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Faits divers d'ici ou d'ailleurs....


Invité §Red080vN
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Invité §Zir680wn

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Indemne après être passé sous un train

 

 

Renversé par un train de marchandises hier en fin de matinée, un septuagénaire a été récupéré par les pompiers pratiquement sain et sauf. Il souffre juste de quelques contusions au niveau de la cheville et d'égratignures à la main.

 

Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme aurait tenté de mettre fin à ses jours. Il est environ midi moins le quart hier lorsque la SNCF est informée de la présence d'une homme déambulant sur la voie ferrée, au point kilométrique 406, au niveau de l'entreprise France Boissons, route des Fours à chaux à Gond-Pontouvre, par le conducteur du TGV Paris-Angoulême. L'information est immédiatement transmise au conducteur du train de fret circulant dans l'autre sens.

 

Ce dernier a le temps de freiner et de klaxonner lorsqu'il aperçoit la personne âgée qui se jette alors sous le train et est traînée sur quelques mètres par la motrice. Après une difficile désincarcération effectuée par les pompiers du Groupement de Recherche et d'intervention en milieu périlleux (GRIMP), l'homme est conduit à l'hôpital de Girac. En état de choc, il semblait ne pas souffrir de blessures plus graves que ces quelques contusions. La circulation normale des trains dans les deux sens a pu reprendre à 12 heures 35.

 

Sud-Ouest 12 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Quatre jeunes d'origine marocaine agressés dans la banlieue de Rouen

 

 

ROUEN (AP) - Quatre jeunes hommes d'origine marocaine ont été agressés jeudi matin à Grand-Couronne dans la banlieue de Rouen (Seine-Maritime), a-t-on appris vendredi auprès du commissariat de police de la capitale normande. Leurs agresseurs ont pu être interpellés.

 

Ils se rendaient à leur travail jeudi vers 4h30 à bord du véhicule d'une des quatre victimes lorsqu'ils ont soudain été interceptés par un autre véhicule, qui les a littéralement coincés sur le bord de la chaussée.

 

Selon les policiers rouennais, "les agresseurs des quatre jeunes avaient le crâne rasé et étaient sous l'emprise de l'alcool. Ils ont coincé leur véhicule et leur ont reproché de rouler trop lentement, les insultant et prononçant des injures à caractère raciste".

 

Les agresseurs, dont l'un est à la tête d'une société de gardiennage, ont ensuite cassé les vitres du véhicule dans lequel se trouvaient les jeunes, a-t-on précisé de mêmes sources. Ils ont également volé la clef de contact puis donné des coups "avant de les asperger, à l'aide d'une bombe de gaz lacrymogène", ont expliqué les policiers, qui ajoutent que "les conséquences de cette agression auraient pu être bien plus grave si l'arrivée d'un camion n'avait mis en fuite les agresseurs".

 

Mécontents d'avoir été interrompus par le transporteur routier, les deux agresseurs sont revenus sur les lieux de l'agression en compagnie d'un troisième homme, "sans doute pour poursuivre leur agression", ont déclaré les policiers. Ces derniers, arrivés entre-temps, ont toutefois pu arrêter les trois hommes après une brève course-poursuite.

 

Placés en garde à vue à l'hôtel de police de Rouen, les deux responsables de cette agression, âgés respectivement de 34 et 43 ans, ont été déférés vendredi après-midi. Selon le parquet de Rouen, les deux hommes devront répondre en comparution immédiate de "violences volontaires en réunion, injures à caractères racistes, vol et dégradation de véhicule". AP

 

Yahoo 12 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Violence routière... pas seulement au volant

 

 

Les fous du volant, il y en a partout, et ils s'énervent pour un rien. Béatrice, une mère de famille de Seine-et-Marne, en a fait l'expérience sur un grand axe routier près de Melun. Profitant d'un jour de congé, elle part faire un peu de shopping accompagnée de ses enfants.

 

Elle remarque soudain un automobiliste roulant à vive allure qui fait une queue de poisson à un autre conducteur respectueux des limitations de vitesse. Ce dernier, histoire de rappeler les règles de bonne conduite, fait des appels de phares et invective le chauffard à coups de klaxon. Mécontent, celui-ci freine alors et oblige la voiture qu'il vient de doubler à s'arrêter. Une fois sur la bande d'arrêt d'urgence, il descend promptement de son véhicule, ouvre son coffre et sort une barre de fer. Sans hésiter, il se rue alors sur l'automobiliste qui a osé le rappeler à l'ordre et se met à frapper sur son véhicule.

 

Effrayée par une telle attitude, Béatrice songe à s'arrêter pour porter secours au pauvre conducteur. Mais, se rappelant son statut de mère de famille, elle préfère alerter la police avec son mobile. Un geste imité par d'autres automobilistes qui ont observé la scène dans leur rétroviseur, médusés.

 

Le Parisien 13 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Le violeur écope de douze ans de prison

 

 

Rabia B. a été condamné hier à douze ans de prison par la cour d'assises de l'Essonne. Cet homme de 27 ans, grand et musclé, était poursuivi pour viol.

 

Le 10 février 2002 dans la soirée, il repère et essaie en vain de séduire un lycéen de 19 ans du côté de la gare de Yerres. Quelques heures plus tard, vers 1 heure du matin, alors que le jeune homme revient en RER de Paris, Rabia le suit, le coince non loin de la gare et le viole en lui tenant un Opinel sous la gorge.

 

Relâchée mais traumatisée, la victime prévient la police, qui interpelle Rabia, ivre, au foyer Sonacotra où il loge. Malgré ses dénégations, les expertises médicales et génétiques ne laissent planer aucun doute. Hier, lors du procès qui se déroulait à huis clos, le ministère public avait requis quatorze ans d'emprisonnement.

 

Le Parisien 13 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

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Les méthodes trop musclées de la police municipale du Plessis-Robinson

 

 

Dénoncée par certains habitants, des élus de l'opposition, mais aussi par des agents de la police nationale, la police municipale du Plessis-Robinson aurait parfois tendance à déraper. Les témoignages font état de brutalités abusives et de propos racistes. En septembre 2003, Marie-France, 53 ans, colle une affiche qui proteste contre la démolition de logements sociaux.

 

Des policiers municipaux arrivent et lui demandent ses papiers, qu'elle n'a pas. Ils décident de l'embarquer pour le commissariat de Clamart afin de vérifier son identité. « Ils m'ont brutalement maîtrisée, passé les menottes et jetée dans la voiture comme une poubelle, raconte-t-elle. J'avais des bleus partout. Dans leur rapport, ils écrivent que je me suis rebellée en les insultant et que j'ai foncé sur eux pour prendre leur revolver. C'est ridicule, ils étaient trois costauds alors que je ne mesure qu'1,55 m ! » Des charges d'outrage à agent et de rébellion seront retenues contre elle. Marie-France a également porté plainte.

 

Vendredi 5 mars dernier, en fin d'après-midi, des jeunes discutent devant la poste. Des policiers municipaux arrivent. « Ils nous ont dit de dégager, raconte Olivier. On leur a répondu que la police nationale nous avait dit de ne pas rester devant les commerces, mais qu'on pouvait rester là. Ils ont répondu qu'ils n'en avaient rien à foutre de la nationale ! » La discussion tourne à l'altercation.

