Aller au contenu
Logo Caradisiac      

Téléchargez nos application

Disponible sur App Store Disponible sur Google play
Publi info
Salon de discussion

Le Topic des engins blindés (Index en page 1)


jensen
 Partager

Messages recommandés

Invité §Jes257LV

Si j'ai bien compris, c'est sa TPE qui a des soucis judiciaires je crois....

 

Tout a fait :jap:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Jes257LV

[h1]La Maxe : une passion américaine partagée de père en fils[/h1][h2]Il vient d’acquérir son quatrième véhicule militaire américain déniché en Ile-de-France. Nous avons rencontré ce passionné de véhicules de guerre, bien connu des Maxois. Laurent Bolzinger est responsable des services techniques de la commune.[/h2]

laurent-et-xavier-bolzinger-partagent-la-meme-passion-pour-la-mecanique-et-les-vehicules-militaires-americains-photo-rl-1541443268.jpg

 

 

 

 

Sa dernière trouvaille ? Un Half-Track M3 de 1943. Laurent Bolzinger confie : « C’est un engin assez rare et j’ai la chance d’en avoir trouvé un avec sa carte grise. C’était inespéré. Là, on est parti pour deux ans de travaux. Pour nous faciliter la tâche, on a récupéré tous les manuels techniques existants. Il faut le désosser complètement, le nettoyer, le sabler et le repeindre pièce par pièce avant de le remonter. Entre l’achat et la remise à neuf, la facture risque d’atteindre les 40 000 €. Par exemple, il faut compter 5 000 € pour une paire de chenilles. C’est un gros investissement, mais on ne regrette rien. D’abord, parce que c’est une passion et, ensuite, parce que c’est un engin qui ne se dévalorisera pas. »

 

Quand Laurent dit « on », il parle de lui et de son fils, Xavier, qui partage la même passion.

 

[h4]Passion sans limites…[/h4]

Alors quand on leur demande d’où vient cette passion commune, père et fils répondent d’une même voix : « L’amour de la mécanique nous a conduits tout naturellement à l’amour des véhicules militaires. » Il n’en fallait pas plus…

Membres du French Militaria Motor Club de Fameck, Laurent et Xavier ont restauré trois autres engins américains dont un GMC de 1944, déniché dans une grange de Meuse où il dormait depuis trente ans, et un Dodge WC 52.

Xavier raconte comment il a contracté le virus : « Au début des années 2000, mon père a acheté une jeep Willys. Ça m’a plu de l’aider à la restaurer. C’est une histoire de famille puisque mon grand-père vient souvent nous donner un coup de main. Pour les pièces défectueuses, on va à Ménil-aux-Bois, chez un autre passionné qui a rassemblé un sacré stock de pièces détachées, ou bien on va sur internet. Je suis aussi mordu que mon père et j’y consacre tout mon temps libre. Si on avait de quoi stocker, sûr qu’on essaierait d’en dénicher d’autres. »

 

[h4]Des fêtes de villages aux films[/h4]

Laurent et Xavier Bolzinger aiment exposer leurs bébés aux fêtes de village et aux brocantes. Ils participent régulièrement aux manifestations qui mettent en avant le devoir de mémoire. En septembre 2014, ils ont participé au tournage du film sur la Libération de Thionville.

 

 

 

Dans la vie publique, Laurent Bolzinger est connu à La Maxe en tant que responsable des services techniques de la commune.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

ok, je connaissais que DLL pour ma part

 

non, je crois et pis, mes petits enfants m'ont donné Netflix que depuis 10 jours :p

 

 

Je viens de la voir sur mon site de p2p.

Ça fait 10 mois qu'elle est dispo et je l'avais eu il y a 8 mois :jap:

 

180118044109745910.jpg

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §pie367dg

Pour notre spécialiste es-blindés, un engin que je pense être russe, sans aucune certitude, trouvé chez les chasseurs de rouille.

 

big-7543651d15.jpg

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité guest527

Oui c'est Jensen qui bossait cette nuit contre Tyson Fury à 4h du mat' sur canal + sport !

 

C'est aussi lui qui a tout appris a Arnaud Ducret .

 

@jensen c'est un peu notre Chuck Norris local :o

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

hier, j'ai regardé l'émission sur rmc découverte sur le fait de guerre à Stonne en 1940, à revoir car pas mal de

révélations mais, intrigué par une explication, j'ai recherché ce matin cet acte de bravoure et je vous en fait part:

 

EURE n° 337 41e BCC 2e compagnie

Constructeur : FCM

 

Perçu par le 41e BCC 2e compagnie à Gien le 8 décembre 1939.

Versé à la 1ère compagnie le 10 mai 1940.

