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Société

Faits divers d'ici ou d'ailleurs....


Invité §Red080vN
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Messages recommandés

Invité §Zir680wn

Deux vaches qui valaient moins qu'un hamburger

 

 

TORONTO (Reuters) - Un éleveur canadien compte encadrer le chèque reçu pour la vente de deux de ses vaches: 1,57 dollar canadien (95 cents d'euro), soit moins que le prix d'un hamburger.

 

La découverte d'un seul cas d'ESB (ou maladie de la "vache folle") dans l'Etat d'Alberta en mai 2003 continue apparemment d'avoir des conséquences désastreuses sur le marché de la viande bovine dans ce pays.

 

"Je savais que les cours n'étaient pas brillants, mais certainement pas à ce point", a confié cet éleveur, Ray Hunking, au sujet du prix dérisoire qu'il a obtenu de ses deux bêtes de 400 kilos chacune.

 

"J'ai cherché un cadre photo mais je n'en ai pas trouvé à moins de 10 dollars (6,07 euros)", a-t-il ironisé

 

Yahoo 18 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

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Le meurtrier présumé du commerçant de Versailles a 16 ans

 

 

Il aura fallu moins d'une semaine aux enquêteurs de la DRPJ de Versailles pour retrouver la trace des auteurs présumés d'un braquage sanglant qui a entraîné la mort d'un commerçant, le 12 mars en pleine rue. Hier soir, Eric Y..., 16 ans, était en garde à vue dans les locaux de la brigade de répression du banditisme.

 

Interpellé, mercredi après-midi à Asnières (Hauts-de-Seine), les policiers ont réuni un certain nombre d'éléments qui indiquent qu'il serait l'auteur du meurtre de Dominique Rissel, 47 ans, froidement abattu d'une balle de calibre 7.65 à quelques mètres de sa supérette dans une rue de Versailles.

 

Une partie de l'arme ayant servi pour la tentative de vol à main armée a été retrouvée à son domicile. Présents à ses côtés lors des faits, Younès, 19 ans, d'Asnières, et Amine, 20 ans, domicilié à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise), ont, eux, été interpellés, hier matin, sur la promenade des Anglais à Nice. Ils ont été placés en garde à vue dans les locaux de la PJ marseillaise et devraient être ramenés à Paris aujourd'hui. Ces derniers auraient également désigné Eric comme étant l'auteur du coup de feu. Les trois braqueurs seraient passés à l'action sur les renseignements d'un ex-employé de la supérette. Ce dernier a également été placé en garde à vue, hier après-midi.

 

Fiché depuis qu'il a 10 ans

 

Lors de son audition, Eric n'a rien laissé transparaître. « Il nie être l'auteur du coup de feu mais nous avons de forts soupçons sur sa personne », confie un enquêteur. Déjà interpellé à de nombreuses reprises, il dénombre quatre-vingt-neuf procédures policières à son actif. « Il est connu pour des vols avec violences, des agressions, des trafics de voitures volées, des cambriolages et était recherché par différents services de police et de gendarmerie sur la région parisienne. Il apparaît pour la première fois à l'âge de 10 ans dans nos fichiers. » Il était notamment recherché par les gendarmes pour sa participation dans le vol d'une Porsche Cayenne en Seine-et-Marne en septembre dernier. Les enquêteurs de la police judiciaire des Hauts-de-Seine ont également de forts soupçons quant à sa participation à une tentative de braquage à Gennevilliers, il y a moins de six mois.

 

« C'est un garçon qui ne vit plus avec ses parents depuis un certain temps, ajoute une source policière. Il est monté progressivement dans les sphères de la délinquance. Lui et ses complices sont considérés comme violents et très déterminés. Ils font partie d'une petite pègre basée dans le nord des Hauts-de-Seine. » Les policiers ont rapidement retrouvé leurs traces grâce à un minutieux travail de recoupement. Quelques jours avant son agression, Dominique Rissel avait confié ses inquiétudes au commissariat de la ville. A plusieurs reprises, il avait eu l'impression d'être observé et avait vu plusieurs personnes suspectes se rendre dans sa boutique. Un de ses employés avait même été suivi jusque dans la banque où il allait déposer sa recette. Munis des descriptions physiques très précises des différents protagonistes et notamment d'Eric et de ses deux complices qui ont agi à visage découvert le jour des faits, les enquêteurs n'ont pas eu de mal à les localiser. Jointe hier soir, l'épouse de la victime, dont les obsèques ont lieu aujourd'hui, a simplement exprimé sa « haine » à l'égard des auteurs présumés. A 11 heures, au moment même de l'inhumation de Dominique Rissel, à Saint-Ouen-l'Aumône dans le Val-d'Oise, les commerçants de Versailles éteindront les lumières et baisseront le rideau.

 

Le Parisien 19 Mars 2004

 

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Invité §Y.5241pq

Il aura fallu moins d'une semaine aux enquêteurs de la DRPJ de Versailles pour retrouver la trace des auteurs présumés d'un braquage sanglant qui a entraîné la mort d'un commerçant, le 12 mars en pleine rue. Hier soir, Eric Y..., 16 ans, était en garde à vue dans les locaux de la brigade de répression du banditisme.

 

C'est pas moi :non:

 

:p

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Invité §Zir680wn

Il lui tire dessus pour un regard échangé

 

 

Un élève du lycée de la Tourelle, à Sarcelles, a été grièvement blessé mardi vers 13 heures par un autre lycéen croisé dans la rue des Bauves. La victime, âgée de 17 ans, a reçu une balle de pistolet gomme-cogne en pleine tempe. Elle a été transportée par les deux camarades qui l'accompagnaient à la clinique Bellevue, à Villiers-le-Bel, puis par les pompiers à la Pitié-Salpêtrière, à Paris, où elle a été soignée pour un oedème cérébral.

 

Hier, ses jours n'étaient plus en danger, mais le lycéen était en réanimation. Le garçon qui lui a tiré dessus a un an de moins que lui. Il a pris la fuite vers son lycée après avoir hésité à tirer une seconde fois. Mais l'agresseur ayant été identifié, les policiers l'ont vite retrouvé et placé en garde à vue au commissariat de Sarcelles. Un regard déplaisant serait à l'origine de son geste.

