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Émissions polluantes non conformes Rapport Royal


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Ce qui compte pour ceux qui travaillent en France, c'est que les véhicules fabriqués (et qu'ils achètent) créent des emplois en France.

Ce n'est pas normal de faire payer des cotisations chômage aux contribuables pour que des constructeurs français aillent fabriquer des véhicules à l'extérieur de la France pour les importer ensuite.

 

 

C'est ce que je dis, un vehicule de marque Française fabriqué assemblé à l’étranger crée ou préserve certainement plus (ce n'est pas une règle absolue) d'emploi en France qu'un véhicule de marque étrangère seulement assemblé en France, et encore plus qu'un véhicule de marque étrangère assemblé hors de France.

Après on ne vis pas non plus dans un monde fermé et si on veut conquérir des marchés étrangers, condition indispensable à la survie de l'industrie automobile Française et des emplois industriel en France (300 000) qui vont avec, il faut aussi produire a l’étranger c'est une illusion de croire que l'on peut tout faire en France.

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Participants fréquents à ce sujet

Ce qui compte pour quoi, là est la question.

On fait plus de mal à l'industrie française en essayant de la protéger et en achetant des produits français médiocres, plutôt qu'en achetant des produits étrangers de meilleure qualité, forçant ainsi notre industrie à se remettre en question.

Acheter français, oui, à qualité égale.

Sinon le remède est pire que le mal.

 

Tout a fait et je ne dis pas autre chose, ce genre de politique prôné par certains que je ne nommerais pas conduirait, a une albanisation du pays, (on finirait par produire que des Traban)

Dans l'histoire tout les pays qui se sont repliés sur eux même on très vite été largués.

Par contre, il est clair aussi qu'il y a de la concurrence déloyale, dumping, social et fiscale, et je ne parle même pas de la Chine et des pays émergeant, mais au sein même de l'UE, et ça, ce n'est pas admissible car ca tire tout le monde vers le bas. Mais c'est un autre débat.

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Tout a fait et je ne dis pas autre chose, ce genre de politique prôné par certains que je ne nommerais pas conduirait, a une albanisation du pays, (on finirait par produire que des Traban)

Dans l'histoire tout les pays qui se sont repliés sur eux même on très vite été largués.

Par contre, il est clair aussi qu'il y a de la concurrence déloyale, dumping, social et fiscale, et je ne parle même pas de la Chine et des pays émergeant, mais au sein même de l'UE, et ça, ce n'est pas admissible car ca tire tout le monde vers le bas. Mais c'est un autre débat.

 

Tant que les Français n'accepteront pas de travailler aux conditions de la Chine (ou pire des Indiens), ils ne seront pas assez compétitifs pour les industriels français. La Chine profite de la venue des industries étrangères qui permettent à leur population de consommer plus et de faire évoluer rapidement leur économie.

Pour les pays qui exportent (et réimportent) leurs fabrications de produits, c'est le contraire qui se produit.

Les PME et les commerçants en sont les premières victimes, entrainant les ouvriers dans leur chute...

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Invité §bil862Pm

ou est le problem de travailler au salaire chinois ou indien ?

 

si tout est du niveau de ses salaire : loyer / nourriture etc

 

un ford ecosport fabriqué en inde est vendu la bas 8000 euro .. 17000 en france .. le meme

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ou est le problem de travailler au salaire chinois ou indien ?

 

si tout est du niveau de ses salaire : loyer / nourriture etc

 

un ford ecosport fabriqué en inde est vendu la bas 8000 euro .. 17000 en france .. le meme

 

Ce n'est pas le soucis des industriels...

Maintenant il n'ont plus besoin d'assurer le niveau de vie de leurs ouvriers, ils ont des robots...

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Invité §cit386Gi

Tout a fait et je ne dis pas autre chose, ce genre de politique prôné par certains que je ne nommerais pas conduirait, a une albanisation du pays, (on finirait par produire que des Traban)

Dans l'histoire tout les pays qui se sont repliés sur eux même on très vite été largués.

Par contre, il est clair aussi qu'il y a de la concurrence déloyale, dumping, social et fiscale, et je ne parle même pas de la Chine et des pays émergeant, mais au sein même de l'UE, et ça, ce n'est pas admissible car ca tire tout le monde vers le bas. Mais c'est un autre débat.

 

En effet, j'en ai été victime, l'entreprise sous traitante automobile (pièces internes de moteur) qui m'employait depuis plus de 30ans a fermé et tout le monde licencié, malgré son excellence reconnue (a fait de l'industrialisation pour Porsche par ex...), et la production délocalisée essentiellement en Pologne, mais aussi en Espagne (salaires désormais 30% inférieurs aux nôtres), sauf les produits les plus techniques qui sont allés en Allemagne dans une unité spécialisée, malgré un coût 10% supérieur...

 

Mais la fabrication de certaines autos françaises exclusivement à l'étranger n'est pas acceptable, par exemple le Citroën Cactus qui est fabriqué en Espagne: ce véhicule est pourtant quand même vendu TRES CHER, ce qui explique son semi échec , dû également à ses versions essence très longtemps sous motorisées (depuis l'adoption du THP110 c'est ok) ainsi que l’absence d'une version à (véritable) boîte automatique...

