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Salon de discussion

Le Topic des engins blindés (Index en page 1)


jensen
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A priori non si j'ai bien compris le post de Juluch, ce ne serait pas en bord de mer

donc pas Marseille et pas Aubagne, sauf s'il s'agit des hauteurs d'où il est peut-

être possible de voir la Méditerranée.

A propos je voudrais réctifier, c'est bien de Martigues dont je voulais parler et non pas de Marigues :q

 

 

Tssss!!! badhead.gif.284b0c67078b489d1012e9191b824428.gif

De là ou c'est on voit pas la mer bien que la ville soit au bord........tu a refroidis mon bon Pierlo. :lol:

 

Reviens en arrière dans tes propos...............tu y es presque. badhead.gif.d431e033269128dfdb9c6c81576ac3fe.gif

 

Pour info c'est un camp.....

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Invité guest527

btr8007.jpg

 

L'est beau là le BTR. Mais le matos russe, l'est pas meilleur que les autres.

Les pannes, y savent c'que s'est.

C'est con avec tous ces "touristes" qui te regardent.... :mad:

 

http://www.liveleak.com/ll_embed?f=1234599d4d8d

 

Ils ont bien fait de le tracter, parce que le chargement c'est pas leur fort :mad:

 

http://www.abrutis.com/video-c [...] 43941.html

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Tssss!!! badhead.gif.284b0c67078b489d1012e9191b824428.gif

De là ou c'est on voit pas la mer bien que la ville soit au bord........tu a refroidis mon bon Pierlo. :lol:

 

Reviens en arrière dans tes propos...............tu y es presque. badhead.gif.d431e033269128dfdb9c6c81576ac3fe.gif

 

Pour info c'est un camp.....

 

 

Miramas ? Ste Marthe ?

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Oui, un Centurion Britannique lors de la guerre de Corée probablement.

 

Les premiers exemplaires de pré-série n'arriveront sur le sol Européen qu'en juin 1945.

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Invité §pie367dg

 

:jap:

 

Ste Marthe................... :antoine01570:13

 

 

Donc si j'ai bien tout compris quand j'étais parti sur l'étang de Berre, j'étais dans

la bonne voie, seulement le camp ST Marthe j'en ai seulement entendu parler il

devait servir de camp de regroupement pour les départs ou les retours d'Algérie

sauf erreur.

En consultant une carte, j'ai trouvé un polygone de tir sur le secteur St- Chamas

Lançon provence, est-ce qu'il s'agit de ce camp ?

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Ste Marthe est sur Marseille dans le quatorzième arrondissement prés des Arnavaux. :)

alex883.gif.e72897aa99a17b7337aac753e7a5bdd1.gif j'y ai séjourné 2 fois pour des vigipicrates, jamais fait gaffe aux pots d fleurs :??:

 

enfin, bon, la dernière en 2002 ... ils ont peut-être poussé depuis alex883.gif.e72897aa99a17b7337aac753e7a5bdd1.gif

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Invité §pie367dg

Ste Marthe est sur Marseille dans le quatorzième arrondissement prés des Arnavaux. :)

 

 

OK, merci je ne connaissais pas du tout, mais il faut dire aussi que quand je venais à Marseille dans les années 80 ce n'était vraiment pas pour visiter les

casernes :lol:

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Invité §pie367dg

:alex883:1 j'y ai séjourné 2 fois pour des vigipicrates, jamais fait gaffe aux pots d fleurs :??:

 

enfin, bon, la dernière en 2002 ... ils ont peut-être poussé depuis :alex883:1

 

 

Il aime bien " vigipicrate " Sierra 38, je le garde pour mon usage personnel ;)

Juluch a fait allusion aux pots de fleurs de Carpiagne qui ont disparu pour une

raison X.

