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Le Bistrot

[Topic Officiel] Free Mobile / Opérateurs Mobiles


Invité §Son171cr
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Messages recommandés

Passage chez SFR hier soir pour passer sur leur formule promotionnelle "carré 24/24", car je suis client internet + mobile.

 

Bilan des courses: pas possible! blague.gif.01d0fb2329c121a247c95bcdf92a0f8c.gif

 

Du coup récupération du N° IMEI de mon mobile, désimlockage et passage à la concurence qui a "tout compris" dans les prochaines semaines :p

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Invité §fra885EL

Passage chez SFR hier soir pour passer sur leur formule promotionnelle "carré 24/24", car je suis client internet + mobile.

 

Bilan des courses: pas possible! blague.gif.cdfaf0c25b2d37d13aff6238deaf14c7.gif

 

Du coup récupération du N° IMEI de mon mobile, désimlockage et passage à la concurence qui a "tout compris" dans les prochaines semaines :p

 

 

Les trous du culs...

 

Z'ont vraiment rien compris... http://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/franzy29.gif

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Passage chez SFR hier soir pour passer sur leur formule promotionnelle "carré 24/24", car je suis client internet + mobile.

 

Bilan des courses: pas possible! blague.gif.a62ee380f3703eba15db0392e547c5af.gif

 

Du coup récupération du N° IMEI de mon mobile, désimlockage et passage à la concurence qui a "tout compris" dans les prochaines semaines :p

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Free qui vient de m'appeler :

"Bonjour Monsieur, c'est pour mettre à jour vos coordonnées bancaires :D "

 

Quand je me suis inscrit, le serveur n'acceptait pas mon Rib alors qu'ils avaient récupéré le rib de la freebox.

 

J'ai donc, pour valider la commander, entré une clé rib bidon et j'ai reçu la carte sim quelques jours plus tard http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/ange.gif

 

Mais il m'a dit que c'était de leur faute, que leur serveur était HS.

 

En tout cas, très sympa au téléphone.

 

Ils vont maintenant pouvoir me facturer les 10€ d'envoi de carte sim :D

 

Après ça devrait aller, 0€ par mois :o sachant que c'est juste un téléphone d’appoint, car on a déjà chacun un tel pro oui.gif.044f28a65abe20b6c46a02804308dd39.gif

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Invité tetanos-46

je me tate encore. slash.gif.81a1326654a16f6bdebbc405423dae5e.gif

 

 

pourquoi ne pas transformer ce sujet en sondage?

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Invité tetanos-46

Par ce que c'est déjà un sondage, au hasard ?

 

C'est un sondage à priori. Moi je demande un sondage "à posteriori" 1469361278_maxou202000.gif.2c1a81ae60f3aee20a589626ba824b81.gif

 

en d'autre termes, un sondage pour sonder la vague moutonnière qui a ragit à cet énorme coup de com, ça m'interresse pas slash.gif.7849a331a81fd14fd05aaa29082b7a13.gif

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Invité §Set235Yk

Un article des Echos, juste pour réfléchir à tout cela ... et voir un peu plus loin !

 

> La folie Free, symbole d'une schizophrénie française

>

> Ils sont Free ? Ils n'ont pas tout compris... Plaisanterie mise à part, le million de Français qui, en un mois, ont déjà souscrit aux offres alléchantes du 4 e opérateur mobile ne se doutent pas toujours à quel point ils favorisent la délocalisation d'emplois et d'investissements, phénomène qu'ils déplorent par ailleurs. L'engouement spectaculaire pour Free Mobile est révélateur d'une schizophrénie, celle qui oppose, en nous, le consommateur et le producteur, l'agent économique et le citoyen. L'un est arrimé à son pouvoir d'achat, l'autre est attaché à l'emploi. L'un arbitre en faveur de produits et services importés moins chers, l'autre déplore que son pays offre si peu d'emplois nouveaux. Conflit d'intérêts légitimes duquel le consommateur sort presque toujours vainqueur... à court terme. Lorsque, après avoir fabriqué à moindres coûts ses monospaces Lodgy dans sa nouvelle usine de Tanger, Renault les proposera au marché européen, ils séduiront par leur prix attractif des milliers de clients français aujourd'hui sincèrement heurtés par cette localisation marocaine.

