Aller au contenu
Logo Caradisiac      

Téléchargez nos application

Disponible sur App Store Disponible sur Google play
Publi info
Série 5 / M5

[Topic Officiel] BMW Série 5 E39 (1995-2003)


mike29b
 Partager

Messages recommandés

Le stage de mon BTS (technicien motoriste)

Je taffais sur les pcv (régulation pression rail) et sur les tests d endurance on constatait une usure bien plus rapide qu avec les diesels normaux (+/-3 fois moins de durée de vie) les moteurs diesels actuels sont bien plus complexe qu au temps de la E39 avec des pression rail de 2500bars et des tolérances a la 20aine de micron près la moindre usure a des conséquences

 

Après j' ai pas suivi les biodiesels a base d'huiles végétales(qui ethniquement parlant sont pas ouf au passage) mais en tous cas les bio diesels a base d algues et de déchets recyclé ben t es bien content d avoir un masque quand t ouvres le fut

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En vous lisant, j'ai bien peur que vous ayez raison tous les deux en fait...

 

Pas tant sur l'usure des blocs que sur la qualité de la combustion des mélanges

 

Ces moteurs sont conçus et construit pour cramer des hydrocarbures, rien de végétal dans tout ça, sauf à la marge

 

ils peuvent brûler le reste, mais pas aussi bien, pas sans modification.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

 

La vraie solution à moyen terme, c'est de miser à fond sur les biocarburants.

 

Cela présente plusieurs avantages :

- bilan carbone normalement neutre

- émissions toxiques à priori moindres qu'au pétrole

- et surtout, cela permet de NE PAS avoir à renouveler l'intégralité du parc routier français... voire mondial, mais simplement d'adapter (si tant est que ce soit nécessaire) nos véhicules actuels.

 

La seule condition, pour que ça soit viable, c'est que sa production ne vienne pas "manger" sur des terres destinées à l'agriculture ou sur des forêts. Donc miser à fond sur tout ce qui est algues, ou production de carburant de synthèse, etc...

 

:jap:

 

 

C'est déjà le cas, car on utilise des anciennes friches, pour la culture des betteraves destinées à la production d'éthanol.

Et il me semble qu'il en est de même pour les oléagineux destinés à la production de bio-diesel. :voyons:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et bien si tu le penses tant mieux

 

Perso j ai fait des tests la dessus en stage mais je peux t assurer sur niveau usure c est chiant

 

Pour la toxicité , j' ai pas dit que c était plus toxique que le diesel ou l essence j' ai dit que contrairement a ce que pas mal pense c est pas si eco friendly que ça et dans tous les diesels que j' avais en stage les biodiesels étaient les seuls carburants ou l on devait mettre des masques tellement ils prenaient la gorge et les sinus

 

 

J'ai passé un peu de temps pendant 3 ans dans une usine à St Nazaire qui fabrique du biodiesel, notamment à améliorer l'outil de production, pour la transformation de plantes oléagineuses. :jap:

Je ne sais quel procédé tu as étudié, mais dans le cas que je cite, jamais je n'ai été confronté à des toxicités particulières, et pourtant, j'allais directement sur l'outil de production. :oui:

Ce qui ne sentait pas forcément très bon, par contre, en effet, c'était aussi à St Nazaire, sur les sites expérimentaux de production d'algues oléagineuses, mais c'était naturel. :bah:

 

Quand à l' "usure" liée à l'éthanol, je n'ai encore jamais vu une seule étude sérieuse montant que c'était plus nocif que le SP. :ddr:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le stage de mon BTS (technicien motoriste)

Je taffais sur les pcv (régulation pression rail) et sur les tests d endurance on constatait une usure bien plus rapide qu avec les diesels normaux (+/-3 fois moins de durée de vie) les moteurs diesels actuels sont bien plus complexe qu au temps de la E39 avec des pression rail de 2500bars et des tolérances a la 20aine de micron près la moindre usure a des conséquences

 

Après j' ai pas suivi les biodiesels a base d'huiles végétales(qui ethniquement parlant sont pas ouf au passage) mais en tous cas les bio diesels a base d algues et de déchets recyclé ben t es bien content d avoir un masque quand t ouvres le fut

 

 

On en est encore au stade expérimental, pour les productions de biodiesel à base d'algues oléagineuses.

Si ma mémoire est bonne, il y a 4-5 ans, on comptait seulement 3 sites au monde capables d'en produire de façon contrôlée: l'IUT de St Nazaire (culture horizontale), une boîte d'Espagne (culture verticale), et un autre si en Amérique du Sud ou en Asie, je ne me souviens plus trop.

Par contre, on était déjà capable de fabriquer du carburant de synthèse à base d'algues, mais à mon sens, ça n'a rien d'un "bio-carburant" ou d'un "agro-carburant", ça reste un carburant synthétisé. :jap:

Aucun de ces sites n'était encore capable de passer à une production industrielle, seul le site espagnol s'en approchait, et l'IUT de St Nazaire devrait aujourd'hui être capable de produire quelques dizaines de litres par jour. Le troisième site était encore plus en retard et n'en était qu'au stade de production de quelques gouttes...

 

Le biodiesel inclut dans le carburant distribué en France, par exemple, est issu de plantes oléagineuses, donc bien plus facile à produire, c'est juste de l'huile végétale un peu travaillée, c'est tout. :jap:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Voici des propositions auxquelles adhère à 100%, il faudra m'expliquer pourquoi personne ne le fait :D

 

[h5]MISE À JOUR SUR LA PÉTITION[/h5][h1]10 demandes que je fais au Gouvernement (à lire à la fin)[/h1]

 

 

 

 

 

 

 

fBfczSvWjtQVOyl-128x128-noPad.jpg?1523778377

 

Priscillia LUDOSKY

France

 

 

 

 

fktBYYdHLcpqNTi-800x450-noPad.jpg?1541978849

11 NOV. 2018 —

 

Comme nous le savons le Gouvernement affirme vouloir nous accompagner dans la Transition Energétique par :[*n]L’incitation à l’abandon du mode de déplacement qu’est le véhicule

[*n]L’incitation à l’acquisition de véhicule hybride ou électrique, pour progressivement abandonner le pétrole

[*n]L’obligation de nous faire payer davantage pour « financer » cette transition et assumer le principe du « pollueur/payeur

 

Tout cela dans le souci de la sauvegarde de l’environnement.

Nous sommes tous d’accord, en tant que citoyens (automobiliste ou non), sur le fait qu’il y a urgence à préserver l’environnement du dérèglement climatique et qu’il nous est indispensable de travailler à circuler de manière moins polluante.

Il apparait donc clair que TOUS LES ACTEURS de pollution devraient alors être invités à participer d’une manière ou d’une autre à cette transition et cela ne concerne pas uniquement l’utilisation du véhicule mais un ensemble d’actions à mener pour faire en sorte que nous vivions dans un meilleur environnement.

Il est aussi évident, que le Gouvernement se doit d’agir de manière à ce que l’on puisse effectivement constater qu’il agit réellement dans l’intérêt de la planète et donc des citoyens.

