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Concours Musique d'Août 2022: Quelle est LA chanson pour vous?


WildBoar
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Messages recommandés

Invité §Roa887Il
il y a 29 minutes, rusty03 a dit :

 

C'est enregistré live dans un bar avec des musiciens de la nouvelle Orléans. C'est un boeuf. 

j'aime pas du tout ça n'a ni queue ni tête 

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Bonsoir à tous ! :coucou:

 

Ce concours est parti comme une fusée pour la Lune en juillet 1969 !

 

J'ai d'abord pensé à une chanson que ma grand-mère écoutait en boucle sur son petit lecteur K7. Impossible de l'écouter en entier pour moi, sous peine de pleurer...

 

 

Toujours pour verser une larme, la mort du docteur Greene dans Urgences sur :

 

 

Après je bascule sur une BO de film et je pense tout de suite à :

 

 

Et puis, il y a aussi les chansons qui vous baignent un été entier, quand vous faites la cueillette des prunes dans les vergers de la tata du Quercy :

 

 

Et :

 

 

Mais aussi :

 

 

Je vais aller me coucher avec beaucoup de souvenirs, non sans vous donner ma proposition... Mois de ma naissance, notre poète du sud ouest a tout compris !

 

Octobre Live - Francis Cabrel - 2013

 

 

Bon concours à tous !

Modifié par p_tit seb 51
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se soir, une chanson, un homme, là encore, un éclat de jeunesse me revenant, j'ai cherché à comprendre cette pub pour le loto

 

toujours sur cette fameuse grisailleuse et flottante TV, un barbu apparaissait de temps en temps hors du calendrier du Père Noël

 

il y allait avec des si partout et je faire des quoi au cris d'une poule qui vient de pondre...

 

Ah, si j'étais riche 

 

 

 

Le chanteur allemand d’origine russe Ivan REBROFF, de son vrai nom Hans Rolf Rippert, naît à Berlin le 31 juillet 1931. Grâce à sa mère, il s’intéresse très tôt à la musique et au chant. Il apprend le violon puis, adolescent, il est soprano soliste d’un choeur de jeunes hommes en Allemagne. Adulte, il devient soliste du chœur des Cosaques du Don et membre des ensembles des Cosaques de la Mer Noire et de l’Oural. Jusqu’en 1959, il va perfectionner son chant et approfondir ses connaissances en violon à l’école supérieure de musique de Hambourg.

 

Ses premières prestations sont ainsi classiques et Hans obtient son premier rôle à l’opéra dans « Le Barbier de Séville » de Gioachino Rossini. Au milieu des années 1960, alors qu’il joue dans « Orphée aux Enfers » de Jacques Offenbach à l’Opéra de Munich, il se brise le tendon d’Achille sur scène. Durant sa convalescence, il prend son temps pour enregistrer un disque en français. Il y inclut une chanson russe, « La Légende des douze Brigands », qui, une fois diffusée sur la radio française périphérique française Europe 1, fait sauter le standard téléphonique.

 

Débarquant ensuite à Paris, Ivan Rebroff est accueilli comme une vedette et il enregistre alors d’autres mélodies traditionnelles russes dans la langue de Voltaire. A la fin de l’année 1968, il reprend, toujours en français le « tube » de Mary Hopkin « Those were the days » qui devient « Le temps des fleurs » et qui reste en tête des hit-parade français pendant des mois.

 

A ce moment, on lui propose le rôle du laitier Tevje dans la version française de la comédie musicale « Un violon sur le toit ». Il y fait un « carton » en interprétant le « tube » « Ah si j’étais riche » dès novembre 1969 au Théâtre Marigny de Paris. Il le fait encore 652 fois sur la même scène par la suite.

 

Au début de l’année 2004, à plus de 70 ans, Ivan Rebroff fait une tournée en Australie et en Nouvelle-Zélande. Alors qu’il vient de démarrer, en décembre 2007, une nouvelle tournée mondiale qui doit se poursuivre jusqu’en juillet de l’année suivante, Ivan Rebroff est hospitalisé d’urgence à Vienne.

 

Il ne reprendra plus jamais cette tournée et, le 27 février 2008, Ivan Rebroff s’éteint d’un arrêt cardiaque dans une clinique de Francfort, en Allemagne, à l’âge de 76 ans. Le chanteur est incinéré et, selon ses volontés, ses cendres sont dispersées en mer Égée non loin de l’île grecque de Skopelos où il vivait depuis des années. Au cours de sa carrière, il a obtenu 49 disques d’or ainsi qu’un disque de platine pour dix millions de disques vendus depuis 1975.

 

 

 

 

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tout en regardant l'Arctic race of Norway, je réalise qu'il y a une chanson qui a bousculé les soirées dansantes pendant des années durant, mes enfants s'y mettaient z'aussi en rentrant de l'école, surtout quand on y mettaient les succès de la new wawe du moment, les Duran Duran, Alphaville, Sade etc...

 

à la maison, la music était partout tout le temps et j'ose pas vous dire tout ce j'ai écouté encore aujourd'hui

donc, se soir, encore une chanson avec une histoire à elle seule, une histoire d'amitié, de pleurs, de souvenirs immenses

 

c'est cette petite bombe qui est tombée en 1984, je suis sur que cela rappelle à tous, de nombreux souvenirs, pour moi, de nombreuses réunions de famille pour danser et s'amuser dans les sous sol des uns et des autres...

 

 

En 1976, pour une pièce montée au Café de la Gare, Catherine Ringer rencontre Marcia Moretto, danseuse argentine, qui donne des cours au Centre de danse du Marais, et joue dans différents spectacles ou en crée.

