Le Cimetière des Marques

[Invité §pit470dY]

l'idée etait bonne, mais pour le rayon de braquage, pas bien bon.

 

 

 

Absolument !

 

[Gap05]

Les 4 pages d'un prospectus de SOVAM

[Invité §mir721ml]

Bonjour à tous, Je suis un petit nouveau ici.

J'ai noté que vous aviez évoqué les Michel Irat. Vous affirmez que celles-ci étaient construites dans le 17ème arrondissement et que les ateliers furent utilisés par Georges Irat pour faire ses 5 et 6 CV à moteur Ruby ? Etes-vous sûr de cela ?

D'autre part, concernant Clément Bayard, la demeure dont il était question plus haut doit être celle de Pierrefond. C'est aujourd'hui un restaurant tenu par les descendants d'Adolphe Clément. La batisse est assez extraordinaire !

[S4-61L]

Comme j'aime beaucoup l'Alsace, je ferai un petit HS pour me joindre à S4 et Aravis car pour l'alsacien d'adoption que je suis il ne peut pas y avoir d'amalgame possible avec nos amis d'outre rhin même si des liens historiques existent mais il me semble que c'est le cas aussi entre Savoyards et Italiens pour ne prendre qu'un exemple que je connais bien ... Fin du HS

 

En ce qui concerne la Ponette, je ne pense pas que c'est celle dont tu parles car la mienne fut trouvée pour l'histoire il y a plus de 20 ans en pièces détachées du coté d'Annecy avant de partir aux Pays-Bas où elle doit toujours être ...

Voici une vielle photo argentique (désolé pour la qualité) de la belle 1.7 litres (1920).

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/264762/1920_1.7L_02.gif

 

Aurais tu des photos de " celle qui était chez l'Haegeli " ?

 

Etait ce ta Salmson qui participait hier à la randonnée (le hasard des mots ) des vendenges entre Soultzmatt et l'anneau du Rhin ?

 

@+ Pitcats

 

 

Salut Pitcats

 

Non le Ponette de l'Haegelli était visiblement plus ancienne, mais je n'ai pas de photo.

Et non, je n'étais pas à la randonnée des vandanges...

 

[Invité §pit470dY]

[:pitcats:3]

 

 

La c'était d'abord un spécialiste des engins d'aéroports et des vehicules de marchands ambulants ...

 

 

 

 

 

 

... mais la belle 1300 ne dédaignait pas se mesurer à d'autres comme Lotus ( rien que ça) dans des courses comme ce cliché pris au Portugal il y a une trentaine d'années

 

 

 

Pour terminer sur Sovam, voici une rare photo d'un petit utilitaire de la marque sur base R4 (ça aurait fait un bon quizz cet engin ... non?)

 

[Invité §pit470dY]

Bonjour à tous, Je suis un petit nouveau ici.

J'ai noté que vous aviez évoqué les Michel Irat. Vous affirmez que celles-ci étaient construites dans le 17ème arrondissement et que les ateliers furent utilisés par Georges Irat pour faire ses 5 et 6 CV à moteur Ruby ? Etes-vous sûr de cela ?

D'autre part, concernant Clément Bayard, la demeure dont il était question plus haut doit être celle de Pierrefond. C'est aujourd'hui un restaurant tenu par les descendants d'Adolphe Clément. La batisse est assez extraordinaire !

 

 

[:pitcats:3] Mira,

 

 

Comme pour toute cette période de l'entre deux guerres où virent naitre et périrent nombre de petits constructeurs dans le triangle d'or parisien, les informations (trop souvent) lapidaires qui nous sont parvenues sont parfois sujettes à contreverse par l'absence d'autres source tels que des témoignages de survivants ayant connu cette époque faste ... c'est un fait mais heureusement la magie des forum consacrés aux anciennes permet parfois de trouver un passionné qui rétabli la vérité par ses connaissances [:pitcats:4]

L' atelier (ou dépot ?) du 17éme arrondissement fut semble t'il utilisé de façon sporadique jusqu'en 1935-36 date à laquelle le bail de location fut échu et non renouvellé.

