pesca 33 10 mars 2018 Signaler Partager 10 mars 2018 très jolie modèle :love: :love: que je n' ai pas (par contre j' ai du en monter un ou deux ) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
grosnono 10 mars 2018 Signaler Partager 10 mars 2018 Hugues, très beau modèle , et un gros manque dans mes vitrines , je ne possède aucune Debora Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
DJEMBE77 11 mars 2018 Signaler Partager 11 mars 2018 Ah les Debora :love: ...........belle acquisition Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
gennaro1 11 mars 2018 Auteur Signaler Partager 11 mars 2018 très joli modèle très beau modèle belle acquisition Fin des 90's, petit proto sans prétention mais avec son charme et ses différences. Moi j'aime bien, malgré son aileron arrière de travers Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
flojual 11 mars 2018 Signaler Partager 11 mars 2018 Salut Petite vitrine récupérer à Aldi Quelques minis pour essai Mes 4 grosses vitrines sont pleines Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §amo123JS 11 mars 2018 Signaler Partager 11 mars 2018 très joli modèle très beau modèle belle acquisition Fin des 90's, petit proto sans prétention mais avec son charme et ses différences. Moi j'aime bien, malgré son aileron arrière de travers Salut Hugues , Comme tu dis du charme et sans prétention ,si tu aimes ,là et l’intérêt de la posséder ,elle n'est pas dans mes thèmes .Nickel la présentation com d'hab A+Ed Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
panos 11 mars 2018 Signaler Partager 11 mars 2018 Je suis pas vraiment fan des barquettes P2 de cette période, mais Debora jouit d'un capital sympathie indéniable, malgré les abandons qui accompagnent la majorité des engagements. Une belle déco avec les couleurs fétiches de l'écurie, jaune orange et rouge, bien que je préfère celle de 1996 qui n'a pas couru. J'aime bien aussi, malgré son aileron arrière de travers... Une bien belle présentation et bel achat parce que pas facile à dénicher... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
gennaro1 19 mars 2018 Auteur Signaler Partager 19 mars 2018 En 1995, les ambitions sont revues à la baisse chez Toyota où depuis 1992, on jouait pour la victoire. Peugeot par deux fois puis Dauer Porsche l'an dernier, ont empêché les japonais d'arriver à leurs fins. Cette année, est donc celle de la réflexion, dans la mesure où il est difficile à Toyota de se situer par rapport aux européens, quasiment absent du championnat nippo et bien sûr des WSC dont le Mans est le seul rendez-vous commun avec les Grand Tourisme. Comme c'était le cas en 1984, l'engagement passe via le team SARD, ce qui n'exclut pas un soutien de l'usine dont la Supra reprend les couleurs des TS010 ou des C-V 94 des années précédentes. Plus encore que les Nissan, la Toyota s'éloigne de l'esprit du GT traditionnel. Si d'origine, la Supra est équipée d'un V6 3 litres double turbo, elle est cette fois motorisée par un 4 cylindres 2,2 litres simple turbo Garett bien plus léger et moins coûteux en développement puisque utilisé par Dan Gurney en IMSA entre 92 et 94. Avec une brise de 55,9 mm, il est censé développer 650 ch pour un couple de 80 mkg. La boîte est une X-Trac 6 rapports à commande séquentielle et si la coque ressemble à celle de la voiture d'origine, les suspensions sont elles très largement inspirées de celles des TS010. Les rues de 18 pouces sont équipées de Dunlop alors que des disques en carbone ont été montés pour ralentir les 1245 kilos de la belle. Les pilotes, pour deux d'entre eux, ont le statut pilote d'usine. L'italien Mauro Martini et l'américain Jeff Krosnoff, déjà réunis sur la Toyota malheureuse de 1994, épaulés par Marco Apicella, lui aussi exilé au Japon. Aux essais, les deux voitures engagées sous la bannière SARD finissent groupées en 67/100°, aux 31 et 32° places, l'avantage revenant à notre Supra grâce à un chrono signé Martini en 4'10"36. Après un début de course sans histoire, notre Supra stoppe à son stand à 21 H 30 pour changer la boîte de vitesses. Une fois revigorée, la belle japonaise va commencer une longue remontée qui ne permettra hélas jamais de récupérer une honorable 12° place occupée à 21 H. C'est un parcours en demi-teinte qui va ensuite accompagner la Supra, qui semble avoir adopté un rythme plus régulier à défaut d'être brillant. De l'avis des pilotes, pas question de doubler les relais, l'habitacle étant une véritable fournaise. La Toyota finira finalement à la 14° place. Modèle Spark. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