 

À la fin des années 1970, Catherine Ringer rencontre Fred Chichin1 ; le groupe des Rita Mitsouko est formé, donne des concerts, et Marcia Moretto les accompagne. L'idée de la chanson vient de Catherine Ringer : plus précisément en 1983, après la composition de la musique de la Biennale de la danse de Lyon. 

 

Catherine Ringer avait cotoyé de nouveau Marcia Moretto en 1980 pour une pièce d'Armando Llamas et Catherine Dasté. Marcia Moretto meurt peu de temps après, le 31 mai 1983, à 36 ans, des suites d'un cancer du sein1. Très touchée par cette mort, Catherine Ringer utilise une musique créée avec Fred Chichin et écrit des paroles évoquant Marcia Moretto, dans une chanson appelée Marcia baïla. 

 

Ce titre est chanté avec un accent espagnol forcé, Catherine Ringer ne parlant pas l'espagnol. C'est un hommage à Marcia Moretto, à sa beauté, à ses jambes, à son rire, à sa gestuelle, « Marcia, elle danse .... ». 

 

La chanson mentionne également sa mort : 

« Tu t'es consumée Marcia / C'est le cancer / Que tu as pris sous ton bras », sur une musique entraînante.

 

Marcia Baïla est publié en face B de l'album Rita Mitsouko en avril 1984. 

 

Certaines radios nationales ne croyant pas au titre, c'est Restez avec moi le premier single extrait par la maison de disques Virgin ; ce single rencontre peu de succès : les radios libres ne jurent que par Marcia Baïla qu'elles diffusent largement et le 45 tours est finalement commercialisé quelques mois plus tard. Une version en anglais est envisagée plus tard puis abandonnée.

 

La chanson figure sur les albums Rita Mitsouko, Re (remix), Acoustiques, L'essentiel et Bestov. Le single est vendu à plus d'un million d'exemplaires. Aux Victoires de la musique 1990, la chanson est sacrée seconde meilleure chanson française de la décennie 1980-1990.

Elle est disque d'or en France : 500 000 ventes certifiées et 799 000 ventes réelles.

 

Simultanément à la sortie du 45 tours juste avant l'automne 1984, Virgin propose 80 000 francs pour la réalisation d'un clip. Ce budget est bien insuffisant mais viennent s'ajouter à ce financement le producteur Fabien Caux-Lahalle (qui avait déjà travaillé pour Téléphone), la Direction de la danse du Ministère de la Culture, les Centre national des arts plastiques, ainsi que la RATP.

 

Le tournage débute en janvier 1985 à Aulnay-sous-Bois dans un gymnase et dure six jours. Le vidéoclip réalisé par Philippe Gautier utilise les tableaux de sept peintres , Ricardo Mosner, Nina Childress, Anna Iris Lüneman-Guyonnet, William Wilson, Jeff Gravis, Richard Beaudemont liés aux mouvements de la figuration libre et du graffiti, choisis dans l'entourage du groupe rock et incluant alors Xavier Veilhan.

 

Les costumes sont de Jean Paul Gaultier et Thierry Mugler6, stylistes alors en pleine gloire. Une affiche, réalisée par Ricardo Mosner, prend place sur les panneaux de Jacques Dauphin. Mais un conflit entre maisons de disques et télévision bloque la diffusion du clip ; c'est l'émission Les Enfants du rock qui le montre pour la première fois en juin 1985.

 

 

 

Modifié par zygomard
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Le 11/08/2022 à 12:28, zygomard a dit :

à mon tour pour un roman, on va causer d'un titre que seul les anciens connaissent, nous l'écoutions au poste à la maison car

la TV, on n'en avaient pas encore les moyens, mon père fera l'effort de l'achat pour voir N Amstrong marché sur la lune, un de mes plus beaux souvenirs

de ma vie

 

c'est ainsi que verra pour la première fois dans se cube avec l'image flottante de l'époque, noir et blanc bien sur, mais avant, c'est Europe 1 avec qui

nous écoutions petite balade sympa que nous fredonnions en allant à l'école comme bien d'autres chansons

 

le groupe Animals, c'est lui et le voilà en couleur

 

 

son titre majeur: House of the Rising Sun (1964)

 

pas mal non?  vous allez voir que cette chanson à une histoire extraordinaire, là encore c'est long lais ça vaut le coup

 

courage!

 

La chanson raconte l'histoire d'une vie qui a mal tourné à La Nouvelle-Orléans. La dite « maison » (house) pourrait désigner une maison close, un établissement de jeu, voire une prison, mais l'existence ou non de l'établissement a donné lieu à de nombreuses spéculations. 


La signification varie selon l'interprète : le point de vue peut être celui d'une prostituée ou d'un jeune homme corrompu par le jeu et l'alcool, selon que l'interprète soit un homme ou une femme. De nombreuses versions invitent également un frère, un parent ou des enfants à éviter le même sort.


Comme c'est le cas pour plusieurs classiques de la folk, l'auteur de The House of the Rising Sun est inconnu. Les musicologues pensent qu'elle est basée sur la tradition des « ballades populaires » (broadside ballads) et, thématiquement, elle a une certaine ressemblance avec la ballade du xvie siècle intitulée The Unfortunate Rake. Selon Alan Lomax, « Rising Sun » était le nom donné à une maison de débauche dans deux chansons anglaises traditionnelles, et c'était aussi une appellation usitée pour des pubs anglais. 


Il suggère également que la mélodie pourrait être liée à une chanson populaire du xviie siècle, Lord Barnard and Little Musgrave, également connue sous le titre Matty Groves, mais une enquête de Bertrand Bronson n'a montré aucune relation claire entre les deux chansons. 


