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Politique

Le topic de l'ecologie


Invité §Jes257LV
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Elle est écolo que quand cela l'arrange :o

 

 

Le plus marrant reste la réponse pourrie qu'elle a donné pour se justifier : dans tous les cas l'avion aurait volé même sans moi ( donc comprenez ça compte pas )

 

En fait toi aussi soit super ecolo comme hidalgo : réserve une place sur un vol et dit que dans tous les cas l'avion aurait volé même sans toi donc ça compte pas pour toi :sol:

 

Quelle fumisterie.

 

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Invité §Ven578KA

Le 26 juillet, Anne Hidalgo assiste à la 19ème étape du Tour de France. Problème : elle fait l'aller-retour dans la journée, en Falcon, ce qui paraît contradictoire avec sa politique écologique.

 

La fuite est certainement une peau de banane que lui glisse sous les pieds quelqu'un à l'approche des municipales, mais ça permet bien de constater l'écart entre les belles paroles et les actes concrets de nos chers politiques.

 

.

 

 

Ho j avai pas vu. :jap:

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Au moins Sainte Greta est en accord avec ses idées, je lui reconnais au moins ça à notre sainte Vierge verte :o

 

https://www.lci.fr/internation [...] 28332.html

 

 

[h1]Greta Thunberg se rendra en voilier au Sommet mondial sur le climat de New York[/h1]

 

 

Elle montre l'exemple.

 

Comme je le disais il y a deux pages :

 

Toi aussi ne prend pas l'avion pour aller aux états unis.

Fait comme greta, Réserve un voilier du Yacht Club de Monaco qui coute plusieurs millions d'euros, c'est plus pratique et bien plus écolo

Prend plusieurs jours de congés pour la traversée et ne vas pas à l'école, c'est pas grave.

 

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ça bouge aussi en Italie

 

 

Climat : une pétition à contre-courant en Italie

 

6 juillet 2019

 

 

Nous publions la pétition sur le climat préparée par le professeur Uberto Crescenti – Professeur titulaire de géologie appliquée à l’Université G. d’Annunzio de Chieti ; il a été Recteur de l’Université G. d’Annunzio de 1985 à 1997, président de la Société italienne de géologie de 1999 à 2005, fondateur et président de l’Association italienne de géologie appliquée et d’environnement de 1999 à 2005, fondateur et président en 2001 de l’Association italienne « géologie et tourisme », et des scientifiques de renommée internationale, afin d’encourager un débat sérieux sur l’avenir de notre planète, fondé sur les connaissances scientifiques et sans contraintes politiques. Traduction : Camille Veyres.

 

Au Président de la République

 

Au Président du Sénat

 

Au Président de la Chambre des députés

 

Au Président du Conseil

 

PÉTITION SUR LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE ANTHROPIQUE

Nous soussignés, citoyens et hommes de science, invitons avec force les décideurs politiques à adopter des politiques de protection de l’environnement qui soient compatibles avec les connaissances scientifiques. En particulier, il est urgent de lutter contre la pollution là où elle se produit, comme l’indiquent les meilleures données scientifiques. A cet égard, il est regrettable que les connaissances mises à disposition par le monde de la recherche soient utilisées trop tard pour réduire les émissions anthropiques de polluants très répandus dans les systèmes environnementaux tant continentaux que marins.

 

Cependant, il faut être bien conscient que le dioxyde de carbone lui-même n’est pas un polluant. Au contraire, il est indispensable à la vie sur notre planète.

 

Au cours des dernières décennies, s’est répandue une hypothèse selon laquelle le réchauffement de la surface de la terre d’environ 0,9°C observé depuis 1850 serait anormal et dû aux activités humaines, en particulier à l’émission dans l’atmosphère de CO2 venant de l’utilisation des combustibles fossiles.

 

C’est là la thèse du réchauffement climatique anthropique promue par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies, dont les conséquences seraient des changements environnementaux si graves qu’ils feraient craindre des dommages énormes dans un avenir proche, à moins que des mesures drastiques et très coûteuses soient adoptées immédiatement. De nombreuses nations du monde ont adhéré à des programmes de réduction des émissions de dioxyde de carbone et une propagande de plus en plus virulente les invite à adopter des programmes toujours plus exigeants dont la mise en œuvre, très onéreuse pour les économies de ces Etats, serait, prétend-on, nécessaire à la maîtrise du climat et au « salut » de la planète.

 

L’origine anthropique du réchauffement de la planète est cependant une conjecture non prouvée, déduite uniquement de certains modèles climatiques, c’est-à-dire de programmes informatiques complexes, appelés modèles de circulation générale.

 

Au contraire, la littérature scientifique a, mis en évidence l’existence d’une variabilité climatique naturelle que les modèles ne sont pas capables de reproduire, variabilité naturelle de mieux en mieux vérifiée.

 

Cette variabilité naturelle explique une part importante du réchauffement climatique observé depuis 1850.

 

La responsabilité anthropique du changement climatique observée au siècle dernier est donc exagérée de façon injustifiée et les prévisions catastrophiques sont irréalistes.

 

Le climat est le système le plus complexe sur notre planète : nous devons donc l’aborder avec des méthodes appropriées et adaptées à son niveau de complexité. Les modèles de simulation climatique ne reproduisent pas la variabilité naturelle observée du climat et, en particulier, ne reconstituent pas les périodes chaudes des 10 000 dernières années. Celles-ci se sont répétées environ tous les mille ans : on y trouve la période médiévale chaude, bien connue, la période romaine chaude, et généralement de grandes périodes chaudes pendant l’Optimum holocène [il y a 8000 ans].

 

Ces périodes passées étaient plus chaudes que la période actuelle, bien que la concentration de CO2 y ait alors été inférieure à la concentration actuelle ; elles sont liées aux cycles millénaires de l’activité solaire. Ces effets ne sont pas reproduits par les modèles.

 

Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a, en fait, commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder. Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.

 

De plus, les modèles ne parviennent pas à reproduire les oscillations climatiques bien connues de période 60 ans environ. Celles-ci ont été responsables, d’une période de réchauffement (1850-1880) suivie d’une période de refroidissement (1880-1910), puis d’une période de réchauffement (1910-1940), d’une période de refroidissement (1940-70) et d’une nouvelle période de réchauffement (1970-2000) semblable à celle observée 60 ans auparavant.

 

Les années suivantes (2000-2019) ont vu non pas l’augmentation prévue par les modèles, d’environ 0,2°C par décennie, mais une nette stabilité climatique sporadiquement interrompue par les oscillations naturelles rapides de l’océan Pacifique équatorial, appelées El Niño Southern Oscillation (ENSO), telles que celle qui a amené un réchauffement temporaire en 2015 et 2016.

 

Les médias affirment également que les événements extrêmes, tels qu’ouragans et cyclones, ont augmenté de façon inquiétante. Non ! Ces événements, sont , comme de nombreux systèmes climatiques, modulés par le cycle de 60 ans que l’on vient de signaler. Voyons, par exemple, les données officielles depuis 1880 sur les cyclones tropicaux atlantiques qui ont frappé l’Amérique du Nord : elles montrent une forte oscillation de 60 ans, corrélée à l’oscillation thermique de l’océan Atlantique appelée Atlantic Multi-decadal Oscillation (AMO). Les pics observés pendant dix ans sont comparables pour les années 1880-90, 1940-50 et 1995-2005. De 2005 à 2015, le nombre de cyclones a diminué, suivant le cycle susmentionné.

 

Ainsi, sur la période 1880-2015, il n’y a pas de corrélation entre le nombre de cyclones, qui oscille et le CO2 qui augmente de façon monotone.

 

Le système climatique n’est pas encore suffisamment bien compris. S’il est vrai que le CO2 est un gaz à effet de serre, la sensibilité du climat à son augmentation dans l’atmosphère est, selon le GIEC lui-même, encore extrêmement incertaine. Un doublement de la concentration atmosphérique de CO2, d’environ 300 ppm avant l’ère industrielle à 600 ppm, pourrait, dit-on, faire monter la température moyenne de la planète d’au moins 1°C à au plus 5°C.

