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Roland de Gilead
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Messages recommandés

bonjour tout le monde!

 

excellent ce groupe milopolo :bien: :bien: Du blues traditionnel dont la pureté du son de la guitare évoque tour à tour beaucoup de monde et curieusement aussi ... Santana. Bienvenus dans la famille chers cousins ! :jap::lol:

Pour ma part, j'ai mis la main sur ce fameux Clapton (mon seul album de lui en fait). Je l'avais immédiatement acheté après avoir entendu "Swing low, sweet Chariot"), le traditionnel folk américain (composé au XIX siècle par un ancien esclave affranchi), qu'il avait repris façon reggae pour sans doute prolonger le succès de "I shot the sheriff" de son précédent 33 tours.

Le disque s'appelle " There"s one in every crowd", est sorti en 1975 et contient de précieuses perles. Certes Clapton est meilleur compositeur-guitariste que chanteur, mais ce n'est pas aussi pire que Stan Webb le leader de Chicken Shack.

Swing low, sweet chariot :

 

pretty blue eyes - composé par Clapton -(j'adore ce titre!!)

 

"Better make it through today" - composé par Clapton - (ambiance bluesy cool)

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Hello foule sentimentale, assoiffée de musique idéale! :jap::sol:

 

 

Excellent ce Lord Huron, Roland. Toute la magie des sixties inscrite sur une page d'aujourd'hui ... Un bien belle découverte pour moi! :oui:

Ma platine CD ne va pas tarder à faire tourner "Their very Best - featuring love is all around" d'un groupe anglais des sixties, toujours en activité (mais avec d'autres membres), j'ai nommé les Troggs, abréviation de Troglodytes, patronyme sous lequel ils débutent leur carrière en 1964.

 

Pris en main par Larry Page le producteur des Kinks, les Troggs font paraître en 1966 un titre dont la rythmique lourde, le son caverneux et la voix rocailleuse du chanteur tranchent carrément avec tout ce qu'on peut entendre : "Wild Thing". Ils viennent de jeter les bases du heavy rock.

 

En 1966, année charnière, année des chambardements musicaux, les Troggs sont à leur aise. Musique "coup de poing", ton rageur, guitare acérée, après "Wild thing" (écrit et composé par Chip Taylor, auteur-compositeur américain et accessoirement oncle de Angelina Jolie) et son petit solo d'ocarina, arrive toute une ribambelle de hits parmi lesquels le scabreux "I can't control myself", mais également "Give it to me", "With a girl like you", "love is all around", etc .... La plupart sont de la plume de Reg Presley, chanteur, joueur d'ocarina et leader du quatuor, et tous deviennent disques d'or de par le monde.

 

https://www.youtube.com/watch?v=rzHpGjvRgTchttps://www.youtube.com/watch?v=c7BdyNAwBk4Repris des dizaines de fois, "Love is all around" fera le bonheur du groupe Wet Wet Wet en 1994. Il deviendra à nouveau un hit mondial (BO du film "4 mariages et un enterrement")

Mais, progressivement, à partir de 1968, la musique s'intellectualise. Les études supérieures ne sont plus réservées à une élite et les jeunes étudiants aiment dorénavant d'autres musiques. Les pachydermes Deep Purple, Led Zeppelin et consorts prennent leurs quartiers et occupent la planète hard rock. Et si on veut planer, les Floyd ont tout ce qu'il faut dans la besace de Syd Barrett. Ils seront bientôt rejoints par des escadrilles de "planeurs". Bref, on change à nouveau d'époque et les Troggs sont considérés comme has been. Leur (excellent) album "hip hip hooray" (1968) n'inverse pas le cours de l'Histoire.

Je possède pas mal de leurs 45 tours des années 70 ("The Raver"/"You" -" Everythnig's funny"/"Feels like a woman", etc ...).

 

"Feels like a woman", face B du 45 tours "Everything's funny" paru en 1972. Une vraie réussite, mais un succès mineur et je n'ai jamais compris pourquoi!

https://www.youtube.com/watch?v=74DA_qEq0O0Malgré cette désaffection, les Troggs poursuivent leur route cahin-caha, sortant au fil des décennies des albums qui n'intéressent plus que les fans.

 

Mais, durant ces décennies là, de nombreux jeunes musiciens leur ont rendu hommage. Les groupes de rock garage, de punk, de métal, de psychobilly, etc ... se sont en effet réclamés des Troggs.