Lomax suppose que l'emplacement de la maison a ensuite été déplacé d'Angleterre à la Nouvelle-Orléans par des interprètes blancs du Sud des États-Unis. 


Quant à lui, Vance Randolph propose une origine française, « le soleil levant » (rising sun) faisant alors référence à l’utilisation décorative du symbole du soleil en cours à l’époque de Louis XIV et qui aurait été introduit en Amérique du Nord par des immigrants français.


House of Rising Sun aurait été connue des mineurs en 1905. La plus ancienne publication des paroles connue est celle imprimée par Robert Winslow Gordon en 1925, dans une chronique intitulée Old Songs That Men Have Sung dans le magazine Adventure4. Les paroles de cette version commencent ainsi


There is a house in New Orleans, it's called the Rising Sun
It's been the ruin of many a poor girl
Great God, and I for one


Le plus ancien enregistrement connu de la chanson, sous le titre Rising Sun Blues, est de Clarence "Tom" Ashley et Gwen Foster, des artistes originaires des Appalaches, qui l’ont gravée en 1928. 

 

Ashley disait qu'il l'avait apprise de son grand-père, Enoch. Roy Acuff, un disciple et vieil ami d'Asley, l'a apprise de lui et l'a enregistrée sous le nom de Rising Sun le 3 novembre 19385,9. Plusieurs enregistrements de blues plus anciens ayant des titres semblables sont pourtant sans relation, par exemple, Rising Sun Blues d'Ivy Smith et Cow Cow Davenport (1927) ou The Risin' Sun de Texas Alexander (1928).


La chanson fait partie de celles collectées par le folkloriste Alan Lomax, qui, avec son père John, était conservateur des Archives of American Folk Song pour la Bibliothèque du Congrès. Lors d'une expédition avec sa femme dans l'est du Kentucky, Lomax installe son appareil d'enregistrement à Middlesboro, chez le chanteur et militant Tilman Cadle. 

 

En 1937, il enregistre une prestation de Georgia Turner, la fille d’un mineur local âgée de 16 ans. Il l'a appelé The Rising Sun Blues9. Lomax a plus tard enregistré une version différente chantée par Bert Martin et une troisième chantée par Daw Henson, deux chanteurs de l'est du Kentucky. Dans son recueil de chansons de 1941, Our Singing Country, Lomax attribue les paroles à Turner avec des références à la version de Martin.

 

Woody Guthrie enregistre la chanson en 1941. Un enregistrement réalisé en 1947 par Libby Holman et Josh White (qui écrit également de nouvelles paroles et musiques qui seront ensuite popularisées dans les versions de nombreux autres artistes) est publié en 1950 par Mercury Records. White a appris la chanson en Caroline du Nord vers 1923-1924 auprès d'un « chanteur blanc de musique hillbilly » qui aurait pu être Ashley. 

 

Lead Belly enregistre deux versions de la chanson, en février 1944 et en octobre 1948, respectivement intitulées In New Orleans et The House of the Rising Sun; la dernière est enregistrée lors de sessions qui seront ensuite utilisées pour l'album Lead Belly's Last Sessions (Smithsonian Folkways, 1994).

 

En 1957, Glenn Yarbrough enregistre la chanson pour Elektra. La chanson est également attribuée à Ronnie Gilbert sur un album de The Weavers sorti à la fin des années 1940 ou au début des années 1950. Pete Seeger publie une version sur Folkways en 1958, rééditée par Smithsonian Folkways en 2009. Andy Griffith l'enregistre sur son album de 1959 Andy Griffith Shouts the Blues et Old Timey Songs.

 

En 1960, Miriam Makeba enregistre la chanson sur son album éponyme.

Joan Baez l'enregistre en 1960 sur son premier album éponyme ; elle interprète fréquemment la chanson en concert tout au long de sa carrière. Nina Simone enregistre sa première version pour l'album Nina at the Village Gate en 1962. Tim Hardin la chante sur This is Tim Hardin, enregistré en 1964 mais pas sorti avant 1967. Les Chambers Brothers ont enregistré une version sur Feelin' the Blues, parue sur Vault Records (1970).

 

Fin 1961, Bob Dylan enregistre la chanson pour son premier album, sorti en mars 1962. Cette version ne comporte pas de nom d'auteur, mais les notes de pochette indiquent que Dylan a appris cet arrangement de la chanson par Dave Van Ronk. Dans une interview pour le documentaire No Direction Home, Van Ronk déclare qu'il avait déjà l'intention d'enregistrer la chanson, mais que Dylan a copié son arrangement. Van Ronk l'enregistre peu après pour l'album Just Dave Van Ronk (1964).

 

Animals:

Une interview d’Eric Burdon a révélé qu’il avait d’abord entendu la chanson dans un club de Newcastle, en Angleterre, où il était interprété par le chanteur folklorique du Northumberland, Johnny Handle.

 

The Animals étaient en tournée avec Chuck Berry et l'ont choisi parce qu'ils voulaient chanter quelque chose de différent. La version des Animals déplace le récit du point de vue initial d'une femme entraînée dans une vie de déchéance à celui d'un homme dont le père est un joueur et un ivrogne, plutôt que l'adorable personne des versions précédentes.

 

Les Animals commencent à jouer leur propre version lors de cette tournée, l'utilisant pour clore le show, afin de se différencier des numéros qui se terminaient toujours par des rockers bruts. Le public a eu une réaction énorme, convainquant le producteur Mickie Most, initialement réticent, qu’elle avait un potentiel, et, pendant les interruptions de la tournée, le groupe s’est rendu dans un petit studio sur Kingsway à Londres pour l'enregistrer.

on connait la suite de ce succès...
 

La chanson est interprétée en français par Johnny Hallyday sous le nom Le Pénitencier.

