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Formule 1

Jackie Stewart OBE [Topic Officiel]


firecracker

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Sir John Young Stewart, ou Jackie Stewart OBE

 

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Source

F1legend http://www.f1-legend.fr/histoire/pilotes/pil_stewart.htm

 

Nationalité : Britannique

Né le : 11 juin 1939

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Lorsqu'on pense à Jackie Stewart, on a immédiatement l'image d'une Tyrrell bleue qui remporte encore une autre victoire, et d'un pilote avec des lunettes noires et des favoris. Mais le nom évoque surtout un champion avec un incroyable sens des affaires et en outre le pilote le plus astucieux qui ait jamais couru en Formule 1.

Champion du monde en 1969, 1971 et 1973, Jackie avait également un grand flair commercial, ce qui ouvrit les portes aux salaires mirobolants dont bénéficient les pilotes d'aujourd'hui. Ayant vu mourir un grand nombre de ses amis et de ses contemporains, l'une de ses préoccupations était de rendre la Formule 1 plus sûre et de s'assurer que les pilotes soient rémunérés en proportions des risques qu'ils prenaient. Alors que d'autres pilotes hésitaient à s'engager, ce petit écossais s'accrocha à ses principes.

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Réglage du tir

 

Il s'était trouvé lui-même emprisonné sous sa voiture retournée au Grand Prix de Belgique en 1966 avec l'essence lui dégoulinant sur la combinaison. Par miracle, aucune étincelle n'alluma cette torche potentielle et il put continuer sa carrière mais il ne souhaitait pas se retrouver dans une telle situation. C'est ainsi qu'il s'embarqua dans une croisade pour la sécurité, laquelle sauva indubitablement de nombreuses vies. Aujourd'hui, Jackie Stewart s'occupe d'un organisme qui aide les mécaniciens victimes d'accidents. Rares sont les pilotes ayant de telles préoccupations ; quant à lui, c'est non seulement un homme de principe mais aussi d'action.

Alors que Prost voulait être footballeur, Jackie était déjà en train de revenir tireur d'élite, mais il ne réussit pas à se qualifier pour se représenter la Grande-Bretagne aux Jeux Olympiques de 1960. Ce fut peut-être cette déception qui l'amena à suivre son frère aîné Jimmy dans la course automobile afin de donner un exutoire à sa nature compétitive. Bref, quelle que soit la raison, ses premières courses avec l'équipe Écurie Ecosse démontrèrent que Jackie avait des qualités très spéciales derrière un volant.

Les voitures GT et de sport ne lui suffirent pas très longtemps et Ken Tyrrell le repéra et le plaça dans sa voiture de Formule 3. Des victoires s'ensuivirent rapidement et il fut bientôt quasiment harcelé par Lotus pour y être engagé en 1965 mais, bien qu'il conduisit pour Lotus en Formule 2 ultérieurement cette année-là, il refusa et alla plutôt chez BRM. Très peu de pilotes gagnent des courses dans leur première saison de Formule 1, mais Jackie fut l'un d'entre eux, triomphant dans sa huitième sortie seulement, le Grand Prix d'Italie. Le fait qu'il termina sa première année troisième au classement général derrière Jimmy Clark et son coéquipier de BRM Graham Hill prouvait qu'il était l'homme à ne pas perdre de vue.

Restant chez BRM, Jackie démarra sa campagne de 1966 dans le meilleur style possible, gagnant dans les rues de Monaco. Mais ce fut un coup de chance, car la BRM ne s'avéra plus aussi compétitive quand l'équipe de Brabham prit les commandes. Jackie ne gagna plus d'autres courses avant le Grand Prix des Pays-Bas de 1968, époque à laquelle il fut réuni avec son patron antérieur Ken Tyrrell.

 

 

 

Les années Tyrrell

Sur la période des neuf ans de Jackie en Formule 1, six années furent passées chez Ken Tyrrell. Tout d'abord c'était dans une Matra à moteur Ford inscrite pour la marque française par le propriétaire de l'équipe britannique et il remporta trois victoires en 1968. La deuxième année de cette combinaison fut encore plus réussie car Jackie Stewart remporta six courses et le titre.

