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Circuit

Les bides en endurance


JM 30

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Je crois que la première année ou la Lister est venue, c'est "simplement" Campbell-Walter qui l'avait détruite lors des séances qualifs, le pilote s'est blessé et la voiture était trop endommagée. Mais elle est revenue lors d'éditions suivantes.

 

tu oublie l' envol de la sauber C8 de Nielsen dans les hunaudières en 1985 car aux essais du Jeudi en 1985 il avait déja une voiture qui s' était envolée dans les hunaudières avec John Nielsen au Volant

 

Là, on entre dans des périodes ou j'étais un peu petit, donc bien moins de souvenirs... cela dit, je me rappelle de l'image dans un Auto Plus vers 1990!

 

Dans les années récentes, la Lavaggi LMP1 ne fait pas des merveilles...

http://www.vrchy.com/spa07/original/spa_fglms126.jpg

 

Cela dit, les moyens pour fabriquer cette voiture sont modestes!

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Invité §Lom512pe

Revenons en arrière et puisque la Ford P68 a été évoquée, un autre bide de la saison 1968 fut la Marcos Repco 3L qui a d'ailleurs fait l'objet d'un échange ici-même : http://forum-auto.caradisiac.com/spor [...] 378163.htm

 

Une auto étonnante et, à la manière de la Allard qui a entamé ce topic ou encore de l'étrange proto Lister, ô combien avant-gardiste, ou, se voulant telle ! A mi chemin entre prototype de course et futuriste prototype de salon comme c'était la mode à l'époque. On ignore ce qu'en aurait pensé la soufflerie, mais le résultat était spectaculaire et fit beaucoup rêver ma prime adolescence !

 

Apparu lors des pluvieuses (si ce n'est pas un pléonasme) 1000 kms de Spa, qualifié par la presse d'auto-mitrailleuse, tant pour ses formes anguleuses que pour sa couleur d'un vert tout militaire, l'OVNI ne participa qu'aux seuls essais où, à défaut de briller par la performance, il donna l'occasion de quelques jolies photos avant de disparaître à tout jamais des circuits pluvieux ou non !

 

Mais, si fugitive fut-elle, cette antithèse de l'ultra fluide Ford P68, n'en a pas moins marqué nos mémoires.

 

A noter que cette saison 68 qui s'annonçait morne - nouveau règlement bancal, retrait de Ford US et de Chaparral-GM, boycott de Ferrari et donc plateaux qu'on prévoyait pauvres - fut en réalité pleine de surprises et de nouveautés. Qui plus est, disputée jusque dans l'ultime épreuve, John Wyer et ses GT 40 ressuscitées arrachant in extremis le titre à Porsche et, humiliation, après les parades de Daytona et de Sebring, la victoire au Mans !

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la mirage a moteur Weslake bien que je sois trop .................jeune a aussi eté un sacré bide :lol:

toniowarrior.gif.512c9d24c8e617129f29f6420e34d15e.gif

 

 

Tu parles de celle ci ??

http://membres.multimania.fr/bardiaux/V12734.jpg

 

Je crois que j'ai une carte postale d'elle quelque part !!

 

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Invité §Lom512pe

Concernant cette Mirage M6 fermée et profilée, je crois qu'il serait plus juste de parler d'un essais plutôt que d'un bide. La carrière des M6, de 72 à 75, si elle ne fut pas glorieuse, fut honorable avec quelques victoires à la clé !

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Revenons en arrière et puisque la Ford P68 a été évoquée, un autre bide de la saison 1968 fut la Marcos Repco 3L qui a d'ailleurs fait l'objet d'un échange ici-même : http://forum-auto.caradisiac.com/spor [...] 378163.htm

 

Une auto étonnante et, à la manière de la Allard qui a entamé ce topic ou encore de l'étrange proto Lister, ô combien avant-gardiste, ou, se voulant telle ! A mi chemin entre prototype de course et futuriste prototype de salon comme c'était la mode à l'époque. On ignore ce qu'en aurait pensé la soufflerie, mais le résultat était spectaculaire et fit beaucoup rêver ma prime adolescence !

 

Apparu lors des pluvieuses (si ce n'est pas un pléonasme) 1000 kms de Spa, qualifié par la presse d'auto-mitrailleuse, tant pour ses formes anguleuses que pour sa couleur d'un vert tout militaire, l'OVNI ne participa qu'aux seuls essais où, à défaut de briller par la performance, il donna l'occasion de quelques jolies photos avant de disparaître à tout jamais des circuits pluvieux ou non !

 

Mais, si fugitive fut-elle, cette antithèse de l'ultra fluide Ford P68, n'en a pas moins marqué nos mémoires.