Selon la Mairie de 17éme, la zone où se situait ce local fut "réaménagée" quelques années avant la 2nd GM.

Ceci coïncide effectivement avec le déménagement de la socièté de Neuilly à Levallois où elle restera jusqu'en 1946.

 

Maintenant si tu en sais d'avantage soit le bienvenu et n'hésite pas à nous en faire profiter

 

@+ Pitcats

 

 

[Invité §gab630rw]

Bonsoir,

Merci à Pitcats et à Gap05 pour les complèments d'informations sur Sovam

à plus...

[Invité §gab630rw]

Une petite marque d’artisan :

SUNCAR ARPÈGE

 

C'est Guy Duport qui est à l'origine de cette réplique (constructeur de véhicules sans-permis dans les années 70), avec la collaboration dans un premier temps de J C Arié (Un artisan auto français à Annecy (74)).

Les lignes de cette réplique évoquent celles d’un roadster des années trente. Bien équipée et réalisée en polyester, la Suncar emprunte une base mécanique Renault 5 TS, un intérieur British Leyland et un châssis spécifique. Présentation Genève, mars 1980.

En 83 reprise du concept par Michel Casas s’est associé avec un financier libanais du nom de Kamouh d’où la nouvelle appellation de l’auto) et déménagement à Clermont Ferrand (63). Création de deux modèles supplémentaires: une version fourgonnette de l’arpège et une jeep sur base 4L dans l’esprit de la dallas de Grandin

Modèle fabriqué pendant presque 10 ans en 200 exemplaires seulement.

GAMME : cabriolet 2 + 2 places.

MOTEUR avant, longitudinal, refroidi par eau, 4 cylindres en ligne. 1 289 cm3 73* 77 mm, 64 ch. DIN (48.4 kW) à 6 000 tr/mn. 9,6 mkg à 3 500 tr mn. Compression 9,5 à 1. Arbre à cames latéral. Carburateur simple corps. TRANSMISSION : traction avant. Boîte de vitesses à 4 rapports.

CHASSIS : plate-forme tubulaire.

Suspension avant : roues indépendantes, barres de torsion longitudinales. Suspension arrière roues indépendantes, barres de torsion transversales. Freins disques AV, tambours AR, avec servo. Direction : à crémaillère.

DIMENSIONS. Empattement 278 cm. Voie AV 129 cm. Voie AR : 125cm. Longueur 415 cm. Largeur 150 cm. Hauteur 129 cm. Poids 750 kg Pneumatiques

175/70 SR 13. Réservoir 38 I.

VITESSE MAXIMALE : 150 km/h.

 

Pub d'époque:

 

Encore un artisan de l'auto de mort!

 

[lotusien]

[:pitcats:3]

La https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/264762/Sovam.jpg c'était d'abord un spécialiste des engins d'aéroports et des vehicules de marchands ambulants ...

.. mais la belle 1300 ne dédaignait pas se mesurer à d'autres comme Lotus ( rien que ça) dans des courses comme ce cliché pris au Portugal il y a une trentaine d'années

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/264762/VR67_47NPinto.jpg

 

Bonsoir pitcats,

Puis je savoir d'où tu as tiré cette photo ou bien de quelle épreuve s'agît il et quel pilote?

On reconnait une Lotus 47 (N°40) et une Elan 26R derrière. Je pense que c'est à Villa Real, sans certitude. L'année semble être 1967 si l'on en croit l'indication sur la photo.

 

[Invité §pit470dY]

Bonsoir pitcats,

Puis je savoir d'où tu as tiré cette photo ou bien de quelle épreuve s'agît il et quel pilote?

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/264800/VR67_47NPinto1.jpg

On reconnait une Lotus 47 (N°40) et une Elan 26R derrière. Je pense que c'est à Villa Real, sans certitude. L'année semble être 1967 si l'on en croit l'indication sur la photo.

