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Le Topic de Paris


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[h1]Anne Hidalgo : l'échec...[/h1]

 

Embouteillages incessants, pollution stable en dépit de la chasse aux automobilistes, finances exsangues, politique du logement sectaire et polémiques à répétition, propreté des rues en berne… Jamais les choix politiques et la méthode autoritaire de la « reine maire » de Paris n'avaient été aussi contestés, à droite comme à gauche. C'est à croire qu'elle a perdu la main.

 

Lors du dernier Conseil de Paris, Anne Hidalgo a beaucoup parlé de propreté. Un long discours, promettant de nouvelles consultations citoyennes, après celles qui ont déjà eu lieu. Mais les observateurs ont senti la tension dans l'air. Une tension qui n'est plus circonscrite à ce seul dossier. Même ses proches le reconnaissent. « Anne a enfin compris qu'elle n'avait plus la main », nous dit l'un d'eux. « On est dans une phase difficile, il va falloir rester groupés », ajoute un autre. « 2017 a été notre annus horribilis, 2018 sera beaucoup mieux », espère celui-ci. « Ça commence à se fissurer », conclut celui-là. Constats lucides, car il faudrait être aveugle pour ne pas voir que quelque chose cloche. Rompue aux polémiques sur la circulation, abonnée aux attaques violentes contre sa personne - qui provoque parfois unedétestation irrationnelle -, Anne Hidalgo a toujours mis celles-ci sur le compte du machisme, ou des combats d'arrière-garde d'une droite ringardisée. Elle fait pourtant face depuis six mois aux revers qui s'accumulent. Une pluie acide de mauvaises nouvelles sur fond de ciel gris détrempé et de crue de la Seine.

 

 

 

Le symbole des déboires municipaux commence par les rats, qui se sont multipliés dans Paris depuis la crue de 2016. Jusque-là, Marseille était leur port d'attache, abritant neuf millions de rongeurs pour un peu moins d'un million d'habitants. On savait les services de propreté de la Cité phocéenne très inefficaces, car gangrenés par un syndicalisme d'un autre âge multipliant débrayages et services minimums, et on y voyait un phénomène très local. Or, les rats sont « entrés » dans Paris. Ils sont passés du sous-sol au macadam. Un phénomène très visible et donc très gênant, que la Mairie ne nie pas. Réseaux sociaux aidant, Twitter ou Facebook, on les découvre dans des petits films postés par les badauds. Ils ont la force d'un symbole.

 

 

» LIRE AUSSI - Heureux comme un rat à Paris

Ce symbole s'ajoute à l'exaspération constante des Parisiens automobilistes ou usagers des transports en communs depuis trois ans. Dans une interview au JDD, la maire de Paris a affirmé qu'il y avait 10% de trafic en moins depuis septembre 2016. Mais elle ne cite pas l'étude qui l'établit. Elle passe outre l'augmentation du temps de parcours dans plusieurs axes de la capitale. Au total, ce sont des centaines d'heures par an passées au volant par chaque automobiliste, qui ont aussi un coût économique. Enfin, la baisse de la pollution, son sujet fétiche, laisse pour le moment à désirer. Selon l'organisme Airparif « la diminution de 48 % de ses rejets en dioxyde d'azote est essentiellement imputable à la modernisation du parc roulant », et non à la fermeture des quais rive droite. Enfin, la pollution reste très forte dans l'est de Paris, celui qui vote pour elle.

 

 

Le vélo, le métro et le bobo festif ont laissé la place à un autre spectacle plus concret, plus désolant. Celui de contrats mal négociés, des embouteillages qui persistent, d'une politique du logement idéologique et horriblement coûteuse.

 

http://www.lefigaro.fr/politiq [...] -bilan.php

 

étonnant! l'étude de quel canard?

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Ça donne envie :sol:

 

J'ai travaillé à cette époque (durant 13 ans) rue de l'Arbre-Sec et j'ai pu apprécier dans le détail toutes ces situations sur lesquelles la Presse d'aujourd'hui nous fait une fixation.

Je pourrai aussi évoquer le restaurant "Le Bougnat Blanc", fréquenté par la bourgeoisie parisienne qui venaient s'y encanailler.

