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Anecdotes de guerre (Index page 1)


jensen
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Invité §Lor638nE

Changement d'époque! :o

 

 

ISRAEL, JUIN 1967, GUERRE DES SIX JOURS

 

 

En fait, cette guerre est appelée par les israëliens la "Guerre des 2 heures" car c'est le temps qu'il a fallu pour mettre hors de combat:

 

-400 avions (au sol pour la quasi-totalité)

-750 chars Egyptiens

-110 blindés Jordaniens

-3 sous-marins Egyptiens

 

-Occuper le désert du Sinaï et la bande de Gaza...

 

Une telle réussite a été bien sùr l'oeuvre d'une remarquable organisation, mais aussi d'un sens rare de l'exploitation des "faiblesses" de l'ennemi...

 

Il faut savoir que l'heure de l'attaque (7h50) avait été décidée car on savait que les pilotes de l'armée de l'air Egyptienne (les plus nombreux, les mieux équipés et entrainés) seraient pris dans les embouteillages du Caire et qu'ils seraient dans l'incapacité de rejoindre leurs avions en cas d'alerte... :oui:

 

Et celà marcha à merveille... ;)

 

Les Israëliens eurent aussi l'idée d'employer de vieux Mustangs P51 et de les envoyer en première ligne!

 

Pour "casser" du Mig21? :??:

 

Non! :deuxsanssix: Pour voler en rase-mottes et couper les fils téléphoniques avec leurs hélices! :lol:

 

Et celà marcha aussi à merveille! :D

 

=====> Les bases Egyptiennes furent coupées du monde 10mn avant l'attaque...

 

Il y eu pourtant une malheureuse bavure. :L

 

Enfin... Comme nous sommes entre "bonnes gens" je vais vous dire la vérité: C'était intentionnel! :o

 

Le 7 juin, 2 jours après l'offensive, les Israëliens captent un echo radar près de leurs côtes, limite "eaux territoriales"...

Il s'agit d'un bateau américain, l'USS "Liberty" vite reconnu comme un navire ELINT (en clair un vaisseau d'écoute électronique, une barbouze de la CIA quoi! ;) )

 

Les diplomates Hébreux contactent les américains et leurs demandent de faire dégager le navire, étant assez intelligents pour savoir qu'il n'était pas là "par hasard"... :D

 

Bien entendu, les américains "se vexent", assurent que ce navire n'est en aucun cas ici pour les espionner, qu'il fait parti de la 6ème flotte US en Méditerrannée et qu'il est de toute façon dans les eaux internationales! :o

 

Bref: "Circulez, il n'y a rien à voir!" :lol:

 

24 heures plus tard, 6 Mystères IV de la Heyl Ha'Avir fonçent "plein pot" au ras des vagues.

Sous leurs ailes, des containers à roquettes...

 

En 3 passages, le Liberty est totalement ravagé! :beuh:

 

Les messages du commandant en direction des avions "amis" restent lettres mortes (une question de fréquences paraît-il... :ange: )

 

Lorsque les Mystères quittent la zone, le bateau est en feu, il rejoindra in-extrémis un port britannique de Chypre mais sera considéré comme irréparable.

 

A bord, 34 marins ont été tués, 170 blessés. :bah:

 

Bien entendu, les USA hurlent au "scandale", à "l'inadmissible", à "l'impensable"... :mad:

 

Bien entendu, les Israëliens reconnaissent une "tragique erreur", le navire ayant été pris pour un destroyer Egyptien, et assurent qu'ils assumeront financièrement la casse...

 

Le général Moshe Dayan, alors ministre de la défense, aura à subir les foudres de l'ambassadeur des USA à Tel-Aviv dans son bureau.

 

Après s'être encore une fois excusé au nom de son pays, il raccompagna l'ambassadeur à la sortie et lui dit, d'un air assez cynique:

 

-"Allons, Monsieur l'ambassadeur, vous n'allez pas en faire toute une histoire de cette méprise...

Dîtes-vous bien que si ce navire avait été Soviètique, vous seriez venu aujourd'hui même dans mon bureau pour me féliciter chaudement!

Alors, vous voyez bien..." :D

 

C'est depuis cette époque que l'occident sait que l'état d'Israël est prêt à tout pour assurer sa sécurité... :jap:

 

 

 

Tonton Jensen. :buzz::buzz:

 

 

Y'a beaucoup d'hypothéses sur l'affaire de l'USS Liberty ; les faits avérés sont que les Israéliens avaient parfaitement identifié le batiment, et que les chasseurs de l'USS Saratoga n'ont pas été autorisé par les autorités américaines à porter secours au Liberty...