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Invité §Pie242UM

The Hyènes: The Hyènes est un groupe de punk rock français formé en 2005. Il est constitué d'Olivier Mathios, Vincent Bosler, et Jean-Paul Roy et Denis Barthe (anciens membres de Noir Désir).

 

 

 

 

 

JP Roy ne fait plus partie du groupe depuis quelques temps, remplacé par Luc Robène .

 

 

Edit: Cali pour l'avoir vu en vrai il fout une sacré ambiance en live avec les Hyenes .

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JP Roy ne fait plus partie du groupe depuis quelques temps, remplacé par Luc Robène .

 

 

Edit: Cali pour l'avoir vu en vrai il fout une sacré ambiance en live avec les Hyenes .

 

 

Wikipédia n'est pas à jour. :lol:

 

 

J'écoute ça aussi, c'est pas mal:

 

 

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bonsoir foule mélomane :jap:

 

Ce soir je ne me casse pas trop la tête. Direction mes bacs de disques, arrêt à la lettre R et sortie du 2ème album des Redwing, ce groupe Californien dont je vous avais présenté le 1er album éponyme paru en 1970. Ils étaient les seconds couteaux du label America-Fantasy dont la tête de pont s'appelait Creedence Clearwater Revival. Ce 2ème album s'intitule "What this country needs". Il sort en 1972, année où Creedence jette l'éponge.

Ce 2ème effort est plus varié, moins axé blues-rock pur et dur. La qualité de mixage est moins bonne cependant et la galette vinyle gondole. Néanmoins, je ne boude pas mon plaisir d'autant que cette fine galette contient quelques merveilles, à l'instar de "Soul Sheft" :bien: :bien: , dont le final rageur est époustouflant. Et ça rappelle qui d'après vous ? Creedence bien sûr !! Mais l'intro c'est du Stones !

 

https://www.youtube.com/watch?v=FF7h1dkUNaEOu la reprise du fabuleux classique rythm'n'blues de Rufus Thomas "Walking the dog" (1963)

https://www.youtube.com/watch?v=W-86ZuMa5wUEt, avant de finir, puisque Chuck Berry est 2 fois à l'honneur, voici la reprise de son classique "Oh Carol" (l'autre reprise est "bye bye Johnny").

Et pour vraiment finir, voici l'étonnant "One of america's ten most wanted men" au long duquel le batteur joue de la trompette

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bonsoir les gens :jap:

 

ce soir j'écoute l'album dont j'ai fourni aujourd'hui un extrait dans le jeu des liens musicaux initié par Roland.

 

Il s'agit du 33 tours éponyme du groupe canadien Smyle, dont le style oscille entre rock hard et psyché. Enregistré à Toronto en 1970, ce disque témoigne également du son rock en vigueur au début des années 70. Musicalement pas si éloigné des Steppenwolf, Manfred Man Earth Band, Cactus et j'en passe, Smyle mérite largement le détour et pour les cages à miel et pour l'Histoire.

Brièvement, la formation a rencontré un gros succès jusqu'aux States, grâce au single "Glory Glory" extrait de cet album.

 

Smyle c'est d'abord Ron Demmans, auteur-compositeur, chanteur principal et guitariste rythmique. Le reste de la troupe est de facture rock classique : lead guitar, bass, drums + percussions et cuivres. Tout ce beau monde assure aussi les backing vocals quand la situation l'exige.

Quatre solides musiciens au service d'un rock inventif et sans fioritures (si ce n'est parfois une section de cuivres qui intervient très opportunément), que demander de plus ? Ben des extraits pardi ! Voilà encore un 33 tours que je retrouve avec plaisir et qui a beaucoup tourné sur ma platine :oui: .

 

It's not hard :miam:

Woodstock :bien:https://www.youtube.com/watch?v=UGC-zzuKH9Iet le gros tube "Glory Glory" :love:
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Bonsoir tout le monde :jap:

 

J'ai toujours aimé Chris Rea. Super miloplo :bien:

 

Pour ma part, voici quelques années j'avais gravé sur CD l'ensemble de mes singles vinyles émanant d'artistes dont je n'avais - je ne voulais parfois - aucun album. C'est le cas du groupe hollandais Soundation dont je ne sais presque rien ou presque, sinon que leur 45 tours "Goodbye forever" avait réchauffé la fin de l'année 1971.

