#99 Antonio Giovinazzi

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Antonio Giovinazzi

 

Antonio Giovinazzi, né le 14 décembre 1993 à Martina Franca, est un pilote automobile italien. Il est le pilote de réserve de la Scuderia Ferrari et de Sauber en 2017. Il remplace Pascal Wehrlein blessé lors du Grand Prix d'Australie 2017 et prend part à son premier départ en Formule 1, avec Sauber.

 

 

Palmares :

 

- Vice champion GP2 en 2016

- Vice champion F3 Europe en 2015

- Vice champion F3 Britannique en 2013

- Champion Formula Pilota China en 2012

 

http://f1only.fr/wp-content/uploads/2017/03/antonio-giovinazzi.jpg

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Titulaire en 2018 ?

 

Antonio Giovinazzi, qui remplaçait Pascal Wehrlein, blessé, a réalisé un sans-faute hier pour son premier Grand Prix. Même si sa Sauber ne lui permettait pas de viser les points, le jeune pilote italien a confirmé les excellentes impressions qu’il avait laissées après une semaine d’essais privés à Barcelone.

 

« C’était un week-end parfait parce qu’un pilote italien était de retour en F1, et parce que Ferrari a retrouvé la victoire » se réjouissait Antonio Giovinazzi après l’arrivée.

 

Le vice-champion du GP2 a néanmoins souffert en fin d’épreuve avec des monoplaces plus physiques à conduire…

 

« Physiquement, c’était rude. En particulier au niveau de mon cou durant les derniers tours. Il faut que je m’entraîne, parce que passer les virages en F1 est une chose complètement différente. »

 

Dans deux semaines, à Shanghai, Pascal Wehrlein devrait selon toute vraisemblance retrouver son poste de pilote titulaire. Antonio Giovinazzi redeviendra donc pleinement le 3e pilote Ferrari. L’Italien a cependant marqué les esprits à Barcelone comme à Melbourne. Et quand on sait que Kimi Räikkönen n’a pas encore prolongé pour la saison prochaine, cela pourrait donner des idées à la Scuderia…

 

Pour le moment, le jeune pilote tempère ces ambitions.

 

« Dans deux semaines, je serai en Chine et je serai habillé en rouge. Ensuite nous verrons. »

 

Mais une source interne à Ferrari, restée anonyme, témoigne du fort intérêt de la Scuderia pour Antonio Giovinazzi …

 

« Antonio a un bon futur. Son talent est évident. Tout le monde chez Ferrari et Sauber peut le voir. Maintenant, nous devons voir si Pascal Wehrlein est en forme pour la Chine et Bahreïn. Si ce n’est pas le cas, Antonio Giovinazzi est là. Et ensuite, il est clair que si Kimi Räikkönen n’est pas intéressé par la saison 2018, ou si Ferrari veut investir dans la jeunesse… alors, ensuite, Antonio prendra sa place. »

 

 

Nextgen Auto

[Invité §Don285Vw]

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Bon alors ce Panzani-Zapetti, pas dégueu' en course! Je le verrais bien à la place d'Ericsson et au coté de Wehrlein

[Invité §The268YD]

Petit problème, Ericsson a acheté Sauber, va falloir se lever tôt pour le dégager du baquet

[Invité §gro171sK]

Ah mais moi je le veux en F1 et pour la simple raison qu'il est italien, que je reve de voir un italien en rouge et que la F1 sans pilote italiens ou brésiliens c'est plus la f1.

[JM 30]

Alors ça ne doit plus l'être, puisqu'après le départ en 2 temps de Massa, le Brésil n'est plus représenté. Et l'Italie non plus en 2018. Mais ouf pour 2019 alors, car ça y est, Giovinazzi décroche un poste de titulaire chez Sauber.

 

Il va être surveillé de près, car il aura Raikkonen comme équipier, et vu que le finlandais chez Ferrari est resté globalement un ton derrière Vettel, l'italien se doit de dominer Iceman, sinon il risque de ne pas durer longtemps. Surtout que dans la filière Ferrari, Leclerc, carrément nouveau pilote maison, lui a grillé la politesse.

