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Histoires du sport automobile

Vosges Rallye Festival


KC67

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La deuxième édition est lancée.

 

Comme l'an passé, les candidats à la manifestation pourront déposer leur dossier de pré-engagement directement sur la page dédiée du site internet. Le comité de sélection validera les demandes sur la base de le conformité historique des auto et les répartira dans une des quatre catégories suivantes :

 

- ORIGINALE : voitures de rallye historiques originales

- SLO1 : répliques de voitures de rallye historiques identiques à l’originale

- SLO2 : répliques de voitures de rallye historiques légèrement différentes de l’originale

- CAT B : autres voitures de rallye et youngtimers présentant un intérêt historique particulier.

 

La ville de La Bresse sera cette année le centre névralgique de la manifestation et accueillera dès le mercredi les participants pour les vérifications administratives.

 

Toutes les informations utiles se trouvent sur le site : http://www.vosges-rallye-festival.com

 

Programme :

 

Mercredi 1er mars 2017

Ouverture des inscriptions

 

Lundi 24 juillet 2017

Clôture des inscriptions

 

Mercredi 23 août 2017

Accueil des participants et vérifications administratives

 

Jeudi 24 août 2017

Accueil des participants et vérifications administratives et techniques

Départ de la première auto à 17h

 

Samedi 26 août 2017

Arrivée de la première auto à partir de 18h30

 

 

C_est_parti.png

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Un petit point sur les engagés...

 

Trois semaines après l'ouverture des pré-enagements, les demandes affluent. A ce jour, ce sont près de 70 demandes en provenance de 8 pays qui ont été enregistrées.

 

Les candidats français sont bien entendu les plus nombreux, mais un fort contingent de nos amis britaniques a prévu de traverser la Manche.

 

 

point_engagés.jpg

 

Du côté des voitures, 24 marques sont représentées. Aux côtés des Renault, Peugeot, Audi et autres Lancia, les spectateurs pourront découvrir ou redécouvrir d'autres marques plus rares dont on avait parfois oublié l'existence.

 

Le nombre d'engagés étant limité à 130, les places risquent rapidement d'être prises d'assaut.

 

 

point_engages-2.jpg

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Oui avec en prologue en ligne à parcourir 2 fois

 

 

 

Bonjour,

 

Parmi les ouvreurs, aura-t-on le plaisir de voir à nouveau Jean-Pierre BUGNOT et sa Focus RS ? Parmi les engagés peut-on espérer la présence de

Monsieur POIROT fils au volant de l'ex 904 de Papa....DSC_0588.jpg

 

Sportivement.

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Pour Jean-Pierre BUGNOT il est encore trop tôt pour le savoir.

 

En ce qui concerne POIROT, nous serions très content de le compter parmi les participants.

 

Mais il y aura ça :

 

 

 

Présenté comme une évolution esthétique de l’Ascona 1.9, le modèle B bénéficie d’un moteur 2 litres et des développements effectués sur la Kadett GT/E. Sa carrière officielle n’a duré que le temps de la saison 1979, dans l’attente de l’Ascona 400. Mais elle a permis à Jochi KLEINT de décrocher le titre européen.

 

Miki BIASION, jeune débutant mais déjà navigué par Tiziano SIVIERO, prend le départ du Rallye San Remo 1980 au volant d’une Ascona préparée par Conrero. Il est contraint à l’abandon suite à une panne de différentiel.

 

 

HENCKENS_HIER.jpg

 

Roel HENKENS présente une belle reproduction de cette auto qui arbore sur les portières le numéro 31 à la typographique bien spécifique au San Remo.

 

HENCKENS_AJD.jpg

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Pour Jean-Pierre BUGNOT il est encore trop tôt pour le savoir.

 

En ce qui concerne POIROT, nous serions très content de le compter parmi les participants.

 

Mais il y aura ça :

 

 

 

Présenté comme une évolution esthétique de l’Ascona 1.9, le modèle B bénéficie d’un moteur 2 litres et des développements effectués sur la Kadett GT/E. Sa carrière officielle n’a duré que le temps de la saison 1979, dans l’attente de l’Ascona 400. Mais elle a permis à Jochi KLEINT de décrocher le titre européen.

 

Miki BIASION, jeune débutant mais déjà navigué par Tiziano SIVIERO, prend le départ du Rallye San Remo 1980 au volant d’une Ascona préparée par Conrero. Il est contraint à l’abandon suite à une panne de différentiel.

 

 

HENCKENS_HIER.jpg

 

Roel HENKENS présente une belle reproduction de cette auto qui arbore sur les portières le numéro 31 à la typographique bien spécifique au San Remo.

 

HENCKENS_AJD.jpg

 

 

 

Bonjour,

 

Superbe ces autos, vivement le mois d'Août. Pour Eric POIROT, je le contacte pour lui faire part des infos du rallye, peut-être que.....

