Aller au contenu
Logo Caradisiac      

Téléchargez nos application

Disponible sur App Store Disponible sur Google play
Publi info
Sécurité

La rupture CSA


Papymeche2
 Partager

Messages recommandés

Bonjour.

 

Désolé pour ceux que çà ne branche pas, mais il me semble que c' est l' occasion de mettre les choses à plat.

Attention c' est long et je ne suis pas sûr de bien expliquer ce qui m' apparait quand même assez compliqué à maitriser.

Je sais que ce sera très peu lu. Ce n' est pas grave.

 

Pourquoi parler plus de 15 ans après de la mise en place du CSA ?

Simplement parce que les avis divergent sur le moment ou ses effets sont devenus visibles sur l' accidentalité.

Mais pas seulement pour cette raison, car la mise en place de la mesure 80 km/h sur le réseau bidirectionnel devra un jour ou l' autre être analysée dans ses effets chronologiques par rapport aux dates d' annonce et d' effectivité.

Alors autant essayer de commencer par la mise en place du CSA qui s' est traduite au final par une baisse de l'accidentalité de plus 20% entre avant et après introduction.

Cette rupture est visible tant en termes de nombre de tués annuel ou de taux de tués au Md de véh*km sur l' espace de 2 ans.

 

@PasNascutDeRes a mis en ligne une courbe de tués mensuels en sommation glissante à +0/-12 mois déjà produite antérieurement, et l' a habillée par un tracé des valeurs brutes de tués mensuels qu' il a appelé "données réelles et officielles" suite à un commentaire que j' avais fait antérieurement.

Je cite ci dessous la totalité de l' intervention. Pour ceux qui voudraient remonter le fil de la discussion, cette intervention se situe ici.

80 km/h sur route

**********************************************************************************************************************

Papymeche2 a écrit :

 

Les données de tués mensuels sont aussi des données réelles et officielles.

 

@PasNascutDeRes a répondu

 

C'est exact!

 

Du coup, il est même possible de les présenter sur le même graphique.

Juillet 2002.gif

***************************************************************************************************

J' ai pris soin de reproduire les courbes, et déplore de constater encore une fois, malgré la mise en garde que je vous avait faite, que l' échelle temporelle du nombre de tués annuels ne correspond pas à ce qu' il est attendu de comprendre d' un graphe échelé correctement. C' est à dire chronologie en progression de la gauche vers la droite avec chaque graduation correspondant à un début d' année.

 

Les étiquettes de Nb de tués affichée sur les graduations 2001, 2002 et 2003 correspondent en fait aux mois de décembre 2002, 2003 et 2004 (fin décembre) et pas aux début d' année 2001, 2002 et 2003 comme malheureusement on est enclin à le croire. Le cartouche "discours Chirac" positionné à mi chemin entre les graduations 2001 et 2002, n' est pas à la bonne place non plus. Selon cette numérotation chronologique ou les chiffres représentent la fin de l' année, il devrait se trouver à mi chemin entre les graduations 2002 et 2003.

 

Heureusement, les chiffres de tués mensuels que l' on peut retrouver sur les graduations 2001, 2002 et 2003 correspondent bien à ceux de fin décembre de ces mêmes années. S' il n' y a donc pas de décalage entre les 2 tracés, il y a un décalage calendaire retard de 12 mois sur la chronologie réelle de la sommation glissante telle que pratiquée par l' ONISR, ou sur les valeurs brutes.

 

Ceci constitue, que ce soit volontaire ou pas, une première entorse à la manière dont les tracés doivent être produits. Si on donne des dates, elles doivent être comprises par tous. Ce n' est pas le cas ici.

 

De plus comme dit plus haut, lors des premières présentation de ce graphe dans la file, j' avais déjà pointé de ce problème d' échelage et l' avait montré sans ambiguïté. Comme je pensais que vous auriez eu l' opportunité d' en tenir compte au point que je n' ai pas vérifié que vous ne l' aviez pas fait.

Bizarrement, tout ce que j' avais pu écrire à cette époque a disparu et n' en ai retrouvé aucune trace sur une remontée de plus d' un mois. (Sauf pas mal de citations des uns et des autres, avec le laconique "message supprimé" dont on sait maintenant ce qu' il signifie)

 

Bref, ces deux tracés sont une clownerie par leur graduation temporelle et la position de leurs cartouches informatifs comme j' en ai rarement vu dans mon passé technique. Ce n' est pas du simple détail comme je le montrerai plus tard.

 

@PasNascutDeRes a proposé une chronologie d' effet de la mise en place du CSA dans une seconde intervention lors une réponse à @daniel762

Je cite ci dessous la totalité de l' intervention. Pour ceux qui voudraient remonter le fil de la discussion, cette intervention se situe ici.