 

http://www.confidentiel.net/article.php3?id_article=260

 

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Invité §seb748TI

C'est pas mal en fin de compte de lire un topic les bras croisés... :buzz:

 

Si tu t'embetes, on veux bien un p'tit mystere de notre monde :D

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Merci! :rs:

 

 

 

Bon! :o

 

J'ai rajouté un index en première page pour retrouver telle ou telle histoire... :oui:

 

Faites-en bon usage! :jap:

 

 

index qui sera "bien entendu" réactualisé autant de fois que nécessaire. :oui:

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Invité §Cry403cF

index qui sera "bien entendu" réactualisé autant de fois que nécessaire. :oui:

 

Y'a intérêt :o

 

Longue vie à ce topic :oui:

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Tres bon topic !!!!

 

J'adore l'histoire et j'ai lu avec attention toutes les anecdotes de jensen, et des autres, et je me régale à chaque fois !

 

J'ai une anédoctes sur les chars français en 1940 à vous raconter, mais il faut d'abord que je la retrouve dans le flot du net !!!! :ange : :D

 

Longue vie à ce topic :oui:

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Allez je me lance ! :o

 

Voici le récit de la résistance héroique de 9 chasseurs alpins Francais retranchés dans un fortin poste-frontiére, qui ont résistés à toute une division d'infanterie Italiene pendant 6 jours.

 

" Le 20 juin à 8h03, 7 soldats italiens débouchent du virage situé avant le pont et s'avance vers le poste frontière, ils atteignent le poste de gendarmerie situé juste en amont et de l'autre côté de la route par rapport au poste défensif. Finalement, l'alpin Guzzi chasse les soldats ennemis en tirant quelques coups. Peu après quinze soldats italiens se postent dans le bâtiment des carabiniers avant que 200 soldats ennemis ne débouchent du virage[2]. Les soldats italiens se séparent en deux pour passer des deux côtés du pont. Les chasseurs alpins tirent à la mitrailleuse et ferme la porte blindée. Il est demandé aux batteries du Cap Martin de tirer sur les ennemis. Les artilleurs mettent en marche une batterie de 75mm et pratiquent quelques tirs d'arrêt. Néanmoins les italiens s'avancent jusqu'à la barrière antichar, le FM de Petrillo ne pouvant tirer car il s'est enrayé, ordre est donné au petit canon servi par Bourgoin de tirer sur la barrière. Le FM est réparé et recommence à tirer, de leur côté les italiens progressent jusqu'au môle d'ouverture de la barrière et certains avancent jusqu'au tranchée située juste devant le bunker, les chasseur alpins ripostent en envoyant 8 grenades et les italiens battent en retraite. Devant cette résistance innatendue, les italiens attaquent les granges Saint-Paul située au Nord de la position et la voie ferrée Nice-Vintimille au Sud. L'artillerie française de Fontbonne entre alors en action avant que celle du Cap Martin ne se mette elle aussi à tirer

Pendant une demi heure, les français vont tirer, les italiens tentent de détruire avec leurs canons les pièces françaises sans trop de réussite pendant que le colonel Chabrol commandant l'artillerie ordonne à ses hommes de nettoyer les abords du fort de Pont Saint-Louis. Les italiens finnissent par battre en retraite une nouvelle fois. A la fin de l'engagement, le sous-lieutenant Gros demande à Cap Martin des munitions, peu après cependant un soldat italien arrivé en catimini jusqu'à la barrière antichar s'apprête à tirer lorsque le sergent Bourgouin actionne son canon et ne tue le soldat laissant une trace encore aujourd'hui visible sur la barrière. Devant ses tirs, les canons du Cap Martin renouvelleront leur tir jusqu'à la fin de la journée où une patrouille française vient au nouvelle de la garnison.

