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Le Topic des engins blindés (Index en page 1)


jensen
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Invité guest527

Okay.

J'aurais pas cru qu'à l'époque ils avaient le temps "à perdre" pour faire de telles choses.

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Invité §Glm886zo

[h1]Le T-60 : faute de grive...[/h1]

 

 

 

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/38/98/98/20190207/ob_d6fb25_miniart-t-60-stalingrad-with-interior.jpg

 

Dessin d'un T-60 de début de production avec ses galets à rayons.

 

La genèse

En 1941 apparu dans les effectifs de l’Armée Rouge le char T-60, destiné à remplacer le T-40, un char léger amphibie désormais obsolète. Le T-40 s’était signalé par un blindage trop faible, et le T-60 devait résoudre ce problème. Les premiers mois de l’opération Barbarossa avait montré que les capacités amphibies et la grande mobilité n’étaient pas des conditions suffisantes à la victoire. On étudia donc un nouveau char léger, plus moderne, le T-50. Mais rapidement, il apparu qu’il était trop compliqué à fabriquer pour l’industrie soviétique. On opta donc pour le T60. L’engin fut développé en très peu de temps (une semaine dit-on !) par l’ingénieur Bogachev à partir d’un châssis de T-40. Comme le nouveau modèle ne serait pas amphibie, on conçu une caisse plus petite.

Le prototype était équipé d’une mitrailleuse, mais Malyshev, un émissaire de Staline exigea que fût monté une arme plus puissante. On envisagea une pièce de 37mm, un 45 mm, mais le temps pressait et on choisit une autre arme. Un dénommé Shpital, spécialiste en armement adapta un canon de 20 mm ShVAK20, pièce originellement destinée à la DCA. Ce canon, avec une munition perforante incendiaire avait la même force de pénétration que le 37mm. Il fut logé dans une tourelle octogonale en place d’acier de 25mm. De quoi être tranquille et bien protégé des armes légères. Autrement dit, si le T-60 trouvait un char sur sa route, l’équipage pouvait prier pour qu’il s’agisse d’un Panzer I. Sinon… Un simple Pak38 n’en faisait qu’une bouchée et ne parlons pas du Pak50 ! La caisse et la tourelle n’était pas en acier moulé comme certains chars lourds, mais corroyé.

Le moteur était un Gaz 202 de 71 ch, que l’on considérait suffisant pour mouvoir les 5,8 tonnes du char. Il était monté sur la droite du véhicule, la tourelle étant déportée vers la gauche. Le pilote se trouvait à l’avant, au centre. Une commande de 1000 exemplaires fut effectuée dès le jour de sa présentation, preuve de l’urgence. Entre le 15 septembre et le 9 octobre 1941, date de son évacuation vers l’Est, l’usine n°37 en livra 245. Au cours du mois d’octobre on dut faire face à la pénurie de moteurs et Malyshev ordonna que fut monté tout moteur disponible. Les sous traitants ont souvent eu de la peine à fournir en temps et en heure les commandes.

Le char, nous le verrons plus loin, était loin d’être parfait et on chercha rapidement à réduire ses nombreuses tares. Dès le 16 novembre 1941 le projet d’amélioration fut acté par des représentants de Gaz et GABTU. A la fin de 1941 apparut donc le T-60A, équipé de roues pleines et d’un blindage renforcé de 25 à 35 mm. Il reçut également un moteur plus puissant, un Gaz 303. Des essais conduits à l’usine Octobre Rouge montraient que le char résistait à un obus Pak38 tiré à 650 m.

En mars 1942 de nouveaux silencieux sont installés sur le moteur.

