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[Topic Officiel] Actualités Peugeot: Gamme, Chiffres et Informations


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Invité §Lau620QA

Après la grave crise économique, le renouveau ?

 

http://automobile.challenges.f [...] atine.html

 

 

[h1]Pourquoi Michelin, Renault et PSA investissent en Amérique latine[/h1]

Par Alain-Gabriel Verdevoye

Voir tous ses articlesPublié le 04-07-2016 à 18h36

[h2]Michelin annonce 450 millions d'euros d'investissement au Mexique. Renault lance son pick-up Alaskan produit aussi au Mexique et bientôt en Argentine. PSA prévoit seize nouveaux modèles.[/h2]

 

http://referentiel.nouvelobs.com/file/15305207.jpgSi la silhouette est très proche de celle du Navara dont il dérive, le Renault Alaskan dispose d'un capot et d'ailes avant spécifiques. Image © Renault

 

 

 

Michelin, Renault. Mais pourquoi les Français investissent-ils donc dans une Amérique latine en crise, un marché de plus en plus marginalisé par rapport à la très lucrative Chine, voire à l'Inde? Le fabricant de pneus auvergnat a annoncé ce lundi 450 millions d'euros d'investissement à Leon (région centrale de Guanajuato au Mexique) pour produire 4 à 5 millions d'unités annuelles dès la fin 2018. Le constructeur automobile au losange a, pour sa part, dévoilé la semaine dernière à Medellin (Colombie) son nouveau pick-up Alaskan, produit à Cuernavaca (Mexique) et bientôt également à Cordoba (Argentine). Pour sa part, PSA a annoncé seize lancements de nouveau véhicules sur place d'ici à 2021.[h4]

[/h4][h4]Marché en baisse de 8%[/h4]

Constructeurs et fournisseurs continuent donc de parier sur le sous-continent. Pourtant, "le marché auto latino-américain aura baissé d'un million de véhicules en trois ans, à 5,2 millions attendus en 2016, avec une baisse de 8% encore prévue cette année", assure Olivier Murguet, Directeur Amériques de Renault. Et, au Brésil, il aura carrément chuté de 50% par rapport au record de 2012. Soit sa quatrième année consécutive de baisse.

Seulement, voilà, le marché finira par repartir. Il pourrait peser structurellement la moitié du gâteau européen à moyen terme, Il recèle un grand potentiel. "La Colombie, par exemple, ne compte que 86 voitures pour 1.000 habitants, pour une moyenne de presque 600 en Europe, 770 aux Etats-Unis", explique-t-on chez Renault. Il y a donc de la marge. "Le potentiel de croissance en Amérique Latine est énorme: il dépend essentiellement de la résolution de la crise politique au Brésil. Le taux d'équipement y reste très faible", renchérit Carlos Gomes, Directeur de PSA en Amérique latine. "Je ne vois pas l'Amérique Latine comme un nouvel eldorado pour l'automobile, mais il y a des affaires à faire", confie-t-il.

 

[h4]Profits pour Fiat dans les belles années[/h4]

Et, si le marché est extrêmement cyclique, il peut permettre aussi de gagner beaucoup d'argent dans les années fastes. Les bénéfices de Fiat - numéro un au Brésil - en tout début de décennie lors de la forte croissance du marché, avaient permis à la firme italienne de compenser presque ses difficultés en Europe. Et, même dans les années noires comme c'est le cas actuellement, Renault et depuis peu PSA affirment être rentables.

Par ailleurs, le Mexique est, indépendamment de son marché intérieur majeur - c'est le deuxième derrière le Brésil -, très exportateur. Le nouveau pick-up Renault Alaskan est ainsi produit à Cuernavaca pour être vendu sur tous les marchés latino-américains. Le Mexique est aussi de longue date une base industrielle à bas coûts pour des ventes aux Etats-Unis. Le nouveau site de servira ainsi à alimenter en pneumatiques haut-de-gamme les marchés d'Amérique du nord.

Les constructeurs automobiles français se sont précocement installés en Argentine, dès les années 60. Ils sont arrivés au Brésil au tournant des années 90 et 2000. PSA est en revanche industriellement absent du Mexique. Et Renault n'y est que faiblement présent à travers son allié Nissan, lequel dispose de deux usines (Cuernavaca et Aguas Calientes).

 

[h4]Coûts logistiques, variations monétaires[/h4]

Renault compte vendre "340 à 350.000 unités en Amérique latine en 2016", prévoit Olivier Murguet. Le Brésil reste le deuxième débouché de, derrière la France. PSA y a écoulé l'an passé 157.000 unités, contre il est vrai 303.000 en 2013! Marché complexe et volatile, l'Amérique latine demande aux constructeurs d'avoir un taux d'intégration local de plus en plus élevé. Et ce, pour échapper aux nombreuses variations monétaires, aux droits de douane et aux coûts logistiques très élevés.

"Il est parfois moins cher de faire traverser l'Atlantique à une voiture que de la transporter d'un bout à l'autre du Brésil", explique Carlos Gomes."Le taux d’intégration locale (pour PSA) est de 70% et notre but est d’arriver à 85% en 2021 pour les produits déjà fabriqués et à 90% pour les nouveaux modèles", assurait ainsi dernièrement, président de , dans une interview au magazine économique brésilien Exame

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Invité §Lau620QA

http://www.lesechos.fr/industr [...] 014101.php

[h1]La Chine n’est plus le premier marché de PSA[/h1]JULIEN DUPONT-CALBO Le 12/07 à 20:06

 

http://www.lesechos.fr/medias/2016/07/12/2014101_la-chine-nest-plus-le-premier-marche-de-psa-web-tete-0211120984800.jpg

Avec des ventes en berne, les ambitions de PSA en Chine sont contrariées. - PSA

[h2]Les ventes du constructeur français dans la zone Chine-Asie du Sud-Est ont chuté de 20 % au premier semestre.[/h2]

Et dire qu'à la rentrée, PSA doit inaugurer en grande pompe une quatrième usine à Chengdu, dans le centre du pays. Au premier semestre, le groupe a pris le bouillon en Chine. Le groupe de la Grande Armée n'a écoulé que 296.507 véhicules en Chine et en Asie du Sud-Est, contre 368.070 lors de la même période l'an dernier - une chute approchant les 20 %. Pour préciser, Peugeot lâche 21,6 %, DS cède 18,9 et Citroën perd 16,4 %....

 

La potion demeure néanmoins très amère pour PSA, qui nourrit depuis les années 1990 de grandes ambitions dans l'empire du Milieu, devenu son premier marché en 2014. Après un été 2015 acrobatique, le marché chinois semble avoir recouvré sa vigueur (+8 % au premier semestre), même si les folles croissances du passé ne devraient pas revenir de sitôt.« La France est redevenue notre premier marché, concède Linda Jackson, la patronne de la marque Citroën. Le marché est difficile pour tous les constructeurs. Et franchement compliqué pour nous, qui avons surtout des sedans dans notre gamme », déplore-t-elle. Désormais, les clients chinois raffolent des SUV, ces petits 4 × 4 qui ont ringardisé les voitures avec des coffres (les sedans)... « Les constructeurs locaux sont en très forte croissance sur ce segment », relève Linda Jackson. Seule lumière au tableau, les ventes du petit SUV Citroën C3-XR ont bondi de 35 %, à 39.000 unités.

[h3]Transformation en cours[/h3]

« C'est un marché qui s'occidentalise, qui n'est pas en pleine croissance, qui change et évolue, pointe le directeur Europe de PSA, Denis Martin. La transformation est en cours [...] pour s'adapter à ce nouvel environnement. »

Ce travail est réalisé avec Dongfeng, actionnaire du constructeur français au même titre que la famille Peugeot ou l'Etat depuis 2014. « Nous avons dit à notre coentreprise qu'il fallait un plan commercial plus aggressif, avec de bons prix. Et surtout une baisse importante du coût de fabrication sur place », détaille Yann Vincent, le directeur industriel de PSA. Un objectif qui passe par un recours accru à l'automatisation dans les usines et une intégration locale plus poussée.

@jdupontcalbo

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Invité §Lau620QA

http://www.largus.fr/actualite [...] 67386.html

 

[h1]Nouveau Peugeot 3008 (2016) : en Chine, il s'appellera Peugeot 4008[/h1]

http://www.largus.fr/images/images/peugeot-3008-4008-chine-av.jpg;waf65281d5d05508c8

Le Peugeot 4008 chinois est en tout point identique au nouveau Peugeot 3008 européen (2016) .[h2]Le nouveau Peugeot 3008 qui arrivera en octobre en France, sera également fabriqué et vendu en Chine, fin 2016. Mais, là-bas, il s'appellera Peugeot... 4008. Voici pourquoi.[/h2]

 

 

 

La Chine est le pays de la continuité. Souvenez-vous de la Renault Talisman, présentée au salon de Pékin en 2012, elle a depuis donné son nom, en Europe, à la remplaçante des Laguna et Latitude. Renault inscrit ce nom dans la durée sur le marché automobile le plus courtisé par les constructeurs quitte à bouleverser nos habitudes en Europe…

L’automobile est un investissement lourd pour un ménage chinois qu’il ne faut surtout pas brusquer. Garder le même nom d’une génération à l’autre est un gage de sérieux et de stabilité qui rassure le client.[h3]Quand le 3008 devient 4008[/h3]A gauche de l'encadrement de plaque il est inscrit DongFeng Peugeot à droite le logo 4008.

Ainsi, le nouveau Peugeot 3008 de seconde génération, dévoilée en première mondiale, en France, le 23 mai dernier se nommera, en Chine, Peugeot 4008. Dans l’Empire du Milieu, ce nouveau SUV n’est pas considéré comme le successeur du 3008 de première génération - un modèle spécifique au marché chinois dont la carrosserie diffère sensiblement du premier 3008 que nous avons en Europe -, mais bel et bien celui du Peugeot 4008, le jumeau technique du Mitsubishi ASX et du Citroën C4 Aircross.

Peugeot 4008 (2012-2016)Peugeot 3008 version Chine

Si Peugeot a choisi la numérotation 4008 en Chine c'est pour la simple et bonne raison que plus un nombre est élevé, plus il est plus valorisant. Ce nouveau Peugeot 4008 investira le marché chinois à l’automne. Cette stratégie qui peut sembler confuse vue d’Europe, est pourtant très claire à l'échelle mondiale. Peugeot simplifie son offre en proposant le même véhicule sur tous les marchés et n’a plus à s’associer à un autre constructeur puisque le nouveau 4008 est un produit 100 % maison.

 

Lire la suite: http://www.largus.fr/actualite-automobile/nouveau-peugeot-3008-2016-en-chine-il-sappellera-peugeot-4008-7967386.html#ixzz4EqsucbJk

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Invité §Lau620QA

http://automobile.challenges.f [...] e-psa.html

 

[h1]Comment Carlos Tavares a réussi la renaissance de PSA[/h1][h1]

Par Alain-Gabriel Verdevoye

Voir tous ses articlesPublié le 27-07-2016 à 12h32[/h1]

[h1]

[/h1][h2]PSA affiche une marge opérationnelle record de 6,8% au premier semestre pour l'automobile. Un excellent résultat qui rapproche la firme tricolore des spécialistes allemands du "premium".[/h2]

[h1]

 

http://referentiel.nouvelobs.com/file/15376159.jpgCarlos Tavares ERIC PIERMONT / AFP

 

 

 

Un "record de rentabilité".[/h1][h1]C'est ainsi que le directeur financier du groupe PSA, Jean-Baptiste de Chatillon, a qualifié ce mercredi les résultats financiers du constructeur au premier semestre. PSA a ainsi doublé son bénéfice net au premier semestre à 1,21 milliard d'euros, malgré un recul du chiffre d'affaires (-0,9% après effets de changes à 27,8 milliards d'euros). Il a notamment affiché une exceptionnelle marge opérationnelle de 6,8% pour sa division automobile, dépassant l'objectif de 4% sur la période 2016-2018 fixé par son nouveau plan "Push to pass".PSA se rapproche des 9% de marge moyenne des constructeurs automobiles "premium" allemands![/h1][h1]

[/h1][h4]Après la quasi-faillite, la renaissance[/h4]

[h1]"PSA était au bord de la disparition il y a quelques années. Et nous avons encore beaucoup de potentiel", s'est félicité Carlos Tavares, président du directoire de l'entreprise tricolore. Vers 10h40, l'action prenait du coup 7,5% à 13,41 euros, affichant la deuxième plus forte hausse du CAC 40. Le résultat opérationnel courant de PSA a grimpé de 32% à 1,83 milliard d'euros au premier semestre. Avec un profit de 1,3 milliard d'euros, la division automobile progresse, elle, de 34%.