 

Le lendemain 21 juin à 6 heures du matin, les chasseurs alpins doivent de nouveau faire face aux italiens et tirent au FM pour les éloigner. Devant de multiples incursions, le sous-lieutenant Gros demande un soutien d'artillerie très vite exécuté. L'avant poste continue sa résistance, l'observatoire de Roquebrune signalant des italiens sont situés sur la falaise juste au dessus de Pont Saint-Louis et les batteries de Cap Martin reprennent leurs tirs. Les chasseurs alpins arrivent vers midi à entendre des italiens, ainsi le caporal Robert qui sert un FM abat un italien qui s'était posté juste devant son arme. Venant du carrefour de Garavan un officier et une dizaine de soldats s'avancent avant d'être repoussé par les français, l'officier blessé.

 

Le 22 juin, la 5ème DI italienne précédée par un long tir d'artillerie attaque les crêtes situées aux alentours de Menton, du côté de Pont Saint-Louis, la garnison fut informé qu'une troupes de chars et de motocyclistes appuyées par 200 hommes s'approchent de la garnison, en réaction les 75mm de Cap Martin mettent en place un tir de barrage qui détruit plusieurs chars. Les fantassins avancent néanmoins et contournent le poste frontière avant d'être fortement repoussée par l'artillerie.

 

Le lendemain la radio et le téléphone sont hors-service, le sous-lieutenant Gros ne peut plus recevoir d'information et doit employer les fusées éclairantes s'il veut un soutien d'artillerie. A 10h50, les Italiens recommencent leurs attaques de toutes parts, quelques cyclistes sont repoussés de la barrière antichar par des tirs de sommation. Le soldat Pétrillo use beaucoup de son FM et plusieurs grenades sont envoyées de l'autre côté, très vite des drapeaux blancs apparaissent et les italiens demandent la permission de relever leurs blessés. Le 24 juin, ce sont les mortiers de 220mm italiens qui tirent sur le poste français dont les défenseurs sont très éprouvés par la fatigue, le soldat Lieutaud est légèrement blessé à l'oeil alors qu'il était de garde avec le FM, le soldat Chazarin est lui aussi touché. Les alpins sans aucune information ignorent tout de l'armistice signé.

 

Le 25 juin à l'aube, le FM tire sur un soldat italien venu de l'arrière, quelques hommes et un officier sont eux aussi repoussés avec un mort et deux blessés. Bourgouin observa peu après à la lunette du FM deux officiers l'air décontracté, il eut l'ordre de tirer en l'air, tout les italiens partirent se réfugiés. A 8h45, Bourgouin aperçoit un drapeau blanc au niveau du virage bientôt suivi de plusieurs sonneries de trompettes, deux soldats sont envoyés à l'avant, agitant la hampe du drapeau[3]. Ses deux hommes sont bientôt suivis par 150 autres soldats, le sous-lieutenant Gros est intrigué par le silence des batteries de Cap Saint-Martin il ouvre la partie supérieure de la porte avant de demander qu'un seul officier ne traverse le pont. Un colonel italien se présente demandant l'arrêt des combats conformément à l'armistice signée à 1h25. Le sous lieutenant Charles Gros répond qu'il n'a reçu aucun ordre de cessez-le-feu et qu'il n'a aucune information concernat l'armistice. Il demande au colonel italien de se retirer lui et ses hommes où il ouvrira le feu, mais les chasseurs alpins indiquent à leur supérieur l'arrivée d'officiers français. Ces derniers apportent l'ordre de cessez-le-feu, le sous-lieutenant Gros reste surpris, les italiens eux, expriment tout leurs honneurs envers la belle résistance des chasseurs alpins et demandent l'ouverture de la barrière pour l'évacuation des blessés, Le sous lieutenant Charles Gros accepte et demande que son unité soit relevé en arme. Ainsi à 18 heures, la garnison du fortin du Pont Saint-Louis se retire vers le cap Martin. Le 27 juin, la barrière est totalement ouverte et le lendemain, le sous-lieutenant Piedfort de garde se retira définitivement fermant le fortin à clef. Dans la soirée, le général Olry, chef de l'Armée des Alpes félicité en personne les défenseurs du fort et remettre l'insigne du XVème corps d'armée à Gros. Les 9 défenseurs furent cités à l'ordre de l'armée dans c'est thermes:

 

Citation de la garnison de l’ouvrage d’avant-poste du Pont St Louis à l'Ordre de l'Armée en date du 28 juin 1940 :

 

« Garnison 1/1/7 (96ème BAF)

Sous les ordres du sous-lieutenant Gros Charles, ayant pour mission d’interdire le passage du Pont st Louis et de la route entrant en France et ayant été encerclée peu après le début des hostilités avec l'Italie,a continué à assurer sa mission jusqu'à la signature de l'armistice en infligeant des pertes à l'ennemi.Soumise à un violent bombardement d'artillerie puissantes n'a pas failli,bien que pouvant se croires entièrement sacrifiée.