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/38/98/98/20190207/ob_dfc788_t60gaz42s13-e9c620d5d3fa0eba83bc3c9706.jpg

En usine où les femmes mettent la main à la pâte pour palier l'absence des hommes partis au front

 

Les caractéristiques

Spécifications :

Blindage mini : 7 mm

Blindage maxi : 25 mm (T-60), 35 mm (T-60A)

Masse : 5,8 t (T-60), 6,4 t (T-60A)

Moteur : Gaz 202 6 cylindres essence refroidi par eau de 71 ch à 2800 tr/m (T-60)

Gaz 303 de 85 ch à 3600 tr/m (T-60A)

Boite de vitesse : 4 rapports avant, 1 arrière

Réservoir de carburant : 320 l

Longueur, largeur et hauteur : 4 m 10, 2 m 30, 1,74 m

Garde au sol : 30 cm

Vitesse sur route : 45 km/h

Autonomie : 450 km sur route et 250-300 km en tout terrain

Pente franchissable : 29°

Gué : 90 cm

Coupure franche : 1,7 m

Obstacle vertical : 0,60

Armement principal : 1 canon 20 mm TNsh-20 avec 780 coups. Gisement -10 à +40

Armement secondaire : 1 mitrailleuse DT 7,62 mm coaxiale avec 945 coups. Gisement -10 à +40

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/38/98/98/20190207/ob_e8f1f3_t60gaz42s02-9f33f75a5d4808bc4d355a8cc4.jpg

 

Le T-60A vu de face, on note la tourelle déportée et la mitrailleuse coaxiale

 

Le T-60 en campagne

Les T-60 furent livrés à des unités de reconnaissance ou de soutien d’infanterie. Les soviétiques ne purent que constater les défauts critiques du char. Il avait une puissance de feu limitée, et son blindage ne le protégeait que des armes légères. De plus, il ne pouvait compenser ces manques par la mobilité, son moteur n’étant guère vaillant. Le T-60 se révélait incapable de suivre un T-34 en tout terrain. Ajoutons enfin que l’équipage ne comportait que deux hommes et le chef de char devait aussi être tireur et chargeur, gérer la radio : un surplus de travail néfaste que connurent aussi les équipages de chars français contemporains ! Bien que conscients de ces limites, les russes maintinrent pourtant sa production. En effet, il était aisé à produire, même par des petites usines, certains de ses composants et notamment son moteur étaient issus de pièces de camion et on put grâce à lui équiper des unités qui sans ça n’auraient tout simplement pas eu de char ! Faute de grive, on mange du merle.

Il fut donc engagé en particulier dans la bataille de Moscou et à Stalingrad où il participa à briser l’encerclement de la ville en 1943, sa légèreté lui permettant de circuler sur les eaux gelées de la rivière Neva. Bientôt, le char fut remplacé par le T-70 qui sans être une réussite, était tout de même bien meilleur. Le T-60 fut donc cantonné dans des tâches subalternes, au fur et à mesure de la livraison des T-70. Certains furent équipés de lances roquettes multiples, de canons antiaériens et d’autres transformés en tracteurs d’artillerie ou équipés d’un canon de 57 mm antichar.

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/38/98/98/20190207/ob_2f6f5a_t60gaz42s06-1f1af96228cc574ecdc6090e70.jpg

Un T-60A dans la cours de l'usine en février 1942

 

Le TACAM T-60 roumain

L'armée roumaine était mal équipée et son allié l'Allemagne n'était pas en mesure de lui fournir des chars. En 1943, 34 exemplaires de T-60 pris par la Roumanie furent transformés aux ateliers Léonida en chasseurs de char TACAM T-60 ou Tun Anticar pe Afet Mobil T-60 (canon antichar mobile). Équipés de plaques de blindage récupérées sur des chars BT-7 et d’un canon de 76,2 mm de fabrication soviétique également avec 44 obus. Les pièces du moteur étaient faciles à trouver car le moteur Gaz était un Dodge fabriqué sous licence. La suspension fut renforcée et les galets remplacés pour un modèle plus solide. Un système de frein bloquait les ces derniers pendant le tir pour garantir une meilleure stabilité. Les chars étaient tous livrés fin 1943 et servirent dans le 1er régiment de chars. Quand l’Armée Rouge envahit la Roumanie, elle confisqua les TACAM T-60 qui étaient tous encore en service en octobre 1944 !