Des prévenus présentés en piteux état « L'un d'eux a demandé à son chef s'il pouvait taper et m'a parlé petit nègre, continue Olivier. Je lui ai dit qu'il ne pouvait pas parce qu'il y avait des gens. Il a crié bien fort tu me menaces de mort !, et ils me sont tombés dessus, m'ont maîtrisé et l'un d'eux m'a mis les doigts dans les yeux. » Selon le rapport de la police municipale, les jeunes gênaient l'entrée d'un commerce et Olivier leur aurait déclaré : « Je vais tous vous tuer, écoutez-moi bien, je vais vous tuer... Même la nationale n'a pas les c... de nous dégager. » Des charges d'outrage, menaces de mort et rébellion sont retenues contre lui. Olivier a également porté plainte.

 

« Ils ont tendance à relever des outrages à outrance, raconte un fonctionnaire de la police nationale de Clamart, et nous amènent parfois leurs auteurs en piteux état. Dans leur rapport d'intervention, ils écrivent qu'il n'y a pas de blessures alors que nous pouvons constater le contraire visuellement. Bien sûr, nous rectifions cela dans notre PV d'interpellation. »

 

Venu soutenir le candidat local aux cantonales, Robert Badinter, sénateur PS des Hauts-de-Seine, a rencontré quelques jeunes hier matin. Ils lui ont fait part de leur malaise et le sénateur s'est réservé la possibilité de saisir la Commission nationale de déontologie de la sécurité, autorité administrative indépendante chargée de contrôler les agissements des effectifs de sécurité.

 

Le Parisien 13 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Le parc du Gâtinais, décharge à cadavres

 

Des corps mutilés, sans lien entre eux, régulièrement retrouvés dans cette forêt de l'Essonne, près de La Ferté-Alais.

 

 

Entre la morgue sauvage des crimes parisiens n'entrait sans doute pas dans le cahier des charges du parc régional du Gâtinais, créé en 1997. Depuis un an, on trouve pourtant dans cette partie de l'Essonne, et plus précisément dans un petit secteur autour de La Ferté-Alais, un nombre inquiétant de macchabées dûment trucidés et diversement charcutés.

 

Le dernier en date a été découvert de bon matin par un cycliste, le 27 février, sur le parking de la forêt domaniale des Grands-Avaux, près de Nainville-les-Roches. Un joli panneau du conseil général y vante «le plus grand massif du département», petite réplique de la forêt de Fontainebleau avec ses minicanyons et ses chaos rocheux. Le cycliste a eu l'attention attirée par une colonne de fumée et une odeur de chair brûlée. Le parking, qui attire à la belle saison promeneurs et varappeurs, est encore désert. S'approchant, il repère une forme calcinée qui pourrait bien être un tronc humain. Moins la tête, les pieds et les mains. Le sportif a pédalé ferme jusqu'à la mairie de Chevannes, qui a prévenu les gendarmes. C'est finalement la direction régionale de police judiciaire (DRPJ) de Versailles qui a hérité de l'enquête. Selon les premières constatations, le corps, nu, a été transporté déjà découpé dans cette zone. Mais il a bien été incendié sur place, probablement avec de l'essence. Une pratique qui pourrait désigner la grande criminalité : pas de mains, donc pas d'empreintes digitales ; pas de visage, donc pas d'empreinte dentaire, ni reconstitution faciale possible. Quant aux pieds, là, il y a mystère. «Les pieds indiquent la pointure, ce peut être un élément intéressant. On peut aussi envisager qu'on supprime une particularité, comme des pieds plats ou une infirmité», suggère un enquêteur. Bref, le but est de rendre impossible, ou difficile, toute identification.

 

Homme-tronc. Pour une source proche de l'enquête, cette préparation du cadavre tout comme la proximité de l'autoroute du Sud laissent supposer que le mort a été déposé là pour des raisons pratiques. «Lorsqu'on quitte Paris par l'autoroute du Sud, la première échappée vers un paysage non urbanisé vous conduit dans cette zone», avance un magistrat. Suivons le guide : prendre la sortie n° 11, Mennecy-Auvernaux. Encore une demi-douzaine de kilomètres en rase campagne, et nous voilà dans une forêt, celle des Grands-Avaux. Le parking se trouve à quelques centaines de mètres à gauche après l'intersection de la départementale 75. Seul indice trouvé sur place, des morceaux de toile plastique à moitié fondus qui probablement emballaient l'homme-tronc.

 

Tatouage. A sept kilomètres de là se trouve la petite commune de Mondeville, un bourg tapi au creux d'un vallon. Tout autour, à perte de vue, le plateau du Gâtinais. Le GR15 longe un terrain de camping vers la forêt des Pignons. C'est là que, le 30 juin, un corps a été retrouvé par un chercheur de champignons. Plutôt des fragments de corps, contenus dans une cantine. Là aussi, calcinés. Cette fois, ce sont les gendarmes de la section de recherches de Paris qui ont été saisis. «Dans ce dossier, victime et coupable ont été identifiés», assure un gendarme. Ainsi que quelques autres pièces manquantes du puzzle, retrouvées dans la Seine, pas loin, à Corbeil. Sur un bras, un tatouage a aidé les enquêteurs. Il s'agirait d'un conflit entre deux hommes. «Le coupable a avoué, cette affaire n'avait rien à voir avec les autres», assure la gendarmerie. Mais cela ne convainc guère l'aubergiste de Mondeville. «Affaire élucidée, c'est vite dit ! Parce que, depuis, la série continue ! Vous m'ôterez pas de l'idée que ça fait quand même beaucoup, tous ces macchabées dans les environs», s'inquiète-t-elle, un plat de tripes à la main. Et de citer deux autres cas.

 

Guigneville, un village près de La Ferté-Alais. Nous sommes à huit kilomètres de Mondeville. Un chemin quitte la route pour grimper au flanc d'une colline coiffée d'une forêt. A droite, le cimetière. A gauche, cernée de hauts barbelés, une vaste zone regroupant des citernes en béton à moitié enfouies dans le sol. C'est un ancien dépôt d'hydrocarbures de l'Otan. Nulle âme qui vive, à part quelques corbeaux coassant dans le ciel. C'est dans le bois que, le 7 février, des adolescents ont discerné des doigts de pied humains, nus, dépassant d'un boutis de sanglier. Les gendarmes ont dégagé le reste : un homme massif, d'environ 60 ans, seulement vêtu d'un slip. «Il n'a pas encore été identifié et les causes de la mort restent inconnues», assure un enquêteur. Le trou est encore visible derrière un talus bordant le chemin. Trente mètres plus loin, un cadavre de sanglier, truffé de chevrotines, se décomposait tranquillement. La D105 est à cinq cents mètres.

 

Décomposition. Le dernier cadavre cité par l'aubergiste date aussi de février. Mais le corps, retrouvé flottant dans les grilles du moulin du Gué, en lisière de La Ferté-Alais, était en état de décomposition avancée. Il présentait de larges entailles. Selon le médecin légiste, un homme d'une quarantaine d'années. Cette fois, le lieu de la découverte est moins isolé : le moulin est toujours en activité et des poids lourds viennent s'y approvisionner à longueur de journée. Si l'on sait où a été découvert ce cadavre, on ignore son identité et, surtout, l'endroit où il a été mis à l'eau.

 

«Il n'y a a priori aucun rapport entre tous ces cadavres, si ce n'est la proximité géographique», assure un magistrat de l'Essonne. Pas question, donc, de serial killer du Gâtinais. Tant pis pour la légende. En revanche, la desserte est certainement excellente.