Mais si ce titre reflète bien les sonorités en vogue pour espérer conquérir le grand public de l'époque, c'est au verso qu'il faut aller chercher la perle des perles : "Tricky Dicky". Un mélange de Chicago, de Blood Sweat and Tears peut-être, nappé d'un soupçon de Jethro Tull. Dire que je passais ce titre en boucle est un doux euphémisme ... :whistle: Pour moi c'est un vrai petit chef d'oeuvre.

https://www.youtube.com/watch?v=lt5L-Hc2F7UEt voilà le titre phare, "Goodbye Forever" qui a fort bien marché

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bonsoir tout le monde,

 

Après avoir participé au jeu du lien initié par Roland, l'idée m'est venue l'autre jour, de poser sur ma platine le disque que j'apprécie le plus dans ma discothèque * : "Et si je m'en vais avant toi" de Françoise Hardy. Paru fin 1972, cet album est également appelé "l'album orange" en raison de son absence de titre à l'origine.

Drivé par Tony Cox et le duo magique de l'époque Micky Jones et Tommy Borwn, cet album renoue avec la simplicité, l'immédiateté. Il devait marquer le retour dans les charts de Françoise Hardy après 2 échecs commerciaux successifs (cf : les 33 tours "La Question" et "If you listen" composé de reprises et destiné au marché anglo-saxon).

Françoise Hardy opte cette fois-ci pour un panel de couleurs musicales allant du blues ("l'éclairage") au country folk en passant par le rock couillu ("La berlue") auxquels s'ajoute une pincée de psyché ("Bowm, Bowm", "Bown"). C'est un nouveau bide et le label (Sonopresse) profite de sa fin de contrat pour ne pas le reconduire.

Pourtant, ce disque n'a pas pris une ride à mon avis. :miam: Tous les titres ont été écrits et composés par Françoise Hardy, exceptés "Cafard" (musique de Jacques Dutronc) et "Bowm, Bowm, Bowm" (M. Jones et T. Brown).

 

* Les albums des Creedence Clearwater Revival et les 6 premiers de Tony Joe White se situent bien au-delà du sommet de la hiérarchie, quelque part dans la galaxie des chefs d'oeuvre authentiques. :love:

J'ai déjà posté la chanson "Le soir" dans la rubrique précitée (jeu des liens musicaux) alors en voici 3 autres :

L'éclairage

La berlue

 

Ma vie intérieure

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amis amateurs de musique, bonsoir :jap:

 

Ce soir, je pose sur ma platine l'album d'un artiste français qui n'a jamais fait la Une de la presse people et encore moins celle des réseaux sociaux. Il a été, en 1958, le premier jeune rocker français avec Robert Piron (qui deviendra Danny Boy et s'entourera d'un groupe cagoulé nommé les Pénitents).

 

Il s'appelle Danyel Gérard et connaîtra le succès grâce à "'D'où reviens-tu Billy Boy" parolé par Boris Vian himself. Un an plus tard, la conscription l'appelle et, à son retour au début des années 60, il découvre que tout a changé. Dare-dare il s'adapte à la situation et fonde le groupe Les Danger's avec lesquels il se plongera avec bonheur dans la mode du twist ("La leçon de twist"), avant de s'intégrer dans celle du yéyé. Il aligne un certain nombre de gros succès, soit originaux ("Je") ou adaptés ("America" - West Side Story). Auteur-compositeur autant que musicien, il offre ses créations à d'autres artistes français comme Marie Laforêt ou Hervé Vilard.

Mais à la charnière de la décennie, les modes changent et le yéyé plie ses bagages.

Danyel Gérard quitte le devant de la scène, se lance dans la production et écrira pour d'autres. Contre toute attente il revient en 1971 avec "Butterfly", une chanson qui connaîtra un succès international. Barbu, coiffé d'un chapeau et armé d'une guitare acoustique, il a désormais la dégaine de Bob Dylan (à l'époque) et la fausse nonchalance de Georges Moustaki. Il incarne une sorte de barde dispensant un folk tantôt mâtiné de pop-rock tantôt de variété, voire de country et aligne les hits ( "Un grand amour", "Le Gypsy", "Marylou", "Ti laï laï li", etc ..).

En 1974, la mode du rock and roll revival bat son plein. Eddy Mitchell recycle à Nashville les vieux tubes de Chuck Berry et consorts en country-rock, Au Bonheur des Dames reprend avec succès "Oh les filles" le tube du groupe français Les Pingouins (1961 - original américain titré "Sugaree") et les vieux 33 tours vinyles des 50 et 60's sont réédités. :miam:

Danyel Gérard profite donc de l'aubaine et (res)sort cette année là ses succès de 1960 à 1965. Réorchestrés avec le concours de son groupe Hord

(Yves Chouard : lead guitare, Serge Haouzi : drums et percussions, Yves Batteux : basse et claviers, Danyel Gérard : guitare rythmique et picking) ils en sortent métamorphosés.

