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Qu'est-ce que vous écoutez chez vous ?


Roland de Gilead
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Merci. En effet, j'essaie de lui transmettre mes goûts musicaux, et elle me transmet les siens :D .

Je dois être capable de vous chanter toute la BO de la Reine des Neiges.

 

En tout cas, j'ai une artiste à la maison. Faut dire qu'elle m'écoute gratter ma basse et ma guitare depuis sa naissance...

 

Je redoute la majorité quand elle me chantera : I'm eighteen! :lol:

 

 

Sinon, elle réclame souvent mon hymne national :ange:

 

 

Enfin, c'est toujours un plaisir de lire tes explications musicales. Je ne sais pas si ça va te faire plaisir ou pas, mais cela me fait penser à Francis Zegut que j'écoutai il y a quelques années ou à Phil Manoeuvre sur Oui FM.

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Enfin, c'est toujours un plaisir de lire tes explications musicales. Je ne sais pas si ça va te faire plaisir ou pas, mais cela me fait penser à Francis Zegut que j'écoutai il y a quelques années ou à Phil Manoeuvre sur Oui FM.

 

 

Exact. C'est de la vraie culture musicale, chose que je n'ai pas, ou très limitée. Des choses me plaisent, j'écoute, mais je n'appronfondis pas sur la vie du groupe.

 

Francis Zegut Très belle référence, un puits de science. :)

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jon et milopolo vos compliments me touchent et si ça vous rappelle de bons souvenirs tant mieux (Zegut et Manoeuvre). Moi aussi j'écoutais Zegut et je lisais Philippe Manoeuvre, P. Paringaux, Sacha Reims, Laurent Chalumeau, etc ... dans Rock § Folk.

 

Et là, on se voit aussi petit que Louis de Funès dans une scène mythique du "Gendarme se marie".

 

Je vois jon que tu joues de la musique. C'est bien et participe sainement à l'éveil musical de ton bout de chou. Mais ne te fais pas trop d'illusions. Après une période mimétique "je fais comme papa", elle prendra son indépendance et Alice Cooper ne fera alors sans doute jamais partie de ses inclinations musicales ...

Cependant, tu risques d'être souvent surpris par ce que mine de rien elle aura "emmagasiné".

 

 

Je jouais de la batterie il y a quelques années. Mes modèles étaient Sammy Creason (qui a joué derrière Tony Joe White et tout le gratin pop/rock américain) et Doug Clifford (Creedence Clearwater Revival).

 

Sammy Creason joue notamment sur ce disque là (2ème album de T.J.W. en 1969 - un vrai chef d'oeuvre -)

@ milopolo : t'inquiète, écouter simplement de la musique qu'on aime sans forcément chercher plus loin s'appelle de la dégustation de fin gourmet qui enrichit sans jamais faire grossir :fier: .

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@ milopolo : t'inquiète, écouter simplement de la musique qu'on aime sans forcément chercher plus loin s'appelle de la dégustation de fin gourmet qui enrichit sans jamais faire grossir :fier: .

 

 

:lol::bien:

 

D'ailleurs, hier soir j'écoutais ça:

 

https://www.youtube.com/watch?v=videoseries

 

J'avais eu une interruption de quelques soirs, car regardant assez peu la télé, j'avais trouvé une série sur Arte qui m'a bien plu.

Au cas où ça intéresse quelqu'un, c'est "The Killing" 20 épisodes d'une heure et suspens soutenu jusqu'à la fin. (https://www.arte.tv/fr/videos/RC-019568/the-killing/RC-019569/the-killing-saison-1/)

Voilà...HS terminé. :lol:

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Je vois jon que tu joues de la musique. C'est bien et participe sainement à l'éveil musical de ton bout de chou. Mais ne te fais pas trop d'illusions. Après une période mimétique "je fais comme papa", elle prendra son indépendance et Alice Cooper ne fera alors sans doute jamais partie de ses inclinations musicales ...

Cependant, tu risques d'être souvent surpris par ce que mine de rien elle aura "emmagasiné".

 

 

 

Tant qu’elle me met pas du rap de cité :lol:

 

Je crois que mes goûts musicaux sont encore plus anciens que ceux de mon père :D

 

Et encore, j’ai été bercé par la musique qu’il jouait lorsqu’il était DJ à ses heures, dans les années 80/90 (il avait un resto et faisait des soirées dansantes).