1- L’incitation à l’abandon du mode de déplacement qu’est le véhicule

Ce qu'il conviendrait de faire:

Développer les infrastructures de transport pour faciliter les déplacements en zone rurales, inter-banlieues en IDF et dans les grandes villes en général :

§ Nous l’avons déjà dit et redit, certaines zones étant dépourvues ou partiellement équipées d’infrastructures de transport, d’autres étant équipées mais la qualité de service étant très peu satisfaisante, il est déplacé d’imposer des taxes toujours plus élevées aux automobilistes pour les pousser à se déplacer autrement lorsqu’ils n’ont pas d’autres choix que celui d’utiliser leur véhicule !

§ Ceci n’est certainement pas un accompagnement mais une prise en otage ! Un accompagnement se fait par la mise en place de moyens permettant de se comporter ou de consommer autrement et par la pédagogie et non par la force et la contrainte, surtout quand, encore une fois, aucune autre alternative n’est proposée !

§ Investir dans la mise en place de réseau de Transport tels que le car ou le Tramway

§ Il conviendrait de se concentrer sur les régions dont les lignes de transports sont menacées et/ou mettre en place des alternatives rapidement puisqu’il est souhaité que le véhicule soit laissé de coté : https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/les-petites-lignes-de-ter-vont-elles-survivre-5681129

Limiter les déplacements des travailleurs de la banlieue vers la Capitale

o Favoriser l'installation de grandes entreprises dans ces zones pour éviter le déplacement massif des travailleurs de la banlieue vers Paris;

o Créer de grands espaces de « co-working » visant à permettre aux travailleurs de rester travailler en banlieues dans ces espaces dédiés plutôt que de forcer leurs déplacements vers Paris alors que leur métier ne nécessite pas qu'ils soient physiquement dans l'entreprise employeur;

o Permettre pour certains métiers que le travailleur puisse opter pour le télétravail (à domicile);

o Etudier une nouvelle façon de circuler dans Paris ainsi que dans les Grandes villes dont l’architecture est similaire, c’est-à-dire, non adaptée à une circulation piétonne et cyclable --> Défi architectural puisque les structures existantes sont peu sécurisantes pour tous les usagers.

2-L’incitation à l’acquisition de véhicule hybride ou électrique, pour progressivement abandonner le pétrole

La voiture électrique, un nouveau business oui, un mode de transport moins polluant non !

o Le Gouvernement prétend que l'utilisation de la voiture électrique aurait des conséquences moins désastreuses pour la planète lorsqu'en fait leur production ET utilisation ont autant de conséquences néfastes.

§ La construction d'un véhicule électrique se fait dans des conditions telles que finalement, utiliser ce type de véhicule c'est contribuer à polluer davantage mais en d'autres lieux. La pollution est simplement délocalisée !

§ Pour construire un véhicule électrique il faut 3 à 4 fois plus d'énergie que pour un véhicule conventionnel.

§ En effet, l'extraction des métaux rares nécessaires à la fabrication des composants de voitures électriques (notamment de batteries en lithium) se fait dans des pays tels que la Chine ou la Mongolie, dans des conditions qui posent par ailleurs certains cas de conscience (éthique) et nécessite l'utilisation d'engins qui utilisent des litres et des litres de gasoil. usées (impact environnementaux et sanitaire et même géopolitiques !)

§ Le raffinage de ces minerais nécessite l'utilisation de produits chimiques hautement toxiques qui sont ensuite déversés dans la nature et empoisonnent les sols et les cours d'eau des pays qui hébergent et exploitent ces mines.

§ La production de ces batteries représente par exemple 35 à 41% des impacts environnementaux.

§ Un coût supplémentaire vient s’ajouter puisqu’il y a un manque de bornes de recharges dans le pays.

§ L’énergie exploitée pour le fonctionnement de ce type de véhicule est le nucléaire puisque 69% de l'électricité en France en est issu (et dont le traitement des déchets n’est toujours pas maitrisé ce que le vieillissement des réacteurs n’arrange pas) ; aussi la France qui s’approvisionne en partie en Allemagne dont l’électricité est issue d’un charbon de très mauvaise qualité (la lignite, composée de 65 à 75 % de carbone), c'est un autre type d'impact qui vient s'ajouter à la liste.

§ Et se pose la question du recyclage des batteries.

§ Les véhicules qui sont déjà sur le marché devrait être réservés aux usagers pratiquant des courtes distances (intra centre-ville) compte tenu des limites de leur autonomie.

- L'Abandon progressif du pétrole : abandonner le pétrole oui mais les actions du Gouvernement ne vont pas en ce sens :

o Pourquoi donc autoriser de nouveau TOTAL à forer du pétrole en Guyane ?

Une décision qui visiblement va à l'encontre de l'Accord sur le Climat, puisque ce forage aura lieu sur le récif de l'Amazone et menace, entre autres, de rejeter en mer des boues toxiques sans compter les fuites d'hydrocarbure.

Zone visiblement très convoitée, puisque l’Institut Brésilien pour l’Environnement (IBAMA) a en revanche refusé que TOTAL exploite les ressources de pétrole et de gaz à l’embouchure de l’Amazonie, ayant jugé « insuffisantes » les études d’impacts environnemental. Selon l’institut, le projet « présente des lacunes et des incohérences qui empêchent qui empêchent son acceptation ». « Embouchure qui possède un vaste récif corallien, fondamental pour l’équilibre environnemental car c’est un lieu de reproduction, une source de nourriture et le berceau de diverses espèces marines », dixit un procureur d’état fédéral du pays.

De plus, a dernière acquisition du groupe TOTAL démontre bien qu’il n’y a aucune volonté de délaisser le pétrole…

o Pourquoi ne pas cesser toute production de véhicule à pétrole à un horizon beaucoup plus proche que celui annoncé (2040) ?

o Pourquoi ne pas accompagner financièrement les projets visant à créer des carburants moins polluants (écologiques et renouvelables) avec une traçabilité fiable assurant ainsi que la source de ces énergies n’ait aucun ou très peu d’impact sur l’environnement et le climat sur tout son cycle ? (ce qui n’est donc pas le cas de l’énergie utilisée pour le véhicule électrique)

§ Exemples de projets d’avenir :

§ Le pétrole bleu : concept proposé par B. Stroaïzzo-Mougin (ingénieur français, fondateur de la société espagnole BFS), qui recopie le processus naturel d’élaboration des hydrocarbures, en l’accélérant à l’aide de nos connaissances technologiques actuelles. Synthèse développé et breveté par BFS.

· La transformation s'opère sur une substance organique nommée kérogène, qui résulte d'une lente dégradation de débris organiques par des bactéries anaérobies

· Dans le “ four ”, le kérogène subit un craquage thermique, les grandes molécules organiques sont rompues en molécules plus petites d'hydrocarbures et, dans une moindre proportion, en diverses molécules complexes, dont le mélange est appelé pétrole.