Après l'armistice a continué encore à imposer le respect de sa mission à l'ennemi qui ne pouvait ni ouvrir la barrière coupant la route ni relever le champ de mines antichars, si bien que l'adversaire a admis sa relève par une troupe en armes de même effectif.

Général René Olry

Armées des Alpes » "

 

Histoire compléte : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Pont_Saint-Louis

 

Pour info l'armé des alpes à du rendre les armes apres l'armistice, sans avoir jamais perdu une bataille, et en ayant perdu "seulement" 250 hommes contres plus de 6000 Italiens

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Invité §sha101ar

 

Lord Lovat, commandant la 1ère Special Service Brigade est l'un des personnages hauts en couleur qui ont emaillé la Seconde Guerre.

 

Né en 1911 dans le château familial Beaufort Castle en Ecosse, Simon Christopher Joseph Fraser, 15th Lord Lovat et 4th Baron Lovat, 25th chef du clan Fraser s'est vu confier en 1944 le commandement de cette brigade commando. Il a été décoré du Distinguished Service Order, de la Military Cross, de la Territorial Decoration, de l'Ordre de Souvarov soviétique et de la Légion d'Honneur et Croix de Guerre françaises.

 

Le rôle de cette brigade était de débarquer sur Sword Beach et d'aller relever le plus rapidement possible les parachutistes de la 6th Airborne largués dans les premières heures et qui tiennent Pegasus Bridge sur l'Orne.

 

Le personnage de Lovat a été immortalisé dans le film "Le Jour Le Plus Long". Déjà de par son style inimitable : au milieu des commandos en tenue de combat il tranchait en pull blanc à col roulé, pantalon de velours, gilet de peau, fusil de chasse Winchester. Seul le béret vert avait un air militaire, encore était il porté en arrière à la manière d'une casquette de golf.

 

Lors du débarquement, les hommes sortirent du LCD au son de la cornemuse du piper personnel de Lord Lovat, Bill Milin, en dépit des ordres du haut commandement qui interdisaient formellement ce genre de "fantaisies". Ce qui peut être pris comme une gaminerie avait en fait plusieurs raisons :

 

- cultiver le côté décalé de Lord Lovat et par là de ses commandos

- galvaniser les troupes aux sons des mélodies écossaises

- servir de point de ralliement (où est le régiment ? suivez la musique ! :p )

- et surtout "annoncer" le régiment. Ca peut paraître inconscient mais la confusion qui régnait entre les plages et les points de parachutage rendait la distinction ami/ennemi très difficile. Partant du postulat qu'aucun allemand ne savait jouer correctement de la cornemuse...

 

C'est ainsi que les hommes du commando Kieffer, débarqués sur les plages au sein des troupes de Lovat et arrivés les premiers au point de jonction, et le Major Howard du Oxfordshire & Buckinghamshire Light Infantry arrivé en planeur pour s'emparer de Pegasus Bridge entendirent le son de "Blue Bonnet Over The Border" et virent Bill Milin émerger de la brume tel un fantôme écossais, marchant au pas lent de parade, au milieu de la campagne labourée par les obus et la mitraille, placide, impavide, indifférent au danger...

 

Quelques instants plus tard, Lovat, dans la même tenue que la veille, fusil de chasse sous le bras se présenta au Major Howard, ahuri :

 

"Veuillez, je vous prie, nous excuser pour ce léger retard..."

 

Plus tard, Lovat sera gravement blessé et finira la guerre en convalescence. Décédé en 1995, Bill Milin jouera une dernière fois à ses funérailles.

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Invité §bcl441Nz

Allez je me lance ! :o

 

Voici le récit de la résistance héroique de 9 chasseurs alpins Francais retranchés dans un fortin poste-frontiére, qui ont résistés à toute une division d'infanterie Italiene pendant 6 jours.

 

" Le 20 juin à 8h03,

 

 

C'était en quelle année ? :???:

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Invité §bec211lC

C'était en quelle année ? :???:

 

1940 je pense (24 juin 1940: Armistice entre la France et l'Italie)

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Invité §kor747Dm

1940, enfin :p

 

Edit : grilled grave :W

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Invité §lol648wL

Lord Lovat, commandant la 1ère Special Service Brigade est l'un des personnages hauts en couleur qui ont emaillé la Seconde Guerre.