 

Libération 13 Mars 2004

 

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Invité §sup185KV

Aggression de journalistes: un imam arrêté

C'EST UNE VÉRITABLE patate chaude qui vient de tomber entre les mains des gendarmes de Coubert. Mohamed Hammami, 69 ans, le guide spirituel de Foi et Pratique, une branche fondamentaliste du mouvement Tabligh, est en garde à vue dans leurs locaux depuis jeudi après-midi. Ou plutôt était.

Pris d'un malaise cardiaque, cet imam de la mosquée Omar dans le XI e arrondissement de Paris, a été transporté d'urgence à l'hôpital de Melun. Aujourd'hui, le parquet de Melun devrait ouvrir une information judiciaire à l'encontre du responsable religieux. Trois autres membres de Foi et Pratique sont entendus par les gendarmes. Ils sont tous soupçonnés d'être impliqués dans l'agression, jeudi à 14 h 45, de trois journalistes de Canal + à Grisy-Suisnes, un paisible village situé à proximité de Brie-Comte-Robert. L'une des victimes, un preneur de son, se trouvait toujours hier dans un état grave. Elle a été transportée dans un hôpital parisien. Une plainte a été déposée par les journalistes et par Canal +. Mohamed Hammami portait un bâton au moment de l'agression. Les journalistes enquêtaient depuis plus de six mois sur Foi et Pratique. Ils étaient parvenus à localiser un des principaux centres du mouvement, dans le château de Ville-Main à Grisy-Suisnes (voir encadré). L'équipe du magazine « 90 Minutes » était en train de filmer le bâtiment depuis la voie publique quand les fondamentalistes lui sont tombés dessus. Considérés comme « les témoins de Jéhovah de l'islam », les membres du Tabligh sont chargés de recruter des musulmans pour les ramener dans le droit chemin de l'islam.

« Ils contribuent à détériorer l'image de l'Islam » « Ils sont non-violents et ne s'occupent pas de politique. Mais une chose est sûre : ils détestent les journalistes. Ce qu'ils ont fait jeudi après-midi est lamentable. Ils contribuent à détériorer l'image de l'islam », soupire un imam qui a tenu à garder l'anonymat. La branche Foi et Pratique jouit, en outre, d'une réputation sulfureuse. Mohamed Hammamia a déjà été condamné à trois ans de prison en Tunisie. Toutefois, plusieurs des membres de Foi et Pratique, dont deux des fils de l'imam, siègent au Conseil français du culte musulman ou dans ses instances régionales.

 

 

GRISY-SUISNES, CHATEAU DE VILLE-MAIN, HIER MATIN. C'est devant ces grilles qu'un imam intégriste accompagné de membres de son mouvement a passé à tabac trois journalistes d'investigation de Canal +. (LP/DENIS COURTINE.)

 

 

Denis Courtine

Le Parisien , samedi 13 mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Invité §Zir680wn

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Le «parrain» de la banlieue Est en cavale

 

Marc Hornec, considéré comme l'une des figures du milieu parisien, est très discrètement recherché par plusieurs services de police depuis août dernier. En février 2002, la remise en liberté de cet homme redouté avait fait scandale.

 

 

 

L'un des plus vieux ennemis des policiers français est en cavale depuis plusieurs mois. Le 14 août 2003, Marc Hornec, 37 ans, a été officiellement inscrit au Fichier des personnes recherchées (FPR), en vertu d'un mandat d'arrêt délivré le même jour par un juge grenoblois. Depuis, cet homme redouté, que les spécialistes de la lutte contre le grand banditisme considèrent comme l'un des « parrains » du milieu parisien, est introuvable.Une situation embarrassante, soigneusement dissimulée jusqu'à aujourd'hui.

 

Règlements de comptes et braquages sanglants

 

En février 2002, Marc Hornec s'était retrouvé au centre d'un violent affrontement entre juges et policiers. Mis en examen et incarcéré deux mois plus tôt dans le cadre d'une enquête sur le braquage d'un agent de change parisien, il avait été remis en liberté sous contrôle judiciaire par un magistrat qui avait estimé qu'il présentait « toutes les garanties de représentation nécessaires ». A l'époque, le Snop (Syndicat national des officiers de police) s'était insurgé contre cette décision. « Vu le palmarès de ce délinquant, sa libération est un véritable scandale, s'était alors emporté l'un des responsables du syndicat, Dominique Achispon. Marc Hornec est un homme insaisissable. Cette décision, prise sans connaître les tenants et aboutissants du dossier, ne tient pas compte du gros travail qui a été effectué par les policiers. »

 

Depuis le début des années 1990, Marc Hornec figure en tête des objectifs des policiers en charge du grand banditisme. Originaire de Montreuil-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), ce Gitan sédentarisé est soupçonné d'avoir, avec ses deux frères, Mario et Jean-Claude, pris le contrôle de la pègre de l'Est parisien à coups de règlements de comptes et de braquages sanglants. En dépit de leur réputation grandissante, les Hornec n'ont jamais pu être inquiétés par la justice, expliquant leurs importants revenus par leurs activités de « forains ». Interpellé pour la première fois en 1996 à Disneyland Paris par la brigade des stupéfiants, Marc Hornec a été finalement relâché, en l'absence de preuves matérielles. Cette baraka ne l'a jamais quitté et le clan a toujours défendu becs et ongles son innocence.

 

Sa présence signalée sur la Côte d'Azur, à Courchevel ou à Paris

 

En 2002, pourtant, la police et la gendarmerie ont lancé une grande offensive contre la famille. Après la remise en liberté de Marc, Jean-Claude est arrêté en octobre, lors du démantèlement d'une équipe impliquée dans 200 « vols par ruse » commis aux dépens de personnes âgées, dans le nord-ouest de la France. D'autres membres du « gang de Montreuil » sont envoyés derrière les barreaux pour des affaires de saucissonnage. Marc, lui, semble à l'abri de ces remous. Il se fait hospitaliser dans une clinique de la région de Marseille et obtient que son contrôle judiciaire soit allégé « pour raisons médicales ». « Il a eu de gros problèmes de santé et a dû être hospitalisé en soins intensifs pendant un an », affirme l'un de ses proches.

 

Au printemps 2003, un juge grenoblois, Luc Fontaine, découvre l'implication présumée de Marc Hornec dans une agression à main armée commise dans la nuit du 9 au 10 décembre 2002 à Bivers, dans l'Isère. Un commando de sept ou huit hommes s'était introduit au domicile d'un couple, avait menotté les occupants des lieux et était reparti en emportant des bijoux et des diamants pour une valeur de 400 000 F (60 000 €). Les gendarmes de la section de recherches de Grenoble tentent alors de retrouver Hornec, plaçant sous surveillance ses trois propriétés, dans le Val-de-Marne et sur la Côte d'Azur. L'homme reste introuvable, et le 14 août, Luc Fontaine délivre contre lui et sa compagne, Lydia C., 36 ans, un mandat d'arrêt.

 

Depuis, plusieurs services d'enquêtes tentent de retrouver sa trace. Des « tuyaux » l'ont signalé à Nice, à Menton ou dans des boîtes de nuit parisiennes. Des photos retrouvées lors d'une perquisition le montrent dans un grand hôtel de Courchevel, en Savoie, probablement au mois de décembre dernier. Mais le « forain » de Montreuil reste fidèle à sa réputation : insaisissable.

