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1/43ème

Mes Vitrines à Moi que j'ai


gennaro1
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En 1983, aux côtés des Porche Groupe C made in Stuttgart, on retrouve une réalisation privée signée Kremer. La CK5, construite en 1982 par les frères Kremer, pilotes et spécialistes des préparations de Porsche 911, 934 et 935, sur la base d’une Porsche 936, était destinée à concurrencer les nouvelles et redoutables Porsche 956 en attendant que l’usine veuille bien produire et vendre ses autos aux écuries privées. De son côté, le Joest Racing avait entrepris la même démarche avec la 936 C.

 

 

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Las, la 936 est une vieille auto, elle-même bâtie en grande partie avec de nombreux éléments de la… 917 ! Malgré les compétences du team et l’aide de l’usine, les performances ne seront pas suffisantes pour lutter contre la nouvelle arme de Stuttgart. Les CK5, comme les 936C, furent surtout utiles à remplir les grilles, servir de faire valoir aux 956 et garder les meilleures équipes privées dans le camp des mécaniques Porsche.

 

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Mais, tirant les enseignements de leur châssis construit l'an dernier, les frères Kremer n'ont procédé qu'à des modifications de détail, roues de 19 pouces au lieu de 16, prises d'air sur le capot arrière regroupées en deux entrées d'air au lieu de quatre. Le changement le plus spectaculaire provient cependant du poids, inférieur de 50 kilos à celui de la première CK5 (827 contre 877 en 1982).

 

Et comme le moteur, toujours dérivé de celui des 935, a été travaillé pour réduire la consommation, on maintient chez Kremer que cette voiture peut jouer les premiers rôles et se mêler aux 956.

 

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Il suffira qu'elle soit bien conduite, et de côté rien à craindre, puisque après la signature d'un accord avec le magazine Grand Prix International et suite aux relations d'amitié entre le rédacteur en chef de GPI et Patrick Gaillard, c'est finalement ce dernier qui va épauler Franck Jelinski et Dereck Warwick qui remplace Alan Jones retourné en Australie la semaine précédant les 24 Heures.

 

Chaussée en Good Year, notre CK5 est équipée d'une boîte de vitesses à quatre rapports style 917 Can-Am au lieu des fragiles boîtes à 5 rapports des 936.

En 3'35"62, et malgré un moteur cassé, c'est Warwick qui qualifie la belle teutonne sur la 7° ligne. Loin des 3'16"56 claqués par Jacky, le temps semble peser sur la carrosserie de la CK5.

 

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Et après avoir manqué ses essais, la CK5 officielle ne va guère avoir la possibilité de se refaire une beauté pendant la course. La portière gauche mal fixée, une durite d'huile qui se desserre, un échappement qui se rompt et pour finir un cylindre défectueux, empêchent notre CK5 d'apprécier plus avant les charmes de l'endurance et les joies des 24 Heures. Il est 22 H 09, l'abandon est prononcé.

 

Quant au fameux comparatif CK5 vs 956, il semble que la sentence du résultat soit définitivement sans équivoque.

 

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Modèle Spark

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Ha, celle-ci, contrairement à la précédente, figure chez moi et y restera.

Un modèle que j'apprécie beaucoup. Avec la 936C de Joest, elle faisait partie des curiosités de l'année.

L'art de faire du neuf avec du vieux.

Même s'ils n'étaient pas les premiers, les Kremer étaient des précurseurs avec l'adoption de l'aileron de requin bien avant les proto actuels.

Mais avec cette auto déjà dépassée avant d'avoir couru, comme leur 917 de 81, le résultat de cette Kremer était connu d'avance

Un modèle sympa bien reproduit par Spark, une jolie déco, je comprends qu'elle soit chez toi...et chez moi.

 

Pour en revenir à la 458 précédente

 

C'est se priver de quelques miniatures

ça ne me prive absolument pas, je suis dans une phase descendante depuis un moment concernant les miniatures (j'en ai encore vendue 4 cette semaine) et je ne garde et ne jette mon dévolu que sur des modèles représentatifs pour moi.

Bien que très jolie, cette 458, ne me fait pas craquer.

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Encore une très belle Groupe C

 

 

Vi. Je reste un brin nostalgique des voitures de cette époque.

 

 

L'art de faire du neuf avec du vieux.

 

Parfaitement. De sacrés bonhommes les Kremer's brothers

 

 

Perso je n'ai que la Cartier de 82

 

Je t'envie, elle manque à ma collection de CK5

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Au lieu de nous proposer une AMI 6 qui n'intéresse que ce brave Hugues... :lol: , Hachette ferait bien de sortir chez nous la collection japonaise des 24 h.