 

Né en 1911 dans le château familial Beaufort Castle en Ecosse, Simon Christopher Joseph Fraser, 15th Lord Lovat et 4th Baron

"Veuillez, je vous prie, nous excuser pour ce léger retard..."

 

Plus tard, Lovat sera gravement blessé et finira la guerre en convalescence. Décédé en 1995, Bill Milin jouera une dernière fois à ses funérailles.

 

Je ne me souviens pas du fusil, mais je revoit trés bien la scene du film quand il arrive au pont en pull blanc avec le bignou qui joue. :D

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Invité §sha101ar

Je ne me souviens pas du fusil, mais je revoit trés bien la scene du film quand il arrive au pont en pull blanc avec le bignou qui joue. :D

 

 

Pas biniou malheureux, cornemuse ! :ouch: Méga pas pareil !! :lol:

 

D'ailleurs les commandos marine français actuels, héritiers du commando Kieffer formés à l'école écossaise, bien que basés en Bretagne pour 4 d'entre eux, perpétuent cette tradition de la cornemuse.

 

 

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Invité §lol648wL

Biniou ou cornemuse, kifkif. :cyp:

 

Quand c'est le festival interceltique, je ne fais pas différence. fab-60s.gif.09001cc58fd47478d27513d2f5135cd8.gif

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Invité §sha101ar

Biniou ou cornemuse, kifkif. :cyp:

 

Quand c'est le festival interceltique, je ne fais pas différence. fab-60s.gif.09001cc58fd47478d27513d2f5135cd8.gif

 

 

Très facile.

 

Après le festival, le joueur de cornemuse boit dans les troquets des pintes de Guiness et chante "Amazing Grace" ou "Scotland The Brave".

Le joueur de biniou boit des demis de Coreff et chante "Tri Martolod" ou "La Paimpolaise"

 

Les 2 finissent dans le même état et tard. :cyp:

 

Fin du HS.

 

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Je ne me souviens pas du fusil, mais je revoit trés bien la scene du film quand il arrive au pont en pull blanc avec le bignou qui joue. :D

 

 

Oui il me semble que l'on voit le fusil dans le jour le plus long (qui est repassé y'a 15 jours sur la 3)...

En y pensant c'est vrai que ce film est bouré de details réels, limite reconstitution historique, et c'est tant mieux d'ailleur !

 

C'était en quelle année ? :???:

 

En 1940 éffectivement.

Il faut savoir que les italiens sont entrés en guerre tardivement, alors que la guerre était déjà perdu pour nous.... de plus l'armistice Franco-Italien a était signé apres celui envers les Allemand, car les Italiens pensait pouvoir profiter de la situation (avec l'accord des Allemands), et du dénoument total de l'armée Française pour anexer une partie de notre territoire.

Mais, heureusement pour nous, ils sont tombées sur beaucoup plus fort qu'eux, car l'armée des Alpes fesait certainement partie de nos meilleurs troupes en 40.

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Invité §sha101ar

Oui il me semble que l'on voit le fusil dans le jour le plus long (qui est repassé y'a 15 jours sur la 3)...

En y pensant c'est vrai que ce film est bouré de details réels, limite reconstitution historique, et c'est tant mieux d'ailleur ![

 

 

Dans le film on voit le général Norman Cota, interprété par John Wayne, interpeller un officier sur la plage d'Omaha où les troupes américaines étaient clouées et lui demander quel était son régiment. Celui ci répond "5ème Rangers !". Cota répond "Et bien Rangers, ouvrez nous la voie !" .

 

Cette phrase est devenue la devise de cette unité d'élite de l'armée américaine : "Rangers, Lead The Way !"

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Dans le film on voit le général Norman Cota, interprété par John Wayne, interpeller un officier sur la plage d'Omaha où les troupes américaines étaient clouées et lui demander quel était son régiment. Celui ci répond "5ème Rangers !". Cota répond "Et bien Rangers, ouvrez nous la voie !" .

 

Cette phrase est devenue la devise de cette unité d'élite de l'armée américaine : "Rangers, Lead The Way !"

