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Avant guerre (…-1945)

Il était une fois...Bugatti.


Invité §non661Yn
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Invité §bug365gj

bonjours la 35 est un kit de chez auto kit que j ai realise .cld

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Invité §tun768Yb

 

Bonjour speedsport1

et Merci pour ce Document :love:

 

échange qui n'a servit a Ettore/Jean qu'a copier la Culasse D-A

pour l'appliquer sur la T/35 et créer ainsi la T/51

 

 

 

Inexact: à copier la culasse, oui mais pour la transposer sur le T46 dont l'avatar, le T50, deviendra le fer de lance de Bugatti au point d'être le "gros moteur" des bateaux, de l'avion et du T64 à côté du T57 regréé en distribution à chaînes.

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d'aravis;

"•300 HP, 8 cylindres, 125 x 150 mm à 1700 tr/min "

voila une info qui est peut-être "certaine" d'origine,

 

et paul kestler dit,dans "le rêve magnifique",que "l'illustration" d'automne 28,

parle d'un un 15 litres de 300 ch a 1800 trs.pour le même prix.

 

mais attention,les "journalistes" ne sont jamais a l'aprés d'une exagération.

 

soit.

 

 

 

pour les miller achetées,je ne suis pas "certain" qu'elles n'ont "servi qu'à"...

 

n'ont elle pas été décortiquées pour analyser le systéme de traction avant??

dés lors,elles ont "servi" aussi pour analyse..et en retirer l'une ou l'autre idée,qui,modifiée a pu être utilisée sur les tractions intégrales.

 

je me trompe?

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Invité §sag507uN

 

Inexact: à copier la culasse, oui mais pour la transposer sur le T46 dont l'avatar, le T50, deviendra le fer de lance de Bugatti au point d'être le "gros moteur" des bateaux, de l'avion et du T64 à côté du T57 regréé en distribution à chaînes.

 

 

EXACT....

 

 

La vitesse de pointe des Miller sur ce circuit de Monza impressionna Ettore et Jean Bugatti qui échangèrent les 2 Miller de Duray contre trois Bugatti 43 plus une certaine somme d'argent. Les moteurs 1500 des Miller furent passés au banc à Molsheim et donnèrent plus de 200 chevaux lorsque la puissance du 1500cc maison ne dépassait guère 150 chevaux.

 

Bugatti s'inspira donc de la forme de la culasse des Miller et adopta la distribution par double arbre à cames en tête mais garda le compresseur classique de type Roots, plus adapté aux courses sur circuit que le compresseur centrifuge des Miller.

 

 

 

Ces types de moteur plus moderne équipèrent ainsi les Type 50 et 51. Le diagramme de distribution était très directement inspiré de celui des Miller. Le fils d'Ettore Bugatti racontera après guerre, qu'en fait son père était surtout intéressé à l'époque par le système de traction avant, il avait dans l'idée de mettre au point un modèle quatre roues motrices, qui verra le jour en 1932 avec la Type 53, mais avec un principe différent. Les deux Miller étaient toujours présentes, et complètes, mais un peu rouillées, dans l'usine Bugatti quand elle a été démantelée en 1954 et un diplomate Danois les a rachetées.

 

 

 

De retour aux USA avec les Bugatti, Léon Duray s'installa quelques temps à Los Angeles comme revendeur Bugatti pour les écouler.

 

 

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Invité §deb413ju

 

bonjour,

 

passionné de belles anciennes, et de leur réplique en miniature, je suis à la recherche d'infos sur la Bugatti Royale chassis 41 150 dite "berline de voyage", ou "double fiacre". j'ai déjà réalisé le Coupé de Ville dit "Napoléon" et le cabriolet Weinberger (dans sa version originale noire à filets jaunes) à partir des modestes kits Italeri au 1/24.

 

malheureusement il existe peu d'images sur cette voiture, surtout de l'intérieur. les pièces du kit suggérent qu'il s'agit d'un habillage en cuir et montants en bois, mais je me méfie, car sur le Coupé de Ville, l'habillage est entiérement en velours et bois...

 

d'autre part difficile d'avoir une idée exacte de la teinte des panneaux jaunes, citron, poussin, canari, etc. ?

 

pardon si le sujet a déjà était traité sur ce post, mais difficile de s'y retrouver dans les 360 pages et + ...

 

merci d'avance de vos infos indulgentes pour un néophyte. je vous ferais part de l'état de mes montages en retour.

