Aller au contenu
Logo Caradisiac      

Téléchargez nos application

Disponible sur App Store Disponible sur Google play
Publi info
Témoignage (accident, vol, incivisme...)

Les banalités inciviques de la route


Messages recommandés

Invité §chk614eG

Bon allez, juste pour le plaisir

 

Je déteste les gens qui dorment au feu :ddr:

 

Pareil... Surtout quand tu es le premier con à devoir t'arrêter lorsque le feu passe au jaune 616249756_bx16v.gif.9d970ba6ca7e86d28c194bcb90eb3000.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 2,1K
  • Créé
  • Dernière réponse

Tu n'aimes pas le son que produit un 4cyl diesel ? :ange:

 

 

 

Pas vraiment, déjà d'origine c'est pas terrible mais bon je prends sur moi, mais alors quand tu as un échappement et une reprog le bruit devient carrément insupportable avec une espèce de sifflement dégueulasse :p

Ce qui est sur, c'est que ce débat dépasse largement le cadre du topic :ange:

 

 

En effet mais ce serait intéressant de faire un sujet attitré.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bon allez, juste pour le plaisir

 

Je déteste les gens qui dorment au feu :ddr:

Moi aussi, et plus précisément les 2-roues qui se mettent devant moi en travers quand j'ai la pôle position et mettent un temps fou à réagir quand ça passe au vert massi11.gif.21563a030551491f4f282521eb55054e.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Moi aussi, et plus précisément les 2-roues qui se mettent devant moi en travers quand j'ai la pôle position et mettent un temps fou à réagir quand ça passe au vert massi11.gif.21563a030551491f4f282521eb55054e.gif

 

ça c'est pas mal ça :D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

Pas vraiment, déjà d'origine c'est pas terrible mais bon je prends sur moi, mais alors quand tu as un échappement et une reprog le bruit devient carrément insupportable avec une espèce de sifflement dégueulasse :p

 

Et quand en plus ça se passe sous ta fenêtre ! :mad:

 

:D

 

En effet mais ce serait intéressant de faire un sujet attitré.

 

Je te laisse faire :ange:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §dom285lk

 

Pas vraiment, déjà d'origine c'est pas terrible mais bon je prends sur moi, mais alors quand tu as un échappement et une reprog le bruit devient carrément insupportable avec une espèce de sifflement dégueulasse :p

 

 

 

En effet mais ce serait intéressant de faire un sujet attitré.

 

Amusant ! quand tu étais plus jeune que faisais tu ? :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §sas058Eg

En matière d'incivilité, laissez moi vous narrer celle dont je fus la victime un jour de Juin 1986, par un beau matin ensoleillé et qui me traumatise encore ...

 

Cette année là, le cousin Raymond, qui logeait à Viroflay, m'avait convié à son mariage du 7 juin.

 

J'avais rarement dépassé les limites départementales et cette montée vers la capitale s'annonçait des plus palpitante.

Je quittais donc mon village le matin du 6 juin, le coffre de ma 504 chargé du gibier chassé l'avant veille : un sanglier, trois lièvres et un faisan, qui feraient office de cadeau de mariage.

 

La carte sur les genoux, je visais dans un premier temps Clermont ferrand en passant par Ambert.

 

En quittant Ales vers 10H, il faisait déjà chaud dans l'habitacle. Je roulais depuis 2 heures sans interruption.

Je jetais de temps en temps un coup d'oeil furtif dans le rétroviseur interieur pour m'assurer que mes compagnons de voyage se portaient bien.

C'était agréable d'avoir de la compagnie. Je me surprenais même à leur parler.

 

A l'approche d'Ambert, le soleil tapait fort.

En tentant d'ouvrir la fenêtre, la poignée avait cédé sous ma main. La fenêtre à peine entrebaillée ne m'offrait aucune fraicheur.

Il devait faire maintenant 35 degrés dans l'habitacle. La ventilation était à fond et soufflait un air tiedasse sur mon visage.

Je transpirais abondament, dans le dos et sous les aisselles.

Je sentais perler la sueur sous ma chemise blanche, ma chemise du Dimanche.

En regardant une fois encore vers l'arrière, je vis que je n'étais pas le seul à transpirer du dos et des aisselles.

 

Cela faisait maintenant plus de cinq heures que je roulais. L'exaltation des premières minutes de voyage avait laissé place à un indiscible stress.

J'avais pris beaucoup de retard.

 

j'appuyais un peu plus fort sur l'accélérateur, le 2.3l donnait tout ce qu'il pouvait.

Cette 504 break, c'était ma première voiture. Je l'aimais comme on aime sa première conquête féminine.

Spacieuse, un peu bruyante, il y avait mieux mais elle réalisait un rêve.