 

 

[:pitcats:3] Lotusien,

 

Il s'agit effectivement du Vila Real 67 et le pilote qui s'avance vers sa Lotus 47 est le pilote portugais Manuel Nogueira Pinto.

J'ai scanné ce document à partir d'une revue auto d'époque.

Le commentaire qui l'accompagne indique que l'autre Lotus est une Elan BRM et qu'il est amusant qu'une si frêle Sovam ait pu concourir à coté des Lotus et des Lola.

 

@+ Pitcats

 

 

[Invité §pit470dY]

Une petite marque d’artisan :

SUNCAR ARPÈGE

 

C'est Guy Duport qui est à l'origine de cette réplique (constructeur de véhicules sans-permis dans les années 70), avec la collaboration dans un premier temps de J C Arié (Un artisan auto français à Annecy (74)).

quotemsg]

 

Dis moi Gaby, ce constructeur "Ariè" n'est il pas à l'origine de la minicar Hopy de 1981 ou 82 ?

 

[lotusien]

[:pitcats:3] Lotusien,

Il s'agit effectivement du Vila Real 67 et le pilote qui s'avance vers sa Lotus 47 est le pilote portugais Manuel Nogueira Pinto.

J'ai scanné ce document à partir d'une revue auto d'époque.

Le commentaire qui l'accompagne indique que l'autre Lotus est une Elan BRM et qu'il est amusant qu'une si frêle Sovam ait pu concourir à coté des Lotus et des Lola.

@+ Pitcats

 

Merci Pitcats

Etonnant en effet cette Sovam engagée au Portugal. Mais il faut dire que les plateaux de ces courses étaient très hétéroclites et les petites GT cotoyaient les vrais protos beaucoup plus performants. Même Le Mans ne faisait pas exception à la règle

Fin du HS

 

[Invité §pit470dY]

L'exhu d'ARIES

 

 

 

 

Si certains découvre aujourd'hui le bélier américain de la marque Dodge fraîchement (ré)importée en France, il ne faut pas oublié qu'une autre firme au bélier bien française connue une grande notoriété durant les 35 années de son existence entre 1903 et 1938.

 

Il s'agit de la "Société des Automobiles ARIES" fondée à Villeneuve la Garenne par l'ex ingénieur du bureau d'étude Panhard & Levassor Charles Petiet.

 

 

 

Ce passionné de l'automobile n'hésita pas à casser les clivages sociaux de l'époque, en enfilant à sa sortie de l'Ecole Centrale le bleu du mécanicien pour éprouver le bonheur subtil de plonger ses mains dans le cambouis de ces automobiles dont il consacra le thème de son mémoire de fin d'étude malgré l'avis acerbe de ses pairs.

 

Dès le départ, les moteurs à soupapes d'admission automatique Aster eurent sa préférence et c'est tout naturellement que son premier modèle, un utilitaire commercial, en fut équipé avec deux ou quatre cylindres au choix.

 

Si la symbolique du bélier choisie par Charles Petiet exprime l'agilité et la force, c'est ce que les clients vont retrouver comme qualités dans leur Ariès et cette notoriété acquise auprès de professionnels satisfaits fera le succès de cette marque.

 

Les nouveautés sortent à un rythme constant de l'usine et la firme se fait remarquer non seulement lors de concours de sobriété mais aussi par des éclats sportifs comme en 1906 où une G3 fit tomber à Ostende le record du mile !

 

1908_ Type V

 

15/20hp

 

 

 

 

L'innovation n'est pas oubliée non plus et très rapidement des solutions maison sont adaptées aux modèles de la marque telles que les freins à mâchoires ressorts ou le pont arrière Ariès dont la particularité est d'absorber d'avantage les inégalités de la route par un système breveté en avance sur son temps.