Au cours d'une période faste pour les pilotes britanniques, il ramassa sa couronne de Championnat du monde qui était la sixième pour un Britannique depuis celle remportée par Graham Hill sept ans auparavant. Ensuite, en 1970, la Matra fut remplacée par la March construite en Grande-Bretagne. Mais Jackie ne pouvait pas rivaliser avec la Lotus de Jochen Rindt ni les Ferrari. Enfin, en 1971, l'équipe envoya Jackie et son coéquipier François Cevert se battre dans des Tyrrell construites par eux-mêmes à un moment où peu d'entrepreneurs pouvaient rivaliser avec la vitesse et la constance des voitures bleues sponsorisées par Elf. En perfectionnant sa façon de piloter avec un tour d'ouverture à très grande vitesse, qui lui permettait de distancer tous ses rivaux puis de maîtriser la course à sa propre vitesse, Jackie Stewart triompha six fois en 1971. L'année suivante, cela lui donna encore quatre victoires, mais il fut battu pour le titre par le pilote de Lotus Emerson Fittipaldi. Ensuite, en 1973, il empocha cinq victoires quand il atteignit Watkins Glen, qui était le terrain du Grand Prix des États-Unis.

Ce fut à ce circuit difficile, dans le Nord de l'Etat de New York, que Jackie décida de remettre son casque au vestiaire immédiatement. Pas parce que c'était la fin de la saison et qu'il en avait eu assez des voyages, mais à cause de la mort de son coéquipier Cevert dans un accident en qualification. Jackie ne pouvait pas le supporter. Ken Tyrrell retira sa participation et Jackie ne courut plus jamais. Ses 27 victoires en Grand Prix (avec 99 départs) devaient rester un record seulement battu par Prost dans le Grand Prix du Portugal en 1987 (son 118e Grand Prix).

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Une retraite active

Comme de nombreux pilotes, il semble que Jackie Stewart se soit davantage occupé du sport depuis qu'il est à la retraite. En tant que consultant et ambassadeur pour de nombreuses sociétés financières, il continue à être une force motrice. Aujourd'hui, il est le dignitaire de la Formule 1, le plus actif et le plus respecté. Jackie s'est associé avec son fils Paul, qui gère une équipe de course très active en Formule 3000, en Formule 3 et en Formule Vauxhall, pour revenir en Formule 1 en 1997 sous les couleurs de Stewart Racing. Mais il céda son écurie à Jaguar non sans avoir marqué l'histoire en remportant un Grand Prix grâce à son pilote Johnny Herbert en 1999.

 

STATISTIQUES DE GRANDS PRIX

 

 

Nb de GP Ecurie Points Poles records/tour victoires classement

1965 10 BRM 33 1 3eme

1966 8 BRM 14 1 7eme

1967 11 BRM 10 9eme

1968 10 Matra 36 2 3 2eme

1969 11 Matra 63 2 5 6 1er

1970 13 March/Tyrrell 25 4 1 5eme

1971 11 Tyrrell 62 6 3 6 1er

1972 11 Tyrrell 45 2 4 4 2eme

1973 14 Tyrrell 71 3 1 5 1er

 

Bilan de carrière

99 Grands Prix, 17 pole positions, 15 records du tour, 27 victoires, 359 points

Triple Champion du monde 1969 - 1971 - 1973

 

Source

F1legend http://www.f1-legend.fr/histoire/pilotes/pil_stewart.htm

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Invité §taz014xM

C'est marrant, Stewart porte un casque d'hélicoptère sur la première photo :jap:

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Le témoignage d'un grand :jap:

 

Rétro : 1966

Vivre avec la mort

 

Au milieu des années 1960, le manque de mesures sécuritaires lors des Grands Prix est devenu un sujet préoccupant. La nouvelle génération de pilotes n'était plus autant portée à accepter les risques du sport sans questionnement.

 

L'homme qui a fait plus que quiconque pour améliorer cette situation est sans conteste le triple champion du monde Jackie Stewart.

 

"Imaginez que vous perdez 57 - je répète, 57 - amis et collègues sur une période de 11 ans, et que vous les voyez mourir dans des circonstances horribles alors qu'ils font le même travail que vous, week-end après week-end", a -t-il écrit dans son autobiographie Winning is not enough (Gagner n'est pas assez). "Moi, je n'avais pas à l'imaginer. Je l'ai vécu. Être un pilote de course entre 1963 et 1973, c'était accepter la probabilité de mourir."

 

L'accident qui a fait de Stewart un militant actif et acharné est survenu lors du Grand Prix de Belgique 1966. Le légendaire circuit de Spa-Francorchamps était un des plus traîtres : un tracé de 14 kilomètres serpentant à travers la forêt, avec de longues sections n'ayant aucune barrière de protection. La longueur du circuit signifiait aussi qu'il existait de nombreux endroits hors de vue des commissaires et des secours d'urgence. Lors de l'édition 1960, deux pilotes - Chris Bristow et Alan Stacey - sont morts à quelques minutes d'intervalle.