 

 

Et pour l'officier anglais qui a débarqué avec son bulldog ??? Est-ce réel ? Quelqu'un à t-il des précisions sur cette anecdote ? Car je ne pense pas que le réalisateur ai inventé ce pesonnage ? :??:

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Invité §sha101ar

Et pour l'officier anglais qui a débarqué avec son bulldog ??? Est-ce réel ? Quelqu'un à t-il des précisions sur cette anecdote ? Car je ne pense pas que le réalisateur ai inventé ce pesonnage ? :??:

 

 

 

Il s'agit du Capitaine de Vaisseau Colin Maud, commandant la plage de Juno. C'était un grand officier barbu, imposant, à la voix tonnante qui accueillait les troupes ainsi : "Je suis le Président du comité de réception de cette petite sauterie. Donnez-vous donc la peine d'entrer et grouillez-vous ! "

 

Par contre dans la réalité il semble qu'il était accompagné d'un berger allemand. Je suis sceptique aussi sur sa capacité de réparer les véhicules à coup de canne sur le capot... :p

 

 

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C'était en quelle année ? :???:

 

En 1940 éffectivement.

Il faut savoir que les italiens sont entrés en guerre tardivement, alors que la guerre était déjà perdu pour nous.... de plus l'armistice Franco-Italien a était signé apres celui envers les Allemand, car les Italiens pensait pouvoir profiter de la situation (avec l'accord des Allemands), et du dénoument total de l'armée Française pour anexer une partie de notre territoire.

Mais, heureusement pour nous, ils sont tombées sur beaucoup plus fort qu'eux, car l'armée des Alpes fesait certainement partie de nos meilleurs troupes en 40.

 

 

Les Italiens nous ont "courageusement" déclarés la guerre le... 10 juin 1940! :lol:

 

L'armée des Alpes comptait 85 000 hommes.

 

Les Italiens ne "conquièrent" que quelques hectares difficiles d'accès ou indéfendables militairement... :D

 

A chaque fois qu'ils tombérent sur des chasseurs alpins ils durent faire marche arrière...

 

En cause une impréparation évidente, un très mauvais équipement (d'ailleurs le plus souvent dépassé techniquement) et SURTOUT les Transalpins n'avaient strictement aucune envie de faire la guerre aux "cousins Francese"... :deuxsanssix:

 

A partir de novembre 1942 et ce jusqu'en septembre 1943, Dauphiné et Savoie faisaient parti de la zone d'occupation Italienne, et je peux vous dire que les envahisseurs étaient des plus supportables! :lol:

 

Je tiens de vieux Grenoblois pas mal d'anecdotes:

 

-Fin novembre 42, les étudiants de la ville choisissent de défiler dans les rues pour montrer leur désapprobation: Ils s'accrochèrent chacun un macaroni sur la boutonnière, hurlèrent ensemble "Avanti!" et défilèrent... A reculons! :ange:

 

-Il y avait des cinémas en ville, et un officier Bersaglière était toujours à l'entrée pour assurer "le maintient de l'ordre"... Tous les gamins du coin avaient pour objectif de détourner son attention afin de lui couper... La plume de son châpeau!

 

Au pire, le gosse prenait un coup de pied au cul... :o

 

-25% de la population du bassin Grenoblois étant originaire d'Italie, tous les militaires de l'armée Mussolinienne avaient qui un frère, un oncle ou un cousin dans le coin... :jap:

Tous les dimanches, des soldats Italiens se baladaient dans l'agglo' sans armes et demandaient poliment leur chemin à la population afin de rejoindre la famille qu'ils recherchaient...

Quand on leur adjoignait un gamin pour les guider, ce dernier ne repartait jamais sans "la pièce" ou un biscuit... :miam:

 

-Lorsque le maquis du Vercors a commencé à vraiment se structurer, l'armée Italienne fit quelques patrouilles du côté de Villard de Lans et d'Autrans, et ce sans jamais trop s'éloigner de ses véhicules... :oops:

Personne ne fut malmené lors d'interrogatoires (qui tenaient d'ailleurs plus de la demande de son chemin que d'autre chose...), et lorsque les partisans firent le coup de feu, ils décampèrent sans demander leur reste! :fresh:

 

A partir de septembre 1943, les allemands firent prisonniers tous les Italiens en garnison dans la ville à cause de l'armistice du Maréchal Badoglio, et les "choses sérieuses" commencèrent... :(

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Invité §kor747Dm

:bien: vous tous !