 

Le Parisien 17 Février 2004

 

Arrestation de Marc Hornec, "parrain présumé du milieu parisien"

 

PARIS (Reuters) - Marc Hornec, considéré par la police comme le "parrain présumé du milieu parisien", a été arrêté samedi matin près de Paris par le GIGN, a annoncé la Direction générale de la gendarmerie nationale.

 

L'homme, fiché au grand banditisme, a été interpellé par le Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale à 06h10 dans un hôtel de Roissy-en-France (Val-d'Oise), précise la DGPN dans un communiqué.

 

L'arrestation de Marc Hornec, impliqué dans plusieurs affaires de grand banditisme et qui faisait l'objet de deux mandats d'arrêt depuis l'été 2003, intervient dans le cadre d'une enquête ouverte en octobre 2003 par la section de recherche de la gendarmerie de Versailles pour des faits de "vol en bande organisée avec séquestration de personnes" à Marine (Val-d'Oise).

 

Marc Hornec, âgé d'une trentaine d'années, avait été début 2002 au coeur d'une controverse entre magistrats et policiers à Paris.

 

Les syndicats de police avaient alors dénoncé la décision d'un juge des libertés et de la détention, confirmée par la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris, de remettre en liberté Marc Hornec à la suite de son arrestation en décembre 2001 pour un vol à main armé de lingots d'or le 11 juin 1999 chez un agent de change parisien.

 

Yahoo 13 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Un Allemand voit disparaître 11.000 euros dans les WC d'un train

 

 

AMSTERDAM (Reuters) - Un voyageur allemand parti acheter une voiture aux Pays-Bas a malencontreusement laisser glisser de sa poche 11.000 euros dans les toilettes du train, a rapporté samedi la police néerlandaise.

 

L'homme, âgé de 38 ans, a alerté la police des chemins de fer et le train suivant s'est arrêté pour permettre au contrôleur de récupérer les billets.

 

Mais il n'a retrouvé que 4.000 euros. "Plusieurs passagers ont aidé le contrôleur lorsque le train s'est arrêté, mais ils ont 'oublié' de rendre l'argent et une partie s'est probablement envolée", a expliqué Peter van Raaij, porte-parole de la police.

 

Yahoo 13 Mars 2004

 

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Invité §che063dK

Un Allemand voit disparaître 11.000 euros dans les WC d'un train

 

 

AMSTERDAM (Reuters) - Un voyageur allemand parti acheter une voiture aux Pays-Bas a malencontreusement laisser glisser de sa poche 11.000 euros dans les toilettes du train, a rapporté samedi la police néerlandaise.

 

L'homme, âgé de 38 ans, a alerté la police des chemins de fer et le train suivant s'est arrêté pour permettre au contrôleur de récupérer les billets.

 

Mais il n'a retrouvé que 4.000 euros. "Plusieurs passagers ont aidé le contrôleur lorsque le train s'est arrêté, mais ils ont 'oublié' de rendre l'argent et une partie s'est probablement envolée", a expliqué Peter van Raaij, porte-parole de la police.

 

Yahoo 13 Mars 2004

:ptdr:

11000€ dans sa poche. :p

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Invité §Zir680wn

Trois femmes vietnamiennes mises aux enchères en ligne sur eBay

 

 

SAN FRANCISCO (Reuters) - eBay a annoncé qu'il avait retiré de son site internet la mise aux enchères de trois jeunes femmes vietnamiennes et qu'il signalerait le vendeur aux autorités locales.

 

L'offre précisait que les femmes n'étaient livrables qu'à Taiwan.

 

Selon le département d'Etat américain, Taiwan est une plaque tournante de trafic d'êtres humains destinés à une exploitation sexuelle ou à des travaux forcés. Les victimes sont souvent envoyées en Chine, en Thaïlande, au Cambodge, au Vietnam, en Indonésie et aux Philippines.

 

Yahoo 13 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Cinq heures de huis clos pervers à Enghien

 

 

 

Blessé de deux balles vendredi après-midi, un homme de 52 ans se trouvait toujours hier dans un état critique à l'hôpital Beaujon, dans les Hauts-de-Seine. Le tireur présumé sera lui déféré aujourd'hui au parquet de Pontoise, deux jours après un huis clos pervers et ultraviolent. Les policiers de la Sûreté départementale ont pu retracer les circonstances de ce drame conjugal qui a duré plus de cinq heures.

 

Didier, le mari trompé, avait réuni dès 9 heures sa femme et son amant pour avoir une explication. Muni d'un 6.35, il avait exigé que les amants aient une relation sexuelle devant lui puis avait menacé de les mutiler à coups de cutter. La terreur a pris fin lorsque Olivier, 38 ans, parvenant à se défaire de ses liens, s'est jeté sur le mari. Au cours de la bagarre, deux coups de feu sont partis. Très choquée, l'épouse a été hospitalisée.

 

Le Parisien 14 Mars 2004

 

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Invité §chr408md

Au moins 7 morts dans une double attaque-suicide à Ashdod

 

JERUSALEM, 14 mars (AFP) - Sept personnes ont été tuées dimanche dans une explosion survenue dans le port israélien d'Ashdod, sur la côte méditerranéenne sud d'Israël, qui pourrait être due à une double attaque suicide, ont rapporté les radios militaire et publique israéliennes.

 

La télévision publique fait état de son côté d'une double explosion, l'une à l'entrée du port, l'autre dans l'enceinte du port, aux abords d'un bâtiment, et d'un incendie qui s'est ensuivi.

 

"Il semble certain à 100% qu'il s'agit d'une double attaque suicide", selon une source policière.

 

"Nous avons sept Israéliens tués, en plus de deux autres corps", a ajouté cette source.

 

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Invité §Zir680wn

Une Américaine de 96 ans poursuivie pour trafic de stupéfiants

 

 

KINGS MOUNTAIN, Caroline du Nord (AP) - Une Américaine de 96 ans poursuivie pour trafic de stupéfiants a déclaré ignorer comment le crack retrouvé chez elle a pu atterrir dans sa chaise roulante.

 

Selon le bureau du sheriff local, à Kings Mountain (Caroline du Nord, sur la côte est des Etats-Unis), Julia Roberts -homonyme de l'actrice- a été inculpée pour possession de ce dérivé de la cocaïne en vue d'une revente. Elle a été laissé en liberté en attendant une audition le 30 mars.

 

"Je n'ai jamais vu (les drogues) de ma vie", a-t-elle assuré au quotidien The Charlotte Observer samedi. "Je ne sais pas comment elles ont pu arriver là". Selon le texte du mandat de perquisition, c'est la troisième fois que les hommes du sheriff du Comté de Cleveland ont retrouvé du crack dans le mobile home que Mme Roberts partage avec l'un de ses fils.

 

Harold Roberts, 61 ans, a été inculpé pour recel d'objets volés, tandis que son frère James Roberts, 58 ans, qui vit non loin de là, est poursuivi pour détention d'alcool de contrebande. Un voisin est également dans le collimateur de la justice pour vol. On reproche à Julia Roberts et aux trois hommes d'avoir échangé du crack pour des objets volés, principalement des armes et bijoux, selon Bobby Steen du bureau du sheriff.

 

Lors d'une précédente perquisition, selon un indicateur cité par les policiers, Julia Roberts aurait dissimulé de la drogue dans une prothèse. La nonagénaire souligne qu'elle a mis son fils à la porte de la maison. AP

 

Yahoo 14 Mars 2004

 

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Invité §le 816mY

a déclaré ignorer comment le crack retrouvé chez elle a pu atterrir dans sa chaise roulante.

