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Avant guerre (…-1945)

Il était une fois...Bugatti.


Invité §non661Yn
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Pas tout à fait d'accord, car les autos d'aujourd'hui sont le reflet de cet esprit qui règnait déjà à l'époque et quand on y regarde de près ( je ne parle des mécaniques ) , on y trouve de multiples similitudes. Comprendre ce qui se fait aujourd'hui ne peut se faire qu'en se référant à ce passé, ce qui veut dire aussi le connaitre .

;)

 

 

la seule similitude dans la mecanique est que les moteurs actuels fonctionnent encore sous le principe du moteur a explosion a 4 temps ! Mais pour combien de temps encore, les versions hybrides se multiplient et un jour dans la grande distribution et les voitures moyennes,le moteur electrique remplacera definitivement le moteur a explosion !

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Invité §mis812JT

la seule similitude dans la mecanique est que les moteurs actuels fonctionnent encore sous le principe du moteur a explosion a 4 temps ! Mais pour combien de temps encore, les versions hybrides se multiplient et un jour dans la grande distribution et les voitures moyennes,le moteur electrique remplacera definitivement le moteur a explosion !

 

 

Tu as peut-être raison, l'avenir nous le dira.

 

J"ai voulu dire simplement que l'automobile n'est pas simplement un moyen de se déplacer, mais que c'est aussi du rêve et de l'histoire dont on s'inspire pour les voitures actuelles. ( Et c'est particulièrement vrai dans le cas de Bugatti )

Difficile de comprendre pourquoi un modèle se vend mieux qu'un autre si on ne regarde pas ce qui est autour. La seule performance ne suffit pas, il faut aussi un contexte. C'est encore plus vrai dans le haut de gamme aujourd'hui que dans la voiture de tous les jours.

Quand je dis contexte, ce n'est pas simplement une histoire, c'est du vécu, des problèmes, de la Vérité !

C'est ce fil d'Ariane qui permet à des constructeurs de réussir et à d'autres d'échouer.

Ettore l'avait déjà très bien compris en lançant sa marque - par la compétition.

 

;)

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Je suis d'accord avec toi. E. Bugatti était un fin limier et savait y faire avec les coups publicitaires (je n'ose écrire médiatiques). => GP ACF 1924, GP Bugatti en 1928,1929, 1930, utilisation de la course au salon 1926, en exposant 1 auto de Grand Prix recouverte d'un symbole de chaque victoire...(C'est le Type 39 8 cylindres 1500 qu'il engageait en Grands prix)

En allant dans ton sens, je reste persuadé aussi que l'on achetait pas alors une Bugatti juste parce qu'elle coûtait tant. On l'achetait si on en avait l'usage et l'on savait déjà que c'était une mécanique "noble" pas obligatoirement réparable partout et par n'importe qui.

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Et pour revenir aux voitures anciennes et modernes, il suffirait de prendre une frele jeune fille de 18 ans qui vient de passer son permis sur une clio turbo diesel et de lui confier un traction avant par un beau matin d'hiver!

il faudra lui demander de tourner le moteur a la manivelle pour le degommer et ensuite une fois qu'elle sera au volant lui expliquer le maniement du starter et de la manette de reglage de l'avance, si elle a compris il faudra encore lui demander de ne pas trop tirer sur la manette qui depasse du tableau de bord qui demarre le moteur parce que la batterie qui est 1954 ne tiend pas trop la charge par moins 5 degres !

voila toute la difference entre une voiture ancienne, encore que la traction paraissait relativent moderne par rapport a une bugatti de 1925, et une voiture actuelle qui demarre instantanement par tous les temps !

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Invité §mis812JT

 

Prix d'aujourd'hui..........d'une 35C !