80 km/h sur route

 

***************************************************************************************************

daniel762 a écrit :

 

D'où l'inflexion observée sur les courbes. Puis une fois qu'ils ont eu constaté que finalement rien n'avait vraiment changé, les conducteurs ont repris leurs habitudes et les courbes leurs pentes habituelles...

 

@PasNascutDeRes a répondu

 

Je ne comprends pas sur quoi tu te bases pour affirmer cela?

 

Si je m'en tiens aux données, le discours de Chirac a provoqué une baisse faible de l'accidentalité. Faible, mais significative pendant environ 5 mois. Ensuite la mise en place des premières mesures fin 2002, a provoqué une forte baisse dès décembre 2002. Alors que le premier radar ne sera opérationnel que fin 2003...

 

CSAb.gif

 

***************************************************************************************************

C' est bien évidemment le même tracé dont j' ai montré l' incohérence de la graduation temporelle plus haut, réemployé à nouveau avec le même piégeage de datation chronologique.

 

 

@ @PasNascutDeRes : Moi aussi je m' en tiens aux données brutes et je n' ai pas cette même analyse qui embarque à mon sens trois erreurs méthodologiques dont un piégeage d' échelle, volontaire ou pas, je ne choisis pas.

 

 

Voyez plutôt et lisez ce qui est contenu dans les planches.

 

Cette première planche montre le biais introduit par la sommation glissante à +/-12 mois en référence aux valeurs brutes.

En effet, si il y avait concordance des échelles temporelles entre cette sommation glissante et les valeurs brutes, l' ensemble des valeurs brutes devraient être réparti à peu près symétriquement de part et d' autre de la sommation glissante à +0/-12 mois divisée par 12 pour ramener au domaine des valeurs brutes.

Visuellement, ce n' est pas le cas lors de la grande variation de la moyenne entre 2002 et 2004. C' est en zone de grande pente que cette observation visuelle est la plus criante, ce que l' on ne peut pas voir dans les zones à faible pente du fait de la variation crête à crête annuelle des données brutes.

 

De plus, la somme des écarts entre les valeurs brutes et la moyenne glissante sur les 12 ans présentés le montre analytiquement. Cette somme est très fortement négative, alors qu' elle aurait due être proche de zéro. Or la variabilité aléatoire résiduelle une fois les données brutes corrigées de leur variation cyclique annuelle ne peut en aucun cas expliquer cet énorme écart.

Je ne remets pas d' explications sur ce sujet de variation cycliques et d' écart aléatoire résiduel, l' ayant fait par ailleurs. Vous vous y reporterez.

 

Avec une sommation glissante à +/-6 mois divisée par 12 pour ramener au domaine des valeurs brutes, l' aspect visuel de répartition des valeurs brutes autours de la moyenne glissante est bien plus propre partout, y compris entre 2002 et 2004, ce qui est confirmé par la somme des écarts sur les 12 ans des tracés. Cette somme est 20 fois plus faible qu' avec la moyenne à +0/-12 mois précédente.

 

Ca démontre que la moyenne glissante à +0/-12 mois n' est pas en phase avec les données brutes, et que la moyenne glissante à +/-6 mois l' est en avec un résiduel très faible. Ce n' est pas strictement zéro comme on pouvait l' espérer. C' est dû probablement au fait qu' elle est établie sur 13 mois successifs, et à un aléatoire résiduel d' écart type de 7,0% chaque mois des 12 années successives.

 

La moyenne glissante à +0/-12 mois adresse les 11 mois précédants le point courant et elle représente le point précédant de 6 mois le point courant.

(En fait un point fictif situé entre le 6° et 7° mois précédant le point courant, ce qui est du détail, au même titre que chaque valeur brute mensuelle acquise à chaque fin de mois, devrait adresser le 15 du mois pour être strictement en phase avec le temps qui passe, ce qui est encore plus du détail.)

 

***************************************************************************************************

CSA planche 01 2018-11-10_231140.jpg

 

 

***************************************************************************************************

Dans cette deuxième planche, la première figure confirme qu' un décalage de -6 mois du tracé de la moyenne glissante à +0/-12 mois ramène ce dernier quasiment au même phasage temporel que la moyenne glissante à +/-6 mois par rapport au tracé des valeurs brutes.

Les valeurs brutes se distribuent symétriquement autours de cette moyenne glissante à +0/-12 mois décalée de -6 mois. La somme des écarts entre valeurs brutes et cette moyenne devient similaire à celle de la moyenne glissante à +/-6 mois.

 

Fin sur cet aspect de la non représentativité temporelle de la sommation des tués mensuels style ONISR. Du moins je l' espère...