 

 

Bah apparemment non ils veulent faire une collection 24 heures du Mans au 1/24eme :pfff:

 

 

Matra_670_1-24_hachette.jpg

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En 1991, avec l'engagement de deux 905 Peugeot, c'est le retour d'un grand constructeur français depuis la victoire de Renault en 1978. Le dernier et seul engagement officiel de la firme de Sochaux remontant à 1926, revoir des Peugeot au Mans +6 ans plus tard est la double conséquence du retour des 24 Heures dans le giron du championnat du Monde et du choix du Lion en faveur des voitures de sport.

Les dirigeants de Peugeot viennent, disent-ils, pour apprendre et ne cachent pas que leurs ambitions se limitent à quelques heures de course. Du reste, les essais préliminaires ont clairement démontré que leurs voitures ne sont pas encore mûres pour une épreuve de 24 heures. Les 905 ont subi certaines adaptations spécifiques au niveau du moteur et de leur boîte de vitesses, dotée de pignons plus larges. Quant au moteur V10, il a été décidé d'en réduire le régime d'utilisation de plus de 1000 tr/mn, ce qui doit situer le maximum aux environs de 11 000 tours. Ajoutons des freins en carbone moins épais que ceux des Mazda ou des Sauber du fait de la différence de masse entre les machines des 2 catégories, mais plus imposants que ceux utilisé habituellement en championnat.

 

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Les deux 905 sont mécaniquement identiques et se distinguent par des parements jaunes sur le châssis EV15, notre #6, et rouges pour le châssis EV14). Le poids relevé au pesage, aux alentours de 800 kilos, s'explique par le doublement de certains boitiers, de la commande d'accélérateur et les fixations de la carrosserie en acier (titane pour les courses sprint). D'autre part, en vue d'un nombre d'arrêts plus important qu'en championnat, les système de remplissage permettant des appoints en huile, eau et liquide de freins, on été revus de façon à perdre le poins de temps possible lors de ces opérations. Un équipement communication radio très performant a été instalél de façon à pouvoir communiquer avec les pilotes quelle que soit leur position sur le circuit.

L'équipage est moins expérimenté que celui de la #5, puisque de Rosberg, Dalmas et Raphanel, seul ce dernier a déjà participé aux 24 Heures. Cinq participations pour le champion de France F3 1985, atteignant le podium en 87 sur Cougar. Yannick Dalmas, champion de France F3 en 1986 et après 3 saisons en F1 chez Larousse puis AGS, découvre le circuit du Mans comme Kéké Rosberg, champion du Monde de F1 en 1982 sur Williams, revenu à la compétition après 3 ans d'interruption.

 

 

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Aux essais, nos 905 découvrent le mercredi, une piste noyée sous la pluie et Dalmas réalise un joli 3'42"028 plaçant la #6 en seconde position. Le lendemain, Alliot et ses 3'35"058 permettront à Peugeot de partir en pôle, aux côtés de notre #6 grâce a un chrono de 3'38"886 signé Dalmas. Les Lionnes restent cependant à presque 4 secondes des la Sauber de Schlesser mais cette dernière étant en Catégorie 2, elle ne pourra pas partir en première ligne grâce à un règlement bien débile.

Dès le départ, nos deux 905 roulent en tête. Profitant de sa position, Alliot va rester au commandement jusqu'au début de la nouvelle portion. Puis, devant les tribunes, Rosberg place notre #6 en tête. Un ordre qui va rester inchangé 10 tours durant, jusqu'au premier ravitaillement. Mais, nouvelle alerte chez Peugeot à l'issue de son 16° tour, notre 905 prend la piste de décellération. Six minutes suffiront à revigorer l'allumage, mais le mal est plus important qu'il n'y parait puisqu'à 17 H 23, Yannick Dalmas revient au stand pour y rester plus de 30 minutes. Cette fois, c'est tout le faisceau qui est remis à neuf. Tombée au 35° rang, notre Lionne va vaillamment rouler au même rythme que les leaders les 3 heures suivantes.

