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Histoires du sport automobile

Des anciens rallymen à votre écoute


J.L.C
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Je viens de voir que j'avais raté l'essentiel ce dimanche, c'est quoi le mieux, se faire traiter de vieille guenille ou bien d'ignoble ordure? :lol:

 

Explique.

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Invité §pea455RK

bonjour à tous, oui et quelle fin de course entre les 2 premiers incertitude jusqu'à la fin... ;) bon gros calcul quand même puisque pratiquement un seul endroit pour doubler... :D oui gros calcul pour être second à l'avant dernier tour pour doubler et finir en tête... ;):jap:

 

 

Justement, une fois de plus je ne suis pas sur la même longueur d'ondes que beaucoup, c'est ballot ! :D

J'ai commencé à regarder les 500 miles, sachant que chaque année, je renonce vite car ça m'ennuie profondément, mais bon, là, avec Pagenaud en pole, tout ça... :love:

Au tour 24 très exactement, il ne s'était absolument rien passé hormis le drapeau jaune à la suite de la panne de boîte de Colton Herta. Nous n'étions qu'au huitième de la procession, mes yeux se fermaient, j'en avais ras le bol d'entendre ces abeilles -que je trouve en outre personnellement particulièrement moches- se suivre en file indienne, il restait encore 176 tours et Boullier me déprimait en répétant que de toute façon, c'est dans les 40 derniers tours que tout se joue (on se demande pourquoi ils font les 160 premiers, ça économiserait le matériel de n'en faire que 40 ! :p ).

 

Je suis donc allé me coucher avec un bon bouquin et j'ai vu le résultat ce matin : d'après les quatre ou cinq sites que j'ai consultés, il ne s'est rien passé avant les derniers tours -comme l'avait très bien dit Boullier- hormis les habituels cartons dont celui de Bourdais. Pagenaud n'a eu qu'un seul adversaire, Rossi, un mec qui n'a jamais mis un pied devant l'autre en F1 mais a été près de remporter pour la deuxième fois Indy, ce qui permet de se poser quelques questions sur le niveau. Aucun regret, donc ! :sol:

 

Par contre, le GP de Monaco m'a tenu en haleine du départ jusqu'au dernier virage. :)

 

 

Edit : je pense que par rapport à un certain nombre d'entre vous, il doit me manquer un chromosome, le "stars and stripes". J'ai un mal fou à me passionner pour (et même à comprendre comment ça fonctionne :p ) les courses Indy sur ovale (par contre j'aime bien les tracés urbains et routiers), la Nascar, les drifts de Ken Block, le football américain, le base-ball, la NBA, les comics, les films Marvel, le Coca-Cola, les hamburgers... et Donald Trump. :lol:

 

Marianne, qui n'est pas une vraie passionnée mais qui connaît tout de même un peu, a regardé par intermittence Monaco avec moi, le départ, l'arrivée, quelques phases de course au milieu en me posant des questions sur la physionomie du GP. Ensuite, elle a regardé le départ d'Indy en ma compagnie. Au bout de dix tours :

" Ça intéresse qui, ce défilé sur une autoroute ?

- Ben, les Ricains !

- Et ça va durer ?

- Pas loin de trois heures...

- Comme ça ?

- Essentiellement oui !

- Oui, bon, d'accord ! Je vais me pieuter !"

Un quart d'heure après, je la rejoignais ! :lol:

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Alors qu'ailleurs on gagne en étant derrière ? :lol:

d'ou l'importance d'avoir toute la phrase :q ...manipulateur va! :lol: :lol: :lol: :lol:

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LP Sport Auto, Résumé du rallye de Savoie-Chautagne :

 

Le week end dernier, avec Lili, nous étions au départ du rallye de Savoie-Chautagne autour de Serrières en Chautagne. C’était notre deuxième participation à cette épreuve à laquelle nous avions déjà participé en 2017. 94 concurrents étaient au départ dont 9 dans la classe F2000-14. Il y avait un beau plateau pour le scratch avec 8 voitures de la classe R5 (Skoda, DS3 et Fiesta).

L'épreuve débutait Vendredi en fin d’après-midi avec 2 boucles de 2 spéciales, la première boucle de jour et la seconde de nuit.