La position financière nette des activités industrielles et commerciales s'élève à 5,07 milliards d'euros au 30 juin 2016 et progresse de 1,4 milliard par rapport au 31 décembre 2015. Le groupe donc réussi un redressement spectaculaire. Voici les recettes-clé de Carlos Tavares.

[/h1][h4]

[/h4][h4]Accroître les synergies[/h4]

[h1]PSA a tout d'abord mis en place des programmes de nouveaux véhicules réalisant de fortes économies d'échelle. "Il y a dix ans, les voitures (sur les mêmes plates-formes) avaient 60% de pièces communes en valeur,explique à Challenges Gilles Le Borgne, directeur de la recherche-développement du groupe. Aujourd'hui, sur les nouveaux "SUV" compacts, nous passons à 75% de composants communs".

Le tout nouveau Peugeot 3008 II, disponible à la rentrée prochaine, fournira ainsi les vitres avant, le pare-brise, les essuie-glaces, la structure interne des portes, les travers de planche de bord à ses véhicules frères, comme les futurs "SUV" DS (2017) et Citroën (2018), ainsi qu'au prochain modèle d'Opel, suite aux accords avec la branche allemande de GM. Ces synergies supplémentaires permettent d'économiser "300 millions d'euros par an". Au total, le dirigeant table pour le recherche-développement sur 600 millions d'économies annuelles.

Jean-Baptiste de Chatillon a indiqué par ailleurs ce mercredi que le groupe prévoyait de réduire de 200 millions d'euros supplémentaires ses frais fixes cette année, une mesure qui lui permettra de compenser les effets négatifs de la baisse de la livre sterling sur fond de Brexit. Ces réductions de coûts se traduisent par… des effectifs en chute libre. Au 31 décembre 2015, ils se montaient à 54.649 salariés pour la division auto en France, contre 57.790 un an auparavant, 61.882 en 2013. Le site breton de PSA près de Rennes n’emploie plus ainsi qu’un peu plus de 4.000 personnes, contre 11.800 il y a seulement dix ans.

[/h1][h4]

[/h4][h4]Améliorer la compétitivité industrielle[/h4]

[h1]PSA a signé récemment un nouvel accord de compétitivité avec cinq organisations syndicales, de façon à relayer les précédents accords de 2013."La compétitivité de nos usines s'améliore partout dans le monde. (Elle) permet à nos usines en France de se rapprocher des meilleures",avait ainsi indiqué Carlos Tavares, président de PSA, lors de la présentation des résultats 2015 le 24 février dernier. "Nos usines (sauf celle de Rennes) tournent eux deux ou trois équipes, voire quatre à Mulhouse. Nos usines françaises fournissent le tiers de notre production mondiale", renchérit Denis Martin, Directeur Europe de PSA. "Et nous fabriquons en France 100% de nos moteurs ainsi que des boîtes manuelles (hors besoins locaux en Chine et Amérique latine)", ajoute-t-il.

Chez PSA, la meilleure usine française est celle de Mulhouse (208, 2008, CV4, DS4), selon des sources internes. Mais le site du Haut-Rhin reste encore loin des trois usines européennes les plus compétitives de Trnava (Slovaquie), Mangualde (Portugal) et Vigo (Espagne). Grâce à un redimensionnement (à la baisse) des sites industriels et au succès des nouveaux modèles, le taux d'occupation des usines en France est remonté depuis quatre ans. Il atteint aujourd'hui "105%" (selon l'indice Harbour d'un travail en deux équipes), rappelle Xavier Chéreau, directeur des ressources humaines. Contre 60% à peine il y a trois ans! "PSA a réduit le point mort d'un million de véhicules. Aucun autre ne l'a fait aussi vite et avec une telle ampleur", reconnaît Rémi Cornubert, spécialiste automobile d'AT Kearney.

Premier fabricant de véhicules dans l'Hexagone, PSA assure avoir ainsi dégagé en France un excédent commercial positif de 5,2 milliards d'euros en 2015, en augmentation de près de 10% sur un an. Le solde excédentaire des seuls véhicules (hors composants) est de "324.000 unités, soit une progression de 4,3%". Une belle performance alors que la balance commerciale automobile de la France dans son ensemble ne cesse de creuser son déficit!

[/h1][h4]

[/h4][h4]Reprise des ventes en Europe[/h4]

[h1]Carlos Tavares a aussi de la chance. Depuis son arrivée il y a deux ans à la tête de PSA, les marchés européens remontent sensiblement. Les ventes mondiales de PSA ont certes reculé de 0,2% à 1,54 million d'unités au premier semestre. Et ce, sur un marché automobile mondial en hausse de 2,5%. Mais, en Europe, la firme a progressé de 7,4% à 1,05 million d'unités. C'est sûr: des marchés porteurs, ça aide. "PSA est dans une course à la rentabilité, pas aux volumes", argue Rémi Cornubert.

Et PSA va pouvoir profiter enfin d'un renouveau du plan produits. Il va lancer la nouvelle petite Citroën C3 III et le Peugeot 3008 II en octobre. L'an prochain, viendront un petit "SUV" chez Citroën pour remplacer le C3 Picasso ainsi qu'un "SUV" sept places chez Peugeot, le 5008. Enfin, DS, la nouvelle marque haut de gamme du groupe, en mal de nouveautés, va commercialiser un "SUV" compact également l'an prochain, cousin du Peugeot 3008.[/h1]

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Invité §Lau620QA

Le 3008 II débarque en Chine sous le nom de 4008, avec 7 cm de plus et un empattement de 5cm plus grand aussi :

 

http://www.leblogauto.com/2016 [...] -4008.html

 

 

http://www.leblogauto.com/wp-content/uploads/2016/09/3_0_header.jpg[h1]Chengdu 2016 : Voici le nouveau Peugeot 4008[/h1]

PUBLIÉ PAR THIBAUT EMME LE 4 SEPTEMBRE 2016 DANS PEUGEOT, SALONS |

Non vous ne rêvez pas. le Peugeot 4008 présenté en première mondiale au salon de Chengdu ressemble étrangement au nouveau Peugeot 3008. Et pour cause car ce n’est ni plus ni moins que le 3008 renuméroté en 4008.

Le marché du SUV en Chine est en plein boom et représente un gros marché de conquête. Peugeot est présent sur ce marché avec la 2008, le Donfgeng-Peugeot 3008 restylé et donc ce nouveau 4008. C’est d’ailleurs pour éviter la confusion avec le 3008 restylé qui continue sa carrière en Chine que Peugeot a renuméroté son crossover.

Pour autant, quelques « détails » différent entre notre 3008 et ce 4008. Le Peugeot 4008 mesure 7 cm de plus, l’empattement est lui aussi légèrement plus grand à 2,73 m contre 2,68. En revanche l’esthétique est la même. Côté équipement, le i-Cockpit 2.0 est présent avec son petit volant, l’écran tactile de 8 pouces et la dalle de 12,3 pouces « tête haute ». Les phares à LED sont aussi présents mais les versions de base auront droit à des phares à halogène.

Sous le capot on devrait retrouver le 1,6l THP développant 165 chevaux ainsi que le 1.8l THP développant 200 chevaux. Le Peugeot 4008 sera commercialisé en novembre et sera produit dans l’usine de Chengdu.

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Invité §Lau620QA

En espérant qu'il va pouvoir redresser les ventes avec la nouvelle 308 sedan.

Peugeot est à -20.1% (à 181.437ex) sur 7 mois sur un marché largement positif...

 

 

En effet. Et une nouvelle usine est maintenant prête uniquement pour les SUV. Mais pas à Wuhan comme les autres, mais à Chengdu, à 1000km à l'ouest.

 

http://idata.over-blog.com/2/20/74/10/Chine-2011/carte_chine.jpg

 

http://www.chinadaily.com.cn/b [...] 710130.htm

 

 

[h1]PSA eyes new start in Chengdu[/h1](China Daily)Updated: 2016-09-06 07:44

 

http://www.chinadaily.com.cn/business/img/attachement/jpg/site1/20160906/b083fe955aa11938634a3f.jpg

Workers on the production line of a plant operated by Dongfeng Peugeot-Citroen Automobile Ltd inWuhan, Hubei province. [Photo/Agencies]

Turnaround is part of a bailout by Dongfeng two years ago

PSA Group, caught in a China sales slump despite an expanding market, will inaugurate aseventh factory in the world's biggest car market this week, focused on producing sport utilityand multipurpose vehicles for its Peugeot and Citroen brands.

The plant in Chengdu in southwestern China will have an annual capacity to manufacture300,000 Citroen and Peugeot vehicles, as well as the local Fengshen nameplate, as part ofits joint venture with shareholder Dongfeng Motor Co. Production will start at the end of theyear.

PSA's joint venture sales in China dropped more than 19 percent in the first half to 297,000units despite a tax cut boosting overall industry demand. The company is now planning tointroduce 18 new models by 2020 in the country - including five SUVs by 2018 - to plug a gapin its lineup of mainly sedans at a time when increasingly affluent Chinese consumers arefavoring larger vehicles.

It has also replaced the executives leading the Asia region and DPCA joint venture and isfocusing on keeping production costs in check.

Chief executive officer Carlos Tavares needs to jump-start growth in China in order tocomplete the turnaround that begun with Dongfeng's bailout of PSA two years ago. As part ofa plan called "Blue Upper", the company aims to sell 1 million cars in China by 2021 whilelowering production costs by 20 percent from 2015 levels. Last year, 63 percent of PSA'svehicles were sold in Europe, versus 25 percent in China.

"The main factor impacting their sales is the lack of new models, the second one is amismatch between what is in demand and what the company is offering" in China, saidBenjamin Cavender, a Shanghai-based analyst at China Market Research Group.

"The new models are going to help them right away, but it's also a multi-year process ofsupporting the brands and investing in their presence here."

The Chengdu factory will boost DPCA's total capacity from 750,000 units a year. The partnersalready operate three plants in Wuhan, in central China's Hubei province.

Bloomberg

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Invité §Lau620QA

http://www.jeuneafrique.com/35 [...] -ethiopie/

 

 

[h1]En Éthiopie, Peugeot PSA Citroën confirme ses ambitions africaines[/h1]08 septembre 2016 à 17h07 — Mis à jour le 08 septembre 2016 à 18h57

Par Julien Vallet

 

 

http://www.jeuneafrique.com/medias/2016/09/08/peugeot-301-592x296.jpg

 

Le constructeur automobile français Peugeot PSA Citroën a ouvert une usine d’assemblage dans le nord de l’Éthiopie, marquant son entrée dans l'un des marchés les plus attractifs du continent. Mais également l'un des plus fermés.

