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Avant guerre (…-1945)

Il était une fois...Bugatti.


Invité §non661Yn
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Invité §sag507uN

Bien vu

C'est la raison des productions exotiques dans les pays tiers comme l'Argentine !

:o

 

 

regarder aussi plus près de chez nous en UK

les productions marginales :sol:

ou les législateurs ne passent pas leur temps a emm..... les Artisans Constructeurs,comme c'est le cas ici, :D:ange:

 

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Invité §mis812JT

 

regarder aussi plus près de chez nous en UK

les productions marginales :sol:

ou les législateurs ne passent pas leur temps a emm..... les Artisans Constructeurs,comme c'est le cas ici, :D:ange:

 

 

Bonne remarque, mais il ne s'agit pas de Constructeurs-artisans mais de plagiat et là je trouve que l'on est encore light en France.

:jap:

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J'ai passé un excellent moment au Château de Dorlisheim où étaient exposées 2 Bugatti 40 (non, non, pas des fausses, de vrais châssis fabriqués à 2 km de là dans les ateliers historiques… ).

Merci particulièrement à l'accueil convivial de Bugatti 251.

J'ai aussi rencontré l'un des derniers ouvriers en vie, fils et neveu des premiers compagnons embauchés à Molsheim en 1910.

L'exposition elle -même comportait des pièces uniques et des documents exceptionnels conservés par les famille proches de ceux-là même qui ont fabriqué les VRAIS Pur-sang de Molsheim.

 

Ce n'est pas la quantité qui compte, mais la qualité, et plus que tout, la transmission d'une passion commune.

Il y a certes Molsheim, mais Dorlisheim est si proche…

 

ayumi_71.gif.e6a58ff2e7b65e9efd6ddcc3d726dc37.gif encore à l'organisation et aux exposants que je salue bien bas. :jap::jap::jap:

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Invité §bug365gj

Merci a toi ARAVIS ,vraiment ravis d avoir fait ta connaissence ,et passée ses queques heures avec toi on été vraiment tres instructive sur le plan technique encore merci.

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Invité §sag507uN

 

Bonne remarque, mais il ne s'agit pas de Constructeurs-artisans mais de plagiat et là je trouve que l'on est encore light en France.

:jap:

 

faro-g.gif.ccca02494de034c20ebf9953aec9a2fe.gif

plagiat ou pas,ils restent des Constructeurs que ce soit

caterham

classic roadster

concept automobiles

DJ

donkervoort

dutton

eagle cars

elegant

eniak

era

lomax

lorentz & rankl

lynx

marauder

etc

etc etc

la liste est longue

faro-g.gif.ccca02494de034c20ebf9953aec9a2fe.gif

et en France Combien ??????

trés peu et souvent des marginaux :ange::D

 

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Plagiat pourquoi ce mot en automobile ?

Tous les constructeurs s'inspirent du meme type: 4 roues 1 moteur une transmission et une carrosserie pour abriter le tout et cela depuis les debuts au 19 eme siecle ! On ne peut appeler cela plagiat !

 

il y a des constructeurs, c'est tout !

Des grands et des petits, des petits qui sont devenus grands puis qui ont disparut, des petits qui sont toujours petits mais qui ont le merite d'etre toujours là, des grands qui sont redevenus petits ! Des disparus par manque de chance mais qui renaissent !!! ils y a meme Talbot qui a renait un jours mais qui a redisparut ! Etait ce un plagiat ?

Tout comme Bugatti qui revient, S.A.S serait un plagiat comme dirait la miss ?

 

La F. S. est un constructeur a part entiere qui ne fait pas de plagiat, mais qui s'inspire de fabrication ancienne et qui y met son nom ! Et elle a bien raison !

P.S Argentina n'est qu'un constructeur de pieces copies d'anciennes, sont elles adaptables sur les ancienne fabrications ?

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Invité §mis812JT

Pourquoi donc faire des copies ou des répliques ?

Seul Ettore avait le génie....

 

:D

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Bugatti n'a construit qu'un nombre restreint de vehicules et il n'en reste qu'un nombre encore plus restreint, et sur ce nombre il n'existe qu'un nombre encore plus restreint qui est commercialisable !

Le nombre d'amateurs de Bugatti dépasse largement le nombre de vehicules restant donc il est normal que des copies circulent a l'intention de ses acheteurs potentiels !

