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Salon de discussion

Le Topic de la gastronomie / bonne bouffe (bons plans et restaux)


Invité §Jes257LV
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Ais- je dit le contraire ? C'est toi qui parle de quantité dans ton premier post :o

Les Steak frites enfants viennent de métro également, je ne comprends pas où tu voulais en venir.

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Invité §Jes257LV

[h1]Au resto, les 7 techniques des serveurs pour alourdir l’addition[/h1]

[h2]Questions fermées, ardoise approchée au bon moment, petit verre offert par le patron : comme tout bon vendeur, votre serveur sait comment vous faire consommer plus...[/h2]

 

On ne fait pas attention, ou alors on s’habitue, mais passer la porte d’un restaurant, c’est, avant de prendre du plaisir, résister (ou pas) aux multiples sollicitations commerciales. Souvent implicites, ces petites pressions sous forme de gestes ou de phrases permettent aux restaurants d’améliorer leur chiffre, et aux serveurs d’empocher, éventuellement, une prime.

Sylvain, chef de rang depuis cinq ans, explique que « tout est codifié, pensé dans les moindres détails, pour vendre le maximum de produits ».

Il se souvient d’une discussion avec son responsable d’un Costes (grand groupe de restauration à Paris) :

« C’est chez les Costes qu’on m’a le mieux formé à vendre. Une fois en fin de service, mon manager m’a dit une phrase qui m’a marqué : “Ici les serveurs, vous êtes là pour baiser le client, pas physiquement mais en lui prenant son argent. Alors faites du chiffre, dès qu’un client termine son verre, prenez le lui et faites le recommander.” »

Bien sûr, ce genre de propos et la liste des astuces marketing qui suivent ne reflètent pas la mentalité de tous les restaurants.

 

 

1

[h2]Placer le client en vitrine ou en terrasse[/h2]

 

Le monde appelle le monde. Un restaurant attire parce qu’il a du succès. Passer devant un restaurant qui semble plein est le meilleur moyen de le remplir.

 

 

 

2

[h2]« Un apéro ou directement du vin ? »[/h2]

 

Vous avez déjà sûrement entendu cette phrase : « Vous prendrez un petit apéritif ou directement une bouteille de vin ? » C’est sur l’alcool que les restaurateurs font le plus de marge. Il faut poser des questions fermées, ne pas laisser de choix au client, rendre une réponse négative (« en fait, on va prendre de l’eau ») plus difficile.

 

 

 

 

3

[h2]« Sauvignon, Chardonnay, Chablis ? »[/h2]

 

Après avoir gentiment imposé l’idée de prendre une boisson, et lorsque le client demande du vin, une technique courante consiste à lister les bouteilles de la moins cher à la plus cher :

« En blanc on peut vous proposer Sauvignon, Chardonnay ou Chablis. »

La technique est féroce, mais le consommateur va retenir ce qui est dit en dernier plutôt que de faire répéter le serveur.

Et pour les verres de vin ou la bière, on ne parlera jamais centilitre, mais au contraire, on demandera : « Petit ou moyen, le verre ? » Pour la bière, c’est en réalité 25 centilitres ou 50 centilitres comme dans tous les établissements, mais présenter ainsi le choix incite le client à prendre une pinte plutôt qu’un demi.

 

 

 

4

[h2]« Eau plate ou eau gazeuse »[/h2]

 

L’eau minérale, aussi étonnant que cela puisse paraître, est un véritable enjeu pour chaque serveur. Certains restaurants posent déjà des bouteilles non décapsulées sur les tables pour inciter le client à en prendre. Mais le plus souvent, le serveur en propose après avoir pris la commande. Cette phrase oblige encore le client à choisir l’une ou l’autre des possibilités.

Dans certains restaurants, des fiches expliquent comment bien vendre de l’eau :

  • Ne jamais poser de carafe d’eau avant de prendre la commande
  • Proposer « eau plate ou eau gazeuse »
  • Servir l’eau minérale comme le vin
  • Resservir régulièrement

 

Alexia, serveuse dans une brasserie chic, témoigne de sa technique :

« Moi, je sers régulièrement l’eau pour terminer la bouteille en plein milieu du repas et je propose au client une nouvelle bouteille. Presque systématiquement, il en redemande. »

Et cela fonctionne de la même façon pour le vin. Le serveur est a priori bienveillant pour vous resservir, mais c’est aussi un calcul : remplir les verres à ras bord et régulièrement, c’est avoir plus de chances de vendre une seconde bouteille.