 

C'était surtout la 504 V6 cabriolet qui m'attirait, une sacré carrosserie, mais j'aurais casé où le gibier ...

Ca prend beaucoup de place un sanglier.

Alors la raison l'avait emporté. C'était quand même une 504.

 

Depuis la chaise-dieu, outre l'inconfort lié à la chaleur, l'air commençait à fouetter.

Et cette odeur diffuse s'était intensifiée jusqu'à m'en donner la nausée.

Je le fis remarquer d'un ton sec à mes comparses.

 

J'abordais donc Ambert un poil énervé, pestant après les autres usagers, et regardant maintenant de travers mes passagers.

Eux, imperturbables, continuaient tranquillement de suinter.

 

 

Je tournais à gauche en face de l'église d'Ambert en direction de Thiers. Les pneus avaient crissé.

55 kilomètres encore par la D906.

ils font de bons couteaux à Thiers. Je m'arrêterais bien en acheter un. C'est très efficace pour le dépeçage.

 

La route serpentait gentiment entre pré et forêts, longeant une rivière où il devait faire bon pêcher.

Elle me tentait bien cette eau. J'y aurais plongé et nagé.

Mais merde, elle s'arrêtait quand cette route. Elle ne cessait de tourner et ca participait à ma nausée.

 

Heureusement, je pouvais foncer. personne à l'horizon.

C'est l'avantage des routes de campagne.

 

Ayant dépassé Marat, une ville de bain probablement, je m'élançais vers Olliargues quand j'aperçus un véhicule devant.

C'était une Acadiane qui paraissait fatiguée. L'arrière était affaissé.

En quelques secondes, je fus déjà à l'aspiration.

Elle n'aspirait pas grand chose à cette vitesse. Et moi qui aspirait à rouler, je me trouvais coincé.

 

L'odeur, la chaleur, et maintenant ce con qui se trainait à 55 km/h et prenait les trois quart de la route.

Les virages successifs, les bandes blanches, la route étroite et le manque de visibilé, impossible de doubler.

 

Et cette fichu 504 qui n'avait rien sous le capot.

Là je regrettais amèrement les 144CV du V6 cabriolet. J'en fis part au sanglier à l'arrière qui ne moufta pas.

Ayant patienté bien trop longtemps, je manifestais bruyament mon intention de doubler.

Mais le vieux pépé semblait tétanisé.

allait il donc s'écarter ?

Trois longs kilomètres, trois longues minutes, presque une éternité, scotché derrière cet abruti.

Pour tout dire, il fut heureux que cet événement se passa avant Thiers, car le vieux aurait gouté du couteau fraichement acheté.

 

A défaut, j'avais une envie furieuse de la faire valser cette Acadiane.

Ca m'aurait surement vallu le violon ...

 

Je rongeais mon frein, ou plutôt mes freins, à force de freiner et d'accélérer.

 

Je collais un peu plus la Citroen.

Je transpirais un peu plus. la chaleur ? ou l'excitation ?

La sueur coulait le long de mon front et de mes joues. Cramponné au volant, je ne pouvais m'essuyer.

Les yeux me piquaient maintenant, je peinais à les garder ouverts.

J'avais un gout salé à la bouche.

 

Je tentais quelques embardées pour intimider le pépé.

C'est à ce moment que le sanglier se mit à m'importuner.

"QUOI, tu veux quoi, tu vas arrêter de gesticuler !" éructais-je

 

Et l'autre fourbe devant, il devait surement être d'Ambert. Un vrai bleu au volant.

 

Au quatrième kilomètre, en sortie de courbe, je vis une opportunité. Il avait pris trop large, me dégageant le passage.

La bande blanche ? je m'en battais.

On avait croisé personne.

Je passais la troisième, J'appuyais à fond, le moteur fit ce qu'il put. Dans la ligne droite, Je parvins à passer le vieux non sans peine.

Il avait accéléré le con.

Mais que pouvait il face à mon gros 2,3l.

A sa hauteur, j'avais croisé son regard vicieux. C'est bien à moi qu'il en voulait.

 

Si je n'avais été aussi pressé, il aurait gouté du sanglier.

 

 

flope4.gif.027c7b6f6f90b734b3df63c2ef7acd32.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §sas058Eg

Il était bon au moins le sanglier faisandé? :D

 

 

les sangliers ? je ne peux plus les sentir ... ;)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On va pas en faire un fromage,non plus. :o

 

 

Ah l'autre fourbe, il m'a piqué la formule, queue de poisson et TouSSa pour poster plus vite, quelle incivilité asus47.gif.5806049963694a1345687f56d32a9288.gif

 

radamanthis.gif.1a3e2b9b698345270f8b02c0da8d9e40.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En 1986,une 504 a franchi la ligne continue pour me doubler,ce qui m'a agacé. :o

 

Je sens que ça vient tout doucement.

