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Sports et pronostics sportifs

Topic Officiel de l'équipe de France de football.


Invité §ton817Zq
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Messages recommandés

Invité §ton817Zq

La liste des 23 retenus contre le Brésil...

 

 

Effectif France

Liste des joueurs

 

Gardien

Cédric Carrasso Bordeaux 30 ans 1.92m 88kg

Hugo Lloris Lyon 24 ans 1.88m 78kg

Steve Mandanda Marseille 25 ans 1.85m 82kg

 

Défenseur

Eric Abidal Barcelone 32 ans 1.80m 75kg

Gaël Clichy Arsenal 25 ans 1.81m 72kg

Laurent Koscielny Arsenal 26 ans 1.85m 75kg

Philippe Mexès AS Rome 29 ans 1.87m 82kg

Adil Rami Lille OSC 25 ans 1.90m 82kg

Anthony Réveillère Lyon 32 ans 1.80m 77kg

Bacary Sagna Arsenal 27 ans 1.76m 72kg

Mamadou Sakho Paris SG 21 ans 1.87m 83kg

 

Milieu

Yohan Cabaye Lille 24 ans 1.75m 69kg

Abou Diaby Arsenal 25 ans 1.88m 75kg

Alou Diarra Bordeaux 29 ans 1.90m 79kg

Yoann Gourcuff Lyon 25 ans 1.85m 79kg

Florent Malouda Chelsea 30 ans 1.84m 73kg

Blaise Matuidi Saint-Etienne 23 ans 1.75m 70kg

Yann Mvila Rennes 20 ans 1.78m 78kg

 

Attaquant

Karim Benzema Real Madrid 23 ans 1.82m 74kg

Kevin Gameiro Lorient 23 ans 1.68m 62kg

Guillaume Hoarau Paris SG 26 ans 1.92m 80kg

Jérémy Ménez AS Rome 23 ans 1.79m 65kg

Loïc Rémy Marseille 24 ans 1.84m 66kg

 

 

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Invité §ton817Zq
Pas d'Evra :jap:

 

 

 

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EdF-Blanc: "Un choix sportif pour Evra"

 

Patrice Evra devra encore patienter. Laurent Blanc ne l'a pas appelé dans sa liste des 23 joueurs pour participer à la rencontre amicale face au Brésil le 9 février prochain. Le sélectionneur de l'équipe de France affirme avoir pris sa décision uniquement par rapport à ses prestations. "Mon choix s'est fait sur des critères uniquement sportifs. C'est à son poste qu'il y a le plus de concurrence, avec de très bons joueurs, qui jouent dans de très grands clubs. J'ai également pris en compte la dernière prestation d'Eric Abidal avec les Bleus (face à l'Angleterre)", a-t-il souligné. Concernant les déclarations de Chantal Jouanno, ministre des sports, sur Evra et Ribéry, il ajoute: "Il faut faire attention aux avis très marqués. Madame la ministre s'est depuis adoucie. Le comportement d'Evra et des 23 joueurs de l'équipe de France est indigne. Il y a eu des sanctions, ils sont de nouveau sélectionnables, et je ne m'occupe que de l'aspect sportif. Je n'ai aucune réflexion par rapport à des faits extérieurs."

 

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Invité §ton817Zq
EdF-Blanc: "Payet, je ne cautionne pas son attitude"

 

 

A l'occasion de l'annonce de sa liste des 23 appelés à rencontrer le Brésil le 9 février prochain, Laurent Blanc est revenu sur le cas Dimitri Payet.

 

Le sélectionneur de l'équipe de France affirme avoir fait un choix "uniquement sportif", même s'il ne tolère pas l'attitude du joueur lors du mercato. "On doit faire des choix et on ne peut pas prendre trois joueurs dans la même zone de jeu. Menez est revenu à son meilleur niveau, et Rémy occupe également cette partie du terrain.

 

A Dimitri (Payet) de prouver qu'il peut revenir. Je ne cautionne pas son attitude. Je suis de ceux qui pensent qu'on peut toujours régler autrement que d'aller au bras de fer. Ce n'est pas un critère qui a fait qu'il ne figure pas dans la liste. Partir, lui aurait permis peut-être de rebondir mais là, il reste dans le même club... Il ne s'est pas faciliter les choses", a-t-il déclaré.

 

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Invité §ton817Zq
EdF-Gameiro: "France-Brésil, c'était un rêve"

 

Sur le site officiel du FC Lorient, Kevin Gameiro a réagi à sa convocation en équipe de France pour le match contre le Brésil du 9 février:

 

"Cette convocation me fait plaisir et j'espère avoir du temps de jeu. C'est bien d'être conservé, le sélectionneur m'a fait une nouvelle fois confiance, j'espère lui rendre sur le terrain".

 

Un terrain où il pourrait retrouver son ancien coéquipier Laurent Koscielny, appelé pour la première fois par Laurent Blanc: "Il le mérite depuis l'année dernière, il a fait une grosse saison et il a encore prouvé à Arsenal qu'il était un excellent joueur. Il a tout pour réussir et aller très très haut".

 

L'attaquant lorientais profite aussi de l'occasion pour aborder quelques bons souvenirs: "Quand on évoque le Brésil, évidemment je pense à la Coupe du Monde 98, gagnée 3 à 0 face au Brésil. J'étais devant la télévision, c'était un rêve. Aujourd'hui, cette convocation est une continuité et me permet de continuer ma progression".

 

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Invité §ton817Zq
EdF: Blanc n'a pas choisi son capitaine

 

 

Laurent Blanc a une nouvelle fois confirmé ce mardi en conférence de presse qu'il n'a pas encore choisi son capitaine.