 

Chef de char : Capitaine Billotte

Pilote : Sergent Durupt

Radio : Chasseur Francis Henault

 

STONNE le 16 mai 1940

Simultanément, la 1ère compagnie déborda par le nord-ouest, et le capitaine Billotte, gêné par la pente abrupte qui dominait la route de STONNE à ARTAISE, se rabattit sur la droite.

Coupant la route au commandant Malaguti, il entra le premier dans STONNE. Abordant la rue principale, il tomba face à face avec 13 chars et engins blindés de la 10ePanzerdivizion, en colonnes des deux côtés de la rue. Billotte ne perdit pas son sang-froid. Immédiatement, il donna l'ordre à son pilote, le sergent Durupt, de tirer avec son canon de 75 mm en direction de la rue, le plus loin possible vers le dernier char. Quand à lui, avec le canon de 47 mm de la tourelle, il visa le premier char pour essayer de le percer.

Le premier coup de 75 atteignit le treizième blindé de la colonne, qui se mit à brûler. Dans le même temps, le tir de 47 mm mit le feu au char de tête. En quelques minutes, malgré les obus qui pleuvaient sur lui, l'EURE parvint à mettre hors de combat tous les blindés intermédiaires !

Laissons Malaguti raconter la suite de l'attaque : "J'entrais à mon tour dans STONNE et subitement, après le premier virage, je me trouvais nez à nez à 30 mètres avec une colonne de chars allemands. Je tirais aussitôt le plus vite possible ; sans comprendre ce qui se passait, mon pilote fit de même. Notre char avançait toujours en tirant, les allemands ne réagissaient plus.

J'en aperçus qui s'enfuyaient des appareils de queue, et je vis qu'il y avait là 12 ou 14 appareils dont les premiers étaient des PzKW IV, les autres m'ont semblé être des PzKW III. Billotte, passant en vitesse bord à bord avec eux, les avait déjà sérieusement sonné, et les allemands étaient gênés, car ils étaient en colonne, serrés sans aucune distance entre les chars".

Billotte, après son exploit, ressortit du village, détruisant au passage deux canons antichars, l'un dans le virage du "pain de sucre", l'autre sur la route, une centaine de mètres plus bas.

On releva près de 140 impacts divers sur la cuirasse de l'EURE.

 

Possesse le 13 juin 1940

Barbotins hors d'usage, l'EURE est sabordé à Possesse

lien; https://www.chars-francais.net [...] 4-337-eure

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Berliet VXB 170/VBRG : 45 ans de service, et après ? :??:

 

 

 

125pxFlagofFrancesvg.png.44974ae5eb1ef9e43291a30462276aed.png

 

 

 

 

 

b15.jpg

 

Bon, vous vous doutez bien que les récents événements qui ont secoué notre pays ont mis en exergue les matériels divers et variés de nos forces de sécurité et que l'apparition d'engins blindés dans les rues de notre capitale n'est pas passé inaperçu...

 

Un des membres de notre communauté avait fait il y a fort longtemps (2012...) un petit sujet sur ce véhicule, j'ai décidé d'approfondir la chose au vu de la situation. :jap:

 

Le Berliet VXB 170 est un engin blindé à roues qui répond à un appel d'offre de notre armée édicté à la fin des années 60 qui souhaite enfin mettre un terme à la carrière des Half-Track M3 mais aussi "un peu mieux protéger" les voltigeurs qui sont alors censés être transportés jusqu'à la zone des combats dans de simples camions bâchés...

 

Le véhicule devra être tout-terrain, protégé NBC et avoir une capacité amphibie.

 

Deux constructeurs vont y répondre : Saviem (filiale de Renault) et Berliet (filiale de Citroën depuis 1967).

 

Le premier a l'avantage d'appartenir à une Régie gérée par l'Etat et Berliet, société à capitaux privés, sait parfaitement que pour l'emporter il lui faudra tout simplement proposer beaucoup mieux et de préférence beaucoup moins cher ! :o

 

La firme Lyonnaise va donc jouer sur le prix de revient de l'engin, en adoptant un groupe motopropulseur déjà existant : Le V8 maison V800 de 6,92 litres et 170 ch à 3 000 tours placé à l'arrière gauche et des trains roulants commercialisés sur des camions de chantier, en fait deux essieux rigides suspendus par des ressorts hélicoïdaux doubles et des amortisseurs hydrauliques (et non pas des "barres de torsion" comme trop souvent lu sur le web).

 

La boite de vitesses est à 6 rapports à commande présélective.

