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Politique

Le topic de l'ecologie


Invité §Jes257LV
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Je ne vais pas t'expliquer ce qu'est l'écologie ni même un écolo

Je vais t'expliquer ce qu'est un climato-sceptique et plus profond un négationniste, car un écolo est juste un type qui s'intéresse à l'avenir de la planète, c'est tout simple

 

Les climato-sceptiques désigne les personnes qui mettent en doute l’urgence de combattre le changement climatique. On est d'accord ?

Il ne s'agit pas de personnes qui demandent des preuves avant d'adopter une opinion mais, au contraire, des personnes qui ont déjà une opinion arrêtée (tu te reconnais) et qui évaluent la validité des arguments qui leur sont présentés en fonction de leurs convictions. C'est d'ailleurs pour ça que je ne développe rien sur les écolos, ton idée est déjà arrêtée

Le "climato-sceptique", paradoxalement, n'est pas un sceptique : il est certain d'avoir raison et le doute dont il se réclame ne s'applique qu'aux thèses qu'il rejette. Pour faire simple, l'extinction de la vie est tellement énorme à avaler, que c'est trop violent pour lui il ne peut pas s'y résoudre et nie tout en bloc quitte à se fourvoyer

Pour le négationniste, une information ne peut être exacte que si elle est en accord avec sa représentation de soi et du monde.

Alors lui il est collé au fond, il n'y a que lui et son nombril qui compte. Il ne voit même pas que la planète s'effondre tant il est occupé par son nombril

En général c'est lié à un gros gros complexe d'infériorité qui développe ce symptôme

Symptôme bien connu en psychologie, pour décrire ce phénomène de lyssenkisme, du nom du biologiste soviétique Trofim Lyssenko qui crut pouvoir appliquer la lutte des classes à l'agronomie.

 

 

si tu expliques pas ce qu'est l'écologie, j'y peux rien :non:

 

ce que tu m'expliques est du communisme, je suis de droite, je demande des preuves du bien fondé du communisme mais non, je suis donc à jeter car je me plie pas aux concepts de gauche, tu comprends ?

 

de plus, tu peux pas me targué à me placer en écolo-septique vu que je n'ai jamais nié l'évidence du réchauffement, j'ai juste nié, avec des preuves, des mensonges du GIEC :pfff:

 

c'est juste cela qui nous diffère, mais non, je suis un écolo-septique pour toi, ben non, je veux comprendre pourquoi on me gruge dans un contrat mondial

 

en final, on en revient à un sujet souvent redondant chez toi, on te comprend pas, donc, on est des demeurés, tes deux dernières lignes sont la preuve :non:

 

PS: pour qui faut voter si on veut un Président écolo? :o

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Invité §Jes257LV

Un petit pavé d'un lecteur du point

 

 

L'homme cet éternel prétentieux.Scientifique, je n'ai aucun doute sur la modification climatique que l'on observe. Elle est connue depuis plus d'un siècle et est l'objet de très nombreuses études scientifiques, paléoclimatiques, glaciologiques, palynologiques, pédologiques... Ce changement climatologique est en cours depuis plus de 15 à 20 000 ans, avec des accélérations et des ralentissements, qui ne doivent strictement rien à l'homme, son industrie ne date que d'un siècle et demi. Des calculs scientifiques ont démontré que si l'homme cessait toute activité insudtrielle aujourd'hui, l'action sur la température n'atteindrait pas 0, 1°C sur un demi siècle. Mais voilà une secte, les collapsologues, comment l'appeler autrement tant elle nous débite de mensonges catastrophistes, à partir de compte-rendus très orientés politiquement, rédigés par des scientifiques retenus seulement pour travailler dans le sens CO2 = polluant. Ces compte-rendus compilés par des fonctionnaires internationaux appointés par l'ONU depuis 1988, le GIEC, ne rédigent que des conclusions dans ce sens fallacieux. Ignorant les véritables travaux scientifiques. Les scientifiques vrais devant le grand nombre de facteurs entrant en jeux dans ce phénomène de variation climatique, plusieurs centaines, sont très septiques sur l'action de l'homme pour réduire le phénomène. Mais de là à proposer des prévision à 30 ans et catastrophique, c'est de l'escroquerie intellectuelle. Au rythme actuel du phénomène le globe terrestre n'atteindra le niveau climatique qui était le sien il y a 40 000 ans que dans un bon millénaire, et se rythme est actuellement en ralentissement. Alors on peut dormir sur nos deux oreilles et travaillons plutôt à supprimer totalement l'usage de tous ces emballages plastiques jetables

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lol, cela fait 35 pages que tu bottes en touche

 

lis entre les lignes stp, j'ai fait un effort pour toi :jap:

Il faudrait répondre point après point à toutes ces questions :bah:

ce sont celles que se pose un écolo avant de dire que c'est de la merde

 

C’est quoi, la biodiversité ?

