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La Terre, l'espace demain, informations


zygomard
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Depuis tout petit, j'ai toujours été attiré comme beaucoup par cette conquête de l'espace, j'ai pu voir en direct le premier pas sur la lune, l'un de plus beau jour de ma vie, suivre et comprendre ce qui se passe encore maintenant et avec ce topic, revenir en arrière sur l'histoire de certains homme? pourquoi

 

depuis des mois, surtout les ricains, surtout des acteurs privés font avancés les programmes des étoiles de façons inédites, je suis revenu à mes lecture sur Perry Rodhan des années 60!!

 

ici, je mettrais en avant les avancements de cette contact, des liens directs des tests de fusées que je suis régulièrement sur un réseau dédié, Mars aussi

 

bonne lecture régulière à vous tous

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voici un lien direct pour se soir avec des infos sur SN 15

 

SN 11 a explosé lors de son retour, en direct, nous avions tous compris un problème à 5 mn 49 cause d'un grand BOOM entendu en direct

 

aussi, les SN 12? 13 et 14 ne seront pas lancés mais chaque études seront mis en une seule fusée, la SN 15, l'intrigue est ce qu'il y a sous la coiffe qui a intrigué tout le monde 

 

 

 

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Ingenuity n'a évidemment pas qu'un seul objectif. Sur Mars, la Nasa est sur un terrain inconnu. Des essais au sol à la conception de l'engin et du design des pales au comportement attendu d'Ingenuity, de nombreuses inconnues devront être levées par son retour d'expérience. Les explications de Jean-Marc Moschetta, Professeur d'aérodynamique à l'Isae-Supaéro qui a codirigé, avec Hervé Bézard de l'Onera, la thèse de doctorat de Thibault Désert consacrée à la conception aérodynamique d'un drone martien « made in France ».

 

Après des essais satisfaisants du rotor et des pales, la Nasa a donné son feu vert au premier vol martien d'Ingenuity. Si tout se déroule comme prévu, il devrait décoller du cratère Jezero ce dimanche 11 avril pour un vol autonome de 30 secondes au maximum. La tentative de décollage est prévue dans la nuit de dimanche à lundi, à 4 h 54 heure de Paris (il sera 12 h 30 dans le cratère Jezero, sur Mars). Comme nous l'explique Jean-Marc Moschetta, Professeur d'aérodynamique à l'ISAE-Supaéro, ce vol doit notamment « démontrer la faisabilité d'exploiter et d'utiliser un hélicoptère autonome sur Mars ». Si sur Terre le vol aérien est évidemment maîtrisé, « sur Mars, la Nasa est sur un terrain inconnu ».

 

La principale difficulté qui attend Ingenuity sera de « décoller et s'élever dans les airs martiens » en raison de la très « faible masse volumique de l'atmosphère ». À cela s'ajoute que la pression et la densité de l'atmosphère martienne sont d'environ le « centième de celles qui règnent sur Terre au niveau de la mer ou encore celles que l'on connaît à une altitude d'une trentaine de kilomètres, dans la stratosphère, où l'air est plutôt rare ». Pour décoller et compte tenu de ces contraintes, Ingenuity devra éjecter une « quantité de mouvement (produit de la masse par la vitesse) suffisamment élevée vers le sol pour compenser la force de gravité qui va l'attirer vers le bas ».

 

à savoir:

La France n’a pas été en reste sur la conception d’un micro-drone martien puisqu’une thèse de doctorat (Étude aéropropulsive d'un micro-drone à voilure tournante pour l'exploration martienne – Thibault Désert) a été menée de 2015 à 2019 en collaboration entre l’Onera, l’ISAE-Supaéro et le Cnes sur la conception aérodynamique optimale d’un drone coaxial pour le vol martien. Ce drone, plus compact qu’Ingenuity (30 cm de diamètre) a été testé dans une chambre reproduisant l’atmosphère martienne. Ce projet se poursuit aujourd’hui dans le projet StratoDrone qui consiste à faire voler ce drone dans la stratosphère sous un ballon affrété par le Cnes. Ce vol, prévu en 2022, aura pour but de démontrer qu’un concept encore plus compact qu’Ingenuity est capable de voler dans un environnement comparable à l’atmosphère martienne

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Le 7 avril 2021, la NASA a révélé qu'un article décrit la présence de glace d'eau sur Mars et l'existence possible d'écoulements d'eau. La NASA utilise Reconnaissance Orbiter et Odyssey Orbiter pour trouver la glace d'eau à l'aide de leurs détecteurs de spectromètre gamma (GRS), qui s'est avéré être un chasseur capable d'hydrogène proche de la surface - un proxy pour la glace d'eau. Auparavant, la NASA avait annoncé que l'image couleur avait été acquise par le Surface Stereo Imager sur Phoenix Mars Lander de la NASA le 25e jour de la mission, ou Sol 24 (19 juin 2008). La tranchée, appelée «Dodo-Boucle d'or», est dépourvue de morceaux de glace vus précédemment dans le coin inférieur gauche. La glace s'est sublimée, un processus similaire à l'évaporation, sur une période de quatre jours.