 

Le GP de Belgique 1966 a débuté sous une couverture nuageuse, mais une pluie torrentielle est apparue avant la fin du premier tour ; la piste s'est rapidement transformée en patinoire. Huit voitures ont été accidentées en quelques minutes.

 

Jo Bonnier a traversé une fenêtre située au deuxième étage d'une maison bordant la piste. Mike Spence a perdu le contrôle de sa voiture et s'est retrouvé au bord d'un précipice gazonné ; il a réussi à sortir du cockpit avant de voir la voiture plonger. Cinq autres pilotes ont quitté la piste de façon moins dramatique. Le huitième, Stewart, n'aurait pas cette chance.

 

"Nous avons rencontré un mur de pluie, du type qu'on ne rencontre que dans le sud de la Belgique", a raconté l'Écossais au Guardian, près de trois décennies plus tard. À plus de 270 km/h dans une visibilité quasiment nulle, sa BRM est partie en aquaplanage à l'entrée d'un virage. "J'ai frappé un poteau de bois, ensuite l'atelier d'un bûcheron, et je me suis retrouvé dans le sous-sol d'une ferme. La voiture avait la forme d'une banane et j'étais pris au piège à l'intérieur."

 

"Le réservoir de carburant s'était complètement éventré vers l'intérieur, la monoplace était littéralement remplie de carburant. Ça ballottait dans le cockpit. Le tableau de bord était cassé, il a été retrouvé à 200 mètres de la voiture, mais la pompe à carburant électrique était toujours en marche. Le volant ne voulait pas se détacher et je ne pouvais sortir."

 

Son coéquipier Graham Hill a glissé au même endroit quelques secondes plus tard, de façon moins spectaculaire certes, mais il a néanmoins frappé des ballots de paille à reculons, à 210 km/h. Alors qu'il tentait de retourner en piste (il aurait pu continuer mais à décidé d'abandonner puisqu'il avait perdu trop de temps), Hill a remarqué l'épave de la voiture de Stewart. Il a couru pour aller voir.

 

On découvrant Stewart, Hill a immédiatement tenté de le libérer. Bob Bondurant, dont la voiture venait de se renverser, l'a rejoint. Les deux hommes ont travaillé furieusement pour extraire leur confrère alors que le carburant les couvrait autant que la voiture. Il suffisait d'une étincelle pour que les trois disparaissent dans une boule de feu.

 

Au bout de 25 minutes, le pilote était sorti de l'épave ; aucun commissaire de course ne s'était encore présenté. Avec l'aide d'une boîte à outils empruntée à un spectateur, Hill et Bondurant avaient dévissé le volant, dégagé Stewart de sa voiture, et transporté le blessé vers une ferme.

 

Stewart a demandé à Hill de lui retirer ses vêtements : il était conscient que sa combinaison saturée de carburant représentait toujours un risque important, et de plus, le liquide irritait sa peau. "C'est à ce moment que des nonnes sont arrivées" a-t-il raconté. "En apercevant un homme nu à l'arrière d'un camion de foin, ils m'ont remis mes vêtements. Graham a trouvé une ambulance et est revenu me chercher. Il a retiré mes vêtements de nouveau."

 

Mais l'épreuve de Stewart n'était pas terminée. La vieille ambulance l'a transporté à l'endroit qui faisait office de centre médical, où il est resté étendu sur sa civière. "Il n'y avait pas de médecin", se souvenait-il. "On m'a laissé sur une civière, par terre, entouré de mégots de cigarettes. C'était sale."

 

Finalement, une autre ambulance est venu le chercher et s'est dirigée vers l'hôpital de Liège, escorte policière à l'appui. Mais l'escorte a laissé l'ambulance continuer son chemin seule ; le chauffeur s'est perdu puisqu'il ne connaissait pas la route.

 

À bord de l'ambulance transportant Stewart, il y avait son épouse Helen et son grand ami Jim Clark. Stewart gémissait ; entre autres meurtrissures, il avait des côtes cassées et des blessures aux épaules. Clark l'a sèchement ramené à l'ordre : "Pour l'amour de Dieu, Jackie, ressaisis-toi. Helen est ici."

 

Malgré la gravité de son accident, Stewart courait de nouveau moins d'un mois plus tard. Mais toute son attitude envers la F1 avait changé.

 

"Après Spa, j'ai réalisé à quel point c'était vraiment dangereux", a-t-il dit. "Comme la plupart des pilotes, je pensais que les accidents n'arrivaient qu'aux autres. Soudain, l'importance du danger m'a frappé. Ça m'avait touché de près. C'est à ce moment que j'ai décidé de faire quelque chose pour que ce sport devienne plus sécuritaire."