 

Inaugurée en juillet dernier, la nouvelle usine d’assemblage va délivrer environ 1 000 unités de Peugeot 301, 208 et 2008 par an destinées essentiellement à l’Éthiopie et à la région de la Corne de l’Afrique. Le niveau des investissements réalisés par le groupe français dans cette nouvelle unité industrielle n’a pas été divulgué.Le français Peugeot PSA Citroën a ouvert une usine d’assemblage de véhicules à Wukro, dans la région du Tigré, à environ 800 kilomètres au nord de la capitale éthiopienne Addis-Abeba.

 

Partenaire éthiopien

Pour cette implantation en Éthiopie, Peugeot PSA Citroën s’est alliée à Mesfin Industrial Engineering. Ce groupe industriel est détenu par Endowment Fund for the Rehabilitation of Tigray (Effort), l’un des principaux conglomérat d’Éthiopie, présent dans les secteurs du ciment, de la construction, du textile et de l’industrie agroalimentaire.

Établi au début des années 1990, Mesfin Industrial Engineering est l’un des plus important carrossier d’Afrique de l’Est. Depuis son démarrage, l’entreprise éthiopienne a multiplié les accords avec notamment le spécialiste russe des poids lourds Kamaz et son homologue allemand MAN, ainsi que le groupe automobile chinois Geely et le producteur de tracteurs indien Sonalika.

En Éthiopie, PSA Peugeot Citroën fait son entrée sur l’un des marchés les plus convoités du continent (99 millions d’habitants, une croissance de +9,6 % et un PIB de 61,5 milliards de dollars en 2015). Les perspectives de croissance de l’offre automobile restent importantes : à peine 18 000 véhicules écoulés par an (dont 85 % de voitures d’occasions), pour un parc motorisé (fleet size) de 587 000 unités en circulation contre 1 300 000 au Kenya et 3,6 millions au Nigeria), selon une note du cabinet Deloitte.

 

Ambitions africaines

En s’installant dans l’une des économies les plus fermées du continent — l’économie éthiopienne est marquée par une forte mainmise de l’État— le groupe français confirme toutefois ses ambitions renouvelées pour un continent, dont il semblait s’être un temps désintéressé.

L’ouverture de l’usine ouverture Peugeot PSA Citroën s’inscrit en effet dans le cadre d’une accentuation de la présence du constructeur français en Afrique. En juin, Peugeot-PSA Citroën avait annoncé le projet d’implantation d’une usine d’une capacité de 200 000 véhicules par an à Kenitra, dans le nord du Maroc. Le groupe français a également lancé au Maroc l’« open lab » Sustainable Mobility for Africa, un laboratoire dédié à la recherche sur la voiture du futur.

« Notre objectif et de vendre un million de voitures de nos marques Peugeot, Citroën et DS dans cette région à l’horizon 2025, sur un marché estimé à 8 millions de véhicules à cette date », expliquait à Jeune Afrique en juillet dernier Jean-Christophe Quémard, directeur de la zone Afrique et Moyen-Orient.

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Invité §Lau620QA

http://www.leblogauto.com/2016 [...] -plus.html

 

http://www.leblogauto.com/wp-content/uploads/2016/09/PEUGEOT-Traveller.jpg[h1]Origine France Garantie : deux Citroën et deux Peugeot de plus[/h1]

PUBLIÉ PAR FRANCOIS TESSIER LE 9 SEPTEMBRE 2016

Deux nouveaux modèles au catalogue Peugeot et autant chez Citroën décrochent le label » Origine France Garantie « .

 

 

Après que le Toyota ProAce a reçu ce label, aucune surprise. Ainsi les Peugeot Expert etCitroën Jumpy, assemblés au sein de l’usine PSA de Sevelnord, sont aussi détenteur de cette étiquette » Origine France Garantie « .

Pour mémoire une fois encore, ce label encourage (récompense ?) un produit dont par exemple l’assemblage final est réalisé en France et dont plus de 50 % de la valeur sont produits également en France.

Deux autres modèles PSA sont aussi labellisés : les cousins (à plus d’un titre) Peugeot Travelleret Citroën SpaceTourer issus du même complexe industriel. Fourgons utilitaires ou déclinaisons familiales combispaces, même combat.

Ce sont désormais seize modèles du groupe PSA à pouvoir revendiquer cette » Origine France Garantie « .

 

 

Source : PSA.

Crédit illustration : PSA.

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Invité §Lau620QA

http://www.usinenouvelle.com/a [...] el.N443877

 

[h1]PSA annonce une nouvelle génération de moteurs essence et diesel[/h1]FRÉDÉRIC PARISOT PSA , CONSTRUCTEURS , INNOVATIONS AUTO , MONDIAL DE L'AUTOMOBILE , MONDIAL DE L'AUTO

PUBLIÉ LE 29/09/2016 À 12H46[h2]Sur le Mondial de Paris, qui a ouvert ses portes au professionnels aujourd’hui, le groupe PSA a annoncé l’arrivée en 2017 d’une nouvelle génération de moteurs PureTech et Blue HDi. L’étape suivante sera l’introduction des chaînes de traction électrique et hybride rechargeable, prévue pour 2019.[/h2]http://www.usinenouvelle.com/mediatheque/7/6/4/000477467_image_896x598/psa-mondial-de-l-auto.pngLe stand PSA sur le Mondial© Astrid Gouzik

 

Pour cette journée d’ouverture du salon aux professionnels, le groupe PSA a annoncé le renouvellement de l’offre de moteurs à partir de l’an prochain. La principale nouveauté concerne les moteurs essence. A compter de septembre 2017, tous les moteurs de la gamme PureTech seront équipés de filtres à particules. PSA veut ainsi se placer à l’avant-garde sur cette technologie qui devrait devenir progressivement obligatoire.

Du côté du Diesel, le directeur de la R&D Gilles le Borgne annonce une nouvelle génération de moteurs plus légers, moins chers et avec des chiffres de consommation à la baisse. "Ils seront en avance sur les normes, puisque nous visons un coefficient de 1,5 selon les futurs tests d’émissions en Real Driving Emissions dès 2017", promet-il. Le changement le plus notable : les véhicules équipés de la future génération de moteurs Blue HDi proposeront une trappe d’accès au réservoir d’urée. Ce dernier pourra donc désormais être rempli par l’utilisateur. volume du réservoir restera inchangé, à 17 litres, pour une autonomie d’AdBlue de l’ordre de 8000 km.

Après l’introduction de ces changements dans l’essence et le diesel, PSA lancera de nouvelles motorisations hybrides plug-in (PHEV) au premier semestre 2019, et électriques au second semestre 2019.

 

 

De 6 à 2 plates-formes

A cette date, la gamme PSA ne comptera plus que deux plates-formes, contre six aujourd’hui. La plate-forme EMP2 évoluera pour proposer la chaîne de traction hybride en plus de l’essence et du diesel, et la future plate-forme CMP, en cours de développement avec notre partenaire chinois DFM, aura les trois motorisations essence, diesel et tout électrique. "Il n’y aura pas de nouvelles silhouettes, ce seront les modèles classiques qui offriront tous trois motorisations", précise Gilles Le Borgne.

 

Au final, le constructeur a fait ses calculs, et estime que l’introduction de ces deux nouvelles motorisations hybrides et électriques, associés avec les moteurs PureTech et Bluetooth HDi, devrait permettre d’atteindre l’objectif de 91 g de CO2 par km en 2020. Rappelons qu’il s’agit de l’objectif que PSA s’est fixé en interne, la limite imposée par la réglementation européenne est de 95 g de CO2 par km.

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Invité §Lau620QA

http://www.largus.fr/actualite [...] 89387.html

 

[h1]PSA développera son pick-up avec DongFeng[/h1]

http://www.largus.fr/images/images/pic02-redimensionner.jpg

Le futur pick-up PSA sera fabriqué par DongFeng en Chine sur la base d'un Nissan, comme c'est déjà le cas pour ce modèle ZNA Rich lancé en 2014.[h2]En avril dernier, Carlos Tavares annonçait la commercialisation d'un pick-up 1 tonne de charge utile. Aussitôt ,les spéculations sur le futur partenaire sont allées bon train. Selon nos informations, il sera fabriqué en partenariat avec le chinois DongFeng.[/h2]

 

 

 

Comme le dit souvent le patron du groupe PSA, il ne s’interdit aucun nouveau véhicule à condition de trouver le bon partenaire et que le projet soit rentable. Le meilleur exemple est ce futur pick-up 1 tonne que le groupe français ne peut développer seul, faute d’avoir dans les cartons un châssis adéquat et une transmission 4x4.

Plusieurs possibilités s’ouvraient à PSA, notamment Ford et Toyota déjà partenaires dans le cadre d’autres programmes. La piste Mitsubishi était peu envisageable puisque PSA ne renouvellera pas son partenariat au-delà de 2018 pour les véhicules électriques (Citroën C-Zero et Peugeot iOn) et les SUV (Citroën C4 Aircross et Peugeot 4008), et que depuis l’Alliance Renault-Nissan s’est portée au chevet du constructeur nippon.Pick-up ZNA Rich[h3]Un modèle DongFeng-Nissan[/h3]

Selon nos sources, ce pick-up très vraisemblablement badgé Citroën et Peugeot, selon les marchés, sera fabriqué par DongFeng, actionnaire de PSA. Et plus exactement Zhangzhou Nissan Auto (joint-venture à 50/50 entre le constructeur chinois et Nissan). Si le contenu des accords est encore confidentiel, ce pick-up sera dérivé d’un modèle Nissan puisque DongFeng produit le « Pickup » pour Nissan et le Rich sous la marque ZNA.

A partir de cette base technique, PSA adaptera son moteur 2.0 HDi et apportera sa griffe esthétique. Produit en Chine, ce véhicule sera réservé au marché local et à l’Amérique du Sud. Il devrait voir le jour à l’horizon 2018.

 

Lire la suite: http://www.largus.fr/actualite-automobile/psa-developpera-son-pick-up-avec-dongfeng-8189387.html#ixzz4MoEofqic

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Invité §ger230CL

J'ai de quoi alimenter ce topic :ange: , je me rends régulièrement à l'étranger pour ma boite.

 

Je vais devoir synchroniser les photos sur le mac afin de partager le contenu - la dernière en date une 408 prise en Chine.

J'adore ce modèle, dommage de ne pas le voir sur nos routes car il est très bien proportionné pour une tricorps.

Modèle très intéressant pour lutter contre la Volkswagen Jetta & Renault Fluence. Marrant de voir la traduction de Peugeot en Chinois.

 

WP_20160618_18_59_22_Pro.jpg

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Invité §Lau620QA

C'est actuellement le modèle le plus vendu en Chine chez PSA à égalité avec la C-Elysée. Mais l'ensemble du groupe fait -20% cette année.

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Invité §Lau620QA

http://www.auto-utilitaire.com [...] caine.html

 

 

 

Peugeot lance une voiture ''Africaine''

 

 

 

Par Elyan Saïd

Publié le 19.10.2016

 

 

http://www.auto-utilitaire.com/img/article_large/articles/Peugeot_508_Carlos_Tavares_572685259.jpg

Selon le magazine Français La Tribune, la marque au Lion va relancer la mythique 504 pour lui offrir une seconde vie et la propulser sur les marchés Africains. Interrogés par le média français, les responsables de Peugeot n'ont pas infirmé cette ''grosse'' information.

La Tribune indique que le modèle ''504'' sera développé sur la base d'une ''406 améliorée'' et sera exclusivement destiné aux marchés africains connus par la mauvaise qualité des routes et poussière qui caractérise plusieurs pays, notamment ceux dans lesquels Peugeot détient des parts de marchés considérables. La future ''504'' sera par conséquent très robuste à tous les niveaux pour pouvoir offrir les mêmes prestations que la vraie 504.