La 504 était blanche.

 

Si tout se passe bien,d'ici ce soir vous saurez si c'était un break ou pas.

 

 

ne me dis pas que c'était un break diesel immatriculé 71 ANE 34

 

parce que je me souviens d'une anecdote quelque peu similaire qui m'arriva un 6 Juin 1986.

 

 

 

 

L'odeur, la chaleur, et maintenant ce con qui se trainait à 55 km/h et prenait les trois quart de la route.

 

 

 

 

Avec un peu de recul,l'immatriculation de la 504 me dit effectivement quelque chose... :D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En matière d'incivilité, laissez moi vous narrer celle dont je fus la victime un jour de Juin 1986, par un beau matin ensoleillé et qui me traumatise encore ...

 

Cette année là, le cousin Raymond, qui logeait à Viroflay, m'avait convié à son mariage du 7 juin.

 

J'avais rarement dépassé les limites départementales et cette montée vers la capitale s'annonçait des plus palpitante.

Je quittais donc mon village le matin du 6 juin, le coffre de ma 504 chargé du gibier chassé l'avant veille : un sanglier, trois lièvres et un faisan, qui feraient office de cadeau de mariage.

 

La carte sur les genoux, je visais dans un premier temps Clermont ferrand en passant par Ambert.

 

En quittant Ales vers 10H, il faisait déjà chaud dans l'habitacle. Je roulais depuis 2 heures sans interruption.

Je jetais de temps en temps un coup d'oeil furtif dans le rétroviseur interieur pour m'assurer que mes compagnons de voyage se portaient bien.

C'était agréable d'avoir de la compagnie. Je me surprenais même à leur parler.

 

A l'approche d'Ambert, le soleil tapait fort.

En tentant d'ouvrir la fenêtre, la poignée avait cédé sous ma main. La fenêtre à peine entrebaillée ne m'offrait aucune fraicheur.

Il devait faire maintenant 35 degrés dans l'habitacle. La ventilation était à fond et soufflait un air tiedasse sur mon visage.

Je transpirais abondament, dans le dos et sous les aisselles.

Je sentais perler la sueur sous ma chemise blanche, ma chemise du Dimanche.

En regardant une fois encore vers l'arrière, je vis que je n'étais pas le seul à transpirer du dos et des aisselles.

 

Cela faisait maintenant plus de cinq heures que je roulais. L'exaltation des premières minutes de voyage avait laissé place à un indiscible stress.

J'avais pris beaucoup de retard.

 

j'appuyais un peu plus fort sur l'accélérateur, le 2.3l donnait tout ce qu'il pouvait.

Cette 504 break, c'était ma première voiture. Je l'aimais comme on aime sa première conquête féminine.

Spacieuse, un peu bruyante, il y avait mieux mais elle réalisait un rêve.

 

C'était surtout la 504 V6 cabriolet qui m'attirait, une sacré carrosserie, mais j'aurais casé où le gibier ...

Ca prend beaucoup de place un sanglier.

Alors la raison l'avait emporté. C'était quand même une 504.

 

Depuis la chaise-dieu, outre l'inconfort lié à la chaleur, l'air commençait à fouetter.

Et cette odeur diffuse s'était intensifiée jusqu'à m'en donner la nausée.

Je le fis remarquer d'un ton sec à mes comparses.

 

J'abordais donc Ambert un poil énervé, pestant après les autres usagers, et regardant maintenant de travers mes passagers.

Eux, imperturbables, continuaient tranquillement de suinter.

 

 

Je tournais à gauche en face de l'église d'Ambert en direction de Thiers. Les pneus avaient crissé.

55 kilomètres encore par la D906.

ils font de bons couteaux à Thiers. Je m'arrêterais bien en acheter un. C'est très efficace pour le dépeçage.

 

La route serpentait gentiment entre pré et forêts, longeant une rivière où il devait faire bon pêcher.

Elle me tentait bien cette eau. J'y aurais plongé et nagé.

Mais merde, elle s'arrêtait quand cette route. Elle ne cessait de tourner et ca participait à ma nausée.

 

Heureusement, je pouvais foncer. personne à l'horizon.

C'est l'avantage des routes de campagne.

 

Ayant dépassé Marat, une ville de bain probablement, je m'élançais vers Olliargues quand j'aperçus un véhicule devant.

C'était une Acadiane qui paraissait fatiguée. L'arrière était affaissé.

En quelques secondes, je fus déjà à l'aspiration.