 

J'apprends plein de trucs sur ce topic, quelle belle invention le salon tout de meme :rs:

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Invité §Ark438wL

A propos de l'occupation Italienne :bah:

 

Etant minot j'ai travaillé chez de vieux paysans de l'arriere pays de Nice et de Grasse, l'un d'eux nous racontaient leurs fait de resistance.

 

C'est vrai que les Italiens etaient quand meme beaucoups moins durs que les allemands mais la vie n'etait pas rose tous les jours.

 

Entre rapines, racket, extorsion et menaces et meme viols, certains soldats se sont quand meme laissés allér a la maraude :bah:

 

 

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Invité §Iri733Qv

A propos de l'occupation Italienne :bah:

Entre rapines, racket, extorsion et menaces et meme viols, certains soldats se sont quand meme laissés allér a la maraude :bah:

 

 

Comme n'importe quelle armée de n'importe quelle nation dans n'importe quel conflit......

 

Par contre qulqu'un pourrait me confirmer que l'armée allemande d'occupation qui a été envoyée dans l'ex "zone libre" (le sud quoi) était quand même plus cool que leurs collègues qui étaient au Nord ?

 

J'ai eu quelques témoignages de mes grands-parents sur la période de l'occupation à Istres (13) et dans le coin, où la plupart des soldats allemands décrits dans ces récits étaient surtout de braves gars qui avaient pas franchement envie d'être là et qui essayaient de faire en sorte que cette période soit la moins douloureuse possible, que ce soit pour eux comme pour la population qu'ils "occupaient".

 

Après c'est sûr qu'on ne doit pas pouvoir généraliser ( y avait quand même la Gestapo touSSA) étant donné qu'il y a des cons partout.

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Invité §Ark438wL

Comme n'importe quelle armée de n'importe quelle nation dans n'importe quel conflit......

 

Par contre qulqu'un pourrait me confirmer que l'armée allemande d'occupation qui a été envoyée dans l'ex "zone libre" (le sud quoi) était quand même plus cool que leurs collègues qui étaient au Nord ?

Après c'est sûr qu'on ne doit pas pouvoir généraliser ( y avait quand même la Gestapo touSSA) étant donné qu'il y a des cons partout.

 

J'ai pas plus d'infos que ça, mais ... la chose me parait credible car l'etat major allemand avait des problemes de personnel, la zone libre les arangait car ça liberait des hommes pour le reste.

 

Au moment d'occuper cette zone, indefendable par ailleurs, il me parrait normal que les effectifs aient étés plutot des soldats de seconde main que des soldats d'elite et motivés.Une armée d'ocupation en zone " amie, colaborationiste" n'a aucune raison de brutalier la population sans raison :bah:

 

Ca ne change pas le fait qu'un fois les debarquement effetues ces soldats se soient montrés aussi durs que d'autres au combat. La legende des americains qui sont rentrés dans les allemands comme dans du beurre, c'est qu'un legende.

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Invité §M55517Op

Comme n'importe quelle armée de n'importe quelle nation dans n'importe quel conflit......

 

Par contre qulqu'un pourrait me confirmer que l'armée allemande d'occupation qui a été envoyée dans l'ex "zone libre" (le sud quoi) était quand même plus cool que leurs collègues qui étaient au Nord ?

 

J'ai eu quelques témoignages de mes grands-parents sur la période de l'occupation à Istres (13) et dans le coin, où la plupart des soldats allemands décrits dans ces récits étaient surtout de braves gars qui avaient pas franchement envie d'être là et qui essayaient de faire en sorte que cette période soit la moins douloureuse possible, que ce soit pour eux comme pour la population qu'ils "occupaient".

 

Après c'est sûr qu'on ne doit pas pouvoir généraliser ( y avait quand même la Gestapo touSSA) étant donné qu'il y a des cons partout.

 

 

Bonsoir,

ben il y avait quand meme la 1 PzD "Leibstandarte" et la 2 Pzd "Das Reich" dans le secteur :sic: ...

 

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Invité §TIB388LO

Bonsoir,

ben il y avait quand meme la 1 PzD "Leibstandarte" et la 2 Pzd "Das Reich" dans le secteur :sic: ...