 

Cette incertitude est énorme. Cependant, de nombreuses études récentes fondées sur des données expérimentales estiment que la sensibilité du climat au CO2 est nettement moindre que celle estimée par les modèles du GIEC.

 

Il est donc scientifiquement irréaliste d’attribuer à l’homme la responsabilité du réchauffement observé de 1900 à nos jours. Les prédictions alarmistes ne sont donc pas crédibles, puisqu’elles sont basées sur des modèles dont les résultats sont en contradiction avec les données observées.

 

Tout porte à croire que ces modèles surestiment la contribution anthropique et sous-estiment la variabilité climatique naturelle, en particulier celle induite par le soleil, la Lune et les oscillations océaniques.

 

Enfin, les médias ont fait passer le message qu’ il y aurait un consensus quasi unanime parmi les scientifiques sur la cause anthropique de l’actuel changement climatique et que le débat scientifique serait donc clos. Et pourtant, nous devons tout d’abord être bien conscients que la méthode scientifique exige que ce soient les faits, et non le nombre de croyants qui d’une conjecture font une théorie scientifique consolidée.

 

Quoi qu’il en soit, même ce supposé consensus n’existe pas. Les opinions des spécialistes – climatologues, météorologues, géologues, géophysiciens, astrophysiciens – sont très variables et nombre d’entre eux reconnaissent l’importance de la contribution naturelle au réchauffement planétaire observée depuis la période préindustrielle et même au réchauffement de l’après-guerre à aujourd’hui.

 

Il y a également eu des pétitions signées par des milliers de scientifiques qui ont exprimé leur désaccord avec l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique. Notamment celle lancée en 2007 par le physicien F. Seitz, ancien président de l’American National Academy of Sciences, et celle lancée par le Groupe d’experts International Non Gouvernemental sur l’évolution du climat (NIPCC), dont le rapport 2009 conclut que » la nature, et non l’activité humaine, gouverne le climat « .

 

En conclusion, vu l’importance cruciale des combustibles fossiles pour l’approvisionnement énergétique de l’humanité, nous suggérons de refuser d’adhérer à des politiques de réduction des émissions de dioxyde de carbone dans l’atmosphère sous le prétexte illusoire de gouverner le climat.

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COMITÉ DE LANCEMENT[*n]Uberto Crescenti, Professeur émérite de géologie appliquée, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara, ancien Recteur magnifique et Président de la Société italienne de géologie.

[*n]Giuliano Panza, Professeur de sismologie, Université de Trieste, Académicien du Lincei et de l’Académie Nationale des Sciences, connu comme le XL, Prix International 2018 de l’Union Géophysique Américaine.

[*n]Alberto Prestininzi, professeur de géologie appliquée, Université La Sapienza, Rome, ancien rédacteur scientifique en chef de la revue internationale IJEGE et directeur du Centre de recherche sur la prévision et le contrôle des risques géologiques.

[*n]Franco Prodi, professeur de physique atmosphérique, Université de Ferrare.

[*n]Franco Battaglia, professeur de chimie physique, Université de Modène ; Movimento Galileo 2001.

[*n]Mario Giaccio, professeur de technologie et d’économie des sources d’énergie, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara, ancien doyen de la faculté d’économie.

[*n]Enrico Miccadei, Professeur de Géographie, Physique et Géomorphologie, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Nicola Scafetta, professeur de physique atmosphérique et d’océanographie, Université Frédérico II de Naples

 

SIGNATAIRES[*n]Antonino Zichichi, Professore Emerito di Fisica, Università di Bologna, Fondatore e Presidente del Centro di Cultura Scientifica Ettore Majorana di Erice.

[*n]Renato Angelo Ricci, Professore Emerito di Fisica, Università di Padova, già Presidente della Società Italiana di Fisica e della Società Europea di Fisica; Movimento Galileo 2001.

[*n]Aurelio Misiti, Professore di Ingegneria Sanitaria-Ambientale, Università la Sapienza, Roma.

[*n]Antonio Brambati, Professore di Sedimentologia, Università di Trieste, Responsabile Progetto Paleoclima-mare del PNRA, già Presidente Commissione Nazionale di Oceanografia.

[*n]Cesare Barbieri, Professore Emerito di Astronomia, Università di Padova.

[*n]Sergio Bartalucci, Fisico, Presidente Associazione Scienziati e Tecnologi per la Ricerca Italiana.

[*n]Antonio Bianchini, Professore di Astronomia, Università di Padova.

[*n]Paolo Bonifazi, già Direttore Istituto di Fisica dello Spazio Interplanetario, Istituto Nazionale Astrofisica.

[*n]Francesca Bozzano, Professore di Geologia Applicata, Università Sapienza di Roma, Direttore del Centro di Ricerca CERI.

[*n]Marcello Buccolini, Professore di Geomorfologia, Università Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Paolo Budetta, Professore di Geologia Applicata, Università di Napoli.

[*n]Monia Calista, Ricercatore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Giovanni Carboni, Professore di Fisica, Università Tor Vergata, Roma; Movimento Galileo 2001.

[*n]Franco Casali, Professore di Fisica, Università di Bologna e Accademia delle Scienze di Bologna.

[*n]Giuliano Ceradelli, Ingegnere e climatologo, ALDAI.

[*n]Domenico Corradini, Professore di Geologia Storica, Università di Modena.

[*n]Fulvio Crisciani, Professore di Fluidodinamica Geofisica, Università di Trieste e Istituto Scienze Marine, Cnr, Trieste.

[*n]Carlo Esposito, Professore di Telerilevamento, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Mario Floris, Professore di Telerilevamento, Università di Padova.

[*n]Gianni Fochi, Chimico, Scuola Normale Superiore di Pisa; giornalista scientifico.

[*n]Mario Gaeta, Professore di Vulcanologia, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Giuseppe Gambolati, Fellow della American Geophysica Union, Professore di Metodi Numerici, Università di Padova.

[*n]Rinaldo Genevois, Professore di Geologia Applicata, Università di Padova.

[*n]Carlo Lombardi, Professore di Impianti nucleari, Politecnico di Milano.

[*n]Luigi Marino, Geologo, Centro Ricerca Previsione e Controllo Rischi Geologici, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Salvatore Martino, Professore di Microzonazione sismica, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Paolo Mazzanti, Professore di Interferometria satellitare, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Adriano Mazzarella, Professore di Meteorologia e Climatologia, Università di Napoli.

[*n]Carlo Merli, Professore di Tecnologie Ambientali, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Alberto Mirandola, Professore di Energetica Applicata e Presidente Dottorato di Ricerca in Energetica, Università di Padova.

[*n]Renzo Mosetti, Professore di Oceanografia, Università di Trieste, già Direttore del Dipartimento di Oceanografia, Istituto OGS, Trieste.

[*n]Daniela Novembre, Ricercatore in Georisorse Minerarie e Applicazioni Mineralogichepetrografiche, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Sergio Ortolani, Professore di Astronomia e Astrofisica, Università di Padova.

[*n]Antonio Pasculli, Ricercatore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Ernesto Pedrocchi, Professore Emerito di Energetica, Politecnico di Milano.

[*n]Tommaso Piacentini, Professore di Geografia Fisica e Geomorfologia, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Guido Possa, Ingegnere nucleare, già Vice Ministro Miur.

[*n]Mario Luigi Rainone, Professore di Geologia Applicata, Università di Chieti-Pescara.

[*n]Francesca Quercia, Geologo, Dirigente di ricerca, Ispra.

[*n]Giancarlo Ruocco, Professore di Struttura della Materia, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Sergio Rusi, Professore di Idrogeologia, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Massimo Salleolini, Professore di Idrogeologia Applicata e Idrologia Ambientale, Università di Siena.

