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Les Japonaises

[Topic Officiel] Les Toyota des '80 & '90 : Le géant du soleil levant


Invité §Yar380xl
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Messages recommandés

Rétréci au lavage? Un peu comme le petit 4x4 Mitsubishi qui ressemblait au Pajero mais rétréci : le Pinin je crois?

Sauf que pour les Previa / Estima, c'est la meme plate forme et les memes mécaniques.

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Invité §Yar380xl

Il est beau le Runner, c'est rare dans cet état.

+1, il est vraiment chouette :)

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Invité §Yar380xl

Toyota FJ Cruiser -La Chapelle d'Abondance - Juillet 2015

 

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Plus récent mais assez rare par chez nous. C'est marrant que tu le publies maintenant parce que pas plus tard que ce matin, il y en avait un garé devant ma petite Yaris TS :)

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Invité §Yar380xl

Les Celica 80's et 90's : du coupé GT au titre de Champion du Monde

 

Bon, ça faisait longtemps et le topic commence à s'éteindre petit à petit... Donc je reprends un peu de temps pour parler d'un modèle emblématique de Toyota : la Celica. Dans les années 60, le constructeur japonais propose un offre sportive composée principalement de la petite Sports 800, et surtout de la rare et sublime 2000 GT. Seulement, au début des années 70, la mode est plutôt aux gros coupés au design de muscle car. Les Ford, Dodge, Chevrolet... Font rêver. Opel commence donc à construire des modèles dessinés comme ces Américaines, MG implante un gros V8 dans son coupé B, Ford propose la Capri pour le marché européen,... Et Toyota présente la Celica. Un design de mini-Mustang avec des moteurs 4-cylindres raisonnables en cette période de crise pétrolière et en propulsion. Cette première génération connaîtra un beau succès, et reste une des anciennes Toy' les plus emblématiques. Modèle seventies et plus oldtimer que youngtimer, je ne m'attarde pas trop à le détailler.

 

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Cette première Celica est commercialisée de 1971 à 1977, année où elle laisse la place à une deuxième génération très méconnue aujourd'hui.

La Celica mk2 a connu deux phases. La première, de 1977 à 1979, est plus sympathique avec l'intérieur de ses optiques avant arrondi. Proposée en carrosseries coupé et liftback, elle reste comme la première génération une propulsion.

 

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La phase 2, commercialisée de 1979 à 1981, se caractérise par ses optiques rectangulaires :

 

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D'un point de vue motorisations, la Celica propose une offre assez large, qui varie selon les pays. Chez nous, on trouve sous son capot un moteur 1.6 (1588 cm³), dont la puissance est de 83 ch (boite manuelle) ou 73 ch (boite automatique) ; un autre 1.6 équipant la 1600 GT (104 ch) et un moteur 2.0 (1968 cm³, 113 ch) dans la 2000 GT. A la fin de l'année 1979, l'usine a proposé une version rallye groupe 4 sortant 230 ch à 8000 trs/min.

 

Certains carrossiers élaboreront des cabriolets sur base de cette Celica.

 

La troisième génération de Celica sort en 1981. Il s'agit toujours d'une propulsion proposée avec une large palette de motorisations, dont l'impressionnant 6 cylindres 2.8 170 ch de la Celica Supra. On retrouve outre cette version un 1.6, un 1.8, un 2.0 et même un 2.4 pour le marché américain (100 ch à 4800 trs/min, des valeurs bien locales :p ). Toujours disponible en carrosserie Coupé ou Liftback, cette troisième Celica possède un design plus typé eighties que sa devancière.

 

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Au sommet de la gamme, la rare mais efficace Celica Supra préfigure celle qui deviendra un modèle à part entière :

 

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Mais au final, la seule génération de Celica qui reste dans les mémoire est toujours la première, à la limite un peu la Celica Supra. Cela va changer en 1986 avec la quatrième génération. Celle du changement à plusieurs points de vue : tout d'abord la transmission, puisque cette Celica n'est plus une propulsion, mais une traction, voire une 4 roues motrices en haut de gamme. Ensuite, il s'agit de la première Celica à offrir une version cabriolet officielle, d'usine, mais elle reste extrêmement rare.

 

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L'énorme changement concerne l'image sportive du modèle. Toutes les générations précédentes ont couru en rallye, mais en restant relativement confidentielles. Cette mk4 va changer la donne, avec sur le plan international des pilotes comme Armin Schwartz et surtout Carlos Sainz qui remporta son premier titre de champion du monde à son volant en 1990. D'un point de vue national, on peut retenir notamment le premier titre de champion de Finlande pour Marcus Grönholm et en Belgique les voitures de Toyota Belgique préparée par le génial atelier Breuer de Manderfeld (pour la petite histoire, ce garage existe encore et est toujours concessionnaire Toyota, mais à St-Vith).

