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Les Allemandes

l’histoire des cabriolets Opel


gribouille27
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De la 8/25 PS jusqu'à la Cascada : 100 ans d’histoire de cabriolet du constructeur OPEL

 

je propose de faire le tour des cabriolets de la marque au BLITZ,

Vos anecdotes, commentaires et photos de vos véhicules ou des celles qui ont été oubliées ou aperçues sont les bienvenues.

 

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La première Opel datée de 1899

la « Opel Patent Motor Car System Lutzmann » était un cabriolet.

Aux premiers jours de la construction automobile, les carrosseries découvertes étaient de mise. Ce n’est que plus tard que le cabriolet s’est transformé en expression du luxe et de l’élégance.

 

L’Opel 8/25 PS de 1920 était une voiture de grand tourisme à quatre places ;

le Super 6 Gläser Cabriolet de 1937 était un luxueux cabriolet deux places, élégant et sportif.

L’Opel Olympia 1950 était le dérivé cabriolet d’une berline de grande diffusion, tandis que la Rekord A 1964 et la Rekord C 1967 étaient des voitures d’exception : il s’agissait de conversions effectuées par le carrossier Deutsch, qui avait transformé des berlines de série en cabriolets aux remarquables lignes.

 

L’Opel Cascada est l’expression contemporaine du cabriolet, vaste et luxueux, dont la capote abrite un habitacle pouvant accueillir confortablement quatre personnes.

 

Au début, toutes les voitures étaient découvertes

 

 

Le passé d’Opel dans la construction d’automobiles découvrables remonte aux débuts de la marque : comme toutes les voitures construites à l’aube de l’ère automobile, l’Opel Patent Motor Car System Lutzmann de 1899 suivait les principes de conception de la carrosserie hippomobile, et avait une carrosserie sans toit rigide.

Quand l’Opel 8/25 PS arriva sur le marché 20 ans plus tard, avec son caractéristique avant de radiateur en forme de V, cette quatre places de grand tourisme était l’incarnation de l’automobile moderne. Elle avait un toit de toile, mais sans vitres latérales. Les automobilistes de cette période qui suivait la première guerre mondiale portaient des vêtements imperméables dont la chaleur était adaptée à la saison. Le quatre-cylindres de l’Opel 8/25 PS sortait 25 ch à 1.600 tr/mn de ses 2 litres de cylindrée, assez pour lui assurer une vitesse maximale de 65 km/h. Son nom reflète sa catégorie d’imposition et sa puissance : selon la loi fédérale, introduite en 1906 et qui fut la première à définir la taxation des automobiles, il fallait s’acquitter d’un « cheval fiscal » par demi-litre de cylindrée.

 

 

 

 

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En 1937, à l’occasion du 75ème anniversaire du constructeur, était présentée l’Opel Super 6 dotée d’un moteur six cylindres 2,5 litres à course courte, soupapes en tête, dont les 55 ch permettaient déjà une vitesse de pointe de 115 km/h.

L’usine proposait des berlines deux et quatre portes, mais aussi une version cabriolet.

Les demandes particulières étaient traitées par des carrossiers comme Hebmüller, Autenrieth, Buhne, Deutsch et Gläser de Dresde. Ce dernier avait dessiné un cabriolet 2+2, type roadster, à partir de la Super 6. Rouler cheveux aux vents était devenu à cette époque un luxe, et n’était plus le lot de tout le monde. Qui souhaite s’installer à bord du cabriolet Gläser doit faire preuve de quelques talents d’acrobate : les passagers doivent s’installer sur le strapontin arrière en montant sur un petit marchepied placé sur le flanc de la voiture.

 

De série ou en commande spéciale

L’Opel Olympia 1950 était une automobile de meilleure composition.

Abondamment parée de chrome, elle était le symbole de la reconstruction de l’après-guerre et du miracle économique.

Cabriolet proche d’une berline, elle portait encore ses habits d’avant-guerre.