 

Pour cela, Peugeot proposera des amortisseurs renforcés au même titre que l'ensemble des éléments de liaisons au sol. Des éléments du moteur seront aussi repensés afin d'offrir plus de robustesse comme le filtre à air. Les moteurs seront naturellement paramétrés pour supporter les fortes chaleurs.

 

Selon la même source, Peugeot aurait choisi le Nigeria pour produire cette future 504. Ce sera donc l'usine de Peugeot Automobile Nigeria (PAN) qui se chargera d'assembler ce modèle

 

Entre Peugeot 504 ou 406, Peugeot n'a pas encore tranché sur le nom de sa nouvelle lionne Africaine.

 

A suivre donc.

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Invité §Lau620QA

http://www.challenges.fr/autom [...] ran_432959

 

[h1]PSA et Renault ont un boulevard en Iran[/h1]

Le 15.10.2016 à 11h49

La levée des sanctions permet aux constructeurs français de renouer des liens anciens avec le pays, où les concurrents restent à la traîne.

http://www.challenges.fr/assets/img/2016/10/14/cover-r4x3w1000-58002e2b81df6-dans-les-rues-de-teheran-peugeot-detient-35-du-marche.jpg

Dans les rues de Téhéran. Peugeot détient 35 % du marché automobile iranien. (V. Salemi/AP-Sipa)© INGEDATA

Dans les inextricables embouteillages de Téhéran, les Peugeot 405 des années 1980 côtoient les petites 206 de la décennie suivante. Quatre millions d’entre elles roulent en Iran et la marque au lion détient 35 % du marché automobile local, sa plus forte pénétration du monde. Et ce sans compter les dérivés de Peugeot vendus sous la marque locale IKCO. On croise aussi des Renault Tondar - une Dacia Logan fabriquée sur place depuis une dizaine d’années -, ou d’anciennes Citroën Xantia. Bref, les françaises sont omniprésentes. Et après avoir quasiment jeté les bases de l’industrie automobile iranienne, PSA et Renault sont aujourd’hui les premiers à revenir dans le pays, après la levée des sanctions internationales.

Carlos Tavares, président du directoire de PSA, a ainsi paraphé, le 6 octobre, l’accord pour le retour industriel de Citroën en Iran dès 2018. Pour Peugeot, c’était le 21 juin, avec un premier accord pour fabriquer des 208, 2008 (dérivé SUV) et 301 (version allongée à quatre portes) avec son partenaire traditionnel, Iran Khodro. C’est au moins 350 000 véhicules que PSA compte fabriquer sur place vers 2020. Pour 700 millions d’euros d’investissement. Carlos Ghosn, PDG de Renault, a de son côté paraphé fin septembre une lettre d’intention pour assembler 150 000 Symbol (une Logan II redessinée à l’avant) et 4 × 4 Duster, à partir de 2018.

Pour en arriver là, les industriels français ont vécu un parcours du combattant. « J’ai dû y aller vingt fois en dix-sept mois », confie Jean-Christophe Quémard, directeur de la zone Moyen-Orient-Afrique chez PSA. Les tractations ont été délicates, la rupture ayant été frôlée à plusieurs reprises. PSA comme Renault se sont retrouvés au coeur même des dissensions internes du régime entre les réformistes, le président Hassan Rohani en tête, et les durs opposés à l’ouverture du pays aux entreprises étrangères. Mais les industriels locaux comme le gouvernement « n’avaient pas le choix », lâche un négociateur de PSA, en raison justement des liens historiques avec les français.[h4]Un marché familier[/h4]

Entre ces derniers et l’Iran, c’est en effet une longue histoire d’amour. En 1968, Citroën fabriquait déjà la Dyane et, quelques années plus tard, Renault la R5. En 1978, PSA reprenait Chrysler Europe, filiale britannique de l’américain qui avait établi dans les années 1960 une importante base de production avec Iran Khodro pour fabriquer la Paykan. PSA a donc repris à son compte les livraisons de pièces, introduisant en 1991 la Peugeot 405, qui remplacera la Paykan comme voiture nationale. Obsolète mais encore largement produite, la 405 est spacieuse, facilement réparable et pas chère (à partir de 8 000 euros). L’Iran deviendra le deuxième débouché mondial de PSA avec un record de 469 850 véhicules produits en 2010. Mais en 2012, son éphémère allié General Motors l’oblige à suivre la ligne dure de Washington et à se retirer du pays. Malgré la rupture, Iran Khodro a continué à produire des 405 et 206, avec des pièces de contrefaçon chinoise. Près d’1,4 million de Peugeot ont été fabriquées sans licence, entre 2012 et mi-2016. Renault a quant à lui discrètement poursuivi la livraison de composants durant l’embargo, mais au compte-gouttes.[h4]Fournisseurs médiocres[/h4]

Les conditions de réinstallation sont difficiles. Le gouvernement exige un taux d’intégration élevé sur place. PSA prévoit jusqu’à 85 % de composants locaux sur sa prochaine 301. « Ça devient compliqué », souligne Pierre Foret, représentant de Peugeot en Iran. Car le niveau de qualité est problématique. La plupart des fournisseurs sont médiocres, les concessionnaires aussi. Pour compliquer la donne, l’Etat exige que Peugeot comme Citroën exportent 30 % de leur production. Mais, « sans progression de la qualité, il n’y aura pas d’export vers les pays voisins », avertit Carlos Tavares. Difficulté supplémentaire : les prix des voitures sur le marché iranien sont bas, car celui-ci est constitué de véhicules de type ancien amortis depuis longtemps. Les nouvelles Peugeot et Citroën seront vendues à des tarifs serrés, de 10 000 à 20 000 euros. Pour cela, il faudra baisser les coûts et améliorer une productivité à la traîne.

Mais le marché est prometteur : après un pic d’1,66 million en 2011, il a chuté à moins de 800 000 unités en 2013 à cause des sanctions. Depuis, il redécolle (voir graphique) sans que la concurrence soit au rendez- vous. Les voitures chinoises, entrées à la faveur des sanctions, sont peu appréciées, les allemandes et les japonaises quasi absentes. Les français ont le champ libre. « Une situation un peu unique », reconnaît Carlos Tavares.[h4]RELATIONS HISTORIQUES[/h4][h4]PSA[/h4]

1968 : Produit la Citroën Dyane.

1991 : Introduit la 405 à Iran Khodro.

2001 : Débuts de la 206.

2012: Retrait du marché iranien.

2016 : Accords industriels.[h4]RENAULT[/h4]

1975 : Fabrique la R5.

2007 : Assemble les Tondar.

2015 : Ajoute la Sandero.

2016 : Signature d’une lettre d’intention pour fabriquer les Symbol et Duster.

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J'ai de quoi alimenter ce topic :ange: , je me rends régulièrement à l'étranger pour ma boite.

 

Je vais devoir synchroniser les photos sur le mac afin de partager le contenu - la dernière en date une 408 prise en Chine.

J'adore ce modèle, dommage de ne pas le voir sur nos routes car il est très bien proportionné pour une tricorps.

Modèle très intéressant pour lutter contre la Volkswagen Jetta & Renault Fluence. Marrant de voir la traduction de Peugeot en Chinois.

 

WP_20160618_18_59_22_Pro.jpg

 

 

J'espère voir quelques unes de tes photos ici ^^

 

Tu t'es rendu apparemment dans le Sichuan (Chengdu à voir la plaque 川A).

 

Sur la malle / hayon des modèles étrangers produits en Chine, est écrit le nom de la JV.

Ici il s'agit de Dongfeng Peugeot : 东风标致 - Dōngfēng Biāozhì.

 

Si tu y retournes à Chengdu, il y a normalement un grand musée auto privé qui a ouvert ce mois-ci.

J'ai eu l'occasion d'aller voir l'ancien musée en avril où une vingtaine de modèles étaient présentés dont deux Hongqi et une Traction.

Il se situe le long de la highway qui mène à l'aéroport, derrière les concessions Lamborghini-Rolls-Morgan du groupe SanHe.

Il y a aussi des concessions Volvo, Infiniti et Honda pas loin.

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Invité §ger230CL

 

J'espère voir quelques unes de tes photos ici ^^

 

Tu t'es rendu apparemment dans le Sichuan (Chengdu à voir la plaque 川A).

 

Sur la malle / hayon des modèles étrangers produits en Chine, est écrit le nom de la JV.

Ici il s'agit de Dongfeng Peugeot : 东风标致 - Dōngfēng Biāozhì.

 

Si tu y retournes à Chengdu, il y a normalement un grand musée auto privé qui a ouvert ce mois-ci.

J'ai eu l'occasion d'aller voir l'ancien musée en avril où une vingtaine de modèles étaient présentés dont deux Hongqi et une Traction.

Il se situe le long de la highway qui mène à l'aéroport, derrière les concessions Lamborghini-Rolls-Morgan du groupe SanHe.

Il y a aussi des concessions Volvo, Infiniti et Honda pas loin.

 

Connaisseur pour reconnaitre la région juste avec la plaque dalpin.gif.4ded26783f1eb0f654bf452b9267858a.gif

Je récupère prochainement mon disque dur, je vais poster quelques française prises lors de mes passages à Chengdu.

 

Merci pour l'adresse du musée, j’essayerai de m'y rendre lors de mon prochain séjour. Pour le moment, je connais uniquement la concession VAG de Chengdu pas eu l'occasion de faire les autres.

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Invité §Lau620QA

http://www.challenges.fr/autom [...] ine_438473

 

 

[h1]Renault et Peugeot lancent enfin les Koleos et 4008 en Chine[/h1]

Le 15.11.2016 à 13h04

Renault a commercialisé son Koleos chinois en fin de semaine dernière. Peugeot lance le 16 novembre son 4008 produit à Chengdu. Les français étaient jusqu''ici très peu présents dans les "SUV" qui représentent près de 40% du premier marché automobile du monde.

http://www.challenges.fr/assets/img/2016/11/15/cover-r4x3w1000-582af3451808a-Renault%20koleos%20chinois%200219b8247171993b95f08.jpg

Renault Koleos chinois

 

Les constructeurs français lancent enfin leur offensive "SUV" en Chine. Il était temps. Renault a ainsi commercialisé jeudi 10 novembre son Koleos "made in China". Et Peugeot met sur le marché mercredi 16 novembre son 4008, qui n'est autre que le tout nouveau 3008 européen rallongé de dix centimètres pour offrir plus de place à l'arrière. Ces véhicules surélevés au style prétendument baroudeur font un carton en Chine. Le segment de ces vrais et faux 4x4 y a fortement progressé (+44% sur six mois). Les "SUV" représentent en effet "38,8% du marché", expliquait en septembre dernier à Challenges Yves Moulin, directeur commercial de DPCA - la co-entreprise de PSA en Chine avec Dongfeng. La concurrence est d'ailleurs rude, car ce créneau est tenu "à 56% par les marques chinoises qui ont lancé 55 nouveautés en un an sur ce segment". Or, les français étaient très, très faibles jusqu'ici sur ce créneau en vogue.

[h2]

[/h2][h2]Renault, encore un nain en Chine[/h2]

Renault est le dernier constructeur étranger à s'implanter en Chine! Il n'a inauguré sa première usine, à Wuhan (1.200 kilomètres au sud de Pékin), que début 2016. Ce site a un potentiel de 150.000 véhicules annuels, qui peut être doublé et emploiera 2.000 personnes à terme. Wuhan a commencé par la production du "SUV" Kadjar, suivie par le Koleos, plus grand et cossu, tous deux sur une plate-forme commune avec son allié Nissan. La production de série du Koleos a débuté en juin. Renault est un tout petit acteur local. Il n'a en effet commercialisé que 9.000 Kadjar "made in China" au premier semestre. Avec les modèles importés comme le Captur, Renault a écoulé au total 21.650 véhicules sur dix mois! Autant dire que la firme au losange demeure un nain dans l'ex-Empire du milieu.