 

Il ne s'agit pas de faire des "Traban" , mais il manque des autos simples, légères et fiables dont le développement est interdit par la réglementation (on ne pourrait par ex. plus faire une 2cv aujourd'hui, même si munie d'un catalyseur et d'une injection...sachant que les dernières 2cv vendues en Allemagne avaient 2 catalyseurs de type moto, un peu moins efficace qu'un cata+ injection régulée)

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Renault a promis lundi de présenter dans les prochaines semaines un "plan technique" pour réduire la différence entre les émissions de ses voitures en conditions réelles et celles des normes d'homologation, après la mise en évidence de forts écarts.

 

"Nous travaillons sur un plan technique qui doit nous permettre de réduire les émissions" par rapport aux niveaux constatés, a déclaré le directeur commercial du groupe Renault, Thierry Koskas, en assurant que ce plan serait "présenté dans les semaines qui viennent".

 

Un dépassement de normes pour le CO2 et les oxydes d'azote a été relevé chez Renault et plusieurs marques étrangères, par les premiers résultats d'une commission technique indépendante, mise en place par le gouvernement après le scandale Volkswagen pour vérifier que les constructeurs n'ont pas équipé leurs véhicules de logiciels équivalents.

 

M. Koskas, qui n'a pas donné de détails sur la nature du "plan technique" en cours d'élaboration, est resté sur la ligne défendue par son entreprise depuis que ce nouveau développement s'est produit, la semaine dernière: "Renault n'a pas triché", a-t-il insisté.

 

Le directeur, qui s'exprimait en marge de la présentation des résultats commerciaux annuels de Renault, a aussi rappelé que "dans les conditions des tests d'homologation, nous respectons les normes d'émission", et que de fait, les voitures du constructeur étaient homologuées.

 

http://www.boursorama.com/actu [...] 733033c6bc

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Invité §aut177bf

En gros ils ont dit qu'il émettaient x grammes /km alors qu'en vrai ils émettent x+y grammes/km.

Si les constructeur mentent pas trop, ça passe mais si le a est démesurément grand, ça sanctionne.

 

On est loin du logiciel espion de chez Volkswagen qui a permis de tricher aux contrôles anti pollution (logiciel qui a été identifié par des gens plus compétent qu'eux).

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Invité §pol608QV

Aucune crainte pour Renault.

 

Notre président, son ex femme, et plein d'autres politiques vertueux ont martelés que le losange et toute l'industrie française étaient clean.

 

 

Ici, ce n'est pas les Etats Unis. Toute la joyeuse équipe a eu le temps de bosser ce week end pour trouver des excuses:

 

petit moteur boosté donc plus solicité, panne d'une sonde de dépollution qui a faussé les résultats, moteur qui ne tournait pas avec la bonne huile, conditions des tests érronnées....

 

 

Sachant que le logiciel de triche n'est que quelques lignes codées parmi des milliards d'autres, impossible à trouver seul, on dira que Renault est clean et c'est juste une imbroglio de mal entendus heureusement deja réglés :jap:

 

Par contre je plains le mec de la CGT qui a vendu la mèche. Il a du être convoqué de suite à l'Elysée:

"tin mais t'es con ou quoi??? On vient d'acheter des actions chez vous pour vous aider et on devait les revendre dans quelques mois!!! Tu viens de nous cramer des millions d'euros imbecile!! Et maintenant va faloir justifier de tout ça. Pense aux milliers d'emplois en jeu, et à la crédibilité de la France!!" :lol: :lol:

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Invité §cha720mw

ce que je trouve aberant, c'est de sortir le nom renault du chapeau sans citer les autres marques etrangeres qui sont dans le collimateur...

 

pourquoi se tirer une balle dans le pied si d'autres sont dans le meme ca(ca)s!

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Aucune crainte pour Renault.

 

Notre président, son ex femme, et plein d'autres politiques vertueux ont martelés que le losange et toute l'industrie française étaient clean.

 

 

Ici, ce n'est pas les Etats Unis. Toute la joyeuse équipe a eu le temps de bosser ce week end pour trouver des excuses:

 

petit moteur boosté donc plus solicité, panne d'une sonde de dépollution qui a faussé les résultats, moteur qui ne tournait pas avec la bonne huile, conditions des tests érronnées....

 

 

Sachant que le logiciel de triche n'est que quelques lignes codées parmi des milliards d'autres, impossible à trouver seul, on dira que Renault est clean et c'est juste une imbroglio de mal entendus heureusement deja réglés :jap:

 

Par contre je plains le mec de la CGT qui a vendu la mèche. Il a du être convoqué de suite à l'Elysée:

"tin mais t'es con ou quoi??? On vient d'acheter des actions chez vous pour vous aider et on devait les revendre dans quelques mois!!! Tu viens de nous cramer des millions d'euros imbecile!! Et maintenant va faloir justifier de tout ça. Pense aux milliers d'emplois en jeu, et à la crédibilité de la France!!" :lol: :lol:

 

 

C'est un complot international fomenté contre VAG, dont le gouvernement francais au complet participe allégrement 1688225394_adrix_giff-ed1.7838bddaec405661c4f09a92ebb6a84f

 

En fait, Merkel a défendu VAG dans ses ennuis, Hollande va défendre Rino, rien de bien nouveau sous le soleil...

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Invité §pol608QV

ce que je trouve aberant, c'est de sortir le nom renault du chapeau sans citer les autres marques etrangeres qui sont dans le collimateur...

 

pourquoi se tirer une balle dans le pied si d'autres sont dans le meme ca(ca)s!