· Les équipes de recherche biologique BFS travaillent à partir de souches de phytoplancton (microalgues) à haute teneur en lipides, sélectionnées parmi plus de 30.000 espèces répertoriées, sans manipulation artificielle et sans prélèvement sur la biodiversité. La concentration cellulaire normale de ces micro-organismes dans l’eau de mer est de l’ordre de 100 à 300 cellules par millilitre. En milieu d’élevage, BFS atteint dans ses bioréacteurs une croissance exponentielle des microalgues avec des concentrations de 500 millions à 1 milliard de cellules par millilitre.

· Là où le procédé vient encore s’enrichir en termes d’opportunité écologique, c’est que le CO2 concentré nécessaire à cette culture des micro-organismes est celui obtenu à partir des rejets industriels, capté en sortie de cheminées d’usines.

· Pour produire 1 baril de pétrole, BFS absorbe 2.168 kg de CO2 et neutralise définitivement 937 Kg de C02 après combustion.

· Une fois raffiné, il peut donc être utilisé sans aucune adaptation particulière dans les moteurs. Son coût de raffinage est par ailleurs moindre car exempt de soufre et de produits secondaires toxiques. À l’instar de son cousin d’origine fossile, le pétrole BFS peut également servir à fabriquer des plastiques, des solvants, des résines synthétiques, des détergents ou des engrais.

--> Coupler les usines françaises à ce procéder serait une idée à étudier sérieusement

§ Le Chanvre par exemple (trop longtemps laissé de côté et poussé vers la sortie à l'époque par les industries pétrolières que ça n'arrangeait pas de voir le pétrole remplacé).

§ Le chanvre, s’il était cultivé en tant que matière première, pourrait entrer dans la fabrication des deux types de biocarburants : bioéthanol (céréales ; canne à sucre) et biodiesel (huiles végétales). La teneur en huile des graines de chanvre se situe entre 30 et 35 % du poids total de la graine, ce qui lui confère un rendement de 207 gallons par hectare. Son rendement est considérablement moindre lorsque comparé à l’huile de palme et de noix de coco, mais représente tout de même le double de celui du colza, de l’arachide, du tournesol, et le quadruple du soja. Les débris végétaux peuvent par ailleurs être utilisés pour fabriquer de l’éthanol dans un procédé de fermentation dans des conditions faibles en oxygène.

§ Si les agriculteurs étaient en mesure de cultiver et de traiter le chanvre sur place afin de fabriquer le biocarburant pour leurs véhicules et machineries agricoles, ils accompliraient une « boucle » d’autosuffisance énergétique et pourraient considérablement réduire leur empreinte carbone et mettre fin à leur dépendance aux combustibles fossiles. Le chanvre pourrait être intégré dans la rotation des cultures vivrières, amoindrissant ainsi les conséquences sur le prix des aliments et réduisant l’utilisation de combustibles fossiles.

§ Le chanvre nécessite sensiblement le même degré de fertilité du sol que le maïs pour croitre sainement. Cependant, environ 70 % des nutriments qu’il absorbe seront retournés au sol pendant ou après son cycle de croissance (1), ce qui réduit drastiquement les besoins en fertilisation à long terme. Cela représente un avantage certain du chanvre par rapport aux autres matières premières destinées à la fabrication de biocarburant.

§ La même chose peut être dite au sujet de ses besoins en eau. Un des principaux problèmes avec les biocarburants est que leur production exige encore plus d’eau que celle des combustibles fossiles, environ 48 fois plus. Le chanvre requiert autour de 30 à 40 cm (12 à 15 po) d’eau d’irrigation ou de précipitations durant une saison pour produire une bonne récolte ; le maïs en demande 54 cm (22 po).

§ Mais l’avantage majeur du chanvre en tant que biocarburant réside certainement en ce que toutes les parties de la plante peuvent être utilisées. Une fois que l’huile est pressée de ses graines, les enveloppes et les débris de graines peuvent être pressés en blocs d’aliments nutritifs pour les animaux. Les débris végétaux des récoltes, les feuilles qui tombent au cours du cycle de croissance et les racines se décomposent, enrichissant le sol pour les cultures suivantes. Les fibres libériennes et les copeaux sont utilisés pour fabrique des fibres, du papier et des matériaux de construction, pour ne nommer que ces produits.

§ La première voiture de Henry Ford Model-T était conçue pour fonctionner au carburant de chanvre, en fait, la voiture en elle-même était construite avec des panneaux de plastique de chanvre, une substance biodégradable et dont la résistance à l’impact est 10 fois plus fortes que l’acier. Henry Ford a été photographié au beau milieu de ses champs de chanvre, défendant l’idée que la voiture était « cultivée à partir de la terre ».

§ Quand Rudolf Diesel a conçu le moteur diesel, il l’a fait en pensant à de l’huile végétale et de graines (comme l’huile de graines de chanvre) comme source de carburant. Saviez-vous qu’il a fait tourner l’un de ses premiers moteurs à la Foire Mondiale de 1900 avec de l’huile de cacahuète ?

§ Le BioGNV: Gaz Naturel Véhicule plus sain puisqu’ il est d’origine renouvelable et écologique (carburant pour moteur à combustion issu de la fermentation d’anaérobies). Le BioGNV remplacerait le GNV actuellement utilisé dans le secteur du Transport Routier de Marchandises.

§ Très peu émissif de CO2 puisqu’il est fondé sur le circuit court du carbone, dégage presqu’aucunes particules fines, et beaucoup moins d’oxydes d’azote et de dioxyde d’azotes.

§ Utilisation du Digestat se substituant aux engrais chimiques

§ Le réseau d’infrastructures et de distribution est d’ores et déjà utilisable et peut recevoir et stocker sans problème le BioGNV. Cette motorisation pourrait être étudiée aussi pour les autres secteurs tels que le maritimes, le fluvial, le ferroviaire)

--> Etude approfondie des bienfaits et des précautions à prendre pour l'exploitation de cette énergie, faite et disponible sur le site de FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT. https://www.fne.asso.fr

§ Eau de pluie : ce procédé qui consiste à injecter de l'eau de pluie dans le moteur via un kit (sans modifier le moteur, sans toucher au châssis, ni à la puissance. Ce qui n'engendre pas de passage aux mines et ne pose aucun problème lors des contrôles techniques)

§ système qui consiste à injecter de l'eau dans un moteur à combustion. L'installateur fixe un réacteur au collecteur d'échappement du moteur ou précatalyseur. Il le relie à un « bulleur » d'une capacité d'un litre contenant de l'eau de pluie (ou déminéralisée) et à un diffuseur installé à la prise d'air. L'aspiration du moteur génère la formation de bulles d'air. L'air humide obtenu passe par le réacteur dont la température et la composition vont permettre sa transformation moléculaire avant son injection dans le moteur (remplir le réservoir d'eau de pluie tous les 1.000 km).

§ l’e-diesel: conçu par le constructeur automobile allemand Audi cette énergie synthétique propre conçue à partir d’eau, de CO2, et d’hydrogène.