Quand on passait dans la rue Sauval (où il était localisé), on y voyait encore les tâches de sang des têtes de veau empilées à même le sol dans la nuit. :cry:

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à l'époque des halles de Baltard?

 

Exact : de 1957 à 1970 rue de l'Arbre-Sec (face à la Samaritaine disparue aujourd'hui).

Ensuite : entreprises diverses dans le secteur 705002 et 75010 puis en banlieue à partir de 1989, aucune usine ne pouvant plus rester sur Paris... :cry:

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Figaro...

 

J'ai travaillé également pour le Figaro, notamment quand la rédaction du journal se trouvait au rond-point des Champs-Elysées.

Quand tu travaillais dans la Presse à cette époque, tu ne travaillais pas toujours pour le même journal.

Parfois dans 3 journaux différents dans la semaine (à des horaires très variables).

Il fallait s'acclimater à ces contraintes (sans manquer de rendez-vous) au moins pendant deux ans avant de pouvoir bénéficier d'un emploi plus régulier...

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Exact : de 1957 à 1970 rue de l'Arbre-Sec (face à la Samaritaine disparue aujourd'hui).

Ensuite : entreprises diverses dans le secteur 705002 et 75010 puis en banlieue à partir de 1989, aucune usine ne pouvant plus rester sur Paris... :cry:

 

J'adore ce nom de rue tellement imagé :oui:

J'ai connu des maisons de la presse rue Réaumur je crois, des vraies fourmilières.

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J'adore ce nom de rue tellement imagé :oui:

J'ai connu des maisons de la presse rue Réaumur je crois, des vraies fourmilières.

 

Les maisons de la Presse étaient les entreprises de distribution de la Presse dans son ensemble.

Moi je travaillais dans les imprimeries (qui appartenaient le plus souvent à un journal précis).

A cette époque, la presque totalité des imprimeries de Presse se trouvaient sur les quartiers du 1er et 2e arrondissement, ce qui occasionnait une gêne importante pour les riverains...

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avec ce bruit typique?

je sais,ce n'est pas une rotative..............

 

C'est ce qu'on appelait dans l'édition une petite machine (une machine à platine format a4).

Ce n'était pas très bruyant.

Les rotatives de presse faisaient 3 étages de haut.

Mais quand les rotatives de presse démarraient, on n'avait pas besoin de me téléphoner pour que je surveille le démarrage de tirage.

L'immeuble vibrait de haut en bas et les stylos se baladaient sur le bureau...

Et les camions attendaient ans la rue pour charger les paquets de journaux, bloquant toute la circulation du secteur...

 

Goss-Community-SC-SSC.jpg

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aïe:

une péniche de Le Corbusier classée monument historique a coulé lors de la décrue de la Seine

 

La Louise-Catherine, une embarcation en ciment armé de 70 mètres de long, était en cours de réhabilitation. Elle a coulé en vingt minutes en raison d'une avarie.

-

https://www.francetvinfo.fr/me [...] 04558.html

-

La Louise-Catherine, barge en ciment armé de 70 mètres de long et 8 mètres de large,

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Invité §Jes257LV

Les maisons de la Presse étaient les entreprises de distribution de la Presse dans son ensemble.

Moi je travaillais dans les imprimeries (qui appartenaient le plus souvent à un journal précis).

A cette époque, la presque totalité des imprimeries de Presse se trouvaient sur les quartiers du 1er et 2e arrondissement, ce qui occasionnait une gêne importante pour les riverains...

 

Les nmpp :jap:

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Invité §Jes257LV

Aujourd'hui c'est devenu une entreprise privée nommée Presstalis...

Je ne me rappelle plus, mais il me semble aussi qu'il existait une autre boite, les messageries lyonnaises je crois :??:

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Je ne me rappelle plus, mais il me semble aussi qu'il existait une autre boite, les messageries lyonnaises je crois :??:

 

C'est une société coopérative qui avait été créée à la même époque que les NMPP.

Elle diffuse la presse non quotidienne auprès des marchands de journaux partout en France (même à l’étranger).

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tout neuf:

Le distributeur de journaux Presstalis, en grande difficulté, va présenter lundi un plan de restructuration qui pourrait entraîner la suppression du quart de ses effectifs et fait l'objet de vifs débats dans le monde de la presse.