Le confort de ces véhicules est fortement apprécié dans les zones rurales si bien qu'en 1905 Petiet lance un des premier autobus adaptés à cette ruralité qui lui permettront dès 1908 de devenir l'un des fournisseurs de l'armée en camions.

Cette diversification prendra petit à petit le pas sur la production automobile et servira bientôt de porte drapeau à la firme grâce à ses exportations de bus à impérial à Londres, de taxis à New-York ou de camions vers la Russie.

 

 

La présentation au Salon de Paris 1906 de la nouvelle 20/30 cv fait l'effet d'une bombe car son châssis cache une futuriste transmission à arbre et différentiel (... car moderne à l'époque) qui préfigure la volonté de Petiet de concevoir des autos économiques d'utilisation , légères et à la conception simplifiée. Cette utopie deviendra réalité car les performances en compétition du type O montreront aux septiques que dorénavant les petites autos bien conçues valent autant que les monstres surpuissants sur le terrain de l'endurance.

 

 

La première grave crise automobile de 1908, conforte la firme a persévérer dans la petite voiture et à développer encore d'avantage sa branche poids lourds en présentant par exemple le premier camion à benne basculante brevetée qui lui assurera de larges profits forts utiles pour son développement jusqu' à l'aube de la 1ere GM.

 

En tant que Président de la chambre syndicale des constructeurs automobiles, Petiet se verra chargé de diriger la commission des poids lourds auprès de l'armée ... [:pitcats:4] une aubaine qui profitera à ses camions qui verront passer des hordes de soldats sur leurs bancs de bois tout au long de ces quatre ans de conflit.

L'effort de guerre de la firme passera aussi par le montage des V8 Hispano et par la production au compte goutte de voiture pour l'Etat Major de l'armée.

 

L'armistice signé, la firme quitte Villeneuve la Garenne pour Courbevoie où une usine plus vaste l'attend et dès 1920 une gamme simplifiée automobiles modernes sortira de l'avenue Marceau animées par de puissants moteurs de petites cylindrées issue de l'expérience aéronautique acquise lors de la guerre.

La marque brillera encore quelques années en compétition notamment au 24 de Spa mais 1923 marque la fin des jours heureux et le début d'une longue agonie.

En effet, à la crise des utilitaires de 1920 qui pénalisa l'entreprise fortement dépendante de ce secteur, se rajoute la montée en puissance des deux futurs géants de la catégorie , Renault et Berliet dont la puissance financière écrase petit à petit les constructeurs secondaires comme Ariès.

 

 

Le trésor de guerre fond comme neige au soleil d'autant plus que la branche poids lourds ne permet plus d'équilibrer les comptes déficitaires de l'activité automobile qui encore une fois de plus est simplifiée à extrême puisque les versions ne se différencient plus que par leur puissance fiscale !

Cette stratégie du modèle unique permettra à la marque de survivre contrairement à tant d'autres jusqu'à la fin des années trente grâce à une succession de très bons modèles tel que les séries CB (1930-34) , AB (1934-35) et C (1935-36).

 

La firme ne mis pas la clef sous la porte en 1938 car la cessation de l'activité fut un acte volontaire de son créateur qui face aux nouvelles évolutions économiques et techniques de cette fin de décennie préféra quitter la tête haute la production automobile plutôt que de persévérer inutilement face à de grands constructeurs qui en une année produisaient chacun d'avantage de voitures qu'Ariès en 35 ans d'activité !.

 

Refusant les jeux des alliances aléatoires entre petits et grands tel que Matford, Petiet fut en 1936 partisan d'un accord équilibré pour permettre aux constructeurs moyens de tenir, en collaboration avec les grands mais comme ceci ne fut pas concrétiser, il se consacra jusqu'à la fin des années 50 aux destinées du Salon Automobile de Paris.

 

 

Peu de clichés malheureusement sur cette marque donc si qlq en possède, il ne faut pas hésiter à en mettre

 

@+ Pitcats

 

[aravis68]

Salut Pitacts, connais-tu le livre "Les automobiles Ariès" de Jean Sauvy édité aux Presses Nationales des Ponts et Chaussées" ?