[*n]Emanuele Scalcione, Responsabile Servizio Agrometeorologico Regionale Alsia, Basilicata.

[*n]Nicola Sciarra, Professore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Leonello Serva, Geologo, Direttore Servizi Geologici d’Italia; Movimento Galileo 2001.

[*n]Luigi Stedile, Geologo, Centro Ricerca Revisione e Controllo Rischi Geologici, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Giorgio Trenta, Fisico e Medico, Presidente Emerito dell’Associazione Italiana di Radioprotezione Medica; Movimento Galileo 2001.

[*n]Gianluca Valenzise, Dirigente di Ricerca, Istituto Nazionale di Geofisica e Vulcanologia, Roma.

[*n]Corrado Venturini, Professore di Geologia Strutturale, Università di Bologna.

[*n]Franco Zavatti, Ricercatore di Astronomia, Univesità di Bologna.

[*n]Achille Balduzzi, Geologo, Agip-Eni.

[*n]Claudio Borri, Professore di Scienze delle Costruzioni, Università di Firenze, Coordinatore del Dottorato Internazionale in Ingegneria Civile.

[*n]Pino Cippitelli, Geologo Agip-Eni.

[*n]Franco Di Cesare, Dirigente, Agip-Eni.

[*n]Serena Doria, Ricercatore di Probabilità e Statistica Matematica, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Enzo Siviero, Professore di Ponti, Università di Venezia, Rettore dell’Università e- Campus.

[*n]Pietro Agostini, Ingegnere, Associazione Scienziati e Tecnolgi per la Ricerca Italiana.

[*n]Donato Barone, Ingegnere.

[*n]Roberto Bonucchi, Insegnante.

[*n]Gianfranco Brignoli, Geologo.

[*n]Alessandro Chiaudani, Ph.D. agronomo, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Antonio Clemente, Ricercatore di Urbanistica, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Luigi Fressoia, Architetto urbanista, Perugia.

[*n]Sabino Gallo, Ingegnere nucleare.

[*n]Daniela Giannessi, Primo Ricercatore, Ipcf-Cnr, Pisa.

[*n]Roberto Grassi, Ingegnere, Amministratore G&G, Roma.

[*n]Alberto Lagi, Ingegnere, Presidente di Società Ripristino Impianti Complessi Danneggiati.

[*n]Luciano Lepori, Ricercatore Ipcf-Cnr, Pisa.

[*n]Roberto Madrigali, Metereologo.

[*n]Ludovica Manusardi, Fisico nucleare e Giornalista scientifico, Ugis.

[*n]Maria Massullo, Tecnologa, Enea-Casaccia, Roma.

[*n]Enrico Matteoli, Primo Ricercatore, Ipcf-Cnr, Pisa.

[*n]Gabriella Mincione, Professore di Scienze e Tecniche di Medicina di Laboratorio, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Massimo Pallotta, Primo Tecnologo, Istituto Nazionale Fisica Nucleare.

[*n]Enzo Pennetta, Professore di Scienze naturali e divulgatore scientifico.

[*n]Nunzia Radatti, Chimico, Sogin.

[*n]Vincenzo Romanello, Ingegnere nucleare, Centro Ricerca, Rez, Repubblica Ceca.

[*n]Alberto Rota, Ingegnere, Ricercatore presso Cise e Enel.

[*n]Massimo Sepielli, Direttore di Ricerca, Enea, Roma.

[*n]Ugo Spezia, Ingegnere, Responsabile Sicurezza Industriale, Sogin; Movimento Galileo 2001.

[*n]Emilio Stefani, Professore di Patologia vegetale, Università di Modena.

[*n]Umberto Tirelli, Visiting Senior Scientist, Istituto Tumori d’Aviano; Movimento Galileo 2001.

[*n]Roberto Vacca, Ingegnere e scrittore scientifico.

 

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ça bouge aussi en Italie

 

 

Climat : une pétition à contre-courant en Italie

 

6 juillet 2019

 

 

Nous publions la pétition sur le climat préparée par le professeur Uberto Crescenti – Professeur titulaire de géologie appliquée à l’Université G. d’Annunzio de Chieti ; il a été Recteur de l’Université G. d’Annunzio de 1985 à 1997, président de la Société italienne de géologie de 1999 à 2005, fondateur et président de l’Association italienne de géologie appliquée et d’environnement de 1999 à 2005, fondateur et président en 2001 de l’Association italienne « géologie et tourisme », et des scientifiques de renommée internationale, afin d’encourager un débat sérieux sur l’avenir de notre planète, fondé sur les connaissances scientifiques et sans contraintes politiques. Traduction : Camille Veyres.

 

Au Président de la République

 

Au Président du Sénat

 

Au Président de la Chambre des députés

 

Au Président du Conseil

 

PÉTITION SUR LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE ANTHROPIQUE

Nous soussignés, citoyens et hommes de science, invitons avec force les décideurs politiques à adopter des politiques de protection de l’environnement qui soient compatibles avec les connaissances scientifiques. En particulier, il est urgent de lutter contre la pollution là où elle se produit, comme l’indiquent les meilleures données scientifiques. A cet égard, il est regrettable que les connaissances mises à disposition par le monde de la recherche soient utilisées trop tard pour réduire les émissions anthropiques de polluants très répandus dans les systèmes environnementaux tant continentaux que marins.

 

Cependant, il faut être bien conscient que le dioxyde de carbone lui-même n’est pas un polluant. Au contraire, il est indispensable à la vie sur notre planète.

 

Au cours des dernières décennies, s’est répandue une hypothèse selon laquelle le réchauffement de la surface de la terre d’environ 0,9°C observé depuis 1850 serait anormal et dû aux activités humaines, en particulier à l’émission dans l’atmosphère de CO2 venant de l’utilisation des combustibles fossiles.

 

C’est là la thèse du réchauffement climatique anthropique promue par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies, dont les conséquences seraient des changements environnementaux si graves qu’ils feraient craindre des dommages énormes dans un avenir proche, à moins que des mesures drastiques et très coûteuses soient adoptées immédiatement. De nombreuses nations du monde ont adhéré à des programmes de réduction des émissions de dioxyde de carbone et une propagande de plus en plus virulente les invite à adopter des programmes toujours plus exigeants dont la mise en œuvre, très onéreuse pour les économies de ces Etats, serait, prétend-on, nécessaire à la maîtrise du climat et au « salut » de la planète.

 

L’origine anthropique du réchauffement de la planète est cependant une conjecture non prouvée, déduite uniquement de certains modèles climatiques, c’est-à-dire de programmes informatiques complexes, appelés modèles de circulation générale.

 

Au contraire, la littérature scientifique a, mis en évidence l’existence d’une variabilité climatique naturelle que les modèles ne sont pas capables de reproduire, variabilité naturelle de mieux en mieux vérifiée.

 

Cette variabilité naturelle explique une part importante du réchauffement climatique observé depuis 1850.

 

La responsabilité anthropique du changement climatique observée au siècle dernier est donc exagérée de façon injustifiée et les prévisions catastrophiques sont irréalistes.

 

Le climat est le système le plus complexe sur notre planète : nous devons donc l’aborder avec des méthodes appropriées et adaptées à son niveau de complexité. Les modèles de simulation climatique ne reproduisent pas la variabilité naturelle observée du climat et, en particulier, ne reconstituent pas les périodes chaudes des 10 000 dernières années. Celles-ci se sont répétées environ tous les mille ans : on y trouve la période médiévale chaude, bien connue, la période romaine chaude, et généralement de grandes périodes chaudes pendant l’Optimum holocène [il y a 8000 ans].

 

Ces périodes passées étaient plus chaudes que la période actuelle, bien que la concentration de CO2 y ait alors été inférieure à la concentration actuelle ; elles sont liées aux cycles millénaires de l’activité solaire. Ces effets ne sont pas reproduits par les modèles.