 

La coque est en acier soudé de 8mm d'épaisseur pour la caisse (6mm pour le plancher), c'est juste suffisant pour résister aux impacts de balles de 7,62mm et aux éclats divers du champ de bataille... :sic:

 

Il mesure 6,04m de long, 2,50m de large et 2,55m de haut.

 

Son poids à vide de 10,7 tonnes, 12 tonnes en charge.

 

 

La vitesse de pointe sur route est de 78 km/h, il peut grimper une pente de 60%, franchir un dévers de 30% et progresser dans l'eau en flottaison à la vitesse de 4 km/h grâce aux mouvements de ses roues dans l’élément liquide (des hydrojets étaient disponibles en option).

 

 

 

b11.jpg

 

 

Son autonomie est d'environ 750 km.

 

Le pilote, assis à l'avant-gauche, dispose de trois vitres blindés qui lui assure une bonne visibilité, ces dernières pouvant bien entendu être occultées par des panneaux métalliques en ambiance de combat, la vision étant alors assurée par trois épiscopes installés en superstructure.

 

Suivant leur équipement entre 6 et 8 hommes peuvent prendre place à l'arrière.

 

Un chef de bord est assis à ses côtés, un troisième homme d'équipage sert l'armement du bord, initialement en tant qu'engin de combat le Berliet pouvait être doté en plus de sa dotation "standard" composé d'un tourelleau équipé d'une mitrailleuse ANF1 de 7,62mm d'un canon de 20mm Hispano-Suiza, d'un bitube anti-aérien de même calibre voire même d'un canon de 90mm anti-char.

 

 

L'intérieur, bien dans son époque.

Pas de sièges anti-blast, entre autre...

b08.jpg

 

 

 

Un des engins de démonstration en version "combat".

On note les divers affûts pour armes automatiques, les volets de pare-brise et les tapes de tir.

 

b10.jpg

 

 

 

L'accès à bord se fait à l'aide de deux portières de chaque côté et d'une autre à l'arrière droit à côté du moteur, trois trappes en superstructures assurent l'évacuation d'urgence.

 

 

Le point fort du Berliet : Ses accès à bord nombreux et faciles !

Au moins aussi bien que sur un Fiat 6614

b19.jpg

 

 

 

Les essais débutent en 1969 mais très rapidement, et malgré un prix de vente nettement inférieur au VAB de Saviem, le projet Berliet BL12 vite rebaptisé VXB 170 est rejeté (il faut dire que le moteur V800 est alors une véritable boite à chagrins et les quelques clients autocaristes qui ont opté pour ce moteur sur leurs nouveaux Cruisair 2 et 3 s'en mordent vite les doigts, idem en 1970 avec le camion TR300 qui ne fonctionnera pour ainsi dire jamais correctement !)

 

 

Le V8 "V800", tout sauf une réussite...

b01.jpg

 

 

 

Le marché de l'Armée de terre étant de toute évidence perdu dès avril 1970 (mais Berliet aurait-il pu simplement le gagner ?) la firme répond immédiatement après à un appel d'offre de la Gendarmerie Nationale qui souhaite se doter d'engins blindés à roues équipés de certains accessoires qui ont fait défaut en mai 1968 :

 

 

-Lame-bouteuse pour la "dispersion" des barricades

 

 

Ses flancs sont lisses afin d'éviter que des éléments hostiles puissent grimper sur les superstructures du véhicule.

b03.jpg

 

 

Et l'évacuation des "gêneurs"... :ddr:

b21.jpg

 

 

 

-Treuil de grande puissance pour le déblaiement d'éventuels obstacles lourds posés sur la chaussée

 

 

Le treuil est intégré à la caisse, une manière efficace de le protéger des obstacles rencontrés lors de la progression en tout-terrain.

b09.jpg

 

 

 

Pour ce marché le Berliet est opposé au... Panhard M3, un dérivé de l'automitrailleuse AML90 déjà proposé à l'exportation et issu d'une société appartenant elle aussi à cette époque à... Citroën ! :lol:

 

Bon, ne faisons pas durer le suspense plus longtemps : Le Berliet VXB 170 est retenu sous le vocable de VBRG (Véhicule Blindé à Roues de la Gendarmerie) en 1972.

 

Les premières livraisons interviennent en 1974, les engins étant livrés en quatre versions :

 

-VBRG simple

 

 

b20.jpg

 

 

-VBRG avec lame-bouteuse

 

 

b16.jpg

 

 

-VBRG avec treuil

Ici à la fondation Berliet.

b02.jpg

 

 

-VBRG en version PC

155 exemplaires sont commandés au total.

 

Son armement consiste en une tourelle monoplace pouvant être équipée d'une mitrailleuse de 7,62mm, d'un lance-grenades et d'un disperseur de gaz lacrymogènes.