§ Le CO2 est fourni par du biogaz en plus d’un autre dispositif qui capture l’air ambiant. Le combustible, lui, est produit en plusieurs étapes.

§ Eau de mer: Les chercheurs du Naval Research Laboratory (NRL) ont démontré la viabilité du concept en parvenant à faire voler un modèle réduit d'avion avec du carburant produit à partir d'eau de mer.

§ mise au point d’une technologie visant à capturer de façon simultanée le CO2 et l'hydrogène contenue dans l'eau de mer et d'en faire un carburant liquide.

§ les hydrocarbures sont composés de carbone et d'hydrogène, présents en grande quantité dans l'eau de mer. En capturant le dioxyde de carbone (CO2) et l'hydrogène contenus dans l'océan, il est possible de produire un kérosène de synthèse utilisable dans les moteurs de navires ou d'avions.

§ directement utilisable dans les moteurs de navires et d'avions actuels. Pas besoin donc de mettre au point de nouveaux moteurs.

https://www.challenges.fr/automobile/actu-auto/comment-l-us-navy-transforme-de-l-eau-de-mer-en-carburant_17955

§ Dopage à l'eau: Couper son essence avec de l’eau, l’association lorraine La pierre angulaire, spécialisée dans la maîtrise de l’énergie et basée à Courcelles-sur-Nied, a travaillé sur une modification de la ligne d’échappement, avec un moteur classique.

§ L’idée est d’utiliser la chaleur des gaz d’échappement pour produire de la vapeur qui est ensuite transformée et injectée dans le moteur. Il s’agit en réalité d’un complément à l’essence (La sidérurgie Lorraine utilisait déjà de la vapeur d’eau pour augmenter la température de ses fonderies).

§ les véhicules consomment moins d’essence et recrachent 50 % à 80 % de particules en moins dans l’air.

§ procédé est expérimental et non standardisé ; Il faut compter deux jours d’immobilisation et 2 000 euros pour équiper un véhicule du système de dopage à l’eau.

3-L’injonction faite aux citoyens de payer davantage pour « financer » cette transition et assumer le principe du « pollueur/payeur »:

Visiblement, nous sommes pas tous logés à la même enseigne !

§ Le Transport aérien : La Convention de Chicago avait en 1944 appliqué le principe d’exonération de taxes sur le Kérosène utilisé par les Compagnies aériennes en vue accompagner le développement de la filière.

o Aujourd’hui, celles-ci ne paient donc aucunes taxes (+ une exonération de TVA pour les vols internationaux et une TVA réduite à 10% sur les vols intérieur) alors que les avions polluent beaucoup plus que les automobilistes : l'empreinte carbone d'un avion est supérieure à celle d'une voiture, et 40 fois plus importante que celle d'un TGV.

§ Le Transport routier est en partie exonéré puisque non taxé depuis 2015 sur la hausse des taxes sur le carburant. A noter aussi, que ce sont nos impôts qui financent l’entretien des infrastructures utiles à leurs trajets (alors que le fluvial et le ferroviaire participent eux-mêmes au financement de l’entretien de leurs infrastructures de circulation).

--> A noter que cela défavorise les secteurs ferroviaires et fluviaux, alors qu’il y aurait un intérêt par développer davantage le mode de transport « multimodal » et notamment « route/fer » afin de limiter les dégâts en termes de pollution et de dégradations des routes consécutives au transport routier.

§ Le Transport maritime: nous le savons le carburant utilisé est très nocif pour l’environnement et pour l’être humain, notamment les habitants des zones côtières et portuaires.

Le Carburant utilisé par ces navires de transport des personnes, n’est pas soumis non plus à la TICPE.

ENFIN, voyons si, quotidiennement, le Gouvernement agit vraiment dans l’intérêt de l’environnement et des citoyens

§ SECTEUR MARITIME

Aujourd’hui, les carburants utilisés par les navires peuvent contenir 3,5 % de soufre. En 2020, ce taux passera à 0,5 % en application de la décision prise à l’automne dernier à l’Organisation Maritime Internationale (OMI).

Toutefois, il est possible d’établir des zones de réduction des émissions (dites zone SECA pour les oxydes de soufre et NECA pour les oxydes d’azote). Dans ces zones, le taux maximum est de 0,1 % soit encore 5 fois moins que ce que le plafond qui sera appliqué en 2020 en dehors de ces zones.

Cette nouvelle réglementation vise à réduire l’impact environnemental de l’industrie et à améliorer significativement la qualité de l’air.

Pour édicter de telles zones comme il en existe en Manche, Mer du Nord, Baltique et autour du Canada et des USA, il est nécessaire de déposer un dossier à l’OMI.

Ce dossier s’appuie sur une étude du trafic maritime, des émissions polluantes induites et de leurs conséquences sanitaires et environnementales.

Une première étude a démontré qu’il est nécessaire que la zone Méditerranée soit édictée Zone d’Emission Contrôlée (soit une émission < 0,1%) mais le Gouvernement a repoussé l’échéance à 2020…pour étudier la question..

Rappelons que les carburants de ces bateaux rejettent des particules fines, du dioxyde d’azote et du souffre ! et que cela provoque des maladies aux habitants situés sur la côte.

--> Cette décision va-t-elle dans le sens de la Transition écologique ?

A minima, dans l’attente que le Gouvernement daigne se décider, il apparait alors opportun :

-que ces navires utilisent donc un carburant moins polluant

-que pour réduire davantage la pollution, on installe dans les ports, des bornes d’alimentation qui permettrait à ces navires de couper le moteur lorsque ceux-ci sont à quai. Par comparaison, un paquebot à quai pollue autant qu'un million de voitures.

https://omi.delegfrance.org/Vers-une-zone-de-controle-d-emissions-par-les-navires-en-Mediterranee

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

Pour ton info, le duplex de l'a86 passe à peu de choses près sous mon immeuble.

Donc je me sens tout à fait concerné.

À ceci près que je bosse pour ma ville et y vais à vélo.

Pour ce qui est des transports en commun, le train par exemple, ma femme me dit que c'est blindé, au point que tu ne mets pas un gros manteau sinon tu crèves de chaud tellement t'es serré et c'est un coup à faire un malaise, chose qui arrive.