 

Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a, en fait, commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder. Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.

 

De plus, les modèles ne parviennent pas à reproduire les oscillations climatiques bien connues de période 60 ans environ. Celles-ci ont été responsables, d’une période de réchauffement (1850-1880) suivie d’une période de refroidissement (1880-1910), puis d’une période de réchauffement (1910-1940), d’une période de refroidissement (1940-70) et d’une nouvelle période de réchauffement (1970-2000) semblable à celle observée 60 ans auparavant.

 

Les années suivantes (2000-2019) ont vu non pas l’augmentation prévue par les modèles, d’environ 0,2°C par décennie, mais une nette stabilité climatique sporadiquement interrompue par les oscillations naturelles rapides de l’océan Pacifique équatorial, appelées El Niño Southern Oscillation (ENSO), telles que celle qui a amené un réchauffement temporaire en 2015 et 2016.

 

Les médias affirment également que les événements extrêmes, tels qu’ouragans et cyclones, ont augmenté de façon inquiétante. Non ! Ces événements, sont , comme de nombreux systèmes climatiques, modulés par le cycle de 60 ans que l’on vient de signaler. Voyons, par exemple, les données officielles depuis 1880 sur les cyclones tropicaux atlantiques qui ont frappé l’Amérique du Nord : elles montrent une forte oscillation de 60 ans, corrélée à l’oscillation thermique de l’océan Atlantique appelée Atlantic Multi-decadal Oscillation (AMO). Les pics observés pendant dix ans sont comparables pour les années 1880-90, 1940-50 et 1995-2005. De 2005 à 2015, le nombre de cyclones a diminué, suivant le cycle susmentionné.

 

Ainsi, sur la période 1880-2015, il n’y a pas de corrélation entre le nombre de cyclones, qui oscille et le CO2 qui augmente de façon monotone.

 

Le système climatique n’est pas encore suffisamment bien compris. S’il est vrai que le CO2 est un gaz à effet de serre, la sensibilité du climat à son augmentation dans l’atmosphère est, selon le GIEC lui-même, encore extrêmement incertaine. Un doublement de la concentration atmosphérique de CO2, d’environ 300 ppm avant l’ère industrielle à 600 ppm, pourrait, dit-on, faire monter la température moyenne de la planète d’au moins 1°C à au plus 5°C.

 

Cette incertitude est énorme. Cependant, de nombreuses études récentes fondées sur des données expérimentales estiment que la sensibilité du climat au CO2 est nettement moindre que celle estimée par les modèles du GIEC.

 

Il est donc scientifiquement irréaliste d’attribuer à l’homme la responsabilité du réchauffement observé de 1900 à nos jours. Les prédictions alarmistes ne sont donc pas crédibles, puisqu’elles sont basées sur des modèles dont les résultats sont en contradiction avec les données observées.

 

Tout porte à croire que ces modèles surestiment la contribution anthropique et sous-estiment la variabilité climatique naturelle, en particulier celle induite par le soleil, la Lune et les oscillations océaniques.

 

Enfin, les médias ont fait passer le message qu’ il y aurait un consensus quasi unanime parmi les scientifiques sur la cause anthropique de l’actuel changement climatique et que le débat scientifique serait donc clos. Et pourtant, nous devons tout d’abord être bien conscients que la méthode scientifique exige que ce soient les faits, et non le nombre de croyants qui d’une conjecture font une théorie scientifique consolidée.

 

Quoi qu’il en soit, même ce supposé consensus n’existe pas. Les opinions des spécialistes – climatologues, météorologues, géologues, géophysiciens, astrophysiciens – sont très variables et nombre d’entre eux reconnaissent l’importance de la contribution naturelle au réchauffement planétaire observée depuis la période préindustrielle et même au réchauffement de l’après-guerre à aujourd’hui.

 

Il y a également eu des pétitions signées par des milliers de scientifiques qui ont exprimé leur désaccord avec l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique. Notamment celle lancée en 2007 par le physicien F. Seitz, ancien président de l’American National Academy of Sciences, et celle lancée par le Groupe d’experts International Non Gouvernemental sur l’évolution du climat (NIPCC), dont le rapport 2009 conclut que » la nature, et non l’activité humaine, gouverne le climat « .

 

En conclusion, vu l’importance cruciale des combustibles fossiles pour l’approvisionnement énergétique de l’humanité, nous suggérons de refuser d’adhérer à des politiques de réduction des émissions de dioxyde de carbone dans l’atmosphère sous le prétexte illusoire de gouverner le climat.

 

 

C'est un beau résumé bien fait de la situation.

 

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COMITÉ DE LANCEMENT[*n]Uberto Crescenti, Professeur émérite de géologie appliquée, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara, ancien Recteur magnifique et Président de la Société italienne de géologie.

[*n]Giuliano Panza, Professeur de sismologie, Université de Trieste, Académicien du Lincei et de l’Académie Nationale des Sciences, connu comme le XL, Prix International 2018 de l’Union Géophysique Américaine.

[*n]Alberto Prestininzi, professeur de géologie appliquée, Université La Sapienza, Rome, ancien rédacteur scientifique en chef de la revue internationale IJEGE et directeur du Centre de recherche sur la prévision et le contrôle des risques géologiques.

[*n]Franco Prodi, professeur de physique atmosphérique, Université de Ferrare.

[*n]Franco Battaglia, professeur de chimie physique, Université de Modène ; Movimento Galileo 2001.

[*n]Mario Giaccio, professeur de technologie et d’économie des sources d’énergie, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara, ancien doyen de la faculté d’économie.

[*n]Enrico Miccadei, Professeur de Géographie, Physique et Géomorphologie, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Nicola Scafetta, professeur de physique atmosphérique et d’océanographie, Université Frédérico II de Naples

 

SIGNATAIRES[*n]Antonino Zichichi, Professore Emerito di Fisica, Università di Bologna, Fondatore e Presidente del Centro di Cultura Scientifica Ettore Majorana di Erice.

[*n]Renato Angelo Ricci, Professore Emerito di Fisica, Università di Padova, già Presidente della Società Italiana di Fisica e della Società Europea di Fisica; Movimento Galileo 2001.

[*n]Aurelio Misiti, Professore di Ingegneria Sanitaria-Ambientale, Università la Sapienza, Roma.

[*n]Antonio Brambati, Professore di Sedimentologia, Università di Trieste, Responsabile Progetto Paleoclima-mare del PNRA, già Presidente Commissione Nazionale di Oceanografia.

[*n]Cesare Barbieri, Professore Emerito di Astronomia, Università di Padova.

[*n]Sergio Bartalucci, Fisico, Presidente Associazione Scienziati e Tecnologi per la Ricerca Italiana.

[*n]Antonio Bianchini, Professore di Astronomia, Università di Padova.

[*n]Paolo Bonifazi, già Direttore Istituto di Fisica dello Spazio Interplanetario, Istituto Nazionale Astrofisica.

[*n]Francesca Bozzano, Professore di Geologia Applicata, Università Sapienza di Roma, Direttore del Centro di Ricerca CERI.

[*n]Marcello Buccolini, Professore di Geomorfologia, Università Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Paolo Budetta, Professore di Geologia Applicata, Università di Napoli.

[*n]Monia Calista, Ricercatore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Giovanni Carboni, Professore di Fisica, Università Tor Vergata, Roma; Movimento Galileo 2001.

[*n]Franco Casali, Professore di Fisica, Università di Bologna e Accademia delle Scienze di Bologna.

[*n]Giuliano Ceradelli, Ingegnere e climatologo, ALDAI.

[*n]Domenico Corradini, Professore di Geologia Storica, Università di Modena.

[*n]Fulvio Crisciani, Professore di Fluidodinamica Geofisica, Università di Trieste e Istituto Scienze Marine, Cnr, Trieste.