Ce n’était pas un véritable cabriolet, puisque cette découvrable conservait des portes avec vitres à encadrements et que les flancs intégraient le cadre des porte qui reliait la baie de parebrise au montant de custode arrière. Entre les deux, le pavillon toilé pouvait s’ouvrir, laissant entrer la lumière et l’air.

En 1956 sortit des chaines de Rüsselsheim le dernier modèle de la lignée Olympia Rekord avec cette particularité.

Il fallut attendre 1976 pour qu’Opel propose une nouvelle fois un cabriolet de grande série.

Pendant vingt ans, ce furent donc des carrossiers tels que Karl Deutsch à Cologne qui se chargèrent de réaliser les cabriolets Opel dont certains rêvaient.

Sur commande spéciale, Deutsch transformait la Rekord A 1963 en cabriolet, comme il l’a fait de la Rekord C en 1966.

Le tarif d’une Rekord C deux portes de base démarrait à 7.590 marks allemands, et il fallait encore ajouter la conversion qui s’élevait à 4.000 marks. Les créations exclusives de Deutsch sont aujourd’hui très recherchées, extraordinaires et rares, puisque seuls 30 cabriolets Rekord A et B ont été construits.

Quelque 50 cabriolets Rekord C et Commodore A déclinaison sportive de la Rekord ont été produits avant le changement de modèle en 1972.

Aujourd’hui, c’est la Cascada qui poursuit la tradition des cabriolets Opel, qui perdure depuis près de 120 ans.

Avec la Cascada, Opel offre un spacieux cabriolet quatre places doté d’une capote très élaborée, avec un niveau de qualité que l’on ne rencontre habituellement que sur quelques véhicules de marque premium. Elle offre une excellente isolation acoustique et thermique, ce qui permet de rouler par tous les temps dans un confort souverain.

L’Opel Cascada enivre dès que sa capote est baissée, et repose dès qu’elle est en place.

C’est un cabriolet qui permet de rouler tous les jours grâce à sa capote sophistiquée qui s’ouvre en seulement 17 secondes à des vitesses qui peuvent atteindre 50 km/h et tout cela pour un tarif attractif de 31 000 €.

 

 

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Les années 1980 voient apparaitre de nombreux cabriolets sur le marché, certains commercialisés directement par les constructeurs et d’autres, réalisés par des artisans carrosseries.

En Allemagne, le concessionnaire Keinath va se faire connaitre ainsi en enlevant le toit de l’Opel Ascona C…

La société Keinath est fondée en 1935, celle-ci exploite une station service ainsi qu’un garage de réparation automobile la ville allemande de Dettingen an der Erms. Petit à petit, Keinath deviendra un concessionnaire Opel, la direction de l’entreprise passe du père, Paul Keinath, au profit de ses trois enfants courant 1968.

Au début des années 1980, Opel dévoile l’Ascona C, une voiture qui séduit les frères Keinath , et si la gamme ce modèle est très large, une prototype de cabriolet présenté en 1981 finit de convaincre la fratrie Keinath de créer leur propre version, d’autant que la commercialisation de cette variante se fait attendre.

Six mois de développement leur seront nécessaires pour présenter une Ascona cabriolet de leur cru, les premiers exemplaires sont exposés au printemps 1983 dans la concession Opel Keinath sous nom Keinath KC3.

Le concessionnaire s’occupe de la transformation, qui s’avère être de bonne facture pour donner naissance à un cabriolet sans arceau, la caisse étant renforcée pour assurer la rigidité de l’ensemble. La capote est réalisée sur mesure et récupère le tissu utilisé pour les Mercedes SL, les premières Keinath KC s’équipaient de capote de couleur beige avant d’opter pour le noir, moins salissant à l’usage.

Keinath livre une copie de très bonne facture, la voiture est plus lourde de 70kg que la version deux portes de l’Ascona qui sert de base au cabriolet.

Lors de la modification, Keinath en profite pour traiter la voiture contre la corrosion et garantie le cabriolet KC3 pendant six ans.