Pourquoi on a besoin des abeilles ?

Quelles sont les espèces menacées ? Pourquoi et par qui ?

C’est quoi, le gaspillage alimentaire ?

C’est quoi, le réchauffement climatique ?

Qui était Darwin ?

Pourquoi faut-il protéger les océans ?

C'est quoi la biocénose ?

Comment mesure-t-on notre déclin ?

C’est quoi, une énergie durable ?

Comment se déplacer sans polluer ?

C'est quoi le développement durable ?

 

Une fois que t'auras trouvé une réponse concrète et construite tu sauras en gros ce qu'est l'écologie et donc un écologiste

Le reste c'est de l'enfumage

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Il faudrait répondre point après point à toutes ces questions :bah:

ce sont celles que se pose un écolo avant de dire que c'est de la merde

 

C’est quoi, la biodiversité ?

Pourquoi on a besoin des abeilles ?

Quelles sont les espèces menacées ? Pourquoi et par qui ?

C’est quoi, le gaspillage alimentaire ?

C’est quoi, le réchauffement climatique ?

Qui était Darwin ?

Pourquoi faut-il protéger les océans ?

C'est quoi la biocénose ?

C’est quoi, une énergie durable ?

Comment se déplacer sans polluer ?

C'est quoi le développement durable ?

 

Une fois que t'auras trouvé une réponse concrète et construite tu sauras en gros ce qu'est un l'écologie et donc un écologiste

 

 

et bien voilà, quelques lignes, enfin, censées

 

comme déjà dit, seul en gras est ce qui nous diffère, j'en demande plus

 

maintenant, si répondre à tout tes questions et devenir comme toi, surtout pas!

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et bien voilà, quelques lignes, enfin, censées

comme déjà dit, seul en gras est ce qui nous diffère, j'en demande plus

 

maintenant, si répondre à tout tes questions et devenir comme toi, surtout pas!

Le réchauffement climatique n'est qu'une goutte d'eau, presque un détail

Le réchauffement est la résultante de tous les soucis additionnés énoncés ci dessus ... et provoqués à 95% par l'homme

Donc si tout va bien nous étions d'accord sur quasi tout et soudain tu vas tout rejeter en bloc puisque tu ne vas pas accepter la responsabilité que nous avons, sans expliquer pour autant d'où viennent tous ces problèmes.

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En 2005, Une Vérité qui dérange présentait plus de qualités que de défauts. Les membres du jury du Nobel ne s’y étaient d’ailleurs pas trompés en décernant le Prix Nobel de la Paix 2007 à Al Gore et au GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).

 

Son nouveau film : Une suite qui dérange : Le Temps de l’action (An Inconvenient Sequel: Truth to Power) est avant tout « dérangeant » parce qu’il occulte les vrais problèmes des négociations de la COP21, et donne au final l’impression que c’est grâce aux interventions de l’ancien Vice-Président américain que l’Accord de Paris aurait été signé. Sans vouloir minimiser son rôle, cela paraît excessif.

 

Une des choses les plus gênantes, c’est que beaucoup de choses sont dans le film, et donc qu’une partie du public pourra avoir le sentiment que c’est un bon documentaire, alors que la plupart des éléments majeurs sont évoqués en passant, tandis que d’autres plus mineurs sont hyper exagérés.

 

Mais pour être juste, commençons par les aspects intéressants ou positifs.

 

Il ne fait pas de doute qu’Al Gore est un militant de longue date de l’action pour lutter contre le réchauffement climatique. Son engagement ancien et sa sincérité transparaissent bien dans les films d’archives des années 1990, qui montrent des extraits de ses interventions au Sénat américain ou dans de grandes conférences internationales, ainsi que ses conférences ou ses sessions de formation d’ « ambassadeurs du climat ».

 

Le film Une suite qui dérange montre par ailleurs bien certaines des graves conséquences des dérèglements : fonte des glaciers au Groenland, augmentation de l’intensité des cyclones, inondations en Floride, incendies de forêts... Il souligne même que la dégradation des conditions environnementales peut contribuer à déstabiliser des pays, comme ce fut le cas avec la sécheresse prolongée en Syrie de 2006 à 2011.