[*n]Carlo Esposito, Professore di Telerilevamento, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Mario Floris, Professore di Telerilevamento, Università di Padova.

[*n]Gianni Fochi, Chimico, Scuola Normale Superiore di Pisa; giornalista scientifico.

[*n]Mario Gaeta, Professore di Vulcanologia, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Giuseppe Gambolati, Fellow della American Geophysica Union, Professore di Metodi Numerici, Università di Padova.

[*n]Rinaldo Genevois, Professore di Geologia Applicata, Università di Padova.

[*n]Carlo Lombardi, Professore di Impianti nucleari, Politecnico di Milano.

[*n]Luigi Marino, Geologo, Centro Ricerca Previsione e Controllo Rischi Geologici, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Salvatore Martino, Professore di Microzonazione sismica, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Paolo Mazzanti, Professore di Interferometria satellitare, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Adriano Mazzarella, Professore di Meteorologia e Climatologia, Università di Napoli.

[*n]Carlo Merli, Professore di Tecnologie Ambientali, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Alberto Mirandola, Professore di Energetica Applicata e Presidente Dottorato di Ricerca in Energetica, Università di Padova.

[*n]Renzo Mosetti, Professore di Oceanografia, Università di Trieste, già Direttore del Dipartimento di Oceanografia, Istituto OGS, Trieste.

[*n]Daniela Novembre, Ricercatore in Georisorse Minerarie e Applicazioni Mineralogichepetrografiche, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Sergio Ortolani, Professore di Astronomia e Astrofisica, Università di Padova.

[*n]Antonio Pasculli, Ricercatore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Ernesto Pedrocchi, Professore Emerito di Energetica, Politecnico di Milano.

[*n]Tommaso Piacentini, Professore di Geografia Fisica e Geomorfologia, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Guido Possa, Ingegnere nucleare, già Vice Ministro Miur.

[*n]Mario Luigi Rainone, Professore di Geologia Applicata, Università di Chieti-Pescara.

[*n]Francesca Quercia, Geologo, Dirigente di ricerca, Ispra.

[*n]Giancarlo Ruocco, Professore di Struttura della Materia, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Sergio Rusi, Professore di Idrogeologia, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Massimo Salleolini, Professore di Idrogeologia Applicata e Idrologia Ambientale, Università di Siena.

[*n]Emanuele Scalcione, Responsabile Servizio Agrometeorologico Regionale Alsia, Basilicata.

[*n]Nicola Sciarra, Professore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Leonello Serva, Geologo, Direttore Servizi Geologici d’Italia; Movimento Galileo 2001.

[*n]Luigi Stedile, Geologo, Centro Ricerca Revisione e Controllo Rischi Geologici, Università La Sapienza, Roma.

[*n]Giorgio Trenta, Fisico e Medico, Presidente Emerito dell’Associazione Italiana di Radioprotezione Medica; Movimento Galileo 2001.

[*n]Gianluca Valenzise, Dirigente di Ricerca, Istituto Nazionale di Geofisica e Vulcanologia, Roma.

[*n]Corrado Venturini, Professore di Geologia Strutturale, Università di Bologna.

[*n]Franco Zavatti, Ricercatore di Astronomia, Univesità di Bologna.

[*n]Achille Balduzzi, Geologo, Agip-Eni.

[*n]Claudio Borri, Professore di Scienze delle Costruzioni, Università di Firenze, Coordinatore del Dottorato Internazionale in Ingegneria Civile.

[*n]Pino Cippitelli, Geologo Agip-Eni.

[*n]Franco Di Cesare, Dirigente, Agip-Eni.

[*n]Serena Doria, Ricercatore di Probabilità e Statistica Matematica, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Enzo Siviero, Professore di Ponti, Università di Venezia, Rettore dell’Università e- Campus.

[*n]Pietro Agostini, Ingegnere, Associazione Scienziati e Tecnolgi per la Ricerca Italiana.

[*n]Donato Barone, Ingegnere.

[*n]Roberto Bonucchi, Insegnante.

[*n]Gianfranco Brignoli, Geologo.

[*n]Alessandro Chiaudani, Ph.D. agronomo, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Antonio Clemente, Ricercatore di Urbanistica, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Luigi Fressoia, Architetto urbanista, Perugia.

[*n]Sabino Gallo, Ingegnere nucleare.

[*n]Daniela Giannessi, Primo Ricercatore, Ipcf-Cnr, Pisa.

[*n]Roberto Grassi, Ingegnere, Amministratore G&G, Roma.

[*n]Alberto Lagi, Ingegnere, Presidente di Società Ripristino Impianti Complessi Danneggiati.

[*n]Luciano Lepori, Ricercatore Ipcf-Cnr, Pisa.

[*n]Roberto Madrigali, Metereologo.

[*n]Ludovica Manusardi, Fisico nucleare e Giornalista scientifico, Ugis.

[*n]Maria Massullo, Tecnologa, Enea-Casaccia, Roma.

[*n]Enrico Matteoli, Primo Ricercatore, Ipcf-Cnr, Pisa.

[*n]Gabriella Mincione, Professore di Scienze e Tecniche di Medicina di Laboratorio, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.

[*n]Massimo Pallotta, Primo Tecnologo, Istituto Nazionale Fisica Nucleare.

[*n]Enzo Pennetta, Professore di Scienze naturali e divulgatore scientifico.

[*n]Nunzia Radatti, Chimico, Sogin.

[*n]Vincenzo Romanello, Ingegnere nucleare, Centro Ricerca, Rez, Repubblica Ceca.

[*n]Alberto Rota, Ingegnere, Ricercatore presso Cise e Enel.

[*n]Massimo Sepielli, Direttore di Ricerca, Enea, Roma.

[*n]Ugo Spezia, Ingegnere, Responsabile Sicurezza Industriale, Sogin; Movimento Galileo 2001.

[*n]Emilio Stefani, Professore di Patologia vegetale, Università di Modena.

[*n]Umberto Tirelli, Visiting Senior Scientist, Istituto Tumori d’Aviano; Movimento Galileo 2001.

[*n]Roberto Vacca, Ingegnere e scrittore scientifico.

 

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Le consensus scientifique :ange:

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je mets ce poste mais pas pour porter une position mais qu'on entendent vraiment les parties sans se mettre les injures à la figure

 

voici ce qui est arrivé:

 

 

Chimiste reconnu, professeur émérite à l’université de Strasbourg et Directeur du département Chimie du CNRS mais climato-mal-pensant, Jean-Claude Bernier a publié en mai 2019 dans la revue professionnelle de la Société chimique de France une rubrique dans laquelle il émet l’hypothèse que le réchauffement récent est dû à la variabilité naturelle du climat, « peut-être accélérée (ou peut-être pas) par nos émissions de gaz à effet de serre ».

 

Les réactions indignées suscitées par cette rubrique ont amené la Société chimique de France à la retirer de son site internet. Légitimement mécontent, Jean-Claude Bernier a alors sollicité le soutien de ses collègues pour dénoncer cette censure, qu’il a obtenu sous la forme d’une texte signé par vingt-cinq membres (sur trente-trois) de la section « chimie » de l’Académie des sciences.

 

A la la suite à cette action collective, la chronique de Jean-Claude Bernier a été finalement remise en ligne. Nous reproduisons ci-dessous le texte signé par les 25 académiciens.

 

 

 

 

"Est-il possible d’écrire une chronique sur le climat de nos jours ?"

 

En mai 2019, pour la première fois dans son histoire, à notre connaissance, le Bureau de la Société chimique de France a retiré de son site internet une chronique de son journal d’information publiée dans l’Actualité chimique.

Que s’est-il passé pour qu’une telle marque de désaveu soit mise en place ? De telles chroniques n’engagent que leurs auteurs membres de cette société savante, en aucun cas celle de notre honorable société, créée en 1857. Avions-nous affaire à un texte diffamatoire à l’encontre d’une institution, d’une personne ?