 

"J'estime qu'il n'y a pas un joueur qui se démarque pour remplir ce rôle. Donc en ce qui concerne le capitanat, on va faire une rotation jusqu'en juin, puis on désignera le capitaine et le vice-capitaine. C'est un rôle vraiment important, que ce soit dans les bons moments ou lorsqu'il y a des turbulences. Il faut donc essayer de ne pas se tromper", a expliqué le sélectionneur avant France-Brésil.

 

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Invité §ton817Zq
Zidane parle du Qatar et de Materazzi

 

 

Dans un entretien accordé à L'Equipe, Zinedine Zidane est notamment revenu sur son engagement en faveur de la candidature du Qatar à l'organisation du Mondial 2022, afin de démentir le montant des sommes d'argent qui lui ont été versées en échange de son soutien.

 

"On a parlé de dix, onze, douze, treize millions d'euros... Je vais le dire clairement: c'est n'importe quoi. Ce n'est pas le quart de ces sommes (...) J'ai touché beaucoup d'argent. Mais cet argent-là est redistribué par la Fondation Zidane (...) Je ne cherche pas à convaincre que c'est bien ou pas bien, chacun a son analyse. Quand je fais ce choix, je considère que c'est bien pour cette région du monde." Quant à son fameux coup de tête en finale du Mondial 2006 contre Marco Materazzi, le Français reconnaît qu'il s'en serait bien passé, à la réflexion: "C'est vrai que terminer sur ça, c'est moyen, vraiment moyen. Je me le suis fait le film, mais quand je reprends tout ce que j'ai fait, je préfère penser au positif."

 

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Invité §ton817Zq
EdF: Ben Arfa à Clairefontaine

 

 

Toujours en rééducation suite à sa fracture tibia-péroné subie en début de saison suite à un tacle du joueur de Manchester City, Nigel De Jong, Hatem Ben Arfa a rendu visite lundi à l'équipe de France à l'avant-veille de son match face au Brésil au Stade de France.

 

Selon le site de la FFF, le joueur de Newcastle, actuellement en soins à Clairefontaine, a assisté à l'entraînement des Bleus avant de les rejoindre au "Château" après le dîner. Une manière de se rappeler au bon souvenir de Laurent Blanc ?

 

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Invité §ton817Zq
Le 09/02/2011 à 08:30

Par Michael BALCAEN Sport.fr

 

 

 

 

 

Que le show commence !

 

 

Au-delà d'une simple rencontre amicale, un France-Brésil revêt chaque fois une saveur bien particulière dans la pure lignée de la finale de la Coupe du Monde 1998. Si les Bleus ne partent pas favoris face à une Seleçäo en pleine possession de ses moyens, ils restent suffisamment armés pour arriver à titiller l'équipe choisie par Mano Menezes dans un Stade de France qui affichera complet pour l'occasion.

 

Les France-Brésil font rêver. Tout simplement. Même les joueurs plus expérimentés ne restent pas insensibles à la perspective de se frotter aux Auriverde. "On a l'honneur et la chance de rencontrer le Brésil. Cela n'arrive pas souvent dans une carrière internationale", reconnaît un Laurent Blanc qui sait ce que cela peut apporter en terme de motivation. Et allez savoir pourquoi les Bleus se sont mués au fil des années et des Coupes du monde en bête noire des Brésiliens. Les exemples ne manquent plus et l'équipe de France reste sur cinq matches sans défaite face au Brésil puisqu'elle n'a plus cédé face au Brésil depuis 1992 et un succès au Parc des Princes (2-0). Une longévité qui n'a peu d'équivalent mais qui n'a finalement que peu de sens dans l'optique du match amical de mercredi au Stade de France. Car les deux équipes vivent une période de reconstruction.

 

Dans les deux cas il s'agit d'une profonde mutation loin d'être bouclée. Mano Menezes veut redonner de la couleur et de la vie à un Brésil qui avait perdu son identité avec le très strict Dunga quand Laurent Blanc continue de gérer l'après catastrophe sud-africaine. Le sélectionneur français a tout de même bien avancé depuis le mois d'août dernier mais pas suffisamment pour avancer sans crainte face à Robinho, Pato et compagnie. C'est là tout le problème. Car si les Bleus se sont baladés à Wembley face au fantôme de l'équipe d'Angleterre, et aussi agréable fut cette balade, elle ne représente qu'un pallier dans la reconstruction. Malgré les difficultés attendues, pas question pour Blanc de changer sa ligne directrice. "On a la même mentalité, ce sera intéressant à voir, les Brésiliens n'aiment pas défendre, à nous de faire en sorte de les contrer et d'être bon techniquement. Il faudra essayer d'avoir le ballon et d'être dangereux, que les joueurs croient en leurs qualités et prennent des risques", explique le sélectionneur.

 

Benzema pour confirmation

 

Pas question donc de bétonner pour éviter de prendre une valise malgré les absences de Samir Nasri ni Franck Ribéry ou encore Mathieu Valbuena. Des absences forcément préjudiciables car quand Nasri s'éclate avec Arsenal, Gourcuff n'est que l'ombre de lui-même avec Lyon. Blanc souhaite lui redonner du temps et lui accorder la confiance nécessaire. Même son de cloche à droite avec un Loïc Rémy aux abonnés absents avec l'OM ce qui tend à ouvrir la porte au retour d'un Jérémy Ménez plus à l'aise avec la Roma et qui mérite sans doute une seconde chance après s'être raté en septembre dernier face à la Biélorussie (0-1). "J'ai vu plusieurs fois la Roma ces derniers temps, il a été très bon. Il peut occuper pas mal de postes et nous amener quelque chose dans le domaine offensif. Maintenant il a le talent pour y rester et s'y imposer. Les cartes sont dans ses mains", a d'ailleurs reconnu Blanc.