 

 

 

5

[h2]Ne jamais goinfrer le client[/h2]

 

Ne rien donner au client qu’il n’ait pas demandé. Mais comme cette règle souffre de beaucoup d’exceptions, il a fallu s’adapter. Pour les apéritifs, on donnera des amuse-bouches très salés (chips, cacahuètes, pop-corn) pour que le client ait soif et qu’il reprenne à boire. Romain, serveur à Montparnasse, a mis longtemps à intégrer la règle :

« Mon responsable m’a engueulé je ne sais pas combien de fois parce que je posais le pain sur la table juste après avoir pris la commande. Il veut qu’on le donne après avoir posé les plats, quitte à l’oublier pour que les clients aient encore faim pour un dessert. C’est stratégique. »

 

 

6

[h2]Poser plutôt que proposer[/h2]

 

Une fois le plat de résistance terminé, le restaurateur espère pouvoir vendre un dessert. Pour cela il y a les serveurs pressés ou pas bien formés qui diront : « Vous prendrez un petit dessert ? »

Et il y a ceux qui ne laisseront pas le choix en posant la carte des desserts directement sur la table. Pour Romain, cela change tout :

« On dirait que cela ne fait qu’une petite différence, mais en réalité, c’est radical.

Le midi, quand je ne sers que des cadres qui sont pressés et que je suis dans le jus, je propose toujours les desserts à voix haute, c’est très rare qu’ils en prennent. Mais quand il y a moins de monde, je pose la carte, je laisse un peu de temps pour qu’ils digèrent, et je suis sûr d’en vendre. »

Et pour les plus récalcitrants, il y a le fameux café gourmand qui cible tous ceux qui ne veulent pas vraiment un dessert. Cette petite invention qui coûte entre 7 et 9 euros, rapporte énormément et console le client.

 

 

 

 

7

[h2]« L’addition, s’il vous plaît »[/h2]

 

Evidemment, on ne pose jamais l’addition sans que le client la demande. Il peut reprendre un digestif ou une bouteille de vin. Une fois sollicité, le serveur apportera la note et après avoir vendu tout ce qu’il a pu, devra gratter un peu de pourboire.

Sylvain détaille ses techniques :

« Déjà le “tips” se fait tout au long du service. Au moment de payer, je vais systématiquement demander si tout s’est bien passé. Quand ils payent en carte bleue, je vais demander combien ils veulent mettre plutôt que d’inscrire le montant de la note directement sur la machine.

Et si je dois rendre de la monnaie, j’essaye de toujours privilégier les pièces, et jamais dans la main : soit dans une coupelle, soit sur la table. »

Enfin, pour les les gros consommateurs ou les habitués, ils peuvent se voir offrir un petit verre pour la fin. Le patron peut bien sûr être sympathique, mais c’est aussi un acte qui n’est pas innocent. Si le restaurant se vide, cela permet de garder plus longtemps le client et d’avoir toujours un peu de monde. Cela récompense et entretient aussi la fidélité des habitués.

Attention cependant à ne pas griller cette carte, comme le relève Manu, chef de rang à Châtelet :

« Quand on offre un verre au client, ils demandent parfois : “En quel honneur ?” J’ai envie de leur répondre : “Parce que le restaurant se vide”... Mais parfois, on offre des verres à la table juste à côté, alors c’est gênant pour ceux qui se croyaient privilégiés. »

Ces petites astuces commerciales ont tellement de succès que des formations en vente additionnelle sont maintenant proposées aux restaurants. Pour Aurélie Viry, formatrice pour AV-Conseil : « Tout ce que l’on peut vendre en plus fera le chiffre d’affaires. » Elle se défend d’apprendre à manipuler la clientèle :

« Tout est dans l’art de proposer, on ne force pas le client qui pourra toujours dire non. Il faut intégrer la notion de plaisir. On va par exemple dire : “Un deuxième café vous ferait plaisir ?” Plutôt que : “Pas d’autre café ?”, formule négative et qui pousse à dire non. »