>

> « Il faut s'interroger sur le déferlement des modèles low cost », a calmement expliqué Stéphane Richard, PDG de France Télécom-Orange, lors de son audition récente par la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale. Orange, SFR, Bouygues Telecom : lorsqu'ils réagissent à l'offensive de Free Mobile, les opérateurs « historiques » méritent d'être écoutés autrement que comme des rentiers juste hostiles à l'arrivée d'un petit nouveau. Car ce qui est en jeu, ce n'est pas l'ouverture à la concurrence, a fortiori sur un marché aussi régulé n'ayant pas vocation à être libéralisé, c'est l'avenir d'un modèle économique qui permettait jusque-là un équilibre entre les objectifs d'emploi et de pouvoir d'achat.

>

> Employant 4.100 collaborateurs fin 2010 en France, Free s'est engagé, en contrepartie de sa licence, à y créer 1.500 postes, notamment dans 2 centres d'appels ouverts en région parisienne, à Colombes et Vitry, s'ajoutant à ceux déjà créés à Paris, Marseille et Bordeaux. Obtenus, en réalité, pour l'essentiel, par redéploiements internes, ces nouveaux postes ne changent pas la nature d'un paradigme reposant largement sur la délocalisation de la relation client, et la dématérialisation de la distribution - Free disposant d'à peine 3 boutiques. Ces emplois sont loin de pouvoir compenser les emplois voués à disparaître dans le secteur des télécoms. La riposte commerciale des autres opérateurs aux offres à bas prix de Free Mobile est d'ailleurs symptomatique. Sosh, Red, B&You : dans les trois cas, c'est sur Internet et non en boutique que les clients peuvent y souscrire. C'est logiquement sur le réseau de distribution que la pression est la plus forte.

>

> Dans ses 650 boutiques, Bouygues Telecom, le plus petit des trois grands, emploie directement 4.100 collaborateurs et constate, dans les seuls points exclusivement consacrés à la vente, une baisse de 20 % de la fréquentation depuis un mois. Mais il faut aussi compter avec les emplois indirects, ceux des réseaux indépendants. Et les opérateurs historiques ont déjà commencé à réduire le nombre de prestataires affectés à la vente et à la démonstration dans les grandes surfaces. Pour résister à la concurrence tarifaire, l'incitation devient forte, également, à délocaliser les centres d'appels - comme Free qui emploie déjà 1.720 personnes à l'étranger -, alors même que les grands opérateurs se sont efforcés, jusqu'ici, de limiter les solutions off shore - à 10 % des effectifs chez Orange, à 25 % chez SFR. Bouygues Telecom emploie au Maroc un millier de téléconseillers, sur un total de 2.500. En 2012, le groupe va transférer en Roumanie et en Pologne 250 emplois de techniciens.

>

> Avec des rentabilités aujourd'hui confortables (35 % de marge brute sur le mobile pour Orange) mais appelées à baisser, les opérateurs traditionnels vont inévitablement couper dans leurs budgets d'équipement et de fonctionnement, prévenait il y a quelques jours la Fédération française des télécoms. C'est déjà en cours.

>

> Il ne faut pas, cependant, jeter le bébé avec l'eau du bain : s'interroger sur les effets pervers de l'arrivée de Free Mobile, ce n'est pas remettre en cause le modèle low cost qui a bien des vertus concurrentielles, par exemple dans l'aérien ou l'automobile. En fait, si ce cas fait légitimement débat, c'est qu'il est spécifique sur 3 points. Premièrement, Free Mobile se voit offrir une place sur un marché mature, où la demande est presque saturée, où l'arrivée d'un nouvel acteur n'est justifiée ni par un élargissement de la gamme ni par une innovation technologique. Free a innové dans l'ADSL, mais pas dans le mobile. Deuxièmement, Free Mobile arrive sur un marché qui était un modèle de régulation efficace puisqu'il parvenait à la fois à créer de l'emploi en France, notamment pour nos ingénieurs, et à bénéficier aux consommateurs, les prix du mobile en France étant parmi les plus bas d'Europe. Troisièmement - et ce point est en bonne partie lié au précédent -, le low cost n'est pas nécessaire à cette industrie comme il peut l'être à la construction automobile : Renault pourrait difficilement survivre sans produire aussi des véhicules à bas coûts, mais l'industrie des télécoms, à forte valeur ajoutée, est parfaitement viable sans low cost.