Non, le comité éditorial eut évité la diffusion d’un tel texte et par ailleurs les auteurs de ces chroniques sont connus de tous les membres de la Société chimique de France. Dans le cas qui nous concerne, il s’agit d’une chronique écrite par un de nos collègues, Jean-Claude Bernier, apprécié pour la qualité de ses analyses, de ses propos mesurés, de ses compétences professionnelles.

Il a été un professeur respecté à l’Université de Strasbourg, un directeur du département Chimie du CNRS et un membre actif du bureau de la Société chimique.

Qu’a t-il écrit de transgressif pour subir les foudres des réseaux sociaux, d’opinions outrées, souvent violentes et exigeant cet acte de censure ? Jean-Claude Bernier a souhaité faire part de son regard sur les discussions actuelles concernant les fluctuations du climat, en s’appuyant sur des publications scientifiques, validées par les pairs.

Dans sa chronique, l’auteur ose poser, pas en tant que spécialiste du climat, mais en tant que scientifique apte à raisonner, des questions sur l’histoire des théories du changement climatique et sur les mécanismes de ce changement. La violence des réactions que ce texte a déclenchée reflète la difficulté que rencontre actuellement un scientifique sur ce sujet comme sur d’autres.

Le doute scientifique fait partie intrinsèque de la démarche scientifique. C’est la pratique quotidienne des chercheurs, celle des séminaires dans les équipes de recherche, celle des conférences, celle des rapporteurs d’articles dans les journaux scientifiques.

Nous en connaissons les règles : celui qui se permet d’émettre des doutes sur un travail sans argument ou avec des approximations évidentes peut s’attirer les remarques acerbes de ses collègues, mais il peut répondre à ses pairs, échanger avec eux. Par contre, tout argument mettant en évidence une faille dans le raisonnement va permettre immédiatement de revoir une idée, un concept, une expérience.

c’est ainsi que le science avance depuis toujours.

Même à l’intérieur des grands conglomérats de scientifiques tels que le GIEC, des chercheurs doutent, se remettent en question et acceptent d’être confrontés à des points de vue contradictoires.

Imaginer le contraire, penser que tous ces travaux sont maintenant hors du champ de la discussion scientifique serait très inquiétant pour l’avenir de la communauté des chercheurs.

Les réseaux sociaux et les messageries électroniques sont devenus des composantes importantes de la communication depuis une dizaine d’années. La rapidité des échanges et la liberté de ton qui les caractérisent ne doit pas aboutir à faire reculer les débats scientifiques, en jetant des anathèmes sur qui a le droit ou non de s’exprimer sur un sujet, quel que soit son importance.

Si les chercheurs devaient passer sous ces nouvelles fourches caudines, il est à craindre que nous aurions tout à perdre : non seulement sur le plan de l’avancement de la science, mais aussi sur l’avenir du dialogue dans nos démocraties.

Les membres de la section chimie de l’Académie des sciences dont la liste figure ci-après regrettent que la chronique de Jean-Claude Bernier ait été retirée de l’Actualité chimique du mois de mai 2019.

 

 

Les membres suivants ont signé ce texte (en date du 4 juin 2019)

 

Christian Amatore, Jean-Marc Basset, Guy Bertrand, Azzedine Bousseksou, Pierre Braunstein, Janine Cossy, Patrick Couvreur, Marc Fontecave, Robert Guillaumont, Henri Kagan, Jean-Paul Knochel, Jean-Marie Lehn, Jacques Livage, Jacques Lucas, Daniel Mansuy, Ilan Marek, François Mathey, Bernard Meunier, Michel Pouchard, Bernard Raveau, Michel Rohmer, Clément Sanchez, Philippe Sautet, Jean-Pierre Sauvage, Pierre Sinay.

 

http://www.lactualitechimique.org/Actualites-Web/Est-il-possible-d-ecrire-une-chronique-sur-le-climat-de-nos-jours-Section-chimie-de-l-Academie-des

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je mets ce poste mais pas pour porter une position mais qu'on entendent vraiment les parties sans se mettre les injures à la figure

 

voici ce qui est arrivé:

 

 

Chimiste reconnu, professeur émérite à l’université de Strasbourg et Directeur du département Chimie du CNRS mais climato-mal-pensant, Jean-Claude Bernier a publié en mai 2019 dans la revue professionnelle de la Société chimique de France une rubrique dans laquelle il émet l’hypothèse que le réchauffement récent est dû à la variabilité naturelle du climat, « peut-être accélérée (ou peut-être pas) par nos émissions de gaz à effet de serre ».

 

Les réactions indignées suscitées par cette rubrique ont amené la Société chimique de France à la retirer de son site internet. Légitimement mécontent, Jean-Claude Bernier a alors sollicité le soutien de ses collègues pour dénoncer cette censure, qu’il a obtenu sous la forme d’une texte signé par vingt-cinq membres (sur trente-trois) de la section « chimie » de l’Académie des sciences.

 

A la la suite à cette action collective, la chronique de Jean-Claude Bernier a été finalement remise en ligne. Nous reproduisons ci-dessous le texte signé par les 25 académiciens.

 

 

 

 

"Est-il possible d’écrire une chronique sur le climat de nos jours ?"

 

En mai 2019, pour la première fois dans son histoire, à notre connaissance, le Bureau de la Société chimique de France a retiré de son site internet une chronique de son journal d’information publiée dans l’Actualité chimique.

Que s’est-il passé pour qu’une telle marque de désaveu soit mise en place ? De telles chroniques n’engagent que leurs auteurs membres de cette société savante, en aucun cas celle de notre honorable société, créée en 1857. Avions-nous affaire à un texte diffamatoire à l’encontre d’une institution, d’une personne ?

Non, le comité éditorial eut évité la diffusion d’un tel texte et par ailleurs les auteurs de ces chroniques sont connus de tous les membres de la Société chimique de France. Dans le cas qui nous concerne, il s’agit d’une chronique écrite par un de nos collègues, Jean-Claude Bernier, apprécié pour la qualité de ses analyses, de ses propos mesurés, de ses compétences professionnelles.

Il a été un professeur respecté à l’Université de Strasbourg, un directeur du département Chimie du CNRS et un membre actif du bureau de la Société chimique.

Qu’a t-il écrit de transgressif pour subir les foudres des réseaux sociaux, d’opinions outrées, souvent violentes et exigeant cet acte de censure ? Jean-Claude Bernier a souhaité faire part de son regard sur les discussions actuelles concernant les fluctuations du climat, en s’appuyant sur des publications scientifiques, validées par les pairs.

Dans sa chronique, l’auteur ose poser, pas en tant que spécialiste du climat, mais en tant que scientifique apte à raisonner, des questions sur l’histoire des théories du changement climatique et sur les mécanismes de ce changement. La violence des réactions que ce texte a déclenchée reflète la difficulté que rencontre actuellement un scientifique sur ce sujet comme sur d’autres.

Le doute scientifique fait partie intrinsèque de la démarche scientifique. C’est la pratique quotidienne des chercheurs, celle des séminaires dans les équipes de recherche, celle des conférences, celle des rapporteurs d’articles dans les journaux scientifiques.

Nous en connaissons les règles : celui qui se permet d’émettre des doutes sur un travail sans argument ou avec des approximations évidentes peut s’attirer les remarques acerbes de ses collègues, mais il peut répondre à ses pairs, échanger avec eux. Par contre, tout argument mettant en évidence une faille dans le raisonnement va permettre immédiatement de revoir une idée, un concept, une expérience.

c’est ainsi que le science avance depuis toujours.

Même à l’intérieur des grands conglomérats de scientifiques tels que le GIEC, des chercheurs doutent, se remettent en question et acceptent d’être confrontés à des points de vue contradictoires.

