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70s (1971-…)

La Renault Estafette [Topic Officiel]


Invité §AUD301fr
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Participants fréquents à ce sujet

Invité §est135ZT

Une 2132 ancienne ambulance qui appartient à un membre du club Estafette !

par contre j'ignore l'année exact ... 64/67 …

 

 

c'est la mienne! Elle est de 67!

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:jap: Belles photos d'époque, Philou 33 !

 

 

J'aime bien cette époque oû les petits utilitaires (H et Estafette entre autre) avaient très souvent le toit peint en blanc, comme on peut le voir sur l'estaf' façon "camping-car"

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Invité §wm3445bj

Slt j'avais jamais remarqué qu'il y avait 2 emplacements de plaque minéralogique a l'avant

En tous cas c'est bien sympa toutes ses photos d'époque bravo continue

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Slt j'avais jamais remarqué qu'il y avait 2 emplacements de plaque minéralogique a l'avant

En tous cas c'est bien sympa toutes ses photos d'époque bravo continue

 

 

En effet, les tous 1ers modèles ont une calandre légèrement diffférente avec un embouti pour peindre les n° minéralogiques, tout comme les 1eres séries surélevées qui conservent le petit hayon vitré des estafettes basses....

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L' attentat du petit Clamart

 

 

 

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En Roumanie

 

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Hi-Boy USA

 

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Hi-Boy

 

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Aux États-Unis, elle devait être commercialisée sous le nom de Petit-Panel dans sa version tôlée et Hi-Boy dans sa version surélevée, mais les services d'homologation américains ne délivrèrent jamais l'autorisation de mise sur le marché.

 

Renault avait introduit un deuxième véhicule, l’Estafette, mais devant le danger que représentait ce modèle mythique en France, certains États ne l’avaient même pas homologué.

En effet, en cas de freinage un peu énergique sur le véhicule à vide, les roues arrière de l’Estafette décollaient. Et lorsqu’elle roulait à plein, elle ne parvenait pas à atteindre la vitesse minium de 60 miles à l’heure sur l’autoroute…

 

07bsk8.png

 

 

Mais Renault n’a pas toujours été cet exportateur performant, il lui a fallu quelques expériences douloureuses avant d'en arriver là. C’est aux Etats-Unis qu’il a connu son échec le plus cuisant mais aussi le plus constructif.

 

Les Américains ne conduisent pas comme les Français : ils roulent brutalement sur des routes caillouteuses, laissent leurs phares allumés lorsqu’ils s’arrêtent et aiment que le bruit de fermeture de leur portière s’apparente au son profond d’un réfrigérateur que l’on ferme, alors que le bruit des voitures françaises était plutôt à l’époque un bruit de ferraille. Mais Renault croyait qu’il suffisait, pour exporter, de baptiser "Modèles export" un modèle simplement enrichi d’une climatisation.

 

En 1958, Renault mène une grande offensive aux Etats-Unis et, dès le premier hiver, alors que les ventes ont été bonnes, les Dauphine ne démarrent pas. Tout y passe : les batteries, les condensateurs, les démarreurs… tout tombe en panne. Les ingénieurs de Renault étudient la question et s’aperçoivent que les Américains ont une manière de démarrer assez différente de celle des Français : en cas de souci au démarrage, les Américains appuient sur l’accélérateur espérant, de cette façon, résoudre le problème,

ce qui fonctionne très bien sur les voitures américaines dotées d’une pompe de reprise…

 

Mais pas sur les véhicules français où le moteur se noie et la batterie se vide…

 

Alors Renault adresse sans vergogne un courrier à ses clients américains pour leur donner des conseils de conduite ce qui, on peut l’imaginer, n’est pas du goût de tous !

 

Deuxième problème : le système électrique. En ville, aux Etats-Unis, les Américains ne roulaient pas avec les veilleuses - comme c’était le cas en France - mais en code. Or, comme la vitesse était limitée à 25 miles à l’heure, la dynamo ne produisait pas assez d’énergie pour alimenter efficacement la batterie.

 

 

 

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Ci-dessus en 1978: descente des champs Elysées pour la caravane Poulain toujours en Méhari, accompagnées d'une Renault Estafette et d'une R18.

 

Quand on vous dit que l'Espace n'est que le successeur de l'Estafette

07aza6.jpg

 

:Philou: (22 inclus)

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