 

En attaque, on retrouvera un Benzema bien plus en forme depuis quelques semaines avec le Real Madrid malgré la concurrence nouvelle d'Emmanuel Adebayor. Il paraît que José Mourinho l'avait laissé sur le banc le week-end dernier pour mieux le préserver avant cette rencontre pourtant amicale face au Brésil. Laurent Blanc a demandé à ses joueurs de se lâcher, d'avoir confiance et de prendre des risques. C'est valable pour toute l'équipe mais cela prend un sens tout particulier pour les attaquants et pour Benzema. Charge à l'attaquant de confirmer combien le maillot bleu lui sied à merveille...

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Invité §ton817Zq

 

Ya de forte chance que la match soit merdique :o

 

 

 

Je sais pas, ou c'est du Show, ou pas, personnellement, je pense que Blanc quand même va leurs dire de jouer quand même, donc je crois pas que se sera que de la "Samba" christ952.gif.33d3fa96e6492166d2dc65013a65be2d.gif

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Invité §ton817Zq

Propos recueillis par PAUL ROUGET Sport.fr au Stade de France

 

 

 

 

Blanc: "Le Brésil, le pays du football"

 

 

A la veille d'une confrontation très attendue entre la France et le Brésil, mercredi au Stade de France, Laurent Blanc n'a pas souhaité dévoiler le nom de son capitaine. S'il avoue qu'un France-Brésil revêtira toujours une saveur particulière et qu'une "bataille" est à prévoir, le sélectionneur tricolore espère aussi que cette rencontre de gala permettra aux Bleus de reconquérir le coeur du public français.

 

Laurent Blanc s'attend à une rude bataille face au Brésil ce mercredi.

 

 

-Qu'attendez vous du dernier entraînement avant ce match amical face au Brésil, et comptez-vous procéder à une mise en place ?

Déjà, je ne vais pas faire de mise en place, parce que je sais que certains d'entre vous seront dans les tribunes (Sourire)... On doit se remettre dans la préparation d'un match international. Lundi c'était décrassage, récupération et aujourd'hui (mardi), on va reprendre contact avec le ballon, faire quelques exercices de vivacité et passer à la préparation tactique du match. Mais sur un entraînement d'une heure, à la veille d'un match, je suis désolé de vous le redire mais on n'a pas le temps. C'est la réalité.

 

-Et concernant la question du capitaine ?

Vous le saurez demain (mercredi) soir. Pourquoi? Parce que j'estime qu'il n'y a pas un joueur qui se démarque pour remplir ce rôle. Donc en ce qui concerne le capitanat, on va faire une rotation jusqu'en juin, puis on désignera le capitaine et le vice-capitaine. C'est un rôle vraiment important, que ce soit dans les bons moments ou lorsqu'il y a des turbulences. Il faut donc essayer de ne pas se tromper, et bien connaître la personne qui est capable, ou pas, de remplir ce rôle de capitaine qui doit le motiver et le sublimer au lieu de le pénaliser.

 

-Le fait d'évoluer au Stade de France, face au Brésil, doit forcément être particulier pour vous, notamment avec le souvenir de 1998...

Tous les France-Brésil sont particuliers. Car c'est la nation, le pays du football. Et quand on a la chance de les rencontrer et de les battre, beaucoup de souvenirs reviennent à la surface. Après, le côté émotionnel, je le revois dans le lieu. C'est ce qu'il y a de commun avec la finale de 98. Et les équipes ont bien changé depuis... Donc je pense qu'il y aura ce côté souvenir en début de match, mais une fois le match commencé, ce sera habituel. En ce qui me concerne, c'est un grand plaisir. Et je pense que les joueurs seront motivés.

 

-Comment analysez-vous l'évolution de cette sélection brésilienne depuis le Mondial sud-africain et en quoi peut-elle être comparée à la France ?

Même s'il y a quelques joueurs qui étaient présents en Afrique du Sud, il y a beaucoup de nouveaux et de jeunes. Après, certains ont fait le parallèle avec nous... Je veux bien que le Brésil soit en reconstruction, mais ils ont presque leurs meilleurs joueurs à tous les postes. Il n'y a certes plus Kaka ou Ronaldinho mais sur les 23, il y a en 15, 16 qu'on connaît très bien et pour cause, ils jouent dans les meilleurs clubs européens. Ils sont donc peut-être nouveaux en sélection, mais, je le répète, ce sont pratiquement leurs meilleurs joueurs !

 

"Prendre beaucoup de risques"

 

-Justement, malgré l'absence des grands noms que vous évoquiez, le Brésil fait-il toujours autant rêver ?

Chaque génération, chaque décennie produit des joueurs extraordinaires. Ce n'est pas pour rien qu'ils ont 5 étoiles sur le maillot... C'est une terre de football et des joueurs, il y en a énormément ! Après je suis d'accord avec Christophe Dugarry quand il dit qu'il ne suffit pas d'avoir la nationalité brésilienne pour être un super joueur mais j'en ai quand même connu des fantastiques... Il n'y a donc pas de soucis à se faire pour le Brésil, il restera dans le gotha du football mondial. On parle de noms, mais Ronaldo ou Ronaldinho, ils commencent à faire partie des anciens. Mais les amateurs de football connaissent tous les joueurs qui seront alignés demain. Ils n'ont peut-être pas encore prouvé avec ces jeunes joueurs, mais on les connaît déjà. Et il ne faut pas oublier les joueurs locaux. J'ai regardé quelques matches et ils sont vraiment d'un niveau élevé.

 

-Comptez-vous procéder comme face à l'Angleterre en vous montrant conquérant ou envisagez-vous plutôt d'attendre les Brésiliens mercredi soir ?