Elle n'aspirait pas grand chose à cette vitesse. Et moi qui aspirait à rouler, je me trouvais coincé.

 

L'odeur, la chaleur, et maintenant ce con qui se trainait à 55 km/h et prenait les trois quart de la route.

Les virages successifs, les bandes blanches, la route étroite et le manque de visibilé, impossible de doubler.

 

Et cette fichu 504 qui n'avait rien sous le capot.

Là je regrettais amèrement les 144CV du V6 cabriolet. J'en fis part au sanglier à l'arrière qui ne moufta pas.

Ayant patienté bien trop longtemps, je manifestais bruyament mon intention de doubler.

Mais le vieux pépé semblait tétanisé.

allait il donc s'écarter ?

Trois longs kilomètres, trois longues minutes, presque une éternité, scotché derrière cet abruti.

Pour tout dire, il fut heureux que cet événement se passa avant Thiers, car le vieux aurait gouté du couteau fraichement acheté.

 

A défaut, j'avais une envie furieuse de la faire valser cette Acadiane.

Ca m'aurait surement vallu le violon ...

 

Je rongeais mon frein, ou plutôt mes freins, à force de freiner et d'accélérer.

 

Je collais un peu plus la Citroen.

Je transpirais un peu plus. la chaleur ? ou l'excitation ?

La sueur coulait le long de mon front et de mes joues. Cramponné au volant, je ne pouvais m'essuyer.

Les yeux me piquaient maintenant, je peinais à les garder ouverts.

J'avais un gout salé à la bouche.

 

Je tentais quelques embardées pour intimider le pépé.

C'est à ce moment que le sanglier se mit à m'importuner.

"QUOI, tu veux quoi, tu vas arrêter de gesticuler !" éructais-je

 

Et l'autre fourbe devant, il devait surement être d'Ambert. Un vrai bleu au volant.

 

Au quatrième kilomètre, en sortie de courbe, je vis une opportunité. Il avait pris trop large, me dégageant le passage.

La bande blanche ? je m'en battais.

On avait croisé personne.

Je passais la troisième, J'appuyais à fond, le moteur fit ce qu'il put. Dans la ligne droite, Je parvins à passer le vieux non sans peine.

Il avait accéléré le con.

Mais que pouvait il face à mon gros 2,3l.

A sa hauteur, j'avais croisé son regard vicieux. C'est bien à moi qu'il en voulait.

 

Si je n'avais été aussi pressé, il aurait gouté du sanglier.

 

 

flope4.gif.027c7b6f6f90b734b3df63c2ef7acd32.gif

 

:lol:

 

Toutes mes félicitations, vrai ou faux, je prends l'ensemble avec plaisir ! :D

 

Ce sera sans doute la plus belle contribution du topic ! :lol:

 

20/20 :p

 

Merci ! :D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Avec un peu de recul,l'immatriculation de la 504 me dit effectivement quelque chose... :D

 

Je sens arriver la référence cinématographique qui me manque :cyp:

 

Gaussez vous tant que vous voudrez :o

 

Je prendrais ma revanche quand vous serez sous terre :o

 

Bande de vieux :ddr:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §sas058Eg

Avec un peu de recul,l'immatriculation de la 504 me dit effectivement quelque chose... :D

 

 

je m'en doutais ... :cyp:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je sens arriver la référence cinématographique qui me manque :cyp:

 

Gaussez vous tant que vous voudrez :o

 

Je prendrais ma revanche quand vous serez sous terre :o

 

Bande de vieux :ddr:

 

C'est de bonne guerre. :)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En matière d'incivilité, laissez moi vous narrer celle dont je fus la victime un jour de Juin 1986, par un beau matin ensoleillé et qui me traumatise encore ...

 

Cette année là, le cousin Raymond, qui logeait à Viroflay, m'avait convié à son mariage du 7 juin.

 

J'avais rarement dépassé les limites départementales et cette montée vers la capitale s'annonçait des plus palpitante.

Je quittais donc mon village le matin du 6 juin, le coffre de ma 504 chargé du gibier chassé l'avant veille : un sanglier, trois lièvres et un faisan, qui feraient office de cadeau de mariage.

 

La carte sur les genoux, je visais dans un premier temps Clermont ferrand en passant par Ambert.

 

En quittant Ales vers 10H, il faisait déjà chaud dans l'habitacle. Je roulais depuis 2 heures sans interruption.

Je jetais de temps en temps un coup d'oeil furtif dans le rétroviseur interieur pour m'assurer que mes compagnons de voyage se portaient bien.

C'était agréable d'avoir de la compagnie. Je me surprenais même à leur parler.

 

A l'approche d'Ambert, le soleil tapait fort.