 

Ce n' est pas la seule chose à bien prendre en compte. En effet, les deux types de moyennes glissante doivent agréger les données brutes de 12 mois, pour filtrer le récurrent annuel, et ne laisser subsister que l' aléatoire incompressible entre deux mois moyens successifs.

 

En moyenne glissante à +0/-12 mois, il s' ensuit que le mois -12 intervient au poids de 1/12 sur la valeur moyenne au courant, de même que chacun des 11 mois précédant ce mois courant. Ainsi, si un évènement introduisant une réduction de l' accidentalité intervient au mois courant, il se traduit par une augmentation de la pente de décrue de la moyenne, que l' on voit au mois -12.

En conséquence une modification de la pente de décroissance de la moyenne glissante à +0/-12 mois est en avance de 12 mois par rapport à l' évènement qui l' a produite.

 

En moyenne glissante à +/-6mois, il s' ensuit que le mois -6 intervient au poids de 1/24 sur la valeur du mois courant, puis que les mois -5 à +5 interviennent chacun au poids de 1/12 sur la valeur du mois courant puis qu' enfin le mois +6 intervient à nouveau au poids 1/24 sur la valeur du mois courant. Ainsi, si un évènement introduisant une réduction de l' accidentalité intervient au mois courant, il se traduit par une augmentation de la pente de décrue de la moyenne, que l' on voit au mois -6.

En conséquence une modification de la pente de décroissance de la moyenne glissante à +/-6 mois est en avance de 6 mois par rapport à l' évènement qui l' a produite.

 

***************************************************************************************************

CSA planche 02 2018-11-10_231706.jpg

 

***************************************************************************************************

Il n' est pas suffisant de s' arrêter là, car le résiduel aléatoire de 7,0% perturbe l' identification des ruptures de pente ou des retournements de tendance.

Cà, je l' ai vu en faisant des simulations utilisant un modèle linéaire croissant et décroissant tout en superposant à ce modèle linéaire une fonction périodique en arche de sinusoïde de périodicité 12 mois avec des caractéristiques similaires à celles que j' avais extraite de l' analyse des écarts entre valeurs brutes mensuelles, et une fonction aléatoire centrée d' écart type similaire à la dite analyse. C' est un autre sujet que je présenterai éventuellement si nécessaire.

De ces simulations, j' ai retenu que l' identification calendaire des retournements de tendance ou de modification de pente étaient statistiquement connues

à +/-3 mois pour 95% pour toutes conditions de jeux d' essais. En fait cette incertitude dépend des pentes apparentes avant et après retournement (pentes de signe opposés), ou des pentes apparentes avant puis après modification de pente (pentes de même signe)

Cette discussion je l' avais entreprise avec @sasq0 sans la terminer, et je doute pouvoir la terminer avec lui, dans la mesure ou il ne semble plus actif sur ce forum.

Il faut simplement se souvenir de cette incertitude de +/-3 mois de détermination calendaire des retournements de tendance ou des changements de pente

 

En revenant maintenant à ce que vous avez répondu à @daniel762 je constate que vous avez eu l' imprudence de ne pas étoffer le tracé des sommations glissantes à +0/-12 mois par la gauche, ce qui vous fait prendre une ondulation inhérente à la variabilité aléatoire et son effet sur la pente locale entre mois, pour un début de modification de pente globale, laquelle n' intervient réellement qu' en décembre 2002 selon votre échelage piègeur, et se répète les mois suivants dans la sommation glissante. (Décembre 2002 avec une incertitude de +/-3 mois)

 

Coup de bol, grâce à cette imprudence et au fait du piégeage volontaire ou pas, de l' échelle temporelle qui décale la chronologie de 12 mois vous identifiez un début d' effet du CSA en corrélation temporelle avec le "discours Chirac", tout comme moi d' ailleurs, alors que vous accumulez deux autres erreurs de méthodologie qui se compensent.

 

A votre différence, moi je constate que cet effet n' a pas commencé doucement en juillet 2002 mais a débuté plein pot à cette même date et je m' explique .

 

Vous identifiez que la mise en place de mesures nouvelles en décembre 2002 a créé une forte accélération de la décroissance de l' accidentalité, or il me semble me souvenir que l' aspect législatif était en place très peu de temps après "le discours Chirac" et pas 6 mois après. Néanmoins, il serait bon de refaire un passage exhaustif sur ces mesures pour bien dater leur applicabilité.

 

 

En effet en utilisant la somme glissante à +0/-12 mois, comme cette dernière réagit 12 mois plus tôt que le moment ou on introduit des mesures, ces dites mesures devraient être datées de début 2001 dans votre échelage, soit 6 mois avant le "discours Chirac", ce qui est impossible si on suppose qu' elles ont été introduites en même temps. En conséquence la rupture de pente de décembre 2002 vu au travers de votre échelage ne peut aucunement correspondre au "discours Chirac" ou aux mesures les accompagnant.