 

Même s’il tend à laisser penser de manière un peu discutable que ce sont les « pauvres » qui souffriront le plus (notamment en citant le Pape François), le film de 2017 montre aussi la fragilité et la vulnérabilité des pays du Nord, quand des torrents de boue balayent des villes européennes ou que le niveau de la mer monte pour submerger des quartiers de Miami ou de New York.

 

Tous ces constats s’inscrivent dans le prolongement du premier film et véhiculent des messages importants, particulièrement pour la population américaine qui reçoit encore des informations très contradictoires de la part de ses dirigeants et de ses médias.

 

Où sont les problèmes alors ?

 

D’abord, le film est un peu égocentrique et met un peu trop Al Gore sur le devant de la scène, sans faire beaucoup d’efforts pour montrer le rôle des autres acteurs. Mais passons.

 

Le principal problème est sans doute de vouloir faire croire que les Américains (et plus globalement les Occidentaux) seraient les gentils qui se comportent bien et qui auraient les solutions, alors que les ressortissants des pays au Sud seraient les principaux pollueurs et ne feraient guère d’efforts.

 

A ce titre, l’Inde est particulièrement stigmatisée dans le film. Pourtant, les émissions de CO2 d’un Indien sont dix fois inférieures à celle d’un Nord-Américain (1,7 t/hab/an contre 17 t) et quatre fois inférieures à celles d’un Européen. En d’autres termes, si tous les habitants des pays du monde (à commencer par ceux de l’OCDE) faisaient l’effort de ne pas polluer plus qu’un Indien moyen, on ferait un grand pas pour freiner le réchauffement climatique.

 

Plus structurellement, le film d’Al Gore de 2017 occulte largement quatre grands points de crispation des négociations de l’Accord de Paris : 1) le choix des émissions « par pays » plutôt que « par habitant » ; 2) les émissions « historiques ; 3) les promesses de financement des pays du Nord ; 4) les émissions « importées ».

 

1) Le premier point est bien illustré par l’exemple indien. Les grands pays du Sud comme la Chine ou l’Inde sont devenus respectivement les 1er et 4ème émetteurs de CO2 mondiaux parce qu’ils ont une population dépassant le milliard. Mais individuellement, les habitants polluent moins que ceux de la plupart des pays du Nord. Les pays du Sud ont tenté de le faire entendre, mais le rapport de force géopolitique ne leur a pas permis d’obtenir un calcul par habitant qui aurait pourtant été plus juste.

 

2) Le film évoque les émissions historiques par la voix d’un Indien qui signale que les Etats-Unis ont commencé à émettre massivement du CO2 depuis 150 ans. De fait, en 2017, les émissions de gaz à effet de serre des pays du Sud sont à peu près équivalentes à celles de ceux du Nord. En revanche, si l’on fait un calcul depuis le début de la Révolution industrielles, les pays du Nord sont responsables des deux tiers des émissions. Cela signifie qu’ils devraient faire plus d’efforts de réduction, mais ils ont refusé que cela ne soit pris en compte dans les calculs. Et ce comportement égoïste, le film ne le présente pas.

 

3) La question du financement est aussi évoquée en passant, mais sans dire que depuis la conférence de Copenhague en 2009, les pays de l’OCDE se sont engagés à verser à partir de 2020 100 milliards de dollars par an aux pays du Sud pour les aider à réduire leurs émissions et à s’adapter aux changements. Or, les pays du Nord n’ont pas forcément les moyens ni l’envie de donner cet argent. 100 milliards par an, c’est l’équivalent de deux tiers de l’aide « au développement » totale versée annuellement, alors que ce devrait être le double (en 1970 les pays de l’OCDE se sont engagés à verser 0,7 % de leur PIB en aide « au développement », en fait l’aide stagne autour de 0,35 %). Dans ce contexte, un document de l’OCDE publié en novembre 2015 affirmait que ses pays membres (ceux du Nord) verseraient « déjà » 60 milliards par an au titre de la lutte contre le réchauffement. Ce document avait manifestement pour but d’essayer de faire accepter aux pays du Sud l’idée qu’ils recevraient au mieux 40 « nouveaux » milliards par an à partir de 2020 et pas les 100 milliards promis en 2009 et confirmés par l’Accord de Paris en décembre 2015.

 

4) Le film d’Al Gore oublie aussi de dire qu’une part importante des émissions des grands pays du Sud est en fait du CO2 « délocalisé ». Ainsi par exemple, environ un tiers des émissions chinoises correspondent à la fabrication de produits consommés par les pays de l’OCDE. Ces derniers ont donc transféré une partie de leurs pollutions vers le Sud. Pire, ils surtaxent désormais les produits de ces pays en arguant qu’ils ne respectent pas des normes environnementales qui n’existaient souvent pas au Nord avant les délocalisations.