 

Le Parisien 19 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

La sortie à Paris avait viré au cauchemar

 

 

Pour Sabrina, une adolescente de 16 ans domiciliée en Allemagne, le voyage scolaire organisé en France au mois de mars 1995 ne devait être qu'un banal séjour linguistique.

 

Mais tout a basculé lorsque l'adolescente, hébergée dans une famille de Savigny-sur-Orge, s'est perdue au cours d'une sortie à Paris et s'est retrouvée prisonnière d'un homme qui aurait abusé d'elle à plusieurs reprises. Neuf ans après le drame, son agresseur présumé comparaît aujourd'hui et demain devant la cour d'assises de l'Essonne à Evry.

 

Agé de 32 ans, Robert, qui avait avoué les faits, puis s'était rétracté au cours de l'instruction, avait déjà été jugé pour cette affaire en février 2000. Absent, il avait été condamné par contumace à douze ans d'emprisonnement. Cette fois, interpellé et écroué à Fleury-Mérogis depuis juillet dernier, il sera bel et bien présent au tribunal d'Evry.

 

Séquestrée par son agresseur Son défenseur, M e Lambert, souligne que son client a multiplié les séjours en hôpital psychiatrique après sa détention provisoire. En revanche, Sabrina, traumatisée, ne sera sûrement pas là. Le calvaire qu'elle a décrit aux enquêteurs a duré pas moins de quarante-huit heures.

 

Tout commence le 28 mars 1995. La jeune fille quitte sa famille d'accueil pour participer avec une trentaine d'autres collégiens à une sortie au Théâtre du Gymnase à Paris. Au retour, la bande, encadrée par des professeurs, prend le métro pour regagner Savigny. A la station Strasbourg-Saint-Denis, Sabrina perd le contact avec le groupe. C'est là que Robert l'aborde. Prétextant la raccompagner, l'homme, domicilié à Maulne (Yvelines), la ramène chez lui où il se serait livré à divers attouchements. Séquestrée dans l'appartement, la jeune fille passe une seconde nuit chez Robert qui l'aurait alors violée à plusieurs reprises. Le 30 mars au soir, l'accusé se décide enfin à ramener Sabrina à Savigny. Il sera interpellé peu après. Le verdict est attendu demain.

 

Le Parisien 17 Mars 2004

 

6 ans de prison pour le violeur d'une collégienne

 

 

L'un des cinq experts psychiatres qui ont examiné Robert, 32 ans, parle d'« un cas passionnant sur le plan théorique ». Hier, l'accusé a été condamné à six ans de prison pour viol par la cour d'assises de l'Essonne, à Evry.

 

« Sa place n'est pas en prison, mais en hôpital psychiatrique », proteste pourtant M e Olivier Lambert, son avocat, au diapason de l'équipe qui l'a suivi à l'hôpital d'Eschirolles (Val-de-Marne), présente à l'audience.

 

Psychotique depuis des années, Robert a été reconnu coupable du viol et de la séquestration d'une jeune collégienne allemande, en 1995. Ce 28 mars, Sabrina*, scolarisée au collège Paul-Bert de Savigny-sur-Orge depuis quinze jours dans le cadre d'un échange linguistique, revient avec sa classe d'une représentation au théâtre du Gymnase, à Paris. Alors que les 30 élèves s'apprêtent à monter dans le métro à la station Strasbourg-Saint-Denis, la jeune fille se perd. Ensuite, de l'aveu même du président de la cour d'assises, c'est l'histoire d'« un ratage majeur ». Aucune consigne n'est donnée aux élèves au cas où ils s'égareraient. Sabrina, qui n'apprend le français que depuis deux ans, n'a aucune coordonnée téléphonique. Ni celles du collège ni celles de sa famille d'accueil.

 

Le drame aurait pu être évité Une demi-heure après sa disparition, l'une des accompagnatrices fait passer un message par le biais de la RATP depuis la station Saint-Michel. Sabrina, elle, se trouve toujours à la station Strasbourg-Saint-Denis. Elle est récupérée par un agent RATP. Là encore, le drame aurait pu être évité. Au lieu de la raccompagner, l'agent laisse la jeune fille sur le quai.

 

« Je ne savais plus où j'étais », a expliqué Sabrina aux enquêteurs. Décrite comme « intelligente, mais peu sûre d'elle et particulièrement vulnérable », elle a seulement trouvé « bizarre, mais sympa » son futur agresseur lorsqu'il l'a abordée sur le quai. Prétextant la ramener chez elle, le jeune homme l'attire jusqu'à son domicile de Maulne (Yvelines), se livrant une première nuit à des attouchements. Le lendemain, il la violera à plusieurs reprises, avant de finalement la reconduire à Savigny quarante-huit heures après la rencontre. « Je l'avais pris pour un grand frère, raconte Sabrina dans sa lettre. Pourquoi m'a-t-il fait ça, moi qui n'avais que 15 ans ? » Dans le box des accusés, Robert, déjà condamné en son absence à douze ans de réclusion au cours d'un premier procès, peine à expliquer son geste et s'embrouille dans ses explications. « Je n'aurais jamais fait ça, explique-t-il, revenant une fois de plus sur ses premiers aveux. Je sais que dans les films, le méchant, il se fait toujours attraper à la fin... »

 

Le Parisien 19 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Le pirate informatique avait été dénoncé

 

 

Bonne âme soucieuse du respect de la propriété intellectuelle ou concurrent gêné par des prix plus bas ? Toujours est-il que c'est un renseignement anonyme à la police judiciaire de Versailles qui a conduit les enquêteurs à s'intéresser à Hien-Luong, 45 ans, de Noisiel, qui comparaissait hier devant les juges de Meaux.

 

Sous un pseudo, ce technicien en informatique au chômage vendait des logiciels sur un site Internet à des prix défiant toute concurrence. Tout simplement parce que ces logiciels étaient des contrefaçons qu'il proposait ainsi à 15 ou 20 € des produits Microsoft tels que Windows 98 ou le Windows XP-Pro, vendus dans le commerce à 375 €.