 

Je crois que c'est le 33 tours que j'ai le plus prêté ... et il (me) plaît toujours ! :hot: deux extraits :

Memphis Tennessee

d'accord d'accord

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Vu que j'en ai déjà parlé et comme je veux me reposer un peu après avoir bossé toute la journée sur la Mimix qu'a rien à voir avec la section Seat, je viens vous parler d'Infernal Love, le 2e album par lequel j'ai découvert Therapy? :D

Beaucoup plus axé pop que Troublegum, et disons le clairement beaucoup plus commercial, ben j'ai adoré quand même :sol:

 

Y a des hits de partout sur cet album, même si certains ont des textes un peu dérangeant, mais une fois approfondis ceux-ci et renseigné un peu sur le "discours" du groupe depuis son origine, ce n'était pas pour faire un "bad buzz" comme on appellerait ça aujourd'hui ou lancer une polémique qui ferait parler d'eux et donc vendre. Je vous rappelle qu'ils étaient toujours classé à cette époque dans les prods indépendantes....

 

 

 

 

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Bonsoir tout le monde :jap:

 

Ce topic aux relents de confinement descend, descend ... :sarcastic: Il convient donc de le remonter.

 

Beaucoup plus axé pop que Troublegum, et disons le clairement beaucoup plus commercial, ben j'ai adoré quand même :sol:

 

Excellents ton exposé et tes extraits Roland. T'inquiète, à moins d'être un Saint :ouimaitre: , je ne connais aucun artiste qui ne soit pas "commercial". Y en a qui le sont franchement, ouvertement (qu'est ce que ça peut bien faire, du moment que c'est plaisant, bien foutu et te donne la patate?), tandis que d'autres, plus malins, veulent emmener le plus grand nombre dans leur monde abscons, torturé parfois, toujours difficile d'accès, parce qu'ils gomment tout ce qu'ils considèrent comme de la facilité, de la prostitution. Et ils finissent par faire ch... tout le monde :bah: .

Alors, ils restent assis tout seuls, geignent, se plaignent du manque de reconnaissance de leur génie, accusent le monde d'avoir de la m... dans les oreilles.

 

Pour ma part, je n'ai jamais établi de barrière entre les genres musicaux. Quand ça me plaît j'achète et j'écoute. Peu importe le "créneau" de l'artiste : variété, rock, blues, ou jazz même (enfin pas tout hein ...). Et justement, ce soir je déguste un CD de Sylvie Vartan, ex collégienne du twist, ex Mme Hallyday, maman de David, ex égérie de la génération yéyé dont elle était le symbole absolu ... Plus tard, ayant brillamment réussi sa reconversion, les années 70 lui offriront des succès à la pelle.

Au début des années 90, Sylvie Vartan réenregistre certains de ses succès (années 60) en mode unplugged. C'était la grande mode. Dans un contexte tout à fait différent, France Gall chantait 10 ans auparavant : "Débranche!" ... Débranche tout, revenons à nous". Ben là, presque tout le monde s'y était mis. Les prises de courant prenaient la poussière et les bonnes vieilles grattes acoustiques reprenaient, elles, du service. Au placard les synthés !!! Il faut du bio, du naturel !

 

Je ne suis pas un fan absolu de S. Vartan, mais j'adore ce CD "dépouillé" intitulé "Sessions acoustiques". Un livret explicatif retrace le "pourquoi du comment" de ce disque paru en 1994 et sur lequel j'avais flashé en l'écoutant à la F..C.

 

Mr John B ("Sloopy John B" trad. repris et arrangé par Brian Wilson des Beach Boys qui en firent un carton)

 

En écoutant la pluie ("Rythm of the rain" chanté par the Cascades en 1962)

L'homme en noir ("pretty Woman" de Roy Orbison)

 

 

 

 

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bonsoir tout le monde !

 

Excellent choix que Foreigner milopolo :bien:

Mick Jones fait à tout jamais partie des plus grands musiciens de rock.

 

Pour moi, ce soir, c'est Peggy Lee qui me la joue cool. J'écoute en ce moment un CD "best of" de cette grande artiste de jazz qui fut aussi parolière et compositrice.