 

Ce dernier point amène à un problème fondamental que le film oublie totalement celui des implications de la différence entre pays dits « riches » ou « pauvres », ou entre pays dits « développés » et « en développement ». Ces expressions reviennent à de nombreuses reprises dans le film, mais pour laisser penser qu’il faudrait tout faire pour qu’à terme les pays du Sud rejoignent la consommation de masse de ceux du Nord.

 

Et là, les études montrent qu’en l’état actuel des techniques, ce n’est pas possible et qu’il faudrait trois ou quatre planète pour le permettre. Pourtant, comme le dit Al Gore, nous n’en avons qu’une et elle est plus fragile qu’elle n’en a l’air.

 

Alors au final, que propose Al Gore ?

 

Et bien, il dit que la voie pour sauver le monde est le passage aux énergies renouvelables (solaire, éolien...). Certes le renoncement aux énergies fossiles est nécessaire ce qui implique un basculement vers le renouvelable, mais Al Gore oublie de dire que ce seul basculement technique ne sera pas suffisant sans des changements profonds dans les sociétés et notamment dans les modes de consommation.

 

Il y a d’abord des questions de résistances économiques et géopolitiques : les pays ou compagnies qui ont des réserves de pétrole ou de charbon ne vont pas accepter facilement d’y renoncer. Il y a aussi des aspects techniques car les carburants fossiles représentent 80 % de l’énergie mondiale. Remplacer toute cette énergie par du « renouvelable » suppose de trouver suffisamment de matériaux (dont beaucoup d’éléments ou métaux rares) pour les fabriquer. Sans parler des autres pollutions que cela induit et de l’augmentation démographique avec une population de « consommateurs » qui pourrait passer de 7,5 milliards en 2017 à 10 milliards en 2050 et peut-être à 17 milliards en 2100…

 

Bref, face à ces enjeux mondiaux, la solution « miracle » d’Al Gore de mettre des panneaux solaires et des éoliennes partout paraît bien naïve. Certes, il faut augmenter autant que possible le renouvelable, mais cela ne sera qu’un élément parmi beaucoup d’autres. Faire croire que ce serait le principal moyen est donc non seulement naïf, mais aussi pernicieux et même dangereux, car cela laisse penser que la diffusion des techniques actuelles pourrait sauver le monde, sans avoir à s’interroger sur ses déséquilibres planétaires structurels et à mettre en œuvre des actions d’urgence pour les résoudre....

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Invité §gro171sK

https://www.enquete-debat.fr/e [...] limatique/

 

[h1]Soleil en panne : l'aube d'une nouvelle perturbation climatique ?[/h1]

 

Dans 10 ans on n'en parlera plus de votre urgence mais a cause de ça et des politiques mises en place notre industrie carbonnée nationale aura fermée et l'industrie du lithium chinois nous aura envahi, vos enfants vous remercieront de leur futur chomage les fan de Greta :jap:

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https://www.enquete-debat.fr/e [...] limatique/

 

[h1]Soleil en panne : l'aube d'une nouvelle perturbation climatique ?[/h1]

 

Dans 10 ans on n'en parlera plus de votre urgence mais a cause de ça et des politiques mises en place notre industrie carbonnée nationale aura fermée et l'industrie du lithium chinois nous aura envahi, vos enfants vous remercieront de leur futur chomage les fan de Greta :jap:

Ah un blog, ça faisait longtemps. merci pour cette distraction :jap:

On sent tout de suite le sérieux des scientifiques qui se cachent derrière ce site

Immobilier & finance, économie, paris et jeux :ptdr:

 

 

sérieux.png

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En 2005, Une Vérité qui dérange présentait plus de qualités que de défauts. Les membres du jury du Nobel ne s’y étaient d’ailleurs pas trompés en décernant le Prix Nobel de la Paix 2007 à Al Gore et au GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).

 

Son nouveau film : Une suite qui dérange : Le Temps de l’action (An Inconvenient Sequel: Truth to Power) est avant tout « dérangeant » parce qu’il occulte les vrais problèmes des négociations de la COP21, et donne au final l’impression que c’est grâce aux interventions de l’ancien Vice-Président américain que l’Accord de Paris aurait été signé. Sans vouloir minimiser son rôle, cela paraît excessif.