 

Cordialement.

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148 équipages s'élancent le samedi 17 janvier 1976 à l'assaut du 44ème Rallye Monte Carlo.

 

Pour cette édition, les organisateurs ont instauré une nouvelle règle destinée à niveler la différence entre amateurs et usines : les concurrents devront utiliser tout au long de l'épreuve un seul type de pneumatiques (même marque, même dimension, même gomme). La majorité opte pour les pneus neige. Seuls Opel, Fiat et Lancia choisissent les Racing cloutés, misant sur une météo clémente.

 

 

Le choix semble bon, puisqu'à l'issue du parcours du classement, on trouve 3 Stratos aux 4 premières places.

 

Après l'abandon de Jean-Claude ANDRUET un temps second, la victoire ne peut plus échapper aux Stratos. Longtemps leader, MUNARI connait une alerte lorsque sa boite reste bloquée sur le 3ère rapport. En 10 minutes, l'assistance Lancia solutionne le problème. Le pilote italien rentre victorieux à Monaco devant Bjorn WALDEGARD et Bernard DARNICHE.

 

waldegard_mc76.jpg

© : photo trouvée sur forum auto - Sujet "le rallye Monte-Carlo"

 

 

Gérard NICOLAII a décidé de reproduire la voiture du pilote suédois. 8 année et plus de 3000 heures de travail ont été nécessaires pour mener à bien ce projet.

 

NICOLAII_AJD.jpg

 

Et des images qui bougent :

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Russell Brookes est né en 1945 dans le Worcestershire. Il a débuté à l’âge de 18 ans dans ces courses de club dont les anglais sont friands.

 

En 1974, il signe un partenariat avec Andrews - Heat for Hire, une entreprise qui loue des appareils de chauffage et de climatisation. Ce partenariat sera un tournant dans sa carrière.

 

Au volant d'une Ford Escort MK II, il est sacré Champion d'Angleterre en 1977. La même année il termine 3ème du Rallye de Grande Bretagne. Il montera 4 années de suite sur le podium du RAC, toujours au volant d'une Escort.

 

 

SIMONIS_HIER.jpg

 

En 1985, il remporte un deuxième titre national, au volant d'une Opel Manta cette fois-ci qui a succédé à une Sunbeam Lotus et à une Vauxhall Chevette. Toutes ces autos, ainsi que celle qui suivront portent les couleurs du fidèle partenaire, Andrews.

Entre 1974 et 1991, le chiffre d'affaire de cette entreprise est passé de 1,5 M de £ à plus de 60 M de £, ce qui en fait aujourd'hui un cas d'école dans le domaine du sponsoring.

 

Après les « Légends Boucles de Spa » en 2010, Didier SIMONIS a entièrement restauré sa Ford RS 2000 à moteur Pinto. La décoration est fidèle à la version du RAC Rally de 1978 où elle termine 3ème. Il participe depuis à son volant à de nombreuses épreuves de démonstration telles que l'Eifel Rallye Festival ou le Vosges Rallye Festival

 

 

 

SIMONIS_AJD.jpg

 

On board avec Russel Brooks :

 

 

Onboard_Russel_Brooks.jpg

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Pilote éclectique, il a couru en formule 3 et participé à 7 reprises aux 24 heures du Mans. Il a été sacré

Champion de France de rallyecross. Il a été aperçu également au volant de Formules 1 ou encore au

Paris-Dakar.

 

Il est monté à 3 reprises sur la plus haute marche du podium lors d’épreuves du Championnat du Monde

des rallyes, une discipline dans laquelle il a remporté 2 titres nationaux. Lorsqu’on lui demande sa

profession, il répond « négociant en virages ». Mais le public, qui de longue date en a fait son chouchou,

le surnomme l’acrobate.

 

Son nom est étroitement lié à Renault dont il a fait virevolter de virage en virage une grande partie de

la production, depuis la R8 Gordini de ses débuts jusqu’à la Mégane Maxi, en passant par la R5 Alpine

« planche à roulette » ou la mythique R5 turbo.

 

Tout le monde aura reconnu l’emblématique Jean RAGNOTTI.

 

Le toujours jeune Jeannot sera présent le dernier week-end d’août dans les Vosges. Une région qu’il

connait bien pour en avoir parcouru les routes lors des Rallyes de Lorraine et Alsace-Vosges d’antan.

La Super Spéciale d’Epinal ainsi que le Road Show LABELLEMONTAGNE lui rappelleront assurément

le mythique Road Show qui clôturait l’Alsace Vosges dans les rues de Strasbourg. Une grande première

en France à l’époque, initiée déjà par Jacky JUNG, l’infatigable président de Slowly Sideways France.