 

http://rue89.nouvelobs.com/rue [...] ion-233918

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C'est l'histoire de l'arroseur arrosé. Après son passage à l'hôtel B Lay Tong Resort Phuket en Thaïlande, une clientea raconté sa déception via le site TripAdvisor, une plateforme permettant aux consommateurs de laisser une note et leurs commentaires sur la qualité du séjour. "Effrayant", commence-t-elle. Avant de continuer, dans un message ponctué de plusieurs fautes d'orthographe : "Je ne recommande pas cet établissement (...) Passez votre chemin (...) Je plain ceux qui on apprécié leur séjour." La critique, postée sur le site le 1er décembre dernier est certes vive, mais pas inhabituelle. Ce qui l'est un peu plus, c'est la réponse de Mathieu Lacabanne, le directeur général de l'établissement, publiée quelques jours plus tard.

"De notre côté, nous avons trouvé effrayant..."

Dans la première partie de sa réplique, le ton est courtois : "Chère Estelle Ledoux, Merci pour vos commentaires suite à votre séjour chez nous. Je suis désolé que vous n'ayez pas apprécié votre séjour et vous prie de bien vouloir nous excuser pour la gêne occasionnée."

Mais dans la deuxième partie du texte, Mathieu Lacabanne se montre plus virulent : "De notre côté, nous avons trouvé effrayant :

- que vous ayez engagé des rapports intimes avec un membre de notre personnel et ce dans votre chambre.

- encore plus effrayant que vous vous en soyez plaint lorsque vous en avez eu assez, ce qui lui a valu de perdre son emploi.

- que nous ayons dû vous retrouver dans un autre hôtel pour vous faire régler ce que vous nous deviez." Un message étonnant auquel la principale interéssée n'a toujours pas réagi.

http://s.tf1.fr/mmdia/i/12/1/echange-entre-une-cliente-d-un-hotel-mecontente-et-le-patron-de-11347121webbk.png?v=1

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Et cela fonctionne de la même façon pour le vin. Le serveur est a priori bienveillant pour vous resservir, mais c’est aussi un calcul : remplir les verres à ras bord et régulièrement, c’est avoir plus de chances de vendre une seconde bouteille.

 

 

On vous a déjà servi un verre de vin à ras bord ou presque dans un resto ? :ddr:

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Invité §Jes257LV

 

On vous a déjà servi un verre de vin à ras bord ou presque dans un resto ? :ddr:

 

Oui, dans un resto campagnard :jap: le probléme c'est que ça à fini sur mon pantalon, le serveur c'est excusé et le patron à payé le nettoyage anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

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Sinon récemment j'ai fait un repas dans un relais chateaux 4*.

 

Est-ce qu'eux aussi sont touchés par les problématiques de surgelé ? On a déjà trouvé des plats surgelés dans leurs poubelles ?

 

C'est celui là : http://www.cheneaudiere.com/

 

Le repas était parfait (et le vin a eu raison de moi :ddr: ), même si l'ambiance est trop guindée pour moi comme toujours dans ces endroits.

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Invité §Jes257LV

J'ai eu l'occaz de manger une fois dans un "relais du silence", horrible.

Tu t'es endormi ??? anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

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Invité §fab431ER

Sinon récemment j'ai fait un repas dans un relais chateaux 4*.

 

Est-ce qu'eux aussi sont touchés par les problématiques de surgelé ? On a déjà trouvé des plats surgelés dans leurs poubelles ?

 

C'est celui là : http://www.cheneaudiere.com/

 

Le repas était parfait (et le vin a eu raison de moi :ddr: ), même si l'ambiance est trop guindée pour moi comme toujours dans ces endroits.

 

 

l'établissement dont tu parles semble tout miser sur le "fait maison", avec des plats à minimum 30€, tu peux dormir tranquille, c'est pas là que t'as bouffé le plus de Picard :buzz:

 

je me souviens d'une auberge près de Clermont, entre amis, arrive le dessert, j'avais demandé un fondant chocolat. Ben c'était le fondant de chez Picard, j'en mange régulièrement, je le connais par coeur :buzz:

t'aurais vu la tête du serveur quand je lui ai dit "il est bon votre fondant Picard" apalta.gif.6cc449abd25defad697f86c9c8df79cb.gif

il savait plus où se mettre. C'était pas le but :bah: j'ai pas dit "il est dégueulasse votre fondant" :bah:

 

dans la restauration, la plupart n'assument rien concernant l'origine de leurs matières premières :bah:

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Tu t'es endormi ??? anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

 

 

Dès l'entrée, dans mon assiette, un petit bout de plastique avec le sigle "open" dessus.. ça laisse rêveur hein :buzz: ?