L'offre étant inférieur à la demande !

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Invité §sag507uN

Pourquoi donc faire des copies ou des répliques ?

Seul Ettore avait le génie....

 

:D

 

le bon sens dispense de savoir :sol::sol::sol:

effectivement :p

car tu ne sais pas grand chose :q

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Invité §mis812JT

le bon sens dispense de savoir :sol::sol::sol:

effectivement :p

car tu ne sais pas grand chose :q

 

 

Oh le prétentieux !

 

:p

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Pourquoi donc faire des copies ou des répliques ?

Seul Ettore avait le génie....

 

:D

 

 

Sur ce topic nous avons un coté affectif pour Ettore mais quand a dire que c'etait un genie ?

Il etait un genie parmis beaucoup d'autres a l'epoque !

 

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Invité §sag507uN

Bonsoir GapO5

En effet c'est une réplique bien connue :lol: Elle se reconnait à la trappe pour l'air conditionné sur le coté :sol:

 

une idée de genie,

cette p'tite trappe,

une idée a la Ettore :lol::p

comme quoi il ne suffit pas de s'appeler Ettore pour avoir des idées ...... de génie :lol::lol::lol:

merci a Jolap :sol::jap:

 

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L'inventeur de génie en question s'appelait Ginaoberto Carlo Rembrandt (rien que cela). En tous cas, un brevet a été déposé à son nom en 1931. En plus de la trappe d'auvent, il y a une autre astuce…

Enfin moi, ce que j'en dis… :o;)

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Invité §sag507uN

L'inventeur de génie en question s'appelait Ginaoberto Carlo Rembrandt (rien que cela). En tous cas, un brevet a été déposé à son nom en 1931. En plus de la trappe d'auvent, il y a une autre astuce…

Enfin moi, ce que j'en dis… :o;)

 

lexparigot.gif.287e33feac9a00a9fadec782a07a3a89.gif

moi j'ai mis cette trappe c'est pour aérer mes chaussettes a doigts :lol::lol::lol:

c'est pas pour le génie,c'est pour le confort :lol::lol::lol:

 

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L'inventeur de génie en question s'appelait Ginaoberto Carlo Rembrandt (rien que cela). En tous cas, un brevet a été déposé à son nom en 1931. En plus de la trappe d'auvent, il y a une autre astuce…

Enfin moi, ce que j'en dis… :o;)

 

Maintenant, il faut que tu parles ou que tu te taises à jamais Aravis :) Remarque la trappe, c'est bien une idée de vieux. Euhhh d'ancien, pardon :ange:

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Maintenant, il faut que tu parles ou que tu te taises à jamais Aravis :) Remarque la trappe, c'est bien une idée de vieux. Euhhh d'ancien, pardon :ange:

 

 

La trappe en question n'avait ni la même position, ni le même rôle… quoi que…

Mais comme j'ai le choix de me taire, je me tairais… :o:lol::lol::lol:

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Invité §sag507uN

Le 26-10-2009 à 23:44:24, Gap05 a écrit :

 

 

Maintenant, il faut que tu parles ou que tu te taises à jamais Aravis :) Remarque la trappe, c'est bien une idée de vieux. Euhhh d'ancien, pardon :ange:

 

 

c'est ça dis que les vieux ne sentent pas bon :lol::p :q :q :q

Aravis68 voudrait nous faire des cachotteries :D:ange:

c'est pas "BÔ" monsieur le ¨Professor" :sol::jap:

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Invité §sag507uN

:non: Je ne fais pas cachotteries,… Il y a juste trop de HS…

Et comme dit, ce n'est pas la même chose…

 

:jap::jap::jap:

 

aris0145.gif.bc3387a93ac2001d4e3724ebf1c90334.gif

il est vrai que le forum "il etait une fois ...... "

se doit d'être un forum sérieux

ayumi_71.gif.e6a58ff2e7b65e9efd6ddcc3d726dc37.gif

je prends bonne note

 

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Invité §spo443Xg

Bonjour,

Georges Messier est un contemporain d'Ettore et à égalkement construit des autos (environ 150) basées sur son invention : la suspension hydropneumatique.

 

 

la suspension hydropneumatique :non: Pas du tout.

 

Oléopneumatique c'est déjà pas mal !