ES1, le Clergeon court (12.85 km) : nous partons sur un très bon rythme dans la montée jusqu’au col du Clergeon, raide et tortueuse avec plus d’une dizaine d’épingles. Les 5km après le col sont nouveaux pour nous et nous les découvrons en course pour la première fois. Cette partie est très variée et fini par une descente assez raide et impressionnante. Il y a quelques cordes et déjà pas mal de pierres sont ressorties après le passage des premiers concurrents. Nous faisons un bon temps puisque c’est le 8ème au scratch derrière 7 R5 et le meilleur du groupe F2000 mais avec seulement 1 seconde d’avance sur la clio de Parmeland. En repartant du point stop, petit soucis de frein car le liquide est en ébullition et la pédale va au fond. En refroidissant sur la liaison, la pédale retrouve sa course normale.

ES2, Motz (13,57km) : cette spéciale a peu de dénivelé comparé aux autres. Elle commence par une boucle d’environ 1km à parcourir 2 fois avant de filer vers la suite de la spéciale. Le départ est très sale avec beaucoup de graviers. Je fais 2 petites erreurs en tapant des pierres à la corde bien que les notes les annonçait. Heureusement, pas de conséquence. On roule assez fort sur le reste de la spéciale mais sur l’avant dernier gros freinage, la course de la pédale de frein s’allonge un peu. Malgré cela, j’essaye de freiner tard pour négocier l’épingle avant l’arrivée mais on est un peu court, la 205 sous-vire et on ressort péniblement d’autant plus que je n’ai pas eu e temps de rentrer la première. Le chrono est quand même bon avec le 9ème temps scratch mais Parmeland nous reprend 3,2 secondes. Rebelotte en repartant du point stop, la pédale va au fond, le liquide de frein est de nouveau en ébullition. Les plaquettes étaient neuves au départ du rallye et devaient manquer de rodage.

A l’assistance, on purge les freins et on monte la rampe de phare. C’est reparti pour le deuxième tour de nuit.

ES3, le Clergeon court (12.85 km) : les freins fonctionnent parfaitement et la spéciale se passe bien. Pas mal de pierres ressortent des cordes et il faut parfois les éviter pour éviter la crevaison. Nous ne perdons que 9 secondes sur notre temps de jour, ce qui est pas mal sur les presque 13km du chrono. C’est le 9ème temps scratch et Parmeland nous prend encore 1,9 seconde.

ES4, Motz (13,57km) : nous démarrons mal la spéciale dès le premier virage : un peu vite, on sousvire et sortons un peu de la trajectoire dans les gravier. La 205 patine, on a du mal à retrouver les rails et une paire de secondes s’envolent. On est pas mal dans le reste de la spéciale et le petit soucis de frein est résolu. Nous perdons 11 secondes sur le temps de jour, réalisons de nouveau le 9ème temps scratch, toujours derrière la clio de Parmeland qui nous devance de 6,7 secondes.

Nous rentrons au parc fermé en 9ème position, 2ème du groupe F2000 à 10,8 secondes de Parmeland. Le 3ème de groupe est plus loin à 1minute et 4 secondes.

Dimanche, 2 boucles de 2 spéciales sont également au programme. Les routes sont sèches pour le départ mais la météo est incertaine et la pluie est annoncée en milieu de journée.

ES5, le Clergeon long (15.14km) : même spéciale que la veille rallongée de 2.5 kilomètres par le départ. On repart à l’attaque et faisons une très bonne spéciale : 8ème au scratch mais Parmeland et toujours devant pour 1,9 seconde.

ES6, le Sapenay ( 10.49km) : la spéciale commence par quelques épingles en montée avant une partie plus rapide jusqu'au col du Sapenay et une descente est assez technique alternant passages rapides et épingles jusqu'à l'arrivée. Après un long arrête de course, nous partons avec les pneus froids et roulons avec un peu de retenue sur le premier kilomètre. Malgré cela nous faisons une bonne spéciale, améliorant notre temps d’il y a 2 ans de 2 secondes. Mais ça ne sera pas suffisant pour devancer la clio qui grapille encore 1,9 seconde supplémentaire.