En tentant d'ouvrir la fenêtre, la poignée avait cédé sous ma main. La fenêtre à peine entrebaillée ne m'offrait aucune fraicheur.

Il devait faire maintenant 35 degrés dans l'habitacle. La ventilation était à fond et soufflait un air tiedasse sur mon visage.

Je transpirais abondament, dans le dos et sous les aisselles.

Je sentais perler la sueur sous ma chemise blanche, ma chemise du Dimanche.

En regardant une fois encore vers l'arrière, je vis que je n'étais pas le seul à transpirer du dos et des aisselles.

 

Cela faisait maintenant plus de cinq heures que je roulais. L'exaltation des premières minutes de voyage avait laissé place à un indiscible stress.

J'avais pris beaucoup de retard.

 

j'appuyais un peu plus fort sur l'accélérateur, le 2.3l donnait tout ce qu'il pouvait.

Cette 504 break, c'était ma première voiture. Je l'aimais comme on aime sa première conquête féminine.

Spacieuse, un peu bruyante, il y avait mieux mais elle réalisait un rêve.

 

C'était surtout la 504 V6 cabriolet qui m'attirait, une sacré carrosserie, mais j'aurais casé où le gibier ...

Ca prend beaucoup de place un sanglier.

Alors la raison l'avait emporté. C'était quand même une 504.

 

Depuis la chaise-dieu, outre l'inconfort lié à la chaleur, l'air commençait à fouetter.

Et cette odeur diffuse s'était intensifiée jusqu'à m'en donner la nausée.

Je le fis remarquer d'un ton sec à mes comparses.

 

J'abordais donc Ambert un poil énervé, pestant après les autres usagers, et regardant maintenant de travers mes passagers.

Eux, imperturbables, continuaient tranquillement de suinter.

 

 

Je tournais à gauche en face de l'église d'Ambert en direction de Thiers. Les pneus avaient crissé.

55 kilomètres encore par la D906.

ils font de bons couteaux à Thiers. Je m'arrêterais bien en acheter un. C'est très efficace pour le dépeçage.

 

La route serpentait gentiment entre pré et forêts, longeant une rivière où il devait faire bon pêcher.

Elle me tentait bien cette eau. J'y aurais plongé et nagé.

Mais merde, elle s'arrêtait quand cette route. Elle ne cessait de tourner et ca participait à ma nausée.

 

Heureusement, je pouvais foncer. personne à l'horizon.

C'est l'avantage des routes de campagne.

 

Ayant dépassé Marat, une ville de bain probablement, je m'élançais vers Olliargues quand j'aperçus un véhicule devant.

C'était une Acadiane qui paraissait fatiguée. L'arrière était affaissé.

En quelques secondes, je fus déjà à l'aspiration.

Elle n'aspirait pas grand chose à cette vitesse. Et moi qui aspirait à rouler, je me trouvais coincé.

 

L'odeur, la chaleur, et maintenant ce con qui se trainait à 55 km/h et prenait les trois quart de la route.

Les virages successifs, les bandes blanches, la route étroite et le manque de visibilé, impossible de doubler.

 

Et cette fichu 504 qui n'avait rien sous le capot.

Là je regrettais amèrement les 144CV du V6 cabriolet. J'en fis part au sanglier à l'arrière qui ne moufta pas.

Ayant patienté bien trop longtemps, je manifestais bruyament mon intention de doubler.

Mais le vieux pépé semblait tétanisé.

allait il donc s'écarter ?

Trois longs kilomètres, trois longues minutes, presque une éternité, scotché derrière cet abruti.

Pour tout dire, il fut heureux que cet événement se passa avant Thiers, car le vieux aurait gouté du couteau fraichement acheté.

 

A défaut, j'avais une envie furieuse de la faire valser cette Acadiane.

Ca m'aurait surement vallu le violon ...

 

Je rongeais mon frein, ou plutôt mes freins, à force de freiner et d'accélérer.

 

Je collais un peu plus la Citroen.

Je transpirais un peu plus. la chaleur ? ou l'excitation ?

La sueur coulait le long de mon front et de mes joues. Cramponné au volant, je ne pouvais m'essuyer.

Les yeux me piquaient maintenant, je peinais à les garder ouverts.

J'avais un gout salé à la bouche.

 

Je tentais quelques embardées pour intimider le pépé.

C'est à ce moment que le sanglier se mit à m'importuner.

"QUOI, tu veux quoi, tu vas arrêter de gesticuler !" éructais-je

 

Et l'autre fourbe devant, il devait surement être d'Ambert. Un vrai bleu au volant.

 

Au quatrième kilomètre, en sortie de courbe, je vis une opportunité. Il avait pris trop large, me dégageant le passage.