 

En 2018, Giovinazzi a participé à quelques EL1 avec Sauber. Juste avant, il avait été réserviste chez Haas, mais il semble que ça ne se soit pas bien passé.

http://f1i.auto-moto.com/infos [...] azzi-2018/

 

Parce que l'italien n'a pas convaincu l'équipe ou parce que les américains ne voulaient pas se faire imposer un pilote par Ferrari, telle est la question. Cela dit, si Giovinazzi mérite de défendre sa chance en F1, je ne suis pas convaincu qu'il s'agisse d'un génie qui gagnera des titres. C'est en tout cas positif pour l'Italie, pays ou si l'on enlève Ferrari, le sport auto est plutôt mort .

[JM 30]

Giovinazzi n'est pas resté à faire seulement des essais en 2018, il a eu l'opportunité notamment de faire le Petit Le Mans chez Tequila Patron et le Mans avec Ferrari en LM GTE.

 

Face à Raikkonen en tout cas, il lui faudra être moins brouillon, il a laissé un souvenir mitigé après Shanghai en 2017 ou il a cassé du petit bois...

 

Voila aussi les couleurs de son couvre-chef...

[JM 30]

Giovinazzi veut démontrer qu'il n'est pas qu'un pilote de simulateur:

https://fr.motorsport.com/f1/n [...] i/3156870/

 

L'ancien rival de Gasly pour le dernier titre GP2 de l'histoire va en tout cas retrouver sur la grille Lance Stroll, en espérant qu'avec des voitures plus puissantes, ils ne nous refassent pas un remake de ce monumental carton en F3 à Monza en 2015.

 

Sur que sur un simulateur, avec quelque chose de similaire, on a juste "game over" et on recommence sans souci...

[JM 30]

Giovinazzi dans la Sauber en 2018 pour ses apparitions en EL1...

 

Petit problème, Ericsson a acheté Sauber, va falloir se lever tôt pour le dégager du baquet

 

Ericsson va rester réserviste chez les suisses en 2019. L'équipe a intérêt tout de même à avoir un autre pilote titulaire d'une superlicence sous le coude, si Raikkonen ou Giovinazzi connaissent une défaillance lors d'un week end ou le suédois court en Indycar, ça va poser des soucis. Et si l'un des 2 déçoit franchement et ne termine pas la saison...

 

Ericsson en tout cas veut faire regretter son remplacement par Giovinazzi.

https://fr.motorsport.com/f1/n [...] r/4301451/

[JM 30]

L'italien pense que ses 2 apparitions de 2017 vont l'aider pour 2019.

 

F1 - Giovinazzi sera mieux préparé à la F1 qu’en 2017

 

Il n’avait presque pas roulé avant de faire ses piges

 

Antonio Giovinazzi sera un débutant l’an prochain, mais a tout de même déjà roulé lors de deux week-ends en Formule 1. C’était début 2017, il avait remplacé Pascal Wehrlein - alors blessé - chez Sauber, mais l’Italien reconnaît qu’il repartira presque de zéro en 2019.

 

"Ça fait déjà longtemps, c’était au début de l’année dernière" rappelle-t-il. "En Australie, je n’ai roulé que le samedi et en Chine, il n’y avait pas d’essais libres à cause de la météo."

 

"C’était une période difficile, mais l’année prochaine, les choses iront mieux. J’aurai disputé les essais hivernaux de Barcelone pour me mettre à niveau et je serai beaucoup mieux préparé quand j’arriverai à Melbourne cette fois-ci."

 

Depuis ces débuts, il n’a couru qu’une seule course en presque deux ans, au Mans, et admet que ça le démange : "J’ai hâte de recommencer à courir. La pression du week-end de course et du dimanche me manque. Pour l’instant, j’étais détendu en faisant des essais libres, en faisant mon travail, mais j’ai hâte de ressentir cette pression."

 

Il sera dans la même équipe que Kimi Räikkönen et s’attend à souffrir en performance face au Finlandais : "Les premières courses seront difficiles. A côté de moi, j’ai un champion du monde qui a de nombreuses années d’expérience en Formule 1. Je dois faire mon travail. Essayer de progresser course par course et nous verrons à la fin de l’année si j’ai fait du bon travail ou pas."

nextgenauto

 

Forza italia...

[JM 30]

Giovinazzi semble avoir réussi un premier exploit: faire parler Raikkonen !

 

F1 - Giovinazzi a beaucoup discuté avec Räikkönen à Abu Dhabi

 

Les deux pilotes Sauber ont beaucoup échangé

 

Antonio Giovinazzi va faire des grands débuts en Formule 1 avec une première saison complète chez Sauber. L’Italien avait disputé deux courses avec l’équipe début 2017, mais uniquement dans le rôle de débutant.