Les deux décennies de données d'Odyssey ont été une aubaine pour les chercheurs qui cherchent à déterminer où la glace d'eau est enfermée sur la planète. Comprendre le cycle de l'eau sur Mars - une planète qui était autrefois beaucoup plus humide, comme la Terre - donne un aperçu de la façon dont il a changé au fil du temps: comment l'eau se déplace-t-elle sur la planète aujourd'hui? L'inclinaison de la planète affecte-t-elle l'endroit où la glace est stable? Les découvertes d'Odyssey ont aidé à résoudre ces questions.

Crédit: nasa.gov, NASA / JPL-Caltech.
 

 

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Le 8 avril 2021, le Curiosity Rover de la NASA a envoyé des images de Cirrus Cloud Cover sur Mars avec la présence possible de glace et d'eau liquide. Les cirrus sont composés de cristaux de glace qui proviennent de la congélation de gouttelettes d'eau super refroidies dans les régions où la température de l'air est inférieure à -20 ° C ou -30 ° C. 

 

Les cirrus surviennent généralement par beau temps. Ils se forment lorsqu'il est suffisamment haut pour être froid et geler les gouttes d'eau en glace. Une nouvelle étude de deux chercheurs du Carl Sagan Institute et du NASA Virtual Planet Laboratory a remis l'accent sur l'eau liquide. Le modèle que les deux ont proposé indique que, si d'autres conditions étaient remplies, les nuages ??de cirrus auraient pu fournir l'isolation nécessaire pour que l'eau liquide puisse s'écouler. 

 

La couverture claire des nuages Cirrus sur Mars a été repérée le 31 mars 2021.Cirrus est connu pour augmenter la température (en raison de la chaleur libérée lorsque la vapeur d'eau gèle) de l'air sous la couche nuageuse principale, d'une moyenne de 10 ° C (18 ° C). C) F), lorsque les filaments individuels deviennent si étendus qu'ils sont pratiquement impossibles à distinguer les uns des autres, ils forment une nappe de nuages ??élevés appelée cirrostratus.

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voici le lien pour un envol d'essai imminent expliqué en français et en direct

 

ici, c'est Besos, le patron d'Amazon qui vise aussi l'espace, en lice, il y a aussi Boeing mais avec pas mal de retard depuis des années

 

 Bienvenue sur ce Live, On se penche sur le lancement d'une fusée New Shepard de l'entreprise Blue Origin. Le dernier test avant le vol habité ! Fenêtre de tir: mercredi 14h00 - samedi 22h00 (heure de Paris, UTC+2) Heure du lancement : 17h15 (heure de Paris, UTC+2) Lieu du lancement : Site de Lancement West Texas Suborbital (Van Horn, Texas, Etats-Unis) Lanceur : New Shepard Premier étage réutilisé : Oui, 2e vol du booster NS4 Charge utile : 25 000 cartes postales et le mannequin Skywalker

 

 

 

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voilà, cela s'est très bien passé, 10 mn énorme, le prochain lancé il y aura des hommes et femmes, la cabine, peut prendre 4 personnes et monte comme aujourd'hui à plus de 100 km puis retour

 

sachez que si vous avez des sous, vous pourrez faire le voyage aussi mais à savoir, sous le cul, vous aurez 70 tonnes explosifs et 5 tonnes de tôles

 

 

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je vous met là, la vie d'un véritable acteur des fusées moderne, à lui seul, c'est un bond de géant dans cet conquête de l'espace puis de la lune

 

perso, je connais sa vie par coeur mais impossible à évoquer tellement il faut des pages entières, j'ai cherché sur Youtube mais voilà, c'est assez rares les documents sur lui, le mieux que j'ai trouvé est celui que je vous présent mais, qu'en anglais mais franchement, cela reste passionnant et compréhensible à tous

 

je vous présente: Werner Von Braun, par qui tout à commencer, véritablement

 

 

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Musk ne lache rien pour aller sur Mars

 

 

et là, les nouveaux moteurs Raptor, plus simple, plus puissance, normalement le tir à partir de lundi prochain

 

 

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Le 17 avril 2021, le Perseverance Rover de la NASA a photographié des grottes dans la roche de Mars à l'aide de Supercam Micro-Imager. L'analyse des données SuperCam montre que la roche volcanique est constituée de grains fins de matière ignée qui ont été cimentés ensemble dans un environnement aqueux. La cible était à 3,17 mètres (10,4 pieds) du rover.