C'est au cours d'une soirée chez des amis, que j'avais découvert le répertoire de l'intéressée ne connaissant d'elle que son tube éternel (et dépouillé musicalement) : "Fever" et "Johnny Guitar" (BO du western éponyme).

Egalement actrice, l'américaine Peggy Lee (1920 - 2002) était la chanteuse favorite de nombreuses célébrités comme Frank Sinatra, Bing Crosby et même Ella Fitzgerald ou Louis Amstrong (!). Sa riche carrière a couvert plusieurs décennies, précisément de 1941 à 1996.

Au début, j'avais un peu de mal à écouter les 25 titres d'affilée (déjà pour la piètre qualité sonore de certains d'entre eux), mais je m'y suis habitué depuis. Excellente ambiance et excellent fond musical garantis. Pour les extraits, je vais y aller mollo mollo :lol: :

Why don't you do right (qui ouvre le CD "Best of" et lui donne son titre)

Manana

Fever

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Bonsoir milopolo,

 

Je comprends tout à fait que Peggy Lee ne te plaise pas (elle doit sans doute laisser beaucoup d'habitués de ce topic indifférents). J'ai mis longtemps à "m'insérer" dans certaines formes de jazz, mais j'avoue beaucoup plus apprécier certaines formes de ce style aujourd'hui. J'exclus totalement le free jazz et autres expérimentations/digressions/divagations sans queue ni tête, qui pour moi (complet ignare en la matière donc), relèvent d'un assemblage hétéroclite de bruits qui m'insupporte vite :bah: .

J'apprécie - très - beaucoup les extraits que tu as mis en ligne :bien::miam: . Otis Taylor et sa bande sont un pur régal et la violoniste apporte cette touche d'originalité rare dans le genre. En fait, tes extraits sont si bons, qu'il m'est impossible de dire celui que je préfère ... Castro peut-être :sarcastic: ... encore que, ouais, allez on va dire qu'ils sont ex aequo dans l'excellence :approuver: . Merci milopolo !!!

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bonsoir tout le monde,

 

Pas mal du tout ces petites sélections milopolo et Roland. Effectivement pour les "Teskey Brothers" l'ambiance Otis Redding est sidérante. Le chanteur a la même voix ! Quel excellent groupe :bien:

Dans ta sélection Roland, c'est Karise Eden qui emporte ma préférence, mais les autres ne déméritent pas. Je me rappelle que la reprise époustouflante de "With a little help ..." des Beatles via Ringo Star avait créé une surprise quasi planétaire et propulsé Joe Cocker au firmament du Soul/Rock.

 

Ce soir, je pose sur ma platine le 1er album de Steve Forbert, ce chanteur de folk-rock américain, originaire du Mississippi, que je vous avais présenté il y a quelques mois par le truchement de son 4ème album paru en 1982 et sur la pochette blanc immaculé duquel il apparaissait en gros bébé dodu. Sauf que là, quatre ans plus tôt, il est aussi efflanqué que Bob Dylan à ses débuts. Même accoutrement, même attitude, même couple "guitare acoustique-harmonica", cela suffisait pour que la presse musicale le compare au père Bob. Les journalistes anglo-saxons l'ignoraient, mais il avait (et a toujours) la voix de Salvatore Adamo :oui: .

Ce 1er 33 tours intitulé "Live on arrival" laissait présager de grandes choses. Auteur-compositeur guitariste et interprète, Steve Forbert s'est ensuite laissé porté par les vagues de l'opportunisme. Il profitera de la mode rétro 50 et 60's pour reprendre "When you walk in the room" le gros succès de Jackie De Shannon en 1962, titillant au passage les réminiscences du twist ("Ya Ya - Next to me") et peaufinera du rock FM californien pour s'attirer les faveurs des stations de radio.

 

Toutefois et malgré tout, je possède trois albums de cet artiste et n'en regrette aucun. C'est bien foutu de bout en bout, les ballades sont à tomber et l'ensemble est tout sauf un foutage de gueule. Aujourd'hui, Steve Forbert poursuit tranquillement une carrière en demi-teinte, comme la plupart des "nouveaux Dylan" propulsés au firmament avant lui. :bah:

Deux titres définissent à eux seuls l'ambiance de cet album exempt de tout déchet (écolo donc ... :fier: )

What kinda guy? - Un folk rock qui dépote!