 

 

 

 

 

 

 

 

J'suis pas vieux et je connais :mad:

Ce titre aurait pu sortir sur le concours précédent tellement il a été repris, et pas que par des lapins de 3 semaines.

The animals en premier lieu, déjà cité par Zygo bien évidemment, mais aussi une artiste que j'aime beaucoup Joan Baez, qui grace à sa voix arrive toujours à faire passer des sentiments et à les stransmettre à son auditeur. Pour le coup, c'est très différent de la version des Animals :

 

 

Et une autre version bien différente là aussi, avec un gars peu connu en France je pense, The White Buffalo :

 

 

 

 

 

@Patache2000 a pas mal abordé Pink Floyd déjà.

Perso, mis à part les incontournables de ce grand groupe que tout le monde connait et celles déjà citées, j'ajouterais aussi celle-là, Dogs of war :

 

 

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il y a 2 minutes, Roland de Gilead a dit :

Quant tu te dis que tu l'es :D

très belle réponse, perso, je suis obligé de l'admettre depuis que je suis devenu arrière grand père, par la force des choses depuis plus de deux mois

 

je vais de devenir le sage de FA?

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je dépose un hommage à notre chef à tous d'avoir mis en avant une artiste fabuleuse: Joan Baez, immédiatement m'est revenu cette "chanson" de l'après 68 qui revenait comme un retour de flamme chez mon père, alors très à gauche et dans une commune communiste: les Mureaux

 

première vidéo pour comprendre le sujet

 

 

 

la chanson vedette

 

 

 

Cette chanson est un hommage aux deux anarchistes d'origine italienne Nicola Sacco et Bartolomeo Vanzetti qui furent victimes d'un scandale judiciaire survenu dans les années 1920 aux États-Unis et connu sous le nom d'affaire Sacco et Vanzetti.

 

Les paroles sont de Joan Baez. Elles sont constituées de 4 vers, répétés en boucle durant toute la durée de la chanson :

 

Here's to you, Nicola and Bart,
Rest forever here in our hearts,
The last and final moment is yours,
That agony is your triumph.

 

Elles sont inspirées par les mots de Bartolomeo Vanzetti au juge Thayer :

« Si cette chose n'était pas arrivée, j'aurais passé toute ma vie à parler au coin des rues à des hommes méprisants. J'aurais pu mourir inconnu, ignoré : un raté.

 

Ceci est notre carrière et notre triomphe. Jamais, dans toute notre vie, nous n'aurions pu espérer faire pour la tolérance, pour la justice, pour la compréhension mutuelle des hommes, ce que nous faisons aujourd’hui par hasard. Nos paroles, nos vies, nos souffrances ne sont rien. Mais qu’on nous prenne nos vies, vies d'un bon cordonnier et d'un pauvre vendeur de poissons, c'est cela qui est tout ! Ce dernier moment est le nôtre. Cette agonie est notre triomphe.

 

(If it had not been for these things, I might have lived out my life talking at street corners to scorning men. I might have died, unmarked, unknown, a failure. Now we are not a failure. This is our career and our triumph.

 

Never in our full life could we hope to do such work for tolerance, for justice, for man's understanding of man as now we do by accident. Our words — our lives — our pains — nothing! The taking of our lives — lives of a good shoemaker and a poor fish-peddler — all! That last moment belongs to us — that agony is our triumph.) »

 

La musique est d'Ennio Morricone, compositeur de nombreuses musiques de films. La structure du morceau est simplement constituée d'une phrase musicale répétée dix fois dans la version la plus classique. Les deux premières fois sans paroles et la dernière fois en decrescendo.

 

La voix de Joan Baez pour la chanson, ainsi que pour les trois thèmes qui composent La Ballata di Sacco e Vanzetti (toujours sur des paroles de la chanteuse d'après des lettres de Bartolomeo Vanzetti), est enregistrée le 15 août 19701. 

D'après Morricone, dans le livre de conversation Lontano dai sogni, c'est Montaldo qui a souhaité avoir Joan Baez, et Furio Colombo aurait également participé aux paroles. Morricone est allé retrouver la chanteuse à Saint-Tropez avec sa Citroën. 

 

La trouvant à la piscine avec son fils, il lui remet le morceau et elle est venue à Rome pour l'enregistrer. Mais l’unique date possible était le 15 août (jour férié en Italie) et il n’avait pas les membres de l’orchestre. Aussi a-t-il trouvé une base piano-batterie et Joan Baez chanta dessus, sans orchestre ; il l'a superposé après. 

 

L’enregistrement fut exécuté à la hâte, parce qu’elle devait partir rapidement. Le compositeur avoue que dans quelques passages, pour qui a l’oreille fine, on peut s’apercevoir du manque de précision ; il a fallu éditer la bande-son du chant au mixage...

 

Ennio Morricone recevra un Nastro d'Argento en 1971 pour l'ensemble de sa musique pour Sacco e Vanzetti.

Aux États-unis, cette chanson est devenue un hymne du mouvement pour les droits civiques des années 1970.

En Europe, c'est toute une génération qui danse sur Here’s to You à l'été 1971.

 

Cette chanson est aussi apparue dans la bande son du film La Vie Aquatique (2004) et les acteurs attablés la chantent en chœur dans le téléfilm Nés en 68 d’Olivier Ducastel (2008). La chanson est aussi jouée dans le film quasi documentaire L'Allemagne en automne (1977) et a été récemment utilisée dans le jeu vidéo Metal Gear Solid 4: Guns of the Patriots et dans Metal Gear Solid V: Ground Zeroes.

 

demain, une petite surprise autour d'un film et dont sa chanson vedette est maintenant passée à la postérité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Modifié par zygomard
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Bonsoir la foule !