>

> L'arrivée de Free Mobile pose donc moins le problème du low cost dans une économie en perte de compétitivité que celui d'une juste cohabitation entre offres à bas coûts et offres à coûts raisonnables, entre le gratuit et le payant. Après tout, Orange, SFR et Bouygues Telecom pourraient laisser à Free le créneau des prix bas et des services réduits, pour privilégier la qualité du service et de la relation-client. Mais l'interdiction légale de surtaxer les appels contraint sérieusement les possibilités de financer un tel modèle, menacé par le haut comme par le bas. Comme le dit Stéphane Richard, « il y a une perte de perception de la valeur du service ».

Le low cost ne tire pas que les coûts vers le bas.

>

> Jean-Francis Pécresse

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Un article des Echos, juste pour réfléchir à tout cela ... et voir un peu plus loin !

 

> La folie Free, symbole d'une schizophrénie française

>

> Ils sont Free ? Ils n'ont pas tout compris... Plaisanterie mise à part, le million de Français qui, en un mois, ont déjà souscrit aux offres alléchantes du 4 e opérateur mobile ne se doutent pas toujours à quel point ils favorisent la délocalisation d'emplois et d'investissements, phénomène qu'ils déplorent par ailleurs. L'engouement spectaculaire pour Free Mobile est révélateur d'une schizophrénie, celle qui oppose, en nous, le consommateur et le producteur, l'agent économique et le citoyen. L'un est arrimé à son pouvoir d'achat, l'autre est attaché à l'emploi. L'un arbitre en faveur de produits et services importés moins chers, l'autre déplore que son pays offre si peu d'emplois nouveaux. Conflit d'intérêts légitimes duquel le consommateur sort presque toujours vainqueur... à court terme. Lorsque, après avoir fabriqué à moindres coûts ses monospaces Lodgy dans sa nouvelle usine de Tanger, Renault les proposera au marché européen, ils séduiront par leur prix attractif des milliers de clients français aujourd'hui sincèrement heurtés par cette localisation marocaine.

>

> « Il faut s'interroger sur le déferlement des modèles low cost », a calmement expliqué Stéphane Richard, PDG de France Télécom-Orange, lors de son audition récente par la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale. Orange, SFR, Bouygues Telecom : lorsqu'ils réagissent à l'offensive de Free Mobile, les opérateurs « historiques » méritent d'être écoutés autrement que comme des rentiers juste hostiles à l'arrivée d'un petit nouveau. Car ce qui est en jeu, ce n'est pas l'ouverture à la concurrence, a fortiori sur un marché aussi régulé n'ayant pas vocation à être libéralisé, c'est l'avenir d'un modèle économique qui permettait jusque-là un équilibre entre les objectifs d'emploi et de pouvoir d'achat.

>

> Employant 4.100 collaborateurs fin 2010 en France, Free s'est engagé, en contrepartie de sa licence, à y créer 1.500 postes, notamment dans 2 centres d'appels ouverts en région parisienne, à Colombes et Vitry, s'ajoutant à ceux déjà créés à Paris, Marseille et Bordeaux. Obtenus, en réalité, pour l'essentiel, par redéploiements internes, ces nouveaux postes ne changent pas la nature d'un paradigme reposant largement sur la délocalisation de la relation client, et la dématérialisation de la distribution - Free disposant d'à peine 3 boutiques. Ces emplois sont loin de pouvoir compenser les emplois voués à disparaître dans le secteur des télécoms. La riposte commerciale des autres opérateurs aux offres à bas prix de Free Mobile est d'ailleurs symptomatique. Sosh, Red, B&You : dans les trois cas, c'est sur Internet et non en boutique que les clients peuvent y souscrire. C'est logiquement sur le réseau de distribution que la pression est la plus forte.

>

> Dans ses 650 boutiques, Bouygues Telecom, le plus petit des trois grands, emploie directement 4.100 collaborateurs et constate, dans les seuls points exclusivement consacrés à la vente, une baisse de 20 % de la fréquentation depuis un mois. Mais il faut aussi compter avec les emplois indirects, ceux des réseaux indépendants. Et les opérateurs historiques ont déjà commencé à réduire le nombre de prestataires affectés à la vente et à la démonstration dans les grandes surfaces. Pour résister à la concurrence tarifaire, l'incitation devient forte, également, à délocaliser les centres d'appels - comme Free qui emploie déjà 1.720 personnes à l'étranger -, alors même que les grands opérateurs se sont efforcés, jusqu'ici, de limiter les solutions off shore - à 10 % des effectifs chez Orange, à 25 % chez SFR. Bouygues Telecom emploie au Maroc un millier de téléconseillers, sur un total de 2.500. En 2012, le groupe va transférer en Roumanie et en Pologne 250 emplois de techniciens.