 

Sous le capot, la Celica est proposée avec un 1.6 et des 2.0, dont le 2.0 Turbo de la superbe GT-Four, la version 4WD (165 ch).

 

La cinquième génération de Celica, qui sort en 1990, est une profonde évolution de la précédente. Elle est aujourd'hui la plus mythique et la plus recherchée des Celica. Toujours traction et 4WD, toujours disponible en coupé et cabriolet, elle dispose simplement d'un design plus rond, dans la lignée du bio-design japonais typique des années 90. Elle est toujours proposée en 1.6 sur les versions de base, mais la première déclinaison vraiment sportive est la Celica GTi. Elle est motorisée par un 2.0 156 ch et est également disponible en cabriolet. Ne valant pas grand chose, elle est aujourd'hui une belle alternative aux super-GTi des années 90.

 

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Mais les versions les plus sportives restent bien sûr les GT-Four à 4 roues motrices et moteur turbo. Disposant d'environ 200 ch selon les marchés, c'est surtout grâce à la version "Carlos Sainz" que nous la connaissons ici. Cette série limitée à 5000 exemplaires en Europe est la Celica la plus courue et cotée.

 

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Car cette Celica aura un superbe palmarès en rallye, avec pour couronner le tout trois titres pilotes en WRC : Carlos Sainz en 1992, Juha Kankkunen en 1993 et Didier Auriol en 1994.

 

La sixième génération de Celica apparue en 1994 sera plus boudée par les puristes. Proposée en 1.8 et 2.0, elle dispose toujours de versions à traction et 4 roues motrices.

 

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En rallye, elle obtient un palmarès moins satisfaisant que les deux versions précédentes. Un titre de champion d'Europe pour Armin Schwartz en 1996 et plusieurs titres nationaux dont encore celui de Finlande pour Marcus Gronholm. En WRC, la voiture marque quelques points durant la saison 1995, avant d'être disqualifiée suite à un contrôle technique non-réglementaire de la voiture de Didier Auriol. Il s'agit de la dernière Celica à courir en WRC, avant son remplacement par la Corolla WRC en 1998.

 

La dernière Celica qui entre peu à peu dans le monde des youngtimers est la septième et dernière génération du modèle de 1999. Proposée uniquement en traction, elle disposera de deux motorisations 1.8 VVT-i : une version 143 ch décrite comme un peu molle, et la version TS (Toyota Sport) motorisée par le sublime 1.8 VVTL-i 192 ch, le "VTEC de Toyota". La version TS devient de plus en plus rare en bon état, mais elle propose des sensations mécaniques de premier ordre.

 

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Une Celica TS phase 2 (2003-2006) légèrement modifiée avec des accessoires de chez Toyota Team Europe.

 

Les dernières Celica furent vendue en 2006, marquant la fin du modèle, au même moment que la MR2, et plongeant Toyota dans des années sans véritable sportive (à l'exception de la Yaris TS mk2, loin d'être aussi sportive que la mk1) jusqu'à l'apparition de l'actuelle GT86.

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Invité §Yar380xl

Toyota MR2 : un petit air de Lotus

 

Après la Celica, attaquons avec un autre modèle sportif emblématique de Toyota, la MR2, ou MR voire MR-S selon les marchés. A mes yeux, elle reste une de mes Toyota favorites. La particularité de ce modèle est son architecture de voiture de course, puisqu'il s'agit d'une propulsion à moteur central arrière.

 

L'idée d'un petit coupé sportif à moteur central arrière se creuse chez Toyota au début des années 1980. Les ingénieurs de la marque commencent peu à peu à tabler dessus. En 1982, Colin Chapman, le fondateur de Lotus, décède d'une crise cardiaque, à l'âge de 54 ans, laissant sa marque orpheline. C'est à cette époque que Toyota se rapproche de la marque anglaise, profitant de son savoir-faire en petites voitures ultra-sportives et légères. En 1984,Toyota présente la première MR2.