 

 

tu n'as pas compris que tout cela devait rester secret mais qu'un con de la CGT a distribué un tract qui a enflammé la presse.

 

Pas de tracts, personne n'aurait jamais rien su et on restait à cracher sur les allemands. Même la CGT tente de faire marche arrière.

 

Ca fait un moment qu'on camouflait ce scandale:

 

http://www.reporterre.net/Rena [...] -pollution

 

 

 

"En fait, dès septembre, Reporterre avait révélé que plusieurs véhicules du groupe Renault-Nissan dépassait énormément (jusqu’à 15 fois plus !) le seuil autorisé de polllution de 80 mg/km d’oxydes d’azote. Ni Renault ni le ministère de l’Ecologie ne répondaient à nos questions, et les médias faisaient le silence sur cette révélation. "

 

Dans la foulée, l’association environnementale Deutsche Umwelthilfe décidait de tester l’auto Renault Espace 1.6 dCi, en réaction à l’annonce en septembre par Ségolène Royal de tests destinés à « faire toute la clarté sur l’absence de fraude », comme l’avait déclaré la ministre. Le test commandité par Deutsche Umwelthilfe a été mené par une équipe de l’université de Berne. Il a constaté que l’Espace 1.6 dCi rejette en moyenne onze fois plus d’oxydes d’azote que ne l’imposent les normes européennes. Le 26 novembre, l’ONG faisait parvenir ses résultats, spécialement traduits en français, à la ministre de l’Ecologie.

Elle pouvait y apprendre que le véhicule rejetait jusqu’à 25 fois la norme autorisée d’émissions d’oxydes d’azote, mais pouvait aussi rester en deçà du seuil autorisé, selon la façon dont le moteur avait été préparé aux tests. L’étude ne conclut pas à une fraude, mais, a minima, à un “pré-conditionnement” de la voiture. L’alerte, elle, est restée lettre morte. La DUH a plusieurs fois alerté le ministère français de l’Ecologie, par des mels en anglais dont Reporterre a eu copie, sans recevoir aucune réponse.

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En gros ils ont dit qu'il émettaient x grammes /km alors qu'en vrai ils émettent x+y grammes/km.

Si les constructeur mentent pas trop, ça passe mais si le a est démesurément grand, ça sanctionne.

 

On est loin du logiciel espion de chez Volkswagen qui a permis de tricher aux contrôles anti pollution (logiciel qui a été identifié par des gens plus compétent qu'eux).

 

Non. C'est Vw qui a dit qu'il y avait un logiciel. Personne ne l'a trouvé. Depuis novembre 2014 les E-U demandent pourquoi il y a un tel ecart entre l'homologation et le réel. Personne autre que vw n'a decouvert la ou leq lignes de codes. Mais si tu as des infos, je suis preneur. :oui:

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Aucune crainte pour Renault.

 

Notre président, son ex femme, et plein d'autres politiques vertueux ont martelés que le losange et toute l'industrie française étaient clean.

 

 

Ici, ce n'est pas les Etats Unis. Toute la joyeuse équipe a eu le temps de bosser ce week end pour trouver des excuses:

 

petit moteur boosté donc plus solicité, panne d'une sonde de dépollution qui a faussé les résultats, moteur qui ne tournait pas avec la bonne huile, conditions des tests érronnées....

 

 

Sachant que le logiciel de triche n'est que quelques lignes codées parmi des milliards d'autres, impossible à trouver seul, on dira que Renault est clean et c'est juste une imbroglio de mal entendus heureusement deja réglés :jap:

 

Par contre je plains le mec de la CGT qui a vendu la mèche. Il a du être convoqué de suite à l'Elysée:

"tin mais t'es con ou quoi??? On vient d'acheter des actions chez vous pour vous aider et on devait les revendre dans quelques mois!!! Tu viens de nous cramer des millions d'euros imbecile!! Et maintenant va faloir justifier de tout ça. Pense aux milliers d'emplois en jeu, et à la crédibilité de la France!!" :lol: :lol:

 

 

 

Pour ton info...

 

 

[h2]L’affaire Volkswagen, déclenchée aux Etats-Unis, a révélé combien les constructeurs d’outre-Rhin ont l’oreille des régulateurs européens. Ils ne sont pas les seuls. A Bruxelles, la banque, l’assurance, la chimie allemandes s’appuient sur un réseau très soudé au sommet duquel veille… Angela Merkel ![/h2]

 

 Comme pour toute fête d’anniversaire qui se respecte, un énorme gâteau avait été prévu. Pour l’occasion, le pâtissier avait nappé son œuvre d’un grand glaçage bleu sur lequel étaient disposées les douze étoiles de l’Union européenne. Devant lui, tout sourire, le commissaire européen Günther Oettinger. L’homme n’apparaît pas sur les radars médiatiques en France, et guère plus en Europe. Une bonne partie du microcosme bruxellois le considère même, avec un brin de commisération, comme un type un peu fantasque, adepte des dérapages plus ou moins contrôlés. A son arrivée à Bruxelles, en 2010, son niveau d’anglais a fait sourire.