 

Si dans quelques années le même thème devait être choisi, il n'est pas impossible que ces 2 titres là entrent en compétition :

The Cats : "One way wind"

Ces Chats là proviennent de la fusion de 2 duos de musiciens néerlandais au milieu des années 60. Flanqués d'un batteur, le groupe commence à avoir du succès dans son pays et devient par la suite la formation la plus populaire. "One way wind" fera voler en éclats les frontières et s'installera dans la plupart des Charts occidentaux. Ce titre deviendra aussi le plus grand succès du groupe et restera LA chanson pour pas mal de monde.

C'est grâce à une station de radio nostalgique locale que j'avais découvert il y a quelques années "One way wind" et le hasard (vendeur de disques d'occa'z sur un marché) m'avait par la suite permis d'acquérir le single.

Depuis lors, ce titre me fait craquer !

 

 

WESTLIFE : "You raise me up"

A l'origine, je ne connaissais ni le groupe, ni la chanson. Un soir d'été, rentrant en voiture d'une escapade en Autriche, ma station allemande nostalgique préférée diffuse ce titre qui nous fait flasher madame et moi. P... la claque ! Aussitôt rentré, je me rancarde sur le titre et les interprètes. Voulant en savoir plus, je me wikipedialise plus avant, chose que je ne fais que dans les cas extrêmes (donc rarement). J'ai ma doc et mes archives, nul besoin de wiki !

Alors, selon mon informateur, Westlife est un groupe vocal irlandais formé en 1998, dissout en 2012. Ils a fait paraître plus d'une dizaine d'albums qui ont tous cartonné dans le monde entier (Europe, Afrique, Asie), glanant des récompenses que seuls les Beatles et Elvis Presley ont obtenues.

Je conserve précieusement "You raise me up" dans un suppositoire extra plat (clé USB) et sur support CD. Et là aussi, je craque !!!!

 

 

Modifié par rockerboots
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il y a 53 minutes, rockerboots a dit :

 

 

 

louis-de-funes-face-palm.gif.483aef1eb180cc139e701e65f5ea62aa.gif

 

Je la préfère quand elle était actrice... (chanson des Cure reprise génialement par Mareux, morceau que j'adore, extraits du film "Masculin féminin", Godard 1966)

 

 

Modifié par Learch
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il y a 21 minutes, zygomard a dit :

je dépose un hommage à notre chef à tous d'avoir mis en avant une artiste fabuleuse: Joan Baez, immédiatement m'est revenu cette "chanson" de l'après 68 qui revenait comme un retour de flamme chez mon père, alors très à gauche et dans une commune communiste: les Mureaux

 

première vidéo pour comprendre le sujet

 

 

 

la chanson vedette

 

 

 

Cette chanson est un hommage aux deux anarchistes d'origine italienne Nicola Sacco et Bartolomeo Vanzetti qui furent victimes d'un scandale judiciaire survenu dans les années 1920 aux États-Unis et connu sous le nom d'affaire Sacco et Vanzetti.

 

Les paroles sont de Joan Baez. Elles sont constituées de 4 vers, répétés en boucle durant toute la durée de la chanson :

 

Here's to you, Nicola and Bart,
Rest forever here in our hearts,
The last and final moment is yours,
That agony is your triumph.

 

Elles sont inspirées par les mots de Bartolomeo Vanzetti au juge Thayer :

« Si cette chose n'était pas arrivée, j'aurais passé toute ma vie à parler au coin des rues à des hommes méprisants. J'aurais pu mourir inconnu, ignoré : un raté.

 

Ceci est notre carrière et notre triomphe. Jamais, dans toute notre vie, nous n'aurions pu espérer faire pour la tolérance, pour la justice, pour la compréhension mutuelle des hommes, ce que nous faisons aujourd’hui par hasard. Nos paroles, nos vies, nos souffrances ne sont rien. Mais qu’on nous prenne nos vies, vies d'un bon cordonnier et d'un pauvre vendeur de poissons, c'est cela qui est tout ! Ce dernier moment est le nôtre. Cette agonie est notre triomphe.

 

(If it had not been for these things, I might have lived out my life talking at street corners to scorning men. I might have died, unmarked, unknown, a failure. Now we are not a failure. This is our career and our triumph.

 

Never in our full life could we hope to do such work for tolerance, for justice, for man's understanding of man as now we do by accident. Our words — our lives — our pains — nothing! The taking of our lives — lives of a good shoemaker and a poor fish-peddler — all! That last moment belongs to us — that agony is our triumph.) »

 

La musique est d'Ennio Morricone, compositeur de nombreuses musiques de films. La structure du morceau est simplement constituée d'une phrase musicale répétée dix fois dans la version la plus classique. Les deux premières fois sans paroles et la dernière fois en decrescendo.

 

La voix de Joan Baez pour la chanson, ainsi que pour les trois thèmes qui composent La Ballata di Sacco e Vanzetti (toujours sur des paroles de la chanteuse d'après des lettres de Bartolomeo Vanzetti), est enregistrée le 15 août 19701. 

D'après Morricone, dans le livre de conversation Lontano dai sogni, c'est Montaldo qui a souhaité avoir Joan Baez, et Furio Colombo aurait également participé aux paroles. Morricone est allé retrouver la chanteuse à Saint-Tropez avec sa Citroën. 

 

La trouvant à la piscine avec son fils, il lui remet le morceau et elle est venue à Rome pour l'enregistrer. Mais l’unique date possible était le 15 août (jour férié en Italie) et il n’avait pas les membres de l’orchestre. Aussi a-t-il trouvé une base piano-batterie et Joan Baez chanta dessus, sans orchestre ; il l'a superposé après. 