 

Tout d'abord, revenons sur la dénomination MR2. Il s'agit de l'acronyme de "Mid-engine, Rear-wheel-drive & 2-seat", soit en français : moteur à position centrale, propulsion, 2 places. La mk1 (type de chassis AW10 et AW11) est disponible en deux carrosseries : coupé et T-bar (cabriolet targa). Elle est motorisée par des moteurs 1.5 et 1.6 atmo ainsi qu'un 1.6 Compresseur non-importé sur le marché européen. Cette première MR2 ne sera jamais commercialisée en France, mais on peut la trouver dans des pays voisins tels que la Belgique, l'Allemagne, les Pays-Bas, l'Angleterre, la Suisse,... où elle est disponible avec le moteur 1.6 124 ch des Corolla GT AE82 et AE86 notamment. Dans certains pays comme l'Allemagne, ce moteur ne développe que 115 ch car le catalyseur y était déjà obligatoire à l'époque ; si vous désirez une MR2 mk1 avec "toute" sa puissance, il faudra vous tourner vers l'Angleterre, la Belgique ou les Pays-Bas.

 

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Avec des dimensions de 3,92 x 1,66 x 1,25 m, la MR2 mk1 est un coupé très compact. Et léger aussi, puisque son poids à vide est de 920 kg (960 pour la version à compresseur).

 

La MR2 laisse sa place à une deuxième génération en 1989 (type chassis SW20). Plus grande, plus lourde et surtout plus puissante, beaucoup l'appellent la "Baby-Ferrari" (et cela ce vérifiera malheureusement parfois par l'installation de kits douteux) du fait de son architecture et son design qui rappellent les Ferrari 348 et 355. Disponible en deux carrosseries (coupé avec ou sans toit ouvrant et cabriolet targa), cette deuxième générations propose selon les marchés plusieurs moteurs atmo et turbo, allant de 121 à 245 ch. Mais chez nous, elle n'est disponible qu'en une motorisation : le 2.0 156 ch également présent sous le capot de la Celica GTi, qui propose des performances très honnêtes, avec par exemple une vitesse de pointe de 224 km/h.

 

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Cette SW20 subira quelques petites modifications pour faire une longue carrière de 10 ans, pour arriver à la présentation de la troisième génération (ZZW30) en 1999. Celle-ci tranche radicalement avec les deux précédents opus puisqu'il ne s'agit plus de coupé ou targa, mais bien d'un roadster deux places d'une carrosserie similaire aux Mazda MX-5 et Fiat Barchetta. Néanmoins, elle conserve son architecture de moteur central arrière et propulsion, ce qui la met en concurrence directe avec la MG F. Plus petite et légère que sa devancière, elle se rapproche plus du format de la première MR2. Sous le capot, on ne trouve qu'un seul moteur : un 1.8 VVT-i atmosphérique de 143 ch également présent sous le capot de la Celica contemporaine. Initialement couplé à une boite 5 manuelle, il pourra ensuite être choisi soit en boite manuelle 6 vitesses, soit en boite séquentielle 6 vitesses SMT (la manuelle est à préférer si vous envisager l'achat de cette MR2, car plus fiable).

 

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La carrière de la MR2 s'est arrêtée en même temps que celle de la Celica, au début de l'année 2007, mettant ainsi fin à ce petit modèle sympa. Aujourd'hui, il est facile de trouver de beaux exemplaires, surtout de la mk3, mais il faut malheureusement parfois y mettre le prix, et il n'est pas rare de compter 7.000 à 10.000€ pour quelque chose de beau. Toutefois, si vous êtes un peu moins exigeant, vous trouverez du très correct à plus bas prix.

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Jolis posts !!!

 

Juste une petite remarque, pour moi ils auraient été parfaits si tu avais pu ajouter les nom de châssis des Celica...

 

Mais beau boulot quand même :D

Le frère d'un ami à moi retape une 2.0 de 1991, j'ai hâte de voir ce que ça va donner !

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Invité §Yar380xl

Toyota Supra : Supra sportive !

 

La super-sportive de Toyota, c'est la Supra. Alors que la plupart des gens connaissent surtout la dernière version, très prisée des tuners et mouture de Paul Walker dans Fast and Furious ; il semble bon de retourner quelques années auparavant pour (re)découvrir les origines de ce fougueux monstre japonais.

 

La Supra est en fait la descendante de la mythique 2000 GT. Au départ, elle n'était pas un modèle à part entière mais la déclinaison haut de gamme de la Celica. Elle fut commercialisée en avril 1978, uniquement sur les marchés japonais (Celica XX) et nord-américain (Celica Supra). Le but de ce nouveau modèle est alors de concurrencer les Datsun Z. La base du modèle est la Celica Liftback qui a été allongée pour recevoir un 6-cylindres en ligne. Elle était motorisée par un 2.0, un 2.6 ou un 2.8 allant de 110 à 145 ch et pouvant être couplés à une boite 5 manuelle ou une boite 4 automatique. Un différentiel autobloquant était disponible en option.