 

 

 

Bah alors si t'es concerné tu devrais y croire encore plus !!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Puisqu'un budget, c'est l'équilibre entre dépenses et recettes, s'il faut supprimer ces 3Mds de recettes annuelles, soit on enlève la même somme dans les dépenses de l'état, soit on ponctionne cette somme ailleurs. J'ai donc une proposition pour chacun de ces deux cas:

- nous sommes environ 30M d'actifs en France, donc on pourrait baisser le salaire de tous les travailleurs d'environ 100€ en augmentant les charges salariales

- un fonctionnaire coûte environ 30 000€/an, donc on peut aussi par exemple supprimer 100 000 postes (mais il faudra alors leur expliquer qu'ils sont virés pour que les français continuent à rouler au pétrole)

 

Comment ça, personne n'est d'accord? :ange::ddr::buzz:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'adore, c'est tellement vrai

 

 

[h1]Lifestyle / Essai grandeur nature - Voitures électriques : les aléas de la charge[/h1]

[h2]Vous voilà propriétaire (ou locataire) d’une voiture électrique. Et, dans un geste commercial, on vous a fourni un badge ou une carte pour la charger sur les bornes publiques. Vous pensez que ce sera facile. Erreur ![/h2]

 

borne-ores.jpg

Attention : parfois ça bugge. À part Tesla qui a mis en place son propre réseau efficace – réservé à ses clients – de bornes de charge rapide, les autres constructeurs se reposent surtout sur des équipements installés un peu partout sur le territoire. Ainsi, un pass sous forme de badge ou de carte est parfois fourni avec la voiture électrique pour activer la charge (payante) sur ces fameux points de recharge plus ou moins rapide. À défaut, l’électro-automobiliste a lui-même choisi sa formule via une carte, une app de smartphone ou associée à une carte carburant professionnelle. La carte du réseau semble répondre à la demande avec un maillage assez dense et beaucoup de points verts ou bleus synonyme de prise à disposition. On se dit que ce sera facile. Et bien pas toujours en fait. Voici une compilation (un peu dramatisée) des problèmes que nous avons rencontrés lors d’essais de voitures électriques.[h2]Nos pires moments[/h2]

Le plus classique : vous êtes un peu ric-rac niveau autonomie et il vous reste bien 15 minutes dans le planning pour faire une petite pause recharge. Vous arrivez sur place et voilà que la borne est occupée. À cette heure, il n'y a pourtant pas foule, vous jetez un œil dans le fast-food. Vu qu’il n’y a qu’un client vous lui demandez s’il en a pour longtemps avec la borne. Et de vous répondre : « Juste le temps de charger la voiture à fond, j’ai des kilomètres à faire ». Sauf que cet hurluberlu a opté pour une charge lente alors que son modèle (vous le savez, vous avez le même) est compatible avec un chargeur rapide. Bref – déjà que vous ne supportiez pas de faire la file au Luxembourg quand vous rouliez encore au Diesel – vous vous résolvez à partir pour rouler pépère derrière les camions en espérant arriver, un peu énervé, à la borne du bureau. Au moins, lui, il avait une voiture électrique. Parce que le squat par des thermiques, ça, ça vous met vraiment en rogne !

Le plus affligeant : l’autonomie est dans le rouge. Votre navigation vous envoie vers une borne dans un parking improbable à l’arrière d’un magasin. Vous arrivez sur place et découvrez un équipement détruit par vandalisme (depuis au moins quelques semaines). Bon, direction borne suivante en espérant qu’elle se trouve à moins de 15 km, ce qui vous reste avant la panne électrique.

Le plus énervant : cette borne est Chademo, votre voiture est Combo. Ou l’inverse. Fallait mieux lire les indications de votre app ChargePluginMap. Au moins, les pistolets de Super ont tous le même embout. Argh ! Ne pas se laisser tenter : « le pétrole, c’est tabou ».

Le plus déprimant : voilà une belle borne non occupée. Vous installez la voiture (parfois en marche arrière pour être sûr que le câble arrive bien jusqu’à la prise), vous sortez le câble, vous dégainez le pass pour activer la borne. Et là : badge (carte) refusé(e) ! Vous tentez l’app smartphone. Bingo ! Cette borne ne fait pas partie du réseau couvert par vos abonnements. Il vous reste à ranger votre câble et à repartir, soupirs, à la recherche d’une autre borne via votre GPS (qui ferait bien d’être à jour). Et puis, pourquoi on ne peut pas utiliser sa carte de crédit sur ces bornes, tout simplement ? Hein, pourquoi ?

Le plus décourageant : borne en panne ! Ouf, il y en a une deuxième à côté qui semble fonctionner (du moins c’est ce qu’indique son écran). Évidemment que non, mais vous vous en rendez compte trop tard. Et comme elle se payait par SMS, vous venez de perdre un texto surtaxé pour rien…

Le plus attachant : tout s’est bien passé. Votre abonnement fonctionne sur la borne, la charge rapide vous a donné 200 km en 40 minutes, le café et la pâtisserie du petit resto n’étaient pas mauvais. Vous voilà fier et heureux de votre effort pour la planète. Vous passez votre badge RFID, appuyez sur la petite icône rouge pour couper la charge, vous déverrouillez la voiture pour libérer la prise. Mais la prise, elle ne veut pas sortir. La voiture et la borne s’entêtent à vouloir charger encore et encore. Votre batterie est déjà à 90 %. Deux solutions s’offrent à vous : espérer qu’à 100 %, la charge se coupe automatiquement. Ou, vu votre confiance en cette merveilleuse technologie, de tenter de forcer le bazar. Après 5 litres de sueurs, vous appelez la hotline. Le type semble au bout du monde, vous ne comprenez rien à ce qu’il vous raconte. Vous devez lui donner le numéro de la borne, le numéro de votre pass (ah bon et il est où ?) et la date de naissance de Nikola Tesla (non, ceci est une mini fake news). Au bout du compte (et l’autonomie à 98 %), il vous apprend qu’il pourra faire un reset à distance. 3 minutes après (99 %), la borne se transforme en sapin de Noël et vous voilà libéréééé, délivréééé !

humour-charge.jpg

Le plus frustrant : la borne fonctionne, le badge ou la carte sont acceptés. Super ! Vous branchez le câble, vous appuyez sur le bouton pour activer la charge. C’est vert de partout. Il vous restait 150 km, si vous prenez un petit burger, vous aurez bien 250 km au retour. Assez pour le reste du périple. Sauf que, au retour, l’autonomie indique 151 km ! Mais quoi ? La borne a tout arrêté parce que le clapet de protection de la prise s’est abaissé pendant la charge. Et donc, sans doute par sécurité, le système a coupé l’alimentation. Vent, petit malin, maladresse de votre part ? L’enquête semble difficile. Vous retenez le modèle de borne en vous disant que vous n’utiliserez plus cette boîte capricieuse (elle est moche en plus). Et vous voilà à la recherche d’une autre borne…

Le plus blessant : il pleut, les semelles de vos plus belles chaussures sont mouillées après votre escapade entre la petite boutique de cadeaux mignons et la borne. Mais vous avez oublié que la peinture verte des places de parking pour voiture électrique est glissante. Bardaf ! C’est l’embardée avec, évidemment, une chute douloureuse et un pantalon taché juste avant un rendez-vous important…

Le plus mystérieux : votre GPS spécialisé vous envoie à une adresse, dans un zoning déserté, pour vous indiquer LA borne qu’il vous faut impérativement. Mais où est-elle ? Vous avez beau tourner dans le dédale d’avenues aux noms de scientifiques plus ou moins connus, elle semble invisible… Et pourtant, elle doit bien exister, des internautes lui ont donné 3 étoiles ! Vous cherchez toujours, mais à pied vu l’autonomie qu'il vous restait…

Le plus malicieux : si vous connaissez le petit génie qui a décidé d’installer une borne de recharge dans un parking dont l’accès est contrôlé par une barrière sans que l’on sache comment en sortir. « Mettez votre jeton ». « Mais quel jeton ? On le trouve où ? Tout est fermé, on est dimanche soir… »

Le plus commercial : votre centre commercial favori a réservé des places, près des portes, pour charger les voitures électriques. En plus c’est gratuit. Génial, si on se faisait un petit après-midi shopping ? Mais ce samedi, c’est la foire aux casseroles. La tente est installée sur « votre » parking à prise électrique… Faudra se stationner là-bas tout au bout, comme tout le monde. Et vous débrouiller avec vos 10 km d’autonomie pour rentrer.