Hélas, cette modification réalisée de façon artisanale a un coût, le ticket d’entrée est à 40.200DM pour un cabriolet réalisé sur la base 1,3 S de 75Ch.

Ensuite, le client a un large choix d’options parmi lesquelles l’intérieur en cuir contre 5.660Dm, radio Blaupunkt à 2.554Dm…

Aussi, des kit carrosserie permettait de personnaliser sa voiture.

Malgré ce prix élevé et un réseau de distribution qui se limite au seul garage de l’entreprise Keinath, la KC3 connait un petit succès d’estime avec une commercialisation qui dure jusqu’en 1988, avec 484 unités produites.

Avec l’Ascona C, Keinath expérimentait le rôle de carrossier et acquiert une expérience qui fut vite déclinée sur la Monza pour donner naissance à la Keinath KC5

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  • L'Astra remplace l'Opel Kadett. L'Opel Astra F (Opel Astra A) est lancée en juillet 1991 et elle est restylée à la fin de l'été 1994. La production est arrêtée début 1998 avec l'arrivée de l'Opel Astra G.

L'appellation « F » est ici pour souligner la succession de l'Opel Kadett qui a été produite pendant 61 ans. Dans certains pays, comme en Afrique du Sud, l'Opel Astra est encore appelée Opel Kadett (voire Opel Astra 200TS).

 

 

 

L'Opel Astra H est un modèle du constructeur automobile Opel sorti le 3 avril 2004. Aussi vendu sous la bannière Saturn en Amérique du Nord depuis 2008.

 

 

 

 

L'Opel Astra J, quatrième du nom qui est sortie en décembre 2009, pour remplacer l'Opel Astra H. Elle reprend le style de l'Opel Insignia. Elle fut officiellement présentée au salon de l'automobile de Francfort, en septembre 2009. Puis est arrivé en octobre 2010, le break Sports Tourer, suivi en 2011 de la version 3 portes coupé GTC mais pas de cabriolet.

Elle est vendue en Chine sous le nom de Buick Excelle XT[3], qui remplace l'Excelle HRV, une Daewoo Lacetti rebadgée.

L'Astra K est dévoilée au salon de l'automobile de Francfort 2015 et commercialisée dans la foulée à partir du 15 septembre 2015. Elle n'existe qu'en berline cinq-portes et en break

 

 

L’Opel Manta est un coupé produit de 1970 à 1988 en deux générations : Manta A (1970-1975) et Manta B (1975-1988). Opel avait décidé à l’époque de produire la Manta pour rivaliser avec la Ford Capri. Elle partage sa plate-forme avec la première Opel Ascona. L’Opel Manta a été remplacée en 1988 par l’Opel Calibra.

 

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L'Opel Calibra est lancée en 1990 sur la base d'une plateforme d'Opel Vectra.

C'est un coupé routier à deux portes et quatre places.

Elle succède à la Manta, reprenant ainsi l'esprit coupé sport.

Mais c'est l'abandon de la propulsion au profit de la traction qui sera la grande nouveauté chez Opel dans la gamme des coupés.

Les « puristes » de la marque virent ça d'un mauvais œil.

Les différents motorisations disponibles ont été :

  • un 2 litres à 8 soupapes de 115 ch (C20NE) ;
  • un 2 litres à 16 soupapes de 150 ch (avant juin 1994) (C20XE) ;
  • un 2 litres à 16 soupapes ecotec de 136 ch (après juin 1994) (X20XEV) ;
  • un 2 litres à 16 soupapes et turbo de 204 ch (C20LET) ;
  • un 2.5 litres V6 à 24 soupapes de 170 ch (C25XE puis X25XEV).

 

La version 4x4 permanent était disponible en option sur le 2 litres 16 soupapes ainsi que sur la version 2 litres 8 soupapes, mais de série sur la Turbo.

À la sortie de la version 2 litres 115 ch, le Cx (coefficient de pénétration dans l'air) de la Calibra établissait le record du monde pour une voiture 4 places, avec une valeur de 0,26.