Ce sera une bataille demain, et chaque équipe va vouloir le ballon. Notre philosophie sera donc la même. Après, est-ce qu'on sera en mesure de le faire, ce sera intéressant à voir. Et puis les Brésiliens n'aiment pas trop courir derrière le ballon, ce sont un peu des artistes dans l'âme. Donc à nous d'être très bon techniquement, et pas seulement dans la maîtrise du ballon. Car le conserver c'est bien, mais il faut être dangereux. Dans le domaine offensif, il faudra prendre beaucoup de risques et être dangereux dans les 30 derniers mètres.

 

-Est-ce que genre de matches peut vous permettre de reconquérir le public français ?

Ça peut nous aider. Mais que ce soit contre le Brésil ou contre un autre adversaire, c'est la victoire qui nous aidera à reconquérir une partie du public et à se créer une meilleure image. Après, le Brésil est une équipe prestigieuse avec qui on a beaucoup de bons souvenirs, contrairement à d'autres équipes. Car si on les a éliminés trois fois en phases finale (1986, 1998 et 2006), ça a changé et ce n'est plus la même époque. On est en reconstruction et je pense qu'on peut dire que le Brésil a un avantage.

 

-Un mot pour finir sur votre ancien président à Montpellier Louis Nicollin, qui dit vous trouver hautain...

Ça n'a rien à voir avec le match du Brésil, mais si je ne réponds pas, on va dire que je suis hautain (Sourire)... J'ai un très bon souvenir de lui, j'ai été dans son club pendant 10 ans. Je ne sais pas à quel jeu il joue. Il me cherche un peu mais il ne me trouvera pas. J'ai d'autres choses à faire et ça ne m'étonnerait pas qu'il me demande un maillot la prochaine fois...

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Invité §Bla066yL

Super ce match à huis clos, on entend très bien lorsque les joueurs parlent entre eux :bien:

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Invité §Gui508kv
Super ce match à huis clos, on entend très bien lorsque les joueurs parlent entre eux :bien:

 

 

Taggle teubé :blague:

 

 

Sinon, Sagna toujours la, Sagna toujours caca ( le centre a la 5 ieme blearkbl.gif.38092dbb15335236da77e4c233841932.gif )

Rouge justifier :jap:

Le pelouse blearkbl.gif.38092dbb15335236da77e4c233841932.gif forcement apres le sport de bourrin ( sagna tu t'es trompé de jour :w:jeuinterdit.gif.cfb2110712cc49f076b2207db7470bb4.gif )

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Invité §Bla066yL

 

Taggle teubé :blague:

 

 

Sinon, Sagna toujours la, Sagna toujours caca ( le centre a la 5 ieme blearkbl.gif.38092dbb15335236da77e4c233841932.gif )

Rouge justifier :jap:

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Analyse digne d'un golio de 3 ans d'âge mental. Et encore c'est une insulte à tous les gosses de 3 ans ce que je dis.

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Invité §Gui508kv

 

Analyse digne d'un golio de 3 ans d'âge mental. Et encore c'est une insulte à tous les gosses de 3 ans ce que je dis.

 

 

Rageuse jeuinterdit.gif.cfb2110712cc49f076b2207db7470bb4.gif

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Invité §ton817Zq

Le 10/02/2011 à 01:37

Propos recueillis par Michael BALCAEN, au Stade de France

 

 

 

 

France-Brésil: Les déclarations

 

Voici les déclarations de plusieurs joueurs de l'équipe de France à l'issue du succès des Bleus face au Brésil, mercredi au Stade de France (1-0) :

 

Karim Benzema :

C'est une très bonne soirée qui se termine avec une belle victoire face à une très grande équipe. Même si ça reste un match amical, il fallait le gagner et c'est un plaisir de jouer contre le Brésil. Marquer contre le Brésil vous en rêviez ? Oui, je suis cette équipe depuis tout petit, jouer contre eux c'était un rêve, marquer et alors qu'il y a la victoire, je suis très très content. C'était difficile en première période car c'est une équipe qui endort avec ses passes, il fallait les attendre, ils se sont procurés des occasions. Ensuite quand ils ont été à dix, on s'est lâchés on a eu le monopole du ballon. Mourinho ? Je ne sais pas, je pense qu'il a vu le match, c'est tout. Ça n'a rien à voir, je suis en équipe de France pas avec le Real.

 

Philippe Mexès :

Au début on a beaucoup raté, on a eu du mal à rentrer dans le match, parce qu'on était tendus. Après tout le monde s'est libéré, moi aussi, ça restera un match de référence avec le match en Bosnie. Le point positif, c'est qu'on n'a pas pris de but donc tout va bien. Chaque match est un test, derrière on a la confiance du coach, on a son soutien, on essaye de se libérer pour apporter le maximum. Un patron en défense ? Non, Adil (Rami) parle beaucoup, aide beaucoup Bacary (Sagna), moi j'aide plus ou moins Eric (Abidal), on se parle tous, il n'y a pas un chef, il y en a quatre, on s'aide mutuellement. Il faut profiter des ces moments car ils sont exceptionnels, j'ai beaucoup vécu en équipe de France et ce sont certainement les meilleurs jours en Bleu que j'ai passé ces dix dernières années.

 

Florent Malouda :

On a essayé de rivaliser techniquement et dans la conservation de la balle. On savait qu'il fallait passer par les côtés car ils sont bien regroupés dans l'axe. Le piège pour nous aurait été de se livrer trop haut. En première période, c'était une bataille tactique, on a su être patient et on a été récompensé par le but de Karim (Benzema). Offensivement, il y a eu pas mal de mouvements, de permutations et beaucoup de tentatives.