Il ne faudra pas longtemps aux policiers pour démasquer le pirate informatique et saisir chez lui plusieurs dizaines de CD-ROM.

 

30 000 € de dommages et intérêts à Microsoft Sur ses comptes bancaires, près de 3 200 € de paiement en chèques sont inexpliqués et pourraient bien constituer le fruit de ces ventes illégales sur le Web. « Je reconnais les faits mais pas le montant des ventes que l'on m'attribue, corrige Hien-Luong. J'estime avoir vendu pour environ 400 ou 500 €, pas plus. » Une somme loin du compte des enquêteurs et à mille lieues des dommages et intérêts pharaoniques réclamés par Microsoft. Car l'éditeur de logiciels se base sur le prix de vente normal pour évaluer son manque à gagner, et non pas sur les petits profits du pirate informatique érémiste au moment des faits. C'est donc 58 000 € que l'avocat de Microsoft est venu réclamer au prévenu, soulignant qu'il s'agissait là « d'une réparation minimale, l'entreprise aurait pu solliciter beaucoup plus ».

 

Le tribunal a estimé que Hien-Luong n'avait pas à payer pour tous les pirates informatiques qui écument les sites Internet et n'a accordé « que » 30 000 € de dommages et intérêts à Microsoft. Hien-Luong a également été condamné à trois mois de prison avec sursis avec un travail d'intérêt général de 100 heures à effectuer.

 

Le Parisien 19 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Le voyeur bricoleur avait percé une trentaine de volets

 

 

Les policiers de Pontault-Combault viennent de mettre un terme à une véritable histoire de Clochemerle à Gretz-Armainvilliers. Hier, ils ont placé en garde à vue un homme de 20 ans pour violation de domicile et dégradation du bien d'autrui. Jusqu'ici rien d'exceptionnel.

 

Mais jugez plutôt. Il y a un peu plus d'un mois et demi, les policiers enregistrent une plainte d'une habitante de Gretz-Armainvilliers. Un rôdeur s'est amusé à faire un trou dans un de ses volets. En quelques semaines, une dizaine de personnes se rendent au commissariat pour dénoncer des trous sournois d'à peine quelques millimètres de diamètre. L'affaire est prise très au sérieux par les fonctionnaires.

 

Pendant plusieurs jours, les policiers font des « planques » dans la commune. Bingo ! Dans une rue de Gretz, ils aperçoivent un homme escalader la clôture d'un pavillon et se diriger vers... un volet. Par le petit trou, le voyeur se rinçait l'oeil tout en se laissant aller à un plaisir solitaire. En garde à vue, ce jeune Gretzois a reconnu avoir percé une trentaine de volets dans la commune, histoire de découvrir les secrets du corps féminin. Sa soif de connaissance devrait l'amener d'ici quelques jours devant un juge du tribunal de Melun. Comme ce bricoleur pervers ne filmait pas et qu'il ne prenait pas de photos, il ne répondra donc pas d'acte de voyeurisme mais de violation de domicile et de dégradation d'un bien d'autrui.

 

Le Parisien 19 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

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Dernière tournée pour un postier alsacien, en Porsche 911 Carrera 4

 

 

STRASBOURG (AFP) - Un fonctionnaire de la poste d'Eckbolsheim (Bas-Rhin) a effectué vendredi matin une dernière tournée de livraison de colis au volant d'une Porsche 911 Carrera 4, avant son départ à la retraite.

 

"J'ai toujours eu envie de conduire un tel bijou, c'était un rêve. Aujourd'hui il est devenu réalité grâce à mes collègues. C'est le bonheur", a raconté ému Jean-Claude Trappler, 56 ans, chef d'équipe à l'agence "colis poste" d'Eckbolsheim.

 

Le postier, passionné de voitures, avait commencé sa carrière en 1968 comme facteur dans le quartier de Koenigshoffen à Strasbourg. Il effectuait des tournées à Achenheim, a indiqué son chef d'agence Yves Mathieu qui a organisé "le traquenard" pour le dernier jour de travail de son collègue et obtenu le prêt du bolide par une concession de Strasbourg.

 

"Tous les collègues étaient dans la confidence", a expliqué M. Mathieu. "Je l'ai appelé pour lui demander de livrer à Achenheim des colis soit disant oubliés. Quand il est sorti de l'agence, la Porsche l'attendait et on lui en a remis les clés. Il est resté bouche bée", a-t-il précisé.

 

Yahoo 19 Mars 2004

 

 

Idée de cadeau originale et hyper-sympa pour leur collègue :bien:

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Invité §le 816mY

Pendant plusieurs jours, les policiers font des « planques » dans la commune. Bingo ! Dans une rue de Gretz, ils aperçoivent un homme escalader la clôture d'un pavillon et se diriger vers... un volet. Par le petit trou, le voyeur se rinçait l'oeil tout en se laissant aller à un plaisir solitaire. En garde à vue, ce jeune Gretzois a reconnu avoir percé une trentaine de volets dans la commune, histoire de découvrir les secrets du corps féminin. Sa soif de connaissance devrait l'amener d'ici quelques jours devant un juge du tribunal de Melun. Comme ce bricoleur pervers ne filmait pas et qu'il ne prenait pas de photos, il ne répondra donc pas d'acte de voyeurisme mais de violation de domicile et de dégradation d'un bien d'autrui.

[/quotemsg]

Excellent :W

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Invité §djs551ns

Des lycéens allemands testent la souplesse d'un nouveau pont sur le Rhin

 

agrandir la photo

 

KEHL (AFP) - Une cinquantaine de lycéens allemands se sont prêtés jeudi à une expérience originale sur une nouvelle passerelle piétonnière reliant Strasbourg à sa voisine allemande de Kehl: ils ont sauté, couru et marché au pas sur le pont pour mesurer les oscillations occasionnées et évaluer la nécessité d'installer des amortisseurs.

 

"Nous avons préparé cette expérience en cours de physique, où des ingénieurs en génie civil sont venus nous donner des explications sur les phénomènes vibratoires et d'oscillations", explique Daniel, 18 ans, en classe de 1ère dans la section bilingue franco-allemande du lycée Einstein de Kehl.

