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Les Allemandes

[Topic officiel] BMW M1 : L'échec d'une GT réussie...


jensen
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BMW M1 : L'échec d'une réussite...

 

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Pour raconter l'histoire de cette fabuleuse GT (qui aura aussi le privilège d'être un gigantesque bide commercial...) il nous faut remonter à 1972.

 

Cette année-là doivent avoir lieu les jeux Olympiques d'été à Munich, patrie de BMW (ceux qui s'y sont déjà rendus savent qu'entre l'Olympia Park et les usines de la firme il n'y a qu'un boulevard à traverser).

 

L'Etat-Major de la marque à l'hélice a alors en tête de fêter l’événement (qui sera hélas endeuillé par le massacre de plusieurs athlètes Israéliens par un commando de l'OLP) en présentant un concept-car original.

 

Pour ce faire le designer Paul Bracq, un français qui a passé plusieurs années chez le concurrent Mercedes, a pour mission de concevoir un engin novateur, tant dans le domaine de la sécurité que de l'ergonomie, et qui serait propulsé par un moteur turbocompressé.

 

 

Une auto au look franchement novateur pour son époque.

 

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Présentée à la presse le 23 août 1972 cette fameuse "BMW Turbo Studie" va faire couler beaucoup d'encre et de salive :

 

-Moteur en position central-transversal, une première pour le constructeur Bavarois

-Radar anti-collision

-Structure déformable en cas de collision

-Faces avant et arrière de couleur "rouge fluo" dans la mouvance de l'époque qui est à la mode aux teintes dites "de sécurité" (Jaune, orange, vert pétant...)

 

Bien que très favorablement accueilli ce modèle ne sera jamais commercialisé, même si à priori cela était possible moyennant des investissements raisonnables et de petites modifications, mais les critiques qui fusèrent lors de la commercialisation de la bouillante 2002 Turbo en 1973, avec ses 170cv et son Turbo KKK tendance "On/Off" incitèrent le staff du constructeur à ne pas persévérer et à attendre des jours meilleurs...

 

Moyennant quelques modifications il était possible d'en commercialiser une version de série, mais le directoire ne souhaitait pas aller plus loin à cette époque...

 

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Ces derniers arrivent fin 1976, moment où le responsable compétition de BMW, Jochen Neerspach, est chargé par la direction de concevoir un projet de GT à hautes performances apte à être inscrit en Groupes 4 et 5.

Pour cela il devra être nécessaire de fabriquer 400 autos pour les besoins de l'homologation : Le Projet E26 est lancé et il sera le premier placé sous la houlette de l'entité Motorsport. :fier:

 

Afin de gagner du temps (les dirigeants de BMW veulent une présentation au plus tard fin 1978 pour courir dès le début de l'année suivante) on décide que Motorsport se focalisera uniquement sur le moteur, la partie structure/carrosserie étant sous-traitée.

 

Pour ce faire on prend langue avec Ital-Design pour le dessin d'une carrosserie inspirée du prototype de 1972, c'est Giugiaro lui-même qui se met sur la planche à dessins.

Il faut dire que le marché proposé est intéressant puisque non seulement l'artiste doit dessiner l'auto mais aussi en produire les composants, BMW n'ayant pas la compétence pour sortir une petite série de tels véhicules.

Et les panneaux de carrosserie en fibre de verre seront montés sur une structure de type tubulaire avec le moteur longitudinal en position centrale-arrière.

 

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Ici aussi la marque Bavaroise ne souhaite pas tergiverser et décide de contacter un constructeur qui commercialise pour son propre compte de telles autos : Lamborghini ! :oui:

 

Hélas à cette période le constructeur de Sant'Agata Bolognese traverse une de ses (fort nombreuses... :roll: ) mauvaises passes.

 

En situation de quasi-dépôt de bilan et en proie à de gros conflits internes il est clair qu'il ne lui sera pas possible de fournir le nombre de structures demandées dans les délais impartis, et d'ailleurs les quelques exemplaires livrés ne sont pas satisfaisants d'un point de vue qualitatif.

 

On abandonne la piste Lambo' au profit de Marchesi, un artisan de Modène qui sous-traite pour d'autres constructeurs prestigieux.

 

Il est donc convenu que le treillis tubulaire sera amené chez Ital-Design qui se chargera du montage des panneaux de carrosserie, du faisceau électrique ainsi que de l'application de la peinture, le tout étant ensuite transféré à Stuttgart chez Baur, un carrossier déjà en contrat avec BMW qui "décapsule" des séries 3 afin d'en faire une variante cabriolet après avoir déjà œuvré de manière identique sur les séries précédentes.