Depuis le retrait de la #5, Jean Todt et son équipe n'attendent pas grand chose de la #6 mais espèrent emmagasiner un maximum d'informations pour les années futures. C'est pour cette raison que les mécaniciens passent plus de 35 minutes à remettre la pigninerie en état de marche après 21 H. Mais, reparti des stands sans douceur, voilà Kéké Rosberg stoppé dans la courbe des Hunaudières, boîte bloquée. Bien que le problème a été étudié la veille lors d'une séance de formation technique, le finnois semble se souvenir de rien. A peine sorti de la 905, il signale son abandon aux commissaires, tandis que Tim Wight essaie en vain de demander à son pilote d'attendre du renfort...L'aventure aura duré 68 tours, soit un peu moins de 1000 kms.

 

img_9716.jpg

 

Modèle Spark

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Très joli modèle qui semble bien mieux fini que mon modèle "vitesse" ;) mais il est déjà d'une autre époque ...

 

Et encore merci de nous rafraichir la memoire de ces début de l'aventure Peugeot 905 :) J'avais oublié déjà les raisons de l'écartement de KEKE en fin de saison ... :lol:;)

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Belle miniature effectivement :jap: .

Sur que Rosberg ne s'est pas fait des amis chez Peugeot lors de cette édition ...

 

Petit détail : la C11 de Schlesser qui réalise la pôle était officiellement une Mercedes, pas une Sauber il me semble :??: .

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J'avais oublié déjà les raisons de l'écartement de KEKE en fin de saison

 

Ouais, pas trop inspiré le moustachu finnois sur ce coup...

 

Petit détail : la C11 de Schlesser qui réalise la pôle était officiellement une Mercedes, pas une Sauber il me semble

 

La C7 en 1988 puis la C9 en 89, sont motorisées par un V8 Mercedes. Mais ces autos sont des Sauber et Mercedes n’est précisé qu’en tant que motoriste. La Sauber Mercedes C11 est en réalité une Mercedes engagée par le Team Sauber. Mercedes n’est plus simple sponsor et motoriste. Du reste l’écurie devient un team officiel de la marque à l’étoile, la licence Suisse est d’ailleurs remplacée par une licence allemande.

Ceci étant, l'engagement a été fait au nom du team Sauber-Mercedes.

 

Tout ceci pour dire que si dans les faits, la C11 est une Mercedes, je ne sais pas si elle est officiellement une Sauber ou une Mercedes.

 

Merci de vos passages les amis :jap:

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Ben la réponse est dans ton texte il me semble : la C11 est une Mercedes engagée par le team Sauber Mercedes.

Pour moi il n'y a pas d'ambiguité.

Tu considères bien que la 956 winneuse en 84 et 85 est bien une Porsche, pas une Joest, pas vrai ? ;)

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Oui, c'est vrai. Reste que l'engagement a été fait au nom du team Sauber Mercedes, un peu comme si Mercedes voulait rester dans l'ombre. Le vieux souvenir de 55 ?

Pour moi c'est une Sauber Mercedes car conçue sous la direction de Leo Ress, pour d'autres une Mercedes Sauber. Globalement ce n'est pas très important, restera une superbe voiture

 

1991_110.jpg

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Oui, c'est vrai. Reste que l'engagement a été fait au nom du team Sauber Mercedes, un peu comme si Mercedes voulait rester dans l'ombre. Le vieux souvenir de 55 ?

Pour moi c'est une Sauber Mercedes car conçue sous la direction de Leo Ress, pour d'autres une Mercedes Sauber. Globalement ce n'est pas très important, restera une superbe voiture

 

https://i33.servimg.com/u/f33/ [...] 91_110.jpg

 

 

Les mêmes réserves que Renault avec Alpine,on vous vend un moteur (arrangé)mais ce sont des Alpines :ange: :ange: :ange:

Idem renault avec les 4CV au début :D :D :D

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L'équipage est moins expérimenté que celui de la #5, puisque de Rosberg, Dalmas et Raphanel, seul ce dernier a déjà participé aux 24 Heures.

Dalmas n'a pas tardé à apprendre puisqu'il décrochait la timbale l'année suivante, avec la suite que l'on sait.

Une miniature qui ne doit pas être très courante, je pense.

 

Bizarrement, bien que ce soit l'engagement d'un constructeur français, je ne me suis jamais penché sur la saga 905 en miniatures, à part les winneuses que j'avais achetées à l'époque (des Vitesse que je n'ai jamais remplacées d'ailleurs, pourtant elles ne sont pas top).

Un modèle donc, qui ne me fait pas plus sauter au plafond que ça mais c'est bien de nous rappeler son histoire...

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une belle présentation et de bons commentaires

 

Merci Thierry :jap:

 

Un modèle donc, qui ne me fait pas plus sauter au plafond que ça mais c'est bien de nous rappeler son histoire...