 

A noter que cette saison 68 qui s'annonçait morne - nouveau règlement bancal, retrait de Ford US et de Chaparral-GM, boycott de Ferrari et donc plateaux qu'on prévoyait pauvres - fut en réalité pleine de surprises et de nouveautés. Qui plus est, disputée jusque dans l'ultime épreuve, John Wyer et ses GT 40 ressuscitées arrachant in extremis le titre à Porsche et, humiliation, après les parades de Daytona et de Sebring, la victoire au Mans !

 

 

salut à tous

je me demandais quant il allait en être question bravo c'était vraiment un ovni et si j'ai bien suivi le sujet elle existe toujours

 

 

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Invité §fe 287Bs

nihao

Gros bide les Jag C profile du mans 52 . Moss inquiet de la velocite de la 300 S aux 1000 miglia aurair reclame des mod aero sur les XK120 C . elles engendrerent une surchauffe fatale .La ferrari 121 LM guere reussie en depit de la victoire de Taruffi (118)au tour de sicile .Ce 6 en ligne pas terrible.

Aurait pus etre un echec : la MKiv de 1967 . Les pare brises aux essais ,l`elimination sur accident de 2, la perte du capotarrire de la 2 . Heureusement la 1 fut royale . Comme quoi la difference entre succes et echec est souvent tenue

Les exces de la fin des annees 90 ; ils se sont tous envole : MERCEDES, BMW ,Porsche et Alboreto perdit la vie avec l`Audi

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la Lucchini LMP204 elle roulait au préqualifs et pas mal par rapport a ses moyens , donc est ce vraiment un bide ??? je pense que l' équipe a été décu de la réaction du constructeur qui ne cherchait que l' appat du gain

http://i68.servimg.com/u/f68/11/28/38/79/lucchi10.jpg

d' ailleurs c' est l' équipe qui as présenté la Lola N°30 cette année

http://img6.hostingpics.net/pics/624359DSC03575.jpg

toniowarrior.gif.512c9d24c8e617129f29f6420e34d15e.gif

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Invité §kas275vL

D'ailleurs quand on parle de Lister, meme si je pense qu'en aucun ça aboutira,Lister Cars demande a tout les proprio de leur voitures fabriqués dans leur locaux,à quel endroit se trouvent leurs autos

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Si tu sais où on peut trouver le kit pour améliorer le bête, je suis partant !

Merci

 

J'ai acheté ce TK Starter à la BAM a l'époque, je doute que l'on puisse toujours le trouver de nos jours.

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Invité §fe 287Bs

nihao

attention 2 vaeiante pour la Mig

1. prequalif

2 essai de juin

le transkit est bon poue les prequalif :support d`aileron

`linterieur est different2 types de sieges

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Invité §kas275vL

En fait clairement,Lister Cars piste les voitures sortis de leur locaux (GTs et Prototypes),quel intérêt,je n'en sais rien si ce n'est que ce n'est pas une rumeur,c'est du concret.

Alors si vous avez une Lister,vous savez quoi faire contacter l'usine

 

 

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Quel engin!

 

Quelques autres:

La Venturi Héritage GT3: conçue, mais jamais engagée en course.

http://img89.imageshack.us/img89/2684/pa050040yk0uj1.jpg

 

L'Aston Martin DB7 LM engagée par M.Hommell au Mans 95, elle ne s'est pas préqualifiée et on ne l'a revu qu'au musée de Lohéac:

1701964883_aston20db720lm.jpg.5265a001d166d980d912df7f6df92c1d.jpg

 

Un championnat: en 1997, Patrick Peter, en désaccord avec ses compères Ratel et Barth du BPR, lance contre le GT FIA le GTR. je crois qu'il n'y a eut qu'une seule course à Spa...

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C'est bien la bonne Aston ;)! Elle a eut moins de réussite que la Bugatti de l'année précédente qui elle aussi était dans la même catégorie que la Porsche 962 Dauer, une belle faille dans la réglementation du Mans de cette époque!

 

Je me dit que Michel Hommell aurait du engager cette DB7 LM en GT FFSA plus tard, histoire de la faire rouler, mais bon...

 

Autre aventure ratée, celle de Cadillac avec ses LMP1:

http://www.endurancesportscar.com/alms2002cars/cadillaclmp02.jpg

 

ça partait sérieusement en 2000, puis la 2° année ils sont reparti avec la même voiture basée sur une Riley & Scott sachant qu'elle était loin de l'Audi R8. Puis la "vrai" Cadillac proto commençait à pas trop mal marcher en ALMS en 2002, mais GM a arrété le programme. Dommage.

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euh la pluie est pour tout le monde : surtout Gross Fanite et j'm'en foutisme brit' !...

 

LM.