triceratops 19 mars 2018 Signaler Partager 19 mars 2018 Waouh un beau monstre gonfle a la testoterone, qui se pare des couleurs officielles de Toyota motorsport. J'adoooore! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §amo123JS 19 mars 2018 Signaler Partager 19 mars 2018 Soir Hugues , Comme elle est belle ,superbe GT . Encore une belle acquisition et, chapeau, photos ;texte; etc ...tout es très bon Au plaisir ED Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Steed83 19 mars 2018 Signaler Partager 19 mars 2018 Ouaip, bien belle cette Supra T’as pas une photo de famille, avec les Toy’ usine de 92 à 99 ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
panos 20 mars 2018 Signaler Partager 20 mars 2018 La présentation d'un bien joli modèle agrémentée de superbes photos, comme d'hab. Une miniature dont la finition semble bien finie et détaillée. Pas étonnant qu'elle soit chez toi. A rapprocher de la Supra de 96 dont la sortie est imminente chez Spark. Dommage qu'ils sortent deux modèles très similaires alors qu'il y a des nippones très différentes qu'on attend depuis des lustres telles que (je me répète) les Datsun 740Z de 75/76, les Nissan Skyline ou les Honda NSX des annéees 90. Bon, ça viendra. En tous cas, bel Achat Hugues que cette Supra. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
pesca 33 21 mars 2018 Signaler Partager 21 mars 2018 belle voiture elle fait la paire avec la Sard chez moi ;-) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
voner5 22 mars 2018 Signaler Partager 22 mars 2018 Sont belles ces Nippones même si elles passent moins bien dans les vignes par chez moi que mes dernières acquisitions........ :D :D Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
gennaro1 22 mars 2018 Auteur Signaler Partager 22 mars 2018 Waouh un beau monstre gonfle a la testoterone, J'adoooore ! Bodybuildée juste ce qu'il faut, moi aussi j'adore Encore une belle acquisition Je ne pouvais pas ne pas l'avoir celle-ci ! T’as pas une photo de famille, avec les Toy’ usine de 92 à 99 ? Je vais faire ça ce week-end, bonne idée A rapprocher de la Supra de 96 dont la sortie est imminente chez Spark. Fin juin. Egalement en commande, tu penses alors qu'il y a des nippones très différentes qu'on attend depuis des lustres Franchement d'accord avec toi. Mais la première qualité d'un collectionneur n'est-elle pas la patience ? elle fait la paire avec la Sard chez moi Chez moi aussi. Mignonne comme tout cette petite Sard elles passent moins bien dans les vignes par chez moi que mes dernières acquisitions C'est clair ! Parce que vendanger avec une Supra, c'est pas gagné Merci à vous pour votre passage, c'est très sympa Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
alm93 22 mars 2018 Signaler Partager 22 mars 2018 Sympa le Toy J'ai la même a la maison J'attends maintenant ça sœur qui devrait être disponible la semaine prochaine. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
benfire 22 mars 2018 Signaler Partager 22 mars 2018 Jolie GT, ça change des Porsche dans les années 90. J'ai pris la même, le résultat étant meilleur que la version 96 et la déco étant très proche. Belle présentation, comme toujours. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
gennaro1 24 mars 2018 Auteur Signaler Partager 24 mars 2018 J'attends maintenant sa sœur qui devrait être disponible la semaine prochaine. On l'attend depuis longtemps celle-là aussi J'ai pris la même, le résultat étant meilleur que la version 96 et la déco étant très proche. C'est vrai Ben, mais je n'ai pas pu résister et j'ai choisi les 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