 

"Il ne s'agit évidemment pas de mesurer la solidité du pont, nous n'avons aucun doute là-dessus", précise Wolfgang Graesslin, l'un des ingénieurs en charge de ce chantier en cours d'achèvement. "Le but est de mesurer précisément les oscillations provoquées par les déplacements. Si ces oscillations sont trop importantes et qu'elles entraînent un désagrément, nous installerons des amortisseurs supplémentaires".

 

Des centaines de capteurs ont été installés sur les rambardes de la passerelle, dessinée par l'architecte français Marc Mimram. Les lycéens devaient consacrer toute la journée de jeudi à leurs exercices sportivo-scientifiques, en marchant notamment au rythme des "bips" émis par un métronome électronique.

 

La passerelle Mimram, un ouvrage suspendu à double tablier voulu comme un symbole de la réconcilation franco-allemande, doit être inaugurée fin avril. Elle sera le centre symbolique du "Jardin des deux rives" qui ornera les berges du Rhin des deux côtés de la frontière.

 

yahoo

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Invité §djs551ns

Donald Trump veut faire de "Vous êtes viré!" une marque déposée

 

WASHINGTON (Reuters) - "Vous êtes viré!" bientôt marque déposée?

 

 

Loin de vouloir dénoncer une situation économique morose ou prendre parti pour les employés remerciés d'une réplique lapidaire, Donald Trump souhaite acquérir les droits sur cette phrase afin de l'utiliser dans ses casinos voire de l'imprimer sur des T-shirts.

 

 

Depuis deux ans, le milliardaire américain élimine chaque semaine un concurrent de l'émission de télé-réalité "The Apprentice", diffusée sur NBC, à coup de "Vous êtes viré!" ("You're fired!").

 

 

Il a récemment déposé une demande de droits sur les trois mots, selon le site internet de l'Office américain des brevets et des marques.

 

 

S'il obtient gain de cause, les patrons américains n'auront pas pour autant à changer leur vocabulaire, la marque "Vous êtes viré!" étant déposée pour des utilisations très spécifiques.

 

yahoo

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Invité §djs551ns

Drôle de planète...

 

Un conte trop "gay"

 

WILMINGTON, Caroline du Nord (AP) -- Michael Hartsell et sa femme Tonya n'ont pas du tout apprécié le livre que leur fille a rapporté de la bibliothèque de son école: un conte pour enfants sur un prince qui aime... un autre prince.

 

Les deux parents, habitants de Wilmington (Caroline du Nord), n'en ont pas cru leurs yeux: le prince Bertie, le principal personnage, tombe amoureux du prince Lee, et à la fin de l'histoire les deux altesses se marient et échangent un baiser.

 

"J'ai été stupéfait", a déclaré M. Hartsell. "Mon enfant est trop jeune pour comprendre quelque chose comme ça, particulièrement quand ce ne sont pas nos valeurs."

 

Le livre de 32 pages a été publié en 2002 et, si l'on en croit le site Internet de l'éditeur, il s'adresse aux jeunes lecteurs à partir de six ans.

 

Les Hartsell ont décidé de garder l'ouvrage jusqu'à ce qu'ils obtiennent l'assurance qu'il ne sera pas remis à la disposition des élèves et envisagent de changer leur fille d'école. Les responsables de l'établissement pourraient retirer le livre suite aux objections des parents.

 

Elizabeth Miars, la directrice de l'école, note toutefois que "ce qui peut être inconvenant dans une famille, peut être totalement acceptable dans une autre". AP

 

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Singeries new-yorkaises

 

NEW YORK (AP) -- Les services de la ville de New York ont saisi six petits singes et une tarentule au domicile d'Orlando Lopez, un habitant de Manhattan apparemment très peiné de devoir se séparer de ses compagnons pour le moins exotiques.

 

Le coup de filet a eu lieu la semaine dernière suite à une dénonciation anonyme aux services vétérinaires de la ville. Deux ouistitis, deux capucins, deux singes-écureuils et l'araignée ont été découverts dans un appartement du quartier d'Inwood.

 

Mike Pastore, un responsable de la municipalité, a souligné que les singes étaient en bonne santé mais n'avaient rien à faire dans un appartement. "Leur environnement, c'est les arbres", a-t-il fait valoir.

 

M. Lopez a été autorisé à garder ses deux chiens -un chihuahua et un danois-, son chat et son aquarium, mais a reçu une convocation à se présenter devant une commission municipale. La législation de New York interdit la détention d'espèces exotiques comme animaux de compagnie.

 

En octobre dernier, les autorités avaient arrêté un homme pour détention d'un tigre et d'un alligator dans son appartement new-yorkais. Le même mois, un autre habitant de la ville qui gardait chez lui 12 serpents exotiques avait été appréhendé. AP

 

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Fin de party prématurée

 

BEND, Oregon (AP) -- Des avertissements n'ayant pas suffi, les responsables du lycée de Bend (Oregon) sont intervenus pour mettre fin samedi dernier à une soirée où, selon eux, les élèves se livraient à des danses indécentes.

 

"Honnêtement, c'est comme avoir une relation sexuelle tout habillé", s'est indignée Mary McDermott, en charge des activités de l'école. La soirée dite de Sadie Hawkins, où traditionnellement aux Etats-Unis les filles invitent les garçon à danser, a été arrêtée à 22h et les participants renvoyés chez eux.

 

De nombreux élèves se sont étonnés de la sanction, affirmant avoir dansé comme ils en avaient l'habitude. "Il n'y a pas d'autre façon de danser que d'être l'un contre l'autre", a plaidé Mat Baker, 17 ans. "C'est comme ça que les gens dansent aujourd'hui!" Un avis que ne partage visiblement pas la direction de l'établissement.

 

Mme McDermott a déclaré que l'école avait reçu des plaintes de parents. La semaine précédant l'incident, l'établissement avait averti les élèves que le "frotti-frotta" ne serait pas toléré. AP

 

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Des poulets qui assurent

 

HANOI (AP) -- Un éleveur vietnamien qui affirme que ses volailles sont saines s'engage à indemniser la famille de toute personne qui décéderait de la grippe aviaire après avoir consommé ses poulets.