 

 

Ragnotti_big.jpg

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Apparue en 1978, la Chrysler Sunbeam voit sa gamme coiffée par la version Ti. Mais cette version sportive n’a pas les atouts nécessaires pour permettre à la marque de se battre à haut niveau. Desmond « Des » O’Dell, le patron du département sportif, a alors l’idée de confier à Lotus la mission de transformer la placide Sunbeam en machine de course.

 

Un 4 cylindre en aluminium de 2172 cm3 coiffé d’une culasse 16 soupapes réussit à trouver sa place sous le capot. Avec ses 260 chevaux elle a, à présent, une motorisation à la hauteur de ses ambitions.

 

Commercialisée successivement sous les marques Chrysler-Simca et Talbot-Simca, elle ne connaitra jamais le succès commercial qu’elle est en droit d’attendre. Elle permet en revanche à Talbot de devenir Champion du Monde des Rallyes en 1981, grâce à sa paire de pilotes, Henri Toivonen et Guy Frequelin.

 

La voiture que Gary Gee engage au Vosges Rallye Festival était initialement une voiture de développement. Elle a ensuite été vendue à l’américain John Buffum qui a participé à son volant en 1982 à l’Hunsrück Rallye (D) et au Costa Smeralda (I), remportant à chaque fois sa classe, tout en terminant respectivement 10ème et 8ème au classement général.

 

 

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A l’automne 1991, Lancia présente sa Delta Integrale « Evoluzione ». Extérieurement elle arbore un nouveau capot et les ailes gagnent encore en largeur permettant une augmentation des voies de 54 mm à l’avant et de 60 mm à l’arrière. Le moteur de série gagne 10 chevaux.

 

Il en résulte une version compétition encore plus affutées que sa devancière qui remporte en 1992 huit des quatorze manches du Championnat du Monde. Six iront dans l’escarcelle de Didier AURIOL, qui finira 3ème du Championnat Pilotes, remporté par Carlos SAINZ sur sa Toyota. Lancia se console en remportant le titre marques.

 

 

FERREIRA_HIER.jpg

 

Stéphane FERREIRA a reproduit la voiture de Didier AURIOL, victorieuse de la manche d’ouverture à Monte-Carlo. Parti d’une auto de série, il l’a transformé en version groupe A. Depuis 10 ans maintenant, il participe en tant qu’ouvreur à de nombreux rallye régionaux et prend part à des épreuves historiques telles que le Vosges Rallye Festival.

 

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Bob Neyret est un dentiste grenoblois passionné de sport automobile. Pilote talentueux, Citroën lui confie le volant de DS au volant desquelles il se constitue un joli palmarès, remportant à deux reprises le Rallye du Maroc et le Rallye Neige et Glace, ainsi que de nombreux accessit. On peut citer notamment le Liège-Sofia-Liège ou le Rallye Lyon Charbonnières.

 

En 1971, désireux de promouvoir le dentifrice Aseptogyl qu’il vient de lancer, il a l’idée de créer une écurie de course. Les autos sont peintes en rose et confiés à des équipages féminins. Le succès est immédiat et la marque acquiert très rapidement une belle notoriété. L’équipe se fait remarquer tout autant par la décoration des autos que par les performances réalisées par les filles.

 

Aux alpine A110 du début succèdent des A310. En 1976, Christine DACREMONT est sacrée Championne de France et Championne d’Europe, remportant au volant de l’A310 Aseptogyl le Rallye de la Châtaigne et terminant le Tour de France Auto à la 6ème place du classement général.

 

Ce résultat eu Tour de France est réalisé en compagnie de « Ganaëlle » et Yveline VANONI. Deux copilotes dans le même baquet ? Cela mérite une explication. « Ganaëlle » est tombé malade du côté d’Antraigues. Comme le prévoyait le règlement de l’époque, Yveline VANONI copilote de réserve d’ANDRUET, TRINTIGNANT et DACREMONT a donc pris place dans le baquet de droite.

 

 

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Il y a quelques années, Alain FOURNIER, passionné d’Alpine, a racheté cette réplique de la voiture de l’équipe Aseptogyl. Elle avait une belle carrière en rallye historique, avec notamment cinq participations aux Rallye Monte-Carlo Historique. Son nouveau propriétaire l’engage depuis 2011 dans des épreuves comme l’Eifel Rallye ou le Vosges Rallye Festival.

 

 

FOURNIER_AJD.jpg

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Nombreuses étaient les voitures d’usine au départ du RAC Rallye 1975. Le Toyota Team Europe engageait à lui seul quatre voitures sur cette dernière manche du Championnat du Monde : deux petites Corolla avec des moteurs 1600cc et deux Celica avec des moteurs deux litres pour Ove Andersson et Hannu Mikkola. Les Celica ont abandonné sur panne moteur tandis que les Ford Escort se sont adjugées le podium. La seule voiture du Toyota Team Europe à l’arrivée fut la Corolla de Chris Sclater qui termina 23ème au général.