Le plus polyglotte : grâce à cette borne, vous avez appris l’allemand. Car, à force, vous en avez assez de lui demander de parler en français ou en néerlandais en appuyant 4 fois sur ses boutons tout froids. Certes, il y a bien une communauté germanophone en Belgique, mais elle ne se trouve pas à 15 km de Bruxelles !

Le plus écolo : enfin une borne « rapide » qui fonctionne parfaitement. De retour après 15 minutes de charge, vous venez de gagner 3 km d’autonomie. Mais pourquoi ? Parce qu’il est 22h30 et que cette borne est alimentée par énergie solaire et qu’en cas de nécessité, liée à sa réserve accumulée lors de cette magnifique journée automnale sous la drache, sa puissance est réduite. « Il est où l’hôtel le plus proche, que j’attende le printemps ? »

 

Sauvegarder

Rédigé par Olivier Duquesne le 13-11-2018

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'adore, c'est tellement vrai

 

 

[h1]Lifestyle / Essai grandeur nature - Voitures électriques : les aléas de la charge[/h1]

[h2]Vous voilà propriétaire (ou locataire) d’une voiture électrique. Et, dans un geste commercial, on vous a fourni un badge ou une carte pour la charger sur les bornes publiques. Vous pensez que ce sera facile. Erreur ![/h2]

 

https://gcm.moniteurautomobile [...] e-ores.jpg

Attention : parfois ça bugge. À part Tesla qui a mis en place son propre réseau efficace – réservé à ses clients – de bornes de charge rapide, les autres constructeurs se reposent surtout sur des équipements installés un peu partout sur le territoire. Ainsi, un pass sous forme de badge ou de carte est parfois fourni avec la voiture électrique pour activer la charge (payante) sur ces fameux points de recharge plus ou moins rapide. À défaut, l’électro-automobiliste a lui-même choisi sa formule via une carte, une app de smartphone ou associée à une carte carburant professionnelle. La carte du réseau semble répondre à la demande avec un maillage assez dense et beaucoup de points verts ou bleus synonyme de prise à disposition. On se dit que ce sera facile. Et bien pas toujours en fait. Voici une compilation (un peu dramatisée) des problèmes que nous avons rencontrés lors d’essais de voitures électriques.[h2]Nos pires moments[/h2]

Le plus classique : vous êtes un peu ric-rac niveau autonomie et il vous reste bien 15 minutes dans le planning pour faire une petite pause recharge. Vous arrivez sur place et voilà que la borne est occupée. À cette heure, il n'y a pourtant pas foule, vous jetez un œil dans le fast-food. Vu qu’il n’y a qu’un client vous lui demandez s’il en a pour longtemps avec la borne. Et de vous répondre : « Juste le temps de charger la voiture à fond, j’ai des kilomètres à faire ». Sauf que cet hurluberlu a opté pour une charge lente alors que son modèle (vous le savez, vous avez le même) est compatible avec un chargeur rapide. Bref – déjà que vous ne supportiez pas de faire la file au Luxembourg quand vous rouliez encore au Diesel – vous vous résolvez à partir pour rouler pépère derrière les camions en espérant arriver, un peu énervé, à la borne du bureau. Au moins, lui, il avait une voiture électrique. Parce que le squat par des thermiques, ça, ça vous met vraiment en rogne !

Le plus affligeant : l’autonomie est dans le rouge. Votre navigation vous envoie vers une borne dans un parking improbable à l’arrière d’un magasin. Vous arrivez sur place et découvrez un équipement détruit par vandalisme (depuis au moins quelques semaines). Bon, direction borne suivante en espérant qu’elle se trouve à moins de 15 km, ce qui vous reste avant la panne électrique.

Le plus énervant : cette borne est Chademo, votre voiture est Combo. Ou l’inverse. Fallait mieux lire les indications de votre app ChargePluginMap. Au moins, les pistolets de Super ont tous le même embout. Argh ! Ne pas se laisser tenter : « le pétrole, c’est tabou ».

Le plus déprimant : voilà une belle borne non occupée. Vous installez la voiture (parfois en marche arrière pour être sûr que le câble arrive bien jusqu’à la prise), vous sortez le câble, vous dégainez le pass pour activer la borne. Et là : badge (carte) refusé(e) ! Vous tentez l’app smartphone. Bingo ! Cette borne ne fait pas partie du réseau couvert par vos abonnements. Il vous reste à ranger votre câble et à repartir, soupirs, à la recherche d’une autre borne via votre GPS (qui ferait bien d’être à jour). Et puis, pourquoi on ne peut pas utiliser sa carte de crédit sur ces bornes, tout simplement ? Hein, pourquoi ?

Le plus décourageant : borne en panne ! Ouf, il y en a une deuxième à côté qui semble fonctionner (du moins c’est ce qu’indique son écran). Évidemment que non, mais vous vous en rendez compte trop tard. Et comme elle se payait par SMS, vous venez de perdre un texto surtaxé pour rien…

Le plus attachant : tout s’est bien passé. Votre abonnement fonctionne sur la borne, la charge rapide vous a donné 200 km en 40 minutes, le café et la pâtisserie du petit resto n’étaient pas mauvais. Vous voilà fier et heureux de votre effort pour la planète. Vous passez votre badge RFID, appuyez sur la petite icône rouge pour couper la charge, vous déverrouillez la voiture pour libérer la prise. Mais la prise, elle ne veut pas sortir. La voiture et la borne s’entêtent à vouloir charger encore et encore. Votre batterie est déjà à 90 %. Deux solutions s’offrent à vous : espérer qu’à 100 %, la charge se coupe automatiquement. Ou, vu votre confiance en cette merveilleuse technologie, de tenter de forcer le bazar. Après 5 litres de sueurs, vous appelez la hotline. Le type semble au bout du monde, vous ne comprenez rien à ce qu’il vous raconte. Vous devez lui donner le numéro de la borne, le numéro de votre pass (ah bon et il est où ?) et la date de naissance de Nikola Tesla (non, ceci est une mini fake news). Au bout du compte (et l’autonomie à 98 %), il vous apprend qu’il pourra faire un reset à distance. 3 minutes après (99 %), la borne se transforme en sapin de Noël et vous voilà libéréééé, délivréééé !