 

Record Bids Expected at Gooding & Co Auction

Thursday July 27, 2:18 pm ET

Fabulous Finale to the Pebble Beach Concours

 

 

SANTA MONICA, Calif., July 27 /PRNewswire/ -- A 1927 Bugatti Type 35C, expected to bring $2 to $2.5 million, which would be the highest sale price for a Bugatti Grand Prix car sold at auction, will most likely pace the bidding in what should be a record total at this year's Gooding & Company Pebble Beach Auction, the culminating event of the annual 10-days of historic automotive activities on the Monterey Peninsula.

 

:jap:

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Comme c'est les vacances, et qu'on a un peu de temps, je vous conseille le topic "le café du cirque" où une personne bien connue raconte sa vie avec beaucoup de brio et dans un style certain. On y trouve voitures anciennes, répliques, muscle-cars, tuning, ventes aux enchères automobiles, alcool, drogue, sexe, soirées coquines sur la Côte, showbizz, vedettes de la télé et du cinéma, festival de Cannes, etc. C'est long, certes, mais lisez au moins la page 1 et passez à la page 11 (la dernière). On se demande si on est dans le réel ou l'imaginaire, dans l'hallucination (l'Hallucinogène peut être...). Edifiant.

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Invité §chr208pf

la seule similitude dans la mecanique est que les moteurs actuels fonctionnent encore sous le principe du moteur a explosion a 4 temps ! Mais pour combien de temps encore, les versions hybrides se multiplient et un jour dans la grande distribution et les voitures moyennes,le moteur electrique remplacera definitivement le moteur a explosion !

 

 

Tsss TSSSS ! Une toute petite rectification pour étre un peu pointilleu, une petite erreur est souvent dite comme ici , on devrait dire moteur a combustion et pas a explosion merci. :jap: .

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Invité §nib821ly

Bonjour,

En cherchant un peu, il est facile de trouver de quoi construire une Bugatti. A un coût raisonnable.

Le lien vers ce spécialiste britannique permet d'avoir le coût de toutes les pièces nécessaires à la construction d'une réplique de T35B. La T51 est également envisageable. Y compris la carrosserie.

Il suffit ensuite, d'insérer une véritable pièce originale, validée par un expert pour passer de réplique à reconstruction.

Ensuite on aura les papiers de la FIA et on s'incrira au Monaco historique...

http://www.duttonbugatti.co.uk/index.htm

 

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Invité §mis812JT

 

 

Question : combien de Bugatti sont sorties des usines de Molsheim.

 

Diverses sources donnent 7950 exemplaires répertoriées...... Combien en reste-t-il en circulation ?

 

[:greendy:4]

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hoouulàààà

tu va te faire lyncher...

une "bitza" avec une ou deux piéces d'origine ne sera jamais une "vraie" bugatti..

mais une reconstruction..

 

 

De toute façon, vraie ou pas, ça ne sera toujours qu'un amas de protons (pour ne pas dire bout de ferraille).

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Question : combien de Bugatti sont sorties des usines de Molsheim.

 

Diverses sources donnent 7950 exemplaires répertoriées...... Combien en reste-t-il en circulation ?

 

[:greendy:4]

 

C'est le nombre qu l'on peut admettre, nombre qu el'on retrouve dans le Conway/Greilsamer. Il faudrait éventuellement rajouter 300 ex à peu près puisque Conway compte uniquement 90 T52 Baby.

En tous cas, il estime à 1500 le nombre de survivantes. Depuis la parution du livre, on a encore pu en retrouver, mais le chiffre d'authentiques Bugatti anciennes, en étant vraiment optimiste, ne devrait pas être supérieur à 2000.

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Tsss TSSSS ! Une toute petite rectification pour étre un peu pointilleu, une petite erreur est souvent dite comme ici , on devrait dire moteur a combustion et pas a explosion merci. :jap: .

 

 

exact, il y a combustion interne d'un melange de carburant et d'air, mais cette combustion sous haute pression entraine un degagement de gaz qui par son expansion repousse une masse mobile que certains d'entre vous appeleront piston, lequel relié par une bielle a un equipage mobile qui ressemble a un villebrequin, transforme ce mouvement de translation en un mouvement rotatif, qu'un justidieux ensemble mecanique transporte a des sortes de tambours garnie de caoutchouc qui font avancer un gros mobile dans lequel on a placer une ou plusieurs personnes !