 

 

Si maintenant je redresse votre échelage en remplaçant 2001 par 2002, 2002 par 2003, 2003 par 2004 sans déplacer le cartouche "discours Chirac", le cartouche "discours Chirac" de juillet 2002 reste à sa place physique sur le tracé correspondant bien à l' échelage redressé, décembre 2002 devient décembre 2003 et remonter de 12 mois par rapport à décembre 2002 revient a positionner le début de l' effet CSA à décembre 2001, ce qui est apparemment tout à fait impossible puisqu' antérieur au "discours Chirac" aussi.

Sauf que la sommation glissante à +0/-12 mois est décalée de 6 mois par rapport au temporel du temps courant. Donc en final, si vous aviez analysé correctement vos données en les traçant correctement également, vous auriez trouvé que c' était bien le "discours Chirac" de juillet 2002, avec incertitude de +/-3 mois, et ses mesures accompagnatrices qui ont initié le transitoire CSA.

C' est une date que vous avez probablement forcée par un superbe biais de confirmation due une analyse incorrecte de bout en bout.,

 

Si maintenant j' utilise une moyenne glissante à +/-6 mois, j' identifie la rupture franche de la pente de décroissance de cette moyenne en janvier 2002 toujours avec une incertitude de +/-3 mois.

Ayant montré qu' elle réagissait 6 mois plus tôt que le moment ou on introduit de nouvelles mesures, j' en déduit une datation de début d' effet CSA en juillet 2002, toujours avec incertitude à +/-3 mois, et qu' elle est initiée par le "discours Chirac" et ses mesures accompagnatrices.

 

Bien sûr dans les deux cas, et sauf si les mesures accompagnatrices ont précédé le "discours Chirac", par simple bon sens, l' incertitude ne peut conduire à une estimation antérieure à juillet 2002.

 

Les radars automatiques n' étaient pas présents à ce moment puisque leur déploiement à débuté fin 2003. Il est logique de conclure que le consensus quasi général des conducteurs au "discours Chirac", du moins dans les deux première année d' application, et que les seuls radars et cinémomètres laser gérés directement par les FDO, aient été suffisants pour assurer un certain respect des mesures accompagnatrices du discours.

 

Possible que j' édite.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

@ @Lascarinho34 Je ne vous demande ni de lire, ni de commenter.

Mais si vous trouvez des noisettes et que vous en ayez trop, faites le moi savoir avant d' oublier ou vous les avez stockées. ;)

Je pense qu' il y a un collègue de votre avatar qui gratte tous les soirs entre le lambris et la laine de roche dans l' isolation du toit.

J' aimerai l' attirer ailleurs.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

le discours de Chichi :bien:

 

 

 

Voyez plutôt si les mesures accompagnatrices de la mise en place du CSA ont précédé de peu, ou suivi de peu, le discours de juillet 2002.

Ce serait plus utile comme contribution à cette file.

 

Accessoirement ne vous privez pas de lire ce que j' ai écrit. :jap:

Mais ne le faites pas en conduisant sur les autoroutes Allemandes.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Rib860eD

Bonjour,

 

J'ai une question : C'est quoi CSA ? Est-ce le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel ?

NOTA : dans tout texte on doit donner, selon la norme N.F, la signification d'une abréviation.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour,

 

J'ai une question : C'est quoi CSA ? Est-ce le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel ?

NOTA : dans tout texte on doit donner, selon la norme N.F, la signification d'une abréviation.

 

 

Il est vrai que les nouveaux membres ne connaissent pas forcément les sigles usités sur cette section,à contrario des habitués.

Ceci dit, à la lecture du texte,et sur une section dédiée à la sécurité routière,je ne pense pas qu'il s'agisse ici d'une discussion portant sur l'audiovisuel. :)

 

Du coup,j'ai créé une liste,si cela peut vous aider pour la suite ;) :

 

Signification des sigles et jargon courants sur cette section.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
 Partager



Newsletter Caradisiac

Abonnez-vous à la newsletter de Caradisiac

Recevez toute l’actualité automobile

L’adresse email, renseignée dans ce formulaire, est traitée par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.

Cette donnée est utilisée pour vous adresser des informations sur nos offres, actualités et évènements (newsletters, alertes, invitations et autres publications).

Si vous l’avez accepté, cette donnée sera transmise à nos partenaires, en tant que responsables de traitement, pour vous permettre de recevoir leur communication par voie électronique.

Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL). Vous pouvez également retirer à tout moment votre consentement au traitement de vos données. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : www.caradisiac.com/general/confidentialite/

×
  • Créer...