gennaro1 2 avril 2018 Auteur Signaler Partager 2 avril 2018 En 1997, le malheur qui a frappé WR lors des essais de mai, permet le repêchage de la dernière création de Jim Downing, l'homme à qui Yojiro Terada demande depuis 1995 de construire un prototype pour les 24 Heures. L'histoire de Terada est celle du premier pilote japonais vu au Mans, et sui débute en 1974. Depuis, Yojiro est venu 17 fois toujours pour le compte du constructeur nippon, sauf en 93, année où Mazda n'avait pas de voiture correspondant au règlement. Terada retrouve ses équipiers 95 et 96, le vétéran US Jim Downing et le parisien Franck Fréon. Le troisième prototype engagé par Mazdaspeed est radicalement différend de la DG4 vue l'an dernier. Plus volumineuse, plus lourde au sens propre comme au figuré du reste, elle a bien évoluée depuis le mois de mai. Car avec 25 tours de roulage sur le circuit du Val de Vienne, la nouvelle Mazda va vite s'avérer non compétitive pour le trio de pilotes au point qu'un seul le plus rapide, en prendra le volant. Elle va longtemps buter sur la barrière des 4'13 avant de descendre sous les 4 minutes, ultime rush en vue du drapeau à damiers, la plaçant en position de premier prototype éliminé. Sa présence au mois de juin va dépendre de la décision de WR. La carrosserie va être revue, après de nombreuses séances d'essais effectuées en Géorgie, l'aileron arrière et la prise d'admission de l'air au moteur également. Mais pour Mazda, la grande nouveauté de 97 est la possibilité d'utiliser à nouveau le quadri-rotor, celui la même qui a permis à Mazda de s'imposer au Mans. Construite aux USA selon le règlement WSC, la Mazda DLM MS 97 utilise 4 roues de même dimension et ne peut utiliser de freins carbone. Aux essais, l'élimination programmée d'une voiture prototype va en permanence concerner les équipages de la Mazda, de la BRM et des 2 Kremer. Longtemps notre Mazda semble être à l'abri mais les K8 vont jeter leurs dernières forces dans la bataille. A l'heure des comptes, on retrouve 3 voitures groupées dans la même seconde, notre Mazda prenant 612/1000° à la BRM. En 3'56"122, Fréon qualifie la belle japonaise en 9° ligne. Eliminée, repêchée, qualifiée de justesse, la Mazda va en course se défendre, bouclant ses 12 tours à l'heure en ce début de course. Après quelques ennuis anodins, les gros problèmes arrivent après 19 H avec un changement de triangle inférieur. La course va ensuite virer à la séance d'essais, où chaque arrêt est prétexte à parfaire la mise au point. Après inspection du moteur puis des suspensions arrières, deux alertes vont conduire à un changement du triangle gauche qui, cumulé au réglage de la tringlerie de la boîte, occupera les mécanos de longs moments. Dans ces conditions, nul étonnement à retrouver notre Mazda derrière la grande majorité des GT2. Rien ne sera épargné à notre Mazda, y compris une rupture de suspensions à une heure de l'arrivée. Cet incident vaudra à la Mazda de retrouver la place qui était la sienne en 96, la dernière ! Mais les japonais peuvent une fois encore se féliciter d'avoir terminé. Modèle Starter Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
pesca 33 2 avril 2018 Signaler Partager 2 avril 2018 Jolie modèle et rare !! belle présentation j' ai une 95 en JPS ( déja dans ma collection) et une 96 peinte et qui attends ses décals et son montage ....mais pour le moment j' ai d'autres chats à fouettés une charretée de corvette ne devrait pas tarder à pointer leurs nez et j' ai l' aménagement de mon propre musée à faire donc ....ça attendra Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
alm93 2 avril 2018 Signaler Partager 2 avril 2018 Bon là je passe le modèle est rare et original mais ni ses lignes ni sa déco ne m'attire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
panos 3 avril 2018 Signaler Partager 3 avril 2018 Si les autos conduites par le sympathique Terrada était un de mes thèmes de collection, nulle doute que je serais jaloux de ta trouvaille. En plus, c'est un modèle qui ne cours pas les rues. Mais là non, j'en ai quelques unes du japonais mais je ne courrais pas après celle-ci. Comme Armand, cette Kudzu me laisse un peu de marbre, de par sa ligne et sa déco. Mais je comprend très bien qu'elle soit chez toi, vu le grand nombre de nippones figurant dans tes vitrines à toi que tu as et vu ton amour irraisonné pour les belles japonaises. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