Au regroupement, nous sommes toujours 9ème au scratch avec un retard de 14.6 secondes sur Parmeland. A la régulière, il va être impossible de remonter sur la clio.

Le temps étant de plus en plus menaçant, nous décidons d’emmener deux roues de secours équipées de pneus mixtes au cas où la pluie arrive.

ES7, le Clergeon long (15.14km) : La route est sèche, nous faisons encore une bonne spéciale, attaquant jusqu’au bout et faisons le même temps que le passage précédent. La clio également, elle nous reprend 2,4secondes.

ES8, le Sapenay ( 10.49km) : sur la liaison avant la dernière spéciale, il commence à tomber quelques gouttes. Nous attendons le dernier moment au pointage de départ et décidons finalement de monter les pneus mixtes à l’avant car la pluie semble s’installer et la route est maintenant bien humide. Malgré les pneus mixtes, le grip n’est pas terrible sur la première partie en montée et je ne suis pas trop en confiance. A l’approche du col, il ne pleut plus et la route est à peine mouillée. Comprenant qu’on ne fera pas un temps exceptionnel, je limite la prise de risque et nous passons la ligne d’arrivée sans problème. Nous perdons 13,6 secondes sur la clio sur cette seule spéciale.

Au final, nous finissons 9ème au scratch et 2ème du groupe F2000 après une bonne bagarre. Pas de regrets, nous avons tout essayé mais Anthony Parmeland, à domicile, était très rapide.

Merci à Cyril, Alban, Marie-Laure et Arthur pour l’assistance.

Laurent pour LP SPORT AUTO

 

LPSportAuto_SavoieChautagne2019.jpg

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LP Sport Auto, Résumé du rallye de Savoie-Chautagne :

 

Le week end dernier, avec Lili, nous étions au départ du rallye de Savoie-Chautagne autour de Serrières en Chautagne. C’était notre deuxième participation à cette épreuve à laquelle nous avions déjà participé en 2017. 94 concurrents étaient au départ dont 9 dans la classe F2000-14. Il y avait un beau plateau pour le scratch avec 8 voitures de la classe R5 (Skoda, DS3 et Fiesta).

L'épreuve débutait Vendredi en fin d’après-midi avec 2 boucles de 2 spéciales, la première boucle de jour et la seconde de nuit.

ES1, le Clergeon court (12.85 km) : nous partons sur un très bon rythme dans la montée jusqu’au col du Clergeon, raide et tortueuse avec plus d’une dizaine d’épingles. Les 5km après le col sont nouveaux pour nous et nous les découvrons en course pour la première fois. Cette partie est très variée et fini par une descente assez raide et impressionnante. Il y a quelques cordes et déjà pas mal de pierres sont ressorties après le passage des premiers concurrents. Nous faisons un bon temps puisque c’est le 8ème au scratch derrière 7 R5 et le meilleur du groupe F2000 mais avec seulement 1 seconde d’avance sur la clio de Parmeland. En repartant du point stop, petit soucis de frein car le liquide est en ébullition et la pédale va au fond. En refroidissant sur la liaison, la pédale retrouve sa course normale.

ES2, Motz (13,57km) : cette spéciale a peu de dénivelé comparé aux autres. Elle commence par une boucle d’environ 1km à parcourir 2 fois avant de filer vers la suite de la spéciale. Le départ est très sale avec beaucoup de graviers. Je fais 2 petites erreurs en tapant des pierres à la corde bien que les notes les annonçait. Heureusement, pas de conséquence. On roule assez fort sur le reste de la spéciale mais sur l’avant dernier gros freinage, la course de la pédale de frein s’allonge un peu. Malgré cela, j’essaye de freiner tard pour négocier l’épingle avant l’arrivée mais on est un peu court, la 205 sous-vire et on ressort péniblement d’autant plus que je n’ai pas eu e temps de rentrer la première. Le chrono est quand même bon avec le 9ème temps scratch mais Parmeland nous reprend 3,2 secondes. Rebelotte en repartant du point stop, la pédale va au fond, le liquide de frein est de nouveau en ébullition. Les plaquettes étaient neuves au départ du rallye et devaient manquer de rodage.