 

c.f. : facile, accessible et pour vous en convaincre http://fr.wikipedia.org/wiki/George_Messier

 

Ne pas hésiter à cliquer sur les noms.

 

Pour le reste et l'érudition, il vous suffit de lire la suite sur ce site : http://www.messier-bugatti.com/rubrique.php3?id_rubrique=227 Tout est dans tout et inversement :lol:

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la suspension hydropneumatique :non: Pas du tout.

 

Oléopneumatique c'est déjà pas mal !

 

c.f. : facile, accessible et pour vous en convaincre http://fr.wikipedia.org/wiki/George_Messier

 

Ne pas hésiter à cliquer sur les noms.

 

Pour le reste et l'érudition, il vous suffit de lire la suite sur ce site : http://www.messier-bugatti.com/rubrique.php3?id_rubrique=227 Tout est dans tout et inversement :lol:

 

Oui, la suspension Messier est déjà pneumatique…

Bugatti avait étudié un système dès 1933. Elle aurait pu être utilisé sur le fameux engin tous terrains (cf livre par récemment : "100 ans d'innovation et d'excellence"). Une suspension indépendante est même préconisée dans le brevet. Pas banale, une Bugatti à roues indépendante ! Hélas, ce projet n'a pas eu d'issue<.

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Invité §Phi222sR

Bonjour à tous,

Y'a plus personne ??? Vous êtes partis pour les congés de Toussaint ???

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Invité §bug337la

 

 

Merci pour ces belles photos,

 

Très beau type 57 Cabriolet par Letourneur & Marchand #57650

 

au VIII° Touquet-Paris-Plage historique, 11-13 Septembre 2009, 1er Prix au Concours d'Elégance (Cat 2)

 

Voir sur http://www.bugattiregister.com/wiki/index.php?title=57650 pour plus d'information sur cette voiture

 

Christian

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Invité §lmg611wY

Une info parue dans un quotidien régional qui pourrait vous intéresser.

 

Le dernier des «bugattistes»

 

Lucien Schlatter a dessiné, entre 1934 et 1939, plusieurs centaines de plans de véhicules pour Bugatti, le mythique constructeur dont les usines étaient alors situées à Molsheim.

 

708527087_LUCIEN20SCHLATTER.jpg.c4403f886bf7e23eb0e37dca6951f182.jpg

 

Châssis carrossés à Colmar

 

 

« À l’âge de 14 ans déjà, j’étais passionné par le dessin. Il faut dire que j’ai appris tout seul, ou plutôt sur le tas. Cela m’a suffi pour devenir professionnel. À l’époque, les entreprises n’exigeaient pas des qualifications aussi pointues et poussées qu’aujourd’hui ».

Lucien Schlatter fait preuve d’une extrême lucidité lorsqu’il évoque son parcours. Fort de ses 89 printemps, ce Colmarien de toujours a brillé par sa précocité, débutant comme dessinateur pour Bugatti dès 1934.

Le mythique constructeur automobile italien était alors à son apogée. Lucien a toujours travaillé pour le carrossier suisse Gangloff, établi à Colmar. La proximité géographique entre Gangloff et les usines Bugatti de Molsheim permettait une étroite collaboration entre les deux entreprises : près de la moitié des châssis Bugatti de l’époque étaient carrossés à Colmar.

Bien loin des techniques de production à la chaîne qui prévalaient (et prévalent toujours) dans le secteur automobile, ces voitures de légende étaient fabriquées « sur mesure » pour chaque commande. « Chez Gangloff, nous n’étions que deux à dessiner des plans, directement à l’attention des clients. On en faisait une dizaine chacun chaque semaine. Ces plans de carrosseries étaient alors soumis aux futurs acquéreurs, qui en recevaient cinq ou six différents et pouvaient ainsi faire leur choix dans les meilleures conditions ».

Avant guerre, Lucien Schlatter pouvait travailler sur cinq projets de voitures différentes par mois. Après 1945, et jusqu’en 1951, date de fabrication du dernier modèle de Bugatti à Molsheim, il ne verra plus passer que trois véhicules.

L’amour du travail bien fait

L’occupation de l’usine par les nazis et les difficultés économiques de la famille ont eu raison des capacités de production de la célèbre marque. « En 1947 et 1948, de nombreuses pièces dont nous n’avions plus besoin furent simplement jetées. Nous ne nous doutions pas qu’elles prendraient une telle valeur… Je suis néanmoins parvenu à sauver plusieurs rouleaux de plans, que je conserve pour des raisons sentimentales et non financières ».