 

L’enregistrement fut exécuté à la hâte, parce qu’elle devait partir rapidement. Le compositeur avoue que dans quelques passages, pour qui a l’oreille fine, on peut s’apercevoir du manque de précision ; il a fallu éditer la bande-son du chant au mixage...

 

Ennio Morricone recevra un Nastro d'Argento en 1971 pour l'ensemble de sa musique pour Sacco e Vanzetti.

Aux États-unis, cette chanson est devenue un hymne du mouvement pour les droits civiques des années 1970.

En Europe, c'est toute une génération qui danse sur Here’s to You à l'été 1971.

 

Cette chanson est aussi apparue dans la bande son du film La Vie Aquatique (2004) et les acteurs attablés la chantent en chœur dans le téléfilm Nés en 68 d’Olivier Ducastel (2008). La chanson est aussi jouée dans le film quasi documentaire L'Allemagne en automne (1977) et a été récemment utilisée dans le jeu vidéo Metal Gear Solid 4: Guns of the Patriots et dans Metal Gear Solid V: Ground Zeroes.

 

demain, une petite surprise autour d'un film et dont sa chanson vedette est maintenant passée à la postérité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J'ai connu la chanson par le film de Giuliano Montaldo de 1971 et dont effectivement Ennio Morricone a fait la BO.

De grands acteurs (dont l'immense Gian Maria Volonte dont ce ne sera pas la seule collaboration avec Morriconne) et une grosse dose d'émotion dans ce long métrage, qui n'est pas sans rappeler l'affaire Dreyfuss en France lorsqu'il s'agit de jeter des innocents en pâture pour des objectifs politiques...

 

 

 

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Bon je sens bien que l'ambiance est à la fête et à la danse !!! Alors hop hop hop on lâche les déambulateurs, on oublie son arthrose et on écoute ça... si vous ne dansez pas c'est que vous avez oublié vos sonotones !!!! (pfff faut tout dire...) :ange:

 


 

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il y a 30 minutes, Learch a dit :

Bon je sens bien que l'ambiance est à la fête et à la danse !!! Alors hop hop hop on lâche les déambulateurs, on oublie son arthrose et on écoute ça... si vous ne dansez pas c'est que vous avez oublié vos sonotones !!!! (pfff faut tout dire...) :ange:

 


 

 

lui, c'est quand j'avais 15/16 ans, depuis, je suis orphelin et personne n'a pu le remplacé

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Le 11/08/2022 à 10:51, Patache2000 a dit :

Salut les copains !

 

Je traine sur ce forum depuis un moment (surtout les miniatures) et je ne connaissais pas ce concours musical…

 

Je vous donne mon choix, et après je vous expliquerais pourquoi le choix fut cornélien pour moi...

 

 

Pink Floyd, titre: Marooned (album The Division Bell, 1994) Voici la version studio (meilleure à mon gout que les rares versions live...même si elles sont excellentes (voir plus bas)  )

 

 

J'ai longuement hésité avec The Great Gig in the Sky...

 

Comme d'autres, ce morceau pourrait faire partie de ma playlist de funérailles, avec Great Gig in the Sky entre autres...

 

Mais revenons un peu en arrière...

 

Outre les bagnoles (Citroën surtout) je suis passionné de musique, surtout Pink Floyd, mais pas que…

 

Donc le choix fut terrible, au moins 5 titres des Floyds me titillent, mais avant de les citer j’aimerais donner 3 autres titres qui me font frissonner ou larmoyer…

 

_ Jones and Stephenson , titre The First Rebirth , « vieux » morceau techno (un monument dans l’histoire de la techno) qui me transporte à un moment particulier de ma vie et qui me donne toujours une sacré pêche

 

 

_ Francis Cabrel , titre Mademoiselle l’aventure … qui parle poétiquement de l’adoption…. Qui n’as hélàs  pas abouti pour ma femme et moi….😔

 

 

 

_ Véronique Sanson, seras-tu là ? Version pleine d’émotion qui me touche particulièrement….

 

 

 

Il y as plein d’autres trucs qui ont bercé mon enfance (et qui continuent à me plaire) , Jean Michel Jarre et Michel Sardou entre autres, pour Jarre Equinoxe part 4 et pour Sardou, l’an Mil, entre autres… Et plein d’autres……..

 

Mais revenons à Pink Floyd

 

Je suis né en 1973 (j’ai été conçu à peu près en même temps que Dark Side of the Moon (et aussi à peu près en même temps que ma Citroën AMI8 de novembre 1972, mais c’est une autre histoire) ), mais j’ai vraiment découvert les Floyds en 1994 (même si je connaissais vaguement les classiques Money et Another Brick in the Wall)

 

1994, l’année de The Division Bell et la tournée P.U.L.S.E. qui a suivi…. Je suis tombé fan de High Hopes, j’ai donc copié à l’époque le CD1 de Pulse et je n’écoutais que ce titre…..

… et de fil en aiguilles j’ai écouté le reste… et je suis fan maintenant…

 

Je suis plus Gilmour que Waters (même si je ne renie pas ce qu’il a fait pour le groupe)

 

Mes albums préférés :

_ PULSE

_ The Division Bell

_ Dark Side of the Moon

_ WIsh You Were Here

_ Delicate sound of Thunder (version 2009)

Et Gilmour en solo, Rattle That Lock

 

Donc voici mes titres préférés de Pink Floyd, pas dans l'ordre, ordre impossible à choisir...