 

en tout cas bravo pour vos inlassables recherches d'authenticité sur les Bugatti, c'est une mine d'or pour les amateurs.

 

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Invité §deb413ju

 

bon voilà, j'ai posté un rapide sujet sur mes deux montages précédents de Bugatti Royale,

 

le coupé de ville "Napoléon" d'Italeri 1/24

le cabriolet Weinberger dans sa version originale noire, un assemblage des kits Lindberg et Italeri 1/24

 

dans la rubrique "autres échelles et kit à assembler".

 

à +

 

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Invité §tun768Yb

bon voilà, j'ai posté un rapide sujet sur mes deux montages précédents de Bugatti Royale,

 

le coupé de ville "Napoléon" d'Italeri 1/24

le cabriolet Weinberger dans sa version originale noire, un assemblage des kits Lindberg et Italeri 1/24

 

dans la rubrique "autres échelles et kit à assembler".

 

à +

 

 

Le lien serait sympa...

 

La double berline a été faite en repro de très bonne facture par Kranklin Mint...

 

Vu qu'elle a appartenu au Musée Harrah qui l'a totalement fait restaurer, vous pouvez leur demander s'ils ont encore le dossier photos... Avant et après. Ils avaient l'habitude de prendre des échantillons de la peinture d'origine pour les mettre au dossier, etc.

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Invité §sag507uN

Miller/Bugatti

suite

 

The 1923 Indy 500 saw five Bugatti Type 30s, three Mercedes, three Packards, one Duesenberg, and eleven Millers battle it out. Millers took the top four spots.

Three Miller 122s raced in Europe in 1923 and 1924. One placed third in the 1923

Italian Grand Prix; another placed second in the 1923 Spanish Grand Prix;

one raced in the famous 1924 French Grand Prix but did not finish.

 

Two Miller 91s were raced at the 1929 Italian Grand Prix by Leon Duray. They broke the track record in qualifying but did not finish. Ettore Bugatti bought both Millers and copied the engine design for his Type 50 and Type 51 engines.

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Invité §tun768Yb

Le parcours de ces deux voitures est notoire.

 

D'un côté, Jarraud a très bien fait le point de la transposition immédiate du double ACT au T46 (plus facile vu que la cylindrée permettait des pièces moins fines que pour le T51) et au T35B. Les voitures faisant partie du fatras de Bugatti, et miraculeusement complètes après-guerre, rachetées, emmenées aux USA, etc.

 

De l'autre, l'es exploits de Durray ont fait assez couler d'encre: démarrer en trombe, sachant que la distribution allait péter dans les GP européens, échanger contre les T43 dont un finira dans le mur de garage-expo aux USA (c'est toujours idiot de faire une démonstration à l'étage d'un immeuble, même si l'expo s'y trouve: de mémoire, il a planté la voiture dans le mur), etc.

 

Par contre, les autres Millers de course prétendûment cassées/disparues ont été retrouvées, notamment la 1.500 cm3 laissée en France.

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Miller/Bugatti

suite

 

The 1923 Indy 500 saw five Bugatti Type 30s, three Mercedes, three Packards, one Duesenberg, and eleven Millers battle it out. Millers took the top four spots.

Three Miller 122s raced in Europe in 1923 and 1924. One placed third in the 1923

Italian Grand Prix; another placed second in the 1923 Spanish Grand Prix;

one raced in the famous 1924 French Grand Prix but did not finish.

 

Two Miller 91s were raced at the 1929 Italian Grand Prix by Leon Duray. They broke the track record in qualifying but did not finish. Ettore Bugatti bought both Millers and copied the engine design for his Type 50 and Type 51 engines.

 

Bref, tous les double arbres :lol::lol: Et n'oublions pas les fameuses roues, qui même si officiellement elles sont inspirées des armes du coin, rappellent aussi certains dessins :lol::lol::lol::lol:

Le copyright de cette sublime photo est à moi, rien qu'a moi :p:p

molsheim.jpg.0aed12d97a38d826af2916f9c9a8c035.jpg

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Invité §sag507uN

Le parcours de ces deux voitures est notoire.

 

D'un côté, Jarraud a très bien fait le point de la transposition immédiate du double ACT au T46 (plus facile vu que la cylindrée permettait des pièces moins fines que pour le T51) et au T35B. Les voitures faisant partie du fatras de Bugatti, et miraculeusement complètes après-guerre, rachetées, emmenées aux USA, etc.