Pour moi il serait souhaitable qu'ils ne disparaissent pas purement et simplement

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Faszination Modellbahn 2014

salon du chemin de fer miniature

 

trains blindés et transport ferroviaire de blindées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Panther est sorti en série avec la Schmalturm :??:

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Invité §pie367dg

Pour vigipirate également............ :jap:

 

Pour les pots de fleurs, il semblerait que le REC veuille le camp de Carpiagne complètement vide.............. :ultrafricanism:4

 

 

Une question que j'ai oublié de poser,

Que devient le Centre d'Instruction, où seront former les pilotes, les équipages ?

Parce-qu'apparemment tout sera dévolu à la Légion, je n'ai rien contre, mais le

reste de l'instruction qu'en est-il ?

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(modifié)

 

 

 

ISRAEL TAL, "Monsieur Merkava".

 

 

it01.jpg

 

 

 

Il voit le jour le 13 septembre 1924 à Mahanaïm, une localité alors située en Palestine sous mandat Britannique.

 

Il est avec sa famille en 1929 à Safed lorsqu'une émeute anti juive éclate.

 

Un groupe de musulmans bloque la porte de sa maison et jette des torches enflammées à l'intérieur, Israël ne doit la vie sauve qu'à une patrouille de volontaires juifs et de militaires Britanniques qui parviennent in-extremis à le sortir de sa maison en feu.

 

Tous les gens qui l'ont connu ont toujours confirmés que cet événement marquera durablement l'esprit d'Israël, bien qu'âgé de 5 ans à ce moment, et certainement au point de le diriger vers la carrière militaire qu'on lui connaîtra plus tard.

 

 

Durant la seconde guerre mondiale les anglais mettent sur pieds en Palestine une Brigade Juive qui intègre les rangs de l'armée régulière Britannique, Israël alors âgé de 17 ans s'engage et va se battre en Afrique du Nord mais surtout lors de la campagne d'Italie comme mitrailleur.

 

La Brigade Juive est dissoute à la fin du conflit et Israël Tal est enrôlé au sein de la Haganah.

Cette organisation, "bras armé" de l'Agence Juive qui milite pour la création d'un état indépendant, cherche à recruter un maximum d'éléments issus des effectifs s'étant déjà battu en Europe avec la Couronne Britannique.

 

 

Dès la création de l'état d'Israël en 1948 il est pris dans ce que les Israëliens appellent "la guerre d'indépendance" et se bat contre les forces Arabes tant en Galilée que dans le sud du pays, il est à ce moment-là officier.

 

 

Il est Colonel et commande la 10ème Brigade d'Infanterie lors de la campagne du Sinaï de 1956 et, à la fin de cette dernière, muté dans le corps des blindés de Tsahal.

Cette armée souhaite faire alors passer le char de combat de "soutient d'infanterie" à "arme offensive", et Israël Tal a déjà fait savoir en haut lieu être entièrement convaincu par la nécessité du projet. :oui:

 

Très vite, ce passionné de mécanique se prend au jeu et passe les premières années au sein de cette arme à se familiariser avec les capacités des chars et les stratégies possibles à mettre en oeuvre sur le champ de bataille.

 

Il constate que le relief relativement plat et aride de son pays peut lui permettre de prendre l'avantage en entraînant ses équipages au tir à longue portée.

Il est le premier à mettre en pratique la fameuse théorie du "First view, first shoot, first kill" (c'est le premier qui voit, qui tire et qui tue), il exige aussi une cadence de tir élevée aux équipages des chars et leur impose de toucher leurs cibles au moins à 1500m, cherchant à chaque fois à améliorer les choses et à faire en sorte que les tankistes de Tsahal aient toujours "la seconde d'avance" qui emporte la décision sur le terrain. :oui:

 

Inutile de dire que cette stratégie ne lui vaut pas que des amis au sein de l'Etat-Major… :o

 

 

Israël Tal en 1965.

it02 1965.jpg

 

 

 

C'est en juin 1967 lors de la Guerre des 6 jours que ses efforts s'avèrent payants : Il commande à cette époque la 84ème Division Blindée qui se trouve engagée dans la bande de Gaza, le désert du Sinaï et le long du canal de Suez, c'est à ce moment-là que tous s'aperçoivent de la justesse de ses décisions.