 

 

La Leibstandarte a été quand même un bout de temps sur le front de l'Est avant quand même :oui:

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Invité §sha101ar

Les divisions Panzer SS ont été envoyé dans le sud de la France pour se reconstituer en hommes et matériel après avoir quasiment été détruites sur le front russe. Ce genre de retrait, plusieurs fois effectué, a accredité le mythe que les divisions Waffen SS étaient indestructibles malgré de lourdes défaites qui auraient du sonner leur glas. Mais dans l'esprit de propagande il fallait pemettre à ces divisions de renaître de leurs cendres, avec des soldats toujours plus jeunes, de moins en moins entraînés et dont l'idéologie et la motivation ne correspondaient plus aux sombres standards initiaux.

 

C'est d'ailleurs en remontant du sud de la France vers la Normandie que le détachement "Der Führer" de la division "Das Reich" a commis l'innommable à Oradour-Sur-Glane. Il y a eu une sorte de justice quand même, quelques jours plus tard le détachement a quasiment été exterminé lors des combats et leur chef, Adolf Diekmann tué.

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Les divisions Panzer SS ont été envoyé dans le sud de la France pour se reconstituer en hommes et matériel après avoir quasiment été détruites sur le front russe. Ce genre de retrait, plusieurs fois effectué, a accredité le mythe que les divisions Waffen SS étaient indestructibles malgré de lourdes défaites qui auraient du sonner leur glas. Mais dans l'esprit de propagande il fallait pemettre à ces divisions de renaître de leurs cendres, avec des soldats toujours plus jeunes, de moins en moins entraînés et dont l'idéologie et la motivation ne correspondaient plus aux sombres standards initiaux.

 

C'est d'ailleurs en remontant du sud de la France vers la Normandie que le détachement "Der Führer" de la division "Das Reich" a commis l'innommable à Oradour-Sur-Glane. Il y a eu une sorte de justice quand même, quelques jours plus tard le détachement a quasiment été exterminé lors des combats et leur chef, Adolf Diekmann tué.

 

 

 

Oui c'est bien ce qui me semblait ! C'est bien la division qui à commis se crime horrible à Ouradour (qui n'est d'ailleur pas le seul, mais le plus connu).

Je passe chaque année a proximité pour aller en bretagne, et bien que je n'y suis jamais allé, quand je vois "Ouradour s/Glane village martyr" sur les panneaux cela me touche toujours un peu quand je sais ce qu'il s'est passé. :cry:

 

Par contre il faut dire également que dans les divisions SS il y avait, surtout à la fin de la guerre, des gens comme vous et moi, qui fesaient simplement la guerre car ils avaient étés enrolés sans pour autant avoir l'idéologie Nazi. Bon nombre de soldats Allemands ont étés enrolés dans ces divisions simplement pour remplacer les pertes énormes de ces unités "d'élite", mais surtout fer de lance de la politique Nazie du IIIéme reich.

 

En outre il faut savoir que les unitées SS etaient constament utilisées durant le conflit et qu'elles etaient toujours en premiere ligne, à cause de leur "esprit" jusqueboutiste et fanatique, contrairement au unités de la wehrmacht qui etaient beaucoup mieux utilisés durant la guerre.

Cela est d'ailleur repris dans le film la chute, ou l'on voit les soldat allemand essayer de défendre la ville rester incrédule devant les restes de SS attaquer, et se faire descendre un à un , sans qu'il puissent leur donner des odres car ils dépendaient directement du Fürher et donc des Nazis et non pas des militaires.

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Je viens d'effectuer un ercherche cette division SS, et je viens de découvrir qu'elle a perpetrer de tres nombreux méfaits contres les populations civiles, avant Ouradour s/Glane dans le département du Lot notament (région tres résistante avec de tres nombreux maquis).

 

Voila les liens relatant les agissement de cette division :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Division_SS_Das_Reich

http://pierre.denis.neuf.fr/chrono3/Das_Reich.html

 

Et voila la carte qui résume les crimes comis par cette division lors de sa remontée vers la Normandie

 

Carte_division_das_reich_mai_juin_1944.png.b119762427b546da068fad171f57829e.png

 

Enfin pour finir, de nombreux "malgrés nous" on étés enrolés dans cette division et on peut etre participé (ils n'avait malheureusement pas le choix :pfff: ) à ces crimes.

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Invité §TIB388LO

Personnellement j'ai toujours été sceptique à propos de la présence de malgré nous dans la Das reich :bah: pour les autres division SS "moins prestigieuse" admettons mais la Das Reich était la 3ème division SS

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