 

Une E21 après son passage chez Baur.

Cette transformation bénéficiait de l'aval officiel de BMW qui l'intégrait dans son catalogue, y compris en France.

Peu esthétique, très chère et en fin de compte plus "découvrable" que "cabriolet" cette opération était possible sur toutes les Séries 3, de la 3.15 à la 3.23i !

 

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Pour la mécanique les Allemands vont partir du six cylindres en ligne qui équipe déjà les coupés 3.0 CSi et vont le retravailler de A à Z :

 

-Lubrification par carter sec

-Culasse à 24 soupapes

-Allumage électronique Magneti-Marelli

-Injection mécanique Kugelfisher

Le légendaire six cylindres M88 est né ! :D

 

 

 

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Sa cylindrée poussée à 3453cm3 lui permet de développer la puissance de 277cv Din à 6500Trs, le tout associé à une boite mécanique ZF à cinq rapports.

 

C'est largement suffisant pour passer la barre symbolique des 260km/h (262 exactement).

 

 

 

 

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La suspension fait appel à quatre roues indépendantes, des bras triangulés et des combinés amortisseurs hydrauliques/ressorts hélicoïdaux.

 

1416kg sur la balance, des freins à disques ventilés de partout, seulement 5,6 secondes pour le 0 à 100km/h et 25,7 secondes le 1000m DA: La BMW M1 est une vraie GT ! :sol:

 

 

 

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On le voit aussi à ses dimensions : 4,36m de long mais 1,82m de large et surtout 1,14m de haut seulement !

 

Sa présentation officielle intervient en octobre 1978 lors du Salon de Paris mais l'homologation ne sera effective qu'au cours de l'année suivante et c'est là que surviennent les problèmes... :pfff:

 

Une fois de plus la FIA décide de modifier le règlement et la M1 arrivera un peu trop tard pour s'inscrire dans un Groupe 4 de toute façon voué à disparaître à très court terme... :bah:

 

Si on ajoute à cela la décision du directoire de BMW de se tourner vers une Formule 1 beaucoup plus médiatique en proposant des moteurs à Brabham on comprend que la M1 arrive désormais comme un chien dans un jeu de quille.

 

En France la voiture est proposée au prix astronomique de... 335 000Frs, soit plus de 146 000€ "2016" ! :eek:

 

 

Bien entendu à ce tarif on a droit à une très belle auto, très convenablement finie et performante. :jap:

 

Mais l'image du constructeur n'est pas encore au firmament du Panthéon automobile et surtout on reproche deux choses à la M1 (en plus de son prix) :

 

-Un intérieur bien construit et ergonomique mais basique, sans grande recherche et aux couleurs tristes.

 

 

C'est clair...

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... C'est net...

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... Mais c'est d'un tristounet... :pfff:

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-Un moteur qui n'a "que" 6 cylindres et ça, pour plus de "33 briques" mon bon Monsieur, ça ne passe pas du tout ! :nanana:

 

 

Ce groupe avait absolument TOUT pour plaire : Puissant, souple, fiable, supportant sans problème une utilisation urbaine au quotidien.

Une seule tare : N'avoir que six cylindres, et même pas en V par dessus le marché !

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D'autant qu'un petit tour chez la concurrence souligne le problème :

 

-295 000Frs pour une Ferrari BB512, certes au comportement et à la finition plus fantasque mais au 12 cylindres à plat inimitable et mélodieux, et ce sans parler de l'image du constructeur.

 

-340 000Frs contre une Lamborghini Countach S, avec le "Védouze" qui va bien et l'impression d'être aux commandes d'un vaisseau spatial (pas du tout fiable, mal fini et à l'ergonomie déplorable mais bon...) qui fait tourner toutes les têtes sur son passage et fait de vos 1,63m pour 85kg un nouveau Brad Pitt ! :hihi:

 

Bref la M1 est partie pour se vendre aussi bien qu'un cercueil à deux places et ce même si sa facilité de conduite au quotidien est éclatante par rapport à ses concurrentes transalpines, la BMW ne demandant pas un mollet d'athlète pour débrayer ni des biceps d'haltérophile pour tourner le volant... :D

 

 

La M1 était la GT la plus "facile" du moment, rien à voir avec une Ferrari BB512 ou une De Tomaso Pantera par exemple.

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En 1979 ce sont 79 exemplaires qui vont sortir des ateliers Baur : 41 "civiles" et 38 réservées à la compétition.

 

Un exemplaire est laissé entre les mains du Pape du Pop'Art, à savoir Andy Warhol.