 

Le champ de vision de l'image est de 2,3 pouces (6,0 centimètres) de diamètre. Rover recueille des données qui pourraient être utilisées pour identifier les biosignatures de la vie microbienne ancienne.

 

L’astrobiologie est un objectif clé de la mission de Perseverance sur Mars, y compris la recherche de signes de la vie microbienne ancienne. Le rover caractérisera la géologie et le climat passé de la planète, ouvrira la voie à l’exploration humaine de la planète rouge et sera la première mission à collecter et à mettre en cache les roches et régolithes martiens (roches brisées et poussière).

 

Des missions ultérieures de la NASA, en coopération avec l'ESA (Agence spatiale européenne), enverraient des engins spatiaux sur Mars pour collecter ces échantillons scellés de la surface et les renvoyer sur Terre pour une analyse approfondie.
 

 

 

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dans le cadre de la conquête de la Lune:

 

Quarante-cinq ans après sa dernière mission lunaire, la Russie s'apprête à faire son grand retour sur la Lune avec une série de plusieurs missions qui vont se succéder ces prochaines années. Notez que l'Agence spatiale européenne participera à ces prochaines missions robotiques de la Russie. De Luna-27 -- alias Luna-Resurs -- qui doit se poser sur la surface lunaire au pôle sud à Luna-28 -- pour récupérer des échantillons -- sans oublier le Luna-25/Luna-Glob, l'Esa devrait fournir des équipements dérivés du programme ExoMars (ExoMars 2016 et ExoMars 2022).

 

La première mission de cette nouvelle génération à rejoindre la Lune sera Luna-25, aussi connue sous son ancien nom Luna-Glob. Elle sera lancée cet automne, vraisemblablement en octobre. Elle atterrira au pôle sud avec, comme principal objectif, d'étudier la glace sous la surface : les observations radar les plus récentes ont identifié dans le sous-sol des couches de glace d'eau localisées à seulement moins de 50 centimètres de la surface et s'enfonçant jusqu'à plus ou moins 1,5 mètre de profondeur. Cette mission est donc d'un très grand intérêt car de nombreux pays et agences spatiales prévoient de s'installer durablement sur la Lune et comptent bien utiliser cette glace d'eau pour de nombreux usages, comme la fourniture de l'air, de l'eau et du carburant

 

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Suivra Luna-26 qui devrait être lancée dès 2023. Il s'agit d'un orbiter qui a pour but de localiser et cartographier en très haute résolution des sites d'atterrissage potentiels comme ceux qui pourraient servir à construire une base, accueillir des postes avancés ou pour des missions de retour d'échantillons. Luna-26 sera également utilisée pour étudier les anomalies magnétiques et gravitationnelles de la Lune.

 

L'objectif de ces forages est bien évidemment de détecter la présence de glace d'eau et de déterminer dans quelle mesure cette eau pourra être utilisée et adaptée aux besoins des futurs explorateurs lunaires pour établir une base permanente sur la Lune. Elle fournira aussi le système d'alunissage Pilot capable d'un atterrissage de précision en autonomie complète. Cet engin, développé par Airbus, met en œuvre des technologies de navigation, ainsi que de détection et d'évitement de situations dangereuses, pour fournir à Luna-27, durant les dernières minutes de sa descente, les informations nécessaires à son alunissage.

 

 

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dans le cadre de la conquête de la Lune:

 

Objectif Lune pour la Chine et la Russie. Les deux puissances spatiales veulent également leur « part de la Lune » mais aussi ne pas trop se faire distancer par les États-Unis dont les ambitions lunaires inquiètent les deux pays, traditionnellement opposés à Washington.

