 30mg et nos Diesel Euro 5 sont sous la barre du mg. Il n’y a plus de problème de particules avec les moteurs Diesel.

En dehors des particules, les scientifiques s’inquiètent des conséquences des nanoparticules sur la santé, beaucoup plus nocives a priori ?

Il est ici question de la taille des particules. Chez PSA, nous nous sommes basés sur une étude de l’ADEME qui montre que les particules comprises entre 10 nanomètres et 100 micromètres sont celles qui s’infiltrent le plus dans les voies respiratoires. C’est sur ce type de particules que notre FAP est le plus efficace. Il filtre 99,9% des particules.

 

Cette étude est-elle dangereuse pour l’industrie automobile ?

Elle nous inquiète, car dans l’industrie automobile française, et chez PSA en particulier, nous avons un coup d’avance dans le domaine du Diesel. Nous ne contestons pas la pertinence et l’intérêt de cette étude, nous pensons qu’elle n’est pas représentative du monde automobile moderne. Et comme elle traite des moteurs Diesel d’ancienne génération, elle incite plutôt à éliminer les vieux moteurs et à rajeunir le parc. Le moteur Diesel d’aujourd’hui est une technologie très propre et particulièrement efficace pour réduire les émissions de CO2 et la consommation. S’il était interdit, comme le demandent certains, nous nous priverions d’une arme incroyable pour lutter contre le réchauffement climatique.

 

Hallucinant! C'est le Jean-François Copé de PSA...

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Invité §eas311JM

AUTOMOBILE - 14/06/2012 | 18:26 - 671 mots

[h1]Le bonus-malus écologique favorise... les diesels cancérogènes.[/h1]

http://www.latribune.fr/getCrop.php?ID=3510274&ext=jpg&W=600&H=280&ptr=0

Alain-Gabriel VerdevoyeLe bonus-malus "vert" prime les véhicules à gazole qui émettent moins de C02. Mais les gaz d'échappement sont désormais classés parmi les « cancérogènes certains pour les humains » par le Centre international de recherche sur le cancer, l'agence de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS)...

 

La contradiction est flagrante. La lutte contre le C02 a consacré les moteurs diesel comme des champions de... l’écologie. En France, le contribuable a, en conséquence, largement financé les bonus « verts » pour primer des véhicules dont les gaz d'échappement sont désormais classés parmi les « cancérogènes certains pour les humains » par le Centre international de recherche sur le cancer, l'agence de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Las. Certes, l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA) s'est déclarée surprise par l'annonce, ajoutant que l'industrie automobile devrait "étudier les données de l'enquête dans le moindre détail". Une nouvelle polémique qui n'est pas près de s'éteindre.

Particules nocives

Il n'empêche. Favorisé par une politique fiscale avantageuse, le moteur diesel s'est fortement développé en Europe, notamment en France: il équipe près de 60% du parc automobile aujourd'hui, contre à peine plus du quart en 1995. Réputé plus sobre et donc permettant de réduire la facture pétrolière, tout en générant moins de gaz à effet de serre au kilomètre, le moteur à gazole émet des… particules nocives. Celles-ci, générées aussi par le chauffage au bois et l'industrie, seraient en France à l'origine de quelque 42.000 morts prématurées chaque année, selon le ministère de l'Ecologie.

Bonus pour le diesel, malus pour l'essence

Décidément, l'écologie est un domaine complexe, parfois contradictoire, et les effets de manche politico-médiatiques sont plus simples à réaliser que les vraies évaluations à long terme! Aujourd’hui donc, en France, le paradoxe veut que tout acheteur d’une Citroën C3 diesel e-HDi reçoive ainsi une prime de 400 euros. Et ce, alors que celui d’une version à essence équivalente, qui n’émet aucune particule, ne perçoit rien. Une compacte Volkswagen Golf de 140 chevaux diesel n’est pas pénalisée, mais la même en essence (120 chevaux seulement) est frappée de 200 euros de taxe. Pis : une Renault Clio à gazole de 105 chevaux est dans la zone neutre du bonus-malus. Mais, la version à essence de puissance équivalente (110 chevaux) écope carrément de 750 euros de malus! Aïe.Fâcheux, alors que, le dispositif de bonus-malus a pesé pour 1,2 milliard d'euros sur le budget français !