 

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Elle fut remplacée en mai 1981, soit en même temps que la Celica. La nouvelle version est toujours disponible au Japon et en Amérique du Nord, mais également en Europe. D'un point de vue design, la ligne s'éloigne de la Celica servant de base. Par rapport à la première Supra, des phares rétractables ont fait leur apparition. Motorisée par un 6-cylindres en ligne 2.8 170 ch, c'est une vraie GT. Elle est considérée comme la première "vraie" Supra.

 

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La Celica Supra essayée par l'Automobile Sportive, à lire ici : http://www.automobile-sportive [...] pramk2.php

 

La Celica est remplacée en 1986, la Supra aussi. Mais elle se séparent définitivement. La Supra reste une propulsion. Elle est proposée en deux carrosserie (coupé et cabriolet targa, uniquement sur les versions atmo) et a été commercialisée en trois phases.

 

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La phase 1 est vendue de 1986 à 1988. Elle dispose d'un 6-cylindres en ligne atmosphérique 3.0 de 204 ch (version turbo disponible en Allemagne). En 1988, la Supra phase 2 fait son apparition. Elle est légèrement restylée, apporte quelques modifications d'équipement et on trouve surtout un turbo dans son moteur, qui délivre désormais 235 ch. La phase 3 gagnera 3 ch, de nouvelles jantes et le nouveau logo Toyota sur le capot. Elle existera en version atmosphérique sur certains marchés.

 

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Il y eut également la série spéciale Turbo-A, produite à 500 exemplaires entre 1988 et 1992 pour l'homologation en rallye Groupe-A. Le moteur 3.0 était alors poussé à 266 ch, et un logo "Turbo-A" était collé sur les cotés.

 

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La quatrième génération de Supra prend le relais en 1993. Équipée d'un 6-cylindres en ligne 3.0, en version atmo (220 ch) ou biturbo (330 ch) selon les marchés, c'est la Supra la plus connue car très prisée des préparateurs. En effet, son moteur, le fameux 2JZ-GTE, constitue une bonne base capable d'encaisser beaucoup plus de puissance : certaines préparations ont dépassé les 1000 ch !!

 

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La dernière Supra s'est assez mal vendue dans nos contrées (sauf en Allemagne, en Angleterre et en Suisse), et sa commercialisation s'y est achevée en 1996. Ce n'est pas le cas sur tous les marchés, et les derniers exemplaires ont été vendus au Japon en 2002. Elle est notamment connue pour être la voiture utilisée par Paul Walker dans Fast And Furious 1 :

 

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Aujourd'hui, la Supra appartient au passé. Et pourtant, Toyota continue de présenter des concepts de super-car semblant annoncer une cinquième génération (Volta, FT-HS,...). Le dernier en date, la FT-1 de 2014, préfigurerait bel et bien la prochaine Supra, si l'on en croit les dernières annonces de la marque sur ce sujet...

 

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Invité §Yar380xl

Jolis posts !!!

 

Juste une petite remarque, pour moi ils auraient été parfaits si tu avais pu ajouter les nom de châssis des Celica...

 

Mais beau boulot quand même :D

Le frère d'un ami à moi retape une 2.0 de 1991, j'ai hâte de voir ce que ça va donner !

Merci beaucoup :) C'est vrai que j'aurais pu retaper les numéros de chassis, j'y avais pensé en plus...

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Invité §Yar380xl

Toyota Paseo : coupé de poche

Pour clôturer cette petite série consacrée aux coupés sportifs Toyota youngtimers, partons vers les années 90 pour retrouver un modèle quasiment tombé dans l'oubli et pourtant sympathique : la Paseo.

 

Ce petit coupé a fait son apparition dans une version totalement inconnue chez nous en 1991. Il était alors disponible au Japon (Cynos), en Océanie et aux Etats-Unis (Paseo), avec une unique motorisation 1.5 de 100 ch et basé sur le chassis des Tercel et Starlet contemporaines.

 

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Cette première génération fut commercialisée jusqu'en 1995, quand fut présentée sa remplaçante. La nouvelle Paseo arrive chez nous en 1996. Alors qu'elle est proposée au Japon en 1.3 86 ch ou 1.5 110 ch ; dans le reste du monde et par conséquent chez nous, elle dispose d'un 1.5 90 ch. Ce moteur ne fait pas de la Paseo un foudre de guerre, mais la rend tout de même vive et sympathique à mener. Elle concurrence alors la Nissan 100 NX.