 

Un trentenaire qui écoute du rock des années 60/70 à 80% du temps, plus du Boris Vian, de la pop des années 80, un peu de variété, et un poil de moderne (rock, pop, surtout Sia), ça doit être assez rare :ange:

 

Sinon, oui, guitare classique à l’âge de 6 ans, puis passage à l’électrique à l’adolescence, puis à la basse à l’âge adulte...

Et une incursion comme batteur au collège!

 

Bonne soirée les mélomanes !

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bonjour tout le monde,

 

 

@ jon : ce qui m'a toujours interloqué chez les fans de rock, c'est leur propension à courir après les nouveautés et à traiter de vieilleries des titres qui ont quelques kilomètres au compteur et de "vieux" ceux qui les écoutent. Les amateurs de jazz (les vrais, pas les ânes qui veulent épater la galerie en jouant les intellos branchés) au contraire, évoquent les disques live des années 50, les premiers Miles Davis, Billie Holyday, Ella Fitzgerald, etc ... avec une gourmandise et une expertise belles à entendre :miam: . Jeunes, moins jeunes échangent au propre (disques) comme au figuré.

J'aime leur compagnie :oui: , même si certaines formes de jazz ne constituent pas ma tasse de thé :nanana: et que je suis un ignare en la matière.

 

Chez "nous" (amateurs de pop/rock), t'évoques les années 60/70 et même 80, t'es classé illico "doyen des pensionnaires EHPAD" par certains :bah: . Pourtant, le rock est tout aussi estimable historiquement que le jazz. Il a ses pionniers, ses musiciens chevronnés, émérites, ses innovateurs qui parfois se sont fourvoyés bien sûr, mais il est vivant et son passé ne devrait pas être occulté.

Alors parfois, au hasard d'un spot publicitaire ou d'un film qui cartonne dans les salles, les "certains" évoqués juste avant, s'extasient soudain sur le titre "super" (SIC) du générique, à savoir par exemple "Pretty Woman" de Roy Orbison, alors qu'auparavant ils lui ch... dessus. On pourra également évoquer Johnny Cash, voire même, en fouillant plus loin, "La Bamba" la bio de Ritchie Valens.

@ milopolo : excellent choix que ce live des Ten Years After (titre original sur "Space in time"). J'apprécie toujours tes sélections.

 

Ce soir, je me suis préparé un petit album dont la pochette est aussi moche que le film qu'il soutient. Il s'agit de "Percy" la BO du navet du même nom paru en 1971.

 

Et cette BO a été composée par Ray Davies, le leader des Kinks, un groupe anglais apparu au début des sixties avec les Stones, Pretty Things, Them, j'en passe et des meilleurs.

 

Leur "You really got me" à l'intro déjantée est aussi célèbre que "Satisfaction" de la bande à Jagger. Grâce à ce titre, les Kinks accèdent à la notoriété. Ils alignent ensuite quelques hits bien calibrés (ex : "Sunny Afternoon"). Critique sociale, analyse sociétale, arsenic et vieilles dentelles, le côté rétro des Kinks ne fait plus recette à l'approche des seventies. Mais, en 1970, les voilà de retour dans les charts mondiaux avec l'histoire de "Lola", un trans. L'album éponyme "Lola versus ..." consacre leur notoriété retrouvée. Et c'est dans cette dynamique que commence l'écriture de l'album "Percy".

Le film conte l'histoire d'un mec qui se fait greffer un zizi appelé "Percy". Il part à la recherche du donateur afin d'en savoir plus sur ... (inutile d'épiloguer). Britt Ekland, une actrice suédoise surtout réputée pour avoir été la girl friend de Rod Stewart y tient notamment la vedette.

Si le film est un navet pur jus, la musique des Kinks est au contraire tout à fait recommandable. Si certains morceaux ont dû être écourtés pour coller aux scènes, l'ensemble est d'une cohérence parfaite et peut satisfaire tous les goûts. Il y a du blues instrumental ("completely"), de la pop, du rock, de la country, et même un instrumental typé espagnol à la guitare acoustique, bref, pour peu que l'on oublie le film, le régal est total.

 

completely :

The way love used to be

 

dreams

Helga (voilà "l'espagnolade" dont je vous parlais) - ja-do-re

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alfagta1965.gif.fc7baf0324c75ae6dce7bc78eba899df.gif C'est bon ça, The Kinks.

 

Faudra qu'on mette du The Byrds, The Who, Yes, à l'occasion.