 

De l'autre, l'es exploits de Durray ont fait assez couler d'encre: démarrer en trombe, sachant que la distribution allait péter dans les GP européens, échanger contre les T43 dont un finira dans le mur de garage-expo aux USA (c'est toujours idiot de faire une démonstration à l'étage d'un immeuble, même si l'expo s'y trouve: de mémoire, il a planté la voiture dans le mur), etc.

 

Par contre, les autres Millers de course prétendûment cassées/disparues ont été retrouvées, notamment la 1.500 cm3 laissée en France.

 

 

il me semble "de memoire" que Miller construisait des D-A depuis 1921 .... a verifier dans mes archives ......donc Ettore etait au courant mais semblait "retor" :q :lol: pour ce type de moteur ......heureusement Jean a su lui faire changer d'avis

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Invité §tun768Yb

Bref, tous les double arbres :lol::lol: Et n'oublions pas les fameuses roues, qui même si officiellement elles sont inspirées des armes du coin, rappellent aussi certains dessins :lol::lol::lol::lol:

Le copyright de cette sublime photo est à moi, rien qu'a moi :p:p

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/209573/molsheim.jpg

 

 

En effet Gap et tu mets le doigt sur une rareté quasi-absolue: la roue n'est pas emblème héraldique courant!

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il me semble "de memoire" que Miller construisait des D-A depuis 1921 .... a verifier dans mes archives ......donc Ettore etait au courant mais semblait "retor" :q :lol: pour ce type de moteur ......heureusement Jean a su lui faire changer d'avis

 

Mais comme Miller avait copié les Peugeot Indy de Ernest Henry, c'était un juste retour en France !!!!!

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Invité §sag507uN

 

il me semble "de memoire" que Miller construisait des D-A depuis 1921 .... a verifier dans mes archives ......donc Ettore etait au courant mais semblait "retor" :q :lol: pour ce type de moteur ......heureusement Jean a su lui faire changer d'avis

 

 

MAIS comme rien ne se perd :lol: ...rien ne se crée :p ....tout se transforme :lol: :q :jap:

Miller a lui même "pompé" joyeusement :lol::lol::lol::lol:

 

le pilote Bob Burma confia sa Peugeot "privée" au motoriste Harry Arminius Miller pour réparation. Ce dernier entreprit alors avec son employé Fred Offenhauser de concevoir son propre moteur, selon les principes dégagés par Peugeot. Le moteur Miller domina ainsi les courses américaines pendant la majeure partie des années 1920. Puis, en 1933, suite à la faillite de l'entreprise de Miller, la société fut rachetée par Fred Offenhauser, qui rebaptisa le moteur à son nom.

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Invité §deb413ju

 

merci pour les infos tunesi. (pas de petite image en archives?)

 

voici le lien de mes montages:

 

http://forum-auto.caradisiac.com/automobiles-mythiques-exception/Modelisme-et-modeles-reduits/sujet9705.htm

 

je pourrais indiquer les erreurs et corrections à apporter au kit Lindberg pour retrouver la version originale du cabriolet Weinberger.

 

 

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Invité §sag507uN

petit rappel du moteur D-A et de ses débuts en compétitions

 

Bugatti a copier les Miller

qui lui même a copier les Peugeot

qui s'etait accaparé Ernest Henry ,Ingénieur Suisse

 

Ernest Henry travaille, dès 1906, avant de rejoindre les rangs de Peugeot en 1911.

Il intégrera peu après l'équipe des Charlatans, (nom donné à cette équipe par les cadres technique de chez Peugeot à Beaulieu), composée alors des pilotes officiels Peugeot, Jules Goux, Georges Boillot, René Thomas, et de Paolo Zuccarelli,

Ernest Henry, qui avait alors 27 ans, partait d'une planche à dessin et d'une feuille blanche,

"avé un p'tit crayon et une tite gomme " :lol::p

ce service compétition, travail en grand secret à Suresnes dans l'ex-usine Rossel), avec un budget alloué par l'usine Peugeot, grâce à l'habileté et a l'ingéniosité d'Ernest Henry qui saura matérialiser les idées novatrices et parfois un peu iconoclastes de l'équipe; qui, par expérience, voulait obtenir de hauts régimes grâce à l'utilisation d'un double arbre à cames en tête entrainé par arbre avec un couple conique à chaque extrémité, actionnant quatre soupapes inclinées pour chacun des quatre cylindres; un très, très, bon moteur quatre cylindres double arbre à cames en tête, culasse avec chambre de combustion de forme hémisphérique, 16 soupapes en V, de 7,6 l de cylindrée dont on n'a pas fini de parler, voit le jour au début de 1912.