 

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Bonjour,

En cherchant un peu, il est facile de trouver de quoi construire une Bugatti. A un coût raisonnable.

Le lien vers ce spécialiste britannique permet d'avoir le coût de toutes les pièces nécessaires à la construction d'une réplique de T35B. La T51 est également envisageable. Y compris la carrosserie.

Il suffit ensuite, d'insérer une véritable pièce originale, validée par un expert pour passer de réplique à reconstruction.

Ensuite on aura les papiers de la FIA et on s'incrira au Monaco historique...

http://www.duttonbugatti.co.uk/index.htm

 

 

Tres interessant donc il suffit a cette ensemble de pieces, une fois assemblées, d'inserer par exemple dans les pneus de l'air prelevé à Molsheim (avec un certicat d'authenticité validé par Miss Lauren) et on aura une Bugatti veritablement authentique !

 

Et a Monaco avec un peu de pognon justicieusement mis dans la poche de qui de droit on peut tout avoir !

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Invité §tun768Yb

C'est le nombre qu l'on peut admettre, nombre qu el'on retrouve dans le Conway/Greilsamer. Il faudrait éventuellement rajouter 300 ex à peu près puisque Conway compte uniquement 90 T52 Baby.

En tous cas, il estime à 1500 le nombre de survivantes. Depuis la parution du livre, on a encore pu en retrouver, mais le chiffre d'authentiques Bugatti anciennes, en étant vraiment optimiste, ne devrait pas être supérieur à 2000.

 

 

Conway a estimé les productions. P.ex. il estimait le nombre de T44 à mille exemplaires. Mais le dernier châssis existant actuellement est de l'ordre de 1340, ce qui, déduction faite des 99 premiers numéros factices, revient à 1250 châssis (15% de production en sus). De même, les mains courantes de la T 52 arrivent à cinq cents exemplaires au lieu de quatre-vingt-dix. Enfin, Bugatti a frappé plusieurs voitures à "double": douze T59 produits au lieu de quatre (Cf. Robert Jarraud: l'usine changeait les quatre moteurs, de châssis en fonction des tracés des courses; les huit châssis surnuméraires existent et sont aussi athentiques que les autres!), des T49 auraient été aussi frappés deux fois. Qu'en est-il des T57? Rajouter que Bugatti a vendu beaucoup de voitures en Suisse dans les années 1930 alors que le marché ne pouvait objectivement pas les absorber. En outre, avant comme après la guerre, l'usine a refrappé des châssis en fonction d'un changement de modèle voulu par le client (ex: un T50 en T46). Enfin, il y a toujours la possibilité de quelques châssis vendus hors comptabilité; ceci s'est vu dans toutes les marques.

 

Une autre chose ne rend pas la vie facile. C'est la pratique de l'usine de frapper un châssis au moment de sa vente et non nécessairement au moment de sa vraie mise en circulation: les voitures d'usine circulaient avec un nombre de C.G. limité qui était utilisé sans considération du type réel roulé. Jean Bugatti a ainsi notoirement roulé plusieurs voitures sous la même C.G. (Cf. Laugier et la valse de C.G. attribuées aux 57s avant leur immatriculation définitive).

 

A noter que Bugatti n'est pas le seul à avoir agi ainsi et que la pratique a même été endémique après 1945 chez certains producteurs refrappant jusqu'à neuf fois des châssis de course (pour toucher les primes sponsors) ou refrappant des voitures d'occasion (pour les revendre comme neuves). Le cas de René Bonnet pour ne pas le citer est flagrant. Quand les raisons fiscales s'en mêlent...