 

 

HAMPER-HIER.jpg

 

À partir de 1980, Albert Hamper a géré l’équipe Eifelland Racing (sans rapport avec l’ancienne équipe de Formule 1 du constructeur de caravanes du début des années 1970). L’équipe Eifelland Hamper a principalement couru en Formule Ford - en partie avec des propres constructions - et a aidé de jeunes pilotes comme Frentzen, Heidfeld et Vettel à faire leurs premiers pas en monoplace. Ayant couru dans sa jeunesse en autocross, Hamper avait à nouveau l’envie de se glisser derrière le volant. Il saisit sa chance en achetant une rare Toyota Celica TA22 qui venait d’être mise en vente aux Pays-Bas. Après avoir passé quelque temps au Toyota Team Europe puis construit une Celica pour un pilote privé Albert Hamper avait tissé une relation particulière avec cette voiture qu’il connaissait bien.

 

Déjà présent en 2016, il sera à nouveau au départ du Vosges Rallye Festival avec sa réplique de l’auto d’Ove Andersson.

 

 

Hamper.jpg

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Ce week-end venez rencontrez l'équipe Vosges Rallye Festival lors du 17ème Salon de la Voiture de Course de Gérardmer.

 

Ce sera l'occasion de revenir en image sur l'édition 2016 et découvrir la seconde édition.

 

Affiche_Gerardmer.jpg

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Henri GREDER est né le 30 novembre 1930 à Nancy. Il débute en rallye en tant que copilote de Roger De LAGENESTE en 1960, puis passe rapidement dans le baquet de gauche.

 

Même si on a pu le voir au volant de Ford, de préférence des fortes cylindrées (Mustang, Galaxy, GT40), il a majoritairement couru sur des autos de la General Motors, qu’il s’agisse de Corvette ou de Camaro (toujours cet attrait pour les big blocks…) ou d’Opel (Commodore, Ascona, Kadett).

 

C’est au volant d’une Kadett GT/E groupe 1 qu’il prend le départ du Tour de Corse 1976. « Titi », comme tout le monde l’appelle, est navigué par « Celigny », sa compagne.

 

 

Greder.jpg

 

Cette année-là l’épreuve insulaire ne compte que 9 épreuves spéciales, mais elles totalisent près de 630 kilomètres ! Elle sera impitoyable pour les équipages : sur les 87 engagés, seuls 11 rejoignent l’arrivée à Bastia. Sandro MUNARI remporte l’épreuve au volant de sa Stratos. GREDER remporte le groupe 1 et termine à la 9ème place du classement général.

 

Joseph TOUSSAINT a voulu rendre hommage au pilote nancéen décédé en 2012, en reproduisant l’Opel Kadett engagée lors de cette épreuve.

 

 

Toussaint.jpg

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Engager une BMW 635 CSI en rallyes peut sembler être une drôle d'idée. BMW a homologué ce modèle en Groupe A pour les courses en circuit où elle a longtemps été la voiture à battre. Elle s’est également forgée un joli palmarès en courses de côtes.

 

Une poignée de pilotes a eu l'idée de l'engager en rallyes. En France Jean-Claude ANDRUET a fait quelques apparitions, tandis que Fernando Capdevila l'a engagé sur son épreuve à domicile, le Rallye Corte Inglese. Voiture exotique au milieu d'un plateau de groupes B, elle a rallié l'arrivée à la huitième au classement général en 1985 et sixième en 1986, remportant à chaque fois le Groupe A.

 

wehner_hier.png

 

Claus-Peter Wehner a pris part régulièrement aux épreuves Slowly Sideways jusqu'en 2015 au volant d'une 635 CSI qui s’est révélée être peu fiable. Fin de 2014, il a eu la chance de trouver une autre 635 CSI qui avait été utilisée en circuit. Le pilote allemand a acheté cette voiture et l'a transformée en une réplique exacte de la BMW utilisée au Rally Corte Ingles 1985.

 

WEHNER_AJD.png

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En 1972, le constructeur néerlandais Daf lance son nouveau modèle, la type 66. Elle propulsée par un moteur 1108 cc (le fameux cléon-fonte de la Renault 8) qui est remplacé l’année suivante par un 1289 cc que l’on retrouve également sur les Renault 10 puis 12. La transmission est assurée pas le célèbre système à courroie Variomatic.

 

Le rachat de Daf par Volvo met un coup d’arrêt au programme compétition. La Daf 66 a de ce fait été peu vue en rallye. Mais les Hollandais de l’équipe Dutch Gulf Star continuent à engager cette voiture à titre privé en rallye avec un certain succès dans la classe 1300. En 1974, ils participent au RAC Rally et au Rallye des tulipes. Rob « Sloot » Slotemaker réussira l’exploit de finir septième au classement général de l’épreuve batave et premier de groupe.