>

> Avec des rentabilités aujourd'hui confortables (35 % de marge brute sur le mobile pour Orange) mais appelées à baisser, les opérateurs traditionnels vont inévitablement couper dans leurs budgets d'équipement et de fonctionnement, prévenait il y a quelques jours la Fédération française des télécoms. C'est déjà en cours.

>

> Il ne faut pas, cependant, jeter le bébé avec l'eau du bain : s'interroger sur les effets pervers de l'arrivée de Free Mobile, ce n'est pas remettre en cause le modèle low cost qui a bien des vertus concurrentielles, par exemple dans l'aérien ou l'automobile. En fait, si ce cas fait légitimement débat, c'est qu'il est spécifique sur 3 points. Premièrement, Free Mobile se voit offrir une place sur un marché mature, où la demande est presque saturée, où l'arrivée d'un nouvel acteur n'est justifiée ni par un élargissement de la gamme ni par une innovation technologique. Free a innové dans l'ADSL, mais pas dans le mobile. Deuxièmement, Free Mobile arrive sur un marché qui était un modèle de régulation efficace puisqu'il parvenait à la fois à créer de l'emploi en France, notamment pour nos ingénieurs, et à bénéficier aux consommateurs, les prix du mobile en France étant parmi les plus bas d'Europe. Troisièmement - et ce point est en bonne partie lié au précédent -, le low cost n'est pas nécessaire à cette industrie comme il peut l'être à la construction automobile : Renault pourrait difficilement survivre sans produire aussi des véhicules à bas coûts, mais l'industrie des télécoms, à forte valeur ajoutée, est parfaitement viable sans low cost.

>

> L'arrivée de Free Mobile pose donc moins le problème du low cost dans une économie en perte de compétitivité que celui d'une juste cohabitation entre offres à bas coûts et offres à coûts raisonnables, entre le gratuit et le payant. Après tout, Orange, SFR et Bouygues Telecom pourraient laisser à Free le créneau des prix bas et des services réduits, pour privilégier la qualité du service et de la relation-client. Mais l'interdiction légale de surtaxer les appels contraint sérieusement les possibilités de financer un tel modèle, menacé par le haut comme par le bas. Comme le dit Stéphane Richard, « il y a une perte de perception de la valeur du service ».

Le low cost ne tire pas que les coûts vers le bas.

>

> Jean-Francis Pécresse

 

Beaucoup de désinformations dans cet article. pfff.gif.4baf110147714517709012a2e80e2b73.gif

Je suis client chez sfr pour l'adsl et le mobile. Leurs centres d'appels sont localisés au Maghreb, pas en France.

À chaque fois oû j'ai du les appeler, la personne au téléphone ne parlait même pas Français !

Quant je vois la signature de l'article, je comprend d'ou vient ce mensonge. (pas vrai Valérie ange.gif.b5aaa8b3d224986571786ffcc6e87263.gif)

 

Quant à faire croire que seul le low-cost fait perdre des emplois, faut vraiment pas s'y connaître.

Les Dacia sont fabriqués hors de France, certes, mais comme les Clio ...

Si vous voulez acheter une voiture réellement fabriquée en France, faut acheter une Toyota Yaris ou une Smart !!! Eh pas une clio.

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C'est quoi c't'article de propagande? roll.gif.29f912a15e3145804776a06cf8657e33.gif

 

C'est un tissu de conner*e, ce truc, une charge supplémentaire contre celui qui vient libérer le marché de la téléphonie mobile. Les emplois qui seront supprimés (s'il y en a) chez les 3 grands se reporteront chez le nouvel arrivant, qui doit ouvrir des boutiques en local, donc pour du personnel en France. bah.gif.bbae380aabd9658cd2b16d808171d6be.gif

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Invité §fra885EL

Un article des Echos, juste pour réfléchir à tout cela ... et voir un peu plus loin !