En attendant ta réponse un quizz pour toi (tu m'as fait suer, la dernière fois !)

 

A bientôt

Aravis

[aravis68]

Il n'y a pas beaucoup de brevets ARIES : En voici un de 1924, le seul qu j'ai pu trouver:

 

 

[Invité §wm3445bj]

slt je revient avec ma lorraine bonne nouvelle elle est toujours de ce monde je l'ai vu hier mais pas moyen de faire des photos ce que je peut dire c'est quelle a un empattement de 2.90m et 22 cm du sol effectivement l'arriere ressemble a un tank tres bas et tres pointue et l'avant un capot tres long et 2 grosse ailes envellopante qui descende tres bas vers l'avant et l'arriere je vai negocier pour les photos mais c'est pas encore gagné

[Invité §pit470dY]

Salut Pitacts, connais-tu le livre "Les automobiles Ariès" de Jean Sauvy édité aux Presses Nationales des Ponts et Chaussées" ?

En attendant ta réponse un quizz pour toi (tu m'as fait suer, la dernière fois !)

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/117651/Photomystere.jpg

A bientôt

Aravis

 

 

[:pitcats:3] Aravis,

 

 

 

Pour un quizz c'est vraiment de l'énorme Jean-Pierre ... je demande l'avis du public

Bon j'imagine qu'il y a un lien avec l'exhu et qu'il s'agit alors d'une Ariès besogneuse (c'était souvent leur destinée d'où les rares exemplaires survivants ) mais c'est sur des oeufs que tu me fais avancer avec ce cliché .

 

Continuons dans l'expectative pour dater cette auto probablement construite dans l'immédiat avant guerre ou juste après avec le stock restant donc entre 1910 et 1920.

Donc s'il sagit d'une Ariès j'opte pour une série S4/5 voir S5 bien que ces modèle aient quasiment été vendu avec des roues à rayons metalliques mais peut être que ces roues artillerie était spécifique à une version commerciale dont j'ignorais l'existance ... dur vous êtes très dur Mr Aravis

 

Quelque chose me dit que je fais fausse route et que ton cliché a plutot un rapport avec un autre échange que nous avons eu il y a qlq posts mais sans certitude je n'irais pas plus loin

 

Le genou est à terre mais la bête a encore de la ressource pour te préparer à l'occasion un quizz migraineux digne des laboratoires Doliprane

Bon en attendant voici une superbe et rare Ariès 15cv GP2 de 1927 au doux surnom de Punaise

 

 

Pour l'anedocte c'est cette auto pilotée par Laly et Chassagne qui menant aux 24h du Mans du stopper à la 22éme heures privant ainsi Ariès d'une victoire certaine ...

 

et la populaire Ariès 8/10cv type CC4/4 de 1936

 

 

A + Pitcats

 

 

[Invité §pit470dY]

slt je revient avec ma lorraine bonne nouvelle elle est toujours de ce monde je l'ai vu hier mais pas moyen de faire des photos ce que je peut dire c'est quelle a un empattement de 2.90m et 22 cm du sol effectivement l'arriere ressemble a un tank tres bas et tres pointue et l'avant un capot tres long et 2 grosse ailes envellopante qui descende tres bas vers l'avant et l'arriere je vai negocier pour les photos mais c'est pas encore gagné

 

 

 

[:pitcats:4] Vivement les photos ... !!!

[aravis68]

Bonsoir, Wm300, là tu m'intéreses car je ne la connais pas.

Pitacts, je te joins une 2ème photo de la même auto, et je dois avouer que si la arque n'était pas mentionnée par ailleurs, je ne l'aurais par reconnue. J'ai mis la barre très haute.

Voilci le 2ème indice.

C'est la même voiture.

3ème indice : le constructeur était aussi spécialisé dans une autre activité prche de l'auttomobile.