 

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Sympathique petite voiture, cette Paseo l'est encore plus dans sa rare version cabriolet. Alors que le coupé était fabriqué au Japon, le cabriolet nous vient de Californie. Il est commercialisé à partir de 1997.

 

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La commercialisation s'arrête en 1997 aux Etats-Unis, et en 1999 sur les autres marchés. Voiture méconnue, rare et sans image, la Paseo ne vaut aujourd'hui plus rien. Comptez 1500 à 2000€ pour un beau modèle. Néanmoins, la version cabriolet, encore plus rare, peut parfois valoir bien plus. Une bonne alternative pour une première voiture pas trop chère, fiable et sympathique !

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Invité §Yar380xl

Les citadines : de la Starlet à la première Yaris

Aujourd'hui, la Yaris est un des modèles les plus vendus chez Toyota, notamment grâce à son lieu de fabrication, Valenciennes, dans le nord de la France. Cette petite voiture s'est fait connaitre dès sa première génération, commercialisée de 1999 à 2006, et qui reste selon moi la plus jolie. Mais il est intéressant de se replonger dans les modèles qui ont précédé la Yaris, et de retrouver les différentes générations de Starlet.

 

La première génération de Starlet est apparue au Japon en 1973 pour succéder à la Publica. Il s'agit alors d'une propulsion disponible en carrosseries 2 et 4 portes ainsi que break. Ce modèle est totalement inconnu chez nous.

 

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Il laisse sa place à une deuxième génération en 1978. Celle-ci arrive dans certains pays d'Europe, mais pas en France. Son succès est très limité, notamment à cause de sa transmission aux roues arrières, alors que la plupart de ses concurrentes sont désormais des tractions avant. Disponible en 3 et 5 portes, la Starlet est alors motorisée par des 4-cylindres de 993 cm³ (47 ch) et 1166 cm³ (56 ch). Un moteur plus puissant de 1290 cm³ et 72 ch était aussi au programme, mais uniquement pour le Japon. La deuxième Starlet pouvait coupler ses moteurs à une boite manuelle (4 ou 5 vitesses) ou automatique (3 vitesses).

 

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La Starlet mk2 fut légèrement restylée en 1981. Aujourd'hui, il s'agit d'une ancienne facile à vivre : robuste, fiable, pas chère... Mais difficilement trouvable ! Certains fans de voitures japonaises s'amusent à les préparer, grâce à leur architecture de propulsion très légère.

 

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La troisième génération de Starlet arrive en 1984. Il s'agit alors d'une toute nouvelle voiture. La transmission se fait enfin aux roues avant, de tout nouveaux moteurs sont au programme. Il s'agit de pétillants 4-cylindres 12 Soupapes : un 999 cm³ de 54 ch et un 1295 cm³ dont la puissance varie selon les marchés (75 ch en Europe). Toujours disponible en boite manuelle ou automatique, cette nouvelle Starlet n'est toujours pas vendue en France, mais l'est dans certains pays voisins, comme la Belgique. Grâce à ses dimensions réduites (l'empattement est d'ailleurs similaire à celui de la génération précédente), la Starlet reste ultra-légère (de 700 à 740 kg selon les versions).

 

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Mais les Starlet les plus connues chez nous restent les deux dernières générations. La quatrième Starlet est apparue en 1989 au Japon et l'année suivante chez nous. Enfin importée en France, elle l'est néanmoins de manière très réduite, puisque seuls les deux moteurs de la précédente génération sont proposés. Les Japonais auront droit à des motorisations plus puissantes, dont un 1331 cm³ de 100 ch (disponible en 4x4), voire 135 en version turbo. Un moteur diesel atmosphérique 1453 cm³ de 54 ch est également proposé sur certains marchés, notamment en Belgique. Une boite automatique est disponible en option, mais uniquement sur le moteur 1.3 ; et une déclinaison SI au look plus sportif est également proposée sur le même moteur.

 

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La cinquième et dernière génération de Starlet apparaît en 1996. Les moteurs sont de nouveaux variés en fonction des marchés (avec notamment la fameuse Glanza japonaise qui reprend le moteur turbo 1331 cm³ de 135 ch et qui est très prisée des passionnés), mais dans nos contrées, ce sont toujours ceux de l'ancienne génération qui opèrent, à l'exception du 1000 qui est passé à la trappe. En France, on ne trouve donc que l'unique 1.3 de 75 ch, en boite manuelle ou automatique. La Starlet de 1996 est toujours disponible en trois et cinq portes.