Moins de particules, plus de C02

Exemple flagrant de… ce paradoxe : Toyota a mis au point un diesel , le « D-CAT » permettant de traiter une partie des oxydes d’azote (N0x) particulièrement nocifs et des particules. Ainsi, son moteur « D-CAT » de 150 chevaux émet 109 milligrammes de N0x au kilomètre seulement, contre 155 pour le même moteur diesel dépourvu de ce système. En ce qui concerne les particules, c’est 10 milligrammes au kilomètre pour la « D-CAT », contre 15 pour la mécanique la plus « sale » pourtant équipée d’un filtre à particules. Soit dit en passant, le filtre à particules, dont PSA fut le promoteur, ne résout donc pas entièrement le problème ! Seulement voilà, ce système perfectionné de dépollution entraîne une hausse de la consommation et donc des émissions de C02... d’une vingtaine de grammes ! Le moteur à gazole le plus propre est donc pénalisé sur la berline familiale Avensis par un malus de 1.000 euros supplémentaire par rapport au plus « sale » ! Un comble.

Hybride-essence, le meilleur compromis

Un moyen de combattre le C02, les polluants et les particules à la fois, c’est le recours à... l’hybride essence. Une technologie qui permet de jouer sur tous les tableaux. Mais elle est chère et complexe. Et, difficile de convaincre un client, uniquement soucieux de sa consommation, alors même que le diesel est intrinsèquement moins cher pour le constructeur ! Ford commercialisera d'ailleurs en juin une berline compacte diesel Focus qui ne rejettera que 88 grammes de C02. Un record et... un gramme de moins, symboliquement, que la célèbre Toyota Prius hybride comparable, autrement plus onéreuse ! Les futures normes Euro VI pourraient toutefois remettre les pendules à l'heure. Elles vont en effet renchérir les moteurs diesel (certains évoquent un surcoût de 1.000 euros)… et donc redonner une chance non négligeable aux moteurs à essence... et hybrides ! Le match continue.

 

14/06/2012, 18:26 |

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Invité §Pdw762fm

 

 

 

:D Ce qui est totalement faux comme toute votre propagande anti-diesel sur ce forum , membre de l'POPV , petite frappe roulant autos essences rincée que paye papa , allez revois ta copie et vient pas nous raconter qu'au JAPON c'est pareil , MAZDA vend 75 % de diesel avec sa CX 5 , NISSAN et le QQ et bien d'autres diesel EURO VI actuellement , merci d'être passé pour te ridiculiser et te mettre dans ta merde lol.giflol.gif

 

http://www.thedieseldriver.com/2012/05/preview-2013-diesel-car-lineup-in-the-u-s/

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Invité §twF047lL

Tu sors d'où toi ?

Les américains sont des pollueurs et fiers de l'être avec leurs monstres de plusieurs tonnes motorisées par des moulins aux consos gargantuesques et tu vas tenter de les faire passer pour des écologistes ?

Tu te fous de qui ?

Bizarrement, depuis qu'ils s'intérressent à l'écologie ils se mettent au diesel.

 

Vraiment des lobotomisés sur ce forum

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Invité §twF047lL

Je reviens sur ce que j'ai dit, le diesel c'est vraiment nul.

 

Et je viens de voir qu'aux USA ils ont privilégié la qualité de l'air, donc en diminuant les rejets d'hydrocarbures et de particules, en écarant le co² (non toxique).

 

J'ai eu tort.

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Invité §FSA136VK

[h2]Les gaz d'échappement des moteurs diesel classés cancérigène pour l'homme par l'OMS[/h2]

 

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http://www.latribuneauto.com/_upload/ressources/reportages/environnement/2012/2012-06-13-Les-gaz-d-echappement-des-moteurs-diesel-classes-cancerigene-pour-l-homme-par-l-oms/Diesel.jpgC'est officiel depuis le 12 juin 2012, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), agence spécialisée de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), classe les gaz d'échappement des moteurs diesel comme cancérigène pour l'homme (Groupe 1).