Comme le châssis de cette voiture était également beaucoup plus léger et tenait mieux la route elle pouvait atteindre 190 km/h.

Les Peugeot L76 et L3, avec ces moteurs, dont Ernest Henry peut en revendiquer indiscutablement la paternité, feront date dans l'histoire de l'automobile. Ils ne sont ni les premiers « 4 soupapes par cylindres » ni les premiers « double arbre à cames en tête », mais ils sont les premiers au monde à combiner les deux techniques. Tous les moteurs de course les plus performants, jusqu'à l'actuelle Formule 1, reprendront cette formule, qui devient aujourd'hui universelle jusqu'en production de série. Le 7,6 l arbore, de surcroît, une commande desmodromique des soupapes et un vilebrequin porté par des roulements à billes.

En 1913, sur une nouvelle évolution de ce moteur en version 5,6 l et 3 l, la commande de distribution, jusqu'alors effectuée par arbre et couples coniques est remplacée par une cascade de pignons, et la lubrification modifiée par l'adjonction d'un carter sec.

1913 sera une grande année dans l'histoire de Peugeot et de l'automobile française , le 30 mai Jules Goux au volant d'une L76 (avec la cylindrée moteur ramenée à 7.3 l), gagne les 500 miles d'Indianapolis, 804,5 km à 122,155 km/h de moyenne, c'est la première victoire d'une voiture européenne aux États-Unis, le retentissement, des deux côtés de l'atlantique est énorme, surtout que cette victoire fut acquise devant tout le " gratin automobile " mondial,

L'avance technique des conceptions d'Ernest Henry était telle qu'elle permettait encore à ces moteurs, 5 ans après leurs création, de gagner des courses, alors qu'il n'étaient plus développés par l'usine, Ernest Henry ayant avait quitté Peugeot entre-temps.

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Le parcours de ces deux voitures est notoire.

 

D'un côté, Jarraud a très bien fait le point de la transposition immédiate du double ACT au T46 (plus facile vu que la cylindrée permettait des pièces moins fines que pour le T51) et au T35B. Les voitures faisant partie du fatras de Bugatti, et miraculeusement complètes après-guerre, rachetées, emmenées aux USA, etc.

 

De l'autre, l'es exploits de Durray ont fait assez couler d'encre: démarrer en trombe, sachant que la distribution allait péter dans les GP européens, échanger contre les T43 dont un finira dans le mur de garage-expo aux USA (c'est toujours idiot de faire une démonstration à l'étage d'un immeuble, même si l'expo s'y trouve: de mémoire, il a planté la voiture dans le mur), etc.

 

Par contre, les autres Millers de course prétendûment cassées/disparues ont été retrouvées, notamment la 1.500 cm3 laissée en France.

 

curieusement les moteurs millers etait copiee d'une Dusy qui etait copiee d'une certain voiture francaise Peugeot d'Ernst Henry......[sorry GAP j'ai vue ton message apres j'ecris !]

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Invité §bug365gj

la bugatti 35 est un kit de chez autokits je l ai peinte en vert en hommage a williams grover.

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Invité §tun768Yb

petit rappel du moteur D-A et de ses débuts en compétitions

 

Bugatti a copier les Miller

qui lui même a copier les Peugeot

qui s'etait accaparé Ernest Henry ,Ingénieur Suisse

 

Ernest Henry travaille, dès 1906, avant de rejoindre les rangs de Peugeot en 1911.

Il intégrera peu après l'équipe des Charlatans, (nom donné à cette équipe par les cadres technique de chez Peugeot à Beaulieu), composée alors des pilotes officiels Peugeot, Jules Goux, Georges Boillot, René Thomas, et de Paolo Zuccarelli,

Ernest Henry, qui avait alors 27 ans, partait d'une planche à dessin et d'une feuille blanche,

"avé un p'tit crayon et une tite gomme " :lol::p

ce service compétition, travail en grand secret à Suresnes dans l'ex-usine Rossel), avec un budget alloué par l'usine Peugeot, grâce à l'habileté et a l'ingéniosité d'Ernest Henry qui saura matérialiser les idées novatrices et parfois un peu iconoclastes de l'équipe; qui, par expérience, voulait obtenir de hauts régimes grâce à l'utilisation d'un double arbre à cames en tête entrainé par arbre avec un couple conique à chaque extrémité, actionnant quatre soupapes inclinées pour chacun des quatre cylindres; un très, très, bon moteur quatre cylindres double arbre à cames en tête, culasse avec chambre de combustion de forme hémisphérique, 16 soupapes en V, de 7,6 l de cylindrée dont on n'a pas fini de parler, voit le jour au début de 1912.