PSA est pour sa part implanté en Chine depuis le milieu des années 80. Mais, une erreur de partenaire au départ, des modèles mal adaptés, une gamme trop étroite, un manque d'investissements, une fiabilité des véhicules longtemps médiocre, ont paralysé le décollage. Les ventes ne sont vraiment reparties à la hausse qu'au début de l'actuelle décennie. Mais, elles ont stagné l'an passé et fortement rechuté (-19,5% à 295.000 unités) au premier semestre 2016. Et ce, sur un marché chinois en progression (+10% sur sept mois à 12,8 millions de voitures particulières neuves). Les autres grands constructeur étrangers ont d'ailleurs crû, comme GM (+5,3% à 1,8 million au premier semestre), le groupe Volkswagen (+6,8% à 1,74 million), Nissan (+3,8% à 609.900 unités), Ford (+5 % à 564.600) ou Honda (+18% à 542.500). Du coup, la part de marché de PSA est très faible (3%).

 

[h2]Cinquième usine PSA pour les "SUV"[/h2]

Pour essayer de se relancer, PSA a du coup inauguré début septembre sa cinquième usine chinoise, à Chengdu (centre du pays). Avec un potentiel de 300.000 unités annuelles, cette usine de 900 personnes (2.000 à terme) sera justement dédiée aux "SUV". Une version plus grosse et cossue du 4008, le 5008, y sera fabriquée et commercialisée en 2017 - comme dans l’Hexagone. La mise en service de Chengdu avec les nouveaux produits "devrait permettre une amélioration des ventes en 2017 par rapport à 2016 mais aussi 2015", souligne Jean-Christophe Marchal, directeur général adjoint de DPCA. Suivra en 2018, un "SUV" Citroën, assemblé également à Chengdu. PSA espère rattraper enfin son retard. DS devrait pour sa part produire à Shenzhen (près de Hong-Kong) un autre "SUV" sur la même base, également dans deux ans.

Le marché chinois reste, de loin, le premier du monde. Il se vend globalement autant de voitures en Chine en un mois qu’en France sur une année! Le taux d’équipement des ménages n’est encore, cependant, que de 75 pour 1.000, contre plus de 600 dans les pays développés. Il y a du potentiel, d’autant plus que la classe moyenne chinoise est désormais la première du monde, plus importante que celle des Etats-Unis avec 110 millions de personnes. Et les experts tablent sur un doublement en dix ans! Par ailleurs, la moyenne d’âge des acheteurs est très jeune, à savoir 35 ans contre plus de 50 en France. Ce qui est aussi un facteur porteur de croissance. Après avoir tergiversé et finalement peu profité du boom chinois, les français vont-ils enfin pleinement profiter du gâteau?

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Invité §Lau620QA

SALON DE SAO PAULO - Une 208 spéciale !

http://www.largus.fr/actualite [...] 47386.html

 

[h1]Peugeot 208 Pyrit Concept : look et luxe[/h1]

http://www.largus.fr/images/images/peugeot-208-pyrit-concept7.jpg?quality=90&qtype=mixing&width=612

Les stries de couleur cuivrée associées au noir mat vont comme un gant à la Peugeot 208. Mais aucune version de série de cette 208 Pyrit Concept n'est prévue.[h2]Peugeot profite du salon de Sao Paulo pour présenter un concept basé sur la 208. Couleur cuivre façon « coupe franche » et intérieur luxueux caractérisent cette interprétation de la citadine sochalienne. Le résultat est pour le moins réussi.[/h2]

 

 

 

La nouveauté majeure de Peugeot au salon de Sao Paulo est le nouveau SUV 3008. Mais le constructeur ne se contente pas de présenter son modèle phare puisque deux concepts sont mis à l’honneur : les Peugeot 2008 Kyarit Concept et 208 Pyrit Concept.

Un personnalisation peu discrète mais originale.

Cette dernière est basée sur la version brésilienne de la 208 GT. Cette Pyrit Concept s’inspire fortement du concept car Onyx vu au Mondial de Paris 2012. Elle reprend les couleurs cuivrées et noires mates dans une approche plus évoluée, évoquant les coupes franchesdes Peugeot 3008 GT ou encore 308 GTi. Cette 208 se distingue également par des feux diurnes et des clignotants à LED ainsi qu’une double sortie d’échappement et des jantes spécifiques.

L'habitacle de cette 208 est particulièrement soigné.

L’intérieur n’est pas en reste et fait la part belle au luxe. Le cuir recouvre une partie des sièges et l’Alcantara est omniprésent : sellerie, ciel de toit, pare-soleil, volant… Enfin, Peugeot s’est associé à Jean Paul Gaultier et Swarovski pour offrir un raffinement certain à cet habitacle. Ainsi, des cristaux sont placés sous le rétroviseur central, au niveau des poignées de maintien du pavillon et même dans les tapis de sol !

Cette Peugeot 208 Pyrit Concept est très séduisante mais sa commercialisation n’est pas prévue.

 

Lire la suite: http://www.largus.fr/actualite-automobile/peugeot-208-pyrit-concept-look-et-luxe-8247386.html#ixzz4QCWD3djx

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Invité §Lau620QA

DEUX PICK-UP PEUGEOT, un avec DONGFENG, et un avec TOYOTA

 

http://www.challenges.fr/autom [...] eng_440641

 

 

 

[h1]Peugeot va produire un pick-up avec le chinois Dongfeng[/h1]

Le 29.11.2016 à 17h57

EXCLUSIF Peugeot va produire un pick-up avec son actionnaire chinois Dongfeng en Tunisie. Le véhicule, développé par Dongfeng, sera commercialisé dans la zone Moyen-Orient-Afrique. Un deuxième pick-up, avec Toyota, arrivera ensuite.

http://www.challenges.fr/assets/img/2015/04/19/cover-r4x3w1000-583da7dc9af26-carlos-tavares.jpg

Carlos Tavares, président de PSA, veut une forte expansion dans la zone Moyen-Orient-Afrique. Le futur pick-up rustique et adapté aux dures conditions routières des pays émergents sera ensuite exporté vers la région à partir du site tunisien.AFP PHOTO / JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN

 

PSA réinvestit progressivement la région Moyen-Orient-Afrique, où il fut longtemps populaire avec les inusables 404 et 504, notamment en pick-up. Peugeot va ainsi produire en Tunisie un pick-up commun avec... son partenaire chinois Dongfeng, sur une plateforme de ce dernier, selon nos informations. Ce véhicule rustique et adapté aux dures conditions routières des pays émergents sera ensuite exporté vers la région à partir du site tunisien.

Cette coopération est une première du genre entre le groupe tricolore et son actionnaire Dongfeng, qui détient 14% de son capital. Ce projet de pick-up est un premier pas. Il fallait faire vite et le véhicule développé en Chine sera très bientôt disponible. Un deuxième projet de pick-up, à vocation mondiale cette fois, verra ensuite le jour avec le japonais Toyota! PSA est totalement absent de ce créneau du pick-up depuis l'arrêt de production de la 504 pick-up en Argentine dans les années 90.

[h3]Usine en projet au Maroc[/h3]

PSA et Stafim, partenaire de Peugeot dans le pays, ont annoncé officiellement ce mardi "une lettre d'intention pour assembler et commercialiser en Tunisie" la premier pick-up avec Dongfeng. Ce projet d'assemblage "démarrera mi-2018". Pour un volume initial annuel de 1.200 unités. Ce programme, modeste en soi, s'inscrit dans la stratégie de Carlos Tavares, président du groupe hexagonal, qui veut quadrupler les volumes à 700.000 unités annuelles à l'horizon 2021 dans la zone Moyen-Orient-Afrique. PSA a signé plusieurs accords majeurs, récemment, pour redémarrer dans cette région.

A l'été 2015, il a signé un accord au Maroc pour bâtir une usine, à Kénitra, qui sera opérationnelle en 2019 avec un potentiel de 90.000 unités annuelles. Avec la possibilité de doubler à terme les volumes. Des Peugeot 301 et Citroën C-Elysée d’entrée de gamme y sont prévues. Par ailleurs, PSA a bouclé techniquement un projet d'usine en Algérie, à Oran, pour la fabrication de 25.000 véhicules par an. PSA n'attend plus que le feu vert éventuel des pouvoirs publics. En outre, Peugeot assemble des véhicules en Ethiopie et au Nigéria. Mais il s'agit de tout petits volumes (un millier par an escompté en Ethiopie).

 

[h3]L'Iran redémarrera en 2017[/h3]

Le gros morceau, c'est toutefois l'Iran. A partir du second semestre 2017, des petites Peugeot 208, 2008 (dérivé "SUV") et 301 devraient sortir de la co-entreprise à 50-50 de PSA avec Iran Khodro près de Téhéran. Les volumes envisagés sont de 100.000 voitures dans une première tranche, puis de 200.000 dans une deuxième. Dont une partie pour l'export. Investissement: 400 millions d'euros sur cinq ans. L'accord avait été signé en janvier dernier lors de la venue à Paris du président iranien Hassan Rohani.

 

Iran Khodro était déjà le partenaire historique de PSA avant la rupture de 2012, quand PSA s'était brutalement retiré d'Iran sous l'injonction de l'américain GM, son éphémère allié qui exigeait que le français se conformât à la ligne dure de Washington envers le pays. Fin 2017, début 2018, PSA ajoutera en Iran la production des Citroën avec son allié local Saipa. L'accord définitif a été signé en septembre dernier. Investissement: plus de 300 millions d'euros sur cinq ans. Trois petits modèles de la marque aux chevrons seront produits à Kashan (entre Téhéran et Ispahan). Citroën compte ainsi fabriquer 150.000 voitures vers 2021 sur place.

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Invité §Lau620QA

http://www.lesechos.fr/industr [...] 049994.php

 

 

 

  • Malgré la crise, PSA parie sur le marché sud-américain

 

JULIEN DUPONT-CALBO Le 13/12 à 06:00

 

 

 

http://www.lesechos.fr/medias/2016/12/13/2049994_malgre-la-crise-psa-parie-sur-le-marche-sud-americain-web-tete-0211588103209.jpg

Le site de El Palomar, dans la banlieue de Buenos Aires, devrait être modernisé et pourrait se spécialiser dans les utilitaires. - Photo PSA

[h2]

[/h2]

 

 

[h2]Le groupe français va investir 300 millions d'euros en Argentine, en dépit de la récession actuelle.[/h2]

Il a réservé la primeur de l'annonce au président argentin, Mauricio Macri - qui ne s'est pas fait prier pour envoyer le communiqué dans la foulée. La semaine dernière, Carlos Gomes, le directeur Amérique latine de PSA Peugeot Citroën, s'est rendu à la Maison Rose, le palais présidentiel, pour y présenter un investissement industriel de 300 millions d'euros à El Palomar, dans la banlieue de Buenos Aires.

 

L'idée ? Moderniser le site existant en y amenant le « full-kitting » (des convoyeurs robots) et un parc de fournisseurs. Et, en passant, accueillir d'ici 2019 la plate-forme « CMP », celle qui pourra supporter des véhicules thermiques, hybrides ou électriques. Dont, comme le souffle l'agence Telam, le futur pick-up présenté début 2016 par le constructeur. Selon Telam, El Palomar pourrait d'ailleurs se spécialiser dans les utilitaires. Les voitures particulières, elles, seraient fabriquées au Brésil. L'an dernier, le site argentin a sorti 57.000 véhicules (des Citroën C4-L et Berlingot, des Peugeot 207, 308, 408 et Partner).