 

Deux ans plus tard, il lancera sa carrière dans la discipline reine et va faire équipe avec Kimi Räikkönen. Alors que Charles Leclerc lui avait dit être plus proche de Sebastian Vettel que du Finlandais, Giovinazzi a été étonné de trouver un Räikkönen loquace lors des essais d’après-saison.

 

"Charles a dit qu’il parlait à Vettel de temps en temps, et un peu avec Kimi" a expliqué Giovinazzi, qui raconte avoir fait plus ample connaissance avec Räikkönen lors des essais d’Abu Dhabi. "Mais le jour des essais, j’ai beaucoup parlé avec lui, comme jamais avant."

 

"Il est très motivé par cette nouvelle expérience, donc en tant que champion du monde, qui gagne de nouveau, il m’aidera à progresser et je ne refuserai aucune aide."

nextgenauto

 

Ne refuser aucune aide... il devrait demander au finlandais comment ouvre-on une bouteille de Vodka come il faut, il est un spécialiste !

[JM 30]

Face à Raikkonen en tout cas, il lui faudra être moins brouillon, il a laissé un souvenir mitigé après Shanghai en 2017 ou il a cassé du petit bois...

 

Des prestations brouillonnes qui auraient pu couter la suite de sa carrière en F1. Mais sans préparation, c'est quand même difficile de briller immédiatement!

 

F1 - Giovinazzi, un pilote qui revient de loin

 

Trois crashs ont failli dynamiter sa carrière

 

C’est en toute discrétion qu’Antonio Giovinazzi a été annoncé chez Sauber en 2019. Il faut dire que la nouvelle de son arrivée a été éclipsée par la signature d’un champion du monde, Kimi Räikkönen, qui revient ainsi au bercail.

 

Or, le parcours de l’Italien mérite d’être scruté de plus près. Le pilote de 25 ans revient quelque peu de loin.

 

Le talent d’Antonio Giovinazzi avait éclaté lors de la saison 2016, en GP2. Rookie à 100 %, le vice-champion de la F3 Européenne avait alors affronté Pierre Gasly, qui avait eu lui quelques courses, fin 2015, pour s’acclimater au GP2. Coéquipiers chez Prema, les deux jeunes hommes s’étaient livrés une bataille haletante. Le titre, remporté par le Français, ne s’était joué qu’à huit points.

 

« Antonio a été exceptionnel » confiait alors Bruno Michel, le président du GP2. « Parce qu’il a fait les courses les plus incroyables que l’on puisse imaginer. »

 

Cette saison 2016 de GP2 est aujourd’hui quelque peu oubliée, mais elle est riche d’enseignements : à voiture égale, et avec moins d’expérience, Antonio Giovinazzi est passé proche de battre Pierre Gasly.

 

Cette saison de GP2 n’était bien sûr pas passée inaperçue dans les paddocks. Dès l’hiver 2016, Ferrari annonçait avoir engagé Antonio Giovinazzi comme pilote de réserve et d’essais.

 

Mais c’est chez Sauber que l’Italien ferait ses grands débuts en F1. A la Race of Champions de janvier 2017, Pascal Wehrlein, titulaire au sein de l’écurie suisse, s’était sérieusement blessé au dos. Antonio Giovinazzi pilota en essais hivernaux, mais s’attendait à regagner le muret des stands à Melbourne. Or la blessure de Pascal Wehrlein s’avéra être plus sérieuse que prévue. Comme Sauber était motorisée par Ferrari, l’écurie italienne avait accepté de prêter son pilote.

 

En Australie (photo), Antonio Giovinazzi, prévenu à la dernière minute, ne put grimper dans la Sauber qu’à partir du samedi (Pascal Wehrlein avait testé ses limites physiques le vendredi). « J’ai cru à une blague ! » confiait-il alors le vendredi soir.

 

En qualifications, son bilan fut donc largement satisfaisant, avec une 16e place sur la grille. Marcus Ericsson, avec plus de temps passé dans la Sauber, s’était qualifié 15e.

 

« Il s’agissait de mes premières qualifications, je m’attendais déjà à moins que ce que j’ai fait. Je suis heureux d’être à seulement quelques dixièmes de Marcus qui a plus d’expérience avec la voiture, avec la F1. Je pense que c’est assez bon » confiait-il après la séance.