Mais en ce jour d’octobre 2013, près de 600 personnes triées sur le volet se pressaient à Fellbach, près de Stuttgart, pour célébrer les 60 ans du commissaire allemand, alors en charge de l’Energie (aujourd’hui du Numérique). Une consécration, un peu comme une Rolex à 50 ans. La salle avait d’ailleurs des petits airs de Fouquet’s  : outre les représentants du monde politique, les initiés pouvaient reconnaître, autour du fringant sexagénaire, tout un aréopage de décideurs économiques de premier plan, du tout-puissant patron de la Deutsche Bahn à des dirigeants de Volkswagen et Porsche. « Günther Oettinger donne l’impression d’être incontrôlable, mais il est très apprécié des milieux industriels allemands car il est un relais efficace de leurs préoccupations », souligne un pilier de la Commission. La tête de pont européenne de la Deutschland AG, en quelque sorte.

A Bruxelles, l’influence allemande est énorme. Le scandale Volkswagen de l’automne dernier a servi de révélateur. Certes, il était avant tout question de tricherie délibérée du constructeur sur la mesure de ses émissions polluantes. Mais il est vite apparu que cette fraude, révélée aux Etats-Unis, a été facilitée par des législations européennes trop peu contraignantes. Rien d’étonnant : s’il y a bien un domaine où les Allemands agissent en sous-main, c’est l’automobile, qui symbolise dans le monde entier l’excellence du made in Germany.

Quelques mois avant de souffler ses bougies d’anniversaire avec les dirigeants de Volkswagen, Günther Oettinger leur écrivait ainsi des lettres. Nous sommes à l’été 2012, et les constructeurs allemands s’alarment des nouvelles normes d’émission de CO2 voulues par Bruxelles. Alors commissaire à l’Energie, Günther Oettinger mouille sa chemise. Début juillet, il peut prendre la plume pour rassurer Volkswagen. Par rapport à un texte initial ambitieux, le détricotage est réussi : Oettinger promet qu’il y aura beaucoup plus que « des changements non significatifs » – il faut apprécier la litote – dans la version finale. La missive fuite cinq mois plus tard, et provoque le courroux des ONG. Qu’importe. Le pire a été évité pour les constructeurs d’outre-Rhin.[h3]« Allo ? Ici Angela »[/h3]

Cette affaire illustre bien la méthode allemande à Bruxelles. Des entreprises jusqu’aux plus hauts sommets de l’Etat, tout le monde est mobilisé. Au sommet de cette pyramide, Angela Merkel ne rechigne pas à passer des coups de fil quand des intérêts industriels sont en jeu. En juin 2013, elle a ainsi appelé plusieurs capitales pour tenter de torpiller la législation sur le CO2 automobile, alors sur le point d’être votée définitivement par les Etats et les eurodéputés. Avec succès : le texte a été bloqué plusieurs mois. « C’était complètement inédit et en rupture avec le modèle européen traditionnel fondé sur le consensus », souligne Olivier Hoedeman, de Corporate Europe Observatory (CEO), l’ONG en pointe contre les lobbies.

Angela Merkel a bien d’autres moyens que le coup de fil vindicatif pour arriver à ses fins. En premier lieu, son rôle de patronne de fait du Parti populaire européen (PPE), qui réunit toutes les formations de droite du Vieux Continent. Peu connu du grand public, le PPE joue pourtant un grand rôle dans la vie quotidienne des 500 millions d’Européens. C’est en effet la première formation du Parlement, dont les pouvoirs se sont considérablement accrus ces vingt dernières années. Les eurodéputés ont leur mot à dire sur le droit des consommateurs, les normes environnementales, les règles sanitaires… Après les élections de 2014, c’est dans les rangs du PPE qu’a été choisi le président de la Commission, le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker.[h3]Au PPE, prière de parler allemand[/h3]

Le président statutaire du PPE, le Français Joseph Daul, ne conteste pas vraiment cette primauté d’Angela Merkel. « Je travaille plus avec elle qu’avec les autres chefs d’Etat et de gouvernement, c’est vrai. Mais c’est parce que c’est la seule qui sait de quoi elle parle quand elle parle d’Europe », explique cet Alsacien, qui a l’avantage d’être un parfait germanophone. « C’est notamment parce qu’il parle allemand qu’il est président du parti », estime l’ancien eurodéputé Jean-Paul Gauzès, sans une once de moquerie. Lui-même a pu bénéficier d’une prime à la maîtrise de la langue de Goethe. Lors de son second mandat, il a été coordinateur des députés PPE au sein de la prestigieuse commission des Affaires économiques. « C’est un poste stratégique, une chasse gardée des Allemands depuis des décennies. Si j’ai eu le poste, c’est parce que je parlais la langue, clairement », explique l’ex-parlementaire, à qui a succédé… un Allemand.

La force de notre voisin est aussi d’avoir à des postes clés des hommes à lui, qu’ils soient arrivés là par leurs seules force de travail et ambition, ou qu’on leur ait donné un coup de pouce. On peut citer Martin Selmayr, le chef de cabinet de Jean-Claude Juncker, qui a succédé à Johannes Laitenberger, ancien chef de cabinet de José Manuel Barroso, désormais à la tête de la direction générale de la Concurrence. Klaus Welle est secrétaire général du Parlement européen. Jusqu’au 30 juin dernier, Uwe Corsepius, ancien conseiller Europe d’Angela Merkel, était secrétaire général du Conseil. Il est revenu à la Chancellerie avec une connaissance parfaite de la machine bruxelloise et de ses rouages humains. Plus bas dans les échelons, la tendance est similaire. « Quand les commissaires ont constitué leurs cabinets l’an dernier, ils voulaient tous avoir un membre allemand pour avoir un téléphone direct avec Berlin », se rappelle un eurocrate, lui aussi candidat. Outre-Rhin, les autorités publiques repèrent et forment les personnes qui se destinent à une carrière européenne, puis s’arrangent pour favoriser leur parcours. Mais truster tous les niveaux de l’appareil décisionnel ne suffit pas. Encore faut-il savoir pousser ses intérêts. Sur ce point, les clichés sont en fait des vérités : plus on interroge les milieux d’affaires, les élus ou les fonctionnaires de la bulle bruxelloise, plus il apparaît que les Allemands ne sont pas seulement nombreux, ils sont également stratèges, travailleurs et solidaires.