 

Une des choses les plus gênantes, c’est que beaucoup de choses sont dans le film, et donc qu’une partie du public pourra avoir le sentiment que c’est un bon documentaire, alors que la plupart des éléments majeurs sont évoqués en passant, tandis que d’autres plus mineurs sont hyper exagérés.

 

Mais pour être juste, commençons par les aspects intéressants ou positifs.

 

Il ne fait pas de doute qu’Al Gore est un militant de longue date de l’action pour lutter contre le réchauffement climatique. Son engagement ancien et sa sincérité transparaissent bien dans les films d’archives des années 1990, qui montrent des extraits de ses interventions au Sénat américain ou dans de grandes conférences internationales, ainsi que ses conférences ou ses sessions de formation d’ « ambassadeurs du climat ».

 

Le film Une suite qui dérange montre par ailleurs bien certaines des graves conséquences des dérèglements : fonte des glaciers au Groenland, augmentation de l’intensité des cyclones, inondations en Floride, incendies de forêts... Il souligne même que la dégradation des conditions environnementales peut contribuer à déstabiliser des pays, comme ce fut le cas avec la sécheresse prolongée en Syrie de 2006 à 2011.

 

Même s’il tend à laisser penser de manière un peu discutable que ce sont les « pauvres » qui souffriront le plus (notamment en citant le Pape François), le film de 2017 montre aussi la fragilité et la vulnérabilité des pays du Nord, quand des torrents de boue balayent des villes européennes ou que le niveau de la mer monte pour submerger des quartiers de Miami ou de New York.

 

Tous ces constats s’inscrivent dans le prolongement du premier film et véhiculent des messages importants, particulièrement pour la population américaine qui reçoit encore des informations très contradictoires de la part de ses dirigeants et de ses médias.

 

Où sont les problèmes alors ?

 

D’abord, le film est un peu égocentrique et met un peu trop Al Gore sur le devant de la scène, sans faire beaucoup d’efforts pour montrer le rôle des autres acteurs. Mais passons.

 

Le principal problème est sans doute de vouloir faire croire que les Américains (et plus globalement les Occidentaux) seraient les gentils qui se comportent bien et qui auraient les solutions, alors que les ressortissants des pays au Sud seraient les principaux pollueurs et ne feraient guère d’efforts.

 

A ce titre, l’Inde est particulièrement stigmatisée dans le film. Pourtant, les émissions de CO2 d’un Indien sont dix fois inférieures à celle d’un Nord-Américain (1,7 t/hab/an contre 17 t) et quatre fois inférieures à celles d’un Européen. En d’autres termes, si tous les habitants des pays du monde (à commencer par ceux de l’OCDE) faisaient l’effort de ne pas polluer plus qu’un Indien moyen, on ferait un grand pas pour freiner le réchauffement climatique.

 

Plus structurellement, le film d’Al Gore de 2017 occulte largement quatre grands points de crispation des négociations de l’Accord de Paris : 1) le choix des émissions « par pays » plutôt que « par habitant » ; 2) les émissions « historiques ; 3) les promesses de financement des pays du Nord ; 4) les émissions « importées ».

 

1) Le premier point est bien illustré par l’exemple indien. Les grands pays du Sud comme la Chine ou l’Inde sont devenus respectivement les 1er et 4ème émetteurs de CO2 mondiaux parce qu’ils ont une population dépassant le milliard. Mais individuellement, les habitants polluent moins que ceux de la plupart des pays du Nord. Les pays du Sud ont tenté de le faire entendre, mais le rapport de force géopolitique ne leur a pas permis d’obtenir un calcul par habitant qui aurait pourtant été plus juste.

 

2) Le film évoque les émissions historiques par la voix d’un Indien qui signale que les Etats-Unis ont commencé à émettre massivement du CO2 depuis 150 ans. De fait, en 2017, les émissions de gaz à effet de serre des pays du Sud sont à peu près équivalentes à celles de ceux du Nord. En revanche, si l’on fait un calcul depuis le début de la Révolution industrielles, les pays du Nord sont responsables des deux tiers des émissions. Cela signifie qu’ils devraient faire plus d’efforts de réduction, mais ils ont refusé que cela ne soit pris en compte dans les calculs. Et ce comportement égoïste, le film ne le présente pas.