 

> La folie Free, symbole d'une schizophrénie française

>

> Ils sont Free ? Ils n'ont pas tout compris... Plaisanterie mise à part, le million de Français qui, en un mois, ont déjà souscrit aux offres alléchantes du 4 e opérateur mobile ne se doutent pas toujours à quel point ils favorisent la délocalisation d'emplois et d'investissements, phénomène qu'ils déplorent par ailleurs. L'engouement spectaculaire pour Free Mobile est révélateur d'une schizophrénie, celle qui oppose, en nous, le consommateur et le producteur, l'agent économique et le citoyen. L'un est arrimé à son pouvoir d'achat, l'autre est attaché à l'emploi. L'un arbitre en faveur de produits et services importés moins chers, l'autre déplore que son pays offre si peu d'emplois nouveaux. Conflit d'intérêts légitimes duquel le consommateur sort presque toujours vainqueur... à court terme. Lorsque, après avoir fabriqué à moindres coûts ses monospaces Lodgy dans sa nouvelle usine de Tanger, Renault les proposera au marché européen, ils séduiront par leur prix attractif des milliers de clients français aujourd'hui sincèrement heurtés par cette localisation marocaine.

>

> « Il faut s'interroger sur le déferlement des modèles low cost », a calmement expliqué Stéphane Richard, PDG de France Télécom-Orange, lors de son audition récente par la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale. Orange, SFR, Bouygues Telecom : lorsqu'ils réagissent à l'offensive de Free Mobile, les opérateurs « historiques » méritent d'être écoutés autrement que comme des rentiers juste hostiles à l'arrivée d'un petit nouveau. Car ce qui est en jeu, ce n'est pas l'ouverture à la concurrence, a fortiori sur un marché aussi régulé n'ayant pas vocation à être libéralisé, c'est l'avenir d'un modèle économique qui permettait jusque-là un équilibre entre les objectifs d'emploi et de pouvoir d'achat.

>

> Employant 4.100 collaborateurs fin 2010 en France, Free s'est engagé, en contrepartie de sa licence, à y créer 1.500 postes, notamment dans 2 centres d'appels ouverts en région parisienne, à Colombes et Vitry, s'ajoutant à ceux déjà créés à Paris, Marseille et Bordeaux. Obtenus, en réalité, pour l'essentiel, par redéploiements internes, ces nouveaux postes ne changent pas la nature d'un paradigme reposant largement sur la délocalisation de la relation client, et la dématérialisation de la distribution - Free disposant d'à peine 3 boutiques. Ces emplois sont loin de pouvoir compenser les emplois voués à disparaître dans le secteur des télécoms. La riposte commerciale des autres opérateurs aux offres à bas prix de Free Mobile est d'ailleurs symptomatique. Sosh, Red, B&You : dans les trois cas, c'est sur Internet et non en boutique que les clients peuvent y souscrire. C'est logiquement sur le réseau de distribution que la pression est la plus forte.

>

> Dans ses 650 boutiques, Bouygues Telecom, le plus petit des trois grands, emploie directement 4.100 collaborateurs et constate, dans les seuls points exclusivement consacrés à la vente, une baisse de 20 % de la fréquentation depuis un mois. Mais il faut aussi compter avec les emplois indirects, ceux des réseaux indépendants. Et les opérateurs historiques ont déjà commencé à réduire le nombre de prestataires affectés à la vente et à la démonstration dans les grandes surfaces. Pour résister à la concurrence tarifaire, l'incitation devient forte, également, à délocaliser les centres d'appels - comme Free qui emploie déjà 1.720 personnes à l'étranger -, alors même que les grands opérateurs se sont efforcés, jusqu'ici, de limiter les solutions off shore - à 10 % des effectifs chez Orange, à 25 % chez SFR. Bouygues Telecom emploie au Maroc un millier de téléconseillers, sur un total de 2.500. En 2012, le groupe va transférer en Roumanie et en Pologne 250 emplois de techniciens.

>

> Avec des rentabilités aujourd'hui confortables (35 % de marge brute sur le mobile pour Orange) mais appelées à baisser, les opérateurs traditionnels vont inévitablement couper dans leurs budgets d'équipement et de fonctionnement, prévenait il y a quelques jours la Fédération française des télécoms. C'est déjà en cours.