Stratèges parce qu’ils ont clairement identifié l’importance des sujets européens. Les deux fédérations patronales BDI et BDA sont installées à Bruxelles de longue date. Avec une vingtaine de fédérations de branches, elles ont investi l’an dernier un grand immeuble à proximité du Parlement, sur lequel se reflètent les ciels brouillés de la Flandre. Il fallait bien 3 500 m2 de bureaux pour loger la centaine de personnes qui s’affairent à défendre les intérêts allemands. « Un immeuble où sont rassemblés tous les experts : cette image reflète assez bien la puissance de la structure », soupire, admiratif, un lobbyiste français.[h3]« Ils ont pris le pouvoir »[/h3]

La stratégie, c’est aussi savoir ne pas dilapider ses ressources et se concentrer sur les sujets qui comptent. L’industrie chimique, florissante en Allemagne, en fait partie. En témoigne la position de directeur général qu’occupe Hubert Mandery, à la Cefic, la fédération européenne du secteur. Il a fait toute sa carrière… chez BASF. Et parmi les administrateurs de la Cefic, les cadres dirigeants de Linde, Bayer et BASF pèsent d’un poids tout particulier.

Et puis il y a l’automobile, évidemment. Une étude récente de l’ONG CEO montrait que sur les 240 lobbyistes déclarés l’an dernier dans ce secteur, 43 travaillaient pour Volkswagen et 105 pour des constructeurs ou fédérations allemandes. « En matière d’automobile, les négociateurs principaux au Parlement sont presque systématiquement Allemands », pointe également Bas Eickhout, un député écologique néerlandais qui déplore la porosité entre industriels et parlementaires. Il n’y a pas si longtemps, deux propositions d’amendement à une législation sur les camions légers présentaient une particularité singulière : lorsqu’on cliquait sur la fonction « propriété » dans le document Word où elles figuraient, on découvrait que l’auteur de l’une travaillait chez Volkswagen, quand l’autre émanait de chez Daimler… « A l’association européenne des constructeurs automobiles, les Allemands ont pris le pouvoir. L’époque où le jeu s’équilibrait avec la France et l’Italie, positionnées sur des plus petites cylindrées, est révolue », tranche Olivier Hoedeman.

La même détermination est à l’œuvre pour gérer les grands sujets financiers potentiellement explosifs outre-Rhin. Quand s’est profilée la grande réforme des marchés financiers (Mifid), Markus Ferber a fait le siège de Jean-Paul Gauzès, qui, en sa qualité de coordinateur, décidait du choix du rapporteur. « Pendant six mois, chaque fois que je le rencontrais, il me disait : Jean-Paul, tu sais, je veux vraiment ce job ! » Bien entendu, il a fini par l’avoir. Au même moment, un collègue italien chantait une autre sérénade à l’eurodéputé français : « Jean-Paul, j’aimerais que tu me confies un rapport avec un joli nom et qui ne demande pas beaucoup de travail. »[h3]Organisés, méthodiques et collectifs[/h3]

Ah, le travail… Là aussi, la méthode allemande a du bon. Sven Giegold est un député allemand écologiste et son diagnostic est sans appel : « Les députés français se voient souvent comme des hommes politiques, ils ont fait de grandes études et aiment les beaux discours intellectuels, ce qui n’intéresse personne ici. Les Allemands s’envisagent comme des experts. Ils deviennent pointus dans leurs domaines », tranche-t-il. Et de mettre en cause les médias hexagonaux qui « traitent rarement les sujets européens dans leur technicité ». Pour bénéficier d’une exposition médiatique, le député allemand doit être compétent, le français avoir le bon mot… Un pilier du Parlement, Français cette fois, qui préfère garder l’anonymat, assène : « Lors des réunions, les Allemands sont organisés, méthodiques, connaissent l’ordre du jour, tandis que les Français commencent en retard, n’ont pas d’ordre du jour, décident de faire une autre réunion pour trancher, et ne sont jamais les mêmes d’une fois sur l’autre. »

N’en jetez plus ? Si, car l’équipe allemande s’illustre enfin par sa capacité à jouer collectif. De toutes les vertus germaniques, c’est sans doute la plus inaccessible d’un point de vue français. « Nous sommes des tribus gauloises qui s’opposent, sans compter nos 18 députés Front national qui ne font strictement rien et votent contre tout », poursuit le même député. Eux, sont 99 députés qui savent travailler ensemble. La « grande coalition » en place à Berlin est également une réalité bruxelloise. Au Parlement, il arrive de découvrir, lors d’une première réunion sur un sujet, qu’un accord est déjà entériné, car gauche et droite allemandes se sont entendues. « Vous pouvez essayer de vous opposer, vous serez balayés par le fleuve », poursuit l’élu. Mais c’est aussi une réalité du terrain, qui se vérifie au niveau industriel. « Les représentants des entreprises nouent des liens avec la droite parlementaire, leurs syndicats avec la gauche, et tout ce petit monde sait converger sur des questions qui transcendent les partis, comme la préservation de l’emploi », résume Bas Eickhout.