 

3) La question du financement est aussi évoquée en passant, mais sans dire que depuis la conférence de Copenhague en 2009, les pays de l’OCDE se sont engagés à verser à partir de 2020 100 milliards de dollars par an aux pays du Sud pour les aider à réduire leurs émissions et à s’adapter aux changements. Or, les pays du Nord n’ont pas forcément les moyens ni l’envie de donner cet argent. 100 milliards par an, c’est l’équivalent de deux tiers de l’aide « au développement » totale versée annuellement, alors que ce devrait être le double (en 1970 les pays de l’OCDE se sont engagés à verser 0,7 % de leur PIB en aide « au développement », en fait l’aide stagne autour de 0,35 %). Dans ce contexte, un document de l’OCDE publié en novembre 2015 affirmait que ses pays membres (ceux du Nord) verseraient « déjà » 60 milliards par an au titre de la lutte contre le réchauffement. Ce document avait manifestement pour but d’essayer de faire accepter aux pays du Sud l’idée qu’ils recevraient au mieux 40 « nouveaux » milliards par an à partir de 2020 et pas les 100 milliards promis en 2009 et confirmés par l’Accord de Paris en décembre 2015.

 

4) Le film d’Al Gore oublie aussi de dire qu’une part importante des émissions des grands pays du Sud est en fait du CO2 « délocalisé ». Ainsi par exemple, environ un tiers des émissions chinoises correspondent à la fabrication de produits consommés par les pays de l’OCDE. Ces derniers ont donc transféré une partie de leurs pollutions vers le Sud. Pire, ils surtaxent désormais les produits de ces pays en arguant qu’ils ne respectent pas des normes environnementales qui n’existaient souvent pas au Nord avant les délocalisations.

 

Ce dernier point amène à un problème fondamental que le film oublie totalement celui des implications de la différence entre pays dits « riches » ou « pauvres », ou entre pays dits « développés » et « en développement ». Ces expressions reviennent à de nombreuses reprises dans le film, mais pour laisser penser qu’il faudrait tout faire pour qu’à terme les pays du Sud rejoignent la consommation de masse de ceux du Nord.

 

Et là, les études montrent qu’en l’état actuel des techniques, ce n’est pas possible et qu’il faudrait trois ou quatre planète pour le permettre. Pourtant, comme le dit Al Gore, nous n’en avons qu’une et elle est plus fragile qu’elle n’en a l’air.

 

Alors au final, que propose Al Gore ?

 

Et bien, il dit que la voie pour sauver le monde est le passage aux énergies renouvelables (solaire, éolien...). Certes le renoncement aux énergies fossiles est nécessaire ce qui implique un basculement vers le renouvelable, mais Al Gore oublie de dire que ce seul basculement technique ne sera pas suffisant sans des changements profonds dans les sociétés et notamment dans les modes de consommation.

 

Il y a d’abord des questions de résistances économiques et géopolitiques : les pays ou compagnies qui ont des réserves de pétrole ou de charbon ne vont pas accepter facilement d’y renoncer. Il y a aussi des aspects techniques car les carburants fossiles représentent 80 % de l’énergie mondiale. Remplacer toute cette énergie par du « renouvelable » suppose de trouver suffisamment de matériaux (dont beaucoup d’éléments ou métaux rares) pour les fabriquer. Sans parler des autres pollutions que cela induit et de l’augmentation démographique avec une population de « consommateurs » qui pourrait passer de 7,5 milliards en 2017 à 10 milliards en 2050 et peut-être à 17 milliards en 2100…

 

Bref, face à ces enjeux mondiaux, la solution « miracle » d’Al Gore de mettre des panneaux solaires et des éoliennes partout paraît bien naïve. Certes, il faut augmenter autant que possible le renouvelable, mais cela ne sera qu’un élément parmi beaucoup d’autres. Faire croire que ce serait le principal moyen est donc non seulement naïf, mais aussi pernicieux et même dangereux, car cela laisse penser que la diffusion des techniques actuelles pourrait sauver le monde, sans avoir à s’interroger sur ses déséquilibres planétaires structurels et à mettre en œuvre des actions d’urgence pour les résoudre....

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Mais c'est quoi ton truc au juste ?

Avoir de l'intérêt pour l'écologie et les gestes à suivre, les décisions à prendre où juste faire la chasse aux articles délirants ?

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Invité §gro171sK

 

désolé de te faire peut être peur, mais les sectes, ça commencent comme cela :jap:

 

 

 

 

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mais eux ce sont les temoins de Greta :p

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ce que tu m'expliques est du communisme, je suis de droite, je demande des preuves du bien fondé du communisme mais non, je suis donc à jeter car je me plie pas aux concepts de gauche, tu comprends ?