Ce dernier réalise une décoration unique de la carrosserie avant que l'auto ne soit directement engagée aux 24 Heures du Mans.

 

 

Andy Warhol dans ses œuvres.

BMW a toujours travaillé avec les artistes contemporains, leur laissant une totale liberté. Certaines autos de la marque furent décorées par des gens comme Alexander Calder, Jeff Koons ou encore César Manrique.

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Elle finira à une très honorable sixième place aux mains de l'équipage Winkelhock, Mignot et Poulain (célèbre commissaire-priseur à l'origine du projet de décoration), ce sera d'ailleurs le meilleur résultat d'une M1 sur les terres Mancelles.

 

 

Une oeuvre d'art qui roule (vite) ! :sol:

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Une M1 va remporter les 1000km de Kyalami et d'autres accéderont à des places d'honneur que ce soit à Silverstone, Fuji ou encore Daytona, et ce jusque vers 1985.

 

La voiture a beaucoup de mal à se hisser au sommet du fait d'un poids qui reste trop élevé malgré les efforts de BMW pour le contenir aux alentours de 1000kg en compétition.

 

 

Trop lourdes en compétition et trop chères en concession les M1 ne feront guère d'étincelles...

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Ce modèle se fera par contre une belle publicité lors de la création du Championnat BMW M1 Procar.

 

Il s'agit à l'origine d'un accord passé par Motorsport avec les dirigeants de la Formule 1 afin de réaliser des courses monotype en lever de rideau des Grands Prix.

Les pilotes de F1 étaient tenus contractuellement d'y participer (sauf ceux de Renault et de Ferrari, considérés comme des constructeurs donc des concurrents il n'était pas envisageable de les obliger à faire courir leurs pilotes dans une BMW :o ).

 

Quelques pilotes de l'époque : Jacques Laffite, Didier Pironi, Alan Jones, Nelson Piquet et Carlos Reutemann.

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Les courses ont en général lieues le samedi après-midi et une M1 neuve est offerte au vainqueur du Championnat. :miam:

 

Les spectateurs présents sur place ont souvent reconnu que le M1 Procar (les voitures voyaient leur mécanique atteindre 470cv à 9000Trs) était souvent plus haletant et spectaculaire que la course de F1 elle-même, d'autant que les pilotes y étaient les mêmes et qu'ils luttaient ici à armes égales.

 

 

 

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La saison 1979 est remportée par l'Autrichien Niki Lauda, la suivante (et dernière...) par le Brésilien Nelson Piquet.

 

 

Le pilote Autrichien remportera aussi les épreuves de Silverstone et d'Hockenheim.

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Nelson Piquet en 1980.

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A partir de 1981 BMW est désormais motoriste de Formule 1 et abandonne le Procar.

 

Pendant ce temps la commercialisation de la M1 routière est toujours aussi poussive.

 

En 1980 178 autos sortent de chez Baur, chiffre auquel il faut ajouter 10 versions de compétition.

 

Nous sommes très loin des estimations les plus pessimistes, il est clair que la voiture se vend mal et que l'entreprise perd énormément d'argent dans l'aventure... :(

 

 

 

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1981 sera l'ultime année de production de cette M1, avec 188 versions route et 8 compétition...

 

Elle reste au catalogue durant une bonne partie de 1982, les derniers exemplaires trouvant très difficilement preneurs.

 

La production totale de 455 exemplaires se réparti ainsi :

 

-399 versions de route

-56 versions course, ces dernières non homologuées pour une utilisation routière.

 

Le dernier engagement d'une M1 en compétition remonte à 1987, quelques tentatives pour aligner une telle auto en rallye furent tentées, mais le gabarit de cette dernière était rédhibitoire.

 

Hors de portée du commun des mortels durant sa commercialisation la BMW M1 va connaître une très longue traversée du désert...

 

 

Les phares basculants sont typiques de la période des Seventies.

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Elle n'est redécouverte qu'au milieu des années 2000 et désormais une belle auto ne se négocie pas à moins de 200 000€, voire parfois beaucoup plus. (Ne songez pas à celle repeinte par Andy Warhol, elle est définitivement INESTIMABLE et trône en bonne place au Musée de la marque).

 

 

 

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En fin de compte une bonne auto qui ne connut qu'un seul et unique défaut : Ne pas avoir eu assez de cylindres sous son capot pour être prise au sérieux par la presse spécialisée et la clientèle !

La notoriété ne tient pas à grand'chose komme même... :buzz:

 

 

Par contre le moteur continuera sa carrière sur d'autres modèles de la marque.

 

Le M88.