>

> Il ne faut pas, cependant, jeter le bébé avec l'eau du bain : s'interroger sur les effets pervers de l'arrivée de Free Mobile, ce n'est pas remettre en cause le modèle low cost qui a bien des vertus concurrentielles, par exemple dans l'aérien ou l'automobile. En fait, si ce cas fait légitimement débat, c'est qu'il est spécifique sur 3 points. Premièrement, Free Mobile se voit offrir une place sur un marché mature, où la demande est presque saturée, où l'arrivée d'un nouvel acteur n'est justifiée ni par un élargissement de la gamme ni par une innovation technologique. Free a innové dans l'ADSL, mais pas dans le mobile. Deuxièmement, Free Mobile arrive sur un marché qui était un modèle de régulation efficace puisqu'il parvenait à la fois à créer de l'emploi en France, notamment pour nos ingénieurs, et à bénéficier aux consommateurs, les prix du mobile en France étant parmi les plus bas d'Europe. Troisièmement - et ce point est en bonne partie lié au précédent -, le low cost n'est pas nécessaire à cette industrie comme il peut l'être à la construction automobile : Renault pourrait difficilement survivre sans produire aussi des véhicules à bas coûts, mais l'industrie des télécoms, à forte valeur ajoutée, est parfaitement viable sans low cost.

>

> L'arrivée de Free Mobile pose donc moins le problème du low cost dans une économie en perte de compétitivité que celui d'une juste cohabitation entre offres à bas coûts et offres à coûts raisonnables, entre le gratuit et le payant. Après tout, Orange, SFR et Bouygues Telecom pourraient laisser à Free le créneau des prix bas et des services réduits, pour privilégier la qualité du service et de la relation-client. Mais l'interdiction légale de surtaxer les appels contraint sérieusement les possibilités de financer un tel modèle, menacé par le haut comme par le bas. Comme le dit Stéphane Richard, « il y a une perte de perception de la valeur du service ».

Le low cost ne tire pas que les coûts vers le bas.

>

> Jean-Francis Pécresse

 

 

Réfléchir, c'est aussi faire preuve d'esprit critique et de méfiance vis à vis de l'information:

 

Les Echos appartiennent à LVMH....Donc à Arnault...qui est un ami de Sarko

 

http://www.lvmh.fr/le-groupe/l [...] -les-echos

 

Martin Bouygues est un ami proche de Sarko...

 

Et la rhétorique de cet article reprend quasiment point par point les arguments développées par Martin Bouygues lors du lancement de Free...comme c'est étrange...

 

Donc, pour moi ça s'apparente plus à du lobbying et de la désinformation, plutôt qu'à un travail de journalisme... jap.gif.b767e1c16d2c61c8f4aa4ae71feb0c0d.gif

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Invité §fra885EL

C'est ce que j'ai demandé également... 1mois c'est long

 

 

Y'a de la demande....t'es pas le seul à vouloir te casser chez Free...assioh37nico1.gif.3f0ddfdf57f0a5e5eca17b73b5959eff.gif

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Forfait à 2€ (sans portabilité) commandé le vendredi 13/01, carte sim reçue le samedi 21/01 et activée le jour même ;)

 

Forfait à 19.99€ (avec portabilité) commandé le vendredi 10/02, toujours à l'étape 1 :( Pas grave, vu l’économie réalisée, je peux attendre 1 mois ;)

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Invité §fra885EL

Je suis passé ce matin devant une boutique SFR, avant l'offre de Free, il avait toujours du monde, avec 2 vendeurs visibles, maintenant il y a 4 vendeurs , avec beaucoup moins de monde... feel-31.gif.eeed253c298a3b7340800199a72cbf98.gif

 

 

 

Ils z'ont plus qu'à postuler chez FREE....jap.gif.d9c9d1c00477c104d4ffb4f88b4e786f.gifassioh37nico1.gif.8c457292026c7d6a5fe81c04d41ac825.gif

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Invité §fra885EL

Je ne comprends pas la logique de mettre plus de vendeurs, alors qu'il y a moins de clients :D

 

 

Comme ça ils sont sur de ne pas louper le pigeon qui aura la mauvaise idée de se pointer dans la boutique...