A l’assistance, on purge les freins et on monte la rampe de phare. C’est reparti pour le deuxième tour de nuit.

ES3, le Clergeon court (12.85 km) : les freins fonctionnent parfaitement et la spéciale se passe bien. Pas mal de pierres ressortent des cordes et il faut parfois les éviter pour éviter la crevaison. Nous ne perdons que 9 secondes sur notre temps de jour, ce qui est pas mal sur les presque 13km du chrono. C’est le 9ème temps scratch et Parmeland nous prend encore 1,9 seconde.

ES4, Motz (13,57km) : nous démarrons mal la spéciale dès le premier virage : un peu vite, on sousvire et sortons un peu de la trajectoire dans les gravier. La 205 patine, on a du mal à retrouver les rails et une paire de secondes s’envolent. On est pas mal dans le reste de la spéciale et le petit soucis de frein est résolu. Nous perdons 11 secondes sur le temps de jour, réalisons de nouveau le 9ème temps scratch, toujours derrière la clio de Parmeland qui nous devance de 6,7 secondes.

Nous rentrons au parc fermé en 9ème position, 2ème du groupe F2000 à 10,8 secondes de Parmeland. Le 3ème de groupe est plus loin à 1minute et 4 secondes.

Dimanche, 2 boucles de 2 spéciales sont également au programme. Les routes sont sèches pour le départ mais la météo est incertaine et la pluie est annoncée en milieu de journée.

ES5, le Clergeon long (15.14km) : même spéciale que la veille rallongée de 2.5 kilomètres par le départ. On repart à l’attaque et faisons une très bonne spéciale : 8ème au scratch mais Parmeland et toujours devant pour 1,9 seconde.

ES6, le Sapenay ( 10.49km) : la spéciale commence par quelques épingles en montée avant une partie plus rapide jusqu'au col du Sapenay et une descente est assez technique alternant passages rapides et épingles jusqu'à l'arrivée. Après un long arrête de course, nous partons avec les pneus froids et roulons avec un peu de retenue sur le premier kilomètre. Malgré cela nous faisons une bonne spéciale, améliorant notre temps d’il y a 2 ans de 2 secondes. Mais ça ne sera pas suffisant pour devancer la clio qui grapille encore 1,9 seconde supplémentaire.

Au regroupement, nous sommes toujours 9ème au scratch avec un retard de 14.6 secondes sur Parmeland. A la régulière, il va être impossible de remonter sur la clio.

Le temps étant de plus en plus menaçant, nous décidons d’emmener deux roues de secours équipées de pneus mixtes au cas où la pluie arrive.

ES7, le Clergeon long (15.14km) : La route est sèche, nous faisons encore une bonne spéciale, attaquant jusqu’au bout et faisons le même temps que le passage précédent. La clio également, elle nous reprend 2,4secondes.

ES8, le Sapenay ( 10.49km) : sur la liaison avant la dernière spéciale, il commence à tomber quelques gouttes. Nous attendons le dernier moment au pointage de départ et décidons finalement de monter les pneus mixtes à l’avant car la pluie semble s’installer et la route est maintenant bien humide. Malgré les pneus mixtes, le grip n’est pas terrible sur la première partie en montée et je ne suis pas trop en confiance. A l’approche du col, il ne pleut plus et la route est à peine mouillée. Comprenant qu’on ne fera pas un temps exceptionnel, je limite la prise de risque et nous passons la ligne d’arrivée sans problème. Nous perdons 13,6 secondes sur la clio sur cette seule spéciale.

Au final, nous finissons 9ème au scratch et 2ème du groupe F2000 après une bonne bagarre. Pas de regrets, nous avons tout essayé mais Anthony Parmeland, à domicile, était très rapide.

Merci à Cyril, Alban, Marie-Laure et Arthur pour l’assistance.

Laurent pour LP SPORT AUTO

 

LPSportAuto_SavoieChautagne2019.jpg

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C'est le clash entre Maître Collard et Cohn-Bendit lors du débat! ;)

Débats post électoraux aussi soporifiques pour moi qu'une course d'Indy Cars pour peache.