La bande blanche ? je m'en battais.

On avait croisé personne.

Je passais la troisième, J'appuyais à fond, le moteur fit ce qu'il put. Dans la ligne droite, Je parvins à passer le vieux non sans peine.

Il avait accéléré le con.

Mais que pouvait il face à mon gros 2,3l.

A sa hauteur, j'avais croisé son regard vicieux. C'est bien à moi qu'il en voulait.

 

Si je n'avais été aussi pressé, il aurait gouté du sanglier.

 

 

flope4.gif.027c7b6f6f90b734b3df63c2ef7acd32.gif

 

 

Excellent :D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

je m'en doutais ... :cyp:

 

 

Si j'avais su à l'époque,je me serais garé pour te laisser passer. :fleur:

 

Mais bon,faut me comprendre aussi,lorsque l'on aperçoit dans le rétro le visage d'un rougeot perlant de sueur, hurlant dans l'habitacle,et montrant le poing,on hésite à s'arrêter sur le bord de la route. :spamafote:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le ton monte ici ! rocket91.gif.ca4fe6ef9233be039eb5e190c55972b7.gif

 

Je m'en vais comme un prince ! :o

 

Surtout que j'ai rien à dire, rien à signaler aujourd'hui : Tant mieux :oui:

 

kevdoppler.gif.53b2b3985c6ff61aadf335e7ac08669a.gif

 

Moi non plus, rien à signaler, je prenais le train aujourd'hui et il y avait juste grève asus47.gif.5806049963694a1345687f56d32a9288.gif

 

radamanthis.gif.1a3e2b9b698345270f8b02c0da8d9e40.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

Si j'avais su à l'époque,je me serais garé pour te laisser passer. :fleur:

 

Mais bon,faut me comprendre aussi,lorsque l'on aperçoit dans le rétro le visage d'un rougeot perlant de sueur, hurlant dans l'habitacle,et montrant le poing,on hésite à s'arrêter sur le bord de la route. :spamafote:

 

 

Ah, les rougeots ayant forcé les gens à se garer pour les laisser passer.

De quoi écrire plusieurs romans.

 

On appellerait ça la saga des "rougeots me garent".

 

Mais il me semble qu'un célèbre écrivain prénommé Emile l'a déjà fait...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En matière d'incivilité, laissez moi vous narrer celle dont je fus la victime un jour de Juin 1986, par un beau matin ensoleillé et qui me traumatise encore ...

 

Cette année là, le cousin Raymond, qui logeait à Viroflay, m'avait convié à son mariage du 7 juin.

 

J'avais rarement dépassé les limites départementales et cette montée vers la capitale s'annonçait des plus palpitante.

Je quittais donc mon village le matin du 6 juin, le coffre de ma 504 chargé du gibier chassé l'avant veille : un sanglier, trois lièvres et un faisan, qui feraient office de cadeau de mariage.

 

La carte sur les genoux, je visais dans un premier temps Clermont ferrand en passant par Ambert.

 

En quittant Ales vers 10H, il faisait déjà chaud dans l'habitacle. Je roulais depuis 2 heures sans interruption.

Je jetais de temps en temps un coup d'oeil furtif dans le rétroviseur interieur pour m'assurer que mes compagnons de voyage se portaient bien.

C'était agréable d'avoir de la compagnie. Je me surprenais même à leur parler.

 

A l'approche d'Ambert, le soleil tapait fort.

En tentant d'ouvrir la fenêtre, la poignée avait cédé sous ma main. La fenêtre à peine entrebaillée ne m'offrait aucune fraicheur.

Il devait faire maintenant 35 degrés dans l'habitacle. La ventilation était à fond et soufflait un air tiedasse sur mon visage.

Je transpirais abondament, dans le dos et sous les aisselles.

Je sentais perler la sueur sous ma chemise blanche, ma chemise du Dimanche.

En regardant une fois encore vers l'arrière, je vis que je n'étais pas le seul à transpirer du dos et des aisselles.

 

Cela faisait maintenant plus de cinq heures que je roulais. L'exaltation des premières minutes de voyage avait laissé place à un indiscible stress.

J'avais pris beaucoup de retard.

 

j'appuyais un peu plus fort sur l'accélérateur, le 2.3l donnait tout ce qu'il pouvait.

Cette 504 break, c'était ma première voiture. Je l'aimais comme on aime sa première conquête féminine.

Spacieuse, un peu bruyante, il y avait mieux mais elle réalisait un rêve.

 

C'était surtout la 504 V6 cabriolet qui m'attirait, une sacré carrosserie, mais j'aurais casé où le gibier ...

Ca prend beaucoup de place un sanglier.