 

 

Sans surprise il semble que la cyborg verte suédoise qui ne sourit jamais gravite dans des milieux d'extrême gauche ( photo suivante diffusée puis retirée rapidement d'internet cette semaine, portant un tee-shirt de la mouvance antifa). Cela vient encore confirmer qu'on a affaire à une pastèque ( apparence verte à l'extérieur, mais bien rouge a l'intérieur ).

 

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désolé de te faire peut être peur, mais les sectes, ça commencent comme cela :jap:

 

Tu as l'imagination fertile :)

C'est bien plus simple, il y a des gens dans la recherche océanographique, donc forcément avec le curseur émotionnel en alerte tant nos océans souffrent et se dégradent. Mais merci de me mettre en garde de ce grand fléau. Manquerait plus qu'on les écoutent et qu'au final on sauve ce qu'il reste à sauver. Ce serait balo de tomber dans ce piége

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Tu as l'imagination fertile :)

C'est bien plus simple, il y a des gens dans la recherche océanographique, donc forcément avec le curseur émotionnel en alerte tant nos océans souffrent et se dégradent. Mais merci de me mettre en garde de ce grand fléau. Manquerait plus qu'on les écoutent et qu'au final on sauve ce qu'il reste à sauver. Ce serait balo de tomber dans ce piége

 

 

et c'est moi qui vais faire basculer tes émotions?

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si tu expliques pas ce qu'est l'écologie, j'y peux rien :non:

 

ce que tu m'expliques est du communisme, je suis de droite, je demande des preuves du bien fondé du communisme mais non, je suis donc à jeter car je me plie pas aux concepts de gauche, tu comprends ?

 

de plus, tu peux pas me targué à me placer en écolo-septique vu que je n'ai jamais nié l'évidence du réchauffement, j'ai juste nié, avec des preuves, des mensonges du GIEC :pfff:

 

c'est juste cela qui nous diffère, mais non, je suis un écolo-septique pour toi, ben non, je veux comprendre pourquoi on me gruge dans un contrat mondial

 

en final, on en revient à un sujet souvent redondant chez toi, on te comprend pas, donc, on est des demeurés, tes deux dernières lignes sont la preuve :non:

 

PS: pour qui faut voter si on veut un Président écolo? :o

 

Je m'en branle du GIEC

Faut te l'écrire en quelle langue ???

Mes convictions n'ont nul besoin d'un rapport réel où bidonné. M'en tape. On a assez de preuves ici et là sans devoir s'appuyer sur un rapport.

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Je m'en branle du GIEC

Faut te l'écrire en quelle langue ???

Mes convictions n'ont nul besoin d'un rapport réel oû bidonné. M'en tape. On a assez de preuves ici et là sans devoir s'appuyer sur un rapport.

 

 

moi, je m'en branle pas du GIEC, c'est ce qui diffère avec toi

 

réchauffement oui, mais en disant la vérité :jap:

 

on pollue les plages, on pollue les mers, on pollue les océans, on pollue les terres, on les rivières, les fleuves, on pollue même la lune, tout cela d'accord mais, tout est fait pour nous rendre responsable de tout et de payer, médiapart donne un aperçue des problèmes du futur mais bon, c'est un torchon, donc il a pas droit à la parole

 

désolé, je lis pas trop "le monde" non plus

 

essais d'être un peu plus sociable, tout le monde n'a pas ton intelligence non plus, de lire dans l'avenir :pfff:

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et c'est moi qui vais faire basculer tes émotions?

 

Bien entendu que tu peux :bah:

De l'autre côté de la planéte on a des gens qui ont voté Troump et Bolsonaro. Avec ces deux là on sait que le curseur va encore en prendre plein les dents.

Alors tu fais quoi ? On continu tout en sachant clairement qu'on joue avec le feu où on réagi ? Hein ?

Ah ben on va pas bouger puisque c'est punitif

La messe est dite, c'est plus simple d'être contemplatif et critique que se battre

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moi, je m'en branle pas du GIEC, c'est ce qui diffère avec toi

 

réchauffement oui, mais en disant la vérité :jap:

 

on pollue les plages, on pollue les mers, on pollue les océans, on pollue les terres, on les rivières, les fleuves, on pollue même la lune, tout cela d'accord mais, tout est fait pour nous rendre responsable de tout et de payer, médiapart donne un aperçue des problèmes du futur mais bon, c'est un torchon, donc il a pas droit à la parole

 

désolé, je lis pas trop "le monde" non plus

 

essais d'être un peu plus sociable, tout le monde n'a pas ton intelligence non plus, de lire dans l'avenir :pfff:

 

Parce qu'on n'est pas tous responsable ?

Alors qui ? Les oiseaux ? Les singes ? Les girafes ?