 

Jérémy Ménez :

Ça donne confiance, l'équipe de France reste sur plusieurs résultats positifs et on voulait rester sur cette lancée. On l'a fait ce qui va nous donner encore plus de confiance pour la suite. C'est vrai que ça a été plus facile à 10 contre 11 mais même à 11 contre 11 ils ont eu plus le ballon mais sans être très dangereux non plus. Je pense qu'on a bien mérité cette victoire. Personnellement, je me suis senti plus à l'aise que face à la Biélorussie, au début je voulais jouer simple sans perdre le ballon et puis petit à petit je me suis senti en confiance. Le but donné à Karim ? Oui ça m'a fait plaisir et ça a dû se voir. C'est la famille et même si ce n'est pas moi qui marque, on profite tous ensemble.

 

Hugo Lloris :

C'est un grand soir pour nous, une belle récompense du travail fourni ces 6 derniers mois. Pendant le match il y a eu des circonstances qui ont joué en notre faveur et qui ont eu des conséquences sur la rencontre. Mais il faut souligner que jouer à 11 contre 10 ce n'est jamais évident, notamment face à des Brésiliens qui sont très fort techniquement et sur la vivacité. Il fallait se méfier et on a fait le match qu'il fallait malgré 15-20 premières minutes de flottement dues au pressing des Brésiliens. On aurait dû prendre moins de risques mais on a cherché à jouer et c'est toujours bien, surtout lors des matches amicaux. C'est une étape supplémentaire mais il ne faut pas s'enflammer, il y a un match important au mois de mars contre le Luxembourg qui reste le Luxembourg mais il faudra gagner là-bas. Après l'Angleterre, le Brésil, c'est bien, c'est dans la continuité. Pour la confiance, c'est positif.

 

Alou Diarra :

Ce sont de bons moments à vivre pour un footballeur que de battre le Brésil au Stade de France. Je pense qu'on a montré un visage costaud face à une très bonne équipe même si on a été avantagé par l'expulsion d'Hernanes, on l'a provoquée, ça fait partie du jeu. On s'est procuré pas mal d'occasion et battre le Brésil qui est une référence au niveau mondial ça va nous donner beaucoup de confiance. Le groupe est en train de grandir et c'est de bon augure pour les prochaines échéances. Maintenant, il faut rester humble, il n'y a qu'à regarder le classement Fifa, il y a du boulot. On montre qu'on est capable de rivaliser avec des équipes du standing du Brésil, ça nous réconforte dans notre travail pour pouvoir préparer sereinement les rendez-vous de mars.

 

Eric Abidal :

Je pense qu'on a bien maîtrisé notre sujet en deuxième période, c'était un peu plus difficile en première. Il y a l'expulsion, ça fait partie du match mais j'aurais préféré que ce soit autrement pour que le match devienne plus compliqué et que le niveau des équipes soit le même. Ma prestation ? Je n'ai pas trop apporté offensivement, c'est le jeu qui demandait ça. La satisfaction, c'est le collectif, ce n'était pas facile face à une équipe du Brésil qui, même à 10, gardait bien le ballon. Ce n'était pas facile d'aller les presser. La charnière Rami-Mexès est solide, ce n'est pas nouveau, c'est bien d'avoir des défenseurs qui rassurent l'équipe et qui sont costauds. Il faut noter qu'on ne prend pas de but et qu'Hugo n'a pas eu beaucoup d'arrêts à sortir, c'est le principal.

 

Adil Rami :

Ce n'est jamais parfait mais on peut être satisfait collectivement d'avoir marqué sans prendre de but, d'autant qu'ils ont une armada offensive de classe. Ils nous ont pressés durant les 15 premières minutes, il a fallu faire le dos rond. Par la suite, malgré leur pressing, on a su jouer au ballon et même si on a fait des erreurs techniques on n'a pas eu peur de jouer dans les pieds et de garder le ballon.

 

Yann M'Vila :

On ressent une grande confiance même si le Brésil a joué à 10 presque toute la partie mais la manière est là et la victoire est au bout. En début de match, ils ont bien joué le coup, on les a laissés jouer et du coup ils ont eu le temps de s'organiser. Eux par contre, ils nous ont pressés de tous les côtes donc on n'a pas pu mettre notre jeu en place. L'expulsion ? Oui, ça change tout, il faut dire clairement les choses. Ma prestation ? C'est vrai que j'étais moins à l'aise que d'habitude (en Bleu), je n'ai pas d'explication.

 

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Invité §ton817Zq
EdF: Les Bleus n'ont pas été zappés

 

La victoire de l'équipe de France face au Brésil (1-0) a fait recette, mercredi, puisque 7 984 000 de téléspectateurs ont assisté au succès des Bleus sur TF1, révèle ce jeudi Médiamétrie.

 

Un chiffre qui représente une part d'audience de 33,1%. A la fin du match, le nombre de téléspectateurs atteignait même les 9 millions.

 

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Invité §ton817Zq

EdF-Blanc: "Toujours heureux de gagner"

 

Alors que l'équipe de France a battu le Brésil, mercredi, en match amical (1-0), Laurent Blanc est revenu sur la victoire au micro de TF1. "On est toujours heureux de gagner un match à domicile devant son public. Le Brésil est une référence, même s'ils sont à dix et que ça nous avantage. Il y a une satisfaction dans le résultat mais aussi dans le contenu", a ainsi expliqué le sélectionneur tricolore.

 

 

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Invité §ton817Zq

Le 11/02/2011 à 12:03

Par Benoît CONTA de Sport.fr

 

 

 

 

 

Domenech, fini de bluffer ?

 

Raymond Domenech pourrait bientôt livrer sa version du fiasco des Bleus lors de la Coupe du monde en Afrique du Sud. Selon Europe 1, l'ancien sélectionneur de l'équipe de France s'exprimera dans les colonnes de L'Express, adressant quelques piques à Roselyne Bachelot, Jean-Pierre Escalettes et Patrice Evra. A moins que ce ne soit du bluff...