 

Tu parles du grand Man in Black. Je l'ai découvert sur le tard avec le biopic porté par l'excellent Joachin Pheonix, et grâce à la chanson "God's Gonna cut you down".

Chanson que j'ai découverte dans un jeu vidéo de guerre bien connu, mais qui est seulement une reprise effectuée par Johnny Cash à la fin de sa vie.

 

En fait, il s'agit d'une chanson folklorique traditionnelle enregistrée pour la première fois en 1946.

 

Toujours est-il que cette chanson m'a réellement donné envie de connaître cet artiste qui porte presque le même prénom que moi. Cette voix, ce rythme, cette guitare mille fois reconnaissable.

Aujourd'hui, je suis presque capable de jouer une grosse partie de ses titres phare.

https://dai.ly/x7qbof

https://dai.ly/x1rifk

 

https://dai.ly/x7qbof

https://dai.ly/x7qbof

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Hola les Seatistes mélo(mais jamais tristes)manes ! :jap:

 

Bonjour Jon : tes remarques sont pertinentes. Ton aptitude à pouvoir rejouer les titres phare de Johnny Cash témoignent tout à la fois d'une ténacité et d'une maîtrise qui m'épatent :bien:

 

Johnny Cash était un artiste de génie, qui a vécu 1000 vies dans une seule. Son fameux album "Live at St Quentin" paru en Août 1969 (concert donné dans la prison californienne en février) connaîtra un succès international foudroyant et restera 4 semaines n° 1 aux States avant de "terminer" double platine. Les spécialistes le classent dans la liste des meilleurs disques jamais enregistrés.

 

Pour ma part, je me suis réservé pour ce soir le premier 33 tours de Mungo Jerry paru en mai 1970. Cette même année, un mois plus tôt, Paul McCartney annonce officiellement la dissolution des Beatles. La nouvelle provoque une onde de choc dans le monde entier et plus encore au sein du royaume britannique qui se sent musicalement quelque peu désarmé face à l'hégémonie américaine.

Et voici qu'arrive tout sautillant, le groupe Mungo Jerry mené par Ray Dorset, auteur-compositeur, chanteur, multi instrumentiste talentueux. Malgré son âge il a déjà de la bouteille, a joué dans différentes formations de skiffle comme les Beatles, sait tourner la ritournelle et l'enrichir comme eux.

 

Bref, Mungo Jerry constitue la relève idéale après la sortie en single du tube titanesque "In the summertime". Les journaux dissertent à l'envi sur la "Mungomania", en font leur Une, qualifient cet engouement d'une appétence soudaine mais durable pour cette happy music (SIC), etc ... On nage en plein délire ... :ouch:

https://www.youtube.com/watch?v=wvUQcnfwUUMCette séquence video est plus explicite que les longs discours. Vous constaterez que certains instruments employés se trouvent plus facilement au rayon cuisine que chez un artisan du son. Notez également qu'il n'y a pas de batteur. En fait, la recette est tout bête : sur fond de jazz ragtime, le groupe a déposé une copieuse rasade de skiffle. Cette préparation peut ensuite accueillir les styles musicaux les plus variés : hard rock avec "Baby Jump" (que j'adore!)

https://www.youtube.com/watch?v=T-NnH7_s0oEdu rockabilly avec le célèbre "Baby let's play house" (figurant sur l'album précité)

https://www.youtube.com/watch?v=CkngUO-bO9Idu country and western avec "Peace in the country" .

https://www.youtube.com/watch?v=78x7xVUIw70La suite en quelques lignes : Après 3 albums dans le même style et quelques succès comme "Johnny B. Badde", "Baby Jump" ou "Lady Rose", le groupe se dissout en 1972. Ray Dorset en profite pour concocter l'excellent album solo "Cold Blue Excursion" :na: dont j'ai parlé récemment dans le" jeu des liens" proposé par Roland. Puis, Ray Dorset créé un nouveau Mungo Jerry, doté d'une batterie celui-là. Style plus rock, recherche du tube, remaniements multiples, le groupe exhibe plusieurs facettes et son leader se produit parfois seul à la TV sous l'appellation Mungo Jerry, pour un sempiternel "In the summertime" qui lui collera éternellement à la peau.

 

Je possède la plupart des disques du groupe

 

Aujourd'hui, hormis "In the summertime"', seuls "Allright, allright, allright" (adapté de "Et moi et moi et moi" de Jacques Dutronc) et "Hello Nadine" demeurent dans la mémoire du grand public.