 

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Ton et Raymond Koster participent à des rallyes historiques depuis plusieurs années. Ils ont pris part, entre autres, au Monte Carlo Historique, au Rallye du Portugal et au Rallye des tulipes. Ils possèdent plusieurs Daf de rallye, dont cette Daf 66 qui a été construite avec l'aide de l'ancien pilote d'usine Claude Laurent. Ils en ont fait une réplique de la Daf privée qui a été engagée par l'équipe Gulf Star au Rallye des tulipes 1974. Lorsqu’il la vue pour la première fois, l'ancien manager de l'équipe Daf, Rob Koch, a exprimé son admiration pour le travail de restauration effectué.+

 

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Victorieuse en 1981, l’équipe Renault Sport n’est pas engagée officiellement lors de l’édition 1982. La Régie est néanmoins présente par le biais de pilotes privés, au rang desquels figure Bruno SABY, le Champion de France en titre.

 

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Le pilote grenoblois est au départ au volant d’une version Cevennes. Avec ses 200 chevaux, c’est alors la version compétition client la plus puissante, mais on est loin des 292 chevaux de la voiture avec laquelle Jean RAGNOTTI a remporté l’épreuve l’année précédente.

 

Les conditions particulièrement clémentes de l’épreuve monégasque permettent aux traditionnelles 2 roues motrices de tirer leur épingle du jeu. Déjà vainqueur en 1980, Walter RÖHRL l’emporte devant l’Audi Quattro d’Hannu MIKKOLA. Bruno SABY associé à Françoise SAPPEY finit 5ème.

 

C’est cette version, dans la livrée jaune et noir d’une marque de sportswear, qu’Achim WELTEKE a reproduit. Il s’alignera au départ du Vosges Rallye Festival au volant d’une auto qu’il a fini de remonter au printemps de cette année.

 

 

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Au milieu des années 70, Skoda, à l’initiative d’un groupe d’ingénieurs de la marque, décide de faire son retour en compétition. Le budget étant loin des standards des équipes installées de l’autre côté du mur, c’est avec des moyens limités que l’auto est développée.

 

La 130RS, sur la base de la 110, elle-même dérivée de la 100 sera homologuée par la FISA, même si l’histoire raconte que cette homologation n’est due qu’à un subterfuge, le nombre minimum de voitures nécessaires à l’homologation n’ayant pas été produits.

 

Equipée d’un moteur 1300 cm3 développant entre 120 et 140 chevaux, la petite tchèque n’inspirait de prime abord pas beaucoup de crainte à la concurrence. Mais c’est oublier que l’auto ne pèse que 750 Kg. John Haugland va démontrer la compétitivité de l’auto en remportant à cinq reprises le rallye de Tchéquie.

 

En 1981, Skoda confie le soin au préparateur LAMO de greffer un turbocompresseur au petit 1300 cm3. Homologuée en groupe 5, l’auto développe à présent 177 chevaux. La puissance passe sans peine à la route grâce aux larges pneus de 13 pouces. La position arrière du moteur procure, au dire des pilotes, une efficacité diabolique.

 

 

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Dominique SIBIEUDE a décidé de reconstruire cette auto originale en se basant sur la fiche d’homologation FIA et les rares photos disponibles en respectant au plus près l’original, comme par exemple le bouchon de remplissage d’essence qui n’est rien d’autre qu’un bec de jerrican soudé. Quant au logo « turbo », malgré les apparences, il n’est pas emprunté à la 205 turbo 16. Il s’agit bien là du logo qui était présent sur les Skoda dès 1983.

 

 

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Retour en 1974 et 1975 : Lancia engage aux côtés des Stratos spécialement étudiés pour le Championnat du Monde des rallyes, la Beta Coupé, plus ordinaire, qui succède dans la gamme du constructeur transalpin à la Fulvia HF. Alors que les voitures affichaient les couleurs Marlboro en 1974, elles ont été repeintes aux couleurs Alitalia pour 1975.

 

Lors du Rallye de Sanremo 1975, Lancia a aligné la voiture dans son évolution groupe 4 ultime avec des passages de roues élargis afin de passer les larges pneus slicks. Mauro Pregliasco termina quatrième sur cette épreuve, mais Simo Lampinen abandonna. En 1976, le programme Beta fut arrêté et Lancia vendit toutes ses voitures.

 

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En 2012, la famille Arndt a tenté d'acquérir une Lancia Beta Coupé d'usine originale mais malheureusement sans succès.

Désireux néanmoins de posséder une Beta de rallye, ils ont entrepris d'en construire une avec une coque provenant de Suisse, une voiture donneuse d’organes d'Italie et de nombreuses pièces spéciales.