C'en est au point que l'on compare à cette époque la rapidité de progression de sa Division avec celle de Rommel lors de la campagne de France de mai 1940.

Il ne lui faudra que 3 jours pour tenir la rive Orientale du canal de Suez, empêchant toute réorganisation de l'armée Egyptienne qui laisse plus de 800 chars dans l'affaire !

 

 

 

1967 durant la guerre des 6 jours.

it05.jpg

 

 

 

Après la fin du conflit tout Tsahal remet à plat sa doctrine et privilégie l'emploi de corps blindés surentraînés, et ce au détriment des unités classiques d'infanterie (ce qui failli coûter très cher à ce pays en octobre 1973...).

 

Depuis le milieu des années 60 la nation juive collabore avec la Grande-Bretagne sur le futur char de bataille Israëlien.

Ce dernier est basé sur le nouveau Chieftain mais le Colonel Tal et ses hommes ont pour mission de le modifier afin de le rendre plus efficace dans le climat du Moyen-Orient (le Chieftain étant un pur produit de la guerre froide prévu pour une utilisation typée "Centre-Europe").

 

 

Le colonel Tal pose devant un Chieftain lors de l'évaluation de ce dernier en vue d'en faire "LE" char Israëlien des années 70, les anglais en décideront autrement

it06 chieftain.jpg

 

 

 

Alors que le projet arrive à son terme des pressions Arabes sur Londres force l'Angleterre à mettre un terme unilatéral à cette collaboration, nous sommes en 1969 et Israël n'a plus à son effectif que des M4 Sherman, M48 Patton et autres AMX13 de plus en plus dépassés face aux forces Syriennes et Egyptiennes que Moscou commence à livrer avec des T62 et leurs terrifiants canons de 115 mm à haute vélocité.

 

Déjà fortement "échaudé" par la décision du Général De Gaulle de décréter un embargo sur les livraisons d'armes françaises dès juin 1967 le gouvernement Israëlien convoque le Colonel Tal en 1970 et lui demande de participer à la création d'un char "100% national" qui permettrait au pays de se passer des importations.

 

Il se met au travail, constate l'état assez embryonnaire de l'industrie lourde d'Israël et part du principe de "faire le maximum avec le minimum".

Il prend pour inspiration le char léger Français AMX13, ce dernier équipe alors Tsahal mais ses jours sont comptés.

En effet ce petit blindé a été conçu pour être facilement aérotransportable, ce qui implique une limitation drastique du poids et donc du blindage…

En conséquence cet engin, s'il est médiocrement protégé, est très véloce et permet d'effectuer des manœuvres assez hardies sur le terrain.

 

 

AMX13.

Cet engin Français au demeurant réussi combinait vélocité et grande puissance de feu.

Le seul soucis étant une protection dévolue à l'équipage très nettement insuffisante en cas de coup au but.

Israël avait une trop faible démographie pour se permettre de perdre des équipages de la sorte

it11.jpg

 

 

 

Le problème étant que l'état Juif ne peut se payer le luxe de perdre des hommes : En 1970 sa population totale est d'à peine trois millions d'habitants…

A titre indicatif la Syrie compte alors 6 millions d'âmes et l'Egypte… Plus de 36 millions !

 

Le futur MBT de Tsahal devra donc protéger ses servants au maximum, c'est purement et simplement une question essentielle pour l'élaboration de son futur char de combat.

 

Pour ce faire Tal reprend le concept de l'AMX13, avec son moteur à l'avant et sa tourelle à l'arrière garante d'une bonne protection de l'équipage, et pour ce faire récupère le châssis d'un char Centurion anglais qu'il "retourne" purement et simplement, y greffant à l'arrière une tourelle de M47 Patton.

 

 

Première ébauche réalisée vers 1971 sous l'égide d'Israël Tal : Un châssis de Centurion retourné avec une tourelle "chipée" à un Patton :p

Tout le concept du Merkava est déjà la ! :sol:

it12.jpg

 

 

 

C'est donc sur ses directives que le futur Merkava, qui entrera en service en 1979, prend sa forme définitive avec pour objectif une protection maximum de ses occupants et une précision de tir à grande distance prépondérante.