 

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Bien que très fiable, la Starlet ne bénéficie malheureusement pas d'une grande image, et le look fade de la dernière génération ne l'aidera pas à trouver le succès. C'est ainsi qu'elle laisse sa place à la première génération de Yaris en 1999.

 

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La nouvelle Yaris apporte un vent de fraîcheur dans la gamme Toyota. Un look jeune et dynamique (elle donne un coup de vieux à la plupart de ses concurrentes, excepté la Peugeot 206), elle est surtout très mignonne et fun, un peu comme le Rav4 contemporain. Sous le capot dans un premier temps, les moteurs restent dans la continuité de la Starlet, avec des 4-cylindres essences 1.0 VVT-i (998 cm³, 68 ch à 6000 trs/min) et 1.3 VVT-i (1298 cm³, 84 ch à 6000 trs/min). Arriveront ensuite un 1.5 VVT-i (1497 cm³, 106 ch à 6000 trs/min) pour les versions sportives TS et la Yaris Verso et un moteur diesel 1.4 D4-D (1364 cm³, 75 ch à 4000 trs/min). Voiture de l'année 2000, elle est disponible en trois carrosseries : 3 portes, 5 portes et monospace (Yaris Verso).

 

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La pétillante mais méconnue version TS ou T-Sport (pour Toyota Sport) est une excellente petite GTi, dans la lignée des Golf et 205 des années 70 et 80. Motorisée par le 1.5 VVT-i en boite 5 manuelle, elle avale le 0 à 100 km/h en 9,3 sec et permet une vitesse max de 190 km/h.

 

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Pratique, le Yaris Verso propose un important volume intérieur et de nombreuses astuces de rangement.

 

Ce qui a aussi aidé le succès de la Yaris, c'est l'usine construite par Toyota près de Valenciennes pour l'assembler. Depuis le 31 janvier 2001, les Yaris vendues chez nous sont donc fabriquées en France, à l'exception de la TS qui était importée du Japon. La Yaris est restylée en 2003, et la puissance de ses moteurs essence change légèrement (le 1.0 passe de 68 à 65 ch, le 1.3 de 84 à 87 ch et le 1.5 de 106 à 105 ch). Les autres changements sont d'ordre esthétique avant tout.

 

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La Yaris "normale" et la Yaris TS, après le restylage de 2003.

 

La première Yaris a terminé sa carrière en 2006, laissant place à la deuxième génération. Aujourd'hui, la petite Toyota en est à sa troisième génération.

 

Si vous recherchez une citadine facile à vivre et peu coûteuse, ultra-fiable et pas trop gourmande, les Starlet et la première Yaris sont faites pour vous. Elle ne valent plus grand chose en occasion, et en plus, vous pouvez disposer d'une voiture fun (Starlet et Yaris 1.3) voire efficace et performante (Yaris TS).

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Invité §Yar380xl

Merci pour ces sympathiques articles très enrichissants, @§Yar380xl.

 

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Toyota Land Cruiser -Thonon-les-Bains - Juillet 2015

 

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De rien ;) Vraiment chouette le Land Cruiser :)

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Invité §Yar380xl

Les monospaces "moyens" : Picnic et Avensis Verso

 

Dans les années 90, Toyota propose un monospace, le Previa, et un van, le Hiace. Mais le constructeur envisage un modèle plus petit, et c'est ainsi qu'est présenté le Picnic en 1995 au Japon.

 

Ce modèle nous arrive en 1997. Il emprunte la base de la Carina E. Il ne propose au départ que des motorisations essence. Un 1.8 sur certains marchés, mais chez nous seul le plus gros moteur est proposé, le 2.0 128 ch déjà présent sous le capot du Rav4, et pouvant être couplé à une boite manuelle ou automatique. Disponible en 5, 6 ou 7 places, le Picnic propose néanmoins un espace de coffre réduit dans ces deux dernières configurations.

 

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Afin d’accroître ses chances dans nos contrée, le Picnic accueille un nouveau moteur en 1999, un 2.2 Turbo-diesel de 90 ch, qui l'accompagnera jusqu'au bout de sa carrière à la fin de l'année 2001.

 

A cette date apparaît son remplaçant. Toujours nommé Picnic sur certains marchés, il prend le nom chez nous d'Avensis Verso. Comparé au Picnic, son coffre est agrandi. Il reprend les motorisations du Rav4, à savoir en essence le 2.0 VVT-i de 150 ch (boite manuelle et automatique) et en diesel le 2.0 D4-D de 116 ch en boite manuelle.