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Invité §Zir680wn

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Son fils déscolarisé, elle porte plainte contre l'Etat

 

 

«Je me battrai tant que je n'obtiendrai pas réparation pour mon fils. »

 

Quatre ans après les faits, Zora n'a rien perdu de sa pugnacité. Cette mère de famille, habitant Arcueil, n'accepte pas qu'Ali * ait été privé de collège pendant près d'un an.

 

Elle a porté plainte contre l'Etat et vient de « plaider » devant le tribunal administratif de Melun (Seine-et-Marne) une demande d'indemnisation de 9 166 €. Cette maman reproche au ministère de l'Education nationale de n'avoir pas respecté son devoir légal de scolarisation. Une mission qui assure à tout enfant, français ou étranger, le droit à l'enseignement jusqu'à ses 16 ans.

 

Exclu en mars 2000 du collège Dulcie-September à cause de son comportement violent, Ali, alors âgé d'à peine 12 ans, n'a de nouveau été accepté dans un établissement scolaire qu'un an plus tard. Ce qui, selon sa mère, lui aurait été préjudiciable. « Il ne s'est jamais remis de cette interruption. Son retour s'est très mal passé et, à 16 ans et demi aujourd'hui, il végète à la maison », se plaint Zora.

 

« Une première judiciaire » Déjà marqué après un placement dans un centre de rééducation psychologique durant trois ans alors que sa mère se remettait d'un cancer, l'enfant, qui affichait de bons résultats en classe, s'était rapidement montré très indiscipliné. C'est ce qui a conduit à son exclusion définitive. Alors que son fils est privé de cours depuis sept semaines et que l'année scolaire s'achève, sa mère obtient enfin un rendez-vous avec l'inspection académique du Val-de-Marne qui lui promet une transmission du dossier à la commission départementale des établissements spécialisés (CDES). D'accord sur le principe d'un tel placement, elle s'installe avec lui en Lozère (48), lieu où demeure le père avec qui elle est séparée. Bien que le déménagement soit signalé à la CDES, le dossier n'est pas transmis dans les temps et l'établissement ne peut accueillir l'enfant. Inquiète de ne pouvoir le scolariser à nouveau, Zora revient alors dans le Val-de-Marne. Après plusieurs semaines d'attente, l'enfant ne retournera enfin dans un collège qu'en février 2001.

 

Selon l'avocat qui a défendu son dossier, « 70 000 enfants, en France, se trouveraient ainsi déscolarisés. Mais c'est la première fois qu'une mère intente une action contre l'Etat. Beaucoup de parents, d'origine étrangère et souvent illettrés, n'ont pas les moyens d'entreprendre une procédure parce qu'ils culpabilisent ». Après avoir rappelé les devoirs de l'Etat, le commissaire du gouvernement a réfuté tous les arguments de l'avocat, expliquant au contraire que toutes les mesures avaient été prises pour accueillir l'enfant en classe. Le jugement du tribunal administratif a été mis en délibéré au 6 avril prochain.

 

Le Parisien 16 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Renault à nouveau attaqué pour discrimination raciale

 

 

Après la procédure lancée par six ouvriers spécialisés au début du mois, un cadre attaque maintenant le constructeur automobile Renault pour discrimination raciale. Hier après-midi, Laurent Gabaroum, 54 ans, soutenu par la CGT, a porté son dossier devant le conseil des prud'hommes de Paris. Il souhaite faire valoir son droit à un poste de travail et à l'égalité de traitement en matière d'évolution de carrière et de rémunération.

 

Ce Français d'origine tchadienne est entré chez Renault en 1975. Encore étudiant, il est alors gardien de nuit. « Durant mes études, Renault me proposait toujours un stage ouvrier mais jamais de stage cadre, ajoute-t-il. On m'a fait comprendre que si un Noir entrait dans l'encadrement, ce serait un véritable tremblement de terre. »

 

Avec un niveau bac + 7 en poche et après un parcours du combattant, il obtient le statut de cadre en 1985. « J'ai été placé d'office au service du personnel non affecté, souligne-t-il. » Dès 1986, il observe une grève de la faim de deux semaines pour dénoncer le racisme dont il estime faire l'objet de la part de Renault. En 1996, il écrit au PDG Louis Schweitzer pour demander un audit interne sur la condition des cadres de couleur. « Les problèmes que vous évoquez sont des questions de société qui dépassent le cadre de notre entreprise », lui répond alors la direction. Après des brefs passages aux services de la paye et de la communication, il se présente aujourd'hui comme « chargé de mission sans mission » à la direction des ventes spéciales exportation. « Depuis 1998, je n'ai rien à faire et je n'ai aucune chance d'être évalué, poursuit Laurent Gabaroum. Je ne demande pas une discrimination positive mais une égalité de traitement. Les autres cadres m'évitent, je suis doublement isolé. » D'après ses calculs, son salaire annuel, plafonné à 47 000 €, devrait approcher 60 000 €.

 

La direction se refuse à tout commentaire Affirmant qu'elle n'avait eu que quatre jours pour préparer sa défense, la direction de Renault a obtenu des prud'hommes le renvoi de l'affaire au 22 juin. Au début du mois, six ouvriers spécialisés avaient déjà porté une affaire collective de discrimination raciale chez Renault. Un expert doit être nommé pour analyser le plan de carrière des demandeurs et le comparer avec celui d'autres salariés de la même époque. Tant que la procédure est en cours, la direction de Renault se refuse à tout commentaire sur le fond de l'affaire.

 

Le Parisien 16 Mars 2004

 

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Invité §sup185KV

C'est bien ce que je disais,une partie très selective des faits divers.

Bien sûr ,on attend de ta part les attendus du jugement le 6 avril.

S'ils sont favorables à ALi,bien sûr.

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Invité §Zir680wn

C'est bien ce que je disais,une partie très selective des faits divers.

Bien sûr ,on attend de ta part les attendus du jugement le 6 avril.

S'ils sont favorables à ALi,bien sûr.

 

Mais mon garçon,je poste ce qu'il me plaît de poster,ce topic est ouvert à tous et rien ne t'empêche d'y faire figurer ce qu'il te plaît,nous sommes en démocratie comme tu le sais :jap:

 

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Invité §sup185KV

Mais mon garçon,je poste ce qu'il me plaît de poster,ce topic est ouvert à tous et rien ne t'empêche d'y faire figurer ce qu'il te plaît,nous sommes en démocratie comme tu le sais :jap:

Je préfère quand même souligner ta façon de faire,au cas où certains lecteurs de laisseraient abuser par ta subversion.

 

 

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Invité §Zir680wn

Je préfère quand même souligner ta façon de faire,au cas où certains lecteurs de laisseraient abuser par ta subversion.

 

Vous êtes tous frappés ma parole,c'est un topic sur les faits divers,j'en choisis que j'estime sortir du lot,maintenant il faut arrêter de voir de la politique à tous les étages :lol: :lol: :lol:

 

 

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Invité §Zir680wn

La grève de la faim d'un facteur pas comme les autres

 

 

C'est un facteur dont la bicyclette a été remisée. Il passe ses journées allongé sur son lit, la tête couverte par une serviette, posé sur un oreiller imprimé du Lotus Bleu, un album de Tintin. De temps en temps sort de sa bouche un filet de parole. Depuis trente-deux jours, Christian Béchet, 53 ans, fait la grève de la faim à Nuaillé-d'Aunis (Charente-Maritime). Il semble épuisé. Il boit l'eau chargée de glucose que lui apporte sa femme Nathalia toutes les demi-heures. Dans l'appartement du postier, les rideaux sont tirés.