 

Ce 9 mars, dans un communiqué conjoint, Zhang Kejian, directeur de l'Agence spatiale chinoise (CNSA, China National Space Administration), et Dmitry Olegovich Rogozin, directeur général de Roscosmos (Russian National Aerospace Corporation), ont annoncé avoir signé un « Mémorandum d'accord entre le gouvernement de la République populaire de Chine et le gouvernement de la Fédération de Russie pour la construction en coopération d'une station internationale de recherche lunaire. »

 

S'inspirant du concept de « village lunaire » ou « Moon Village » proposé par le directeur général de l'ESA, l'Allemand Jan Woerner, ce projet sera ouvert à tous les pays intéressés. Des partenariats internationaux qui « visent à renforcer la collaboration en matière de recherche et à promouvoir l'exploration et l'utilisation de l'espace à des fins pacifiques dans l'intérêt de toute l'humanité », souligne le communiqué. 

Cela dit, la Chine et la Russie cherchent surtout à fédérer autour d'elles les puissances spatiales des pays émergents d'Asie, d'Afrique et d'Amérique du Sud qui ne participent pas au programme Artemis des États-Unis.

 

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Quant à l'Agence spatiale européenne, il ne fait guère de doute qu'elle participera d'une manière ou d'une autre à cette initiative russo-chinoise. Difficile d'imaginer l'ESA faire l'impasse sur un projet aussi ambitieux, avec d'importantes retombées technologiques, scientifiques et économiques, elle qui coopère déjà avec ses deux puissances spatiales sur plusieurs programmes d'exploration et d'observation de la Terre et qui participe à de nombreuses activées liées aux vols habités.

 

Incertitude sur la nature de cette future station de recherche : base au sol ou station en orbite
Cette annonce, qui ne surprend pas les spécialistes, est tout de même assez vague. Bien que cela fasse plusieurs années que Russes et Chinois tendent à se rapprocher autour d'ambitieux programmes spatiaux, on peut s'étonner que ce mémorandum ne précise pas s'il s'agit d'une base habitée sur la surface ou d'une station en orbite à proximité de la Lune. Le communiqué conjoint se borne à préciser qu'il est question d'une « Station internationale de recherche lunaire (ILRS, International Lunar Research Station) [qui] consiste en un ensemble d'outils de recherche expérimentaux créés à la surface ou en orbite de la Lune et conçus pour mener des travaux pluridisciplinaires. »

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images vraiment bizarre venant de Mars

 

 

Les traits sombres en forme de bâton regroupés sur cette roche martienne ont à peu près la taille de grains de riz. Il s'agit d'une vue fusionnée de la caméra Mars Hand Lens Imager (MAHLI) sur le rover Curiosity Mars de la NASA. Il couvre une superficie d'environ 5 centimètres de diamètre.

 

Le produit de mise au point fusionné a été généré de manière autonome par MAHLI combinant les parties de mise au point de quelques images séparées prises à différents réglages de mise au point le janvier. 1, 2018, lors de la 1922e journée martienne, ou sol, du travail de Curiosity sur Mars. Cette cible rocheuse, appelée «Haroldswick», se trouve près du bord sud, en montée de «Vera Rubin Ridge» sur le bas du mont Sharp.

 

L'origine des caractéristiques en forme de bâton est incertaine. Une possibilité est qu'il s'agit de morceaux de matériau sombre résistant à l'érosion provenant de veines minérales traversant les roches de cette zone.

 

MAHLI a été construit par Malin Space Science Systems, San Diego. Le Jet Propulsion Laboratory de la NASA, une division de l'Institut de technologie de Californie à Pasadena, gère le projet de laboratoire scientifique sur Mars pour la Direction des missions scientifiques de la NASA, à Washington. JPL a conçu et construit le rover Curiosity du projet
 

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il y a 2 minutes, klitor a dit :

Je suppose que c'est impossible de piloter en live.

Combien de temps pour la transmission ?

 

il y a quinze minutes, c'est pour cela que l'essai avait été reculé de 4 jours pour reprendre à zéro le logiciel

 

cette semaine, deux lancements majeurs, un avec le commandant français vers l'ISS et l'autre est l'essai SN15 qui est primordial car c'est la bête qui ira vers la lune par la suite

 

je mettrai les liens pour les directs

 

pour le moment, c'est mars que je suis le plus

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il y a 6 minutes, zygomard a dit :

 

il y a quinze minutes, c'est pour cela que l'essai avait été reculé de 4 jours pour reprendre à zéro le logiciel

 

cette semaine, deux lancements majeurs, un avec le commandant français vers l'ISS et l'autre est l'essai SN15 qui est primordial car c'est la bête qui ira vers la lune par la suite

 

je mettrai les liens pour les directs

 

pour le moment, c'est mars que je suis le plus

Et si la distance Terre Mars varie, les 15 min doivent fluctuer ?

 

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