Comme le châssis de cette voiture était également beaucoup plus léger et tenait mieux la route elle pouvait atteindre 190 km/h.

Les Peugeot L76 et L3, avec ces moteurs, dont Ernest Henry peut en revendiquer indiscutablement la paternité, feront date dans l'histoire de l'automobile. Ils ne sont ni les premiers « 4 soupapes par cylindres » ni les premiers « double arbre à cames en tête », mais ils sont les premiers au monde à combiner les deux techniques. Tous les moteurs de course les plus performants, jusqu'à l'actuelle Formule 1, reprendront cette formule, qui devient aujourd'hui universelle jusqu'en production de série. Le 7,6 l arbore, de surcroît, une commande desmodromique des soupapes et un vilebrequin porté par des roulements à billes.

En 1913, sur une nouvelle évolution de ce moteur en version 5,6 l et 3 l, la commande de distribution, jusqu'alors effectuée par arbre et couples coniques est remplacée par une cascade de pignons, et la lubrification modifiée par l'adjonction d'un carter sec.

1913 sera une grande année dans l'histoire de Peugeot et de l'automobile française , le 30 mai Jules Goux au volant d'une L76 (avec la cylindrée moteur ramenée à 7.3 l), gagne les 500 miles d'Indianapolis, 804,5 km à 122,155 km/h de moyenne, c'est la première victoire d'une voiture européenne aux États-Unis, le retentissement, des deux côtés de l'atlantique est énorme, surtout que cette victoire fut acquise devant tout le " gratin automobile " mondial,

L'avance technique des conceptions d'Ernest Henry était telle qu'elle permettait encore à ces moteurs, 5 ans après leurs création, de gagner des courses, alors qu'il n'étaient plus développés par l'usine, Ernest Henry ayant avait quitté Peugeot entre-temps.

 

 

 

Quizz: C'est laquelle, la Peugeot 7 litres licence Bugatti Type 18? Elle fait partie du contrat portant sur les Bugatti Types 16, 18 et 20

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Invité §sag507uN

 

 

Quizz: C'est laquelle, la Peugeot 7 litres licence Bugatti Type 18? Elle fait partie du contrat portant sur les Bugatti Types 16, 18 et 20

 

 

n'ayant mis qu'un résumé :jap: .....donc ayant la réponse :sol: ....par l'intégralité du texte :lol:

je laisse deviner ce "Quizz" aux lecteurs de ce Forum :jap:

 

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Invité §Phi222sR

 

Le lien serait sympa...

 

La double berline a été faite en repro de très bonne facture par Kranklin Mint...

 

Vu qu'elle a appartenu au Musée Harrah qui l'a totalement fait restaurer, vous pouvez leur demander s'ils ont encore le dossier photos... Avant et après. Ils avaient l'habitude de prendre des échantillons de la peinture d'origine pour les mettre au dossier, etc.

 

 

La Franklin Mint est 1/43ème, elle a été faite au 1/24ème par Italieri (en maquette), c'est je suppose le modèle dont nous parle debaron.

Pour les photos, l'ouvrage de Paul KESTLER est pas trop mal documenté surtout pour les photos intérieures. Il est vrai que sur le net les

photos de 41150 ne sont pas légion, surtout en couleur et qui plus est encore moins de l'intérieur... :non:

A savoir que durant une époque avant sa cession au musée Harrah, celle-ci arborait une robe ivoire, ce qui lui avait valu le surnom de

"l'Elephant blanc" :lol: en quelques sortes par certains Bugattistes. Heureusement, elle peut être vue de nouveau dans sa livrée d'origine :)

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Invité §Phi222sR

merci pour les infos tunesi. (pas de petite image en archives?)