Chez PSA, on considère l'Amérique latine comme un foyer de croissance intéressant. Avec un point mort abaissé en quelques années de 400.000 à 150.000 véhicules à l'année, la zone est redevenue rentable l'an dernier. En 2016, les ventes ont pour l'instant progressé de 17 %, avec 149.000 unités écoulées entre janvier et octobre. Le groupe français prévoit de lancer 16 modèles en cinq ans dans la région, de doubler les ventes et de tripler les profits.[h3]Pression fiscale[/h3]

L'objectif et l'investissement actuel peuvent néanmoins paraître audacieux, vu le contexte argentin. Le pays est entré en récession et finira 2016 sur un recul du PIB de 2 %. Une crise qui affecte particulièrement l'automobile. D'après le Syndicat des mécaniciens du transport automobile d'Argentine (SMATA), plus de 3.000 salariés du secteur ont été licenciés cette année, et 3.000 autres emplois sont menacés. « C'est l'une des pires crises que nous ayons connues, admet Leonardo Almada, porte-parole du SMATA, la production nationale a baissé de 20 % en un an. »

L'arrivée au pouvoir, fin 2015, du libéral Mauricio Macri, avait suscité beaucoup d'espoir dans le secteur, miné par les fortes taxes sur les importations instaurées par le gouvernement précédent. Mais un an plus tard, les entreprises automobiles ne vont pas mieux et continuent à dénoncer la pression fiscale qui les affecte, ainsi que la forte inflation : +40 % en 2016.

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http://www.usinenouvelle.com/a [...] an.N486524

 

[h1]Les ventes de PSA dopées par l'Iran[/h1]JULIE THOIN-BOUSQUIÉ PEUGEOT , PSA , CITROËN , CONSTRUCTEURS

PUBLIÉ LE 12/01/2017 À 07H08

 

[h2]Le groupe PSA a vendu en 2016 plus de 3 millions de véhicules. Près de 233 000 véhicules ont été produits en Iran, un chiffre qui a pu être intégré dans les comptes après la levée des sanctions économiques à l'encontre du pays en janvier 2016.[/h2]http://www.usinenouvelle.com/mediatheque/2/4/5/000357542_image_896x598/peugeot-3008.jpg

Le nouveau SUV 3008 de Peugeot a totalité plus de 60 000 commandes en trois mois.© Peugeot

 

C’est une belle progression qu’affiche le groupe PSA. Le constructeur a annoncé mercredi 11 janvier ses résultats commerciaux pour l’année 2016. Bilan: le groupe a progressé de 5,8% sur l’année, avec près de 3,146 millions d’unités vendues à travers le monde. C’est la meilleure croissance des ventes depuis 2010 pour le groupe PSA.

 

 

Des chiffres gonflés par le retour en Iran

Dans le détail, le groupe a surtout profité de son retour en Iran, après la levée des sanctions économiques qui pesaient sur le pays. PSA a pu intégrer dans ses comptes les véhicules fabriqués dans le pays sous licence Peugeot. Pendant quatre ans, ses partenaires iraniens avaient continué à assembler des véhicules de la marque sans que le groupe ne les comptabilise dans ses chiffres.

En 2016, 233 000 véhicules ont été produits sur place, permettant à PSA de franchir la barre des 3 millions de véhicules. Sans les bons résultats iraniens, le groupe aurait enregistré un recul de ses ventes de 2% en 2016.

 

 

Peugeot en tête

Parmi les trois marques du groupe, c’est Peugeot qui enregistre les meilleurs chiffres. La marque au lion, qui représente plus de 60% des ventes du groupe, a vu ses ventes mondiales croître de 12,27% en 2016 en intégrant les résultats iraniens (mais un léger recul d’un peu plus d’un pour cent en l’absence de ce marché). La marque soutient la croissance européenne, avec une hausse de 4,4% sur l’année dans la région. Belle progression aussi en Amérique Latine, avec une croissance de 23,6%.

Citroën et DS connaissent en revanche des résultats plus mitigés. En 2016, la première marque enregistre un léger recul d’1,72%, tandis que DS connaît une chute de presque 16% au niveau mondial. En Europe, Citroën observe tout de même "une croissance de 4,3%", le "meilleur volume de ventes depuis cinq ans", selon le communiqué du groupe.

Comme Peugeot, les deux marques enregistrent des reculs sur les marchés chinois et asiatiques. Le groupe PSA a vu ses ventes chuter de presque 16% dans la région, à cause d’un "contexte concurrentiel intense", rappelle le communiqué.

 

 

60 000 commandes pour le 3008

Mais le groupe compte sur ses nouveaux produits, qui sont tous "des succès commerciaux sur leurs segments de marché", toujours selon le communiqué. Chez Peugeot, le nouveau SUV 3008 "totalise plus de 60 000 commandes en seulement trois mois et dépasse de 70% ses objectifs de commande 2016 fixés avant le lancement".

Côté Citroën, la C3 a "déjà engrangé près de 40 000 ventes depuis son lancement en novembre", tandis que "la DS3 se place dans le top 3 des meilleurs ventes de citadines berlines premium en Europe".

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http://www.latribune.fr/entrep [...] 29747.html

 

 

[h1]"Le redressement de Peugeot en Chine se concrétisera en 2017" Jean-Philippe Imparato, DG[/h1]Par Propos recueillis par Nabil Bourassi | 12/01/2017, 6:25 | 955 mots

 

http://static.latribune.fr/full_width/629741/jean-philppe-imparato-patron-de-peugeot.pngJean-Philippe Imparato insiste sur le caractère stratégique des véhicules utilitaires. Il espère encore augmenter de 10% ses ventes de VU en 2017. (Crédits : Peugeot)Jean-Philippe Imparato se félicite de la dynamique d'internationalisation de la marque automobile qu'il dirige depuis près de six mois maintenant. La hausse de 12% des ventes mondiales en 2016 est toutefois à imputer à l'Iran, sans lequel les ventes auraient baissé de 1,4% notamment en raison de la chute en Chine (-14%). Jean-Philippe Imparato estime toutefois que tout est désormais en place pour redresser la situation dès 2017.

LA TRIBUNE - La marque Peugeot a enregistré une hausse de 12,3% de ses ventes en 2016. Comment analysez-vous cette performance ?

JEAN-PHILIPPE IMPARATO - Cette progression nous amène à un volume de ventes de 1,9 million de voitures sur l'ensemble de l'année. Ce qui me réjouit dans cette performance, c'est que nous sommes dans le bon tempo pour atteindre notre objectif d'un mix géographique de 50% de nos ventes hors d'Europe d'ici à 2020. En 2016, nous avons atteint une part de 43% contre 38% l'année précédente. Il faut noter d'excellentes performances dans certains pays comme l'Ukraine où nous avons enregistré une hausse de 56%, mais encore de 36% en Argentine, ou au Japon où nous avons enregistré des ventes record...

 

La Chine, votre premier marché mondial, a pourtant nettement pénalisé votre performance en 2016...

Nous avons traversé une période très difficile en Chine avec des ventes en baisse de 14%. C'est vrai. Il y a deux raisons à cela. La première, c'est la difficulté rencontrée par notre réseau. En Chine, nous sommes partis de rien et nous avons constitué un réseau de 500 concessions. Mais sa configuration avait du sens pour un marché de primo-accédants. Or, la Chine a évolué pour devenir un marché mature. Une partie de notre réseau manque d'expertise et d'investissement. Ce redressement, nous l'avons engagé, mais cela ne se fait pas en deux mois. L'autre raison, c'est la fin d'une génération de produits. Sur ces deux aspects, nous avons engagé des actions fortes, et nous sommes particulièrement optimistes. L'arrivée du 4008 [l'équivalent du 3008 européen, Ndlr] est d'ores et déjà un succès. Avec 11.500 ventes, nous avons dépassé notre objectif de 120%. Nous sommes également satisfaits du lancement de 308 Sedan. J'ajoute que les prises de commandes sont significatives. Nous avons eu une année 2016 très difficile, mais nous l'avons finie sur une note très positive puisque nous avons battu un record en décembre avec 43.800 ventes. Cette performance a eu un effet de déstockage qui nous aide à assainir notre réseau. C'est un signe que nous espérons concrétiser en 2017. Nous avons toutes les raisons d'être optimistes.

 

La progression de vos ventes est aussi imputable à votre retour en Iran, marché sans lequel vos ventes seraient en retrait de 1,4%...

Evidemment, l'Iran nous a permis d'ajouter 230.000 immatriculations à notre volume total. C'est d'abord une bonne nouvelle pour nous parce que cela augure d'un retour prometteur sur ce marché important pour la marque Peugeot. Mais nous comptons bien poursuivre notre relance partout...

 

Vous avez insisté sur l'importance de votre stratégie véhicule utilitaire (VU) dans votre plan de conquête...

Absolument. En 2016, nous avons lancé deux nouveaux produits très importants pour nous : l'Expert et les motorisations Euro6 pour le Boxer. En Europe, nous avons enregistré une hausse de 10% de nos ventes de véhicules utilitaires, dont 20% pour l'Expert et 7% pour le Boxer. Cette performance n'a rien d'anecdotique pour moi. Historiquement, notre stratégie VU a permis d'installer l'image de robustesse et de fiabilité de Peugeot dans les pays étrangers. C'est bien ce que je compte promouvoir en 2017, notamment dans la perspective d'un pick-up. Notre stratégie VU est aussi importante que notre nouveau SUV 3008.

 

Parlons donc de ce 3008 qui a un peu été la star de Peugeot cette année...

Oui, mais je veux souligner que la première progression pour nous en 2016, c'est le 2008 avec une hausse de 10% de ses ventes. C'est très important à noter. Le 3008, lui, fait un bon boulot de SUV. Il se place à la première place dans sa catégorie dans les trois derniers mois de l'année, et dépasse son objectif de 70%. Et notre portefeuille de commandes est bien garni. C'est ce qui nous permet d'anticiper un beau lancement pour le 5008 en 2017. Nous avons donc décidé de revoir nos capacités de production à la hausse dans l'usine de Rennes.

Le 3008 doit marquer votre stratégie désormais tournée vers la valeur plutôt que les volumes, c'est l'objectif que Carlos Tavares a imposé à la marque Peugeot dès son arrivée à la tête de PSA. Où en êtes-vous face à cet objectif ?

Si je dois hiérarchiser mes priorités, je dirai l'internationalisation de la marque Peugeot, en premier lieu. De ce point de vue, je pense que nous sommes sur une bonne dynamique. En second lieu vient effectivement ce que j'appelle le mix famille, c'est-à-dire notre capacité à vendre des produits aux finitions supérieures avec la meilleure valeur ajoutée pour nous. Le 3008 s'est vendu à 86% sur des finitions de niveau 3 au moins, ce qui est très satisfaisant. Cela valide notre stratégie fondée sur l'amélioration de la valeur résiduelle. Partout en Europe, nous avons gagné sur cet aspect. C'est ainsi que nous pourrons réaliser peut-être un quart de notre marge bénéficiaire sur 10% des segments les plus élevés.

Vous redressez vos ventes en Chine, vous allez accélérer en Iran, vous allez enregistrer une année pleine pour le 3008 en Europe en plus de l'arrivée du 5008... 2017 devrait donc être une bonne année pour vous ?Nous espérons passer la barre des 2 millions de véhicules cette année, et j'espère poursuivre dans mon objectif d'atteindre à termes les 50/50 en termes de mix géographique. L'histoire du SUV va s'écrire en 2017 puisque nous aurons désormais une gamme complète, mais nous ne négligerons pas le reste de la gamme qui reste très importante pour Peugeot. Enfin, j'insiste sur notre stratégie VU dont j'espère enregistrer une progression de 10% cette année.