 

Monisha Kaltenborn, la directrice de l’écurie, saluait alors le « travail impressionnant » de son remplaçant surprise. « Je pense qu’Antonio a fait un travail impressionnant ; il ne connait pas vraiment la voiture. Notre C36 est assez différente maintenant de celle qu’il a testée lors de la première semaine d’essais à Barcelone, elle a déjà beaucoup évolué sur le plan aérodynamique. Nos titulaires ont confirmé que cela leur donnait un sentiment très différent. Alors, dans ces conditions, Antonio a fait un très bon travail. »

 

En course, propre et régulier, Antonio Giovinazzi termine à la 12e place, non loin des points.

 

Le deuxième Grand Prix, en Chine, sera celui de trop pour le jeune pilote. Il réduisit presqu’à néant le capital sympathie qu’il avait accumulé à Melbourne.

 

Tout allait bien jusqu’à la Q2, où l’Italien avait réussi à se faufiler. Mais, trop ambitieux, il se crasha violemment et dut même reculer de cinq places après avoir changé de boîte de vitesses.

 

En course, alors qu’il devait faire profil bas, Antonio Giovinazzi n’arrangea pas son cas : il commit une faute similaire, et détruisit sa voiture pour la deuxième fois en deux jours.

 

Redevenu pilote d’essais chez Ferrari, Antonio Giovinazzi fut ensuite prêté par Ferrari à Haas, une autre écurie partenaire. L’Italien disputa quelques séances d’essais libres… mais là encore, ses performances ne plaidèrent pas pour lui.

 

Un troisième crash desservit totalement sa cause, en EL1 en Hongrie. Il perdit le contrôle de sa voiture au virage 11. Trois crashs en peu de sorties, c’était sûrement de trop pour sa réputation.

 

« J’ai fait quelques tours et les temps étaient vraiment bons, et ensuite j’ai juste perdu la voiture en raison d’un survirage agressif à l’entrée du virage, donc je pense que nous avons eu un problème. Bien sûr, un crash n’aide pas, mais c’est seulement ma deuxième session en EL1 » plaidait-il à l’époque.

 

Le couperet tomberait à la fin de l’année : déçu par l’apport d’Antonio Giovinazzi, Haas décidait de ne pas le retenir pour 2019. Les propos de Günther Steiner, le directeur d’écurie, à l’encontre du jeune pilote, étaient même particulièrement inquiétants pour son avenir.

 

« Cela n’a aidé ni l’équipe, ni nos pilotes. Je ne peux pas dire à quel point c’était négatif, mais ce n’était pas positif. Nous verrons ce que nous ferons l’année prochaine mais nous n’en avons pas encore parlé. »

 

De toute évidence, Antonio Giovinazzi a su tirer les leçons de ses erreurs pour impressionner Sauber en 2018, lors des séances d’essais qu’il a réalisées pour l’écurie suisse. Frédéric Vasseur a préféré oublier les nombreux crashs et errements passés de l’Italien, pour retenir sa pointe de vitesse aperçue à Melbourne ou en GP2. Il compte peut-être aussi sur l’expérience et la sagesse de Kimi Räikkönen pour canaliser l’impatience de son deuxième pilote.

 

Quoi qu’il en soit, au vu de ce passé qui tient plus du passif, Antonio Giovinazzi peut s’estimer heureux de se voir accorder une deuxième chance en F1. A lui de la saisir.

 

nextgenauto

 

Giovinazzi qui donc avait remplacé le parjure Wehrlein (blessé lors de la ROC), celui qui avait dit à une époque "qu'il aimait le bruit, la performance, l’essence et qu'il ne se verrait pas en Formule e"... et qui pourtant s'y trouve désormais avec Mahindra. Un défenseur de la vraie voiture passion qui retourne sa veste. Très décevant, sauf pour les tenants de la formule.

http://www.msports.fr/f1-wehrl [...] formule-e/

[JM 30]

Giancarlo Minardi voit Giovinazzi mettre Raikkonen en difficulté...

"L’arrivée d’Antonio en F1 est un signal très important pour tout le sport automobile italien, pour les jeunes pilotes mais également pour l’avenir du Grand Prix d’Italie, ainsi que pour la Fédération," a commenté Minardi, dont l’équipe a été vendue à Red Bull pour devenir Toro Rosso.

"J’ai toujours soutenu qu’en Italie, ce ne sont pas les pilotes qui manquent, mais les ressources et je suis ravi qu’Antonio ait réussi à franchir cette barrière, grâce à ses qualités et à sa performance."