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Débats post électoraux aussi soporifiques pour moi qu'une course d'Indy Cars pour peache.

pour le 1 idem donc après les résultats je suis passé sur le 2 mais comme a dit PH le saute mouton de la fin des 500 Miles a réussi à me captiver.... :lol::jap:

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LP Sport Auto, Résumé du rallye de Savoie-Chautagne :

 

Le week end dernier, avec Lili, nous étions au départ du rallye de Savoie-Chautagne autour de Serrières en Chautagne. C’était notre deuxième participation à cette épreuve à laquelle nous avions déjà participé en 2017. 94 concurrents étaient au départ dont 9 dans la classe F2000-14. Il y avait un beau plateau pour le scratch avec 8 voitures de la classe R5 (Skoda, DS3 et Fiesta).

L'épreuve débutait Vendredi en fin d’après-midi avec 2 boucles de 2 spéciales, la première boucle de jour et la seconde de nuit.

ES1, le Clergeon court (12.85 km) : nous partons sur un très bon rythme dans la montée jusqu’au col du Clergeon, raide et tortueuse avec plus d’une dizaine d’épingles. Les 5km après le col sont nouveaux pour nous et nous les découvrons en course pour la première fois. Cette partie est très variée et fini par une descente assez raide et impressionnante. Il y a quelques cordes et déjà pas mal de pierres sont ressorties après le passage des premiers concurrents. Nous faisons un bon temps puisque c’est le 8ème au scratch derrière 7 R5 et le meilleur du groupe F2000 mais avec seulement 1 seconde d’avance sur la clio de Parmeland. En repartant du point stop, petit soucis de frein car le liquide est en ébullition et la pédale va au fond. En refroidissant sur la liaison, la pédale retrouve sa course normale.

ES2, Motz (13,57km) : cette spéciale a peu de dénivelé comparé aux autres. Elle commence par une boucle d’environ 1km à parcourir 2 fois avant de filer vers la suite de la spéciale. Le départ est très sale avec beaucoup de graviers. Je fais 2 petites erreurs en tapant des pierres à la corde bien que les notes les annonçait. Heureusement, pas de conséquence. On roule assez fort sur le reste de la spéciale mais sur l’avant dernier gros freinage, la course de la pédale de frein s’allonge un peu. Malgré cela, j’essaye de freiner tard pour négocier l’épingle avant l’arrivée mais on est un peu court, la 205 sous-vire et on ressort péniblement d’autant plus que je n’ai pas eu e temps de rentrer la première. Le chrono est quand même bon avec le 9ème temps scratch mais Parmeland nous reprend 3,2 secondes. Rebelotte en repartant du point stop, la pédale va au fond, le liquide de frein est de nouveau en ébullition. Les plaquettes étaient neuves au départ du rallye et devaient manquer de rodage.

A l’assistance, on purge les freins et on monte la rampe de phare. C’est reparti pour le deuxième tour de nuit.

ES3, le Clergeon court (12.85 km) : les freins fonctionnent parfaitement et la spéciale se passe bien. Pas mal de pierres ressortent des cordes et il faut parfois les éviter pour éviter la crevaison. Nous ne perdons que 9 secondes sur notre temps de jour, ce qui est pas mal sur les presque 13km du chrono. C’est le 9ème temps scratch et Parmeland nous prend encore 1,9 seconde.

ES4, Motz (13,57km) : nous démarrons mal la spéciale dès le premier virage : un peu vite, on sousvire et sortons un peu de la trajectoire dans les gravier. La 205 patine, on a du mal à retrouver les rails et une paire de secondes s’envolent. On est pas mal dans le reste de la spéciale et le petit soucis de frein est résolu. Nous perdons 11 secondes sur le temps de jour, réalisons de nouveau le 9ème temps scratch, toujours derrière la clio de Parmeland qui nous devance de 6,7 secondes.

Nous rentrons au parc fermé en 9ème position, 2ème du groupe F2000 à 10,8 secondes de Parmeland. Le 3ème de groupe est plus loin à 1minute et 4 secondes.

Dimanche, 2 boucles de 2 spéciales sont également au programme. Les routes sont sèches pour le départ mais la météo est incertaine et la pluie est annoncée en milieu de journée.