 

 

C'était de la bouffe insipide, ni plus ni moins que ce que tu vas manger pour 25€ dans un resto moyen d'une ville normande quoi...

 

Vraiment déçu. Jamais plus !!!!

 

 

 

Dommage, le cadre était top... ils gâchent juste tout.

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Invité §Jes257LV

 

Dès l'entrée, dans mon assiette, un petit bout de plastique avec le sigle "open" dessus.. ça laisse rêveur hein :buzz: ?

 

 

C'était de la bouffe insipide, ni plus ni moins que ce que tu vas manger pour 25€ dans un resto moyen d'une ville normande quoi...

 

Vraiment déçu. Jamais plus !!!!

 

 

 

Dommage, le cadre était top... ils gâchent juste tout.

 

Comme quoi le cadre ne fait pas tout :jap:

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Disons que quand tu tombes mal sur un resto routier à 15€, bah ça passe.

 

Quand t'es dans un lieu a bien 200 balles la nuit et le repas pour 2.. si c'est pour manger moins bien que chez moi... la déception est immense.

 

 

Jcrois que du coup j'avais laissé un avis "salé" sur le net :buzz:

 

 

N'y allez jamais

 

http://www.chateau-du-landel.fr/fr/index.php

 

Ah oui, et quand meme, la facturation au départ était fausse (en notre défaveur bien sur), j'ai immédiatement fait corriger la tentative d'ajout de 1 ou 2€ par ci par la.

 

 

Je trouve un commentaire tripadvisor qui correspond tout à fait à mon aventure :buzz:

 

 

 

Nous sommes allés en couple (formule nuit + diner + petits déjeuners), formule a 200 euros env.

SMARTBOX en octobre 2013.

Quelle déception en prenant possession de notre chambre, mansardée, très petite, style chambre de bonne, avec salle de bain aussi petite et incluant en plus les WC casés derrière la porte !

pas de place pour poser ses affaires. Tout étriqué, décoration de la chambre nulle, tables de chevets en mauvais état, bref, rien d'une chambre à 100 euros comme l'indique le prix à la réception !

Quant au diner, il est plutot bon, mais le pain y est servi avec parcimonie, un morceau par personne et difficile d'en avoir beaucoup plus ! prix élevé par rapport à la prestation fournie.

Petit déjeuner également à l'image du chateau, parcimonie, et beaucoup de suppléments !

pas de possibilité d'en demander plus !

Une forme de radinerie se dégage de cette ambiance et c'est bien dommage.

Décus par ce séjour, nous n'y retournerons pas

Astuce pour la chambre : se méfier du 2eme etage, possibilité de tomber sur une chambre très petite.

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Un endroit atypique à Chamonix, j'y ai mangé la meilleure fondue de ma vie ainsi que des plats proposé par le chef en fonction de son marché du jour.

 

J'avais préparé un post beaucoup plus long mais en faisant copié collé du lien, la page fa s'est réactualisée avec cet enculé d'iPad ! faar.gif.57c883a34870d26d033a1b60544cf0ef.gif

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Sinon récemment j'ai fait un repas dans un relais chateaux 4*.

 

Est-ce qu'eux aussi sont touchés par les problématiques de surgelé ? On a déjà trouvé des plats surgelés dans leurs poubelles ?

 

C'est celui là : http://www.cheneaudiere.com/

 

Le repas était parfait (et le vin a eu raison de moi :ddr: ), même si l'ambiance est trop guindée pour moi comme toujours dans ces endroits.

Tiens, j'ai déjà bouffé 2 ou 3 fois là-bas, j'avais bien apprécié et le cadre est joli :D

 

Mais il paraît que c'était mieux il y a quelques années, à ce que j'ai entendu !