 

Il y a plus de survivantes que supposé par Conway. Depuis l'estimation de 1980, on en a redécouvert plusieurs dizaines, probablement plus de la centaine de bout en bout. Ceci est allé par "vagues". D'abord après la chute de Schlumpf, les découvertes ont été plus transparentes et assez nombreuses. Ensuite, elles ont continué plus discrètement. Enfin, on assiste actuellement à la 3ème vague de sorties de grange: issues des anciens pays du COMECON (anciennes prise de guerre allemandes; anciens achats directs auprès de Molsheim et conservés malgré tout dans tous les états) ou de familles. De ce côté là, tout est ouvert; le canevas de conservation est en général le suivant: la famille a acquis en 1ère main (j'en connais deux des années 1920) une Bugatti remisée pendant la guerre, pas encore ressortie du garage car Mme a vécu longtemps et les héritiers ont conservé le patrimoine tel quel; le même scénario existe avec des secondes mains acquises jusque dans les années 1960 (à l'époque, personne n'avait rien répertorié: l'acheteur ou sa veuve vivent encore!). Personnellement, j'ai vent d'une quinzaines de voitures ainsi remisées et absolument inconnues. et rien à faire pour acheter ou être mis au courant. ces gens cultivent une sorte très jolie d'exclusivisme sur l'information.

 

Sans compter les véhicules des anciennes colonies... On sait que des collections existent en Afrique du Nord, utilisées dans le cadre de tournages de cinémas; ces voitures, essentiellement (rappel: le Roi du Maroc n'a pas acheté de Royale et son fils n'a pas eu de T52, alors que Panhard a offert au futur Hassan II une P&L pour enfants) saisies suite aux dérélictions de colons sont rarement répertoriées. Lors d'un retournement politique, elles sont en général revendues dans des circonstances troubles: la collection du Chef d'Etat afghan est dispersée en occident, l'ancienne Bugatti T57 du Shah d'Iran fausse Saoutchic mais vraie Van Vooren est aux USA, etc.

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Invité §mis812JT

Tres interessant donc il suffit a cette ensemble de pieces, une fois assemblées, d'inserer par exemple dans les pneus de l'air prelevé à Molsheim (avec un certicat d'authenticité validé par Miss Lauren) et on aura une Bugatti veritablement authentique !

 

Et a Monaco avec un peu de pognon justicieusement mis dans la poche de qui de droit on peut tout avoir !

 

 

A propos d'air, tu ne manque pas de me faire bien rire.

 

:jap:

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Conway a estimé les productions. P.ex. il estimait le nombre de T44 à mille exemplaires. Mais le dernier châssis existant actuellement est de l'ordre de 1340, ce qui, déduction faite des 99 premiers numéros factices, revient à 1250 châssis (15% de production en sus). De même, les mains courantes de la T 52 arrivent à cinq cents exemplaires au lieu de quatre-vingt-dix. Enfin, Bugatti a frappé plusieurs voitures à "double": douze T59 produits au lieu de quatre (Cf. Robert Jarraud: l'usine changeait les quatre moteurs, de châssis en fonction des tracés des courses; les huit châssis surnuméraires existent et sont aussi athentiques que les autres!), des T49 auraient été aussi frappés deux fois. Qu'en est-il des T57? Rajouter que Bugatti a vendu beaucoup de voitures en Suisse dans les années 1930 alors que le marché ne pouvait objectivement pas les absorber. En outre, avant comme après la guerre, l'usine a refrappé des châssis en fonction d'un changement de modèle voulu par le client (ex: un T50 en T46). Enfin, il y a toujours la possibilité de quelques châssis vendus hors comptabilité; ceci s'est vu dans toutes les marques.

 

Une autre chose ne rend pas la vie facile. C'est la pratique de l'usine de frapper un châssis au moment de sa vente et non nécessairement au moment de sa vraie mise en circulation: les voitures d'usine circulaient avec un nombre de C.G. limité qui était utilisé sans considération du type réel roulé. Jean Bugatti a ainsi notoirement roulé plusieurs voitures sous la même C.G. (Cf. Laugier et la valse de C.G. attribuées aux 57s avant leur immatriculation définitive).