 

La riposte se prépare. Après avoir passé plus de six mois sans commenter l'actualité sportive, ni réagir à la moindre polémique concernant la Coupe du monde 2010, et notamment la grève de Knysna, Raymond Domenech s'apprêterait à livrer sa version de faits. Alors que Le Monde fait état de ses systématiques refus par SMS pour toute demande d'interview sur le sujet, l'ancien sélectionneur devrait finalement réapparaître sur la scène médiatique, autrement qu'à travers une campagne publicitaire pour un site de poker en ligne.

 

"Il n'est pas condamné au silence, il n'a tué personne, il n'a fait de mal à personne, il n'était pas gréviste. Il est temps pour lui de reprendre une vie normale, d'aller dans les stades, de s'exprimer, et puis peut-être aussi de retrouver une forme de sérénité", explique sur Europe 1 Pascal Irastorza, responsable de Laminak Conseil, qui gère son image. Le grand déballage, ou du moins les premières vérités de Domenech, devraient ainsi paraître dans l'hebdomadaire L'Express, la semaine prochaine, selon les informations de la radio de la rue François 1er. Il devrait y exprimer ses griefs envers Roselyne Bachelot, Jean-Pierre Escalettes, mais également Patrice Evra.

 

"Il a été élevé dans la haine des journalistes"

 

Un changement de stratégie opéré par Domenech depuis décembre 2010 et sa décision de s'adjoindre les services de cette société spécialisée dans la communication et la gestion de crise, qui gère également l'image de Sébastien Chabal. "Domenech est un enfant de Jacquet. Il a été élevé dans la haine des journalistes: 'Ils veulent nous détruire ils ne servent à rien' s'est-il vu répéter", confie ainsi son avocat, Me Jean-Yves Connesson, dans les colonnes du Monde.

 

Dans le même temps, l'ancien sélectionneur tricolore prépare sa défense devant le tribunal des prud'hommes, pour son licenciement par la Fédération française de football. "Pendant que Duchaussoy était en train de distribuer des pin's, Raymond était seul dans le bus face aux joueurs. Trois quarts d'heure durant, il a tenté par tous les moyens de les convaincre d'aller s'entraîner. Mais trois ou quatre joueurs ont tout verrouillé", lâche son avocat, qui compte bien démontrer que son licenciement est "juridiquement totalement infondé".

 

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Invité §ton817Zq

Jacquet: "Gameiro est un futur grand joueur"

 

 

Invité du Grand Forum d'Infosport ce jeudi, Aimé Jacquet, a dressé les louanges de Kevin Gameiro, qualifié de "futur grand joueur".

 

Et l'ancien sélectionneur d'expliciter:

 

"Il a un potentiel exceptionnel, et c'est un attaquant ! Nous manquons tellement d'attaquants dans notre championnat. On voit bien qu'il a des sensations exceptionnelles devant les buts. Il me fait penser à Youri Djorkaeff."

 

Lui conseillerait-il de rester en France ou de partir à l'étranger ?

 

"Quand j'occupais le poste de sélectionneur, deux ans avant une grande compétition je me permettais de dire à tous les internationaux: projet sportif et non projet financier. (...) D'abord son projet sportif doit être réalisé à Lorient. Il est là chez lui. Il est entouré, il a un entraneur qui le connaît parfaitement, qui va lui donner de la dimension. Il ne va pas perdre son temps, au contraire, il va se bonifier."

 

 

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Invité §ton817Zq
EdF-Domenech: "Des sales gosses inconscients"

 

 

Dans une interview accordée à L'Express, à paraître mercredi et dont un extrait est disponible sur le site de l'hebdomadaire, Raymond Domenech a accepté de revenir sur la Coupe du monde en Afrique du Sud et les événements de Knysna.

 

"Tout le monde parle à ma place. J'ai envie de rétablir ma vérité. Je ne suis pas l'abruti que l'on décrit", confie l'ancien sélectionneur des Bleus, qui reconnaît ses erreurs tout en répondant à certains de ses détracteurs:

 

"Soyons clairs: je me suis planté, je n'ai pas dû choisir les bons joueurs ni trouver les mots qu'il fallait. Je n'accepte pas la critique des politiques, ni celle des anciens joueurs reconvertis dans le journalisme, mais cela ne m'empêche pas de tirer mon propre bilan". "Avec le recul, je les vois surtout comme une bande de sales gosses inconscients", adresse-t-il également à ses anciens joueurs.

 

http://www.lexpress.fr/actualite/sport/domenech-je-n-ai-pas-ferme-la-porte-au-foot_962683.html

 

http://www.lexpress.fr/actualite/sport/domenech-j-ai-envie-de-retablir-ma-verite_962456.html

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Invité §ton817Zq

Le 16/02/2011 à 10:03

Par Laurent DUYCK Sport.fr

 

 

 

 

 

Domenech seul contre tous

 

 

Les "vérités" du Mondial sud-africain dévoilées par Raymond Domenech dans les colonnes de L'Express n'auront pas mis longtemps à relancer le débat entourant l'ancien sélectionneur tricolore. Attaqués, Bixente Lizarazu, Roselyne Bachelot ou encore William Gallas ont ainsi souhaité répondre à l'ex-chef de file des Bleus.

 

William Gallas n'a pas apprécié les déclarations de Raymond Domenech.