Dans une machine européenne devenue technique jusqu’à l’excès, l’opiniâtreté et la discipline allemandes font merveille, face à une France qui, malgré de réels progrès de la part de ses entreprises, ne dispose pas d’une classe politique à la hauteur. La bataille de l’influence est-elle donc définitivement perdue ? Pas forcément. La France pourrait mieux coordonner et exploiter ses fonctionnaires européens. Elle pourrait aussi exiger plus de ses eurodéputés. Elle pourrait surtout être aidée en cela par des vents nouveaux : après une période marquée par le tout économique, où aucun pays en déficit ne pouvait sérieusement s’opposer à la vertueuse Allemagne, certains entrevoient le grand retour de la diplomatie. Avec son passé colonial et son statut aux Nations Unies, la France pourrait retrouver là un terrain de jeu qui lui convient mieux. « Dans les librairies parisiennes, il y a des centaines de livres sur la géopolitique, tandis qu’à Berlin vous n’en trouverez qu’une dizaine. » C’est Sven Giegold qui le dit. Un Allemand.

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/week-en [...] lkKdZyK.99

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Invité §pol608QV

 

 

Pour ton info...

 

 

[h2]L’affaire Volkswagen, déclenchée aux Etats-Unis, a révélé combien les constructeurs d’outre-Rhin ont l’oreille des régulateurs européens. Ils ne sont pas les seuls. A Bruxelles, la banque, l’assurance, la chimie allemandes s’appuient sur un réseau très soudé au sommet duquel veille… Angela Merkel ![/h2]

 

 

 

Pour tout ce qui est anti allemand, merci de poster sur ce sujet officiel:

 

Scandale Pollution VAG

 

:jap:

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Invité §bil862Pm

Renault, qui doit être reçu lundi en fin de journée par la commission technique indépendante ayant relevé un dépassement de normes anti-pollution, a déjà promis un "plan technique" dans les prochaines semaines sur les émissions polluantes.

 

 

C'EST FRANCAIS : professionnel , reactif , deja un plan et des solutions

 

je suis fier d'etre francais

:D :D :D :D

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Invité §aut177bf

Non. C'est Vw qui a dit qu'il y avait un logiciel. Personne ne l'a trouvé. Depuis novembre 2014 les E-U demandent pourquoi il y a un tel ecart entre l'homologation et le réel. Personne autre que vw n'a decouvert la ou leq lignes de codes. Mais si tu as des infos, je suis preneur. :oui:

 

 

 

Faux, tu te trompes, ils se sont fait grillés par un chercheur colombien qui a été supérieur. k4li.gif.8bdf798a3a73b4d95a7abbbbbc7fdd6e.gif

 

 

 

http://www.lefigaro.fr/societe [...] uverte.php

 

 

Un chercheur colombien de l'International Council on Clean Transportation (ICCT) souhaitait comparer les diesels européens avec leurs homologues américains. C'était en 2013. Deux ans plus tard, son enquête fait vaciller le premier constructeur automobile mondial.

 

 

 

Chef du projet de recherches, arrivé aux États-Unis en 2005 pour faire son doctorat à la West Virginia University, Francisco Posada Sánchez constitue son équipe dans la ville de Morgantown (Virginie-Occidentale). Il contacte le professeur Gregory J. Thompson qui va effectuer une série de tests sur trois véhicules différents pour mesurer, en condition d'utilisation sur les routes américaines entre San Diego et Seattle, les polluants émis par les moteurs de la Volkswagen Jetta, la Volkswagen Passat et la BMW i5. Posada explique alors « qu'en laboratoire, le résultat était conforme mais une fois sur la route, il était bien différent. On a remarqué que l'une des voitures émettait alors entre 15 et 25 fois plus que la normale autorisée, une autre 30 à 35 fois. » Les deux véhicules Volkswagen étaient alors équipés du même moteur diesel de deux litres, l'EA 189. Après six mois de tests, en mai 2014, le résultat des analyses est confié à l'Agence fédérale de la protection de l'environnement (EPA).[h2]Les mesures de Volkswagen jugées insuffisantes[/h2]

Le détail des tests est significatif. L'enquête interne menée au sein de l'EPA va détailler le système : un mécanisme qui se déclenche, lors de contrôle antipollution, permettant ainsi la limitation temporaire des émissions de gaz polluants. Selon le chercheur, l'EPA contacte Volkswagen, via sa direction aux États-Unis. Le constructeur aurait alors proposé de « changer les modules des moteurs concernés en appelant chaque propriétaire. Mais la mesure n'étant pas jugée suffisante, l'EPA décide de rendre les informations publiques. »

 

 

 

 

 

Finalement, c'est l'arrogance de Volkswagen et ce sentiment de supériorité maladif qui les a entrainé le scandale. Pensant que personne ne comprendrait, ils ont pris le risque du pire, et ça a tourné au pire pour Volkswagen.

 

Heureusement pour Renault, on est loin du carnage dont Volkswagen est victime.