 

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L'Avensis Verso est restylé en 2004, avec les mêmes motorisations au programme et des changements d'ordre esthétique.

 

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Malgré ce restylage, le succès de l'Avensis Verso est faible, et encore plus après la sortie de la deuxième génération de Corolla Verso. Sa carrière s'arrête à la fin de l'année 2006, au même moment que la Celica, la MR2 et la Previa.

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Les monospaces "moyens" : Picnic et Avensis Verso

Dans les années 90, Toyota propose un monospace, le Previa, et un van, le Hiace. Mais le constructeur envisage un modèle plus petit, et c'est ainsi qu'est présenté le Picnic en 1995 au Japon.

 

Ce modèle nous arrive en 1997. Il emprunte la base de la Carina E. Il ne propose au départ que des motorisations essence. Un 1.8 sur certains marchés, mais chez nous seul le plus gros moteur est proposé, le 2.0 128 ch déjà présent sous le capot du Rav4, et pouvant être couplé à une boite manuelle ou automatique. Disponible en 5, 6 ou 7 places, le Picnic propose néanmoins un espace de coffre réduit dans ces deux dernières configurations.

 

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http://images.honestjohn.co.uk [...] %20(2).jpg

 

Afin d’accroître ses chances dans nos contrée, le Picnic accueille un nouveau moteur en 1999. Il s'agit d'un 2.2 Turbo-diesel de 90 ch, pour continuer sa carrière jusque fin 2001.

 

A cette date apparaît son remplaçant. Toujours nommé Picnic sur certains marchés, il prend le nom chez nous d'Avensis Verso. Comparé au Picnic, son coffre est agrandi. Il reprend les motorisations du Rav4, à savoir en essence le 2.0 VVT-i de 150 ch (boite manuelle et automatique) et en diesel le 2.0 D4-D de 116 ch en boite manuelle.

 

http://www.mynrma.com.au/media [...] a_2002.jpg

http://www.automobilesreview.c [...] rso-04.jpg

 

L'Avensis Verso est restylé en 2004, avec les mêmes motorisations au programme et des changements d'ordre esthétique.

 

https://images.caradisiac.com/l [...] -verso.jpg

http://img4.autodeclics.com/ph [...] 016248.jpg

http://s1.cdn.autoevolution.co [...] 3572_6.jpg

 

Malgré ce restylage, le succès de l'Avensis Verso est faible, et encore plus après la sortie de la deuxième génération de Corolla Verso. Sa carrière s'arrête à la fin de l'année 2006, au même moment que la Camry, la Celica, la MR2 et la Previa.

 

Ca tombe bien, j'avais un Toyota Picnic à proposer. :D

 

Toyota Picnic -Evian-les-Bains - Juillet 2015

 

IMG_1130.jpg

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Invité §Yar380xl

Ca tombe bien, j'avais un Toyota Picnic à proposer. :D

 

Toyota Picnic -Evian-les-Bains - Juillet 2015

 

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Des monospaces incassables, une connaissance a fait plus de 440.000 km avec le sien !

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Invité §Yar380xl

 

Dans le même genre, un poil plus ancien, il y a mon Nissan Prairie. :p

 

 

 

IMG_1300.jpg

Très sympa aussi ! C'est ceux sans montant de porte ? Il y avait aussi les Mitsubishi Space Wagon et Honda Shuttle :)

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Je suis toujours ce topic en sous-marin, je poste rarement mais j'aime tes articles qui sont d'une grande qualité. Continue comme ça. :bien:

 

En plus, on découvre plein de voitures exotiques, j'aime beaucoup la Paseo par exemple ! :p

 

Je crois n'en avoir jamais croisé une en vrai. :(

 

 

Dans le même genre, un poil plus ancien, il y a mon Nissan Prairie. :p

 

 

 

IMG_1300.jpg

 

 

Je ne savais pas que tu avais un Nissan Prairie ! J'adore cette voiture. :rs:

 

Il paraît que la rigidité est assez calamiteuse en l'absence de montant central, tu confirmes ? :??:

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Invité §Yar380xl

Je suis toujours ce topic en sous-marin, je poste rarement mais j'aime tes articles qui sont d'une grande qualité. Continue comme ça. :bien:

 

En plus, on découvre plein de voitures exotiques, j'aime beaucoup la Paseo par exemple ! :p

 

Je crois n'en avoir jamais croisé une en vrai. :(

 

 

Merci beaucoup :) Fait un petit tour à Liège (Belgique), il y a quelques Paseo :p