It isn't gonna be that way (une ballade acoustique magnifique avec un harmonica vibrionnant) :miam:

https://www.youtube.com/watch?v=bFpAwvLrv2UJ'ai mis un autre titre de cet album "Tonight, I feel sor far away from home", dans le topic " jeu des liens musicaux" initié par Roland.

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Hello girls and boys ! :jap: !

 

Pour ce soir, je me suis préparé un album de blues français intitulé "Tortillage", paru en 1986 et dont le maître d'oeuvre est Benoît Blue Boy. Le louisianais Zachary Richard (cf : créateur de "Travailler c'est trop dur") est à l'accordéon, Patrick Verbeke tient la guitare et pléthore d'autres potes prêtent main forte à B.B.Boy qui assure le chant, l'harmonica et la guitare rythmique.

J'adore ce 33 tours minimaliste (7 titres au total) dont le blues emprunte aux senteurs fortes de Louisiane pour flirter sans vergogne avec le folk acoustique et le rock and roll. Pour la faire courte, Benoît Blue Boy dont je possède 3 albums est un blues man français, grand copain de Patrick Verbeke et Paul Personne (groupe Backstage), couvert de récompenses, dont le répertoire discographique tient autant du travail d'historien (c.f. : CD "En Amérique" - 2001 paru chez Fremeaux) que celui de musicien fidèle et respectueux du genre, soucieux de ses particularités. Les paroles à la "vas-y comme j' te cause"" collent bien à l'esprit de cette forme "directe" de musique, dont "les mots ne sont jamais les mêmes pour exprimer ce qu'est le blüze".

 

Benoît Blue Boy 33 tours tortillage.jpg

"Combien" (qui ouvre l'album)

 

"La même erreur" - un chef d'oeuvre - (sur mon 33 tours, cette chanson est purement acoustique : guitares - basse - batterie)

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bonsoir tout le monde,

 

Ce soir, le 7ème album de Tony Joe White intitulé "Eyes" et commercialisé en 1976 tourne sur ma platine. Il marque plusieurs ruptures : changement de label tout d'abord et changement de public ensuite. En effet, ce disque avait déçu et conséquemment fait fuir les aficionados.

White Tony Joe se muait en White Barry et proposait un disco swamp racoleur (cf : le titre "that loving feeling"). Sans hurler avec les loups, sa démarche était tout de même - un peu - curieuse. Toutefois, si "Eyes" n'est clairement pas le meilleur disque de Tony Joe, il contient son lot de petits joyaux. Tous les titres ont été écrits par lui, sauf le classique du blues "Susie-Q" (paru en 45 tours avec une face B inédite). La version de T.J. White me paraît faiblarde comparativement à celles que je connais. Allez, place à l'écoute :

Rainy day lover :bien: (solos guitare et choeurs aériens)

Swamp boogie (la définition du swamp à l'état pur ... :hot:

That loving feeling

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Bonsoir les gens!

 

Cette équipe là aussi a gagné. 9 ou 10 membres selon les saisons, les Darts sont nés à Londres en 1976, année où le disco prenait son envol aux côtés du rock and roll revival qui scintillera de ses derniers feux 2 ans plus tard, avec la version sur grand écran de la comédie musicale "Grease".

Groupe mixte, les Darts mettent cette opportunité à profit, pour faire revivre le doo wop et le rythm'n'blues des années 50 et début 60. Ils reprennent des standards du genre que côtoient leurs compos originales. L'ensemble est si réussi, si homogène, que le néophyte ne sait plus :voyons: : reprise ou titre original ?

Bref, de 1977 à 1978, le groupe classe 5 titres dans les charts. Ça commence avec "Daddy cool/ The girl can't help it" ...

 

... passe par "It's raining" ...https://www.youtube.com/watch?v=AoXX91cQ0Zk... et se termine avec "don't let it fade away"

https://www.youtube.com/watch?v=2K94vYhSi_wEt ça repart en 1979 : à nouveau une rafale de tubes bien calibrés, comme ce "Get it"

https://www.youtube.com/watch?v=yJzddkTx1zIAlors, ce soir, je me pique aux Darts :miam::bien: dont je possède un album original ("Dart Attack") et deux "greatest hits" (un vinyle et un CD). C'est le vinyl que j'écoute.