 

"Nous allons proposer un plan de sauvegarde de l'emploi qui pourrait concerner entre 200 et 300 personnes (environ la moitié sur la messagerie Presstalis et l'autre sur ses dépositaires) sur un total de 1.200", a annoncé cette semaine la nouvelle PDG de Presstalis, Michèle Benbunan, qui planche sur un plan de redressement depuis son arrivée à la tête du groupe fin 2017.

 

Ce PSE sera présenté lundi aux organisations syndicales lors d'un comité central d'entreprise.

 

"Ces mesures sont nécessaires pour un retour à l'équilibre de Presstalis fin 2019", a-t-elle plaidé, disant vouloir céder neuf dépôts en régions, pour "se recentrer sur la distribution dans les grandes villes de province".

-

Sa présidente le concède : « Presstalis a fait des erreurs ». Dans une interview accordée aux Echos, Michèle Benbunan revient sur les 20 millions de pertes d’exploitation de la messagerie et sur le plan de relance qu’elle propose.

http://www.cbnews.fr/medias/pr [...] n-a1040461

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tout neuf:

Le distributeur de journaux Presstalis, en grande difficulté, va présenter lundi un plan de restructuration qui pourrait entraîner la suppression du quart de ses effectifs et fait l'objet de vifs débats dans le monde de la presse.

 

"Nous allons proposer un plan de sauvegarde de l'emploi qui pourrait concerner entre 200 et 300 personnes (environ la moitié sur la messagerie Presstalis et l'autre sur ses dépositaires) sur un total de 1.200", a annoncé cette semaine la nouvelle PDG de Presstalis, Michèle Benbunan, qui planche sur un plan de redressement depuis son arrivée à la tête du groupe fin 2017.

 

Ce PSE sera présenté lundi aux organisations syndicales lors d'un comité central d'entreprise.

 

"Ces mesures sont nécessaires pour un retour à l'équilibre de Presstalis fin 2019", a-t-elle plaidé, disant vouloir céder neuf dépôts en régions, pour "se recentrer sur la distribution dans les grandes villes de province".

-

Sa présidente le concède : « Presstalis a fait des erreurs ». Dans une interview accordée aux Echos, Michèle Benbunan revient sur les 20 millions de pertes d’exploitation de la messagerie et sur le plan de relance qu’elle propose.

http://www.cbnews.fr/medias/pr [...] n-a1040461

 

Les NMPP ont connu leur heure de gloire jusqu'à ce que l'organisation de la diffusion des quotidien puisse être modifiée grâce à l'évolution des réseaux informatiques et de leur implantation de plus en plus importante dans la fabrication des quotidiens...

A cette époque, le tirage des journaux était effectué à Paris et expédié sur les régions (même l'étranger).

Aujourd'hui, les tirages des journaux sont effectués localement dans 5 centres d'impression répartis sur la France, ce qui a profondément modifié l'utilité de cette société.

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Le nouveau siècle et l'apparition des journaux gratuits, l'érosion des points de vente, etc., obligent l'entreprise à réagir face à un environnement évolutif. En 2007, le déficit net des NMPP était de 29 millions d'euros, pour un déficit d'exploitation de 11 millions d'euros.

 

Conformément à l'esprit de la loi Bichet, Presstalis, née de la réorganisation des NMPP en 2009, est, jusqu'en 2011 une SARL détenue à 51 % par les éditeurs de presse, regroupés en deux coopératives ; et à 49 % par Hachette SA, propriété de Lagardère SCA, qui eut longtemps un rôle d'opérateur.

 

Depuis le 1er juillet 2011, Presstalis est devenue une société par actions simplifiée (SAS). Lagardère SCA ayant cédé ses parts pour un euro symbolique, le capital de 16 millions d'euros est désormais réparti entre :

 

une coopérative des magazines (75 %)

une autre coopérative représentant les quotidiens (25 %)5.

 

Presstalis distribue 75 % de la presse en France6. Les pertes annoncées par Presstalis pour 2011 sont de 15 millions d'euros. Face à la crise de la presse quotidienne française, l'État français distribue des aides à la presse qui s'élèvent en 2012 à 250 millions d'euros pour Presstalis7, destinées notamment à sa restructuration (il s'agit de faire partir 1 200 personnes sur un total de 2 500)8.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Presstalis

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Le nouveau siècle et l'apparition des journaux gratuits, l'érosion des points de vente, etc., obligent l'entreprise à réagir face à un environnement évolutif. En 2007, le déficit net des NMPP était de 29 millions d'euros, pour un déficit d'exploitation de 11 millions d'euros.