https://gcm.moniteurautomobile [...] charge.jpg

Le plus frustrant : la borne fonctionne, le badge ou la carte sont acceptés. Super ! Vous branchez le câble, vous appuyez sur le bouton pour activer la charge. C’est vert de partout. Il vous restait 150 km, si vous prenez un petit burger, vous aurez bien 250 km au retour. Assez pour le reste du périple. Sauf que, au retour, l’autonomie indique 151 km ! Mais quoi ? La borne a tout arrêté parce que le clapet de protection de la prise s’est abaissé pendant la charge. Et donc, sans doute par sécurité, le système a coupé l’alimentation. Vent, petit malin, maladresse de votre part ? L’enquête semble difficile. Vous retenez le modèle de borne en vous disant que vous n’utiliserez plus cette boîte capricieuse (elle est moche en plus). Et vous voilà à la recherche d’une autre borne…

Le plus blessant : il pleut, les semelles de vos plus belles chaussures sont mouillées après votre escapade entre la petite boutique de cadeaux mignons et la borne. Mais vous avez oublié que la peinture verte des places de parking pour voiture électrique est glissante. Bardaf ! C’est l’embardée avec, évidemment, une chute douloureuse et un pantalon taché juste avant un rendez-vous important…

Le plus mystérieux : votre GPS spécialisé vous envoie à une adresse, dans un zoning déserté, pour vous indiquer LA borne qu’il vous faut impérativement. Mais où est-elle ? Vous avez beau tourner dans le dédale d’avenues aux noms de scientifiques plus ou moins connus, elle semble invisible… Et pourtant, elle doit bien exister, des internautes lui ont donné 3 étoiles ! Vous cherchez toujours, mais à pied vu l’autonomie qu'il vous restait…

Le plus malicieux : si vous connaissez le petit génie qui a décidé d’installer une borne de recharge dans un parking dont l’accès est contrôlé par une barrière sans que l’on sache comment en sortir. « Mettez votre jeton ». « Mais quel jeton ? On le trouve où ? Tout est fermé, on est dimanche soir… »

Le plus commercial : votre centre commercial favori a réservé des places, près des portes, pour charger les voitures électriques. En plus c’est gratuit. Génial, si on se faisait un petit après-midi shopping ? Mais ce samedi, c’est la foire aux casseroles. La tente est installée sur « votre » parking à prise électrique… Faudra se stationner là-bas tout au bout, comme tout le monde. Et vous débrouiller avec vos 10 km d’autonomie pour rentrer.

Le plus polyglotte : grâce à cette borne, vous avez appris l’allemand. Car, à force, vous en avez assez de lui demander de parler en français ou en néerlandais en appuyant 4 fois sur ses boutons tout froids. Certes, il y a bien une communauté germanophone en Belgique, mais elle ne se trouve pas à 15 km de Bruxelles !

Le plus écolo : enfin une borne « rapide » qui fonctionne parfaitement. De retour après 15 minutes de charge, vous venez de gagner 3 km d’autonomie. Mais pourquoi ? Parce qu’il est 22h30 et que cette borne est alimentée par énergie solaire et qu’en cas de nécessité, liée à sa réserve accumulée lors de cette magnifique journée automnale sous la drache, sa puissance est réduite. « Il est où l’hôtel le plus proche, que j’attende le printemps ? »

 

Sauvegarder

Rédigé par Olivier Duquesne le 13-11-2018

Putain ça fait froid dans le dos :W

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je vais souvent au ciné à Belle Epine (92), il y a la bas 10 places chargeur TESLA, je n'y ai vu qu'une seule fois une TESLA, c'est toujours vide, faut dire que quand t'as une Tesla à 100000€ t'as pas trop envie d'aller à Belle Epine

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §530031lR

C'est du bidon tout ça.. les lobbys des uns et des autres tirent la couverture fun côté ou de l'autre...

 

Pour moi la prochaine ça sera du bon Essence qui sent bien fort!! Adieu le gasoil.. Hâte que mon espace 4 me lâche pour pouvoir repasser à la E39.. En touring car besoin de places avec les poussettes maintenant! 525i car ma 530i se fait bien rare.....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Puisqu'un budget, c'est l'équilibre entre dépenses et recettes, s'il faut supprimer ces 3Mds de recettes annuelles, soit on enlève la même somme dans les dépenses de l'état, soit on ponctionne cette somme ailleurs. J'ai donc une proposition pour chacun de ces deux cas:

- nous sommes environ 30M d'actifs en France, donc on pourrait baisser le salaire de tous les travailleurs d'environ 100€ en augmentant les charges salariales

- un fonctionnaire coûte environ 30 000€/an, donc on peut aussi par exemple supprimer 100 000 postes (mais il faudra alors leur expliquer qu'ils sont virés pour que les français continuent à rouler au pétrole)

 

Comment ça, personne n'est d'accord? :ange::ddr::buzz:

Ils font n'importe quoi au niveau politique...

 

A quel âge la pension chez vous?

Ils font le contraire de ce qu'il convient.

Mettre les gens bien plus tôt à la pension, les payer en pension,mettre des jeunes à la place qui ne trouvent pas de boulot parce que pas d'expérience...

 

quand je vois ce qu'ils ont fait dans ma rue, ils ont fait tout à l'envers aussi mais sont incapables d'entendre les choses.

Un élu, ça a toujours raison, l'électeur a tort... Sans aucun doute tort d'avoir voté pour quelqu'un d'autre :ange:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et voilà ! Je quitte la communauté E39 après 1 an et demi de plaisir au volant de ma 535. Elle vient de partir avec son nouveau propriétaire. Petit pincement en la voyant s’eloigner :D

De loin la meilleure voiture que j’ai connue jusqu’à maintenant.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et voilà ! Je quitte la communauté E39 après 1 an et demi de plaisir au volant de ma 535. Elle vient de partir avec son nouveau propriétaire. Petit pincement en la voyant s’eloigner :D

De loin la meilleure voiture que j’ai connue jusqu’à maintenant.

 

:jap:

 

J'ai une E39 pour la remplacer si tu veux :cyp:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

:jap:

 

J'ai une E39 pour la remplacer si tu veux :cyp:

 

 

Tu rigoles mais ça va se finir comme ça :W

D’ailleurs l’acheteur me l’a prise pour remplacer une 525tds E39.

 

Ce matin j’ouvre LBC, je vais sur ma recherche E38... je tombe sur une magnifique 740 dans la même config extérieure que ma 5, au prix où je l’ai vendue... il lui manque les xénons, ça m’a retenu :siffle:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

Tu rigoles mais ça va se finir comme ça :W

D’ailleurs l’acheteur me l’a prise pour remplacer une 525tds E39.

 

Ce matin j’ouvre LBC, je vais sur ma recherche E38... je tombe sur une magnifique 740 dans la même config extérieure que ma 5, au prix où je l’ai vendue... il lui manque les xénons, ça m’a retenu :siffle:

 

ça se calcule...