ES5, le Clergeon long (15.14km) : même spéciale que la veille rallongée de 2.5 kilomètres par le départ. On repart à l’attaque et faisons une très bonne spéciale : 8ème au scratch mais Parmeland et toujours devant pour 1,9 seconde.

ES6, le Sapenay ( 10.49km) : la spéciale commence par quelques épingles en montée avant une partie plus rapide jusqu'au col du Sapenay et une descente est assez technique alternant passages rapides et épingles jusqu'à l'arrivée. Après un long arrête de course, nous partons avec les pneus froids et roulons avec un peu de retenue sur le premier kilomètre. Malgré cela nous faisons une bonne spéciale, améliorant notre temps d’il y a 2 ans de 2 secondes. Mais ça ne sera pas suffisant pour devancer la clio qui grapille encore 1,9 seconde supplémentaire.

Au regroupement, nous sommes toujours 9ème au scratch avec un retard de 14.6 secondes sur Parmeland. A la régulière, il va être impossible de remonter sur la clio.

Le temps étant de plus en plus menaçant, nous décidons d’emmener deux roues de secours équipées de pneus mixtes au cas où la pluie arrive.

ES7, le Clergeon long (15.14km) : La route est sèche, nous faisons encore une bonne spéciale, attaquant jusqu’au bout et faisons le même temps que le passage précédent. La clio également, elle nous reprend 2,4secondes.

ES8, le Sapenay ( 10.49km) : sur la liaison avant la dernière spéciale, il commence à tomber quelques gouttes. Nous attendons le dernier moment au pointage de départ et décidons finalement de monter les pneus mixtes à l’avant car la pluie semble s’installer et la route est maintenant bien humide. Malgré les pneus mixtes, le grip n’est pas terrible sur la première partie en montée et je ne suis pas trop en confiance. A l’approche du col, il ne pleut plus et la route est à peine mouillée. Comprenant qu’on ne fera pas un temps exceptionnel, je limite la prise de risque et nous passons la ligne d’arrivée sans problème. Nous perdons 13,6 secondes sur la clio sur cette seule spéciale.

Au final, nous finissons 9ème au scratch et 2ème du groupe F2000 après une bonne bagarre. Pas de regrets, nous avons tout essayé mais Anthony Parmeland, à domicile, était très rapide.

Merci à Cyril, Alban, Marie-Laure et Arthur pour l’assistance.

Laurent pour LP SPORT AUTO

 

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Merci pour le résumé :jap: .

Toujours aussi passionnant de lire de tel récit :love: .

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Il en manque aujourd'hui.... retour d'un WE chargé ?

 

 

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Même si Jayne Mansfield est décédée dans un accident de voiture, ce n'est pas dans celui qui aurait pu suivre la prise de la troisième photo si ce n'avait été un "montage" comme on disait à l'époque!

 

Quant à la dernière, c'est une publicité pour une marque de roues, AUNGER.

 

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La minute nostalgie.

Ca s'est passé un 27 Mai dans les années 50 dans la région Lyonnaise.il-ne-reste-plus-beaucoup-de-temps-a-ce-mecanicien-pour-remettre-cette-becane-en-etat-de-marche-1951.jpg

 

 

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Notre journaliste à moto est au plus près des coureurs cyclistes pour rapporter aux lecteurs du journal du 28 mai les meilleurs infos sur le circuit des Six Provinces.Cette course fusionnera avec celle du Critérium du Dauphiné en 1969.1952

 

 

 

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Image complètement irréelle de nos jours,cet enfant assis sur le comptoir d'un bar est bel et bien en train de se descendre une chope de bière !Les premières lois visant à protéger les mineurs de l'alcool seront créées uniquement l'année suivante et il faudra attendre 1956 pour que les pouvoirs publics interdisent les boissons alcoolisées à la cantine pour les moins de 14 ans ! 1953.

 

 

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Les cerises commencent à envahir les étales des marchés,ici à Vourles.On notera au passage le prix qui laisse reveur aujourd'hui puisque le kilo est vendu au prix de 100 anciens Francs...soit 0.15 centimes d'Euros !1959

 

Archives Le Progrès

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Invité §pea455RK

Et le 27 mai 2019, la police a serré le loustic qui avait déposé un colis piégé près de la place Bellecour. :jap:

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Invité §BBS561Kn

Merci à tous pour vos voeux à l'occasion de mon 55è tour de piste. L'accolade à tous!