 

Conformément à l'esprit de la loi Bichet, Presstalis, née de la réorganisation des NMPP en 2009, est, jusqu'en 2011 une SARL détenue à 51 % par les éditeurs de presse, regroupés en deux coopératives ; et à 49 % par Hachette SA, propriété de Lagardère SCA, qui eut longtemps un rôle d'opérateur.

 

Depuis le 1er juillet 2011, Presstalis est devenue une société par actions simplifiée (SAS). Lagardère SCA ayant cédé ses parts pour un euro symbolique, le capital de 16 millions d'euros est désormais réparti entre :

 

une coopérative des magazines (75 %)

une autre coopérative représentant les quotidiens (25 %)5.

 

Presstalis distribue 75 % de la presse en France6. Les pertes annoncées par Presstalis pour 2011 sont de 15 millions d'euros. Face à la crise de la presse quotidienne française, l'État français distribue des aides à la presse qui s'élèvent en 2012 à 250 millions d'euros pour Presstalis7, destinées notamment à sa restructuration (il s'agit de faire partir 1 200 personnes sur un total de 2 500)8.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Presstalis

 

Le milieu de la Presse écrite (pas seulement lui, bien sûr) est touché de façon générale par les évolution technologique qui permettent maintenant la fusion de différents secteurs.

La concurrence des autres médias lui a été particulièrement dommageable, surtout en qui concerne le choix qui avait été fait d'utiliser la publicité pour équilibrer les coûts de fonctionnement, maintenant sérieusement compromis par ces concurrents.

Je me souviens de la période dans les années 90 où les groupes de presse ont négocié avec les partenaires sociaux le départ de la totalité des personnel âgés de plus de 50 ans dans les secteurs techniques.

Une opération validée par le pouvoir en place (qui a coûté la bagatelle de 4 milliards aux contribuables)...

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et tu as connu la période Hersant et les journaux imprimés en louzdé en Belgique?

 

Absolument.

Triste personnage qui avait été condamné à 10 ans d'indignité nationale pour collaboration avec l'Allemagne nazie (il a bénéficié de l'amnistie générale de 1952).

Inutile de préciser qu'il n'est pas le seul des patrons de Presse à avoir eu les mêmes antécédents...

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(braves gens,la police compte :)

C'est (un peu) plus que les 50 hommes "isolés" évoqués début février par le secrétaire d'État en charge du Logement, Julien Denormandie.

-

(braves gens,les parisiens comptent)

-

Près de 3000 SDF recensés à Paris pendant la "Nuit de la solidarité"

-

Désormais, cette opération aura lieu tous les ans,

-

http://www.huffingtonpost.fr/2 [...] r-homepage

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Bruno Julliard premier adjoint à la mairie de Paris

 

"Tous les parkings n'ont pas été pris en compte, l'ensemble des cages d'escalier d'immeuble, notamment des bailleurs sociaux, n'ont pas été pris en compte, nous n'avons pas réveillé les sans domicile fixe, nous n'avons pas ouvert les tentes dans lesquelles il pouvait y avoir plusieurs personnes"

 

#SANS_ABRI Lors de sa conférence de presse, Bruno Julliard a toutefois reconnu que l'estimation du nombre de sans-abri était "probablement très en dessous de la réalité".

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Invité §fol387gR

anne hidalgo vient de subir un revers.

la justice a annullé la pietonisation des voies sur berges.

 

sinon en revenant au SDF tu peux multiplier par 10 facile.

ici à toulouse beaucoup habitent dans des tentes dans les bois sur l'ile du ramier et pas en centre ville..

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c'est un vrai fléau,mais que fait on des logements vides?

il n'y à pas une loi,avec beaucoup de gens qui laissent leur pieds pour coincer la porte?

la solution est intra muros

avoir un travail,pas de logement!

trouver du travail,mais quelle est votre adresse?

 

Il ne faut pas y mettre de mauvaise volonté non plus.

Je connais des logement à louer à prix abordable en Haute-Loire.

Il suffit de créer son entreprise pour avoir du travail... :lol:

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