Alors la raison l'avait emporté. C'était quand même une 504.

 

Depuis la chaise-dieu, outre l'inconfort lié à la chaleur, l'air commençait à fouetter.

Et cette odeur diffuse s'était intensifiée jusqu'à m'en donner la nausée.

Je le fis remarquer d'un ton sec à mes comparses.

 

J'abordais donc Ambert un poil énervé, pestant après les autres usagers, et regardant maintenant de travers mes passagers.

Eux, imperturbables, continuaient tranquillement de suinter.

 

 

Je tournais à gauche en face de l'église d'Ambert en direction de Thiers. Les pneus avaient crissé.

55 kilomètres encore par la D906.

ils font de bons couteaux à Thiers. Je m'arrêterais bien en acheter un. C'est très efficace pour le dépeçage.

 

La route serpentait gentiment entre pré et forêts, longeant une rivière où il devait faire bon pêcher.

Elle me tentait bien cette eau. J'y aurais plongé et nagé.

Mais merde, elle s'arrêtait quand cette route. Elle ne cessait de tourner et ca participait à ma nausée.

 

Heureusement, je pouvais foncer. personne à l'horizon.

C'est l'avantage des routes de campagne.

 

Ayant dépassé Marat, une ville de bain probablement, je m'élançais vers Olliargues quand j'aperçus un véhicule devant.

C'était une Acadiane qui paraissait fatiguée. L'arrière était affaissé.

En quelques secondes, je fus déjà à l'aspiration.

Elle n'aspirait pas grand chose à cette vitesse. Et moi qui aspirait à rouler, je me trouvais coincé.

 

L'odeur, la chaleur, et maintenant ce con qui se trainait à 55 km/h et prenait les trois quart de la route.

Les virages successifs, les bandes blanches, la route étroite et le manque de visibilé, impossible de doubler.

 

Et cette fichu 504 qui n'avait rien sous le capot.

Là je regrettais amèrement les 144CV du V6 cabriolet. J'en fis part au sanglier à l'arrière qui ne moufta pas.

Ayant patienté bien trop longtemps, je manifestais bruyament mon intention de doubler.

Mais le vieux pépé semblait tétanisé.

allait il donc s'écarter ?

Trois longs kilomètres, trois longues minutes, presque une éternité, scotché derrière cet abruti.

Pour tout dire, il fut heureux que cet événement se passa avant Thiers, car le vieux aurait gouté du couteau fraichement acheté.

 

A défaut, j'avais une envie furieuse de la faire valser cette Acadiane.

Ca m'aurait surement vallu le violon ...

 

Je rongeais mon frein, ou plutôt mes freins, à force de freiner et d'accélérer.

 

Je collais un peu plus la Citroen.

Je transpirais un peu plus. la chaleur ? ou l'excitation ?

La sueur coulait le long de mon front et de mes joues. Cramponné au volant, je ne pouvais m'essuyer.

Les yeux me piquaient maintenant, je peinais à les garder ouverts.

J'avais un gout salé à la bouche.

 

Je tentais quelques embardées pour intimider le pépé.

C'est à ce moment que le sanglier se mit à m'importuner.

"QUOI, tu veux quoi, tu vas arrêter de gesticuler !" éructais-je

 

Et l'autre fourbe devant, il devait surement être d'Ambert. Un vrai bleu au volant.

 

Au quatrième kilomètre, en sortie de courbe, je vis une opportunité. Il avait pris trop large, me dégageant le passage.

La bande blanche ? je m'en battais.

On avait croisé personne.

Je passais la troisième, J'appuyais à fond, le moteur fit ce qu'il put. Dans la ligne droite, Je parvins à passer le vieux non sans peine.

Il avait accéléré le con.

Mais que pouvait il face à mon gros 2,3l.

A sa hauteur, j'avais croisé son regard vicieux. C'est bien à moi qu'il en voulait.

 

Si je n'avais été aussi pressé, il aurait gouté du sanglier.

 

 

flope4.gif.027c7b6f6f90b734b3df63c2ef7acd32.gif

 

 

Je salue un vrai talent d'écrivain... :jap:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

Ah, les rougeots ayant forcé les gens à se garer pour les laisser passer.

De quoi écrire plusieurs romans.

 

On appellerait ça la saga des "rougeots me garent".

 

Mais il me semble qu'un célèbre écrivain prénommé Emile l'a déjà fait...

