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Les Françaises

[Topic officiel] Renault Fuego (1980-1985) : Le coupé français des '80's


jensen
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Messages recommandés

bonjour

ah ok super d apprendre qu' elle est toujours en vie ; quand je l ai vendu il y avais déjà l intérieure a refaire cuir brule par le soleil des USA ainsi que le tableau de bord

Paul FC25 est t 'il sur le forum ????

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Paul n'est pas sur ce forum même .. il est sur le forum général Fuego , passe de temps a autre

 

christ952 = il a comme pseudo jamin

 

juluch = c'est moi le forcené :ange:

 

 

[:juluch:12] .......... greg6352.gif.9abdad946472b32564d575a78ca81e95.gif

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Ce mois-ci, la Renault Fuego a les honneurs du magazine Gazoline! :p

 

http://gazoline.net/IMG/jpg/IMG2180.jpg

 

Renault Fuego GTL : RETOUR DE FLAMME

 

C’était la tire à Loulou, celle que l’on avait fini par jeter aux oubliettes en souhaitant ne jamais revoir sa trombine de coupé bon marché. Mais ça, c’était avant. A l’image de ses aînées R15 et 17, la Fuego remonte courageusement la pente, ne ménageant pas ses efforts pour regagner le cœur des aficionados. Aujourd’hui, elle surfe même sur la déferlante youngtimers. Un vrai retour de flamme pour une auto hyper sympa à redécouvrir. Et super abordable.

 

En 1980, Renault met le turbo, gonflée à bloc par les succès de son V-6 sur les circuits. En tête de gondole, la phénoménale R5 à moteur central AR. En embuscade, une R18 gavée aux hormones qui, grâce à la soufflette magique, atteint 185 km/h. Et puis il y a ce coupé présenté en janvier 1980 à Jerez en Espagne. Un dérivé de la R18 qui prend la suite logique des 15 et 17, elles-mêmes issues de la R12. Avec cette voiture, Renault change carrément de nomenclature. Elle aurait pu s’appeler R19, mais non, ce sera Fuego. Un nom de baptême judicieux (fuego signifie “feu” en espagnol) dans la perspective d’une exportation dans les pays hispanophones. Ce n'est pourtant pas une tonitruante. Elle joue plutôt la carte du charme et de l’élégance.

 

Son premier argument ? Une ligne profondément travaillée par le très inspiré Robert Opron. La ceinture de caisse est basse, le pare-brise hyper incliné, la lunette AR est une grande bulle qui fait aussi office de hayon. Sous certains angles, la ressemblance avec la Porsche 924 est flagrante. Mais il s’agit d’une Renault. Une vraie, bâtie sur une plate-forme de R18 à l’empattement sensiblement réduit et dont la longueur totale est proche de 4,40 m, induisant des porte-à-faux importants qui étirent visuellement la ligne.

 

Pas de chance pour les amateurs de GT : les premières mécaniques sont poussives

 

En prime, elle permet une habitabilité généreuse, doublée d’un coffre tout sauf symbolique. Les quatre passagers sont choyés. A l'AV, ils disposent de beaux sièges dits “pétale” (sauf la TL). A l'AR, la banquette est accueillante, même si beaucoup vous diront que vous aurez bien du mal à y installer votre belle-mère et ses deux molosses baveux. De ce point de vue, l’héritage des R15 et 17 est manifeste. Question technique, la Fuego reprend le train AR (hélas rigide) de la R18. Par contre, le train AV est remplacé par celui de la R20 diesel, plus moderne puisque bénéficiant d’une paire de porte-fusées qui procure du carrossage négatif aux roues. Les différences invisibles ne s’arrêtent pas là, avec l’emploi d’une quantité de renforts de caisse en faveur de la sécurité et de la rigidité. Revers de la médaille ? Un lest de 100 kg par rapport à la berline. Aïe ! Ça pique d’autant plus que les motorisations sont reprises à la R18. Le 1.397 cm3 de 64 ch équipe les TL et GTL. Le 1.647 cm3 de 96 ch est logé sous le capot des GTS et Automatic. Le haut de gamme, baptisé GTX, a plus de chance puisqu’il se dote du 2 litres 110 ch de la R20 TS. Juste ce qu’il faut pour tracter dignement cette belle auto, mais sans aucune prétention sportive. Pour la performance, il faudra patienter. Longtemps. Jusqu'à l'arrivée des versions turbocompressées. D'abord, une surprenante Turbo D qui associe en juillet 1982 coupé et diesel, puis, en septembre 1983, une détonante Turbo essence récupérant le moteur de la R18 Turbo porté pour l’occasion à 132 ch. Grâce à quoi l'auto atteint les 200 km/h. Elle devient même une vraie petite GT, mais elle arrive bien trop tard pour relancer la machine, car entre-temps, les ventes se sont effondrées, condamnant la Fuego.