"J’espère que ce retour est un bon présage pour que les entreprises de notre pays s’intéressent de nouveau au sport automobile."

Minardi ose même mettre en garde Kimi Raikkonen face à ce jeune loup qui aura à coeur de briller.

"Kimi devra très bien surveiller ses arrières face à Giovinazzi, car je suis sûr qu’il saura le mettre en difficulté."

nextgenauto

 

A voir...

pour 2019 alors, car ça y est, Giovinazzi décroche un poste de titulaire chez Sauber.

 

 

 

Et non, changement: c'est un poste de titulaire chez Alfa Romeo! Sponsor principal en 2018, la marque italienne est encore plus mise en avant par Fiat et le nom Sauber disparait (au moins provisoirement). Les lois du marketing, puisqu'entre une auto conçue en Suisse et un moteur Ferrari, la marque Alfa n'est pas directement là dedans. Cela dit, les Mercedes F1 sont conçues en Grande-Bretagne, tout comme les moteurs... En tout cas, pour sa première année de retour en tant qu'équipe, Alfa Romeo aura un italien dans ses rangs, de quoi tenter de relancer un intérêt national.

[JM 30]

Voila aussi les couleurs de son couvre-chef...

https://i.pinimg.com/originals [...] b5c604.jpg

 

 

Evolution des couleurs pour 2019 et sa place de titulaire. Le casque de Giovinazzi est l'oeuvre de Aldo Drudi, le même artiste Italien qui fait les casques de Valentino Rossi.

 

Pas mal du tout, on devrait le reconnaitre de loin.

 

L'italien ne veut pas être comparé à Leclerc, autre membre de la Ferrari Academy, monté en grade plus vite que lui.

https://fr.motorsport.com/f1/news/giovinazzi-comparaison-sauber-leclerc/4329340/

 

Ce qui risque d'arriver de toute façon quand même...

[JM 30]

Kimi et Antonio prêts pour 2019.

 

Dans quelle mesure peut-il perturber Raikkonen...

https://fr.motorsport.com/f1/news/giovinazzi-perturbation-raikkonen-talent-carriere/4332527/

 

Et coté numéro, l'italien a pris le #99 (il avait eu le 36 lors de ses 2 apparitions). Le plus gros possible. Tient-il à être le dernier?

[dalton72]

Je le voyais pas aussi grand

[Invité §Don285Vw]

Danner à dit que Gio était un idiot après son crash... on lui rappelle qu'il n'a rien branlé de sa vie ?

Pas pour défendre l'Italien mais qu'il balaye devant sa putain de porte. Ca m'énerve ça !

[Invité §Mat640Yl]

Danner à dit que Gio était un idiot après son crash... on lui rappelle qu'il n'a rien branlé de sa vie ?

Pas pour défendre l'Italien mais qu'il balaye devant sa putain de porte. Ca m'énerve ça !

Les anciens pilotes sont terribles, il faut toujours qu'ils ramènent leur science. Ca vaut aussi pour les autres sports.

[dalton72]

Les anciens pilotes sont terribles, il faut toujours qu'ils ramènent leur science. Ca vaut aussi pour les autres sports.

 

 

Mais certains sont plus légitime que d autres

[Invité §Car204Pf]

L'accident de Spa qui a failli lui coûter son volant

 

https://f1actu.com/comment-antonio-giovinazzi-a-failli-perdre-son-volant-lannee-derniere/

[darsougold91]

A noter qu'il s'est très vite repris en main et a offert une belle deuxième moitié de saison, là où son expérimenté coéquipier s'est montré absent la plupart du temps.

[Invité §Car204Pf]

Oui, à voir cette saison comment cela va se dérouler

[Invité §Juv003fN]

Gio va envoyer Kimi en gériatrie cette saison, quotez-moi

[Invité §Don285Vw]

Gio va envoyer Kimi en gériatrie cette saison, quotez-moi

[Invité §Tes534Ut]

Gio va envoyer Kimi en gériatrie cette saison, quotez-moi

 

 

Et Vandoorne va gagner le GP du Canada 2018 ©

[Invité §Juv003fN]

On peut rire mais ne pas se moquer

[Invité §Don285Vw]

 

Et Vandoorne va gagner le GP du Canada 2018 ©

 

 

Il a osé dire ça ?

[Invité §Juv003fN]

Sûrement pas