Un moteur ? Non, une oeuvre d'art plutôt. :o

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Tout le monde connait le Coupé M6.35CSi E24 proposé à la vente de 1984 à 1988, il disposait du même groupe que la M1 mais avec une injection Bosch Motronic qui faisait passer sa puissance de 277 à 286cv Din.

 

 

Bizarre cette 6.35 qui distance une M1...

En fait ce n'est pas si innocent que cela, BMW ayant très vite voulu tourner la page "GT".

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Le même moteur se retrouve également sur la toute première BMW M5 sur la base d'une E28 qui sera vendue au compte-goutte dans le réseau entre 1985 et 1987, ce n'est pas à des gens aussi calés que vous que je vais l'apprendre.

 

 

La première d'une longue lignée...

Méfiance sur le mouillé hein ! :o

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Par contre vous allez pouvoir briller dans les dîners en ville si je vous affirme que le M88 a aussi équipé la série 7 E23 sous le vocable de 7.45i ! :oui:

 

"Ca y est Jensen devient gâteux... :roll: Maizenfin Tonton ! Tout le monde sait que le moulin de cette auto était un six en ligne de 3,5 litres turbocompressé développant 252cv voyons !" :o

Ben ouais les gars... Je suis peut-être vieillissant mais pas encore sénile. :buzz:

 

Elle a bien existé cette 7.45i en version M88 de 286cv mais... Très loin de Munich ! :lol:

 

Pour la voir il vous faut monter dans le premier avion qui décollera vers le sud et en descendre juste avant le Cap de Bonne Espérance.

Vos extraordinaires connaissances en géographie vous ont tout de suite fait songer à l'Afrique du Sud n'est-ce pas ?

 

Bien vu ! ;)

 

 

La 7.45i version Springbok, très différente de la notre.

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En 1984 est bien présentée là-bas une 7.45i avec ce fameux M88... :jap:

 

Pourquoi ?

 

D'abord parce que BMW y possède une usine, à Rosslyn très exactement, et qu'elle lui rend bien service pour contourner l'embargo lié à la politique d'Apartheid alors en vigueur dans ce pays.

 

La commercialisation de la 7.45i "normale" est demandée pour faire face à la demande locale mais un problème de taille survient : Il n'est pas possible de sortir ce modèle en conduite à droite car la disposition mécanique empêche le passage de la colonne de direction.

Afin de satisfaire les riches blancs du coin il fut donc étudié localement le montage du M88, et la chose se passa fort bien.

De toute façon le siège de Munich ne souhaitait pas lancer une grosse campagne de modifications sur le bloc turbo compte-tenu du faible volume de ventes envisagé.

 

La 7.45i "M88" ne sera produite qu'à 209 exemplaires : 192 avec boite automatique ZF et 17 avec boite 5 mécanique Getrag.

 

Cette BMW est l'une des plus rare jamais construite par la firme.

 

 

 

Munchen, BMW Museum, 04 août 2011.

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:love:

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Rétrospective :

 

 

Mais quel beau bruit ! vercors-07.gif.041abe48482c27aec56648f07b42368b.gif

 

 

 

:coucou:

 

[h6]NB : Ce texte est issu du topic Cette voiture a une histoire peu banale. (Index en page 1) :jap: [/h6]

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Invité §555364uU

Bien bien ce petit reportage. piji1.gif.9a14972c0ca59c8c6ecd77d7bfc7ad6e.gif

Il est vrai qu'a prix presque égales, il était compliqué pour la M1 de rivaliser face au prestige de Ferrari et à la brutalité de Lamborghini.

 

La rigueur germanique face à l'exubérance italienne ne pesait pas encore assez lourd à l'époque.

Esthétiquement, elle est fade par rapport aux transalpines.

 

Et pour moins cher, on pouvait s'offrir une autre GT allemande qui avait déjà fait ses preuves et qui possédait déjà d'une forte aura: la 911 SC.

 

Pour avoir vu courir des Procars au Mans Classic, il est vrai que ça chante très fort et très mélodieusement.

En version compétition, ce L6 n'a pas à rougir face à d'autres moteurs plus lourdement équipés en cylindres...

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C'est sûr que s'afficher plus chère qu'une BB512 et au même prix qu'une Countach S, c'était quand même très présomptueux de la part de BMW.

 

Cela me fait un peu penser à l'Audi R8, qui n'a pas la vie facile face aux Ferrari et autres Lamborghini malgré ses moteurs V8 et V10.

 

Comme quoi, l'image de marque reste un vecteur important, que dis je, incontournable en automobile :jap: .

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