:jap:

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Justement, une fois de plus je ne suis pas sur la même longueur d'ondes que beaucoup, c'est ballot ! :D

J'ai commencé à regarder les 500 miles, sachant que chaque année, je renonce vite car ça m'ennuie profondément, mais bon, là, avec Pagenaud en pole, tout ça... :love:

Au tour 24 très exactement, il ne s'était absolument rien passé hormis le drapeau jaune à la suite de la panne de boîte de Colton Herta. Nous n'étions qu'au huitième de la procession, mes yeux se fermaient, j'en avais ras le bol d'entendre ces abeilles -que je trouve en outre personnellement particulièrement moches- se suivre en file indienne, il restait encore 176 tours et Boullier me déprimait en répétant que de toute façon, c'est dans les 40 derniers tours que tout se joue (on se demande pourquoi ils font les 160 premiers, ça économiserait le matériel de n'en faire que 40 ! :p ).

 

Je suis donc allé me coucher avec un bon bouquin et j'ai vu le résultat ce matin : d'après les quatre ou cinq sites que j'ai consultés, il ne s'est rien passé avant les derniers tours -comme l'avait très bien dit Boullier- hormis les habituels cartons dont celui de Bourdais. Pagenaud n'a eu qu'un seul adversaire, Rossi, un mec qui n'a jamais mis un pied devant l'autre en F1 mais a été près de remporter pour la deuxième fois Indy, ce qui permet de se poser quelques questions sur le niveau. Aucun regret, donc ! :sol:

 

Par contre, le GP de Monaco m'a tenu en haleine du départ jusqu'au dernier virage. :)

 

 

Edit : je pense que par rapport à un certain nombre d'entre vous, il doit me manquer un chromosome, le "stars and stripes". J'ai un mal fou à me passionner pour (et même à comprendre comment ça fonctionne :p ) les courses Indy sur ovale (par contre j'aime bien les tracés urbains et routiers), la Nascar, les drifts de Ken Block, le football américain, le base-ball, la NBA, les comics, les films Marvel, le Coca-Cola, les hamburgers... et Donald Trump. :lol:

 

Marianne, qui n'est pas une vraie passionnée mais qui connaît tout de même un peu, a regardé par intermittence Monaco avec moi, le départ, l'arrivée, quelques phases de course au milieu en me posant des questions sur la physionomie du GP. Ensuite, elle a regardé le départ d'Indy en ma compagnie. Au bout de dix tours :

" Ça intéresse qui, ce défilé sur une autoroute ?

- Ben, les Ricains !

- Et ça va durer ?

- Pas loin de trois heures...

- Comme ça ?

- Essentiellement oui !

- Oui, bon, d'accord ! Je vais me pieuter !"

Un quart d'heure après, je la rejoignais ! :lol:

 

 

J'ai regardé les 500 miles, mais disons que contrairement au rallye Monte-Carlo, au GP de Monaco ou bien celui de Spa ou encore aux 24h du Mans, quand la date approche je ne compte pas le nombre de jours ou de semaines restantes (tu me diras c'est pratique c'est le même jour que le GP de Monaco). Comme cela passe sur Canal à une heure raisonnable (ce qui je crois n'est pas le cas pour toi!) je regarde, si les droits allaient vers une autre chaîne payante cela m'en toucherait une sans faire bouger l'autre! Disons que oui les 25-30 derniers tours sont intéressants, le reste... Et c'est bien la seule course sur ovale que je prends le temps de regarder, je regarde assez fréquemment l'Indy mais seulement sur les circuits routiers ou urbains, mais cela reste trop aléatoire comme courses, encore trop de drapeaux jaunes sur certaines manches!

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Vettel&HamiltonMonaco2019-jpg large.jpg

 

Immortel ce Lauda, il meurt une deuxième fois et le dimanche suivant il réapparaît en double exemplaire et occupe les 2 premières marches du podium à Monaco!

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