 

Basé dans le sud du pays, Pham Duc Binh va assurer jusqu'à un million de poulets ces deux prochains mois au prix de 500 dongs (2 centimes d'euro) l'unité pour pouvoir tenir sa promesse et tenter ainsi de redonner confiance aux consommateurs vietnamiens.

 

Les parents de quiconque décédera de la grippe du poulet après avoir mangé un des volatiles assurés recevront 100 millions de dongs (5.300 euros) et les frais médicaux seront remboursés.

 

Les poulets de M. Binh seront vendus avec un certificat garantissant qu'ils n'ont pas la grippe aviaire. L'indemnisation couvre la mort de n'importe quel consommateur ayant contracté la maladie dans un délai de 15 jours après l'achat, soit le double de la période d'incubation. L'assurance couvre un nombre maximum de 30 décès.

 

"Nous avons été durement frappés par la grippe du poulet", souligne M. Binh. "Nous prenons cet engagement envers les clients avec la ferme conviction que nos produits sont sûrs."

 

L'épidémie de grippe aviaire qui a frappé l'Asie ces derniers mois a fait 15 morts au Vietnam et a conduit les consommateurs du pays à bouder les volailles. AP

 

 

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Invité §Zir680wn

Encore faut-il trouver 647 mecs qui acceptent de se la taper, elle donne plutot envie de partir en courant :ptdr:

 

La voilà sous un autre "angle"

 

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Invité §Zir680wn

Je vois que tu es bien documenté ;)

Tu envisages de participer? :ange:

 

Du tout non,ce genre de "débordements" :oops: m'écoeure plutôt.

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Invité §bob444aq

Du tout non,ce genre de "débordements" :oops: m'écoeure plutôt.

C'est clair qu'il faut en vouloir pour y aller.

 

Le voyeur perceur de volets aurait mieux fait de s'inscrire ca lui aurait éviter de se retrouver au tribunal. :D

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Invité §Zir680wn

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Troupe de théâtre cherche acteur mourant

 

 

LONDRES (AFP) - Une troupe de théâtre britannique va organiser un casting d'un genre nouveau: les aspirants acteurs devront garantir qu'ils seront morts lorsque les représentations débuteront à la mi-mai.

 

Dans son édition dominicale, The Observer rapporte que la pièce, jouée par une troupe de théâtre expérimental de l'est de Londres, portera sur les tabous entourant la mort.

 

Intitulé "Mort: tu seras", la production recherche un véritable cadavre qui restera sur scène durant les 24 représentations prévues.

 

La troupe, qui s'appelle 1157, espère recruter un malade en phase terminale. "Le corps ne sera pas nécessairement manipulé par les acteurs", a précisé au journal Jo Dagless, l'un des directeurs artistiques de la troupe. Il a néanmoins indiqué que tous les détails seront fixés à l'avance avec le donneur et sa famille.

 

Jo Dagless a assuré que la présence d'un cadavre sur scène n'était pas un coup de pub. "C'est un élément du spectacle que nous pensons important pour nous aider à dissiper quelques-uns des mystères qui entourent la mort", a-t-il expliqué.

 

Yahoo 21 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Un ambulancier mis en examen pour le viol d'une détenue pendant un transfert

 

L'agression a eu lieu dans l'ambulance : c'est les pieds liés, sur un brancard, que Mme B., une détenue de la maison d'arrêt de Bonneville (Haute-Savoie), affirme avoir été violée lors de son transfert vers l'hôpital de Villefranche-sur-Saône (Rhône), samedi 6 mars.

 

Ce jour-là, Mme B. est extraite de la prison pour être conduite à l'hôpital de Bonneville. Placée en détention provisoire depuis un mois pour une affaire de fraude à la carte bancaire, elle vient de faire un malaise. "Hypotension, dénutrition, dépression : j'étais mal en point", raconte-t-elle dans une lettre. La malade est examinée, puis placée sous perfusion. Les médecins lui indiquent qu'ils souhaitent l'hospitaliser quelque temps. Mais, pour des raisons qui demeurent confuses, il est décidé de transférer la détenue à quelque 150 kilomètres de là, dans un autre établissement de soins, à Villefranche-sur-Saône.

 

La surveillante qui accompagne la jeune femme depuis la prison passe alors le relais à une escorte composée de deux gendarmes. Les personnels pénitentiaires de la maison d'arrêt de Bonneville ont pour pratique d'accompagner les détenus lors des visites médicales prévues en ville. Toutefois, pour des questions de moyens, ils délèguent fréquemment cette responsabilité aux forces de l'ordre lors des transferts plus lointains.

 

"CLOISON TEINTÉE"

 

Mme B., affaiblie, prend place à bord d'une ambulance appartenant à une société privée de la région. N'étant pas considérée comme une détenue dangereuse, la jeune femme n'est pas accompagnée d'un gendarme à bord. Elle conserve néanmoins les chaînes qui lui entravent les pieds depuis son départ de la maison d'arrêt. "Sous bonne escorte, on me monte dans l'ambulance avec un homme seul, et le chauffeur se place derrière son volant", témoigne-t-elle. Sur la route, l'escorte de gendarmerie précède l'ambulance. Dans la voiture, l'ambulancier et la détenue se trouvent séparés du chauffeur "par une cloison teintée et insonorisée". "Deux heures durant, je me fais violer et j'ai subi d'atroces attouchements et agressions sexuelles", raconte la jeune femme.

 

Choquée, celle-ci parvient néanmoins à se confier aux personnels soignants qui l'accueillent à son arrivée à l'hôpital de Villefranche. Le parquet est aussitôt avisé des faits. Une enquête est ouverte, des examens médicaux sont pratiqués. L'affaire se voit confiée au juge d'instruction. Après avoir été placé en garde à vue durant le week-end, l'employé de la société d'ambulance est mis en examen, lundi 8 mars, pour "agression sexuelle imposée à une personne vulnérable", et placé sous contrôle judiciaire. Son employeur précise que l'homme est proche de la retraite. Agé de 59 ans, il n'a pas d'antécédents judiciaires. Selon son avocate, Michaële Fillioud, l'ambulancier reconnaît quelques attouchements, qu'il aurait pratiqués à la demande de la détenue. Il encourt sept ans de prison.