 

A noter que Bugatti n'est pas le seul à avoir agi ainsi et que la pratique a même été endémique après 1945 chez certains producteurs refrappant jusqu'à neuf fois des châssis de course (pour toucher les primes sponsors) ou refrappant des voitures d'occasion (pour les revendre comme neuves). Le cas de René Bonnet pour ne pas le citer est flagrant. Quand les raisons fiscales s'en mêlent...

 

Il y a plus de survivantes que supposé par Conway. Depuis l'estimation de 1980, on en a redécouvert plusieurs dizaines, probablement plus de la centaine de bout en bout. Ceci est allé par "vagues". D'abord après la chute de Schlumpf, les découvertes ont été plus transparentes et assez nombreuses. Ensuite, elles ont continué plus discrètement. Enfin, on assiste actuellement à la 3ème vague de sorties de grange: issues des anciens pays du COMECON (anciennes prise de guerre allemandes; anciens achats directs auprès de Molsheim et conservés malgré tout dans tous les états) ou de familles. De ce côté là, tout est ouvert; le canevas de conservation est en général le suivant: la famille a acquis en 1ère main (j'en connais deux des années 1920) une Bugatti remisée pendant la guerre, pas encore ressortie du garage car Mme a vécu longtemps et les héritiers ont conservé le patrimoine tel quel; le même scénario existe avec des secondes mains acquises jusque dans les années 1960 (à l'époque, personne n'avait rien répertorié: l'acheteur ou sa veuve vivent encore!). Personnellement, j'ai vent d'une quinzaines de voitures ainsi remisées et absolument inconnues. et rien à faire pour acheter ou être mis au courant. ces gens cultivent une sorte très jolie d'exclusivisme sur l'information.

 

Sans compter les véhicules des anciennes colonies... On sait que des collections existent en Afrique du Nord, utilisées dans le cadre de tournages de cinémas; ces voitures, essentiellement (rappel: le Roi du Maroc n'a pas acheté de Royale et son fils n'a pas eu de T52, alors que Panhard a offert au futur Hassan II une P&L pour enfants) saisies suite aux dérélictions de colons sont rarement répertoriées. Lors d'un retournement politique, elles sont en général revendues dans des circonstances troubles: la collection du Chef d'Etat afghan est dispersée en occident, l'ancienne Bugatti T57 du Shah d'Iran fausse Saoutchic mais vraie Van Vooren est aux USA, etc.

 

 

Je n'ai pas vraiment écrit le contraire.

  • Le 1er châssis Type 44 est le 44250 , le dernier N° attribué et vendu est le 441345, ce qui fait un 1095 châssis (chiffre de Conway). Quelques châssis ont été renumérotés ; un 2ème N° qui leur a été attribué et ont le même N° moteur => il y en aurait donc eu même un peu moins...
     
  • Je connais bien les tours de passe passe avec les cartes grises etc.
     
  • Je n'ai jamais prétendu que Hassan II avait une Bugatti Baby, mais le fils de Louis renault en avait... deux.
     
  • tant mieux s'il een subsiste quelques authentiques...
     
  • enfin, je vais m'abstenir dorénavant.

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Invité §mis812JT

Je n'ai pas vraiment écrit le contraire.

  • Le 1er châssis Type 44 est le 44250 , le dernier N° attribué et vendu est le 441345, ce qui fait un 1095 châssis (chiffre de Conway). Quelques châssis ont été renumérotés ; un 2ème N° qui leur a été attribué et ont le même N° moteur => il y en aurait donc eu même un peu moins...
     
  • Je connais bien les tours de passe passe avec les cartes grises etc.
     
  • Je n'ai jamais prétendu que Hassan II avait une Bugatti Baby, mais le fils de Louis renault en avait... deux.
     
  • tant mieux s'il een subsiste quelques authentiques...
     