 

_ Marooned version live histoire de changer de l'autre sus mentionnée

 

 

_ Great Gig in the Sky (version studio de l'album Dark Side of the Moon) 

 

 

 

 

_ Comfortably Numb (version live de 1994 de l'album PULSE) 

 

 

_ Sorrow du même live PULSE 

 

_ On the turning away…  (ici la version live "Delicate Sound of Thunder" remasterisée en 2019)

 

Et plein d’autres, comme les susmentionnés Echoes et Wish You Were Here…

 

A+ et désolé d'avoir écrit un roman....

 

Salut

PINK-FLOYD c'est un peu une "valeur sure" ,a titre perso je suis plus période DIRK SIDE OF THE MOON , je trouve qu'à partir de THE WALL les choses changent un peu , mais qui ne change pas avec le temps ?? 

Comme il faut démarrer la journée du bon pied , j'ajoute un petit PINK-FLOYD à écouter avec un casque ou avec le volume tourné au MAXIMUM !!

 

Bon écoute

 

 

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alors les anciens, encore une petite tranche d'émotions? inévitablement

 

qui ne souvient pas de ce passage qui efface quasiment le thème du film et de sa finalité, Combat entre deux outils musicaux et qui

restera dans les mémoires collectives pour longtemps

 

je conseille au passage de voir ou revoir ce film: Délivrance, un très suspense

à sa sortie,  le film obtient 90 % d'avis favorables pour 61 critiques et une note moyenne de 8,4810

 

 

 

En 1955, Arthur Smith a composé une pièce instrumentale nommée Feudin Banjos ; elle contenait des riffs de la chanson Yankee Doodle. Lors de l'enregistrement de la pièce, Arthur a utilisé un plectrum banjo à quatre cordes et était accompagné d'un banjo à cinq cordes bluegrass joué par le musicien Don Reno.

La première diffusion à grande échelle de la composition a eu lieu en 1963, lors de l'épisode Briscoe Declares for Aunt Bee de la série The Andy Griffith Show. Dans cet épisode, l'instrumental Dueling Banjos est joué au cours de la visite de la famille mélomane des Darlings.

 

La pièce devint très célèbre grâce au film Delivrance sorti en 1972 ; il s'ensuivit une poursuite en justice victorieuse par Arthur Smith, le compositeur de l'instrumental, car la musique avait été utilisée sans sa permission.

 

La version du film, arrangée et enregistrée par Eric Weissberg et Steve Mandell, est sortie comme single en 1973 et s'est classée en 2e position durant quatre semaines dans le Billboard Hot 100, bloquée à cette place par le numéro 1 Killing Me Softly with His Song de Roberta Flack. Elle a été également classée en 1re position dans les Cash Box et Record World durant une semaine et en 5e place sur le Singles chart Hot Country.

 

Une reprise de cette pièce instrumentale a été jouée par Steve Ouimette (en utilisant cette fois une guitare électrique, une basse et une batterie), elle est disponible en contenu téléchargeable sur le jeu Guitar Hero? World Tour, sorti en 2008.


 

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Il y a 10 heures, Sevenfifty H2 a dit :

je trouve qu'à partir de THE WALL les choses changent un peu , mais qui ne change pas avec le temps ?? 

 

Oui, après The Wall ils ne s'entendaient plus... Roger Waters s'est barré et a fait des albums solo, le premier "The Pros and Cons of Hitch Hiking" était très bien, et pas uniquement à cause de la pochette...

 


Donc en fait après The Wall c'est David Gilmour qui a pris le groupe en mains, c'est sa période qui commence, pas la meilleure à mon avis... Rick Wright s'en foutait et Nick Mason était plus occupé par ses bagnoles anciennes, son dada... je l'ai d'ailleurs croisé sur le circuit de Nevers-Magny-Cours, à la première concentration de voitures anciennes organisées là-bas, 1992 ou 93, il était accroupi seul à côté d'une roue avant de sa Ferrari 250 GTO, dans le paddock, je lui ai demandé s'il avait besoin d'aide il m'a dit que non, il vérifiait les freins... et ce n'est qu'après, en regardant le nom sur la bagnole, que je me suis rendu compte que c'était lui (il avait un peu vieilli), il était déjà parti... put.n de bor.el de pompe à me.de, je ne lui ai même pas demandé un autographe ni je ne lui ai pas dit à quel point ses disques m'avaient marqué... je me fous encore des claques en y repensant ! :colere:

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il y a 6 minutes, Learch a dit :

 

Oui, après The Wall ils ne s'entendaient plus... Roger Waters s'est barré et a fait des albums solo, le premier "The Pros and Cons of Hitch Hiking" était très bien, et pas uniquement à cause de la pochette...

 


Donc en fait après The Wall c'est David Gilmour qui a pris le groupe en mains, c'est sa période qui commence, pas la meilleure à mon avis... Rick Wright s'en foutait et Nick Mason était plus occupé par ses bagnoles anciennes, son dada... je l'ai d'ailleurs croisé sur le circuit de Nevers-Magny-Cours, à la première concentration de voitures anciennes organisées là-bas, 1992 ou 93, il était accroupi seul à côté d'une roue avant de sa Ferrari 250 GTO, dans le paddock, je lui ai demandé s'il avait besoin d'aide il m'a dit "No, thanks a lot !" et ce n'est qu'après, en regardant le nom sur la bagnole, que je me suis rendu compte que c'était lui (il avait un peu vieilli) putain je lui ai même pas demandé un autographe ni je ne lui ai pas dit à quel point ses disques m'avaient marqué... je me fous encore des claques en y repensant ! :colere:

 

belle anecdote

 

on disait à l'époque qu'on avait gagné deux Pink Floyd

 

tu as son livre? 

5€ dans une FAT, l'ignare qui m'a vendu cela!!

 

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Modifié par zygomard
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Bonsoir tout le monde !