 

 

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L'Opel Kadett est une automobile compacte Elle fut construite de 1937 à 1940, puis le nom fut repris de 1962 à 1993.

En 1991, elle fut remplacée par l'Astra.

 

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cette dernière étant la première collaboration avec Bertone

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mais il n'y a pas eu que des berlines ou 2 portes chez opel , il a eu aussi de petits coupés

comme la gt , une mini corvette

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keinath s'était aussi penché dessus

 

 

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une gt génération 2 est apparue plusieurs années après

 

 

 

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puis un speedster

 

 

 

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[h1]IRMSCHER OPEL CORSA SPIDER ET ASCONA CABRIO[/h1][h2]Années 80 sauvages: deux Opel sans toit

[/h2]Irmscher a volé le toit de l'Opel Corsa et de l'Opel Ascona. Une série émergée de la Corsa au milieu des années quatre-vingt, l'Ascona est restée unique. Les deux prototypes démontrent une affiliation familiale particulière.

Il y avait des moments où il était assez courant pour les clients automobiles de se faire démonter leur toit sécurisé et d'ordonner à la limousine ou au coupé de convertir un cabriolet en coupe de carrosserie.

Tant qu'il y avait encore un châssis stable, ce n'était pas trop un problème techniquement, mais avec les carrosseries autoportantes, la révélation automobile pour les amateurs d'air frais devenait de plus en plus délicate. Dans les années 80, cependant, certains spécialistes n'ont pas été découragés par cela - après tout, les cabriolets étaient moins représentés dans les gammes de modèles des constructeurs à l'époque qu'ils ne le sont aujourd'hui.[h3]Utilisez des outils grossiers pour aborder la carrosserie[/h3]

Cela a donc laissé la marche au couturier qui ne travaille pas avec des tissus fins pour les vêtements, mais plutôt des tissus épais pour le haut et s'attaque d'abord au corps avec des outils grossiers. Dans la société traditionnelle Irmscher dans la ville souabe de Remshalden, qui a grandi en tant que tuner Opel et est devenue un constructeur automobile, une petite série considérable a même été produite dans les années 1980: Sur la base de l'Opel Corsa, Irmscher a construit l'Irmscher Corsa Spider, connue sous le nom de i130, dont plus de 1000 unités ont été construites ont été fabriqués. Les berlines transformées en cabriolets étaient définitivement un problème dans les années quatre-vingt. C'est pourquoi Irmscher a également développé une version ouverte de l'Opel Ascona. Les deux prototypes présentés ici appartiennent au vrai sens du terme à la famille Irmscher.

« Cette Irmscher Corsa Spider a longtemps été conduite par ma sœur Birgit », se souvient Günther Irmscher Junior, le patron de l'entreprise traditionnelle. Le cabriolet Irmscher Ascona a également sa place dans la vie de famille. Le prototype a été conduit par Elfriede Irmscher, l'épouse du fondateur de l'entreprise, Günther Irmscher.

Avec son petit capot boutonné, l'Irmscher Corsa Spider fait non seulement preuve d'une ouverture sans compromis, mais montre également son passé international. Parce qu'une équipe Irmscher a installé les renforts de carrosserie nécessaires à la conversion du cabriolet directement dans l'usine Opel de Saragosse, en Espagne. Les limousines apprêtées ont ensuite été livrées à Remshalden près de Stuttgart et transformées en Irmscher Corsa Spider dans l'usine Irmscher. Selon les souhaits du client, différentes pièces de carrosserie ont également été ajoutées. Par exemple, un tablier avant épais et une calandre peinte dans la couleur de la carrosserie avec l'emblème i et des phares doubles ronds ainsi qu'un tablier arrière.