Indice supplémentaire (qui n'en est peut-être pas un : l'auto était utilisée par des forains et les scas de la première photo sont des confettis en vrac.La même famille avait également une Mercedes torpédo, mais sur la photo, l'équipe des forains tient une place plus importante que l'auto !

[Invité §pit470dY]

Je profite de ce topic pour lancer un petit appel.

Quelqu'un saurait-il identifier cette voiture ???

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/9456/auto02.jpg

 

Je n'ai que deux indices :

- La photo date de 1922,

- Elle a probablement été prise du coté de Nancy.

 

Merci d'avance...

 

 

Salut Gilles,

 

Voici le cliché d'une CORRE 1914 qu'en penses tu ?

 

 

[Invité §pit470dY]

Aravis,

 

 

Le Palace Carrousel n'est il pas celui d'Ungersheim

Le coté trapu "haut sur pattes" de cette auto ne m'est pas inconnu mais plus précisément rien y fait je sèche alors c'est quoi ???

[aravis68]

Aravis,

 

 

Le Palace Carrousel n'est il pas celui d'Ungersheim

Le coté trapu "haut sur pattes" de cette auto ne m'est pas inconnu mais plus précisément rien y fait je sèche alors c'est quoi ???

 

 

 

Concernant le métier, tu chauffes. Allez, un dernier indice: un moteur de camion pour une voiture de sport et même de course, le rachat de Delage au début des annés 30, c'est ... ???

[Gilles B.]

Salut Gilles,

 

Voici le cliché d'une CORRE 1914 qu'en penses tu ?

 

 

 

 

Hello Pitcats

 

En mettant les deux photos l'une au dessus de l'autre..., il faut admettre qu'il y a bien des similitudes !!!

 

Je vais chercher de ce coté-là !

 

[Invité §pit470dY]

Concernant le métier, tu chauffes. Allez, un dernier indice: un moteur de camion pour une voiture de sport et même de course, le rachat de Delage au début des annés 30, c'est ... ???

 

 

 

DELAHAYE ????????????????????

 

Tiens cela ferait une belle exhu non ? juste le temps de la préparer

 

@+ Pitcats

 

[Invité §pit470dY]

Hello Pitcats

 

En mettant les deux photos l'une au dessus de l'autre..., il faut admettre qu'il y a bien des similitudes !!!

 

Je vais chercher de ce coté-là !

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/9456/auto02.jpg

 

 

 

[:pitcats:3] Gilles,

 

Essaies aussi du coté de "Laviator" un constructeur de Suresnes qui fabriqua une très jolie torpédo 2 places 8/10hp dont la ressemblance avec ton cliché est etonnante

 

@+ Pitcats

 

[aravis68]

DELAHAYE ????????????????????

 

Tiens cela ferait une belle exhu non ? juste le temps de la préparer

 

@+ Pitcats

 

Oui DELAHAYE bravo, tu as fini par trouver !!!!

En tous cas c'est la légende des photos. Sinon, j sais que des recherches avaient étré faites auprès de la famille pour le carrousel (aps celui d'Ungersgheim, mais un autre) et je suppose que c'est exact.

Si tu fais un exhu, ne sois pas trop long sur la 135, car il y a eu bien d'autres.

Pourquoi pas une autre exhu sur la Général motor française de la fin des années 20 qui a finalement avorté. Je suppose que tu sais de quoi je parle

[Invité §pit470dY]

Oui DELAHAYE bravo, tu as fini par trouver !!!!

En tous cas c'est la légende des photos. Sinon, j sais que des recherches avaient étré faites auprès de la famille pour le carrousel (aps celui d'Ungersgheim, mais un autre) et je suppose que c'est exact.

Si tu fais un exhu, ne sois pas trop long sur la 135, car il y a eu bien d'autres.