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Invité §aut177bf

Renault, qui doit être reçu lundi en fin de journée par la commission technique indépendante ayant relevé un dépassement de normes anti-pollution, a déjà promis un "plan technique" dans les prochaines semaines sur les émissions polluantes.

 

 

C'EST FRANCAIS : professionnel , reactif , deja un plan et des solutions

 

je suis fier d'etre francais

:D :D :D :D

 

 

En effet, ils n'ont pas suivi l'exemple de Volkswagen consistant à prendre les autorités pour des imbéciles alors qu'ils se sont fait prendre avec les mains dans le pot de confiture. Grand professionnalisme de Renault qui va de l'avant, en assumant les erreurs qui seront vite réparées avec efficacité et coopération.

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Aucune crainte pour Renault.

 

Notre président, son ex femme, et plein d'autres politiques vertueux ont martelés que le losange et toute l'industrie française étaient clean.

 

 

Ici, ce n'est pas les Etats Unis. Toute la joyeuse équipe a eu le temps de bosser ce week end pour trouver des excuses:

 

petit moteur boosté donc plus solicité, panne d'une sonde de dépollution qui a faussé les résultats, moteur qui ne tournait pas avec la bonne huile, conditions des tests érronnées....

 

 

Sachant que le logiciel de triche n'est que quelques lignes codées parmi des milliards d'autres, impossible à trouver seul, on dira que Renault est clean et c'est juste une imbroglio de mal entendus heureusement deja réglés :jap:

 

Par contre je plains le mec de la CGT qui a vendu la mèche. Il a du être convoqué de suite à l'Elysée:

"tin mais t'es con ou quoi??? On vient d'acheter des actions chez vous pour vous aider et on devait les revendre dans quelques mois!!! Tu viens de nous cramer des millions d'euros imbecile!! Et maintenant va faloir justifier de tout ça. Pense aux milliers d'emplois en jeu, et à la crédibilité de la France!!" :lol: :lol:

 

 

On est pas en Chine ou en Russie, Les syndicalistes ne sont pas aux ordres et ont leur liberté de parole. Même si pour le coup il a fait une boulette, pas vis a vis de l'Elysée, mais des gars qu'il est sensé représenter et défendre.

Jamais un syndicaliste ne sera convoqué à l'Elysée, pour le coup ca serait l'Elysée qui ferait une grosse boulette, et se ferait d'ailleurs renvoyez proprement paître.

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Non. C'est Vw qui a dit qu'il y avait un logiciel. Personne ne l'a trouvé. Depuis novembre 2014 les E-U demandent pourquoi il y a un tel ecart entre l'homologation et le réel. Personne autre que vw n'a decouvert la ou leq lignes de codes. Mais si tu as des infos, je suis preneur. :oui:

 

 

 

C'est cela oui!

Ils sont assez fourbe pour planquer un logiciel, et assez con pour le révéler, alors que jamais personne ne l’aurait trouvé. http://stkr.es/p/zu2

Y aurait donc du Docteur Jekyll et Mister Hyde chez VW. anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

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Invité §bil862Pm

 

On est pas en Chine ou en Russie, Les syndicalistes ne sont pas aux ordres et ont leur liberté de parole. Même si pour le coup il a fait une boulette, pas vis a vis de l'Elysée, mais des gars qu'il est sensé représenter et défendre.

Jamais un syndicaliste ne sera convoqué à l'Elysée, pour le coup ca serait l'Elysée qui ferait une grosse boulette, et se ferait d'ailleurs renvoyez proprement paître.

 

 

tu reve

 

les syndicat sont sauver a bout de bras par les politique et aider financierement

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Invité §pol608QV

Renault, qui doit être reçu lundi en fin de journée par la commission technique indépendante ayant relevé un dépassement de normes anti-pollution, a déjà promis un "plan technique" dans les prochaines semaines sur les émissions polluantes.

 

 

C'EST FRANCAIS : professionnel , reactif , deja un plan et des solutions

 

je suis fier d'etre francais

:D :D :D :D

 

 

En effet, ils n'ont pas suivi l'exemple de Volkswagen consistant à prendre les autorités pour des imbéciles alors qu'ils se sont fait prendre avec les mains dans le pot de confiture. Grand professionnalisme de Renault qui va de l'avant, en assumant les erreurs qui seront vite réparées avec efficacité et coopération.

 

 

Une Renault qui pollue plus que la norme c'est pas grave. Mieux! Ils font preuve de très grand professionnalisme, sont réactifs, coopératifs et une solution technique à déjà été trouvée en 24h pour réparer ce petit incident dû à un mal entendu.

 

On disait donc: seul vw menteur pollueur tricheur. Ah c'est allemands arrogants. ..

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Invité §pol608QV

Non. C'est Vw qui a dit qu'il y avait un logiciel. Personne ne l'a trouvé. Depuis novembre 2014 les E-U demandent pourquoi il y a un tel ecart entre l'homologation et le réel. Personne autre que vw n'a decouvert la ou leq lignes de codes. Mais si tu as des infos, je suis preneur. :oui:

 

 

 

C'est cela oui!

Ils sont assez fourbe pour planquer un logiciel, et assez con pour le révéler, alors que jamais personne ne l’aurait trouvé. http://stkr.es/p/zu2

Y aurait donc du Docteur Jekyll et Mister Hyde chez VW. anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

 

 

VW a du avouer l'existence d'un logiciel quand les pirouettes verbales n'ont plus suffit pour justifier un dépassement de la pollution. Les ricains n'ont rien lâché et c'est sous le menace de suspendre toutes ventes de VW aux E-U qu'ils ont du avouer.