 

Le CIRC utilise cette catégorie lorsque des indications scientifiques suffisantes de cancérogénicité pour l'hommesont disponibles.

 

Dans le cas précis des moteurs diesel, l'exposition aux gaz d'échappement des moteurs diesel est liée à un risque accru de cancer des poumons.

 

En 1988, les gaz d'échappement des moteurs diesel avait été classés par le même CIRC dans le groupe 2A des cancérogènes probables pour l'homme.

 

Les véhicules routiers (poids lourd, bus, véhicules, deux roues) sont les principaux émetteurs de particules fines de diamètre inférieur à 2,5 micromètres. Les particules fines rejetées par les moteurs diesel proviennent de la combustion incomplète du gazole. On retrouve également d'autres modes de transport, comme les Trains Express Régionaux (TER) en France, des bateaux mais également des générateurs d'électricité.

 

Les particules fines, émises aussi par le chauffage au bois et au fuel et l'industrie, seraient, selon le ministère de l'Ecologie, à l'origine de quelque 42 000 morts prématurées chaque année en France.

 

Plus les particules sont fines, plus elles pénètrent dans l'appareil respiratoire de l'homme.

 

La restriction de la circulation des véhicules les plus polluants dans et autour des villes (zones d'actions prioritaires pour l'air - ZAPA ) est l'une des principales composantes du plan Particules du Ministère de l'Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement.

 

Il fixe, à l'horizon 2015, un objectif de réduction de 30 % des particules fines de diamètre inférieur à 2,5 micromètres dans tous les secteurs : traitement des particules et des oxydes d'azote dans les usines, couverture de fosse pour l'agriculture, filtres sur les cheminées individuelles à bois,….

 

Selon le Centre Interprofessionnel Technique d'Etudes de la Pollution Atmosphérique (CITEPA) missionné par le Ministère chargé de l'Environnement, le transport routier est responsable de 55% des émissions de NOx en France métropolitaine.

 

Les oxydes d'azote (NOx) peuvent provoquer une altération de la fonction respiratoire, une hyperréactivité bronchique chez l'asthmatique et un accroissement de la sensibilité des bronches aux infections chez l'enfant (source : Ministère de l'Ecologie).

 

Les émissions de NOx sont soumis à différents plafonds d'émissions nationaux et internationaux(Protocole de Göteborg, directive plafonds d'émissions nationaux 2001/81/CE).

 

Deux types de véhicules, les poids lourds diesel et les voitures particulières diesel catalysées, contribuent aujourd'hui majoritairement aux rejets de NOx du secteur routier. Cette répartition entre les deux types de véhicule a évolué au fil des années. En 1990, avant la diésélisation progressive du parc automobile, on retrouvait dans cette catégorie les voitures particulières essence non catalysées et les poids lourds diesel.

 

Entre 1990 et 2010, le secteur du transport routier a connu une baisse de ses émissions de NOx de 48%, cela malgré une croissance du trafic routier sur la même période de 31%.

 

Cette baisse importante fait suite à l'équipement progressif des véhicules en pots catalytiques, au renouvellement du parc de véhicules et à des normes sur les véhicules de plus en plus contraignantes.

 

Ainsi les limites d'émission de NOx applicables aux véhicules neufs entre la norme Euro 1 (1993) et Euro 4 (2005) pour les voitures particulières ont été réduites de 50% pour les véhicules essence et de 69% pour les motorisations diesel.

 

Des baisses sont encore attendues dans les années à venir pour les émissions de NOx du secteur du transport routier. Les normes à venir (Euro VI pour les poids lourds et Euro 6 pour les voitures particulières et les véhicules utilitaires) sont plus contraignantes que les précédentes.

 

Elles entreront en application en 2014 pour les poids lourds et à partir de 2015/2016 pour les véhicules utilitaires et les voitures particulières.

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