 

Béchet est en grève de la faim depuis sa convocation à un conseil de discipline. Sa direction lui reproche des grossièretés à l'égard des usagers, des ouvertures du bureau en retard et des fautes professionnelles : avoir distribué des recommandés sans prendre les signatures. Résultat : une mutation au centre de tri de La Rochelle, à dix-huit kilomètres de là. A trois ans de la retraite, il perdrait son appartement de fonction.

 

Porte-bagages. A Nuaillé, l'affaire a démarré par une pétition très «corbeau». Sans signatures lisibles ­ une douzaine de personnes ­ elle «signale» à la direction départementale divers incidents «survenus» aux habitants à cause de «Monsieur le Facteur». Distribution du courrier aléatoire ­ «quand il ne pleut pas» ­, omniprésence de son fils ­ «qui le suit à vélo» ou «assis sur le porte-bagages les pieds dans les sacoches remplies de courrier» ou, encore, qui «joue très régulièrement dans l'entrée du bureau de poste». «Monsieur le Facteur» imite «le chien» dans les rues de la commune en marchant à «quatre pattes».

 

L'histoire se décline en multiples versions. Certains assurent qu'il n'a «jamais porté l'uniforme», d'autres qu'il «trimbalait sa perruche» ou «reprisait ses chaussettes» dans le bureau. Il a aussi distribué le courrier en short et bandana en pleine canicule. Mais quand on les interroge, nombre d'habitants lâchent : «Je n'ai rien à lui reprocher.»

 

«Monsieur le Facteur» a répondu par écrit : «Je n'ai jamais omis quelque distribution de courrier. Je suis fier d'avoir assuré des jours de verglas ou de neige, ayant l'âme des challenges et la fibre du respect d'autrui.»

 

Il reconnaît quelques problèmes personnels avec les usagers, les retards d'ouverture pour «déjeuner et prendre une douche après sa tournée». Mais, pour le reste, il conteste. Une pétition pour son maintien a reçu cinquante signatures. Dont celle de Colette, qui précise : «Il m'a souvent reçue après les heures d'ouverture. Il a rendu maints services à bon nombre de gens.»

 

«Faut être cool». Les pétitions n'en parlent pas, mais le facteur a beaucoup donné aux autres : cours par correspondance à des prisonniers, livres sur cassettes pour aveugles. Il a organisé la collecte du dernier Téléthon ­ ce que La Poste lui a retiré in extremis ­, s'est occupé du club de basket pour les 16-18 ans. Actif, mais marginal, à Nuaillé. Il a une grande gueule. Il l'ouvre souvent. «Très sympathique d'abord, il prend ses aises pour ne pas effectuer sa mission», dit le maire, Jean Parfait. Qui rajoute : «Il répondait toujours "faut être cool". Vous en connaissez beaucoup de facteurs qui vendent le calendrier accompagné de leur smala ?» Il vit avec une Ukrainienne. Son fils, à 6 ans, ne va pas à l'école.

 

Le maire dit que tous les «notables» du village allaient chercher leur courrier ailleurs. La pharmacienne aussi ? : «Je ne peux pas vous répondre. On est tenu par le secret professionnel.» «Monsieur le Facteur» n'était pas commode non plus avec La Poste ? «Il dit les choses à sa hiérarchie, cela ne plaît pas», raconte Colette. Il a refusé, selon la CGT, de partir, voilà deux ans, quand le bureau était sur la liste de ceux qui doivent disparaître.

 

En février, La Poste a appelé le médecin du facteur pour évoquer son internement psychiatrique «sans son consentement». Mardi, le directeur des ressources humaines est venu l'avertir : «Monsieur Béchet ! La grève de la faim, c'est du suicide.» «Monsieur le Facteur» a tiré la couverture sur sa tête. Le maire est bien «emmerdé». Et les habitants l'ont mauvaise. En dénonçant leur postier, ils ont accéléré le mouvement. La poste de Nuaillé va fermer, définitivement, à la fin du mois. Sur le fronton du bureau, une grande banderole mal accrochée annonce en noir : «Le postier crève, non à l'injustice !» Une vieille dame passe devant. Elle dit : «Il a quand même une femme et un enfant. Il va pas aller jusqu'au bout !»

 

Libération 15 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

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Un soldat afghan arrêté pour relations sexuelles avec un âne

 

 

GARDEZ (AFP) - Un soldat afghan a été arrêté et détenu pendant quatre jours par la police après avoir été surpris en train d'avoir des relations sexuelles avec un âne dans un petit village de la province de Paktia, dans le sud-est de l'Afghanistan.

 

En garnison dans la province voisine de Paktika, le soldat s'était rendu dans un village proche de Gardez (100 km au sud de Kaboul) pour suivre une formation de la police, ont indiqué des témoins. Caché dans une maison en ruine, l'homme s'est accouplé à un âne appartenant à un paysan du village. Le soldat a été surpris dans ses ébats par un jeune garçon qui a immédiatement prévenu la police.

 

Pris sur le fait, le soldat a justifié son acte en disant être célibataire et n'avoir pas assez d'argent pour se marier. Il a été détenu pendant quatre jours puis libéré sans condamnation.

 

Yahoo 16 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Des souris dans la cuisine du Billy Bob's

 

 

 

Le restaurant Planet Hollywood n'est pas le seul à connaître quelques soucis. Vendredi, des souris ont été repérées dans une des cuisines du restaurant du Billy Bob's, toujours dans le Disney Village. Résultat : des employés de ce restaurant tex-mex ont dû détruire le contenu des réfrigérateurs de cette cuisine qui prépare 200 repas par jour en moyenne.

 

Hier, la direction de Disneyland confirmait la présence du rongeur, et assurait que « tous les contenus des réfrigérateurs ont été détruits ». Selon la direction, la cuisine n'est plus utilisée depuis. « Toute la préparation des plats est faite désormais dans une cuisine du Wild West Show, assure un porte-parole du parc. Et le département spécialisé est passé trois fois depuis ce week-end pour désinfecter l'ensemble des locaux. Les services de maintenance ont aussi bouché un petit trou dans le mur. Nous attendons désormais le feu vert de nos services d'hygiène pour remettre cette cuisine en service. »

 

Le Parisien 17 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

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Le restaurant des stars épinglé par l'hygiène

 

 

 

Mauvaise passe pour le Planet Hollywood du Disney Village.

 

L'enseigne seine-et-marnaise de la chaîne internationale de « restaurants de stars », créée à l'origine par des acteurs hollywoodiens comme Stallone ou Schwarzenegger, a vu débarquer le service hygiène alimentaire de la Direction départementale des services vétérinaires (DDSV) le 2 mars. Les agents ont relevé dans le restaurant une série de problèmes d'hygiène et ont aussitôt mis en demeure la direction de se mettre en conformité sous quinze jours.