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Invité §Lau620QA

http://www.lesechos.fr/industr [...] 057888.php

 

[h1]Renault contre Peugeot et Citroën, le match d’un siècle[/h1]JULIEN DUPONT-CALBO Le 17/01 à 18:26

http://www.lesechos.fr/medias/2017/01/17/2057888_renault-contre-peugeot-et-citroen-le-match-dun-siecle-web-tete-0211701270627.jpg

Dans les années 1980, Raymond Levy et Jacques Calvet, respectivement patrons de Renault et de Peugeot-Citroën, se livraient à une joviale mais farouche concurrence. - Gamma-Rapho via Getty Images

[h2]Avec Citroën, Peugeot et Renault se livrent à un chassé-croisé depuis les débuts de l’automobile en France, ou presque.[/h2]

« Tu vois ces voitures ? Ce sont des Renault... Beurk ! » Il y a près d'un siècle, le patriarche Robert Peugeot ne ménageait pas son concurrent français devant sa petite-fille Christiane, qu'il faisait rebondir sur ses genoux en compulsant avec elle les publicités de « L'Illustration ». Depuis, les frères ennemis de l'automobile française se livrent une course perpétuelle qui connaît en ce moment une nouvelle étape -Renault et Dacia venant de dépasser d'une courte tête l'attelage de Peugeot, Citroën et DS. Peugeot-Citroën dans le rétroviseur de Renault, cela n'était pas arrivé depuis 1985... Avenue de la Grande Armée, le siège historique du Lion, certaines dents doivent grincer.

 

 

 

Renault le populaire contre Peugeot le bourgeois

Dès les années 50, il y avait déjà d'un côté les berlines bourgeoises et la direction paternaliste de Peugeot et de Citroën, de l'autre, les voitures populaires et la « démocratie économique et sociale » de Renault, nationalisé au sortir de la seconde guerre mondiale pour faits de commerce avec l'occupant allemand. Ce qui ne l'a pas empêché de voir ses volumes augmenter rapidement sous De Gaulle, tandis que Peugeot restait sur des voies plus modestes.

 

http://www.lesechos.fr/medias/2017/01/17/2057888_renault-contre-peugeot-et-citroen-le-match-dun-siecle-web-tete-0211700758827.jpg

Après guerre, la 4CV a permis à la nouvelle régie Renault de gonfler ses volumes. - AFP

 

 

Pas sur les mêmes planètes, les deux groupes auraient néanmoins pu convoler dans les années 1970. Plus ou moins partenaires industriels depuis 1966, un projet de mariage incluant en dot Citroën, alors mal en point, circulait au début de l'ère Giscard. Mais François Michelin, propriétaire du Chevron, s'y était fermement opposé - il ne voulait pas voir l'Etat et sa Régie frayer avec son constructeur, préférant constituer un champion privé.

 

[h3]La 205 prend le pas sur la R5[/h3]

Dès lors, Peugeot, gonflé par l'apport de Citroën en 1976, joue dans la même catégorie que Renault, lui ravissant le titre du groupe français vendant le plus de voiture au monde en 1976... pour le perdre aussitôt. Il faudra attendre 1985, quand la Peugeot 205 supplante la Renault 5, pour voir les Peugeot prendre pour de bon un ascendant qui perdurera trente ans.

Au début des années 90, la naissance de la Renault Clio, suivie quelques années plus tard de la vague des Espace, Megane, Scenic et Twingo permettra au Losange de « recoller », mais Peugeot-Citroën reprendra vite le large en se déployant industriellement hors d'Europe, tandis que Renault se débattait dans des problèmes de qualité. En 2005, à la fin de l'ère Folz, PSA comptait presque un million de véhicules d'avance...

 

C'est une question de cycle.

Mais la crise financière qui a failli envoyer le groupe doubiste dans le décor entre 2012 et 2014 a relancé les débats. En 2012, le Lion et le Chevron voient leurs ventes dégringoler de 17 %, et le Losange se rapprocher d'un coup. Peu à peu, ce dernier grignote son retard pour finalement prendre les devants l'an dernier.

 

[h3]PSA a parié sur la Chine, Renault sur les émergents[/h3]

 

http://www.lesechos.fr/medias/2017/01/17/2057888_renault-contre-peugeot-et-citroen-le-match-dun-siecle-web-tete-0211701337529.jpg

La Kwid, nouveau symbole d'un Renault populaire. - Renault

 

« Une question de cycle », défend-on chez PSA, qui martèle privilégier la rentabilité au volume. Peut-être. Mais alors que PSA a parié sur la Chine et la montée en gamme avec entre autres la création de la marque DS, Renault a défriché un autre terrain, celui des pays émergents et de l'automobile frugale (les Dacia et la Kwid comme en écho de la 4CV), sans oublier la grande association avec Nissan. Deux chemins différents, le second étant naturellement plus rapidement porteur en termes de volumes que le premier...

Dans le match des Carlos, Carlos Ghosn, le patron de Renault, peut quoi qu'il en soit se targuer d'avoir dépassé facialement son ancien bras droit, Carlos Tavares, le responsable de PSA. Un fan absolu de course automobile, qui doit attendre fermement le prochain virage.

 

Julien Dupont-Calbo

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http://www.latribune.fr/entrep [...] 32594.html

 

 

[h1]Pourquoi PSA va faire son grand retour en Inde[/h1]Par Nabil Bourassi | 23/01/2017, 17:12

http://static.latribune.fr/full_width/632624/peugeot-psa-logo-voiture-auto.png

Une implantation en Inde doit répondre à l'impératif d'internationalisation du groupe imposé par Carlos Tavares dans le cadre de son plan Push to Pass. (Crédits : Reuters)

 

Le groupe doit confirmer mercredi un projet de coentreprise en Inde avec un conglomérat local. Par deux fois, PSA a tenté de s'y implanter... sans succès. Ce marché promet pourtant de devenir dans les prochaines années, l'un des plus prometteurs au monde, même si son décollage traîne depuis de nombreuses années...

C'était une promesse du plan Push to Pass. Selon Les Echos, le groupe PSA s'apprêterait à annoncer ce mercredi la signature d'un projet d'implantation en Inde. Son président du directoire, Carlos Tavares présentera lui-même le contrat de joint-venture qui devrait être signé avec le conglomérat indien CK Birla Group.

Toujours d'après notre confrère, cet accord prévoit la création d'une coentreprise qui reprendrait un site industriel du groupe indien, installé à Chennai, qui fabrique notamment des voitures Mitsubishi. Cette usine est totalement sous-dimensionnée puisqu'elle ne produirait que 12.000 voitures par an. L'accord pourrait ainsi être assorti d'une enveloppe d'investissement conséquente.

[h2]Un marché à l'avenir radieux[/h2]

Pour rappel, le marché automobile indien s'est élevé à 2,7 millions d'immatriculations, soit quasiment autant qu'en France, qui compte pourtant infiniment moins d'habitants. Les analystes attendent néanmoins une croissance exponentielle de ce marché. D'après une estimation de J.D. Power & Associates, reprise dans une étude Crédit Suisse de 2014, le marché indien pourrait représenter 11 millions de voitures à horizon 2020, pour en faire le troisième marché mondial. D'autres tablent sur un marché doublé à 6 millions d'unités. Il faut rappeler que cela fait plus de dix ans que les économistes annoncent le décollage du marché indien... En vain ! Le manque d'infrastructures explique en grande partie cette surprenante stagnation. Pourtant, le marché est immense avec un taux d'équipement de moins de 2 voitures pour 100 habitants, à comparer avec le ratio de 80 voitures atteint en Europe

 

Pour PSA, il n'était plus temps de trainer. Carlos Tavares a érigé l'internationalisation du groupe en tête des priorités du groupe pour les cinq prochaines années. L'Inde faisait naturellement partie des projets d'implantation dévoilés dans le cadre du plan Push to Pass.

 

[h2]Deux tentatives avortées[/h2]

Déjà, le groupe avait projeté au début des années 2010 un retour dans le pays avant de faire subitement marche arrière sous l'impulsion du précédent président du directoire Philippe Varin, pressé de serrer les vannes des investissements alors que le groupe croulait sous les dettes et les invendus. PSA avait également tenté de s'implanter en Inde dans les années 1990 avec une Peugeot 309 mais sans succès, rappelle Les Echos.

PSA arrive sur un marché à la fois très complexe et très volatil. Le marché automobile indien est fortement corrélé aux taux d'intérêt mais également aux variations monétaires et aux matières premières. Ensuite, le marché reste très hétérogène. "Impossible de trouver une tendance qui concerne l'ensemble du marché", se plaignait en 2015, le cadre d'un constructeur français sur place. "On peut lancer une voiture qui sera un succès dans le nord de l'Inde, mais sera très mal reçue dans le sud du pays", témoignait-il.

Interviewé en 2014 par L'Usine Nouvelle, Patrick Charpy, qui dirige le centre de design de l'Alliance Renault-Nissan à Madras, illustrait ce désarroi : "pour le moment, nous ne savons pas encore ce qu'il faut faire, mais nous avons surtout appris ce qu'il ne fallait pas faire".

 

[h2]Renault a fini par percer malgré un faux départ[/h2]

Et pour cause, Renault a été le premier à essuyer les plâtres sur ce marché. Il avait dans un premier temps perdu beaucoup de temps avec la Logan, véritable échec commercial. La marque au losange a néanmoins persévéré en se relançant avec le Duster qui lui a permis de percer. Mais c'est avec Kwid que Renault a remporté le gros lot avec plus de 100.000 voitures vendues en quelques mois après son lancement en septembre 2015.

Lancer un produit en Inde est donc complexe et il est compliqué d'y lancer une voiture à vocation mondiale tant le consommateur indien a des besoins spécifiques. C'est précisément ce que constatait Crédit Suisse dans son étude : "la plupart des constructeurs automobiles ne cherchent pas suffisamment à répondre aux attentes des Indiens en matière automobile".Mercredi, Carlos Tavares devrait ainsi détailler son plan de conquête de l'Inde. Il devra surtout expliquer comment il compte éviter au groupe PSA de s'infliger un nouveau flop...

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Invité §Lau620QA

http://www.jeuneafrique.com/ma [...] -terrains/

 

 

[h1]Automobile : sur le continent, PSA s’attaque à tous les terrains[/h1]Publié le 02 février 2017 à 15h01

Par Christophe Le Bec

@tintinlebec

 

 

http://www.jeuneafrique.com/medias/2017/01/20/8318hr_-592x296.jpg

 

Plutôt à l’aise au Maghreb, le constructeur français a encore du mal à percer au sud du Sahara. Et compte sur de nouveaux modèles et de nouvelles implantations pour s’imposer.

 

Ce Français, aux manettes de la zone depuis septembre 2014, a plus que doublé les ventes sur son périmètre, avec 383 489 véhicules ayant trouvé acquéreur en 2016, contre 180 207 en 2015. Mais ce sursaut est en trompe-l’œil, car il est essentiellement dû à l’intégration de la production iranienne dans les chiffres – ce qui représente 233 000 voitures additionnelles – en raison de deux accords de partenariat conclus à Téhéran.L’année 2016 aura été diversement fructueuse pour Jean-Christophe Quémard, le patron de la région Afrique - Moyen-Orient du groupe français PSA, et ses trois marques automobiles : Peugeot, Citroën et la dernière-née, DS (lancée en 2014), établie sur le haut de gamme.

 

En Afrique en revanche, où Peugeot, Citroën et DS ont écoulé conjointement 50 000 véhicules environ en 2016 – contre 80 000 en 2015 –, la situation est beaucoup plus contrastée. « Nous avons choisi de concentrer nos efforts et nos investissements sur le bassin méditerranéen et les grands pays qui tirent nos ventes : la Turquie, l’Iran et les États du Maghreb. Ailleurs – notamment au sud du Sahara –, nous serons présents mais nous aurons une stratégie opportuniste, au coup par coup », confie le dirigeant.