 

 

Israël Tal devant l'un des exemplaires de présérie.

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Merkava Mk.1

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Grosse réussite technique qui surprendra plus d'un observateur étranger, le Mk.1 comptait encore beaucoup de pièces américaines : Moteur, transmission, canon

it10 mk1.jpg

 

 

 

Ce char, fait PAR des Israëliens POUR des Israëliens, va aussi innover dans le domaine du blindage avec un glacis fortement incliné pour favoriser les ricochets, des plaques espacées pour amoindrir les effets des projectiles à charge creuse et une issue à l'arrière.

 

Cette dernière avait surtout deux fonctions :

 

-Permettre une évacuation rapide du char si touché, voire une intervention des équipes de secours en plein combat pour en "sortir" d'éventuels blessés sans trop s'exposer (un char fait en général toujours "face à la menace" et sa masse fait donc obstacle aux tirs ennemis).

On retrouve ici l'un des enseignements des guerres menées par Israël contre ses voisins où la majorité des victimes à déplorer se trouve faire partie des unités blindées.

 

-Assurer un ravitaillement rapide en munitions à l'aide d'un camion doté d'un bras télescopique qui charge à cet endroit les munitions directement sur rack, cela va permettre aux Merkava de Tsahal de ne pas perdre souvent jusqu'à une heure pour recharger les obus, ces derniers étant jusqu'à cette époque emmagasinés un par un à l'intérieur par les équipages de tous les chars de la planète…

 

 

En cas de nécessité un rack de plusieurs obus pouvait être "enfourné" dans le Merkava à l'aide d'un bras télescopique, charge à l'équipage de ranger ses obus lors de la progression du char vers le front.

C'était toujours de précieuses minutes de gagnées et cela pouvait faire la différence sur le champ de bataille !

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Accessoirement l'espace laissé à l'arrière peut aussi recueillir un équipage obligé d'abandonner son engin en panne ou touché par un tir, toujours le concept Israëlien de protection maximum des soldats de la nation…

 

Je ne sais par contre si Tal est l'initiateur de la vaste "opération d'enfumage" qui consistait à faire croire que le Merkava pouvait embarquer un groupe d'assaut de 4 hommes à bord pouvant débarquer sur le terrain, l'espace à bord n'étant pas suffisant pour assurer un minimum de confort à 4 Malabars dotés de leurs armes et bagages réglementaires ! :hihi:

 

 

La "sortie de secours" en position centrale-arrière, infiniment plus efficace pour une évacuation d'urgence que le traditionnel "trou d'homme" situé sur le plancher des chars contemporains.

De plus ce dernier contribuait à l'affaiblissement de la structure en cas d'explosion de mine

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En 1972 il est nommé Général vice-chef d'Etat-Major.

 

On en est là en septembre 1973, moment où Israël Tal pressent une énorme tension aux frontières…

 

Il sera l'un des rares officiers à faire antichambre à l'Etat-Major pour faire part de ses craintes et suggérer le rappel d'urgence de réservistes.

Il ne sera pas écouté… :non:

 

Le 6 octobre 1973 les forces Egyptiennes et Syriennes passent à l'action.

 

Complètement intoxiqués par de faux rapports émanant des services Egyptiens et concernant des problèmes de commandements et de logistique qui n'existaient alors plus dans les armées arabes, la ligne Bar-Lev qui protège le canal de Suez est rapidement enfoncée par les forces de Sadate.

 

Israël peine à se repositionner, les chars de Tsahal et l'aviation sont malmenés (un soldat Egyptien sur trois dispose d'un équipement antichar moderne et l'armée de cette nation n'avance plus que sous un véritable bouclier anti-aérien des plus efficace empêchant les appareils de la Heyl Ha'Avir de soutenir les blindés de Tsahal lancés seuls à la contre-attaque).