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Un groupe que j'appréciais beaucoup à l'époque, que j'ai découvert avec l'album Troublegum. J'apprécie toujours à vrai dire :p

J'aime bien la pochette déjà :D

 

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Et comme c'est le cas sur de très rares albums que j'ai possédé, il n'y avait quasi rien à jeter.

 

Tu écoutes un album d'un groupe comme ça, un peu au pif à la Fnac où l'album est en écoute libre avec le casque et le cd à dispo, et tu te dis "mais c'est génial ça !!!" A l'époque, j'étais à fond dans les productions indépendantes et écumait les rayons dédiés chez les disquaires et grandes enseignes spécialisées. A la première écoute chez moi, tranquillou, je me suis dit que c'était l'équivalent d'un best of alors que ce n'était que leur 2e album boonka75.gif.49bd706e225af730715be4b017efc44b.gif

 

Il a même eu un certain succès en France à l'époque avec quelques singles classés dans ce qui était la Mecque de la vente de disques d'alors, le top 50, mais je pourrais pas vous dire lesquels.

 

Je vous en mets quelques uns, j'espère que vous apprécierez et si quelques uns découvrent, c'est cadeau :D

 

 

 

 

 

 

 

L'année suivante (en 1995) il sortait leur 3e album Infernal Love, presque plus mieux que celui-là bizzik.gif.9b1bb9733d1318d1ca0dc3f507429aa8.gifbizzik.gif.9b1bb9733d1318d1ca0dc3f507429aa8.gifbizzik.gif.9b1bb9733d1318d1ca0dc3f507429aa8.gif

 

Bon c'est sûr, vaut mieux aimer celui-là pour apprécier le suivant 1845585105_soulflyletroll.gif.6de43dc035bdd3c56422b5d7e8dcc46d.gif

Mais je vous en reparlerai à l'occasion momoss30.gif.b4d1e9451f485fd2a36ad4825c2276f2.gif

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Ben, ce Therapy? là n'est pas mal du tout. J' dis pas que j'écoute régulièrement du métal, ni même que j'en ai dans ma discothèque, mais il y a des groupes doués dans cet exercice avec lesquels "ça passe" à l'aise. Therapy? en fait partie et "Unbeliever" est mon titre favori parmi ceux que tu as sélectionnés. En tout cas, je trouve que tu as bien présenté la chose :oui: .

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bonjour peuple aimé ! :jap:

 

Ma récente contribution avec une chanson de ce groupe au jeu des liens initié par Roland, m'a donné envie de réécouter un disque de Sha Na Na (sans titre) paru en 1971 et assez original dans tous les sens du terme : face A en public (Columbia University New York City en mars 1971) - Face B en studio. Si la face A ne comporte que des reprises de rock and roll et de doo wop, le verso ne propose lui que des originaux. Et là, c'est varié. Il y a du blues graisseux, de la country, du folk et même une légère incursion dans le monde du psyché évanescent avec "Only one song"

https://www.youtube.com/watch?v=SlU0AekwFHEdu blues graisseux avec "ruin me blues"

En face A, Sha Na Na déroule tout son savoir-faire parodique et théâtral devant un public toujours conquis.

 

"Rock and Roll is here to stay" :

"Jailhouse Rock" (célèbre tube d'Elvis Presley qu'on ne présente plus !)

Comme déjà dit, les Sha Na Na savaient tout faire : chanteurs, danseurs, comédiens, musiciens, leurs spectacles étaient un vrai régal. Leurs disques aussi d'ailleurs. Ils interviennent dans le film "Grease" et avaient, dans les 70's, leur propre émission de TV aux States. Je possède tous leurs albums, mon préféré étant "The night is still young" qui figure dans le top 3 de ma discothèque. Ils savaient raconter les 50 et 60's, mieux que quiconque et en s'amusant (enfin, ils en donnaient l'impression parce qu'il y avait un sacré boulot derrière !)

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Salut !

 

Un album de Genesis que j'avais acheté en 1975, peu de temps après sa sortie (11/1974) et que j'ai un peu, beaucoup oublié. C'était la dernière contribution de Peter Gabriel avec le groupe, et 46 ans plus tard, cette voix torturée, me fascine encore.