  • enfin, je vais m'abstenir dorénavant.
 

 

La question est également de savoir combien d'EB 110 ont été produites.

 

Explication : il est question de continuer à compter les modèles sorties sous la Marque.

 

Certains parlent de la 7951ème Bugatti ( Veyron ) sorties de Molsheim si on exclut les voitures produites en Italie.....

 

[:greendy:4]

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Les gens de Bugatti actuels disposent des moyens d'estimer le nombre d'exemplaires sortis des usines du temps d'Ettore. Ensuite le compte à l'exemplaire près, est très difficle à faire pour les raisons invoquées plus haut (plusieurs châssis avec le même N°, renumérotation d'un châssis invendu, etc)

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miss lauren,tu es bien gentille,mais on se fout de savoir combien d'EB 110 et de veyron sont sorties...

jamais cette question n'a été posée ici..

on s'intéresse uniquement aux anciennes...

et si tu ouvrais un topic sur les récentes???

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Invité §J.J531mn

What can be added to the number of existing cars are number of replica's, or even the number of "Pur-Sang Argentina" replica Bugattis. Though not originally from the Molsheim factory, these replica's or more like what Ettore intended than the new Itailan or VW-products.

 

In some cases there are more examples now, than what has ever been built. For the T41, there are now 9 or more in existance. Apart from the original 6 built (in fact 7, because the same chassisnumber was used for the new chassis after the prototype crashed) are the Esders Replica, the Tom WheatCroft Coupe Napoleon replica and the Uwe Hucke replica with shortened chassis.

 

Also, there are more Atlantic's now than there have ever been built (3 or 4 according to Laugier) with probably 10 or more, mostly built by Koux. Question: Are there now more T57s's than the number originally built??

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"In some cases there are more examples now, than what has ever been built. For the T41, there are now 9 or more in existance. Apart from the original 6 built (in fact 7, because the same chassisnumber was used for the new chassis after the prototype crashed) are the Esders Replica, the Tom WheatCroft Coupe Napoleon replica and the Uwe Hucke replica with shortened chassis."

 

as-tu des détails ou photos de cette reproduction a chassis raccourci???

forzai nous en a parlé,mais pas de renseignements...

 

do you have details or photographs of this reproduction has shortened chassis??? forzai spoke us, but not of information...

 

 

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Invité §mis812JT

miss lauren,tu es bien gentille,mais on se fout de savoir combien d'EB 110 et de veyron sont sorties...

jamais cette question n'a été posée ici..

on s'intéresse uniquement aux anciennes...

et si tu ouvrais un topic sur les récentes???

 

 

T'es pas très gentil.

D'abord, même si tu n'en a pas conscience, la nouvelle société est la suite juridique de l'ancienne....

Tout ça pour te rendre compte dans quelques années ( à mon avis ) que l'on ne parlera que d'un seul Bugatti - depuis sa création. Pour les anciennes, certains estiment que l'aventure s'est terminée en 1947. OK . Je veux bien, mais on parle aussi déjà "d'histoire" pour le modèle le plus récent...... même si cette histoire n'est pas encore bien connue et n'a pas encore fait l'objet d'ouvrages aussi nombreux que ceux pour la période d'avant guerre.

En partant de ce postulat, la période avant le rédémarrage de 2005 est bien une période ancienne, non ?

 

:)

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euh..on peut en effet considérer que les modéles "mal vendus" depuis l'EB 110 ont bien une histoire...

qui m'intéresse autant que les tribulations d'un habitant d'un pays éloigné qui me raconterait les doléances de sa belle-mère...

ou de la difficulté de nourrir ses poules et cochons..

cet homme aussi a une histoire,mais on s'en fout royalement...

je ne crois pas que cette "histoire " intéresse quiconque ici...hihihi..

et quant a dire que l'on ne parlera bientot que d'un seul" bugatti",désolé,mais il n'y a que toi qui croit cela...

déja que la plupart des collectionneurs s'accordent a dire que ce qui a été produit aprés la mort d'ettore,(excepté les quelques chassis qui étaient déja fabriqués a sa mort)n'est pas digne d'être considéré dans l'HISTOIRE bugatti...

la nouvelle marque bugatti n'aura jamais,malgré les efforts que fait SAS,aucun rapport avec les "vraies" bugatti...