 

C'est un peu la raison de mon achat. Elle marque le début d'une belle série. Merci de ton passage Philippe

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En 2017, pour la première fois dans au Mans, une Corvette C7.R recevra une livrée Art Car. On doit l’initiative à Romain Brandela, qui travaille la semaine chez BMW. Chez BMW, nous sommes sensibles aux livrées Art Car nous a déclaré Romain Brandela. On s’est dit que l’on pouvait le faire sur une Corvette. L’exercice n’est pas évident car il faut tenir compte des partenaires de l’équipe et des pilotes. Mon travail quotidien m’a permis de côtoyer différents artistes, dont Ramzi Adek. J’ai découvert avec lui des styles très pop. Nous avons réfléchi ensemble pour une idée moderne qui va sortir du lot. Il va laisser libre court à son imagination.

 

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Né en 1976 à Aix-en-Provence, Ramzi Adek fait partie des artistes Street Art qui oeuvre à Paris et aux Etats-Unis. Son travail lui a valu de collaborer avec des grandes marques, mais surtout des géants de l’automobile, comme Mercedes, Corvette, Porsche, ou encore Mazda. Grand amateur de comics américains, l'homme est revenu sur l'essence même de son travail, expliquant notamment qu'il souhaitait mettre des super-pouvoirs au service des pilotes dans leur quête de succès au Mans. Le visage de femme déterminée côté passager illustre par exemple cette volonté d'exprimer de façon plus ou moins abstraite la performance et la puissance. Quant à la peinture fluorescente, il s'agit d'un clin d'œil aux super-héros, qui endossent souvent leurs habits de lumière une fois le soleil couché.

L’objectif de l’artiste est bien d’avoir une déco Art Car complète avec une Corvette qui devrait faire le bonheur des photographes la nuit compte tenu d’une livrée phosphorescente.

 

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La livrée de la Corvette a été dévoilée le 4 juin au Mans. Confiée aux pilotes Christian Philippon, Romain Brandela et Fernando Rees, la voiture s'est également distinguée au niveau chronométrique puisqu'on retrouve notre #50 avec le 2° temps de ce dimanche en 3'58"302 (signé par le pilote brésilien) à moins d'un dixième de Pedro Lamy sur son Aston Martin Vantage #98. Lors des essais, le duel a été somptueux entre Fernando Rees et Pedro Lamy. Et finalement, c'est le brésilien qui offre la pôle à l'écurie de Jack Leconte grâce à un chrono de 3'52"843.

 

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Dès le début de la course, Fernando Rees ne va laisser à personne le soin de diriger les opérations en GT Am. Mais en ravitaillant à 15 H 44 contre 15 H 48 pour l'Aston de Pedro Lamy et 15 H 52 pour la Ferrari de Bell, le brésilien va abandonner un sceptre que ni lui ni ses équipiers ne retrouveront.

D'autant qu'à 16 H 14, Fernando anticipe son second arrêt. Outre un ravitaillement, il faut changer la porte gauche, détruisant ponctuellement l'oeuvre de Ramzi Adek par l'ajout d'une portière toute jaune. L'ensemble des opérations va reléguer notre Corvette en 12° position et à un tour de la première place.

Peu après 2 heures du matin, notre C7 tire tout droit dans la descente du Dunlop. Signalée au ralenti, elle parvient à rejoindre son stand à 2 H 11 pour une vérification qui va durer 34 minutes. Elle pointe alors à la 51° place et ne parviendra pas à ressortir des profondeurs du classement.

Avec 2 changements de portière, la casse d'une chape de triangle de suspension, un gravier qui a cisaillé une courroie ou encore une crevaison lente, notre Corvette a connu bon nombre de contrariétés. Elle finira à la 15° place du GT Am, bien loin de la première place occupée durant les 11 premiers tours de la course.

 

 

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Modèle JPS, un immense bravo et merci à Michel pour le montage :jap:

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Beaucoup de boulot sur ce kit.

Une miniature que j'ai pu apercevoir en cours de montage dans les ateliers Pesca33.

Du beau travail.

Une déco, à mon gout en peu trop chargée, qui n'a pas porté chance à Larbre...

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Beaucoup de boulot sur ce kit.

Une miniature que j'ai eu l'occasion d'apercevoir en cours de montage dans les ateliers du Pesca33 Motorsport.

Du beau travail.

Une déco, à mon gout en peu trop chargée, qui n'a pas vraiment porté chance à Larbre...

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