gennaro1 8 avril 2018 Auteur Signaler Partager 8 avril 2018 En 1970, nous retrouvons 2 Corvette au départ. La #2 engagée par le Greder Racing et la #1 du team Leopard. Petit retour en arrière. GM comptant engager les nouvelles Corvette C3 coke-bottle aux 24 heures du Mans 1968, la Scuderia Filipinetti (son mécanicien en chef était un certain Franco Sbarro) se lance dans cette aventure avec l’appui de Henri Greder, chargé de piloter les C3. Le 7 litres de la Corvette L88 semblait adapté au circuit du Mans, avec pour preuve les deux victoires Ford de 66 et 67, un moteur coupleux à souhait et qui était bien adapté à la longue ligne droite. En 1968, deux Corvette vont arriver directement de Détroit avec toutes les spécifications compétition. Zora Arkus Duntov avait bien évidemment supervisé la préparation de ces deux châssis, dont #194378-S-410300 qui était destiné à Henri Greder et Jean-Claude Killy, même si à la dernière minute GM a opposé son véto à la participation de Jean-Claude Killy qui était requis par son employeur pour d’autres opérations d’image… et c’est le vétéran Umberto Maglioli qui épaulera Greder. Equipée d’un pont long, les Corvette avaient une très bonne vitesse de pointe qui frisait les 300 km/h. Elles étaient les GT les plus rapides. En 1969, la seule Corvette engagée, équipée du moteur 7 litres, était celle vue en 1968 avec le #3, châssis #194378-S-410300 qui avait subi quelques améliorations : meilleure accessibilité au moteur et montage d’un système de mise à l’air libre de l’orifice de remplissage du carburant. Pour l’équipage, c’était cette fois Reine Wissell qui allait épauler Henri Greder, tandis que le jeune Ronnie Peterson était le pilote suppléant. Apres la course, notre Corvette est ensuite vendue à JC Aubriet et participe aux 24 Heures du mans jusqu'en 1973, ainsi qu'au Tour auto de 1970 et 1971, aux 3 heures et 4 heures du mans 1971 et 1973 sous les couleurs de l'ecurie Léopard. Pilotée par Jean-Claude Aubriet et Joseph Bourdon, elle se qualifie en 37° position avec un temps de 4'07"2 et abandonne à la 5° heure de course sur accident après avoir couvert 37 petits tours. Modèle Spark http://i45.tinypic.com/2qm3sef.jpg Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §phi062VV 8 avril 2018 Signaler Partager 8 avril 2018 Merci pour cette présentation Hugues ! :jap: Il faut dire qu'en présentant une Corvette C3 tu as choisi une voiture que j'apprécie beaucoup. Hélas, celle-ci sera, comme beaucoup d'autres, victime des fortes averses de cette édition 1970. Vraiment dommage... Reste un joli modèle :love: fort bien réalisé par Spark et qui se retrouve aussi chez moi (of course !). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
gennaro1 8 avril 2018 Auteur Signaler Partager 8 avril 2018 Reste un joli modèle fort bien réalisé par Spark Absolument Philippe. Formes, gabarit, détails, finition, une superbe miniature Manque juste le son Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
panos 8 avril 2018 Signaler Partager 8 avril 2018 Reste un joli modèle fort bien réalisé par Spark Absolument Philippe. Formes, gabarit, détails, finition, une superbe miniature Manque juste le son Ha les C3 ! Elles avaient quand même une gueule autrement plus bestiale que les C6R ou C7R qu'on voit aujourd'hui. Et Titi Greder, c'était vraiment le Monsieur Corvette. Un bien jolie miniature malgré une livrée banale à mon gout. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §amo123JS 8 avril 2018 Signaler Partager 8 avril 2018 Jour Hugues , Alors là ,je suis aux anges avec cette présentation de la C3 ,Spark fait du bon boulot avec ces "remontes" de temps.Superbe présentation que mérite cette magnifique Corvette que j'ai en "Vitesse" Je me régale toujours autant ici A.PLUS.CHRIS Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