 

L'affaire survient en plein débat sur les escortes de détenus. Le ministère de l'intérieur souhaiterait en effet que cette charge, actuellement partagée avec l'administration pénitentiaire, soit entièrement placée sous la responsabilité de cette dernière. Des discussions sont en cours sur le sujet avec le ministère de la justice.

 

Le Monde 22 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Une amoureuse de 4 ans

 

 

Cela s'est passé la semaine dernière à Alençon. Il était tôt matin, trop tôt pour trouver normal qu'une fillette se promène seule dans la rue et sac au dos.

 

Il était 6 heures du matin et, mieux encore, on était samedi. Un jour sans école.

 

Un jour de grasse matinée, surtout chez les petites filles de 4 ans.

 

Dans la maison, les parents dormaient. Dans la ville, le soleil sommeillait. Pendant ce temps, une gamine bien décidée, quelques biscuits et une paire de chaussettes dans son sac, marchait, marchait.

 

Etait-ce un Petit Chaperon rouge parti voir sa mère-grand malade ? Serait-il question de galette et de pot de beurre, de chevillette et de bobinette ?

 

Que nenni ! C'est l'amour qui était en jeu, un amour grand comme ça, cette sorte d'amour qui brûle et qui empêche de dormir, même à l'âge des dents de lait et de chat perché.

 

Deux dames du genre matinal virent passer devant elles la choupinette et son air important. Apostrophée par les passantes, elle daigna répondre à leur étonnement avec tout le sérieux que requiert une affaire capitale.

 

Et celle-ci l'était. Il faut, pour apprécier l'audace de la gamine, se souvenir que les enfants, y compris les moins doués en calcul, aiment l'idée que 2 et 2 font 4.

 

La logique des petits est chose implacable. Comme nous l'avons dit, nous étions samedi. Or, le samedi, l'école est fermée. Pour voir son amoureux à la récré, c'est tintin.

 

Sauf si, et nous voici en pleine passion, sauf si l'amoureuse connaît l'adresse de l'amoureux. L'heureux élu de ce cœur tendre était un "grand" de 6 ans.

 

C'est en tout cas ce qu'a raconté la fugueuse aux deux dames qui n'en croyaient toujours pas leurs yeux, pas plus que leurs oreilles. Mordue à Alençon par l'hameçon de l'amour, la petite ne faisait pas dans la dentelle.

 

On devine ce que ces adultes ont dû éprouver d'admiration, d'envie peut-être, pour un sentiment si pur qui prospérait derrière ce très jeune front. C'est beau, à 4 ans, d'aimer tellement fort que les jours de congé sont insupportables.

 

Mais puisqu'il était bien tôt, et que la vie peut être bien courte pour les ingénues qui courent les rues dès potron-minet, les dames dénoncèrent sans joie cette flamme précoce.

 

On s'en fut trouver la police qui apprit tout du stratagème enfantin. Profitant du sommeil de ses parents – car que faire d'autre, un samedi à 6 heures, sinon roupiller ! –, la petite s'était enfuie de chez elle pour s'en aller retrouver l'élu de son rêve éveillé.

 

Grâce à ses explications, les policiers ont reconduit la belle à domicile. Sûrement aurait-elle préféré être menée, cernée par deux pandores, entre les bras d'un amoureux dont on jurerait qu'il pionçait ferme. Mais qui sait ?

 

Quand on l'a réveillé pour lui rendre sa fugueuse, le papa en est resté comme deux ronds de flan. Il ne s'était encore aperçu de rien. L'échappée, il est vrai, n'avait duré qu'une quinzaine de minutes.

 

C'est ce que nous a appris la dépêche dont s'est fendue l'Agence France-Presse pour relater l'événement sous ce titre glorieux : "Une petite fille de 4 ans fugue pour rejoindre son fiancé de 6 ans".

 

Le Monde 23 Mars 2004

 

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Invité §now225Ew

C'est pas moi :non:

 

:p

:lol: N'empeche il y va fort le gamin avec ses 89 délits

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Invité §Zir680wn

Il conduisait la jambe dans le plâtre

 

Doublée par le conducteur d'une Golf qui visiblement veut jouer au petit malin et griller le feu, j'entends soudain un gros « boum ». Un petit coup d'oeil sur la droite : la conductrice d'une Peugeot vient de percuter la voiture de l'automobiliste pressé. Il est 1 h 40 du matin, hier sur la nationale 7 à la hauteur de Fontainebleau (Seine-et-Marne), et la scène qui se déroule sous mes yeux me fait frémir.

 

Alors que la jeune femme baisse sa vitre et lève les bras au ciel, catastrophée de ne pas avoir pu freiner à temps, la porte de la Golf s'ouvre. Le conducteur qui en sort brandit une béquille. Il l'agite par-dessus sa tête. La jeune femme s'affole. Moi aussi. Va-t-il la frapper ? En fait, je m'aperçois que l'homme a le pied droit dans le plâtre et qu'il ne peut marcher sans béquille ! Avec beaucoup de difficultés et visiblement en colère, il s'approche de la jeune automobiliste. Retrouvant alors toute son assurance, la femme lui vole dans les plumes : « Vous n'avez pas le droit de conduire dans cet état ! »

 

Mouché, le conducteur perd de son arrogance. Un témoin lance : « Qu'ils se débrouillent ! Ils sont tous les deux dans leur tort. L'un parce qu'il n'a pas su maîtriser son véhicule, l'autre parce que sa place n'était pas en état d'être au volant ! »

 

Le Parisien 23 Mars 2004

 

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Invité §lop521Qu

Victimes d'une nuit de terreur à Angers

 

Cinq jeunes séquestrés, battus et volés par une bande déchaînée

 

Tabassés et dépouillés au fil d'un périple de quatre heures. Cinq jeunes de la région d'Ancenis ont vécu une nuit de terreur, le 15 mars 2003. Leurs « bourreaux », comme les a appelés le vice-procureur d'Angers, ont comparu, lundi après-midi. Ils ont été condamnés à des peines allant de six ans d'emprisonnement ferme à trente mois dont vingt avec sursis.