 

Heureusement pour Renault, ce petit incident de pollution en Europe sera vite étouffé heuuuu expliqué que tout va bien dans le meilleur des mondes

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Invité §aut177bf

 

 

C'est cela oui!

Ils sont assez fourbe pour planquer un logiciel, et assez con pour le révéler, alors que jamais personne ne l’aurait trouvé. http://stkr.es/p/zu2

Y aurait donc du Docteur Jekyll et Mister Hyde chez VW. anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

 

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Invité §aut177bf

 

Une Renault qui pollue plus que la norme c'est pas grave. Mieux! Ils font preuve de très grand professionnalisme, sont réactifs, coopératifs et une solution technique à déjà été trouvée en 24h pour réparer ce petit incident dû à un mal entendu.

 

On disait donc: seul vw menteur pollueur tricheur. Ah c'est allemands arrogants. ..

 

 

 

Y a pas eu de tricherie comme l'a fait Volkswagen, ils ont juste dit qu'il émettaient trop peu comparé à ce qu'ils émettent en réalité. Ils vont s'aligner sur la réalité et tout sera réglé, ils seront dans les normes ce qui n'est pas le cas de Volkswagen qui sans logiciel tricheur, ne respecte pas les normes anti pollution en Europe, en Asie ainsi qu'aux USA. En Europe ça a l'air de ne pas poser de problème puisque l'Allemagne est la 1ere puissance européenne et qu'elle protège ses entreprises.

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tu reve

 

les syndicat sont sauver a bout de bras par les politique et aider financierement

 

 

 

Mais bien sur! toutestcompris.gif.c211923057844907bb65b1949e85d1cf.gif

Ils sont tellement copain copain, qu'ils arrêtent pas de se tirer dans les pattes et de flinguer tous ce qu'entreprend le gouvernement.

Il suffit de lire les réactions des syndicats au plan chômage, pour se rendre contre compte que c'est le grand amour.

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Invité §aut177bf

Il y a eu des grandes grèves dernièrement en Allemagne, du jamais vu et c'est impressionnant, surtout quand on connait leur seuil de tolérance vis à vis de la hiérarchie.

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En gros ils ont dit qu'il émettaient x grammes /km alors qu'en vrai ils émettent x+y grammes/km.

Si les constructeur mentent pas trop, ça passe mais si le a est démesurément grand, ça sanctionne.

 

On est loin du logiciel espion de chez Volkswagen qui a permis de tricher aux contrôles anti pollution (logiciel qui a été identifié par des gens plus compétent qu'eux).

 

AC'est pas VW qui a dit qu'il y avait un logiciel, et les usa ont juste remarqué l'écart?

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Invité §aut177bf

AC'est pas VW qui a dit qu'il y avait un logiciel, et les usa ont juste remarqué l'écart?

 

 

 

C'est un chercheur colombien qui a identifié la supercherie.

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Ben ouai j'ai dit sa car c'est ce que je pensais :o

 

 

 

Tu veux que je traduise? :w:

 

C'est bien l'ONG qui a detecté le SW malicieux ;)

 

The NOV alleges that four-cylinder Volkswagen and Audi diesel cars from model years 2009-2015 include software that circumvents EPA emissions standards for certain air pollutants. California is separately issuing an In-Use Compliance letter to Volkswagen, and EPA and the California Air Resources Board (CARB) have both initiated investigations based on Volkswagen’s alleged actions.

 

As described in the NOV, a sophisticated software algorithm on certain Volkswagen vehicles detects when the car is undergoing official emissions testing, and turns full emissions controls on only during the test. The effectiveness of these vehicles’ pollution emissions control devices is greatly reduced during all normal driving situations. This results in cars that meet emissions standards in the laboratory or testing station, but during normal operation, emit nitrogen oxides, or NOx, at up to 40 times the standard. The software produced by Volkswagen is a “defeat device,” as defined by the Clean Air Act.

 

 

EDIT: Ma reponse etait en principe sur le post que tu as edité et qui ne disait pas tout a fait la meme chose, d'ou la confusion peut etre :o

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Tu veux que je traduise? :w:

 

C'est bien l'ONG qui a detecté le SW malicieux ;)

 

The NOV alleges that four-cylinder Volkswagen and Audi diesel cars from model years 2009-2015 include software that circumvents EPA emissions standards for certain air pollutants. California is separately issuing an In-Use Compliance letter to Volkswagen, and EPA and the California Air Resources Board (CARB) have both initiated investigations based on Volkswagen’s alleged actions.

 

As described in the NOV, a sophisticated software algorithm on certain Volkswagen vehicles detects when the car is undergoing official emissions testing, and turns full emissions controls on only during the test. The effectiveness of these vehicles’ pollution emissions control devices is greatly reduced during all normal driving situations. This results in cars that meet emissions standards in the laboratory or testing station, but during normal operation, emit nitrogen oxides, or NOx, at up to 40 times the standard. The software produced by Volkswagen is a “defeat device,” as defined by the Clean Air Act.

 

 

EDIT: Ma reponse etait en principe sur le post que tu as edité et qui ne disait pas tout a fait la meme chose, d'ou la confusion peut etre :o

 

J'ai calmé le jeu :cyp:

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