SAS essaie ,en se mélant des anciennes,de "légitimer" sa marque...

mais pour les collectionneurs et amateurs que nous sommes,ça n'aura jamais aucun rapport...

comme la newx beetle n'aura jamais aucun rapport avec la cox...

idem entre la nouvelle mini,et la vieille mini... :non:

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il y a une foultitude de marques qui ont été reprises,avant ou après guerre...

et jamais la marque n'a continué ....

certes,tu pourra me citer les exemples récents de seat,rolls,etc...

mais les vrais collectionneurs se foutent de ce qui est construits aprés la cession de la marque..

enfin,je le crois,c'est mon avis...

et après un trou de 60 ans,et la fabrication d'un modéle tout a fait différent,on ne peut absolument pas dire qu'il y a une continuité,comme c'est le cas pour seat,rolls et les autres...

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il est IMPOSSIBLE de jurer que si bugatti avait survécu,il en serait venu a pondre une voiture telle que la veyron...

il se serait peut-être orienté vers une gamme moyenne(enfin,lui,ou ses descendants,ou les directeurs qui auraient succédés a jean),voire vers de petites voitures...

ou encore vers des berlines de luxe...

peut-être ettore aurait-il laissé tomber la fabrication de voitures pour se consacrer uniquement aux trains???aux avions???

nul ne le sait...

n'oublions pas qu'ettore venait de plus en plus rarement a l'usine,résidait a paris...

entre 1947 et maintenant,les choses ont changé beaucoup de fois...les mentalités...

peut-être aurait il eu des dizaines d'administrateurs au sommet de bugatti...avec des idées plus modestes...

on n'en sais rien....

alors dire que ce qu'aurait fait la marque bugatti ressemblerait a la EB 110 ou a la veyron,c'est extrapoler n'importe quoi...supputer dans le vide...

rares sont les marques qui reprennent des formes ou idées des années 30,de leurs ancêtres de l'époque,pour leurs nouvelles voitures....même les calandres ne sont plus du tout ce qu'elles étaient en ces années...a part rolls,et encore...

 

donc,pour moi,refaire vivre la marque n'a absolument rien a voir avec ce qu'elle serait devenue...

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Invité §mis812JT

il y a une foultitude de marques qui ont été reprises,avant ou après guerre...

et jamais la marque n'a continué ....

certes,tu pourra me citer les exemples récents de seat,rolls,etc...

mais les vrais collectionneurs se foutent de ce qui est construits aprés la cession de la marque..

enfin,je le crois,c'est mon avis...

et après un trou de 60 ans,et la fabrication d'un modéle tout a fait différent,on ne peut absolument pas dire qu'il y a une continuité,comme c'est le cas pour seat,rolls et les autres...

 

 

Je respecte ta façon de penser, mais je vis avec mon temps.

Les nouvelles pour certains sont déjà des "voitures de collections " !

 

Pour la continuité, c'est un faux débat. Je veux bien admettre que la période italienne était plus financière qu'autre chose, encore que....mais je réserverai davantage mon jugement sur ce qui est en train de se construire.

( Pourquoi avoir fait renaître la marque à Molsheim, il était tellement plus simple de le faire ailleurs....comme les exemples que tu cite )

 

:)

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je vais être brutal,mais....

peut -etre ettore aurait eu a nouveau une idée totalement différente,et se serait-il consacré a la fabrication de machines a coudre....

de chariots élévateurs...

d'appareils photos....

peut-être la société bugatti,si elle existait encore,vendrait actuellement des ordinateurs...

des mobylettes...

des boites en plastique...

on n'en sais rien...

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