 

En tout, le rapport du service hygiène alimentaire de la DSSV cible une quinzaine de points, certains anodins, d'autres plus inquiétants. Des essuie-mains usagés laissés sur un plan de travail, un problème de nettoyage des sols et de certains matériels, des feuilles de traçabilité de la chaîne du froid absentes ce jour-là, des bacs de viande destinée à la clientèle stockés dans un endroit condamné et non réfrigéré, des dizaines de kilos de pâtes refroidies à l'eau du robinet...

 

Une première mise en demeure des services vétérinaires en 2002 L'avertissement est sérieux. D'autant plus que le Planet Hollywood avait déjà fait l'objet d'une mise en demeure des mêmes services, après une visite en plein mois d'août 2002. Le rapport de l'époque notait, parmi la quinzaine d'observations faites à l'entreprise, un « problème de rupture de la chaîne du froid dans le congélateur », la « décongélation dans l'eau chaude de produits sous-vide » ou « le stockage de matériel après nettoyage sans protection dans un couloir » ou encore « la non-conservation des étiquetages sur certaines matières premières ».

 

Bref, autant de points plutôt inquiétants pour un établissement employant près de 150 personnes et servant quotidiennement de 1 200 à 2 800 repas. Le directeur du restaurant, Luke Le Heup, confirme ce contrôle mais assure que tout est désormais revenu à la normale. « Il y a effectivement un certain nombre de points qui ont été notés, dont certains sont inadmissibles, admet-il. J'ai organisé immédiatement une réunion avec tous les chefs de cuisine pour remettre les choses au point, pour qu'ils comprennent la nécessité d'être vigilants en permanence. » Pour lui, la plupart de ces problèmes ne sont pas récurrents, mais la photo catastrophique d'une « mauvaise journée ». « Pour certains points comme l'histoire du refroidissement des pâtes, c'est en effet complètement anormal, j'ai racheté une cellule de refroidissement. Et pour cette histoire de viande entreposée dans un frigo condamné, je ne l'explique pas, mais nous avons mis en place des check-lists de contrôle systématique matin, midi et soir. Et nous avons investi dans de nouveaux matériels pour régler d'autres points. »

 

Le Parisien 17 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

La sortie à Paris avait viré au cauchemar

 

 

Pour Sabrina, une adolescente de 16 ans domiciliée en Allemagne, le voyage scolaire organisé en France au mois de mars 1995 ne devait être qu'un banal séjour linguistique.

 

Mais tout a basculé lorsque l'adolescente, hébergée dans une famille de Savigny-sur-Orge, s'est perdue au cours d'une sortie à Paris et s'est retrouvée prisonnière d'un homme qui aurait abusé d'elle à plusieurs reprises. Neuf ans après le drame, son agresseur présumé comparaît aujourd'hui et demain devant la cour d'assises de l'Essonne à Evry.

 

Agé de 32 ans, Robert, qui avait avoué les faits, puis s'était rétracté au cours de l'instruction, avait déjà été jugé pour cette affaire en février 2000. Absent, il avait été condamné par contumace à douze ans d'emprisonnement. Cette fois, interpellé et écroué à Fleury-Mérogis depuis juillet dernier, il sera bel et bien présent au tribunal d'Evry.

 

Séquestrée par son agresseur Son défenseur, M e Lambert, souligne que son client a multiplié les séjours en hôpital psychiatrique après sa détention provisoire. En revanche, Sabrina, traumatisée, ne sera sûrement pas là. Le calvaire qu'elle a décrit aux enquêteurs a duré pas moins de quarante-huit heures.

 

Tout commence le 28 mars 1995. La jeune fille quitte sa famille d'accueil pour participer avec une trentaine d'autres collégiens à une sortie au Théâtre du Gymnase à Paris. Au retour, la bande, encadrée par des professeurs, prend le métro pour regagner Savigny. A la station Strasbourg-Saint-Denis, Sabrina perd le contact avec le groupe. C'est là que Robert l'aborde. Prétextant la raccompagner, l'homme, domicilié à Maulne (Yvelines), la ramène chez lui où il se serait livré à divers attouchements. Séquestrée dans l'appartement, la jeune fille passe une seconde nuit chez Robert qui l'aurait alors violée à plusieurs reprises. Le 30 mars au soir, l'accusé se décide enfin à ramener Sabrina à Savigny. Il sera interpellé peu après. Le verdict est attendu demain.

 

Le Parisien 17 Mars 2004

 

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Invité §Zir680wn

Le patron du bar-PMU doit payer le ticket « volé »

 

 

 

André Seban n'est pas près d'oublier les 6 ème et 7 ème courses du PMU du 1 e r mars dernier. Pas parce qu'il a touché le gros lot, mais au contraire parce que ces deux courses lui coûteront la bagatelle de 5 925 €. Le prix d'un ticket validé à son insu dans le bar du quartier de la Levrière, qu'il dirige, et dont la société du Pari mutuel urbain a exigé le remboursement.

 

« L'arnaque a eu lieu à 14 h 39'37'' », explique le patron du bar en exhibant les relevés de sa machine de transmission des paris. « Quelqu'un a réussi à allumer la machine qui se trouve au bout du bar et à valider un ticket à 5 925 € avant de disparaître », détaille le cafetier, qui reconnaît ne pas très bien comprendre comment le ou les arnaqueurs s'y sont pris.

 

« Vital pour mon bar » Les machines d'enregistrement des paris sont en effet sécurisées par un code à quatre chiffres. Il faut même le taper deux fois lorsque le seuil d'alerte (NDLR : les paris supérieur à 1 500 €) est dépassé. « Comment le malfaiteur a-t-il pu composer ce code, en principe seulement connu de moi et de mes quatre employés ? Comment a-t-il pu utiliser la machine - complexe pour un non-initié - sans être vu par un des trois serveurs présents ? » s'interroge André Seban.

 

Toujours est-il que quand la serveuse découvre l'enregistrement frauduleux vingt minutes après les faits, le ticket est déjà validé. Le patron du bar alerte immédiatement le service d'assistance du PMU. « Le ticket non payé portait sur des courses qui devaient se courir deux heures plus tard. Le service du PMU m'a indiqué qu'il bloquait le ticket. Il n'y a donc pas eu de préjudice », insiste André Seban, qui a tout de même porté plainte au commissariat de Créteil dans la foulée.

 

L'affaire pourrait en rester là, mais le lendemain de « l'arnaque » le patron du bar reçoit la visite d'un vérificateur de caisse du PMU, qui constate (logiquement) une différence entre les montants validés et l'argent encaissé... Et le surlendemain la connexion PMU du café est interrompue. Motif : l'application stricte de l'article 9.1 du contrat des points de vente. « Le bénéficiaire reste personnellement responsable des fonds correspondants aux paris validés dans son établissement. Il s'engage à les restituer à première demande », stipule ce contrat. « J'ai signalé l'arnaque deux heures avant la course concernée ; je suis de bonne foi et il n'y a eu aucun préjudice financier pour le PMU. Mais ça ne suffit pas. Il a fallu que je rembourse le PMU pour qu'il me rétablisse le service... samedi dernier, après dix jours d'interruption », s'indigne le patron de bar. « C'est dégueulasse. Mais je n'avais pas le choix. Je suis dans un quartier très difficile. Le PMU, c'est vital pour mon bar. Sans lui, je peux mettre la clé sous la porte. Alors j'ai emprunté et j'ai payé à la place du parieur malhonnête », conclut le cafetier avec amertume.