 

 

Un Centurion Israëlien détruit par l'armée Syrienne.

Les pertes de Tsahal lors des premiers jours de l'offensive Arabe furent effrayantes.

A l'issue du conflit tout le système de défense Israëlien sera remis en question, le Général Tal y contribuera.

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Il faudra plusieurs jours à Tsahal pour se remettre en position et contre-attaquer avec une infanterie qui fut trop longtemps le "parent pauvre" de l'armée Israëlienne.

Toutes les armées du monde finiront par admettre suite à ce conflit que si les avions et les blindés ont une action prépondérante sur le cours des événements, une guerre se gagne surtout au sol et cela les Israëliens comme de nombreux occidentaux (à commencer par les Américains au Viêt-Nam) semblaient l'avoir "un peu" oublié… :jap:

 

Le Général Tal est alors nommé dans l'urgence responsable du Commandement Sud d'Israël.

 

Lors de la promulgation du cessez le feu sous l'égide de l'ONU le 25 octobre ordre lui est donné par David Elazar (chef d'Etat-Major) et Moshe Dayan (ministre de la défense) de profiter de la moindre escarmouche et échange de tir entre Israëliens et Egyptiens (chose quasi-quotidienne à ce moment-là) pour reprendre l'offensive et "finir le boulot" une bonne fois pour toute…

 

Mais Tal ne s'en laisse pas conter et exige un ordre écrit soit du chef de la cour suprême soit du Premier Ministre (Golda Meir), inutile de dire que cet ordre ne viendra jamais… :roll:

 

Ses états d'âmes, au demeurant fondés, lui coûteront sans doute le poste de chef d'Etat-Major des Armées qui aurait du lui échoir dès 1974, année de ses 50 ans où il est mis officiellement à la retraite…

 

Il est donc disponible à la vie civile et rejoint le Centre de Recherche Stratégique de l'Université de Tel-Aviv et devient même le consultant en sécurité de Shimon Peres, un leader du Parti Travailliste (équivalent au PS Français) qui devient Premier Ministre par intérim d'avril à juin 1977.

 

Il reprend du service en 1978 avec pour mission de réorganiser Tsahal par la création d'un commandement unique des forces terrestres.

C'est aussi à cette époque que le Merkava est officiellement présenté, sa mise en service interviendra l'année suivante et sa première utilisation opérationnelle en 1982 lors de l'invasion du Liban.

 

Un travail de longue haleine puisque Israël Tal ne quitte, définitivement cette fois-ci, l'armée Israëlienne qu'en 1989 à l'âge de 65 ans.

 

 

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Il est détenteur de nombreuses récompenses et décorations, avec entre autres :

 

-Prix de la sécurité d'Israël en 1961 et 1973.

-"Prix d'Israël" 1997 pour sa contribution au renforcement de la sécurité du pays.

-Docteur Honoris causa de l'Université Ben-Gourion.

 

Il profite ensuite de sa retraite et continue de temps à autres à prodiguer des conseils à ceux qui le lui demandent.

 

 

Une des dernières photos du Major-Général Tal vers 2008/2009.

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Il quitte notre monde à Rehovot le 8 septembre 2010 quelques jours avant son 86ème anniversaire…

 

Le char Merkava, dont nous sommes aujourd'hui à la quatrième génération, est toujours considéré comme l'un des 10 meilleurs MBT jamais mis au point.

 

 

Merkava Mk.4, reconnaissable à sa tourelle "soucoupe volante" surblindée, reste l'un des meilleurs engins jamais produits.

Il doit l'essentiel de sa conception aux idées d'Israël Tal.

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Tous ceux qui se succéderont pour honorer sa mémoire lors de ses funérailles certifieront que ses actions furent capitales pour la sécurité de l'état Juif.

 

Personne ne l'a jamais contesté…

 

 

Un reportage de la télévision Israëlienne réalisé lors de son décès :

 

 

 

 

 

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:coucou:

 

Jensen.

 

 

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