Imaginer le contraire, penser que tous ces travaux sont maintenant hors du champ de la discussion scientifique serait très inquiétant pour l’avenir de la communauté des chercheurs.

Les réseaux sociaux et les messageries électroniques sont devenus des composantes importantes de la communication depuis une dizaine d’années. La rapidité des échanges et la liberté de ton qui les caractérisent ne doit pas aboutir à faire reculer les débats scientifiques, en jetant des anathèmes sur qui a le droit ou non de s’exprimer sur un sujet, quel que soit son importance.

Si les chercheurs devaient passer sous ces nouvelles fourches caudines, il est à craindre que nous aurions tout à perdre : non seulement sur le plan de l’avancement de la science, mais aussi sur l’avenir du dialogue dans nos démocraties.

Les membres de la section chimie de l’Académie des sciences dont la liste figure ci-après regrettent que la chronique de Jean-Claude Bernier ait été retirée de l’Actualité chimique du mois de mai 2019.

 

 

Les membres suivants ont signé ce texte (en date du 4 juin 2019)

 

Christian Amatore, Jean-Marc Basset, Guy Bertrand, Azzedine Bousseksou, Pierre Braunstein, Janine Cossy, Patrick Couvreur, Marc Fontecave, Robert Guillaumont, Henri Kagan, Jean-Paul Knochel, Jean-Marie Lehn, Jacques Livage, Jacques Lucas, Daniel Mansuy, Ilan Marek, François Mathey, Bernard Meunier, Michel Pouchard, Bernard Raveau, Michel Rohmer, Clément Sanchez, Philippe Sautet, Jean-Pierre Sauvage, Pierre Sinay.

 

http://www.lactualitechimique.org/Actualites-Web/Est-il-possible-d-ecrire-une-chronique-sur-le-climat-de-nos-jours-Section-chimie-de-l-Academie-des

 

 

 

Cela montre juste la pression qui peut être faite pour que les scientifiques qui ne sont pas d'accord avec la "thèse officielle validée" se taisent.

 

Point positif quand même, l'article censuré a été malgré tout remis en ligne vu le tollé général.

 

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Cela montre juste la pression qui peut être faite pour que les scientifiques qui ne sont pas d'accord avec la "thèse officielle validée" se taisent.

 

Point positif quand même, l'article censuré a été malgré tout remis en ligne vu le tollé général.

 

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25 sur 33 personnes ont signé, c'est quand même significatif

 

je remarque aussi qu'ils contestent pas le réchauffement mais la méthode pour savoir pourquoi ce réchauffement

 

pis, ils posent dès le début qu'il faut combattre bien d'autres choses comme le gaspillage et les polluants fossiles

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25 sur 33 personnes ont signé, c'est quand même significatif

 

je remarque aussi qu'ils contestent pas le réchauffement mais la méthode pour savoir pourquoi ce réchauffement

 

pis, ils posent dès le début qu'il faut combattre bien d'autres choses comme le gaspillage et les polluants fossiles

La mondialisation, par exemple?...

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La mondialisation, par exemple?...

 

 

la mondialisation, on nous fait croire que c'est depuis des décennies alors que c'est depuis des siècles

 

avant c'était par la force et les guerres, puis les banques, puis les industriels et maintenant les magnats sociaux comme les groupes pharmaceutiques et assurances, demain sera fait de quoi?

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Je remarque aussi qu'ils contestent pas le réchauffement mais la méthode pour savoir pourquoi ce réchauffement

 

 

1 degré pris par la planète depuis le petit age glaciaire. Dont la plus grande partie entre 1910 et 1945.

 

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aprés le go ;elle interdira l'essence et a terme tout véhicule meme les électriques si vous avez pas un logement

 

 

Si les parisiens veulent interdire les véhicules thermiques chez eux pourquoi pas. Qu'ils votent pour une maire qui le propose mais qu'ils en subissent aussi les conséquences financières associées ( trop de financements publics partent vers la région parisienne pour des aménagements transport au détriment d'autres régions ).

 

Par contre qu'on arrête d'emmerder et de culpabiliser ceux qui ailleurs n'ont pas d'autre solution evidente qu'un véhicule thermique pour pouvoir se déplacer et travailler.

 

De toute façon les politiques sont de plus en plus complètement décalés par rapport aux réalités. Il ne faut pas s'étonner du mouvement GJ ...

 

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anne hidalgo

 

comme tous c'est une écologie de posture.

elle se balade pas en métro mais en zoé accompagné de motards en moto thermique .

celà a été maintes fois dénoncé.

vu qu'elle est toujours en déplacement officiel ; son escorte grille les feux rouges voir prend les sens interdit pour gagner du temps.

sa politique antivoiture à paris

 

c'est surtout empécher les banlieusards de venir à paris.

pour rendre l'air de ses électeurs meilleurs mais aussi leur permettre de mieux circuler.

aprés le go ;elle interdira l'essence et a terme tout véhicule meme les électriques si vous avez pas un logement parisien.

une autre piste étudiée

l'octroi.

c'est à dire comme à londres faire payer cher l'accés à paris.

bien sur les parisiens en seraient esclus.. ou comme pour le stationnement actuel auraient un tarif riverain.

 

 

anne hidalgo sert ses interets et ceux des parisiens..

l'écologie est donc une posture electorale..

 

ce genre de comportement reproduit dans de nombreuses grandes villes.

dans une moindre mesure. Lyon et lilles avec leur périf à 70

 

c'est une sorte d'apartheid entre riches des villes et classe moyenne voir ouvriere des banlieux ou campagne.

une france à 2 vitesses..

une france qui se mélange plus.

 

 

les services publics de plus en plus rare en campagne..

hopitaux ; médecins;tribunaux poste commerce etc.

aujourd'hui les français en ont un peu assez d'ou le mouvement gilet jaune.

 

 

pour moi l'écologie ne doit pas etre un parti.

celà doit etre perso.

trier ses déchets.

éviter les déplacements inutiles..

 

faire durer et entretenir sa voiture.. plutot que la conduire comme un sauvage..

et changer souvent..

couper l'eau quand on se brosse les dents..

 

amenener ses déchets verts à la déchetterie plutot que bruler..

favoriser les circuit courts pour son alimentation.

manger les légumes de saison etc..

 

 

le parti écolo c'est soit des pastéques: vert dehors rouge dedans genre duflot..

ou des opportunistes comme de rugy.

lui est comme les autres en marche: trés "gentil" avec le patron macron..

mais en a profité pour se faire payer des repas privés par le contribuable...

s'il avait du les payer evidemment il en aurait fait 2 fois moins..

la bouffe aurait été plus locale et bien sur plus "écologique"..

 

car s'empiffrer manger trop de viande ou de homard c'est pas écolo!

 

 

pour jandot on verra mais vous verrez comme les autres il va monnayer ses 13%..

celà peut etre des maires... des conseillers municipals..

voir sa carrierre personnel..

je le vois bien ministre...

lors d'un remaniement minsitériel.. aprés les municipales..

comme les autres..

 

toujours des écolos dans les gvt depuis hollande..

 

 

bien ta prose :jap:

 

pour les pastèques bio, je sais pourquoi ça va jamais, dedans, il y a des pépins :o

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la mondialisation, on nous fait croire que c'est depuis des décennies alors que c'est depuis des siècles

 

avant c'était par la force et les guerres, puis les banques, puis les industriels et maintenant les magnats sociaux comme les groupes pharmaceutiques et assurances, demain sera fait de quoi?

 

Entre la marine à voile et les tankers (et les camions) il y a quand même une petite nuance?...

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Entre la marine à voile et les tankers (et les camions) il y a quand même une petite nuance?...

 

 

je te causais du but en soit de chaque Nation, de chaque civilisation depuis des temps immémoriaux sauf que maintenant, c'est des entités privées qui imposent ses vues :jap:

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Début du très chic et très select "summer camp" de Google en Sicile consacré a l'action contre le réchauffement climatique™.