 

que la pluie soit pour tout le Monde Soit :jap: , mais un proto de 820/825 kg avec des pneus aussi larges que les Groupe 5 qui eux sont a un poids approximatif de la tonne l' aquaplanning n' est pas le même ;) voici une des raison qui a fait que les 936 ce sont fait bouffer avec en plus un prépa a la va vite je le concois

toniowarrior.gif.512c9d24c8e617129f29f6420e34d15e.gif

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Invité §Lom512pe

Et c'est une Porsche qui l'emporta ! L'échec des 936 est à relativiser puisqu'il ne change rien aux statistiques ! La marque allemande comptait 20 voitures sur 55 partants, soit 36 % des places sur la grille de départ. Ce n'est pas le record, d'ailleurs.

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Invité §Lom512pe

Puisque qu'on a évoqué parmi les bides de l'endurance la merveilleuse Ford P68, qui n'en est pas moins restée dans toutes les mémoires, il convient pour être juste d'évoquer une auto non moins sublime et que je considère - je ne suis pas le seul - comme la Ferrari la plus sexy de tous les temps mais qui fut aussi un échec : la 312 P de 1969.

 

Pour comprendre l'histoire de cette voiture, il faut remonter à 1967. Au lendemain des 24h. du Mans, alors que Ford US, considérant son objectif atteint, annonce la fin de son programme, la CSI édicte un nouveau règlement devant prendre effet dès le 1° janvier 1968 : La cylindrée est désormais limitée à 3L pour les prototypes de course et à 5L. pour des modèles dits « Sport » à condition d'avoir été produits à 50 exemplaires.

 

Le nouveau règlement suscite la colère d'Enzo Ferrari dont les rapports avec la CSI sont déjà tendus depuis plusieurs années. L'Ingeniere prend prétexte de l'injustice que constitue à ses yeux l'existence des Sport 5L. pour décider de boycotter le Championnat du Monde 1968.

 

En réalité, pour contrer l'offensive américaine, mais aussi européenne, (Aston-Martin via Lola était de retour avec un V8 7L., Abarth concoctait un 6L., depuis plusieurs années la rumeur bruissait d'un possible retour aux affaires de Jaguar avec une grosse cylindrée) Ferrari travaillait à la fabrication d'un V12 de 6 litres de cylindrée. La CSI lui coupe l'herbe sous le pied et surtout ruine un lourd investissement à une époque où la Scuderia, en dépit du soutien discret de FIAT, tire le diable par la queue.

 

La Can-Am servira de débouché à ce V12 6L. mais Ferrari ne manifestera jamais un réel intérêt pour ce championnat. Et puis, l'histoire rebondissant, ce moteur sera voué à un autre destin.

 

Nous n'en sommes pas là. En fin de saison 68, la colère appartient au passé et la passion (ou le réalisme ?) l'emporte. Dès le mois de décembre, en grande pompe est présenté le nouveau bolide destiné à reconquérir le titre de champion du monde en endurance, et à l'occasion une victoire au Mans : la 312 P. Elle apparaît comme une petite soeur de la barquette 612 Can-Am dont l'unique participation s'est achevée dans un bac à sable après 300 mètres de course. Toutefois, des lignes plus soignées, des volumes retravaillés dotent la 312 P d'une exceptionnelle élégance.

 

L'hiver 68/69 est très rigoureux et retarde la préparation de l'auto. Brambilla, le pilote essayeur est victime d'un accident. Les débuts prévus à Daytona sont reportés en mars à Sebring. Ils sont éblouissants !

 

Pour signifier qu'après un an d'absence Ferrari est bien de retour dans la discipline reine, car, à l'époque, la discipline reine n'est pas la F1, mais l'endurance, la 312 P signe la pôle position face à une opposition particulièrement relevée. Au reste, cette édition des 12h. de Sebring restera comme une des plus disputées de l'histoire. La Ferrari est opposée, entre autres, à l'armada habituelle des Porsche, cinq ou six 908 d'usine, la redoutable Lola T70 Penske toute auréolée de son triomphe à Daytona, les Ford GT 40 Wyer, marquant le pas mais non encore inoffensives, enfin une optimiste équipe Alfa-Roméo alignant trois nouveaux mais peu compétitifs protos 3L.

 

La course se déroule sur un rythme effréné. Les leaders se succèdent. Rapides, les nouvelles 908 spider s'avèrent fragiles sur ce circuit cassant. La Lola Penske capitule également. La 312 P semble avoir course gagnée quand le capot envolé d'un concurrent attardé vient s'abattre sur le museau de la belle crevant le radiateur. Dès lors, c'est l'agonie. Chris Amon et Mario Andretti doivent effectuer des aller et retour de la piste au stand. Auteur d'une course sage, Ickx et Oliver sur la GT 40 Wyer doublent la Ferrari et emportent l'épreuve ! Reste pour la 312 P une prometteuse 2° place...

 

La suite à demain.

 

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