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Invité §Jes257LV

[h1]Metz : le groupe Maranatha exploitera l'hôtel de Philippe Starck[/h1]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/252104FE-4B48-42DE-AFC7-B15C1577495A/LRL_v0_03/l-hotel-starck-de-metz-dont-le-nom-n-est-pas-encore-arrete-devrait-etre-exploite-par-le-groupe-francais-maranatha-cette-prise-de-position-devrait-etre-annoncee-ce-jeudi-a-paris-lors-de-la-convention-strategique-annuelle-du-groupe-photo-karim-siari.jpg

[h2]Demain devrait être annoncé à Paris, l'entrée du groupe hôtelier Maranatha, au capital de l'hôtel Starck de Metz. Ce dernier exploitera l'établissement et en deviendra actionnaire dans une proportion qui n'a pas encore été révélée.[/h2]

 

Bonne nouvelle pour Metz et son développement. Ce jeudi, le groupe hôtelier Maranatha devrait annoncer à Paris son entrée au capital de l’hôtel Starck de Metz. Fondée et dirigée par Olivier Carvin, Maranatha en deviendrait également l’exploitant. Après un appel à candidatures des porteurs mosellans du projet, Yvon Gérard et Olivier Vetsch, le groupe français s’est présenté comme le mieux-disant et le plus engagé.

 

Pour rappel, l’hôtel dessiné par la star mondiale du design, Philippe Starck, devrait voir le jour à l’horizon 2018 dans le quartier de l’Amphithéâtre qui s’étend derrière la gare de Metz. Il devrait contribuer au rayonnement de Metz au même titre que le musée Pompidou. En effet, chaque création de Philippe Starck dans l’hôtellerie est scrutée et adulée. Le succès des hôtels Mama Shelter décorés et conçus par Starck, en atteste, sa signature est un gage de qualité, mais aussi d’audience.

 

À Metz, l’hôtel Starck, dont l’architecture a déjà été longuement commentée, est une fantasmagorie née d’une balade au milieu des hôtels particuliers de l’avenue Foch. Philippe Starck a voulu combiner dans une même architecture l’histoire de la cité et de ses mutations. Ce mariage entre passé et présent a enfanté d’un bâtiment époustouflant composé d’un piédestal surmonté d’une maison de style 19e. L’hôtel devrait être classé 4 étoiles. Coût de cet objet décoiffant : 22 millions d’euros.

:bien:

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Invité §Jes257LV

[h1]Bientôt des beignets de criquets ou des sauterelles grillées au menu 1506430399_ae92.gif.cb8e7e35918f36d6f621f4ce0ba3b4c1.gif [/h1]

 

http://i.f1g.fr/media/figaro/805x453_crop/2015/04/09/XVMcd7fa59e-de04-11e4-b94b-a784d9f37c0f.jpg

 

 

Les insectes comestibles ont le vent en poupe, certains les trouvent même délicieux. Il parait aussi que c'est bon pour la santé!

 

 

Non, non, il ne s'agit pas d'une fourmi baladeuse dans votre assiette à pique-nique, ni d'une coccinelle perdue sur la feuille de salade, mais de vrais insectes comestibles qui ont pour vocation d'être mangés. Ou plutôt croqués, parce que les criquets et les sauterelles sont du genre croustillant.

 

 

Si vous êtes tenté par l'aventure, sachez que les scientifiques s'intéressent de très près aux insectes pour leurs qualités nutritionnelles. Ils sont en effet riches en protéines, souvent pauvres en calories, et contiennent également des vitamines, minéraux et acides gras essentiels.

Au moment où la question de nourrir la planète devient cruciale (c'est le thème central de l'Expo Universelle qui va se tenir de mai à octobre, à Milan), l'Union Européenne regarde avec intérêt ce nouveau joker alimentaire.

 

Au fait, quel type d'insectes peut-on manger et où? Plus ou moins glamour, citons pêle-mêle les vers à farine, les grillons, les sauterelles et criquets, les larves de guêpes et d'abeilles, les termites et certaines chenilles. Les amateurs ont même leurs recettes préférées, répertoriées sur des sites spécialisés comme restaurantsdinsectes.fr, où l'on peut apprendre à se concocter des criquets en beignets, façon Pad Thai (sauce poisson, de soja, jus de citron vert, oignon, ail et herbes fraîches) ou encore au gingembre confit et chocolat.