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Très sympa aussi ! C'est ceux sans montant de porte ? Il y avait aussi les Mitsubishi Space Wagon et Honda Shuttle :)

 

 

Je ne savais pas que tu avais un Nissan Prairie ! J'adore cette voiture. :rs:

 

Il paraît que la rigidité est assez calamiteuse en l'absence de montant central, tu confirmes ? :??:

 

C'est la première génération qui n'avait pas de montant central. Ce n'est pas le cas de cette seconde phase. ;)

 

Mais depuis juin que je l'ai récupéré, je n'en ai pas encore profité : je recherche en vain après un clignotant avant côté conducteur... A croire que c'est introuvable. :mad:

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Invité §Yar380xl

C'est la première génération qui n'avait pas de montant central. Ce n'est pas le cas de cette seconde phase. ;)

 

Mais depuis juin que je l'ai récupéré, je n'en ai pas encore profité : je recherche en vain après un clignotant avant côté conducteur... A croire que c'est introuvable. :mad:

Effectivement, j'ai remarqué les montants sur le topic consacré à ta Prairie. Le cligno c'est pas un truc standard que tu pourrais trouver sur d'autres Nissan ?

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Toujours un plaisir de lire une aussi bonne qualité de rédaction et bien illustrée!

La Paseo, j'en croise une ou deux dans le 84. C'est une auto que je trouve très fade de ligne. Mais il en faut pour tout le monde.

La MR2 en 2nde génération et turbo me plaît bien plus.

De même que la Supra 1ère du nom...faut les trouver les belles.

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C'est la première génération qui n'avait pas de montant central. Ce n'est pas le cas de cette seconde phase. ;)

 

Mais depuis juin que je l'ai récupéré, je n'en ai pas encore profité : je recherche en vain après un clignotant avant côté conducteur... A croire que c'est introuvable. :mad:

 

 

D'accord. ;)

 

Dommage pour ton clignotant, le problème des pièces est récurrent quand on a une bizarrerie sur quatre roues. Je suis passé par là aussi. :bah:

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Invité §Yar380xl

Toujours un plaisir de lire une aussi bonne qualité de rédaction et bien illustrée!

La Paseo, j'en croise une ou deux dans le 84. C'est une auto que je trouve très fade de ligne. Mais il en faut pour tout le monde.

La MR2 en 2nde génération et turbo me plaît bien plus.

De même que la Supra 1ère du nom...faut les trouver les belles.

Merci beaucoup :) Bien d'accord que la Paseo est sympa mais ne déchaîne pas les foules par rapport à une MR2 ou une Supra :lol:

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Invité §Yar380xl

Toyota Starlet - Herseaux - Octobre 2015

 

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Ce qui est cool avec ces Starlet, c'est qu'elles ont souvent été achetées par des personnes âgées qui en ont pris soin et ne les ont pas trop kilométrées. Du coup, ce sont de bonnes affaires :) Il y en a une belle dans ma ville qui a été en vene il y a peu (58.000 km ! Etat showroom), je la photographierai si je la recroise :)

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Ce qui est cool avec ces Starlet, c'est qu'elles ont souvent été achetées par des personnes âgées qui en ont pris soin et ne les ont pas trop kilométrées. Du coup, ce sont de bonnes affaires :) Il y en a une belle dans ma ville qui a été en vene il y a peu (58.000 km ! Etat showroom), je la photographierai si je la recroise :)

 

 

Il est vrai que, bien souvent, les exemplaires que je croise sont aux mains de personnes âgées. :p

 

La marque sœur de Toyota, c'est Daihatsu. Voici une Charade croisée le mois dernier près d'Avesnes-sur-Helpe. Guère courant dans nos contrées.

 

 

IMG_2676.jpg

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Invité §Yar380xl

 

Il est vrai que, bien souvent, les exemplaires que je croise sont aux mains de personnes âgées. :p

 

La marque sœur de Toyota, c'est Daihatsu. Voici une Charade croisée le mois dernier près d'Avesnes-sur-Helpe. Guère courant dans nos contrées.

 

 

IMG_2676.jpg

Et encore moins courant, la bombinette Charade GTti et son moteur 3-cylindres turbo 993 cm³ de 101 ch à 6500 trs/min (régime max à 7400) pour 782 kg à vide (0-100 km/h en 8,2 sec et 184 km/h en v max). Voici son topic : Cette url n'existe plus

 

http://petrolblog.com/wp-content/uploads/2011/03/Real-World-Reviews-Daihatsu-Charade-GTti.jpg

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