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/38/98/98/20190207/ob_7646b8_tacam-t-60.jpg

 

Le TACAM T-60 roumain avec son 76,2 mm en casemate.

 

Épilogue

La production du T-60 s’éteignit en juillet 1942, les derniers sont livrés sans tourelle car ils devaient recevoir des lances roquettes M8 Katioucha. Le T-60 s’effaça au profit du T-70 après 6022 exemplaires produits. Les derniers furent retirés du service en 1946. Quelques exemplaires furent reversés à l’armée Polonaise en 1945 pour l’instruction dans les écoles militaires.

 

 

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/38/98/98/20190207/ob_faacb4_05e14156421f9a1c4acdb41b232ce823.jpg

Le modèle lance roquette nommé BM-8-24.

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/38/98/98/20190207/ob_d27d55_depositphotos-89974214-stock-photo-sov.jpg

 

Un exemplaire conservé à Kubinka. L'un des galets a été changé pour un modèle de T-60A.

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/38/98/98/20190207/ob_9949f7_2acad03b33c3a3a9e484c8d58706dbe0.jpg

Un "beute T-60" capturé par les allemands qui ne firent pas la fine bouche comme avec le Mathilda I anglais avec son moteur Ford à la fiabilité douteuse.

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/38/98/98/20190207/ob_93fc46_t60gaz42s01-48650ecc7204d2ed9d2f3cf6fd.jpg

 

Un T-60 tardif dans son univers : la steppe enneigée.

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Invité §wit375IU

camouflage dans les epiceas;

 

190315054214763025.jpg

 

190315054413103714.jpg

 

plan galere le vendredi a 16h..............( et les chenilles pas besoin ?)

 

190315054754679032.jpg

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Invité §wit375IU

salut les gars , je demande si nous sommes en presence d un montage ou pas ?.......si non welcome les explications , merci .

 

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Invité §Jes257LV

De bien belles images par contre, ça me rappelle mon service :love:

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VAB Mk.III : Dernier acte.

 

 

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C'est en 2012 que Renault Truck Défense (devenu depuis le 24 mai 2018 Arquus, entité englobant désormais RTD, Acmat et Panhard Défense) décide de développer sur fonds propres un ultime dérivé du mythique VAB qui équipe notre armée et de nombreuses autres depuis la fin des années 70.

 

Globalement l'engin est totalement repensé... :o

 

La coque est toujours en acier soudé mais elle peut recevoir désormais différentes "peaux" en matériaux composites afin d'en améliorer le niveau de protection.

 

Le poste de conduite est nouveau et possède désormais un pare-brise blindé de bien meilleure taille que celui du modèle d'origine, à noter que l'ergonomie a elle aussi été totalement revue.

 

 

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Il répond à la norme Stanag 4569 de niveau 4, pour être plus clair il résiste aux tirs de 14,5 mm à 200 m sur toute la caisse, aux éclats d'obus de 155 mm détonants à 30 mètres et aux explosions sous châssis d'engins de 10 kg de TNT.

 

 

La protection du VAB Mk.3 peut aller très loin, avec grilles anti-RPG, sur-blindage latéral contre les missiles à charge creuse en tandem et même système de protection actif !

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Mécaniquement le VAB Mk.3 dispose d'un six cylindres en ligne turbocompressé Renault DXi 7 dont la puissance peut être réglée au choix du client : 300, 320, 340 ou 370 ch.

La boite de vitesses est une automatique ZF à six rapports avant et une marche arrière.

 

L'ensemble est regroupé en un Powerpack qui peut être changé sur le terrain en moins de deux heures.

 

L'engin est configuré en 6x6 à roues indépendantes, les pneumatiques sont à gonflage centralisé et ils sont "bien entendu" de type Runflat.

 

D'un poids en charge de 20 tonnes le Mk.3 pointe à 105 km/h sur route avec une autonomie moyenne de 800 km.