 

 

 

Et puis, dans les chroniqueurs, on a oublié de citer Georges Lang. Quand je travaillais de nuit, je l'écoutais souvent dans ses "Nocturnes" sur RTL. Je ne sais pas s'il officie encore. J'écoutais aussi Zegut sur RTL2 : Pop-Rock Station. Pareil, je ne sais pas si il y est encore.

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Bon, mon coeur est morose ce matin...J'avais pourtant prévu de fêter un nouveau titre pour le club de mes racines.

 

C'est pas grave, je vous mets quand même la chanson :ange:

 

Sinon, cette semaine, l'immense Alain Bashung reflétait bien mon état d'esprit... :lol:

 

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Encore une découverte de mon ami Spotify.

 

Katatonia: groupe de heavy metal suédois, originaire de Stockholm. Formé en 1991, le groupe est d'abord ancré dans le metal extrême, puis fait évoluer sa musique vers un metal plus posé et lyrique. Le groupe est considéré par la presse spécialisée comme l'un des plus influents de la scène metal suédoise.

C'est le côté posé et lyrique que j'aime bien.

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Bonsoir tout le monde !

Jon421 m'a (indirectement) rappelé que j'avais dans ma discothèque un album qui prenait tranquillement la poussière, aussi tranquillement que le rythme des titres qu'il contient. " Fate for breakfast" qu'il s'appelle. Art Garfunkel en est le géniteur. Il s'agit de son 4ème LP solo qui parait en 1979. Il contient un hit majeur : "Bright eyes" qui cartonnera un peu partout, mais curieusement moins aux States.

"Bright eyes"

 

"In a little while I'll be on my way"

 

"And I know"

Ah ... Simon § Garfunkel ... :miam: Tout a commencé au cours des années 50. Ils sont américains, habitent tous deux près du Queens à New-York et ont des goûts communs. Ils adorent le rock and roll et nourrissent une admiration particulière pour les Everly Brothers, un duo "doux" qui connaît un immense succès international. Veulent faire pareil. Comme ils aiment les cartoons, ils décident de s'appeler Tom § Jerry. Z'auraient pu choisir Titi et Gros Minet, tant l'un (Garfunkel) domine physiquement l'autre (Paul Simon) de la tête. Les débuts sont chaotiques mais prometteurs.

Au cours des années 60, ils changent encore de patronyme, font paraître "The sound of silence" qui deviendra un tube en 1965, bientôt adopté par le réalisateur Mike Nichols pour son film "Le Laureat". "Mrs Robinson" viendra en complément et l'album "The Graduate" sera indissociable du film.

Dès lors, c'est la consécration. Les hippies adoubent ce "nouveau" duo folk et les radios diffusent les titres à la chaîne.

Séparations, fâcheries, retrouvailles, Simon § Garfunkel gravissent néanmoins au pas de course les escaliers de la célébrité planétaire. Paul Simon écrit, compose, joue de la guitare et assure la seconde voix, tandis que Art Garfunkel est le chanteur principal. Il coordonne aussi les harmonies vocales et joue du piano si nécessaire.

Au début des années 70, alors qu'ils sont au zénith, le duo en a marre, jette l'éponge et chacun part de son côté. Paul Simon tâtera (avec succès et brio) de la musique Sud-Africaine et un tas d'autres choses, tandis que Art Garfunkel sera finalement le gardien du temple, en poursuivant un cheminement musical à la sauce "Simon and Garfunkel".

J'ai tous les albums de cet artiste, mais c'est celui-ci que je préfère.

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bonjour tout le monde,

 

Excellent programme milopolo. En cette période caniculaire, j'avance à pas de loup et m'écoute un petit "best of" de Lobo de derrière les fagots. Lobo est un auteur-compositeur-musicien-chanteur américain, natif de Floride, qui a cartonné au début des années 70 grâce à une rafale de hits. Mais le chargeur s'est vidé et nul ne l'a réapprovisionné.

J'adore ce style folk mélodieux qui fait des clins d'oeil à la pop :miam: .

https://www.youtube.com/watch?v=sFwGI492XCUhttps://www.youtube.com/watch?v=_6lgsH-z1pchttps://www.youtube.com/watch?v=tqp_wbYLsYQ

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bonjour les gens :jap:

 

@ jon421 = :lol: :lol: si ton épouse a perdu ta chemise grise, toi au moins tu as retrouvé ta carte ... Sim.