 

Il a fallu deux ans pour finir cette voiture qui fit ses débuts en rallye en 2014 et qui a déjà été engagée au Vosges Rallye Festival 2016.

 

 

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Roger Clark, une figure légendaire dans le monde du rallye, était considéré dans les années 60 et 70 comme le meilleur pilote de Grande-Bretagne.

 

Sa carrière est étroitement associée à Ford, marque avec laquelle il remporte 4 titres de Champion d’Angleterre. Les points marqués au volant des Escort en 1968 et 1969 ont contribués activement aux deux titres de Champion d’Europe des Marques de la firme à l’ovale.

 

Sa nature avenante et son style spectaculaire en a fait la coqueluche des spectateurs. Il disait souvent « Tant que je ne vois pas la route par la lunette arrière, c'est que tout va bien. Je dois pouvoir remettre la voiture en ligne droite... ». Le titre de son autobiographie résumait d’ailleurs bien son style : « Sideways… to victory » (qu’on pourrait traduire par « Tout en travers vers la victoire »).

 

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Le RAC Rallye tient une place particulière dans sa carrière et la version historique porte son nom comme un clin d’œil : Roger Albert Clark Rally.

Roger Clark a remporté l’épreuve à deux reprises, la dernière fois en 1976, associé à Stuart Pegg. C’est cette version que Markus DANIELSMEYER a reproduite. Après une première visite dans les Vosges en 2016, il sera à nouveau présent cette année.

 

 

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André Chardonnet, le dynamique importateur Autobianchi pour la France, s'est impliqué avec passion dans la course automobile des années 70. Avant le lancement de la Coupe Autobianchi en 1978, de redoutables A112 Abarth groupe 2 de 90ch ont été préparées dans ses ateliers de Bobigny. De futurs pilotes de notoriété (B. Saby, JP. Malcher, M. Mouton,...) se sont glissé derrière le volant de la petite bombinette.

 

En 1977, après un Monte Carlo honorable (3ème, 4ème et 5ème de classe), Chardonnet confie à nouveau un volant au journalise d'Echappement Pierre Pagani pour le Tour de Corse. Dans le baquet de droite, Xavier Carlotti, futur team-manager de Peugeot Sport.

 

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Couru au mois de novembre, et long de quelques 1350 kilomètres, dont 665 kilomètres de spéciales, cette véritable épreuve d'endurance sera bouclée par l'équipage Pagani/Carlotti à une excellente 15ème place au scratch, 2ème du groupe 2.

 

En 2014, Alain Jeancolas a saisi l'opportunité d'acquérir cette réplique d'A112 Abarth groupe 2 pour participer à des épreuves de régularité. Elle avait été construite au début des années 2000, au plus près des spécifications techniques des groupe 2 Chardonnet de l'époque (moteur 90ch, boîte Colotti,...). Puis elle était restée endormie plusieurs années après 3 participations au Monte Carlo Historique.

 

Début 2016, la perspective de participer à domicile, et en famille, au Vosges Rallye Festival poussera son propriétaire à restaurer la configuration esthétique du Tour de Corse 1977...jusqu'à l'antenne CB. En particulier, la recherche de la référence correcte de la couleur ne fut pas une sinécure.

 

 

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Véritable révolution dans le monde du rallye, l’Audi Quattro a eu besoin d’une bonne partie de la saison 1981 pour parvenir à être fiable.

 

Après avoir fait illusion au Rallye de Suède, il a fallu attendre la fin de saison pour retrouver une Quattro sur la plus haute marche du podium. Cela a d’abord été Michelle MOUTON au Rallye San Remo où elle est devenue la première femme à remporter une manche de Championnat du Monde des Rallyes, puis Hannu MIKKOLA lors de l’épreuve de clôture au RAC Rally. La démonstration dans les forêts et parcs anglais a été particulièrement convaincante, puisque malgré un tonneau en début d’épreuve, le pilote finlandais a remporté l’épreuve avec plus de 11 minutes d’avance sur le second, Ari VATANEN. Les quatre roues motrices ont trouvé sur les spéciales boueuses un terrain qui lui permettait de démontrer la supériorité de ce mode de traction, face aux traditionnelles deux roues motrices.

 

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L’Audi de Tim Clarke est une reproduction fidèle de cette voiture victorieuse du Lombard RAC Rally 1981 pilotée par Hannu Mikkola. Il a construit cette voiture en 2007 avec des pièces d’origines et l’aide d’Audi Sport Ingolstadt et Audi Sport UK.

 

 

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En 1976 l'Opel Kadett GT/E fait son entrée dans l'histoire lors du mythique Monte Carlo. L'équipage Walter Röhrl / Jochen Berger s'offre une quatrième place derrière trois Lancia Stratos, battant toutes les Fiat, Ford et Porsche. Cette performance dynamisera la carrière de l’Opel au cours des années suivantes. De nombreux pilotes privés feront l’acquisition d’une Kadett GT/E pour l’engager en rallyes. Cela permet à Opel de se forger une image sportive dont elle avait besoin dont elle avait besoin pour redorer le blitz.

