J.L.C

Contre-performance qu'ils expliquent comment ? Ordre des départs ?

Génial Gégé. Si tu as d'autres souvenirs comme celui-ci n'hésite pas.

Ce qui n'a pas empêché les mécanos de Loubet de lui reconstruire son auto.

Pas vu grand chose ? Notre ami aura quand même manqué les images impressionnantes des caméras embarquées dans le déluge de la 7. Elles ont permis, même à un néophyte comme cet ami qui déjeunait chez moi, de se rendre compte de ce que vivent ces pilotes modernes au volant de leurs bolides. L'alternance des prises de vue de la route et des gros plans sur les pilotes montre bien combien ces derniers se surpassent. C'est beaucoup plus impressionnant que les images des autos qui ne traduisent pas toujours ce que vivent ces extra-terrestres. Pour moi il y avait comme une dimension dramatique dans ce

Chez moi non mais dans le jardin oui.

Belle tranche de vie.

Veinard, ici il pleut depuis 3 jours et ça commence à faire beaucoup.

Il faut noter tout de même un problème manifeste de désembuage pour Tänak.

Dans la 7 il m'avait semblé qu'ils avaient un peu asséché les flaques.

Son attaque et sa concentration étaient tout simplement hallucinantes. J'ai eu peur pour Julien et lui à chaque virage. Les 16 secondes infligées à Evans qui partait derrière lui sont significatives, la pluie semblant moins abondante au fur et à mesure des passages. Je trouve également remarquable, en dehors de sa bourde dans la 6, la performance de Rovanperä qui n'a pas de ces spéciales la même connaissance qu'Ogier et consorts.

Et pourtant ce n'est pas faute de leur avoir envoyé des photos de l'auto sous toutes ses coutures avec pour remerciements la proposition de l'envoi d'un exemplaire gratuit. La Poste a dû égarer le colis. 🙁

Je suis sûr que tu ne feras pas les autres erreurs faites sur la 33.

Non, j'y crois pas, il te manque celles-ci dans ta collection des Opel qui ont marqué le Monte Carlo de leur empreinte ? Sur celle de 1980 on notera la polyvalence de Jean-François grâce à son don d'ubiquité.

En effet. R.I.P. Monsieur Julienne.

Quelle horreur !