 

Je prépare pour ce soir un CD dont "l'aventure" ressemble à celle décrite par Roland à propos de son groupe fétiche Therapy?. En 2006, rôdant dans les rayons de la F..C, j'aperçois, trônant sur une borne d'écoute, l'album d'une chanteuse qui m'était totalement inconnue : ROSE.

Juste un prénom posé sur une pochette où l'intéressée se présente en clair obscur et de demi profil, c'est tout. Je mets le casque, appuie sur "On" et là, le charme opère :love: . Un country-folk du meilleur aloi berce mes oreilles et la chanteuse n'y va pas par 4 chemins. L'orchestration non plus d'ailleurs. C'est du solide, de l'éprouvé, "du" capable de rivaliser sans aucun problème avec les productions outre ... ce que vous voudrez comme mer ou océan. Jean-Jacques Milteau oeuvre à l'harmonica et le reste de la troupe est d'égale valeur.

C'est l'album d'une femme amoureuse de son Julien, lequel sert de fil conducteur. Elle rend également hommage à son grand-père maternel d'origine italienne ("Ciao Bella") et flirte aussi avec quelques airs jazzy de sa composition. Auteure-compositrice, guitariste et chanteuse, Rose nous arrivait de Nice et ce premier album bousculait le landerneau des productions musicales de l'époque. Elle a été fêtée, adulée, comparée à Bob Dylan, puis beaucoup de ses laudateurs énamourés sont partis adorer d'autres nouvelles idoles (comme d'hab.), tandis que l'intéressée poursuivait sa carrière entourée d'un public fidèle. Elle en est à son 4ème album, mais c'est le premier que je préfère. Et la sélection des titres est ardue, car il n'y a aucun "déchet".

 

"Ciao Bella"

"La liste" (son premier gros tube)

"L'acide"

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Bonsoir amis amateurs de musique :jap:

 

Je vois que chacun a apporté du lourd ici :bien: C'est du tout bon Alanis Morissette :miam: . Voilà que tu nous proposes une excellente piqûre de rappel milopolo.

 

Pour le reste, à l'instar de jon421, je m'en retourne aussi à mes fondamentaux, à savoir Tony Joe White et son tout premier album "Black and White" paru en 1968. L'intéressé est fraîchement adoubé par ses pairs et acclamé par la foule grâce au bientôt célébrissime "Polk Salad Annie" et, un peu avant lui, "Soul Francisco" qui avait affolé le standard de Radio Monte-Carlo. En effet, durant 20 mn durant après sa première diffusion, plus d'une centaine d'auditeurs voulaient savoir illico qui était l'interprète de ce titre.

Premier 33 tours et peu de matériel à proposer. Le disque se compose donc d'une face A regroupant 6 originaux (tous de la plume de Tony Joe) et d'une face B exclusivement dédiée aux reprises de titres célèbres. L'ambiance musicale générale oscille entre Soul, Blues et Country-Folk (cf : "Little green apples"), certains titres n'hésitant pas à swamper sur des rythmes indiens à l'image de "Don't steal my love". Tony Joe White a du sang Cherokee et le fait subtilement savoir.

Produit par Billy I can help Swan pour le label Monument et distribué par Barclay, ce disque vinyle est un pur chef d'oeuvre.

Je précise bien vinyle, car hélas, sa "duplication" en CD y a laissé des plumes (d'indien bien sûr ... :lol: ).

Willie and Laura Mae Jones (le final époustouflant oppose en combat sans merci un orchestre de violons à la guitare speedée à la Wah-wah)

 

Soul Francisco le titre qui a provoqué l'émeute au standard de Radio Monte-Carlo

Don't steal my love, la "tuerie" aux rythmes amérindiens boostés par la pédale Wah-wah

 

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Encore du très lourd (à mon avis) pour moi, ce soir. John Mayall

 

Ce "vieux" Monsieur qui porte encore très bien ses 87 printemps et qui a écrit de nombreuses pages de l'histoire du Blues. (+de 60 albums originaux.)

 

J'ai retenu cet album " Along for the ride" où il est accompagné de belles pointures de la guitare et du blues.

 

https://www.youtube.com/watch?v=videoseries

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bonsoir les fidèles de ce topic :jap:

 

Excellent choix milopolo :bien:

 

Effectivement, son groupe les Bluesbreakers a été une "couveuse" puis un révélateur pour la plupart des meilleurs guitaristes mondiaux, tel Eric Clapton. John Mayall est l'un des derniers représentants d'une précieuse page d'histoire du blues et plus précisément celle du British Blues dont il est le père fondateur.