 

 

Si tout cela vous a mis en appétit, sachez qu'il n'y a pas encore de restaurants vraiment spécialisés dans les insectes, en France, avec une véritable carte qui leur soit consacrée. Par « pur divertissement », le bar à bières et à cocktails Le Festin Nu, à Paris (10, rue de la Fontaine du But, 75018. Tél.: 01 42 58 60 64) propose à ses clients quelques tapas d'insectes à base de vers de bambou, termites, grillons et vers de palmier, pour accompagner les verres (les vrais!), mais ne revendique aucune cuisine et tient à ce que cela reste anecdotique.

Si vous voulez toutefois pimenter vos propres apéros, vous pouvez toujours commander des criquets au paprika, au curry ou à la grecque sur le site Jimini's qui préfère de loin les insectes aux cacahuètes!

Bon appétit anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif
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Invité §Jes257LV

[h1]Tourisme : l'Allemagne, autre pays des vacances

[/h1]

Le nombre de visiteurs outre-Rhin a augmenté de 53% depuis 2005. Ils y apprécient la qualité de l’accueil, l’ambiance familiale et les petits prix, surtout dans l’Est.Claus-Peter Lumpp est un chef heureux. Très fier de sa 3e étoile Michelin pour son restaurant Bareiss, située à Baiersbronn, au cœur de la Forêt-Noire. Chauve, massif comme un bûcheron, Herr Lumpp est à 51 ans un des "seigneurs" de ce bourg de 16.000 habitants qui s'enorgueillit de deux établissements triplement étoilés au Michelin allemand. Le pays du Schwarzbrot – "pain noir" – pointe à la 3e place pour le nombre de 3-étoiles (11 en tout), après le Japon et la France

Inspiré par la flore de sa vallée parsemée de sapins, le chef cuisine la rhubarbe, la morille et l'ail des ours, accompagnés de vins du Wurtemberg. En bon disciple d'Alain Ducasse, il privilégie le classicisme de la gastronomie française. Plus modeste que son maître, Claus-Peter Lumpp propose un déjeuner à 95 euros qui séduit les clientèles locale, française, suisse, russe… et chinoise. L'année dernière, plus de 220.000 touristes sont montés jusqu'au village par les étroites routes en lacet. "Chaque année, la fréquentation étrangère augmente de 5%. Nos visiteurs recherchent une nature préservée pour se remettre en forme, skier, marcher et découvrir la culture locale", précise Patrick Schreib, directeur de l'office du tourisme de Baiersbronn.

Davantage de visiteurs qu'en Angleterre

 

Le succès de la Forêt-Noire ­illustre celui de l'Allemagne ­entière. En 2014, l'Office national allemand du tourisme (Onat) a enregistré un record : 75,6 millions de nuitées étrangères, une hausse de 5 % par rapport à l'année précédente. Les ressortissants des royaumes du Golfe sont de plus en plus nombreux (1,9 million de nuitées), ainsi que les Chinois (2 millions). Ces nouveaux "germanophiles" découvrent le pays lors de voyages d'affaires, à l'occasion des grandes foires, congrès et autres conventions. Ils apprécient les infrastructures – l'aéroport de Francfort est le 3e d'Europe –, la sécurité ambiante, et reviennent en famille.

 

Beaucoup pratiquent le tourisme médical haut de gamme. À Baden-Baden, près de la frontière franco-allemande, des cliniques polyvalentes et privées établissent des bilans de santé complets (cœur, foie, vision…) dans la journée. Opération de la hanche, de la main, blanchiment des dents, chirurgie esthétique, spa antiâge… Tout est à un jet de pierre des grands hôtels de luxe comme le fameux Brenners.

Selon l'Organisation mondiale du tourisme (OMT), l'Allemagne a accueilli 33 millions de visiteurs étrangers l'an dernier, soit un boom de 53% depuis 2005. C'est désormais la 7e destination préférée dans le monde, loin derrière la France (84,7 millions de touristes étrangers) et l'Espagne. Mais la République fédérale talonne la Turquie… et dépasse la Grande-Bretagne.

Pour expliquer cette performance, il faut remonter le cours de l'Histoire. Après la chute du Mur en 1989 et la réunification du pays l'année suivante, un gigantesque chassé-croisé de citoyens qui redécouvrent leur nation se produit. Autoroutes et surtout hôtels se modernisent pour les accueillir. "Puis en 2006, le succès de la Coupe du monde de football crée un électrochoc. Les Allemands se sont rendu compte qu'ils savaient accueillir et divertir le reste de la planète", note Beatrix Haun, directrice de l'Onat à Paris. Preuve que le premier pays organisateur de salons professionnels d'Europe propose aussi du rêve.