 

Marché fleurissant au Maroc

Le Maghreb demeure la principale place forte de PSA sur le continent – comme elle l’est pour son éternel rival et compatriote Renault (lire ci-dessous) – avec 44 600 véhicules vendus en 2016, grâce à un bon positionnement sur le créneau décisif du véhicule utilitaire, avec le Peugeot Partner, et du segment B (citadines polyvalentes) avec les Peugeot 301 et 208 et les Citroën C3 et C-Elysée. « Au Maroc, où nos ventes ont bondi de 26,6 % en 2016, nous avons mis fin à la baisse de notre part de marché, qui s’établissait à 11,9 % au deuxième trimestre de cette même année. Sur le marché algérien, soumis à une politique de quotas drastiquement réduits l’an passé, nous nous maintenons à 21,5 % des véhicules importés et à une part globale de 13,6 % », indique le patron régional.

 

Au sud du Sahara, l’année 2016 a été difficile pour le groupe automobile français, qui n’a pas voulu révéler le volume écoulé, inférieur à 5 000 unités dans la zone entière. « En dehors de la Côte d’Ivoire et du Sénégal, où les ventes ont légèrement progressé, la plupart des marchés, très liés aux cours des matières premières et aux effets de change, ont été en deçà de nos attentes », reconnaît Jean-Christophe Quémard, qui parle d’un effondrement au Nigeria et en Angola et estime à 8 points la contraction des ventes de véhicules neufs en Afrique de l’Ouest.

 

Expansion au Maghreb

Pourtant, le Portugais Carlos Tavares, PDG de PSA, a annoncé des objectifs très ambitieux pour la région Afrique - Moyen-Orient à l’horizon 2021 : 700 000 ventes et une multiplication des profits par quatre par rapport à 2015. Pour y parvenir, Jean-Christophe Quémard prévoit le lancement de 23 nouveaux modèles en cinq ans, dont, dès 2017, le véhicule de loisir (SUV) Peugeot 3008, la nouvelle Citroën C3 et une version inédite de l’utilitaire Jumpy-Expert, dont le lancement a eu du succès en Europe.

Pour éviter d’être bridé par les quotas – notamment en Algérie – et doper ses capacités logistiques, PSA a adopté un plan industriel pour la région Afrique - Moyen-Orient qu’il décline au Maghreb à travers trois projets d’usines d’assemblage. Celle qui verra le jour au Maroc, à Kenitra, devra réaliser 90 000 véhicules. L’Algérie accueillera une unité capable d’en produire 75 000. Et en Tunisie sera édifiée une installation industrielle destinée à fabriquer 1 200 pick-up par an. « Ces trois projets sont complémentaires », assure le directeur régional, selon lequel ils permettront de produire localement 70 % des véhicules vendus dans la région en 2021.

 

Implantation lente

Reste que si la construction de l’usine marocaine avance bien (le terrassement vient d’être achevé) – et devrait permettre une entrée en production en 2018, conformément au planning –, le projet algérien n’a toujours pas été validé par le gouvernement, alors qu’une signature était attendue lors de la visite d’Emmanuel Macron à Alger en avril 2016. « Le projet, construit avec nos partenaires privés et publics, est sur la table du gouvernement depuis six mois, il y a eu quelques allers-retours depuis. Nous avons pris en compte les demandes légitimes des autorités, qui souhaitent industrialiser leur pays, bénéficier de transferts de technologies et favoriser l’emploi local. Nous attendons leur décision, je suis prêt à prendre l’avion pour Alger », affirme Jean-Christophe Quémard. Mais ses équipes commencent à s’impatienter, alors qu’un projet d’usine Volkswagen en Algérie émerge également et que Renault est implanté à Oran depuis novembre 2014.

 

Au sud du Sahara, le directeur régional ne veut pas « faire du volume au détriment de la marge » et se montrera beaucoup plus circonspect dans ses investissements industriels et lancements de produits. Même si les accords de production (pour des quantités modestes) avec des assembleurs locaux sont confirmés par le patron Afrique - Moyen-Orient au Nigeria et en Éthiopie, ils ne devraient pas se multiplier. Dans cette région, le partenaire privilégié de PSA pour la distribution de ses produits restera le français CFAO, même si celui-ci est passé dans le giron de Toyota Tsusho Corporation, la maison de commerce du constructeur automobile japonais, leader du marché sur le continent.<hr style="height:0px;margin-top:20px;margin-bottom:20px;border-right:0px;border-bottom:0px;border-left:0px;border-top-style:solid;border-top-color:rgb(248,248,248);" />

RENAULT : EN POLE POSITION INDUSTRIELLE

Implanté au Maoc et en Algérie, le géant de l’automobile garde son avantage face à PSA dans la région du Maghreb

En 2016, le constructeur au losange a fabriqué 345 000 véhicules au Maroc, dont 273 176 à Tanger et 71 824 à Casablanca. Un record pour le pays, alors que l’usine d’assemblage de PSA à Kenitra doit entrer en production en 2018 avec 90 000 voitures par an seulement au départ.

En Algérie, Renault, seul producteur du pays, a assemblé environ 35 000 automobiles en 2016 dans son usine d’Oued Tlemcen, près d’Oran. Une implantation qui lui donne un avantage commercial sérieux car elle lui permet d’échapper partiellement aux maigres quotas d’importation auxquels doit se soumettre son rival PSA, qui a de ce fait écoulé 62,6 % de volumes en moins dans le pays en 2016.Christophe Le Bec

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Invité §Lau620QA

http://www.capital.fr/bourse/a [...] ue-1206067

 

[h1]COMMENT PSA SE PRÉPARE À VENDRE UN MILLION DE VOITURES EN AFRIQUE[/h1]

 

http://www.capital.fr/var/cap/storage/images/media/images/photo-v2-457x222/rea/carlos-tavares/7992894-1-fre-FR/carlos-tavares.large.jpg

 

 

© REATous droits réservés

 

Le groupe français veut accélérer en Afrique, la dernière frontière de l’automobile. Il lance l’assemblage de ses modèles au Kenya, en Ethiopie et au Nigéria et investit dans de grosses usines au Maroc et en Algérie.

 

 

Après avoir mis pendant plus d’une décennie le paquet sur la Chine où il a vendu l’an dernier 620.000 voitures (une baisse de 15%), le groupe PSA est clairement décidé à revenir en Afrique, un continent où les ventes devraient progresser de 40% dans les cinq années à venir. Il vient ainsi d’annoncer son retour au Kenya, où il avait assemblé des véhicules entre 1974 et 2002. A partir de juillet prochain, ce seront des Peugeot (UG-17,37 € 0,35 %) 508 et 3008 qui seront assemblées sur place à partir de kits d‘éléments importés par son partenaire local, le groupe Urysia. L’objectif est modeste, un millier de voitures par an, mais le petit marché kenyan se développe sur un rythme de 10% par an. Volkswagen, le numéro un mondial de l’automobile, vient d’ailleurs lui aussi d’ouvrir un site d’assemblage de Polo Vivo dans le pays.

 

 

Lecture

Pour PSA cette opération s’inscrit dans le cadre d’un plan de reconquête ambitieux. « Nous comptons vendre en 2025, un million de véhicules dans la région Afrique et au Moyen Orient », martèle ainsi Carlos Tavarès, le patron du groupe. Comme tous les autres boss du secteur, il sait que l’Afrique est la dernière frontière de l’automobile. Selon le cabinet Deloitte, le taux de motorisation y est de 44 voitures pour 1.000 habitants, contre 180 pour 1.000 dans le monde (et 600 pour 1.000 en Europe).

Avant le Kenya, PSA avait déjà annoncé des opérations du même type au Nigéria, pays le plus peuplé d’Afrique, où des 301 notamment sont assemblées et en Ethiopie, pour y monter des Peugeot 301, 208 et 2008, destinées essentiellement au marché intérieur. Dans ce pays très fermé, il s’est allié à Mesfin Industrial Enginneering, un groupe industriel détenu par l’un des principaux conglomérats du pays, pour faire son entrée sur un marché très convoité, avec un PIB en croissance de près de 10%.

Mais c’est au Maroc, pour le moment, que le groupe a le plus investi : Carlos Tavarès a signé en 2015 un accord avec le roi Mohammed VI pour fabriquer à partir de 2019 des Peugeot 301 et Citroën C-Elysée à Kenitra, au nord de Rabat. 90.000 véhicules devraient être produites dans un premier temps dans cette usine qui pourrait à terme plus que doubler sa production pour atteindre 200.000 unités. Parallèlement, des moteurs seront aussi assemblés sur place. Au total, 557 millions d’euros seront investis avec le concours d’investisseurs locaux, PSA restant majoritaire. Enfin, le groupe travaille aujourd’hui sur l’implantation d’une usine de production à Oran, en Algérie, où il détient déjà la deuxième place sur le marché local qui est lui même le deuxième marché du continent derrière l’Afrique du Sud. La course est lancée.

Patrick Chabert

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Invité §Lau620QA

PSA comporte maintenant 4 marques !

 

http://www.lepoint.fr/automobi [...] 30_646.php

 

 

[h1]PSA rachète Ambassador pour prendre pied en Inde[/h1]

[h2]Le constructeur français PSA a acheté au groupe indien Hindustan Motors la marque Ambassador, jadis favorite de l'élite indienne, pour 11 millions d'euros.[/h2]

LE POINT AUTO AVEC AFP

Modifié le 13/02/2017 à 10:36 - Publié le 13/02/2017 à 08:30 | Le Point.fr

http://www.lepoint.fr/images/2017/02/13/7001942lpw-7001944-article-jpg_4090567_660x281.jpg

Utilisée par les chauffeurs de taxi et par l'élite du pays pendant plus d'un demi-siècle, l'Hindustan Ambassador fait partie de la culture indienne. © Debajyoti Chakraborty / NurPhoto / AFP / NurPhoto/ Debajyoti Chakraborty

 

 

 

 

C'est un morceau de l'histoire indienne sur lequel le groupe français vient de mettre la main. Plus vieux constructeur automobile local, Hindustan Motors, qui appartient au groupe CK Birla, a en effet produit l'Ambassador – une petite berline 4 portes basée sur la Morris Oxford III – sans interruption de 1957 à 2014. Conglomérat industriel siégeant à New Delhi, tenu par une famille issue de la communauté marchande du Rajasthan, CK Birla est notamment présent dans le secteur de la construction ainsi que la production d'engins mécaniques et de pièces détachées.

 

[h3]Partenariat industriel[/h3]La marque Ambassador a été vendue pour 800 millions de roupies (11 millions d'euros), alors que la production du modèle a été interrompue il y déjà trois ans. Mais le groupe PSA, propriétaire de Peugeot, Citroën et DS, avait annoncé le mois dernier avoir fondé avec CK Birla deux co-entreprises de véhicules et de moteurs pour prendre position sur un marché automobile de taille encore modeste mais à fort potentiel. À l'horizon 2020, PSA souhaite se doter d'une capacité initiale de fabrication de 100 000 véhicules par an, en coopération avec CK Birla qui investira avec lui près de 100 millions d'euros dans ce projet.

 

[h3]Marché à gros potentiel[/h3]L'Ambassador fut pendant des années la voiture des hauts fonctionnaires et membres des gouvernements en Inde. Mais la voiture n'a pas su résister à la concurrence, notamment des SUV. Le taux de motorisation en Inde reste faible, à 22 véhicules pour 1 000 habitants en 2014, soit 30 fois moins qu'en Europeoccidentale. Le potentiel du marché automobile indien est donc énorme, même si la croissance des ventes, bridée notamment par des infrastructures insuffisantes, est encore loin d'atteindre celle qu'a connue la Chine, devenue premier marché mondial en l'espace de 20 ans.

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