L'Irmscher Corsa Spider pouvait être commandé auprès de n'importe quel concessionnaire Opel, et les annonceurs dans les brochures contemporaines se réjouissaient que la petite voiture ouverte était une touche de couleur joyeuse dans la vie automobile quotidienne. L'Irmscher Corsa Spider était disponible avec tous les moteurs de la Corsa normale. Le point culminant a finalement été le 1,3 litre avec un système d'injection développé par Irmscher et 83 CV, qui a fait de l'Irmscher Corsa Spider - selon la brochure - une "vraie mariée du vent".[h3]La plus petite voiture avec un système d'injection électronique de carburant[/h3]

« À l'époque, l'Irmscher Corsa Spider était la plus petite voiture du marché avec un système d'injection électronique », se souvient Alfred Fox, technicien d'Irmscher. Comparé au seul moteur de la série 60 ch, cela signifiait une augmentation substantielle. Le moteur est toujours une joie aujourd'hui - d'autant plus que l'échappement sport de l'Irmscher Corsa Spider assure la bonne acoustique. La puissante porte de changement de vitesses en aluminium de la boîte de vitesses à quatre vitesses, comme si elle était fraisée à partir d'un solide, fait claquer les opérations de changement de vitesse dans le prototype et attire l'attention - cependant, elle n'était pas disponible dans le modèle de série. En tant que cabriolet, l'Irmscher Corsa Spider était sans compromis.

Comme pour un roadster classique, sa capote devait être fixée à un cadre. Pour ce faire, le compartiment du toit décapotable délicat a d'abord été replié et un arceau de sécurité a été installé, qui, cependant, n'avait pas cette fonction. Plus de tiges derrière les sièges et au-dessus des vitres latérales étaient nécessaires pour fixer le capot de l'Irmscher Corsa Spider. Vers la fin de la production en 1987, un toit rigide était même disponible, mais avec sa forme angulaire, il a donné à l'Irmscher Corsa Spider l'élégance d'un hangar à outils.

Irmscher a également développé une version de l'Irmscher Corsa Spider avec un toit pliant, le prototype peut être vu aujourd'hui dans le musée du constructeur automobile souabe. Cependant, l'Ascona, convertie par Irmscher en cabriolet, s'est vu refuser la chance d'une production en série comme l'Irmscher Corsa Spider. Le prototype présenté a été réalisé à Remshalden, mais le travail impliqué dans les nombreux renforts de la carrosserie a été considérable.

[h3]Distance à la tenue de la série Biedermann[/h3]

La production en série du cabriolet Irmscher Ascona n'aurait pas porté ses fruits du point de vue d'Irmscher - bien qu'elle ait été sérieusement envisagée. La pièce unique soignée n'était en aucun cas mise de côté. La femme d'Irmscher, Elfriede, utilisait le cabriolet Irmscher Ascona à quatre places par beau temps. Cependant, cela ne peut pas avoir été trop souvent, car le one-off ne compte que 1 200 kilomètres au comptoir. Cela peut également être dû au fait que l'Irmscher Ascona Cabrio est équipé du même moteur que la Corsa Spider. Le 1,3 litre de 83 ch ne signifie pas exactement un moteur vif pour le grand cabriolet. Si vous voulez faire des progrès rapides dans le cabriolet Irmscher Ascona, vous devez forcer le quatre cylindres à des vitesses élevées, mais cela ne va pas vraiment avec la conduite détendue du cabriolet.

Irmscher a subtilement embelli l'intérieur de la série Ascona. Outre le volant sport, les grands sièges sport, dotés d'une housse moelleuse, se démarquent. Avec cela, les années quatre-vingt sont ravivées dans leur forme typique - ainsi que dans le design rectangulaire sec comme l'os du panneau de l'horloge, dans lequel certains leviers de commande jaillissent du noir profond comme un bonbon à la réglisse. Le revêtement en cuir du tableau de bord de l'Irmscher Ascona Cabrio crée également une distance par rapport à la tenue standard de l'honnête homme - bien que l'élégant gris ressemble maintenant plus à du cuir synthétique. Non seulement avec cela, les deux cabriolets Irmscher montrent comment le goût des voitures a changé au cours des 20 dernières années. Ils représentent également une époque où vous pourriez encore aller chez un spécialiste pour un cabriolet.

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