 

 

:pfff:

 

:lol: :lol: :lol: :lol: :lol:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §sas058Eg

 

Si j'avais su à l'époque,je me serais garé pour te laisser passer. :fleur:

 

Mais bon,faut me comprendre aussi,lorsque l'on aperçoit dans le rétro le visage d'un rougeot perlant de sueur, hurlant dans l'habitacle,et montrant le poing,on hésite à s'arrêter sur le bord de la route. :spamafote:

 

 

bon, on tire un trait sur cet épisode malheureux :fleur:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §sas058Eg

 

Ah, les rougeots ayant forcé les gens à se garer pour les laisser passer.

De quoi écrire plusieurs romans.

 

On appellerait ça la saga des "rougeots me garent".

 

Mais il me semble qu'un célèbre écrivain prénommé Emile l'a déjà fait...

 

:bien:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §sas058Eg

:lol:

 

Toutes mes félicitations, vrai ou faux, je prends l'ensemble avec plaisir ! :D

 

 

 

j'ai un témoin des plus crédible :lol: (non, pas le sanglier ... l'autre)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §alb464lD

Le ton monte ici ! rocket91.gif.ca4fe6ef9233be039eb5e190c55972b7.gif

 

Je m'en vais comme un prince ! :o

 

Surtout que j'ai rien à dire, rien à signaler aujourd'hui : Tant mieux :oui:

 

c'est rare :D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour !

 

Une nouvelle histoire survenue lors de ma promenade dominicale avec la grosse

 

Donc je promenais Hanke et je roulais à 40-45kmh parce que j'étais dans un village aux rues plutôt étroites

 

C'est alors qu'un con en Ford Focus break est arrivé à mon cul assez rapidement

 

Monsieur était visiblement très eco-conscient vu qu'il profitait au maximum de mon aspiration pour réduire notre facture énergétique

 

C'est bien simple, je ne voyais que son pare brise dans mon rétro ! roulax.gif.df09878bfd352688666e890196430114.gif

 

J'attendais la sortie du village pour l'enrhumer mais nos chemins se sont séparés

 

Pour prouver une dernière fois que c'était un pinpin de compétition, il a mit un grand coup de volant à gauche avant de tourner à droite ! aragorn66.gif.0fd225eb453006cd91064870874bc4c5.gif

 

Un moment difficile ! :ddr:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut à tous,

 

Allez mon histoire dominicale à moi :

 

Hier, je remonte de Bourgogne et rentre sur la région Parisienne. Je suis sur l'A6 (3 voies à cet endroit) et je double deux véhicules (un sur la voie de droite, et un sur celle du milieu). Je suis à 134 compteur pour un 130 réel (vitesse donnée par le coyote). Au loin, tout au fond, je vois un bolide rouge de marque Italienne véritablement fondre sur moi. Je regarde Coyote pour voir si je peux me permettre d'accélérer, malheureusement, je suis dans une zone de contrôle de mouvement (un RMNG est quelque part dans les environs et guette), je ne peux donc pas me permettre d'accélérer. Tant pis, je maintiens ma vitesse et je fais au mieux pour me rabattre, sauf que celui que je dépasse est à ma droite, je n'ai pas d'autre choix que de terminer mon dépassement. (Sans accélérer, malheureusement, ca sera plus long :/ ).

Le cheval cabré plante ses freins dans mon cul, tant et si bien que je ne vois que le visage du mec dans mes rétros (enfin, le haut du visage) et le mec me fait des grands signes, proteste, vocifère je pense même, et peste de la main. Je lui met un petit coup de warning et clignotant à droite pour lui signifier que oui, je l'ai vu et je me rabattrai dès que je le peux...

A priori, le message n'est pas bien passé, le mec brandit le poing bien haut et est fou furieux dans son bolide rouge (un pompier prioritaire certainement).

Après lui avoir fait comprendre de s'écraser avec ma main je regarde sur ma droite et le mec que je double décide de lever légèrement le pied pour que puisse me rabattre un peu plus vite.

Chose que je fais ! Mon pilote me double, en me tendant son majeur et a disparu de mon champ de vision en moins de 10 secondes (c'est dire son rythme de croisière)... J'espère que ce n'était pas une fausse alerte sur le coyote et qu'il s'est bien fait gauler... Ca lui fera la b*** tiens :)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.



Newsletter Caradisiac

Abonnez-vous à la newsletter de Caradisiac

Recevez toute l’actualité automobile

L’adresse email, renseignée dans ce formulaire, est traitée par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.

Cette donnée est utilisée pour vous adresser des informations sur nos offres, actualités et évènements (newsletters, alertes, invitations et autres publications).

Si vous l’avez accepté, cette donnée sera transmise à nos partenaires, en tant que responsables de traitement, pour vous permettre de recevoir leur communication par voie électronique.

Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL). Vous pouvez également retirer à tout moment votre consentement au traitement de vos données. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : www.caradisiac.com/general/confidentialite/

×
  • Créer...