 

Mais je peux comprendre que tu veuilles absolument les xénons, je ne sais pas ce que donne les halogènes sur E38... Mais c'est peut être juste une question de luxe ! :fier:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

ça se calcule...

 

Mais je peux comprendre que tu veuilles absolument les xénons, je ne sais pas ce que donne les halogènes sur E38... Mais c'est peut être juste une question de luxe ! :fier:

 

 

Ça fait péteux mais je me suis vachement habitué à ce genre d’eclairage depuis 2 ans que je roule avec et sur ces voitures un peu anciennes y’a un vrai gain au niveau de la puissance d’eclairage ce qui est plus discutable aujourd’hui :oui:

Et ça fait + peur dans un rétro intérieur quand on arrive à +60 sur la voie de gauche :oui:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

Ça fait péteux mais je me suis vachement habitué à ce genre d’eclairage depuis 2 ans que je roule avec et sur ces voitures un peu anciennes y’a un vrai gain au niveau de la puissance d’eclairage ce qui est plus discutable aujourd’hui :oui:

Et ça fait + peur dans un rétro intérieur quand on arrive à +60 sur la voie de gauche :oui:

 

Ok pour le dernier point, UN LE Béhème doit faire peur sur la route, c'est une question de respect :jap:

 

Mais pour la puissance des xénon des E38-39... C'est pas vraiment impressionnant en fait :ange:

 

Je me demande si un halogène ne marcherait pas aussi bien :cyp:

 

Et puis, tu pourrais toujours t'offrir un kit bi-xénon 45000k 8600W sur aliexpress ! roulax.gif.df09878bfd352688666e890196430114.gifaragorn66.gif.0fd225eb453006cd91064870874bc4c5.gif

 

ça éclate encore pluSSe mieux la rétine des gueux en Captur :oui:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

honnêtement je ne trouve pas que ça soit très différent des halogènes, les xenon sur e38. D'autant plus que ce n'est pas du bi-xenon.

 

Et que les halogènes en pleins phares sont bien suffisant, surtout avec des ampoules HdG (des légales, pas celle pour pimpims.)

 

Autant je ne trouve pas mes codes si puissant que ça, autant les PP avec des ampoules qui vont bien sont d'une puissance bien appréciables :oui:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Jamais testé de BM en halogène j’ai juste le souvenir de ma W210 qui éclairait moyennement bien.

Après jpeux me passer de plein de trucs genre la boite auto, les sièges électriques, la clim auto... mais pas les xénon

C’est + efficace et + beau :o

 

Putain les led des captur :W c’est la pire monte d’origine de l’histoire on dirait un truc fabriqué par un vendeur de sushis dans un 8m carré du 13eme

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Jamais testé de BM en halogène j’ai juste le souvenir de ma W210 qui éclairait moyennement bien.

Après jpeux me passer de plein de trucs genre la boite auto, les sièges électriques, la clim auto... mais pas les xénon

C’est + efficace et + beau :o

 

Putain les led des captur :W c’est la pire monte d’origine de l’histoire on dirait un truc fabriqué par un vendeur de sushis dans un 8m carré du 13eme

 

Alors laisse celle ci sur le côté, même si la config couleur semblait idéale :cyp:

 

AM pour racisme :jap:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

honnêtement je ne trouve pas que ça soit très différent des halogènes, les xenon sur e38. D'autant plus que ce n'est pas du bi-xenon.

 

 

Le Bi xenon n'apporte absolument rien ! On est quasi tout le temps en feux de route....

 

Des xénons, avec de bonnes ampoules ça change quand même pas mal de chose...

J'ai changé les ampoules de mes voitures (Xenons) sur toutes mes autos qui en étaient équipées (Laguna, E39, E66)

A chaque fois j'ai obtenu un changement significatif en qualité et intensité d'éclairage.

 

Le meilleure éclairage revient à la E66, car les ampoules sont vraiment chouettes (je pense mettre les même dans la E39), et l'éclairage directionnel on s'y fait vite tout de même...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

Le Bi xenon n'apporte absolument rien ! On est quasi tout le temps en feux de route....

 

Des xénons, avec de bonnes ampoules ça change quand même pas mal de chose...

J'ai changé les ampoules de mes voitures (Xenons) sur toutes mes autos qui en étaient équipées (Laguna, E39, E66)

A chaque fois j'ai obtenu un changement significatif en qualité et intensité d'éclairage.

 

Le meilleure éclairage revient à la E66, car les ampoules sont vraiment chouettes (je pense mettre les même dans la E39), et l'éclairage directionnel on s'y fait vite tout de même...

 

ça, je veux bien le croire, et c'est un de mes projets :oui:

 

Mais ça coûte moins cher de faire les halogènes en premier :D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Dam310NK

Je rejoins l'avis ci dessus .

 

J'ai des xenons avec ampoules changées et glaces transparentes (et pas ternes comme sur beaucoup d'e39 ) et bien je ne reviendrai pas en arriere .

 

Le confort visuel est vraiment exceptionnel de nuit ( en plus c'est beau) ,je suis 99% du temps en feu de croisement tellement l'eclairage est nickel :love:

 

Autant les angel eyes des phases 2 je m'en passe, mais pas les xénons :o

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En fait, le changement est toujours assez spectaculaire.

 

Je me souviens qu'a l'achat de la 760, j'étais hyper déçu de l'éclairage. La E39 éclairait mieux... (Ampoules Philips Xenon Blue jesaispluskoi)

J'ai installé des ampoules Osram sur la 750 et ça a révolutionné l'éclairage !

 

Les halogènes H7 sont des philips X-treme vision sur la E39 et la E66.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le confort visuel est vraiment exceptionnel de nuit ( en plus c'est beau) ,je suis 99% du temps en feu de croisement tellement l'eclairage est nickel :love:

 

Idem, c'est pour cela que je disais que le "Bi-xenon" n'apporte pas grand chose...

Je ne suis quasi jamais en plein phares.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous publiez en tant qu’invité, vous reconnaissez avoir pris connaissance de la charte et vous engagez à la respecter. Pour publier immédiatement : connectez-vous à votre compte ou inscrivez-vous.
Remarque : En tant qu'invité votre message ne sera pas visible immédiatement.

Invité

Si votre message est un avis de consommateur sur un bien et/ou un service, vous devez obligatoirement indiquer la date de votre expérience de consommation. A défaut, votre avis pourrait être supprimé, en cas de signalement.

Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Partager



Newsletter Caradisiac

Abonnez-vous à la newsletter de Caradisiac

Recevez toute l’actualité automobile

L’adresse email, renseignée dans ce formulaire, est traitée par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.

Cette donnée est utilisée pour vous adresser des informations sur nos offres, actualités et évènements (newsletters, alertes, invitations et autres publications).

Si vous l’avez accepté, cette donnée sera transmise à nos partenaires, en tant que responsables de traitement, pour vous permettre de recevoir leur communication par voie électronique.

Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL). Vous pouvez également retirer à tout moment votre consentement au traitement de vos données. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : www.caradisiac.com/general/confidentialite/

×
  • Créer...