Quand les avocats des victimes énumèrent le nombre de coups, d'ecchymoses et de traumatismes relevés, Johnny Belhachemi, 20 ans, et Nicolas Desille, 23 ans, n'échangent plus de sourires. Dans le box, avec deux autres complices, Richard Doiteau, 19 ans, et Régis Tantoine, 20 ans, ils comparaissent pour une nuit de terreur. « Ils ont fait preuve d'un tel sadisme, d'un acharnement sans limite que nos clients sont traumatisés à vie. » Aucun n'a voulu assister, hier, au procès.

 

Tout a commencé à la sortie de la discothèque « Le Métro » à Beaulieu-sur-Layon, dans la nuit du 15 mars 2003. Sans raison, les quatre Angevins accompagnés d'un mineur s'en prennent aux cinq jeunes qui regagnent leur véhicule. « C'est un déferlement de coups, raconte la présidente. Tout de suite, ça dégénère. Vous les tabassez et vous les séquestrez dans leur véhicule. » Commence alors un incroyable périple ponctué de violences gratuites et de pillage systématique. Les jeunes sont embarqués et conduits sous le parking souterrain de Grand-Maine, à Angers. « Alors que vous leur dérobez leurs portables, leurs cartes bancaires, leurs portefeuilles, les coups pleuvent de plus belle. Une raquette de tennis sera cassée sur la tête d'une victime, une autre aura les deux poignets brisés. »

 

Orange Mécanique

 

« Nous avions trop bu et fumé une dizaine de joints. » C'est la seule explication donnée du bout des lèvres par les quatre prévenus. Aucun n'exprimera de remords ou un brin de culpabilité, Régis Tantoine et Richard Doiteau seront les seuls à baisser les yeux. Les deux autres estimant « c'est fait, c'est fait. On ne peut pas revenir en arrière ! »

 

Libérées enfin, vers 6 heures du matin, dans le quartier de Belle-Beille, les cinq victimes quitteront vite Angers pour se rendre enfin à l'hôpital d'Ancenis. « C'est le personnel médical qui prévient les gendarmes car vous leur aviez promis de sérieuses représailles en cas de plainte. » La présidente d'en finir avec l'instruction du dossier en lançant : « Ce soir-là, c'était Orange Mécanique ! » Une référence au film de Stanley Kubrick d'après le roman d'Antony Burgess sur la violence gratuite.

 

« Vous avez massacré ces jeunes, ne leur laissant aucune échappatoire. » En requérant six et cinq ans ferme pour les deux « leaders », Johnny Belhachemi et Nicolas Desille, déjà condamnés et des peines de trente mois dont vingt avec sursis pour les deux autres, considérés comme « moins impliqués », le vice-procureur, Jacques Bouzigues martèle : « Vous avez commis des faits à la limite de l'humanité ! »

 

Pas évident, ensuite, d'assurer une défense. Les quatre avocats ont évoqué l'alcool et le shit, la bêtise et l'effet de groupe, la télévision. Et, Me Nicolas Orhan de reconnaître : « La violence gratuite n'est pas excusable. »

 

Après délibéré, le tribunal a suivi entièrement les réquisitions.

 

maville.com

 

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Invité §Zir680wn

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Deux enfants de 3 ans quittent l'école pour une promenade à Bordeaux

 

BORDEAUX (AFP) - L'inspection académique de Gironde a diligenté une enquête sur la fuite de deux enfants de trois ans d'une école dont ils ont réussi à pousser la porte pour aller se promener.

 

Les faits se sont déroulés la semaine dernière. Lola et son copain, du haut de leurs trois ans, ont poussé la porte d'une sortie de secours de leur école maternelle, et sont partis en direction des quais de la Garonne. Intrigué par les déambulations des deux bambins, visiblement non accompagnés, le patron d'un bar a donné l'alerte et prévenu la police, relate le quotidien Sud-Ouest.

 

"Les enfants ont réussi à échapper à la vigilance des enseignants, a expliqué Roger Savajols, inspecteur d'académie de la Gironde, qui a reconnu que "l'incident aurait pu avoir des conséquences dramatiques". "Nous ne prenons pas cette affaire à la légère", a-t-il poursuivi, indiquant que les parents de Lola s'étaient plaints à l'inspection académique, tandis que ceux du garçon "ne se sont pas manifestés".

 

L'enquête administrative a été confiée à l'inspectrice de la circonscription. Des mesures ont d'ores et déjà été prises à l'école. Ainsi la porte de l'issue de secours, qui "par définition, ne peut être vérouillée", selon l'inspection académique, a été équipée d'un système d'alarme. Enfin, "toutes les consignes ont été données en matière de surveillance par les enseignants", a précissé M. Savajols, soulignant que les questions de sécurité seraient à nouveau abordées jeudi, au cours d'un conseil d'école.

 

Yahoo 24 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Des sans-abris séquestrés pour les dépouiller de leur RMI

 

LILLE (Reuters) - Treize SDF ont été séquestrés dans un camp de nomades proche de Dunkerque (Nord) par une bande qui en profitait pour les dépouiller de leur RMI.

 

Ils ont été libérés mardi à Loon-Plage par des policiers, qui ont arrêté cinq hommes et une femme, désignée comme le "cerveau" du groupe. Les suspects seront déférés au parquet, probablement jeudi.

 

La méthode était toujours la même: deux hommes repéraient les SDF dans les rues de Dunkerque et leur proposaient le gîte et le couvert en échange d'une procuration pour utiliser le compte bancaire où était viré leur Revenu minimum d'insertion.

 

Les SDF, piégés, se retrouvaient parqués dans un camp de nomades, dans des conditions d'hygiène déplorables sous la surveillance étroite de chiens de garde qui ne leur permettaient pas de quitter les lieux, a expliqué un enquêteur.

 

L'alerte a été donnée par l'un des hommes qui a réussi à s'enfuir. Selon les premiers éléments de l'enquête, certains SDF étaient retenus depuis plusieurs mois.

 

Yahoo 24 Mars 2004

 

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Invité §pas280gC

Des sans-abris séquestrés pour les dépouiller de leur RMI

 

LILLE (Reuters) - Treize SDF ont été séquestrés dans un camp de nomades proche de Dunkerque (Nord) par une bande qui en profitait pour les dépouiller de leur RMI.