Séparés depuis belle lurette, les membres groupe se retrouvent épisodiquement pour donner des concerts ici et là. Un constat : malgré les générations, le succès est toujours là et la ferveur du public reste intacte.

mon vinyle des Darts.jpg

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Bonsoir tout le monde :jap:

 

A l'appui de ma contribution au jeu des liens initié par Roland et "orchestré" par eManu, j'avais ceci à propos des Two Man Sound :

 

Originaires de Belgique, les Two Man Sound n'étaient pas deux mais trois. Chacun d'eux est nanti d'une solide expérience et d'un parcours musical enviable (nombreuses productions et compositions, membre d'un groupe célèbre - cf wallace Collection = Daydream). Leur "Charly Brown" avait fait un malheur chez les disquaires et dans les dancings. Bossa-Nova, Disco-Samba, rythmes tropicaux, ils poursuivent avec plus ou moins de succès ce cheminement musical jusqu'au début des années 80.

Outre "Charly Brown" sur une compil', je possède un album de Two Man Sound intitulé "Oyé come va?" (1977) qui vaut franchement le détour. Longtemps il a tourné en boucle sur ma platine.

 

L'envie m'est venue de réécouter cet album riche en musiques et en musiciens (ex : Toots Thielemans à l'harmonica)

Oye come va (qui ouvre l'album)

Menina rainbow

Mariana (Velha Baiana)

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Hello everybody !

 

Ce soir, le country-rock est à l'honneur sur ma platine. C'est un 33 tours qui a mûrement vieilli en fût de chêne dans ma discothèque. Il est prêt à la dégustation sonore. :miam: .

Son titre : Pas un cadeau!

Le groupe : Rockin' Chair

nationalité : française môsieur!

année de parution : 1981

Ce qu'il y a de bien, ce sont les annotations au verso de la pochette. Elles évitent un long discours, son auteur disant tout. Je cite :

"Puisqu'en France, le mot country fait fuir à tire d'aile les budgets des maisons de disques, ricaner les rock critiques et donne des angoisses aux disquaires, laissez-moi moi aussi cracher dans la soupe et qualifier la musique de Rockin' Chair d'un épithète mystérieux qui lèvera peut-être le sort : Honky Tonk Rock!

Fermez vos oreilles, vraies jeunes filles! Effondrez-vous esthètes diaphanes et anémiques! C'est le rock des buveurs de bière, haut en couleurs et fort en gueule, crado et rigolard, ras du pavé et main au cul : lap steel bien épaisse, basse analphabète, riffs de guitare ciselés dans un papier de hamburger graisseux et une voix rugueuse qui hurle et grogne des miettes de quotidien juteux : une belle santé, quoi!

En vérité je vous le dis, toute ressemblance avec un genre de country musclé ne serait que pure coïncidence".

signé : Philibert MANUTTE

 

 

Il ne me reste plus qu'à vous présenter ces fringants jeunes gens tels qu'ils le font sur la pochette du disque :

- Dr Honky Tonk :voix lead, harmonica parfois

- Kermit Langlois : lap steel, fuzz, pedal steel guitar

- Zizou Ara : basse électrique, choeurs

- Patrick Boudot : guitare électrique lead

- Fab Mouazan : guitare électrique rythmique, choeurs

- Philippe Aboukrat : batterie

Benoît Blue Boy, Patrick Verbeke et un tas d'autres potes sont venus ici et là prêter main forte.

 

Soyez nature

Pas un cadeau!

https://www.youtube.com/watch?v=6qiZYdNS-nsPresque 40 ans plus tard, les titres (originaux sauf "six jours sur la route") n'ont pas pris une ride, tandis que la situation de la musique country en France est quasi similaire, Country Line Dance excepté. Qui connaît (ou a connu) des groupes de country français comme Long Distance, New Bluegrass Connection, Virginia Truckee, etc ... :bah:

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bonsoir amis musiciens👍

Après un break salutaire et une rafale de très bon titres proposés par milopolo,  je partage avec vous quelques extraits de ce que j'écoute ce soir. En l'occurrence, c'est l'un des CD sur lesquels j'ai regroupé mes singles n'ayant abouti à l'achat d'aucun album de l'artiste considéré, soit parce que je n'en avais pas envie, soit parce qu'il n'y en avait pas (à l'époque).

Ainsi en 1970, toute honte bue, ni vu, ni connu, le groupe hollandais Dizzy Man's Band a-t-il piqué "Down on the corner" aux Creedence Clearwater Revival (inclut dans album "Willy and the poor boys" et face B du 45 tours "Fortunate son"),  pour en faire "Tickatoo". Et ils ont réalisé un carton!.

Z"ont eu du pot, car les ricains sont réputés procéduriers et , si ce "Tickatoo" avait franchi l'atlantique, nul doute que les Dizzy's auraient eu un procès aux fesses.