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Invité §Jes257LV

 

Sans surprise il semble que la cyborg verte suédoise qui ne sourit jamais gravite dans des milieux d'extrême gauche ( photo suivante diffusée puis retirée rapidement d'internet cette semaine, portant un tee-shirt de la mouvance antifa). Cela vient encore confirmer qu'on a affaire à une pastèque ( apparence verte à l'extérieur, mais bien rouge a l'intérieur ).

 

https://www.agoravox.fr/local/ [...] -c03ff.jpg

Ben voila c'est exactement ça :jap:

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Invité §Jes257LV

Je m'en branle du GIEC

Faut te l'écrire en quelle langue ???

Mes convictions n'ont nul besoin d'un rapport réel où bidonné. M'en tape. On a assez de preuves ici et là sans devoir s'appuyer sur un rapport.

TES CONVICTIONS ? :ddr: :ddr: :ddr:

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TES CONVICTIONS ? :ddr: :ddr: :ddr:

 

 

m'en fout du GIEC qu'il dit? quand je lui ai mis les preuves scientifiques sous le nez, sur le réchauffement du moyen âge, il a défendu le GIEC bec et ongle sous couvert

d'un journal scientifique que l'on nomme, "le monde"

 

d'ailleurs, même le GIEC ne conteste plus ses preuves, c'était trop gros :D

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Hier a la radio un journaliste a dit c'est écolo de couper l'eau quand on se brosse les dents!!!

moi j'ai toujours fait mais pas par écologie..

pour diminuer ma facture d'eau..

 

j'en ai déduis que ce journaliste a les moyens et que la facture il s'en fout... et il coupe l'eau par idéologie..

pareil pour la voiture electrique!!

il s'en fout du prix!! 50 000 balles pour une model3 ricaine en plus...

donc transport polluant plus gaspillage si on a une vielle caisse que l'on met au rebus qui marchait bien..

 

la vrai écologie n'est pas ou le croit ce genre de personne..

la vrai écologie...

 

c'est consommer moins..

moins d'eau moins de nourriturre... se gaver de bouffe bio par exemple n'a rien d'écolo..!!!

moins de déplacement en voiture..

et les réparer et les garder longtemps...

 

 

désolé bazooka, mais tu vas t"en prendre plein la figure tout l'heure...

 

l'écologie est un art de vivre, ça se conteste pas :o

 

la vrai écologie est de manifesté pour interdire les guerres, on aura fait un vrai pas vers la nature :ange:

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Invité §Jes257LV

 

désolé bazooka, mais tu vas t"en prendre plein la figure tout l'heure...

 

l'écologie est un art de vivre, ça se conteste pas :o

 

la vrai écologie est de manifesté pour interdire les guerres, on aura fait un vrai pas vers la nature :ange:

 

:lol: :lol: :lol: :lol:

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Invité §Jes257LV

Hier a la radio un journaliste a dit c'est écolo de couper l'eau quand on se brosse les dents!!!

moi j'ai toujours fait mais pas par écologie..

pour diminuer ma facture d'eau..

 

j'en ai déduis que ce journaliste a les moyens et que la facture il s'en fout... et il coupe l'eau par idéologie..

pareil pour la voiture electrique!!

il s'en fout du prix!! 50 000 balles pour une model3 ricaine en plus...

donc transport polluant plus gaspillage si on a une vielle caisse que l'on met au rebus qui marchait bien..

 

la vrai écologie n'est pas ou le croit ce genre de personne..

la vrai écologie...

 

c'est consommer moins..

moins d'eau moins de nourriturre... se gaver de bouffe bio par exemple n'a rien d'écolo..!!!

moins de déplacement en voiture..

et les réparer et les garder longtemps...

Une bonne vieille twingo devrait faire l'affaire :love:

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Invité §Jes257LV

Avec tout l'argent investi dans le matériel militaire, on pourrait supprimer la famine dans le monde...

 

C'est clair :jap:

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Je n'ai fait que le citer mot à mot.

 

 

 

 

En 2013, le GIEC a clarifié le rôle des activités humaines dans le changement climatique en publiant son cinquième rapport d'évaluation. Sa conclusion est catégorique: le changement climatique est réel et les activités humaines en sont la cause principale.

.

Oui, c'est la conclusion avec toutes les nuances désirées :

principale c'est pas unique.

Y a bien changement climatique.

 

C'est une conclusion après études de biens des facteurs (qu'ils continuent d'ailleurs d'étudier, et ils ne se concentrent pas que sur l'impact de l'homme).

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