 

Côté capacités de franchissement il peut grimper des pentes de 60%, franchir un dévers de 40%, une tranchée ouverte de 0,90m, un obstacle vertical de 0,50m et une coupure humide de 1,50m en configuration normale.

 

 

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D'une longueur de 7,30m, d'une largeur de 2,50m et accusant 2,50m de haut il est compatible avec le transport à bord d'un C130 Hercules ou d'un A400M Atlas.

 

Le volume intérieur disponible est de 13 m3.

 

 

L'équipage conserve ses portières d'accès semblables à celle du VAB original.

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L'intérêt du VAB Mk.3, en plus d'être étudié sur une base pour le moins "amortie" (mais totalement reconsidérée), est d'être disponible en de nombreuses versions :

 

-Transport de troupes avec une capacité de dix hommes en plus des deux ou trois membres d'équipage (en fonction de l'armement embarqué)

 

-Engin de combat d'infanterie apte à embarquer une équipe de sept fantassins entièrement équipés

 

Les sièges sont tous en configuration anti-blast, ce qui change de la "banquette" que beaucoup ont connu dans le VAB ! :D

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-Poste de commandement

 

-Mortier interne de 120mm

 

-Ambulance avec toit surélevé, capable d'embarquer deux infirmiers et quatre blessés sur brancards

 

-Surveillance/Guerre électronique

 

 

L'autodéfense peut être assurée par de nombreux systèmes, dont des tourelleaux télé-opérés Cockerill, BAE ou Nexter avec des canons automatiques de 20, 25 ou 30mm, mais la principale qualité de l'engin est de s'adapter quasiment à toutes les demandes du client avec une liste d'options assez impressionnante :

 

-Protection NBC

 

-Climatisation

 

-Chauffage grand froid

 

-Treuil électrique

 

-Capacité amphibie par hydrojets et flottaison (dans ce cas le poids total passe de 20 à 18,2 tonnes maximum)

 

 

v16.jpg

 

 

-Rampe arrière électrique au lieu des deux portes battantes

 

 

v07.jpg

 

 

-Caméras d'observation

 

-Brouilleurs IED

 

-GPS

 

-Lance-grenades fumigènes

 

-Essieu arrière directionnel

 

Une version hybride "Electer" a aussi été présentée en 2016 disposant d'un coffre à batteries en superstructure.

 

Capable de rouler quelques kilomètres en mode électrique (donc très silencieux ! :chut: ) il représente un avantage stratégique non négligeable concernant une approche pour le moins discrète avant contact avec l'ennemi ou pour la récupération de Commandos infiltrés au plus près de ce dernier. :oui:

 

 

L'hybride "Electer" que l'on reconnait à son coffre à batteries sur le toit.

v10 elekter.png

 

 

L'armée Française n'a pas donnée suite aux propositions d'Arquus, restant fidèle au programme Scorpion incluant le VBMR (Véhicule Blindé Multi-Rôles) qui remplacera à terme l'incontournable VAB 4x4 désormais franchement atteint par la "limite d'âge".

 

 

On ne verra pas de VAB Mk.III aux couleurs Françaises... :sic:

v06.jpg

 

 

 

Par contre la Tunisie a récemment acquise une dizaine d'exemplaires pour ses gardes-frontières, le Liban en a commandé 100 qui seront finalement réceptionnés par l'Arabie-Saoudite et le Koweït en a commandé 300, ce contrat étant à l'heure où j'écris ces lignes en cours de finalisation.

 

 

Tunisie.

v17.jpg

 

 

Une version à quatre roues motrices pourrait être développée si une demande se fait jour.

 

Pour un programme qui ne dépend pas d'un appel d'offre d'Etat ce n'est en fin de compte pas si mal ! ;)

 

 

On se quitte en images :

 

Avec RTD :

 

Nouveau clip d'Arquus :

 

 

 

v04.jpg

 

 

 

:coucou:

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Invité §pie367dg

Manifestement le savoir-faire français existe toujours.