 

Des invités de marque : Leonardo di caprio, Katie Perry, le Prince Harry et même Barack Obama sont attendus

 

La presse italienne fait état de 114 plans de vols déposés pour des jets privés devant atterrir à Palerne :p

 

https://palermo.gds.it/articol [...] d4d0a6fad/

 

Mais bon c'est pas du tout grave pour le climat, comme dirait Hidalgo, s'ils n'utilisaient pas des jets privés eux mêmes ils serviraient de toute façon à autre chose :spamafote:

 

.

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j'ai pris cela sur NATURE

 

 

 

Publié le:03 avril 2019

 

Cinq décennies d'absorption de carbone dans les terres nordiques révélée par le gradient de CO 2 interhémisphérique

Les puits mondiaux de carbone terrestre et océanique ont augmenté proportionnellement avec les émissions croissantes de dioxyde de carbone au cours des dernières décennies . On pense que les terres de l'hémisphère nord apportent une contribution prépondérante au puits mondial de carbone cependant, la tendance à long terme du puits de terre du nord reste incertaine.

Ici, en utilisant des mesures du gradient interhémisphérique de dioxyde de carbone atmosphérique de 1958 à 2016, nous montrons que le puits de terre nord est resté stable entre les années 1960 et la fin des années 1980, puis a augmenté de 0,5 ± 0,4 pétagrammes de carbone par an au cours des années 1990 et de 0,6 ± 0,5 pétagrammes de carbone par an pendant les années 2000.

L'augmentation des puits de terre du Nord dans les années 90 explique 65% de l'augmentation du flux de carbone terrestre au cours de cette période. L'augmentation subséquente dans les années 2000 est supérieure à celle du flux mondial de carbone terrestre, ce qui suggère une diminution concomitante de l'absorption de carbone dans l'hémisphère sud.

Comparaison de nos résultats avec les simulations d'un ensemble de modèles de carbone terrestre sur la même période suggère que le changement décennal dans les puits de terre septentrionaux entre les années 1960 et 1990 peut s'expliquer par une combinaison de concentrations croissantes de dioxyde de carbone atmosphérique, de la variabilité climatique et de changements dans la couverture terrestre.

Toutefois, tous les modèles sous-estiment l’augmentation enregistrée au cours des années 2000, ce qui suggère une meilleure prise en compte des modifications des facteurs tels que les dépôts d’azote, la lumière diffuse et les changements d’utilisation des sols.

Globalement, nos conclusions soulignent l’importance des terres de l’hémisphère Nord en tant que puits de carbone.

 

ça tendrai à prouver que la déforestation au sud est perçue par notre planète et quelle a pris l'option d'aller au nord?

 

si c'est ça, on a pas fini de se poser des questions sur notre Terre ;)

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Début du très chic et très select "summer camp" de Google en Sicile consacré a l'action contre le réchauffement climatique™.

 

Des invités de marque : Leonardo di caprio, Katie Perry, le Prince Harry et même Barack Obama sont attendus

 

La presse italienne fait état de 114 plans de vols déposés pour des jets privés devant atterrir à Palerne :p

 

https://palermo.gds.it/articol [...] d4d0a6fad/

 

Mais bon c'est pas du tout grave pour le climat, comme dirait Hidalgo, s'ils n'utilisaient pas des jets privés eux mêmes ils serviraient de toute façon à autre chose :spamafote:

 

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Oui mais eux c'est pour la bonne cause donc ils ont droit de faire plus de pollution que toi :o

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amusant? pathétique? comique? je sais pas quoi dire cela affole le web

 

j'espère que cette jeune fille va résister à l'emballement qui va pas manquer de servir, perso, ses parents sont des irresponsables à mon avis :non:

 

 

 

 

Sainte Greta Thunberg, priez pour nous !

Greta Thunberg, égérie de la cause climatique, est devenue une star, une icône, un modèle, un maître (on hésite à écrire : à penser), une sainte.

 

Par Rémy Prudhomme

 

Qu’une adolescente suédoise atteinte du syndrome d’Asperger, manipulée comme une marionnette par des parents militants, dise des sottises, cela peut malheureusement arriver. Il s’agit là d’un événement rare, aléatoire, qui appelle notre tristesse et notre compassion, mais qui n’a aucune signification.

 

Ce qui a une signification, en revanche, c’est l’accueil extraordinaire fait dans le monde, ou en tout cas dans le monde occidental, à la personne de la jeune handicapée, à son discours irrationnel, à ses préconisations. Les plus hautes autorités civiles et religieuses, du président de la France au pape, la reçoivent, la prennent au sérieux, l’écoutent, la cajolent.

 

UNE SAINTE LAÏQUE

 

Le Parlement européen est bien la seule institution à avoir, malgré les Verts qui y siègent, refusé de l’entendre proférer une adresse solennelle, en notant, avec un bon sens inhabituel, qu’un mardi matin, la place d’une gamine de 16 ans était sur les bancs de son école plutôt qu’à la tribune du Parlement.

 

Mais partout ailleurs, pour des dizaines de millions de zélotes, chez les jeunes et même chez les moins jeunes, Greta est devenue une star, une icône, un modèle, un maître (on hésite à écrire : à penser), une sainte. Une sainte. On a sans doute là un début d’explication du phénomène. Le réchauffisme est une religion.

 

Il avait sa doctrine, son catéchisme, ses pontifes, ses clercs, ses processions, ses conciles, ses Jésuites, ses banques. Il lui manquait ses saints. Il prétendait reposer sur la science, une science officielle certes, mais une science tout de même. Il jette cette béquille aux orties. Aucun responsable du GIEC, aucun député écologiste, n’a dit – et sans doute ne dira – que la capacité de Greta à « voir à l’œil nu » des rejets de CO2 repose sur du vent – le vent des éoliennes peut-être.

 

Le réchauffisme préfère maintenant s’appuyer sur les miracles de Sainte Greta. Il a raison : c’est plus sûr. Une tournée d’apparitions de Sainte Greta fait plus pour la cause que deux ou trois COPs. À un coût en CO2 bien moindre. Malraux disait : « le XXIe siècle sera religieux ou ne sera pas » ; il serait sans doute surpris de constater comment sa prédiction se réalise.

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[h2]Rémy Prud'homme[/h2]

 

Professeur émérite à l’Université de Paris XII, Rémy Prud’homme a fait ses études à HEC, à la Faculté de Droit et des Sciences Économiques de l’Université de Paris, à l’Université Harvard, ainsi qu’à l’Institut d’Études Politique de Paris. Il a enseigné aux Universités de Phnom-Penh, de Lille, de Paris XII, ainsi qu’au MIT (Massachusetts Institute of Technology) où il a été invité comme Professeur en visite à plusieurs reprises. De 1974 à 1976 il a travaillé à l’OCDE comme Directeur-Adjoint de la Direction de l’Environnement.

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j'espère que cette jeune fille va résister à l'emballement qui va pas manquer de servir, perso, ses parents sont des irresponsables à mon avis :non:

 

 

Mère artiste ancienne représentante de la suède a l'eurovision

Père acteur dans des séries pour ados mais qui n'a jamais percé ensuite

 

314@60.jpg

 

Suffit de rechercher 1 minute dans Google pour y trouver sa mère a moitié à poil

Voilà le topo

 

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Invité §Ven578KA

 

Mère artiste ancienne représentante de la suède a l'eurovision

Père acteur dans des séries pour ados mais qui n'a jamais percé ensuite

 

https://f.cdn-expressen.se/ima [...] 314@60.jpg

 

Suffit de rechercher 1 minute dans Google pour y trouver sa mère a moitié à poil

Voilà le topo

 

 

 

Elle est comme le jordy français. Un enfant a faire du pognon.

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Invité §Jes257LV

 

Tous les mvts, politiques ou non, ont besoin

d'idiots utiles.

 

;)

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