L'Ouest attire toujours plus de la moitié des visiteurs, notamment le Bade-Wurtemberg (Baden-­Baden, la Forêt-Noire…), la Bavière avec ses châteaux et sa fête de la bière de Munich. S'ajoutent les sites religieux (Aix-la-Chapelle, Cologne…), le port de Hambourg, ainsi que les parcs d'attractions comme Autostadt à Wolfsburg – la ville de Volkswagen –, dédié à la voiture.[h2]86 euros la nuit d'hôtel à Berlin[/h2]

Parti de zéro, le tourisme dans l'Est est en ordre de marche, tiré par la locomotive Berlin. Bohème et créative, la capitale est aussi à la portée des routards. En moyenne, la nuit d'hôtel n'y dépasse pas 86 euros, contre 165 à Londres, 139 à Paris et 104 à Rome. D'un bon rapport qualité-prix, Leipzig et Dresde attirent les touristes plus soucieux d'art de vivre. Tout comme la côte baltique, notamment l'île de Rügen, préservée des assauts du tourisme de masse des années 1970.

Décidé à promouvoir tout le territoire, l'État fédéral s'appuie sur l'Onat, rattaché au ministère de l'Économie et de l'Énergie. Cet organisme joue le rôle de chef d'orchestre en élaborant de grands thèmes annuels : traditions et coutumes cette année, la nature en 2016, Luther en 2017, avant Beethoven en 2020. Le passé nazi n'est pas occulté, mais la culture classique passe avant tout.

Le budget de 35 millions d'euros par an est des plus chiches. Car Länder (les régions) et centres urbains possèdent leur propre cagnotte alimentée par les taxes locales et des partenariats avec le secteur privé. Un système moins centralisé que la France. Et apparemment plus efficace, même s'il faut encore convaincre les touristes de rester plus de 3,7 nuits, moyenne des séjours actuellement. Le tourisme représente 4,4% du PIB, soit plus que l'automobile (2,3% du PIB). Tout un symbole.

 

 

Le Journal du Dimanche

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Invité §Jes257LV

Ah bon :buzz: ?

 

 

Quand je dis ça on me traite d'anti français :W

 

Pas moi en tout cas qui navigue souvent entre Trêves et Sarrebruck ou j'ai encore de la famille :W

 

Ce pays est un exemple :bien:

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Pas moi en tout cas qui navigue souvent entre Trêves et Sarrebruck ou j'ai encore de la famille :W

 

Ce pays est un exemple :bien:

 

Non, je parle de mes amis... dès que je vante un peu mon pays d'adoption "ouais mais t'aime pas la France" etc etc lauclari.gif.683bea504ce1bca902b7e0ba3323097f.gif

 

 

Ce pays est vraiment top à vivre, malgré son climat souvent merdique :jap:

 

 

Par contre l'industrie automobile à 2.3% du PIB je n'y crois pas... c'est plus..

 

 

 

 

 

 

Edit: Y'a aussi eu un putain d'effet coupe du monde 2006, qui était l'une des plus belle, festive, méteo au top, safe....

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Invité §Jes257LV

Non, je parle de mes amis... dès que je vante un peu mon pays d'adoption "ouais mais t'aime pas la France" etc etc lauclari.gif.683bea504ce1bca902b7e0ba3323097f.gif

 

 

Ce pays est vraiment top à vivre, malgré son climat souvent merdique :jap:

 

 

Par contre l'industrie automobile à 2.3% du PIB je n'y crois pas... c'est plus..

 

 

 

 

 

 

Edit: Y'a aussi eu un putain d'effet coupe du monde 2006, qui était l'une des plus belle, festive, méteo au top, safe....

 

C'est une autre mentalité aussi :jap:

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C'est une autre mentalité aussi :jap:

 

 

On ne se met pas sur la gueule à chaque fois qu'on fait une fête, c'est certains :bah:

 

 

Et puis moi qui aime le foot, quels stades, quelles ambiances...

 

Bon c'est HS.