 

Berliet tente d'exporter son VXB 170/VBRG mais seuls le Gabon (12 exemplaires), le Sénégal et la Tunisie (10 engins chacun) passèrent commande en configuration maintient de l'ordre... :sic:

 

 

b12.jpg

 

 

 

Au milieu des années 70 Renault rachète Berliet à Citroën pour former RVI (Renault Véhicules Industriels), c'est à ce moment-là que l'évidence est constatée : Le VAB et le VXB 170 sont concurrents sur le même marché... :bah:

 

Il est décidé que la commande de la Gendarmerie serait honorée jusqu'à son terme en 1978 mais qu'il était stupide de proposer deux véhicules quasi-identiques sous la même bannière, le VXB 170 a donc vécu...

 

189 exemplaires auront été produits (contre plus de 5 000 VAB).

 

 

b14.jpg

 

 

Globalement depuis 1974 il a surtout été utilisé en France pour des missions de service public, en l'occurrence porter assistance en hiver aux automobilistes et routiers bloqués par la neige, mais leur rôle de maintient de l'ordre a été mis à profit en plusieurs occasions :

 

-En Corse à plusieurs reprises (1975, 1980, 2005)

 

-Au Kosovo avec la KFOR

b13.jpg

-En Nouvelle-Calédonie en 1988

 

-En Côte d'Ivoire pour l'évacuation de ressortissants Occidentaux en 2004

 

-En soutient lors des émeutes des banlieues de 2005

 

-Lors du démantèlement de la ZAD de Notre-Dame des Landes en 2018

 

 

b05.jpg

 

 

-Lors des événements liés aux "Gilets jaunes" en Métropole et sur l’île de la Réunion la même année

 

 

b18.jpg

 

 

 

b07.jpg

 

 

Déployés avec l'IFOR en Afghanistan nos Gendarmes ont préféré acheter d'occasion à l'Armée de Terre une vingtaine de VAB (huit d'entre-eux sont désormais positionnés en Nouvelle-Calédonie).

 

A l'inventaire 2018 il restait encore 71 Berliet VXB 170 en service (70 en fait : Un a été très gravement endommagé lors du déblaiement d'une barricade de "Zadistes" et serait considéré comme irréparable), 35 sont en Métropole et autant en Corse et Outre-mer.

 

Le remplacement de ces engins qu'il faut bien qualifier d'obsolètes (les pièces mécaniques ne sont plus disponibles depuis longtemps et les blindés sont maintenus en état de marche en cannibalisant les exemplaires réformés, certains d'entre-eux ont même reçus un moteur Baudouin et d'autres un six cylindres Renault) est à l'ordre du jour depuis plus de 20 ans !

Actée en 2007 avec Panhard puis annulée en 2008 pour des raisons budgétaires la décision est depuis sans cesse reportée... :bah:

 

Pourtant il y a urgence ! :o

 

Tant que nos forces de l'ordre auront affaire à des "gentils" qui se contenteront de lancer pavés, boules de pétanques voire quelques cocktails Molotov nos ancêtres pourront encore faire "illusion" quelques temps, mais le jour où les émeutiers deviendront vraiment agressifs et équipés pour certains d'armes de guerre il y aura du soucis à se faire...

 

 

b22.jpg

 

 

Le problème reste donc d'actualité, divers projets concernant des véhicules neufs refont surface de temps en temps (qu'ils soient Français ou étrangers d'ailleurs) mais il semble que l'on s'orienterait vers une récupération des VAB les moins usés de notre armée remis à niveau concernant leur protection.

 

Cela aura au moins pour avantage de disposer d'un stock conséquent de pièces de rechanges, c'est déjà ça... :o

 

 

Présentation très récente du VXB 170 :

 

 

Exercices à Saint-Astier :

 

 

Paris brûle t-il ?

 

 

b04.jpg

 

 

:coucou:

125pxFlagofFrancesvg.png.1203c470223935047c800016407e3831.png

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
 Partager



Newsletter Caradisiac

Abonnez-vous à la newsletter de Caradisiac

Recevez toute l’actualité automobile

L’adresse email, renseignée dans ce formulaire, est traitée par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.

Cette donnée est utilisée pour vous adresser des informations sur nos offres, actualités et évènements (newsletters, alertes, invitations et autres publications).

Si vous l’avez accepté, cette donnée sera transmise à nos partenaires, en tant que responsables de traitement, pour vous permettre de recevoir leur communication par voie électronique.

Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL). Vous pouvez également retirer à tout moment votre consentement au traitement de vos données. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : www.caradisiac.com/general/confidentialite/

×
  • Créer...