Pourquoi pas une autre exhu sur la Général motor française de la fin des années 20 qui a finalement avorté. Je suppose que tu sais de quoi je parle

 

 

Un jour Delahaye sera sans aucun doute à l'honneur ici et je garderai ton conseil sur la 135 mais ce n'est pas pour tout de suite car l'exercice demande du temps et de .... l'exactitude dans le propos donc à préparer méticuleusement ! [:pitcats:4]

 

Pour le second sujet c'est un bonne idée à creuser pour une éventuelle saga de l'été à moins que tu lances le sujet à l'occasion .

 

Bon en attendant, comme je sais que tu aimes les quizz à la sauce âpre devine qui est la victime de ce retournement de situation

 

 

 

[aravis68]

Le dessin latéral, l'enjoliveur AV (ou flasque, cela fait plus chic et moins "plastique"), c'est une Bugatti Atalante.

[Invité §Hot884lK]

Un cliché renversant s'il en est, que celui-là...

 

[Invité §old352zk]

Pas de quoi se mettre la tête à l'envers...

[Invité §gab630rw]

Bonsoir,

Dans la semaine, je vais vous présenter la trilogie d'un constructeur ou d'un bricoleur: Louis Boccardo.

à plus...

[Invité §old352zk]

Bonsoir,

Dans la semaine, je vais vous présenter la trilogie d'un constructeur ou d'un bricoleur: Louis Boccardo.

à plus...

 

 

Un beau cadeau, que cette bio... Je me souviens de l'avoir vu lors d'une rencontre, avec un de ses véhicules (histoire de pas trop défloror le sujet!) et je garde le souvenir d'un passionné... Un sacré Monsieur!

 

[Invité §gab630rw]

Ce soir premier épisode de la trilogie consacré à Louis Boccardo! (si pas de bugs et autres choses imprévissibles d'ici là)

à plus...

[Invité §gab630rw]

Bonjour, premier tome de notre saga « Louis Boccardo ».

Qui est cet homme ? Un doux rêveur, un bricoleur, un inventeur… en tout les cas un passionné !

Suivons ses aventures et ses mésaventures:

 

1er épisode : BFG

Louis Boccardo, Dominique Favario et Thierry Grange créent, au début des années 80, la firme BFG (La marque BFG doit son nom aux initiales des concepteurs de la moto). Leur ambition était de créer une moto routière capable de rivaliser aussi bien avec les allemandes qu'avec les américaines.

Les premières BFG 1300 sortirent des chaînes de montage en 1982.

Au commencement basé près de Chambéry, l'usine MBK de Saint-Quentin reprit la production en 1983. Il faut noter que l'usine n'est plus dirigée que par deux personnes, Louis Boccardo (notre héros) a été licencié. Nous le retrouverons dans le prochain épisode.

La principale caractéristique de cette moto est d'utiliser des moteurs automobiles d'origine Citroën GS.

Il permet de bénéficier d'un réseau pour l'entretien et de réduire les coûts de production. C'est un quatre cylindres à plat refroidi par air forcé de 1299 cm³ développant 70 chevaux, couplé à une boîte de Guzzi. La transmission se fait par arbre et cardan.

 

Vitesse maximum environ 190 km/h, consommation à 90 km/h 5 litres, à 120 Km/h 6,1 litres

J’ai eu l’occasion de voir une BFG, le bruit est particulier, proche de celui d’une 2cv. Le tableau de bord provient de la banque d'organes de chez Renault (R5).

Une esthétique assez particulière, lié à une finition approximative et un prix élevé, la BFG ne connut pas le succès, puisque seulement 600 motos furent produites. L'usine fermera ses portes en 1988.

 

Pendant ce temps que fait Louis Boccardo ?

Vous le saurez en suivant l’épisode n°2….

 

A demain peut être…

 

[Gilles B.]

Une petite image pour illustrer la marque BFG.

Désolé pour la piètre qualité de la photo.

Elle a été prise au mois d'août dernier au Mans lors de de l'eurocitro.

Il devait bien y avoir une dizaine dont bon nombre avec side !