J'ai deux 45 tours des Dizzy Man's Band. Mais la véritable influence du groupe  était les Chicago (Transit Authority) et Blood Sweat and Tears. Plus proches de la déconne et du plagiat, les Dizzy's étaient d'excellents musiciens qui auront quand même laissé leur empreinte dans l'univers de la pop en Europe du nord durant toute la décennie 70-80's.

D'abord "Down on the corner" (1969) Creedence Clearwater Revival (musique et paroles : John Fogerty)

Et maintenant "Tickatoo" des Dizzy Man's Band (Richard de Blois - J.P. L. Kloes)

"My love" figurant en face B est, à mon avis, un petit bijou d'orfèvrerie

2ème 45 tours que j'ai gravé ("Shocking" / "Pretty Kitty" que j'a-do-re! - 1972)

 

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Me souviens pas si j'ai déjà parlé de cette chanteuse, que ce soit ici ou sur les concours mensuels, donc je fais comme si je l'avais pas fait, parce qu'elle le vaut bien.

 

Elle est jeune, elle a une voix que j'adore, elle compose elle-même ses chansons, bref, elle est top.

Et elle est mignonne en plus 423.gif.6e409b7c59d1a81647322b14443d7497.gif

 

Par contre, c'est une grosse feignasse, son dernier album date d'il y a 8 ans :mad:

Bon, ça va peut-être s'arranger, y a quelques EP qui sortent, est-ce à dire bientôt un album ? :smile:

 

Gabriella Cilmi

Vous la connaissez peut-être grâce à cette chanson qui l'a révélé

 

 

Perso, je préfère nettement celles de son troisième album The sting ou je l'a trouve beaucoup plus mature et ou sa voix prend toute sa valeur. Deux extraits pour vous montrer la belle :jap:

 

 

 

 

 

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bonsoir à toutes zé ta tousse !

Pas mal du tout Roland, cette petite Gabriella que je ne connaissais pas. Heureuse rencontre musicale pour moi ...

Sur ma platine, j'écoute actuellement ceci :

C'est un extrait de l'album "Il voyage en solitaire" de Gérard Manset qui tourne en boucle depuis un petit moment. L'honnêteté me conduit à avouer que je n'aimais pas cet artiste. Textes abscons, voix monocorde, musique alambiquée (Mort d'Orion, Animal on est mal ...)., le fan de rock "tchac a poum tsoin tsoin" que j'étais, ne pouvait adhérer. Et puis, quelques années plus tard, ce titre vînt à passer à la radio :

Même si cette chanson a toujours été jugée trop commerciale et simpliste par G. Manset, elle m'a permis une approche moins 'brutale" de son répertoire. J'ai ainsi acheté l'album dans la foulée et puis d'autres encore ("Royaume de Siam", etc ...). Je ne suis pas devenu un fan absolu, mais j'avoue avec l'humilité d'un moine bénédictin,  avoir compris pourquoi la popularité de Gérard Manset reste intacte plus de 50 ans après ses débuts. Pourtant il n'a jamais fait la Une de la presse people ni celle des réseaux sociaux, n'a (je crois) jamais donné de concert, tandis que ses apparitions à la TV sont aussi rares que fugaces.

A l'instar de la chanteuse engagée Colette Magny ("Mélocoton" en 1963) ou de Léo Ferré '("C'est extra" en 1968), contre toute attente Gérard Manset connaît un immense succès populaire en 1975 avec le single  "Il voyage en solitaire", qui caracole en tête des charts. Mais l'album éponyme contient "bien mieux" si je puis dire. Allez, encore un petit extrait : "Qu'il est loin le temps devant nous".

 

 

Modifié par rockerboots
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Voilà qui fait du bien à nos cages à miel !! 

Dire Strait live à Bale 1992

Probablement le meilleur titre live de ce groupe, bien que Sultans of swing ne soit pas bien loin derrière ! 

1992, la fin du groupe avait déjà belle est bien sonné, alors même qu'ils étaient à leur quintessence.. Mark en a décidé autrement, cette machine infernale à tubes lui aura coûté sa vie de famille et une dépression..  Vu de l'extérieur, quel dommage quand on sait qu'à cette période Mark était au summum de son incommensurable talent de guitariste !! Mais voilà le maestro en a décidé autrement. Heureusement la musique a repris pour lui, en solo, quelques années plus tard..

 

https://dai.ly/xftj6t

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