 

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C’est en voyant une photo de Walter Röhrl décollant sur une bosse de l’Hessen Rallye 1976 au volant de sa Kadett GT/E que Rémi Arnould a pris la décision de construire la sienne. En 1999 il achète une auto de série qu’il transforme en une réplique parfaite des autos engagées par l’usine. Un soin particulier a été apporté à sa décoration ainsi qu’à l’intérieur où l’arceau 4 points de l’époque a même été conservé. Il faut savoir qu'aucune Groupe 4 ne subsiste de cette époque. Seule entorse à l’original, l’abandon du moteur 16 soupapes.

 

Après 10 années de compétition en rallyes modernes, Rémi Arnould se consacre maintenant aux épreuves historiques. Il est un fidèle de l’Eifel Rallye Festival et participe cette année pour la deuxième fois au Vosges Rallye Festival.

 

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En réponse aux Ford Capri et autres Opel Manta, Renault présente en 1971 sa R17. Développée sur la base de la familiale R12, elle innove en accueillant dans sa version TS le 1565 cm2 de la R12 Gordini équipé pour la première fois de l’injection électronique. En 1975 la TS deviendra Gordini.

 

En 1974, le marketing Renault se pose les mêmes questions que son homologue de Lancia et décide d’engager le R17 en rallyes pour défendre ses couleurs. A un abandon au Safari Rallye succède une victoire au Press on Regardless dans des conditions rocambolesques, l’épreuve étant raccourcie suite à quelques courses poursuites avec les shérifs locaux. Au Tour de Corse le coupé de la Régie rentre dans le rang et finit 8ème.

 

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En 1975, l’équipe Renault concentre son énergie sur l’Alpine A310 et la cinquième place de Jean-François Piot au Rallye Monte Carlo est le seul fait marquant de la saison.

 

Après avoir engagé leur réplique de la version Tour de Corse 1974 au Rallye Monte Carlo Historique 2011 et 2012, les deux Jean-Marc, Fritz et Fluck ont sillonné en voisins les routes du Vosges Rallye Festival 2016.

 

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Après avoir engagé une Porsche 908 puis une 917 en circuit, l’équipe Porsche Salzbourg jette son dévolu sur la VW Coxinelle. Engagée en groupe 2, elle bénéficie d’une lubrification par carter sec, d’une boite de vitesses à cinq rapports hérités de la Porsche 914 et son 1600 cm3 délivre 128 CV. Seul point noir, des freins à tambours équipent le lourd train arrière.

 

Gerhard Strasser, le patron de l’équipe, convainc des pilotes de pointe d’en prendre la volant. C’est ainsi qu’en 1973 Achim Warmbold remporte le Jänner Rallye et le Rallye de l’Ile d’Elbe, tandis que Bjorn Waldegaard finit sixième du Rallye de Suède. Tony Fall et Harry Kallstrom défendent en 1973 et 1974 également les couleurs de l’équipe autrichienne.

 

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Lorsque James Calvert fait la découverte de sa coxinelle en Italie, elle est peinte en orange et en grande partie démontée. Mais les pièces qui l’accompagnent sont des pièces d’usine qui laissent à penser à son acquéreur qu’il s’agit là d’une des autos de l’équipe Porsche Salzbourg. Des sources en Autriche ont confirmé la vente d'une voiture et de pièces en Italie, lors de l’arrêt de l’activité de Porsche Salzburg. Il l’a remontée conformément à la version groupe 2 de 1974 et le musée Volkswagen tente actuellement d’en retracer l’historique.

 

James Calvert a pris le parti de ne pas la laisser dans un musée et préfère l’engager dans des épreuves historiques pour faire la démonstration de son potentiel dans un style très généreux, pour le plus grand bonheur des spectateurs.

 

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C’est à l’occasion du Tour de Corse 1980 que Bruno SABY a pris son premier départ au volant de la Renault 5 Turbo. Une entrée en matière réussie, puisqu’il termine à la quatrième place.

 

 

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Pendant plus de quatre ans, on le verra parcourir les spéciales avec différentes versions de la petite bombe de la régie. En 1981 il est sacré Champion de France. En 1984, avec la version Tour de Corse de la R5 Turbo, il réduit ses participations à une sélection d’épreuves, privilégiant les rallyes du Championnat du Monde. La surprenante huitième place acquise aux 1000 Lacs en Finlande a sans doute été le déclencheur qui lui a donné la clé de la 205 Turbo 16 pour la saison 1985.