 

 

On mange aussi pour des prix correctes :jap:

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A quoi tient la notoriété… La friterie Chez Richard, à Arlon, en Belgique, doit la sienne à une vidéo pornographique. Bien involontairement. Début janvier, le site Jacquie et Michel a mis en ligne une séquence tournée en douce dans les toilettes de ce restaurant. Quand il a découvert le pot aux roses, le patron de Chez Richard a d’abord voulu porter plainte. Il a finalement choisi de profiter du bruit provoqué par cette histoire, en lançant deux burgers. L’un appelé le « Jacquie et Michel », l’autre le « Merci qui ? », en référence au slogan du site. La presse s’est alors emparée du sujet. Et ça a marché. « En quelques semaines, ma friterie est devenue la plus connue de Belgique ! », s’amuse aujourd’hui Richard Wirtz. Merci qui ?

 

Une affaire symbolique de la nouvelle puissance de Jacquie et Michel. En quelques années, cette marque a réussi à se faire connaître hors du ghetto du X, et à se créer une image décalée, coquine, plutôt positive. De Cauet à Nicolas Canteloup en passant par les Guignols de l’info, elle est régulièrement citée dans des émissions grand public. Et sur Internet, son audience ne cesse de grimper. « Sur l’ensemble de nos sites, nous en sommes à 12 millions de visiteurs différents par mois », se réjouit Thierry, l’un des responsables, qui préfère ne pas donner son nom – « vous comprenez, je ne travaillerai peut-être pas toute ma vie ici… »

http://www.lemonde.fr/economie [...] -la-bonne-

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Invité §Jes257LV

[h1]Paris New York lance un burger sans gluten[/h1]

http://i.f1g.fr/media/figaro/805x453_crop/2015/05/27/XVMe57b1d58-0452-11e5-87ca-cb6f84d9fce2.jpg

 

Le critique gastronomique François Simon a imaginé un sandwich aux saveurs asiatiques pour les trois restaurants parisiens de PNY. A découvrir à partir du 15 juin.

 

Quand le meilleur burger de la capitale - Paris New York, selon notre très sérieux palmarès réalisé l'an dernier - rencontre un critique gastronomique - François Simon -, cela donne un en-cas... sans gluten!

Pedro Winter, fondateur du Label Ed Banger Records, a mis en relation Rudy Guénaire, patron de l'enseigne aux désormais trois adresses (Xe, XIe et le petit nouveau dans le IIIe) et notre ancien collaborateur pour que ce dernier imagine un nouveau burger. Le chroniqueur de M et de Paris Dernière a opté pour un sandwich destiné aussi bien aux intolérants au gluten, qu'aux personnes soucieuses de leur ligne.[h2]Shiso, avocat et grenade[/h2]

Pour son burger « noglu », le François, le journaliste s'est tout naturellement tourné vers des saveurs qui lui sont chères, celles de l'Asie, et a fait le choix d'ingrédients frais pour alléger ce sandwich hautement calorique. À côté de l'excellente viande bio de la boucherie bretonne Le Ponclet, pas de fromage, mais de l'avocat, de la feuille de shiso, des graines de grenade, du gingembre et de la laitue. Quant au bun sans gluten, les équipes de PNY et de Rachel's Cake (Rachel's) ont élaboré, forts d'une douzaine de tests, une recette exclusive à base de farine de maïs et de riz.

« Cet hamburger a été réalisé tout simplement. Comme le sculpteur avec son bloc de marbre, on a juste retiré ce qu'il y avait en trop. À commencer par le gluten pour séduire un public privé de ce standard. Ensuite, j'ai pensé qu'un burger pouvait être sain avec du tonus. Pour accompagner la viande extra de la maison Le Ponclet, j'ai souhaité des contrepoints variés jouant à contre temps: des graines de grenade, du citron confit, de l'avocat et cette herbe japonaise, le shiso. L'ensemble a été pensé pour qu'il y ait en bouche une sorte de bonne humeur et une petite dimension “bitchy” pour donner l'envie d'y retourner » raconte le critique.

Le François est à découvrir à partir du 15 juin, dans les trois PNY, au prix de 12€. Il sera en vente jusqu'en septembre... et plus si succès!

 

le Figaro

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Invité §fab431ER

"East Mamma" à Bastille...

 

adresse en train de commettre un carton total, ça me fout la dalle rien que d'en causer!!!

 

http://www.bigmammagroup.com/ :love:

 

prochain séjour parisien, passage OBLIGATOIRE :D

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