 

Avec 4 "tireurs" il est sur de se faire aligner....ange.gif.bf62db3ebad740aed01765f49da356fd.gifassioh37nico1.gif.1c06875d0f6c70c19faa460cbf9d466e.gif

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Invité §Giu881kS

Je ne comprends pas la logique de mettre plus de vendeurs, alors qu'il y a moins de clients :D

 

Lorsque tu es présent massivement dans la presse avec un message prétendant que tu es certes plus cher, mais que tu proposes un vrai service de proximité avec du conseil dans tes boutiques, t'as intérêt que ce soit réellement le cas, parce que si tu te pointes dans une boutique mais que t'attends 2 plombes pour être renseigné, effectivement, t'as plus vite fait de rester chez toi devant ton clavier et ton écran et te démerder tout seul bah.gif.77b859be6add86b1fd90a178c8ab272c.gif Déjà qu'ils sont plus chers, manquerait plus qu'ils ne tiennent pas leur promesse.... roll.gif.366d2224dc5af96a8d8dec374d5f890b.gif

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Invité §Son171cr

C'est quoi c't'article de propagande? roll.gif.0254691c1c43cb2f0538595881c5d99f.gif

 

C'est un tissu de conner*e, ce truc, une charge supplémentaire contre celui qui vient libérer le marché de la téléphonie mobile. Les emplois qui seront supprimés (s'il y en a) chez les 3 grands se reporteront chez le nouvel arrivant, qui doit ouvrir des boutiques en local, donc pour du personnel en France. bah.gif.5de78b8d2f14d09c8f7b2631895a2ef7.gif

 

 

Non mais tu dis clairement de la merde, tu penses vraiment que Free va embauché les emplois supprimés ( il y en aura ) des autres opérateurs ?

Nous sommes tous égoïstes, on ne regarde pas plus loin que le bout de notre nez et on est tous content que Free soit arrivé, mais il y aura des dégats, c'est une certitude.

 

Ca me fait penser à tous ses beaufs qui pleurent sur les délocalisations, mais qui sont les premiers à acheter des produits au rabais venant de Chine.

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Non mais tu dis clairement de la merde, tu penses vraiment que Free va embauché les emplois supprimés ( il y en aura ) des autres opérateurs ?

Nous sommes tous égoïstes, on ne regarde pas plus loin que le bout de notre nez et on est tous content que Free soit arrivé, mais il y aura des dégats, c'est une certitude.

 

Ca me fait penser à tous ses beaufs qui pleurent sur les délocalisations, mais qui sont les premiers à acheter des produits au rabais venant de Chine.

encore faudrait-il pouvoir trouver des produits fabriqués en France

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Invité §Son171cr

encore faudrait-il pouvoir trouver des produits fabriqués en France

 

 

C'est un cercle vicieux, on voulait du pas cher, du coup les usines ont fermé bah.gif.11dbb71bf3e578dc3b0118595fb2867f.gif

Il faudrait une vraie politique de relocalisation, avec des allègements. Et des taxes pour les produits importés.

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Non mais tu dis clairement de la merde, tu penses vraiment que Free va embauché les emplois supprimés ( il y en aura ) des autres opérateurs ?

Nous sommes tous égoïstes, on ne regarde pas plus loin que le bout de notre nez et on est tous content que Free soit arrivé, mais il y aura des dégats, c'est une certitude.

 

Ca me fait penser à tous ses beaufs qui pleurent sur les délocalisations, mais qui sont les premiers à acheter des produits au rabais venant de Chine.

 

Free ont bien pour projet d'ouvrir des boutiques un peu partout, non?

Il va bien falloir qu'il embauchent du monde, alors, pour mettre dans ces boutiques. bah.gif.dfc63a142e3687dc8d09373fb6e25f7e.gif

 

Alors si du personnel est mis dehors par les 3 grands, ce qui est en effet probable, ça ne fera que vases communicants, au moins partiellement. oui.gif.d95588873c1b6bd1a5548a1898f016b9.gif

 

Et ça sera quoi, les emplois supprimés?

Ceux des call center au Maroc?

Ils vont pas supprimer le personnel des boutiques en France, c'est au contraire là qu'il vont absolument avoir besoin d'être présent s'ils veulent pas se faire complètement dézinguer.

Par contre, en personnel maintenance réseau, là, oui, possible qu'il y ait de la casse, mais là encore, va y avoir un autre réseau à installer et entretenir, donc ça va là aussi faire vases communicants.

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Invité §fra885EL

 

C'est un cercle vicieux, on voulait du pas cher, du coup les usines ont fermé bah.gif.3c2538ce763fdc36717226a44857c2d7.gif

Il faudrait une vraie politique de relocalisation, avec des allègements. Et des taxes pour les produits importés.

 

jap.gif.f39cde3b6e78554a83bdddc5e25cf6e3.gif

 

 

Et surtout du pouvoir d'achat... balibran.gif.jpg

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