 

voici le lien de mes montages:

 

http://forum-auto.caradisiac.com/automobiles-mythiques-exception/Modelisme-et-modeles-reduits/sujet9705.htm

 

je pourrais indiquer les erreurs et corrections à apporter au kit Lindberg pour retrouver la version originale du cabriolet Weinberger.

 

 

 

Bonsoir,

Je me doutais qu'il s'agissait de vous, j'avais remarqué déjà il y a quelques temps vos réalisations et félicitations :jap: pour les réalisations

avec les modifs et améliorations apportées, surtout la Weinberger. Il faudrait d'ailleurs que je mette les miennes aussi, mais il faudrait

déjà que je les prenne en photos. J'ai réalisé la Weinberger aussi au 1/43ème sur la base Rio...

Je reprend depuis peu me réalisations en plan depuis un an.

 

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Invité §deb413ju

 

Bonsoir,

Je me doutais qu'il s'agissait de vous, j'avais remarqué déjà il y a quelques temps vos réalisations et félicitations :jap: pour les réalisations

avec les modifs et améliorations apportées, surtout la Weinberger. Il faudrait d'ailleurs que je mette les miennes aussi, mais il faudrait

déjà que je les prenne en photos. J'ai réalisé la Weinberger aussi au 1/43ème sur la base Rio...

Je reprend depuis peu me réalisations en plan depuis un an.

 

 

merci, très touché.

le sujet est passionnant il est vrai. la Weinberger est bourrée de défauts mais c'était mes premiers essais de conversion...

en fait la berline de voyage est maintenant rendue dans la Blackhawh Collection, mais pas une photo sur le site...

elle avait retrouvée sa livrée d'origine jaune et noire au Musée Harrah. j'ai adressé un message, à suivre...

bon courage pour la reprise de vos réalisations. les recherches de doc finissent parfois par lasser...

 

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Invité §bug365gj

j ai poste des photos personne me sens n est rendu compte

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Invité §Phi222sR

Bien sûr que si, tu les as même mise sur le site des Bugatti 1/43ème !

Très jolie collection et un décor arrangé avec goût. Un bon esprit Bugatti somme toute... Félicitations !

 

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Euhhhh.... Elle est ou 41150 :??::??::??: Je viens de me taper des dizaines d'album Picasa, des musées ricain (Imperial palace, Harrah, Blackhawk...) et elle n'apparait plus dans les albums récents ????

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Invité §deb413ju

Euhhhh.... Elle est ou 41150 :??::??::??: Je viens de me taper des dizaines d'album Picasa, des musées ricain (Imperial palace, Harrah, Blackhawk...) et elle n'apparait plus dans les albums récents ????

 

 

aux dernières nouvelles elle est toujours dans la Blackhawk Collection, mais elle n'apparaît pas sur le site...

 

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Invité §tun768Yb

Juste pour s'amuser.

 

D'abord, une prétendue conduite intérieure Bugatti avec porte AR... J'ai quelques doutes avec la forme de la calandre et du volant mais serait-ce possible avec les types antérieurs au Type 28?

 

BugattiConInt0.jpg.4bcee9e73db546d1a8938445272650e5.jpg

 

Sinon, dans un livre récent, J'ai toujours voulu répondre aux appels, de François Du Plessis, Éditions le manuscrit, paru le 18/08/2010, ISBN 9782748189902 , on apprend que:

"(...) une cinquantaine d'ouvriers professionnels hautement qualifiés. Ils venaient de sociétés prestigieuses comme Bugatti, Salmson ; ils formaient le gros de la cellule communiste de l'usine. "

 

Au XVIème siècle, un certain Gaspard Bugatti a défrayé la chronique (en bien!). Les fiancés : histoire milanaise du XVIIe siècle / Manzoni ; traduction (...) par le marquis de Montgrand(...) Paris-1877 "BUGATTI (Gaspard), né à Milan dans le commencement du seizième siècle, a composé plusieurs ouvrages d'histoire (...)"

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Juste pour s'amuser.

Sinon, dans un livre récent, J'ai toujours voulu répondre aux appels, de François Du Plessis, Éditions le manuscrit, paru le 18/08/2010, ISBN 9782748189902 , on apprend que:

"(...) une cinquantaine d'ouvriers professionnels hautement qualifiés. Ils venaient de sociétés prestigieuses comme Bugatti, Salmson ; ils formaient le gros de la cellule communiste de l'usine. "

 

Il sent pas un peu le soufre, le pére ? Sinon, il parle de quelle année ?

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