 

 

:jap:

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... Pas trop de mérite ; c'est assez mon truc les trucs qui volent.... Tiens, histoire de rire et de filer le thème, en gratouillant Gogolle pour trouver une z-image pour illustrer ma réponse, je suis tombé sur ceci:

 

Curtiss_P-40_track_test_061019-F-1234P-027.jpg

 

sans autres explications malheureusement... mais quelqu'un a tenté l'idée avec un P 40 (une bricolerie Russe?? On dirait des caractères cyrilliques dans les marquages à la craie)

 

Vroume

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Invité §pie367dg

... Pas trop de mérite ; c'est assez mon truc les trucs qui volent.... Tiens, histoire de rire et de filer le thème, en gratouillant Gogolle pour trouver une z-image pour illustrer ma réponse, je suis tombé sur ceci:

 

https://upload.wikimedia.org/w [...] 4P-027.jpg

 

sans autres explications malheureusement... mais quelqu'un a tenté l'idée avec un P 40 (une bricolerie Russe?? On dirait des caractères cyrilliques dans les marquages à la craie)

 

Vroume

 

 

Sur une pale de l'hélice on distingue assez nettement " Fire ".

 

D'un autre côté je ne savais pas que le P 40 avait été configuré en biplace.

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petite surprise hier en regardant un film coréen sur un événement survenu en 2015 lors de la coup du monde

 

un navire nord coréen passe une ligne démarcation et attaque son homologue sud coréen

 

la surprise est que manquant pas ingéniosité, ils ont équipé sur leur grosse vedette rapide, l'ensemble d'un char T34 non chenillés, il fera de très gros dégâts en face

 

y a t'il eu d'autres astuces comme cela dans le monde des conflits?

 

 

 

2019-04-15_18h57_03.png

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petite surprise hier en regardant un film coréen sur un événement survenu en 2015 lors de la coup du monde

 

un navire nord coréen passe une ligne démarcation et attaque son homologue sud coréen

 

la surprise est que manquant pas ingéniosité, ils ont équipé sur leur grosse vedette rapide, l'ensemble d'un char T34 non chenillés, il fera de très gros dégâts en face

 

y a t'il eu d'autres astuces comme cela dans le monde des conflits?

 

 

 

2019-04-15_18h57_03.png

 

 

Les tourelles des navires pouvaient être démontées pour défendre des ports. A part ça on est vraiment dans le bricolage qui ne sert a rien dans cette fiction.

 

Déjà en face on parle de la marine Sud Coréenne, qui est une des mieux équipée au monde.

 

Je ne vois pas comment un T34 peut faire des dégâts avec son vieux canon de 85mm, déjà réussir a viser correctement dépuis un chaland a fond plat ou petit navire qui doit être complètement déséquilibrée avec le poids du char, même niveau distance la quasi totalité des navires Sud Coréens peuvent le couler sans même qu'il puisse s'en approcher ou s'en apercevoir.

 

Sans parler de LHD, destroyers, frégates ou autre, un simple patrouilleur de la classe "Gumdoksuri" dispose d'un canon Otobreda de 76mm, avec une portée pratique qui peut atteindre 30km, une cadence qui peut aller jusqu'à 120 coups minutes (!) et de missile anti-navire. Il n'y a qu'à appuyer sur un bouton et c'est dans le mille, pour réussir a toucher quelque chose a proximité dans un T34 posé sur une barcasse bon courage :ange:

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Invité §pie367dg

Monoplace ce P40 Pierleo, la verrière est ouverte. ;)

 

C'est vrai, apparemment c'est le truc ouvert devant le cockpitt qui m'a fait dire ça et j'ai regardé trop vite.

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Les tourelles des navires pouvaient être démontées pour défendre des ports. A part ça on est vraiment dans le bricolage qui ne sert a rien dans cette fiction.