 

Le timing était bien choisi. Au coeur d'une période creuse pour l'équipe de France qui ne rejouera pas avant fin mars. Et suffisamment loin de la fin de la saison pour se rappeler au bon souvenir du monde du football. La ligne de défense double de Raymond Domenech : avouer d'un côté une part de responsabilités dans la faillite de Knysna - "Soyons clair ; je me suis planté, je n'ai pas dû choisir les bons joueurs ni trouver les mots qu'il fallait", déclare-t-il - tout en n'exonérant pas les joueurs qu'ils qualifient de "sales gosses inconscients", et attaquer de l'autre les politiques et les "anciens joueurs reconvertis dans le journalisme" dont il n'accepte pas la critique. Une sortie dans les colonnes de L'Express, la première depuis la Coupe du monde 2010, qui, il fallait sans douter, n'est pas restée sans réponse.

 

Tout sourire à l'issue de la victoire de Tottenham à Milan en huitième de finale aller de la Ligue des champions, William Gallas a évoqué le sujet du bout des lèvres. "Je ne répondrai pas à ses critiques, je dirai simplement qu'avant de parler, il faudrait qu'il se regarde un peu, c'est tout", a déclaré l'ancien défenseur central des Bleus, rapporte RMC. "C'est trop facile de juger les joueurs. Vu l'encadrement qu'il y avait, je peux vous dire que c'était très difficile pour nous. Voilà ce que je peux dire. On nous a jugés trop facilement, on a reposé la faute sur tous les joueurs. C'est vrai que c'est nous qui avons pris la décision de faire grève, mais pourquoi ? Posez-vous les bonnes questions! Pourquoi a-t-on fait la grève ? Moi je n'ai pas à répondre, ce que je peux dire, c'est qu'on n'est pas des gamins immatures, loin de là."

 

Lizarazu: "C'est un manipulateur"

 

Montrés du doigt par l'ancien sélectionneur de l'équipe de France pour avoir osé "parler de morale et donner des leçons", Christophe Dugarry et Bixente Lizarazu, aujourd'hui bien installés dans les médias, se sont montrés plus directs dans leur défense. "Raymond Domenech restera pour moi une éternelle énigme", a réagi le premier au micro d'Infosport. "J'ai lu que nous, les anciens de 98, nous nous étions attaqué à la morale de Raymond Domenech alors que ce n'est absolument pas le cas, cela ne l'a jamais été, nous avons toujours essayé de nous concentrer sur le sportif". Et là, le champion du monde 98 reste sur sa faim. "J'aurais aimé savoir pourquoi depuis 2008 l'équipe de France n'arrivait pas à faire trois passes d'affilée, pourquoi les joueurs venaient en équipe de France en reculant".

 

Une critique partagée par l'ancien latéral gauche du Bayern Munich. "J'ai passé mon temps à parler foot avec lui sans jamais obtenir de réponses. Dans cette interview, il n'y a pas du tout de choses sur le foot. J'aurais été intéressé d'avoir, par exemple, son avis sur Anelka et son rôle sur le terrain", a-t-il expliqué au micro de RTL où il tient une émission. "Je pense que le fond du problème, c'est que [Domenech] est un manipulateur. A un moment donné, quand tu passes ton temps à manipuler, ça se retourne contre toi, et surtout ton discours n'est plus crédible", a-t-il ajouté. Et Dugarry de s'interroger sur le timing de cette sortie : "Il suffit que l'équipe de France commence à retrouver des sensations, des couleurs, et du vrai football pour que lui sorte son article".

 

Tenu par son devoir de réserve, la Fédération française de football (FFF) étant en conflit avec l'intéressé (une audience de conciliation est prévue le 14 avril prochain), Fernand Duchaussoy s'est contenté d'une réponse lapidaire. Ancienne ministre des Sports, aujourd'hui en charge des Solidarités et de la Cohésion sociale, Roselyne Bachelot, qui était venue parler aux joueurs avant le dernier match contre l'Afrique du Sud, n'a elle pas apprécié la pique de Domenech. "Ce qui est sûr, c'est que la prestation de Raymond Domenech durant cette Coupe du monde n'a fait rire personne, a-t-elle fait savoir dans un communiqué. Elle a même fait pleurer des millions de supporters de l'équipe de France. Je me bornerai à rappeler qu'il n'était pas dans la salle où je me trouvais avec les joueurs. Quand on a une telle responsabilité, la décence impose de garder le silence." Pas facile alors que chacun a son avis à donner sur le sujet.

 

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Le 16/02/2011 à 10:03

Par Laurent DUYCK Sport.fr

 

 

 

 

 

Domenech seul contre tous

 

 

Les "vérités" du Mondial sud-africain dévoilées par Raymond Domenech dans les colonnes de L'Express n'auront pas mis longtemps à relancer le débat entourant l'ancien sélectionneur tricolore. Attaqués, Bixente Lizarazu, Roselyne Bachelot ou encore William Gallas ont ainsi souhaité répondre à l'ex-chef de file des Bleus.

 

William Gallas n'a pas apprécié les déclarations de Raymond Domenech.

 

Le timing était bien choisi. Au coeur d'une période creuse pour l'équipe de France qui ne rejouera pas avant fin mars. Et suffisamment loin de la fin de la saison pour se rappeler au bon souvenir du monde du football. La ligne de défense double de Raymond Domenech : avouer d'un côté une part de responsabilités dans la faillite de Knysna - "Soyons clair ; je me suis planté, je n'ai pas dû choisir les bons joueurs ni trouver les mots qu'il fallait", déclare-t-il - tout en n'exonérant pas les joueurs qu'ils qualifient de "sales gosses inconscients", et attaquer de l'autre les politiques et les "anciens joueurs reconvertis dans le journalisme" dont il n'accepte pas la critique. Une sortie dans les colonnes de L'Express, la première depuis la Coupe du monde 2010, qui, il fallait sans douter, n'est pas restée sans réponse.