 

 

Le Parisien 17 Mars 2004

 

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Invité §sup185KV

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Un soldat afghan arrêté pour relations sexuelles avec un âne

 

 

GARDEZ (AFP) - Un soldat afghan a été arrêté et détenu pendant quatre jours par la police après avoir été surpris en train d'avoir des relations sexuelles avec un âne dans un petit village de la province de Paktia, dans le sud-est de l'Afghanistan.

 

En garnison dans la province voisine de Paktika, le soldat s'était rendu dans un village proche de Gardez (100 km au sud de Kaboul) pour suivre une formation de la police, ont indiqué des témoins. Caché dans une maison en ruine, l'homme s'est accouplé à un âne appartenant à un paysan du village. Le soldat a été surpris dans ses ébats par un jeune garçon qui a immédiatement prévenu la police.

 

Pris sur le fait, le soldat a justifié son acte en disant être célibataire et n'avoir pas assez d'argent pour se marier. Il a été détenu pendant quatre jours puis libéré sans condamnation.

 

Yahoo 16 Mars 2004

Il s'appelait pas Ali boron?

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Invité §Zir680wn

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A 64 ans, un Saoudien épouse une fillette de 13 ans pour son 58e mariage

 

 

RYAD (AFP) - Un Saoudien de 64 ans vient de prendre pour épouse une fillette de 13 ans pour son 58e mariage et il indique vouloir épouser encore deux femmes pour boucler sa marche nuptiale.

 

Saleh Al-Saïari, un berger devenu homme d'affaires, a expliqué au journal Asharq Al-Awsat qu'il s'apprêtait à "faire son habituel tirage au sort" pour éliminer l'une des quatre épouses qu'il garde, l'islam n'autorisant pas les hommes à avoir plus de quatre épouses en même temps.

 

La fillette de 13 ans, avec laquelle il a convolé il y a juste un mois, figure parmi ces quatre femmes, dont l'une doit céder la place à sa future élue. "J'entend boucler (ma vie conjugale) par un 60e mariage", dit-il en rappelant qu'il s'était marié pour la première fois à l'âge de 14 ans.

 

Il affirme être en "très bonne santé" après ses 58 mariages dont il a eu 36 enfants, notant qu'il s'était marié à "des universitaires et des illettrées". Mais "les épouses modernes sont meilleures parce qu'elles sont éduquées".

 

La polygamie est en vigueur dans les monarchies conservatrices du Golfe, donnant lieu à des familles nombreuses. Aux Emirats arabes unis, un père de 63 enfants s'était marié l'an dernier pour la douzième fois, avec une femme de 18 ans, dans l'espoir, selon lui, de porter sa progéniture au nombre de 100 et entrer dans le Livre Guinness des records.

 

Yahoo 17 Mars 2004

 

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Invité §sup185KV

Il s'appelait pas Ali boron?

:up:

Combien pour le jeu de mot? :D

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Invité §Zir680wn

:up:

Combien pour le jeu de mot? :D

 

Excuse moi mais je n'ai rien vu :voyons:

 

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Invité §Zir680wn

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Un homme croit voir Ben Laden dans les rues de Montpellier et fonce sur lui

 

 

 

MONTPELLIER (AP) - Il avait cru reconnaître Oussama ben Laden et lui avait foncé dessus avec sa voiture. Un artisan montpelliérain de 35 ans a été condamné mardi à trois mois de prison avec sursis pour avoir tenté d'écraser un homme qu'il avait pris pour le chef du réseau terroriste Al-Qaïda, a-t-on appris mercredi auprès de son avocat, Me Mendel.

 

L'artisan, prénommé Pierre, a également été condamné à verser 500 euros à sa victime, avec obligation de soins. Il a été pris en charge immédiatement par un éducateur et par le juge d'application des peines.

 

Selon son avocat, Me Mendel, "c'est une excellente peine. Les juges ont reconnu, comme je l'avais demandé, l'altération des facultés mentales de mon client". Me Mendel a précisé que l'artisan "a vraiment été victime d'une vraie bouffée délirante. Mon client n'était pas bien depuis plus de 15 jours. Il a été traumatisé par ce qui s'est passé en Espagne. Ajoutons à cela les soucis qu'il connaît dans son entreprise et une grosse fatigue. Le tout s'est accumulé et explique la bouffée délirante dont il a été victime".

 

L'homme avait foncé lundi dans le centre-ville de Montpellier avec sa voiture sur un jeune homme d'une trentaine d'années, qu'il avait pris pour Ben Laden. La voiture s'est encastrée dans des escaliers et n'a pas heurtée la victime désignée, qui s'en tire donc avec une belle frayeur.

 

Me Mendel conclut sobrement: "ce n'était pas Ben Laden, sinon on aurait gagné cinq millions de dollars!". AP

 

Yahoo 17 mars 2004

 

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Un homme croit voir Ben Laden dans les rues de Montpellier et fonce sur lui

 

 

 

MONTPELLIER (AP) - Il avait cru reconnaître Oussama ben Laden et lui avait foncé dessus avec sa voiture. Un artisan montpelliérain de 35 ans a été condamné mardi à trois mois de prison avec sursis pour avoir tenté d'écraser un homme qu'il avait pris pour le chef du réseau terroriste Al-Qaïda, a-t-on appris mercredi auprès de son avocat, Me Mendel.

 

L'artisan, prénommé Pierre, a également été condamné à verser 500 euros à sa victime, avec obligation de soins. Il a été pris en charge immédiatement par un éducateur et par le juge d'application des peines.

 

Selon son avocat, Me Mendel, "c'est une excellente peine. Les juges ont reconnu, comme je l'avais demandé, l'altération des facultés mentales de mon client". Me Mendel a précisé que l'artisan "a vraiment été victime d'une vraie bouffée délirante. Mon client n'était pas bien depuis plus de 15 jours. Il a été traumatisé par ce qui s'est passé en Espagne. Ajoutons à cela les soucis qu'il connaît dans son entreprise et une grosse fatigue. Le tout s'est accumulé et explique la bouffée délirante dont il a été victime".

 

L'homme avait foncé lundi dans le centre-ville de Montpellier avec sa voiture sur un jeune homme d'une trentaine d'années, qu'il avait pris pour Ben Laden. La voiture s'est encastrée dans des escaliers et n'a pas heurtée la victime désignée, qui s'en tire donc avec une belle frayeur.

 

Me Mendel conclut sobrement: "ce n'était pas Ben Laden, sinon on aurait gagné cinq millions de dollars!". AP

 

Yahoo 17 mars 2004

 

:ptdr:

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Invité §Zir680wn

Les étudiantes faisaient des extras

 

 

Certaines étudiantes qui fréquentent l'université de la Source à Orléans avaient trouvé un bon filon pour financer leurs études. En décembre 2001, Annick et Tonio, 44 ans, créent un club de rencontres, le Loving. Ils recrutent des jeunes femmes intéressées pour accompagner des hommes esseulés.

 

Une bonne trentaine de filles vont se livrer à la prostitution en acceptant d'être mises à la disposition du client. Les affaires marchent bien et le couple reprend la gestion d'un établissement à Orléans : le Cristal. Le client débourse 260 € pour deux heures de bon temps avec une étudiante payée au pourcentage. Des soirées sont organisées pour des groupes. L'une d'elles réunira quelques chasseurs et coûtera 1 200 € à chacun des participants. Le couple qui a déclaré « ne jamais avoir été violent » a été condamné à un an de prison ferme

 

Le Parisien 18 Mars 2004

 

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