 

 

La voiture d’Andreas STEGEMANN était à l’origine une auto préparée pour le circuit. Elle a ensuite été convertie en version rallye et a participé à de nombreuses épreuves en France et en Allemagne. Repeinte aux célèbres couleurs Philips autoradio, elle participa à présent aux épreuves Slowly Sideways. Sa photo prise à Epinal l’an passé par Fabien AIGUIER a été choisie comme photo officielle de l’édition 2017 du Vosges Rallye Festival

 

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Au début des années 90, les Audi 90 ont écumé les circuits. Plus rares étaient celles qui ont se sont aventurées sur les spéciales de rallyes.

 

 

Le pilote autrichien Rudi STOHL a pris part à plusieurs épreuves du Championnat du Monde au volant d’un exemplaire aux mêmes couleurs jaunes et blanches que les mythiques Quattro groupe B. Avec un certain succès d’ailleurs, puisqu’après avec terminé quatrième du Rallye d’Argentine 1990, il finit à la seconde place du Rallye Côte d’Ivoire.

 

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Le préparateur belge Lionel D’HONDT en a préparé trois exemplaires qu’il destinait à la location. Ils ont été pilotés dans plusieurs épreuves internationales par « Tchine », Richelmi ou encore Chieusse.

 

Bernard Peuplier a retrouvé un de ces 3 exemplaires chez un concessionnaire de la région de Bordeaux. Sa coque Matter porte le numéro 29 ce qui laisse à penser qu’il s’agit du dernier modèle construit.

 

 

Il l’a restauré et repeint aux couleurs de modèle de Stohl. Elle est ainsi assortie à son camion d’assistance VW LT, identique à celui utilisé par l’usine en 1987

 

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18 juillet 1970 : c’est le jour G ! Ce jour-là, la R8 Gordini passe le relais à la R12 Gordini. Une sacrée révolution. De tout à l’arrière, on passe au tout à l’avant. Même le pot d’échappement passe à l’avant dans la version Coupe. C’est en circuit, coupe oblige, que la R12 effectue le plus gros de sa carrière. Ses apparitions en rallye sont plus rares, mais néanmoins remarquées.

 

En 1973, Patrick TAMBAY qui est à l’orée de sa seconde saison de formule 3 se voit proposer de disputer le Rallye Monte Carlo au volant d’une R12 Gordini groupe 2. Une seconde voiture est engagée pour Jean RAGNOTTI.

 

Totalement novice en rallye, il va découvrir l’auto (qui auparavant a couru dans les pays de l’Est) ainsi que son pilotage, lors du parcours de concentration. Alors que l’équipage se dirige vers Monaco, le moteur de la R12 rend l’âme. Il est remplacé pour le rallye par un moteur de série. Cela a sans doute facilité la prise en main de l’auto par le pistard qui n’a pas été épargné par les soucis. En plus d’avoir failli rester coincé dans la tempête de neige du Burzet, il est contraint de parcourir la moitié du parcours complémentaire avec une boite bloquée sur le 3ème rapport. Une 20ème place récompensera ses efforts.

 

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Jean-Marc FRITZ a reproduit avec beaucoup de soin cette auto rare en rallye. A l’occasion du Vosges Rallye Festival elle sera confiée à Jean-Marc DURR, bien connu dans l’Est, dont il a écumé les rallyes au volant de nombreux modèles de la marque au losange.

 

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Une R12 Gordini sur la neige, cela donne ça :

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En 1981, Ford est présent en Championnat du Monde des Rallyes avec la structure privée de David SUTTON. Avec l’aide de Rothmans, celui-ci aligne Ari VATANEN qui a remporté l’année précédente son premier succès en Mondial en même temps que son deuxième titre de Champion d’Angleterre.

 

Le début de saison est difficile : après 5 rallyes il ne pointe qu’à la douzième place du Championnat, à 25 points de Guy FREQUELIN. Une victoire à l’Acropole puis deux succès d’affilés au Brésil et en Finlande lui permettent de revenir dans la course au titre. Mais après un abandon en Côte d’Ivoire les chances de sacre semblent s’éloigner. Il se présente au départ du RAC avec un déficit de 8 points sur le pilote Talbot. Mais REQUELIN abandonne dans la 53ème des 65 spéciales, et sa deuxième place derrière l’Audi Quattro d’Hannu MIKKOLA permet à Ari VATANEN d’être titré.

 

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Construite en 2014 par Thomas Schulz, cette Ford Escort BDA est l’exacte réplique de l’auto d’Ari Vatanen lors du Championnat du Monde des Rallyes 1981. L’équipage Schulz / Kleinwächter ont participé à trois rallyes sur terre, avec, entre autres, le RAC Rallye d’Angleterre.

Jürgen et Sina Carabin ont acquis cette voiture en mars 2016. Ils ont participé au Rallye Hessen (Slowly Sideways) et au Groupe B Rallyelegende en Autriche avant de l’engager au Vosges Rallye Festival.

 

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