 

 

Jamais deux sans 3, après Rose et Tony Joe White, voici venir le 1er album des Creedence Clearwater Revival, enregistré à Berkeley en Californie, dans les studios Fantasy et finalisé le 11 juillet 1968.

Les Golliwogs ont vécu (1964-1967). Voici venir Creedence. On prend les mêmes et on recommence en changeant de chef. Tom Fogerty n'est plus le commandant de bord. Il est remplacé par son petit frère John. Désormais, il dirige, choisit, compose et assure les soli de guitare. Mais le cheptel de ses compos personnelles est encore bien maigre. Alors, il puise dans le bas de laine du blues et en sort quelques perles archi connues, archi reprises, mais dont on jurerait qu'elle ont été taillées par lui (cf : "I put a spell on you", "Suzie Q", etc ...).

Et puis, quitte à recourir aux reprises, autant piocher chez soi, dans le répertoire des Golliwogs pour extraire d'autres pépites comme "Porterville" ou "Walk on the water". Huit titres, huit petites merveilles pour un premier album qui n'a pas vieilli malgré ses 52 ans bien tassés.

De tous les "I put a spell on you" que je connais, y compris la version originale, c'est la version des Creedence que je préfère, considérant que les autres ne sont que des ébauches.

 

Idem pour "Suzie Q" qui occupait les deux faces d'un single

https://www.youtube.com/watch?v=7x60p7UNLnQEt voici "Porterville" des Golliwogs - un peu - remanié pour la circonstance

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Salut,

 

Que de souvenirs tu nous ramènes là, surtout avec le titre I Put a spell on you

En même temps, ça m'a rappelé un titre qui avait le même pouvoir destructeur :lol:

 

 

Sinon, je ré-écoute ce concert. J'avais eu l'occasion d'aller les voir lors de leur passage à Bercy, je me rappelle plus l'année (2010 ? )

 

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Invité §Pie242UM

Salut,

 

Que de souvenirs tu nous ramènes là, surtout avec le titre I Put a spell on you

En même temps, ça m'a rappelé un titre qui avait le même pouvoir destructeur :lol:

 

 

Sinon, je ré-écoute ce concert. J'avais eu l'occasion d'aller les voir lors de leur passage à Bercy, je me rappelle plus l'année (2010 ? )

 

 

 

25 Mai 2010 Clapton/Winwood a Bercy, c'était bien ...

 

 

IMG_7947.jpg

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bonsoir tout le monde ! :jap:

 

Wouaouh, ce ticket est un collector !!!!!! :bien:

 

Sur le coup, je voulais me passer un bon vieil album du père Clapton et puis mon doigt a fourché et je suis tombé sur le "Best of" de Tommy Roe. Peu connu en France, Tommy Roe a pourtant créé en 1962 un titre emblématique, mythique, collé à jamais au pseudo de Annie Chancel : SHEILA.

Premier titre de la chanteuse, la reprise en français de "Sheila" a aussi fait le bonheur du chanteur Lucky Blondo.

Tommy Roe, chanteur et guitariste américain, a fait partie de ces jeunes interprètes de "rock and roll sucré, édulcoré" apparus début 1960 dans le sillage d'un Elvis Presley et d'un Cliff Richard (pour l'Angleterre) assagis.

 

Certains, comme Tommy Roe et Bobby Vee faisaient du Buddy Holly à s'y méprendre. "Sheila" est d'ailleurs bâti sur des lignes mélodiques similaires à "Peggy Sue".

Mais qu'importe :

Si les Beatles et la vague Merseybeat a balayé tout ce joli monde, Tommy Roe a quand même réussi à surnager jusqu'au début des années 70, classant pas mal de titres dans les charts. Ce "Best of" est loin d'être déplaisant et je le réécoute ponctuellement.

Sheila (1962)

The Folk Singer (1963)

It's now winter's day (1967)

Dizzy (n° 1 en Grande Bretazgne et aux Etats-Unis en 1969)

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Salut,

 

Pas trop aimé Tommy Roe. Peut-être un peu la danseuse du dernier clip qui fait fait vraiment très décalé.

 

Pour moi, encore une découverte: Blues Cousins et c'est assez surprenant pour ce genre de musique, c'est un groupe Russe, formé en 2004.

 

 

 

 

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