 

Déjà en face on parle de la marine Sud Coréenne, qui est une des mieux équipée au monde.

 

Je ne vois pas comment un T34 peut faire des dégâts avec son vieux canon de 85mm, déjà réussir a viser correctement dépuis un chaland a fond plat ou petit navire qui doit être complètement déséquilibrée avec le poids du char, même niveau distance la quasi totalité des navires Sud Coréens peuvent le couler sans même qu'il puisse s'en approcher ou s'en apercevoir.

 

Sans parler de LHD, destroyers, frégates ou autre, un simple patrouilleur de la classe "Gumdoksuri" dispose d'un canon Otobreda de 76mm, avec une portée pratique qui peut atteindre 30km, une cadence qui peut aller jusqu'à 120 coups minutes (!) et de missile anti-navire. Il n'y a qu'à appuyer sur un bouton et c'est dans le mille, pour réussir a toucher quelque chose a proximité dans un T34 posé sur une barcasse bon courage :ange:

 

 

merci pour l'explication, je comprend mieux comment ils se sont fait avoir

 

en faite, le film est tiré d'un fait réel, les deux navires était en distance très courte, le sud coréen avait ordre de pas tiré le premier, ce qui va lui coûté très très cher

le canon du sud coréen a été mis hors d'usage très vite, il restait une gatling, un petit canon et armes légères

 

en face, ça tirait de tout les cotés possible

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Bonne nouvelle?

 

 

Le Parlement européen a adopté ce jeudi 18 avril le Fonds européen de défense qui constituera l'essentiel de l'effort de défense du prochain budget européen. Ce fonds est destiné à développer les projets communs d'équipements et de technologies (photo La Voix du Nord de l'Euro Main Battle Tank de KNDS, montage de la tourelle du Leclerc sur le châssis du Leopard 2A7) et de réaliser des achats conjoints pour réaliser des économies d'échelle.

 

 

 

Euro-Main-Battle-Tank-.jpg

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Invité §KWC576zq

Bonjour,

 

Quel intérêt y a t'il à monter une tourelle de Leclerc sur un châssis de Leopard?

Est-ce juste un démonstrateur de la capacité de réaliser des hybrides pour faire des économies d'échelle ou ce sont les meilleures parties des deux char assemblées pour en obtenir un plus puissant que les deux séparés?

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On se retrouve avec le même problème qu'il y a 45 ans ! :lol:

 

Le "super-châssis" du Leopard 1 et sa tourelle perfectible contre la "super-tourelle" de l'AMX30 et son châssis pour le moins contestable.

 

Déjà à l'époque les spécialistes avaient proposé de "marier" la tourelle du 30 avec la mécanique du Leo'. ;)

 

L'histoire est un éternel recommencement. :hihi:

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Les tourelles des navires pouvaient être démontées pour défendre des ports. A part ça on est vraiment dans le bricolage qui ne sert a rien dans cette fiction.

 

Déjà en face on parle de la marine Sud Coréenne, qui est une des mieux équipée au monde.

 

Je ne vois pas comment un T34 peut faire des dégâts avec son vieux canon de 85mm, déjà réussir a viser correctement dépuis un chaland a fond plat ou petit navire qui doit être complètement déséquilibrée avec le poids du char, même niveau distance la quasi totalité des navires Sud Coréens peuvent le couler sans même qu'il puisse s'en approcher ou s'en apercevoir.

 

Sans parler de LHD, destroyers, frégates ou autre, un simple patrouilleur de la classe "Gumdoksuri" dispose d'un canon Otobreda de 76mm, avec une portée pratique qui peut atteindre 30km, une cadence qui peut aller jusqu'à 120 coups minutes (!) et de missile anti-navire. Il n'y a qu'à appuyer sur un bouton et c'est dans le mille, pour réussir a toucher quelque chose a proximité dans un T34 posé sur une barcasse bon courage :ange:

 

 

D'ailleurs j'ai toujours été halluciné par ce canon et sa cadence:

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