alm93 8 avril 2018 Signaler Partager 8 avril 2018 Joli modèle que cette Corvette et les formes sont autrement plus juste que celles du modèle Vitesse. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
benfire 8 avril 2018 Signaler Partager 8 avril 2018 Tu as même la doc photo pour réaliser la version fin de course, beaucoup plus originale Bien mieux que ma Vitesse en tout cas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
pesca 33 8 avril 2018 Signaler Partager 8 avril 2018 jolie modèle et belle présentation il faudra que j' investisse un jour dans une TSM Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
gennaro1 8 avril 2018 Auteur Signaler Partager 8 avril 2018 Un bien jolie miniature malgré une livrée banale à mon gout. Tout à fait d'accord avec toi, la déco est inexistante même... magnifique Corvette que j'ai en Vitesse Joli modèle que cette Corvette et les formes sont autrement plus juste que celles du modèle Vitesse. Bien mieux que ma Vitesse en tout cas. Oui, la Spark est beaucoup plus mieux, mais la Vitesse n'est pas si mal et surtout elle est 2 ou 3 fois moins chère il faudra que j' investisse un jour dans une TSM La L88 Filippinetti de 68 est magnifique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
gennaro1 11 avril 2018 Auteur Signaler Partager 11 avril 2018 En 2003, Luc Alphand retrouve la voiture qui était sienne à Nogaro en FFSA-GT, une Ferrari prise en main par Solution F., structure basée en Avignon et qui a engagé des Riley & Scott en 98 et 99. Après le Paris-Dakar et le trophée Andros, Luc Alphand s'est intéressé aux courses en circuit, montant sa propre structure installée dans le Technoparc et participe pour la première fois aux 24 Heures du Mans en 2001 sur une Porsche 911 GT3-RS. Dans la Sarthe, la Ferrari 550 GTS Maranello découvre les 24 Heures du Mans en 2002. Pour ce galop d’essai face aux redoutables concurrents de la catégorie LM GTS, la seule voiture engagée par l’écurie de Banbury expose ses formidables aptitudes. Si l’équipage Rickard Rydell, Tomáš Enge et Alain Menu ne voit pas l’arrivée de cette 70° édition, la pole position signée par le trio avertit les protagonistes de la classe, notamment Corvette Racing, sur les prétentions de la nouvelle arme de Prodrive. C'est Jérôme Policand qui qualifie la belle italienne sur la 12° ligne, 4° temps des GTS en 3'56"216. Qu'elles soient rouge ou bleu, les 550 font preuve d'un bel allant en ce début de course, pour le plus grand bonheur de notre trio Alphand-Policand-Dor, maintenant second, juste devant la Corvette #53 dans le même tour. La course va être sans histoire jusqu'à une sortie de piste sans gravité dans la courbe Dunlop peu avant minuit. Mais le vrai gros soucis arrive le dimanche matin à 7 H 46. le roi de la descente ne goûte guère la chûte au classement de sa Ferrari qui, 3° de son groupe, est en train de perdre 11 places par la faute d'un changement de cardan. Non seulement tout espoir de podium disparaît mais ce contretemps incite les responsables des Corvette à se jeter dans la bataille. A l'arrivée, une 21° place, la 5° de son groupe, viendra sanctionner une course un peu ratée, après plus de 3 h et 15 minutes passées aux stands. Modèle BBR. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §ced071kB 11 avril 2018 Signaler Partager 11 avril 2018 Je n'ai jamais accroché au bleu choisi par BBR (même la forme de l'auto que je trouve un peu courte au niveau de carrière) , j'ai pu trouver une redline à un bon prix perso Une belle présentation pour cette Ferrari Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
gennaro1 11 avril 2018 Auteur Signaler Partager 11 avril 2018 Même si je trouve le bleu de la Red Line un peu trop soutenu, je suis bien d'accord avec toi, celui de la BBR est franchement pâlot. Quant aux proportions, j'ai une 550 en Red Line, faudrait que je la compare en taille avec la BBR, tiens... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
grosnono 11 avril 2018 Signaler Partager 11 avril 2018 J'ai cette F550, un kit monté de chez "Mistral" , le bleu est un peu plus foncé que cette "BBR" .........mais bon attention au photo Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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