 

S’il n’est pas impossible de mettre la main sur l’une des 6.355 Turbo produites (combien en reste-t-il ?), j’ai choisi, plus sobrement, de vous embarquer à bord d’une GTL, association a priori contre-nature entre un moteur de base et une finition raffinée. A première vue, on se demande même quelle peut être la raison d’être d’une telle voiture et les motivations qui poussaient à l'acheter. Surtout qu'elle était horriblement chère. En octobre 1980, la TL était proposée 44.000 F clés en mains, soit le prix de deux R5. Et la GTL ? 48.400 F. Quasiment la valeur d’une R20. Franchement pas donné pour une auto d’une tonne motorisée par le bloc de la R5 TS, le petit Cléon de 7 CV promettant tout sauf le frisson d’un véhicule de sport. Surtout avec la boîte 4. La GTL bénéficiera toutefois d’une boîte 5 optionnelle, histoire de claquer tranquille les 50.000 F sans voir les performances progresser d’un iota. Encore heureux que le niveau sonore et les consommations en aient profité pour évoluer dans le bon sens, sans quoi on aurait pu crier à l'escroquerie...

 

Un essai complet à lire dans les colonnes de Gazoline. ;)

 

http://gazoline.net/article2.php?id_article=2180

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65 kms encore ce matin ! le compteur tourne à cette époque !

 

 

Mais voilà ce que j'ai toujours à froid (voir photos ci-dessous)..

Je ne me souviens plus si j'en avais déjà parlé ou non..

 

 

Je laisse tourner la voiture pour qu'elle chauffe et au sol des traces noires.

Un ami me dit qu'il faut faire décalaminer le moteur mais pas facile à trouver et en plus sur des voitures de cet âge il y a soit disant des risques de détérioration interne. Pour le moment je ne fais donc rien, j'attends un peu des avis de tout le monde..

 

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je n'avais aucun problème particulier, je l'ai fait faire avec la révision il y a plus d'un an.

 

moi c'est un mazout.

 

ceci étant consulte d'abord un bon garagiste pour un avis compétant.

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C'est clair !

De toute façon d'après certains ce n'est pas la peine car beaucoup l'ont sur une voiture de cet âge..

 

Voici ce que me dit un ami :

 

je vois les mêmes traces sur le sol avec la mienne et je ne pense pas que ce soit un problème, ça doit faire pareil pour beaucoup de voitures de cet age.

 

 

A la base un pot d'échappement évacuait de la fumée et de la suie (en quantité modéré bien entendu) c'est bien plus tard en s’approchant de l'époque actuelle qu'il faut voir de l'air des montagnes sortir d'un pot d'échappement.

 

 

Sinon si ça te turlupine de trop tu peux d'abord faire vérifier ton CO 2 "CO corrigé" et éventuellement descendre la richesse mais tu risque de moins bien tourner.

On en avait déjà parlé et tu as un bon "CO corrigé", moi j'y toucherais pas, le moteur tourne bien, alors pas touche.

En plus a froid tu dois théoriquement tirer le starter donc vraiment non ça ne servirait à rien.

Tu peux aussi te renseigner si ça peut avoir a faire avec une fuite des joints queue de soupapes.

 

 

Moi à ta place je ne ferais strictement rien.

 

Il est vrai que les queues de soupapes ne sont dans doute pas étrangères à ce soucis..

Quand je ferai refaire un jour le moteur j'en profiterai pour changer tout çà et le transformer au SP sans additif !

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Rien de nouveau depuis le début de l'année !

 

J'ai ressorti la mienne après plus de 2 mois d'hibernation..

4 à 5 coups de démarreur ont été nécessaire pour réveiller titine..

 

Lundi elle part chez le carrossier pour tout ce qui est à faire en dessous (traverses, rouille, trous etc...) !

 

Une semaine en gros !

 

Donnez des news les amis !!

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