Lucien a continué à travailler pour l’entreprise Gangloff jusqu’à sa retraite, en 1980. Cette dernière produisait alors essentiellement des autocars, camions et camionnettes médicalisées. « J’étais passionné par mon travail et par l’automobile en général, confie le dessinateur retraité. Cependant, ma passion ne s’apparentait pas à celle des collectionneurs fascinés par Bugatti. Je parlerais plus d’amour du travail bien fait. Même si je n’ai jamais fait d’études spécialisées, mes dessins étaient d’une très grande précision ».

Olivier Roujon - Journal L’ALSACE

 

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Invité §sag507uN

Une info parue dans un quotidien régional qui pourrait vous intéresser.

 

Le dernier des «bugattistes»

 

Lucien Schlatter a dessiné, entre 1934 et 1939, plusieurs centaines de plans de véhicules pour Bugatti, le mythique constructeur dont les usines étaient alors situées à Molsheim.

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/193105/LUCIEN%20SCHLATTER.jpg

 

Châssis carrossés à Colmar

 

 

« À l’âge de 14 ans déjà, j’étais passionné par le dessin. Il faut dire que j’ai appris tout seul, ou plutôt sur le tas. Cela m’a suffi pour devenir professionnel. À l’époque, les entreprises n’exigeaient pas des qualifications aussi pointues et poussées qu’aujourd’hui ».

Lucien Schlatter fait preuve d’une extrême lucidité lorsqu’il évoque son parcours. Fort de ses 89 printemps, ce Colmarien de toujours a brillé par sa précocité, débutant comme dessinateur pour Bugatti dès 1934.

Le mythique constructeur automobile italien était alors à son apogée. Lucien a toujours travaillé pour le carrossier suisse Gangloff, établi à Colmar. La proximité géographique entre Gangloff et les usines Bugatti de Molsheim permettait une étroite collaboration entre les deux entreprises : près de la moitié des châssis Bugatti de l’époque étaient carrossés à Colmar.

Bien loin des techniques de production à la chaîne qui prévalaient (et prévalent toujours) dans le secteur automobile, ces voitures de légende étaient fabriquées « sur mesure » pour chaque commande. « Chez Gangloff, nous n’étions que deux à dessiner des plans, directement à l’attention des clients. On en faisait une dizaine chacun chaque semaine. Ces plans de carrosseries étaient alors soumis aux futurs acquéreurs, qui en recevaient cinq ou six différents et pouvaient ainsi faire leur choix dans les meilleures conditions ».

Avant guerre, Lucien Schlatter pouvait travailler sur cinq projets de voitures différentes par mois. Après 1945, et jusqu’en 1951, date de fabrication du dernier modèle de Bugatti à Molsheim, il ne verra plus passer que trois véhicules.

L’amour du travail bien fait

L’occupation de l’usine par les nazis et les difficultés économiques de la famille ont eu raison des capacités de production de la célèbre marque. « En 1947 et 1948, de nombreuses pièces dont nous n’avions plus besoin furent simplement jetées. Nous ne nous doutions pas qu’elles prendraient une telle valeur… Je suis néanmoins parvenu à sauver plusieurs rouleaux de plans, que je conserve pour des raisons sentimentales et non financières ».

Lucien a continué à travailler pour l’entreprise Gangloff jusqu’à sa retraite, en 1980. Cette dernière produisait alors essentiellement des autocars, camions et camionnettes médicalisées. « J’étais passionné par mon travail et par l’automobile en général, confie le dessinateur retraité. Cependant, ma passion ne s’apparentait pas à celle des collectionneurs fascinés par Bugatti. Je parlerais plus d’amour du travail bien fait. Même si je n’ai jamais fait d’études spécialisées, mes dessins étaient d’une très grande précision ».

Olivier Roujon - Journal L’ALSACE

 

 

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a vous Imgajl

et Merci a Lucien Schlatter

j'admire le désintêressement de ce Monsieur audio45.gif.7eb914b67f3c4ec94ccd8fd7dd52bdda.gif

effectivement "ses" dessins sont d'une très grande précision et fort bien "enlevé" audio45.gif.7eb914b67f3c4ec94ccd8fd7dd52bdda.gif

 

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