 

Ils ont été libérés mardi à Loon-Plage par des policiers, qui ont arrêté cinq hommes et une femme, désignée comme le "cerveau" du groupe. Les suspects seront déférés au parquet, probablement jeudi.

 

La méthode était toujours la même: deux hommes repéraient les SDF dans les rues de Dunkerque et leur proposaient le gîte et le couvert en échange d'une procuration pour utiliser le compte bancaire où était viré leur Revenu minimum d'insertion.

 

Les SDF, piégés, se retrouvaient parqués dans un camp de nomades, dans des conditions d'hygiène déplorables sous la surveillance étroite de chiens de garde qui ne leur permettaient pas de quitter les lieux, a expliqué un enquêteur.

 

L'alerte a été donnée par l'un des hommes qui a réussi à s'enfuir. Selon les premiers éléments de l'enquête, certains SDF étaient retenus depuis plusieurs mois.

 

Yahoo 24 Mars 2004

:eek: :eek: :eek:

 

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Invité §Zir680wn

Barbe et piscine, le maire patauge

 

 

Mourad Lamsanes a provisoirement sauvé sa barbe. Et son poste.

 

Hier, cet agent d'entretien de la piscine municipale de Villemomble (93) a remporté une manche contre le maire de la ville, Patrice Calméjane, qui veut sa peau. Pour l'édile, en effet, cette pilosité est incompatible avec le port du masque respiratoire obligatoire lorsque Lamsanes manipule des produits dangereux (Libération du 22 mars). Et cette barbe étant l'expression d'une conviction religieuse, elle ne peut être tolérée dans un établissement ouvert au public.

 

Lamsanes refusant de se raser, Calméjane a saisi la Commission administrative paritaire (CAP) afin qu'il ne soit pas titularisé à l'issue de son stage. Hier, la CAP a jugé que le maire s'était trompé de procédure. Selon elle, Lamsanes aurait dû passer en conseil de discipline. Avantage : alors que la CAP statue en l'absence de la personne concernée, le conseil de discipline l'entend. Mourad Lamsanes pourra donc défendre sa cause..

 

Libération 24 Mars 2004

 

La barbe est devenue l'expression d'une conviction religieuse apparemment,au moins pour le premier magistrat de Villemomble (93)...Quelle sera la prochaine étape à son niveau ?

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Invité §Zir680wn

Un nouveau-né retrouvé mort dans une machine à laver à Toulouse

 

TOULOUSE (AP) - Un nouveau-né a été retrouvé mort dans la nuit de lundi à mardi par des policiers à Toulouse dans un sac plastique à l'intérieur d'une machine à laver, chez un couple dont la femme aurait dissimulé la grossesse à son concubin, a-t-on appris mercredi auprès de la police.

 

Le personnel de l'hôpital Purpan de Toulouse avait accueilli lundi soir une jeune femme de 27 ans amenée par le Samu et s'est rapidement aperçu qu'elle venait d'accoucher quelques heures auparavant.

 

L'hôpital a immédiatement alerté la police qui, arrivée au domicile de la jeune femme et de son concubin dans un quartier pavillonnaire du nord-est de Toulouse, a découvert le corps du bébé de sexe masculin dans la machine à laver, emballé dans un sac en plastique. Selon l'autopsie déjà réalisée, le petit garçon serait né viable et quasiment au terme de la grossesse.

 

Mercredi en fin de matinée, le compagnon de la femme enceinte, un dentiste âgé de 41 ans, a été relâché à l'issue de sa garde à vue dans laquelle il affirme ne pas avoir été au courant de la grossesse.

 

La jeune femme, toujours hospitalisée, devrait également être interrogée à sa sortie d'hôpital, jeudi ou vendredi. Le couple avait déjà un petit garçon de trois ans. AP

 

Yahoo 24 Mars 2004

 

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Un nouveau-né retrouvé mort dans une machine à laver à Toulouse

 

 

Mercredi en fin de matinée, le compagnon de la femme enceinte, un dentiste âgé de 41 ans, a été relâché à l'issue de sa garde à vue dans laquelle il affirme ne pas avoir été au courant de la grossesse.

 

La jeune femme, toujours hospitalisée, devrait également être interrogée à sa sortie d'hôpital, jeudi ou vendredi. Le couple avait déjà un petit garçon de trois ans. AP

 

Yahoo 24 Mars 2004

 

Baleze pour cacher une grossesse a son mari :jap:

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Invité §le 816mY

C'est quand même un des pires crimes qui existent... le crime de la mère

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Invité §kaz086tA

Barbe et piscine, le maire patauge

 

 

Mourad Lamsanes a provisoirement sauvé sa barbe. Et son poste.

 

Hier, cet agent d'entretien de la piscine municipale de Villemomble (93) a remporté une manche contre le maire de la ville, Patrice Calméjane, qui veut sa peau. Pour l'édile, en effet, cette pilosité est incompatible avec le port du masque respiratoire obligatoire lorsque Lamsanes manipule des produits dangereux (Libération du 22 mars). Et cette barbe étant l'expression d'une conviction religieuse, elle ne peut être tolérée dans un établissement ouvert au public.

 

Lamsanes refusant de se raser, Calméjane a saisi la Commission administrative paritaire (CAP) afin qu'il ne soit pas titularisé à l'issue de son stage. Hier, la CAP a jugé que le maire s'était trompé de procédure. Selon elle, Lamsanes aurait dû passer en conseil de discipline. Avantage : alors que la CAP statue en l'absence de la personne concernée, le conseil de discipline l'entend. Mourad Lamsanes pourra donc défendre sa cause..

 

Libération 24 Mars 2004

 

La barbe est devenue l'expression d'une conviction religieuse apparemment,au moins pour le premier magistrat de Villemomble (93)...Quelle sera la prochaine étape à son niveau ?

Non respect des règles de sécurité = licenciement direct point barre

 

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Invité §kaz086tA

Baleze pour cacher une grossesse a son mari :jap:

Y a des grossesses qui se voient pas

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Invité §le 816mY

Y a des grossesses qui se voient pas

Oui enfin quand même :D tu t'en aperçois :W

ça se voit pas jusqu'à 2 mois

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