 

À la consternation de plusieurs propriétaires de circuit (et, aussi surprenant que cela puisse paraître, à celle de quelques pilotes aussi), Stewart a implacablement débuté sa campagne. Peu à peu, des mesures aujourd'hui considérées comme une évidence ont été mises en place, tels des ceintures, des visières qui couvrent le visage entier et des combinaisons de course à l'épreuve du feu.

 

En 1969, comme président de l'association des pilotes de Grand Prix, il a été le fer de lance d'un boycott visant le circuit de Spa-Francorchamps : les propriétaires ont été forcés de procéder à des améliorations majeures longtemps mises de côté.

 

Malheureusement, la campagne de Stewart a pris des années avant d'avoir un véritable effet sur les mœurs. Pendant ce temps, la liste des victimes continuait à s'allonger. Des 15 pilotes au départ du GP de Belgique 1966, cinq sont décédés au cours des cinq années suivantes : Lorenzo Bandini (Monaco 1967), Jim Clark (Hockenheim 1968), Mike Spence (Indianapolis 1968), Jochen Rindt (Monza 1970) et Jo Siffert (Brands Hatch 1971).

 

"Si j'ai un legs à laisser au sport, j'espère que ce sera celui des mesures sécuritaires", Stewart a déclaré au site internet du Temple de la renommée des Grands Prix. "Les soi-disant précautions et mesures de sécurité étaient diaboliques lorsque j'ai commencé à courir dans les Grands Prix."

 

Martin Williamson est le rédacteur en chef des médias numériques ESPN EMEA

© ESPN EMEA Ltd.

 

http://fr.espnf1.com/f1/motorsport/story/26297.html

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Après l'accident de Kubica et l'appendicite de Timo Glock, un autre pilote de F1 est à l'hospital. Je n'aime pas ça.

 

Jackie Stewart hospitalisé à Londres

 

 

Après un malaise dans le vol en provenance de Genève

 

Sir Jackie Stewart a été transporté dans un hôpital de Londres après avoir fait un malaise durant un vol qui le ramenait ce matin du Salon de Genève, qui se tient actuellement au Palexpo en Suisse.

 

Le triple champion du monde de 71 ans s’est plaint de douleurs à la poitrine avant de faire son malaise. Son fils Paul a été joint par la BBC. "Je viens de lui parler au téléphone à l’hôpital. Il avait l’air en bonne forme mais quelque chose s’est visiblement passé pendant le vol et il faut maintenant établir quoi. Je suis en route pour aller le voir."

 

A l’atterrissage, l’avion a été rejoint par du personnel soignant et une ambulance. La British Airways confirme : "notre équipage a demandé un atterrissage prioritaire afin de porter secours à un passager masculin dès l’arrivée de l’avion."

 

Des journalistes étaient dans l’avion et ont signalé que Stewart s’était rendu aux toilettes sans jamais en revenir. Quand il a été trouvé, le pilote a demandé l’intervention d’un médecin mais Stewart avait déjà repris conscience et il est retourné à sa place avant même que l’avion se soit posé.

 

Stewart est actuellement au Hillingdon Hospital d’Uxbridge près de Londres et il devrait en ressortir très rapidement après des examens.

nextgenauto

 

Bon rétablissement!

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Il s'en était bien sorti, ça va...

 

Actualité certaine pour Stewart, la sortie d'un film qui lui est consacré, "week end of a champion", réalisé par Roman Polanski. En fait une remise à jour d'un film de 1971, réalisé lors du GP de Monaco...

 

Quelques images...

//www.youtube.com/embed/w-vLZRt2GKY

 

Le lieu a un peu changé depuis quand même...

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Invité §ric165rQ

Il s'en était bien sorti, ça va...

 

Actualité certaine pour Stewart, la sortie d'un film qui lui est consacré, "week end of a champion", réalisé par Roman Polanski. En fait une remise à jour d'un film de 1971, réalisé lors du GP de Monaco...

 

Quelques images...

//www.youtube.com/embed/w-vLZRt2GKY

 

Le lieu a un peu changé depuis quand même...

 

"Weekend of a champion" est passé hier soir sur canal + (décalé). Superbe film-documentaire avec des images inédites et des réactions de l'époque et de maintenant. C'était incroyable. La génération Stewart est pour moi un peu l'inconnu, mais quand on voit les voitures et les circuits de l'poque, on ne peut que se féliciter de l'évolution.

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