 

Tout sourire à l'issue de la victoire de Tottenham à Milan en huitième de finale aller de la Ligue des champions, William Gallas a évoqué le sujet du bout des lèvres. "Je ne répondrai pas à ses critiques, je dirai simplement qu'avant de parler, il faudrait qu'il se regarde un peu, c'est tout", a déclaré l'ancien défenseur central des Bleus, rapporte RMC. "C'est trop facile de juger les joueurs. Vu l'encadrement qu'il y avait, je peux vous dire que c'était très difficile pour nous. Voilà ce que je peux dire. On nous a jugés trop facilement, on a reposé la faute sur tous les joueurs. C'est vrai que c'est nous qui avons pris la décision de faire grève, mais pourquoi ? Posez-vous les bonnes questions! Pourquoi a-t-on fait la grève ? Moi je n'ai pas à répondre, ce que je peux dire, c'est qu'on n'est pas des gamins immatures, loin de là."

 

Lizarazu: "C'est un manipulateur"

 

Montrés du doigt par l'ancien sélectionneur de l'équipe de France pour avoir osé "parler de morale et donner des leçons", Christophe Dugarry et Bixente Lizarazu, aujourd'hui bien installés dans les médias, se sont montrés plus directs dans leur défense. "Raymond Domenech restera pour moi une éternelle énigme", a réagi le premier au micro d'Infosport. "J'ai lu que nous, les anciens de 98, nous nous étions attaqué à la morale de Raymond Domenech alors que ce n'est absolument pas le cas, cela ne l'a jamais été, nous avons toujours essayé de nous concentrer sur le sportif". Et là, le champion du monde 98 reste sur sa faim. "J'aurais aimé savoir pourquoi depuis 2008 l'équipe de France n'arrivait pas à faire trois passes d'affilée, pourquoi les joueurs venaient en équipe de France en reculant".

 

Une critique partagée par l'ancien latéral gauche du Bayern Munich. "J'ai passé mon temps à parler foot avec lui sans jamais obtenir de réponses. Dans cette interview, il n'y a pas du tout de choses sur le foot. J'aurais été intéressé d'avoir, par exemple, son avis sur Anelka et son rôle sur le terrain", a-t-il expliqué au micro de RTL où il tient une émission. "Je pense que le fond du problème, c'est que [Domenech] est un manipulateur. A un moment donné, quand tu passes ton temps à manipuler, ça se retourne contre toi, et surtout ton discours n'est plus crédible", a-t-il ajouté. Et Dugarry de s'interroger sur le timing de cette sortie : "Il suffit que l'équipe de France commence à retrouver des sensations, des couleurs, et du vrai football pour que lui sorte son article".

 

Tenu par son devoir de réserve, la Fédération française de football (FFF) étant en conflit avec l'intéressé (une audience de conciliation est prévue le 14 avril prochain), Fernand Duchaussoy s'est contenté d'une réponse lapidaire. Ancienne ministre des Sports, aujourd'hui en charge des Solidarités et de la Cohésion sociale, Roselyne Bachelot, qui était venue parler aux joueurs avant le dernier match contre l'Afrique du Sud, n'a elle pas apprécié la pique de Domenech. "Ce qui est sûr, c'est que la prestation de Raymond Domenech durant cette Coupe du monde n'a fait rire personne, a-t-elle fait savoir dans un communiqué. Elle a même fait pleurer des millions de supporters de l'équipe de France. Je me bornerai à rappeler qu'il n'était pas dans la salle où je me trouvais avec les joueurs. Quand on a une telle responsabilité, la décence impose de garder le silence." Pas facile alors que chacun a son avis à donner sur le sujet.

 

 

bein déja qu'il avait foiré et là il ose revenir en débalant tout ça, encore mieux crédible qu'avantyo1.gif.c7ce541486d611612cfecf998a25c1a8.gif

 

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Invité §ton817Zq

EdF: Blanc donnera sa liste le 17 mars

 

C'est le jeudi 17 mars à 14h que le sélectionneur Laurent Blanc dévoilera à la presse la liste des joueurs retenus pour les deux rencontres de l'équipe de France prévues fin mars, au Luxembourg (le 25, éliminatoires de l'Euro 2012) puis au Stade de France contre la Croatie (le 29, match amical).

 

Une liste très attendue puisqu'elle pourrait marquer le retour d'anciens cadres, comme Franck Ribéry ou Jérémy Toulalan, qui n'ont plus porté le maillot de l'équipe de France depuis la dernière Coupe du monde en Afrique du Sud.

 

 

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Invité §ton817Zq

Classement FIFA

 

Classement Equipe Points

 

1 Espagne 1887

2 Pays-Bas 1723

3 Allemagne 1485

4 Brésil 1446

5 Argentine 1367

6 Angleterre 1195

7 Uruguay 1152

8 Portugal 1090

9 Croatie 1075

10 Grèce 1016

11 Norvège 995

12 Russie 982

13 Italie 965

14 Chili 947

15 Ghana 940

16 Slovénie 897

17 Japon 882

18 Etats-Unis d'Amérique 869

19 France 867

20 Slovaquie 854

21 Australie 847

22 Suisse 841

23 Serbie 837

24 Paraguay 832

25 Monténégro 824

26 Côte d'Ivoire 813

27 Mexique 803

28 Danemark 802

29 Suède 759

30 République tchèque 751

31 Turquie 741

32 République de Corée 735

33 Egypte 709

34 Ukraine 702

35 République d’Irlande 681

36 Bélarus 655

37 Hongrie 632

38 Irlande du Nord 615

39 Honduras 613

40 Nigeria 604

41 Burkina Faso 598

42 Bosnie-Herzégovine 583

43 Cameroun 582

44 Iran 571

45 Autriche 569

46 Guinée 564

47 Afrique du Sud 562

48 Costa Rica 560

49 Tunisie 560

50 Colombie 558

 

 

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Invité §jld426GS

C'est quoi cette merde ? :mouais:

 

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