@Learch:

Donc en fait après The Wall c'est David Gilmour qui a pris le groupe en mains, c'est sa période qui commence, pas la meilleure à mon avis... Rick Wright s'en foutait et Nick Mason était plus occupé par ses bagnoles anciennes, son dada... je l'ai d'ailleurs croisé sur le circuit de Nevers-Magny-Cours, à la première concentration de voitures anciennes organisées là-bas, 1992 ou 93, il était accroupi seul à côté d'une roue avant de sa Ferrari 250 GTO, dans le paddock, je lui ai demandé s'il avait besoin d'aide il m'a dit que non, il vérifiait les freins... et ce n'est qu'après, en regardant le nom sur la bagnole, que je me suis rendu compte que c'était lui (il avait un peu vieilli), il était déjà parti... put.n de bor.el de pompe à me.de, je ne lui ai même pas demandé un autographe ni je ne lui ai pas dit à quel point ses disques m'avaient marqué... je me fous encore des claques en y repensant ! :colere:

 

En même temps, je pense qu'il n'en serait pas tombé sur le cul non plus, tant il doit collectionner les hommages et autres selfies. Il aime sans doute aussi être  peinard. Tu aurais peut-être été déçu de sa réaction face tes marques d'admiration. J' dis ça parce que, une fois ou l'autre, il m'était arrivé d'être échaudé et surpris dans des situations quasi analogues à la tienne. Mais c'était il y a longtemps.

Maintenant, je me tiens à carreau et, s'il m'arrive de croiser ici ou là "dans le civil" une vedette que j'apprécie tout particulièrement,  je lui fous une paix royale. Un salut, un bonjour amical et voilà. L'autographe, c'est comme le miel : ça attire les mouches ... et le mec est vite débordé par ta faute !

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il y a une heure, zygomard a dit :

tu as son livre? 


Non pas lu... en fait, à la réflexion, je n'ai jamais lu de livre parlant de musique, ni bio, ni story, ni livre-hommage, rien, juste des articles de vieux Rock & Folk et des premiers Inrockuptibles... j'avais jamais fait attention à ça... pourtant je suis un gros lecteur...

 

il y a une heure, rockerboots a dit :

Tu aurais peut-être été déçu de sa réaction face tes marques d'admiration.


Oui, tu n'as peut-être pas tort, je positive aussi de cette façon... de toute manière je suis souvent perdu dans mes pensées et pas très physionomiste... donc ça m'est arrivé plusieurs fois, par exemple un jour j'ai tenu la porte d'entrée d'un bâtiment à un petit vieux pas très en forme avec une casquette, chuis bien élevé quoi, qui m'a dit merci, et c'est ma cops' d'alors qui après m'a demandé "Il t'a dit quoi Mitterrand ?" :ddr:

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Le 12/08/2022 à 21:49, RoadyMaster a dit :

 

Ça me fait penser à ça, mais en beaucoup moins bien quand même :ddr:

 

 

Ils avaient aussi fait ça sur le même album en 94 :

 

 

Le 14/08/2022 à 19:41, Learch a dit :

Bon je sens bien que l'ambiance est à la fête et à la danse !!! Alors hop hop hop on lâche les déambulateurs, on oublie son arthrose et on écoute ça... si vous ne dansez pas c'est que vous avez oublié vos sonotones !!!! (pfff faut tout dire...) :ange:

 


 

 

Le mec qui a dégouté Mick Jagger de danser lors des plateaux télés :D

 

Et le plus beau jeu de jambes de l'histoire, y compris avec tous les footeux du monde en activité et au delà :vert:

 

Modifié par Roland de Gilead
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Invité §Roa887Il
il y a 20 minutes, Roland de Gilead a dit :

Ça me fait penser à ça, mais en beaucoup moins bien quand même :ddr:

Ils avaient aussi fait ça sur le même album en 94 :

 

 

j'le jouais en club :jap:

la modération les portiers n'aimaient pas trop :ddr:

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il y a une heure, RoadyMaster a dit :

j'le jouais en club :jap:

la modération les portiers n'aimaient pas trop :ddr:

C'était cool à l'époque pourtant.

Juste un peu d'animation sur le dancefloor :metal: mais ça valait pas un pogo des Béru quand même 

il y a une heure, Timing Quattro a dit :

Sum41, c'est ma jeunesse ça :cyp:

Je les ai vus en festival en juillet d'ailleurs, très sympa, bonne ambiance :D

 

Ma jeunesse, c'est plus les Offspring je dois reconnaître.

Surtout sur la fin d'ailleurs.

 

La fin de ma jeunesse hein 

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@Roland de Gilead, quand tu m'as demandé si je ne voulais pas participer à un concours de musique sur Seat, je m'attendais à tout ...

 

... mais pas à lire des messages sur Joan Baez, encore moins sur Sacco et Vanzetti et surtout pas qu'on me rappelle mon adolescence avec One Way Wind! Putain, ça fait plus de trente ans que je n'ai plus entendu cette chanson! Je ne me souvenais plus du titre, l'intro du message et l'image de YouTube ne me disaient strictement rien, j'ai cliqué pour voir et, dès les premières notes, j'étais transporté dans les années 70. Quel choc sentimental. 

 

Juste pour te dire que tu as bien fait de me "mentionner" et je vais de découverte en découverte ... :lover: 

 

Ceci dit qu'on est un sacré paquet de vieux ici, hein! :buzz:

 

Pas une seule chanson des temps modernes - il faudrait que je vérifie, mais 22 des 24 titres proposés sont (très) antérieurs à 2000!  Augen auf Dein Traum semble être de 2020, Aventura de 2003, puis on a I Will Always Love You et Octobre de 1994; et ensuite, on plonge ... :w: 

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Juste deux questions:

 

@rockerboots, pourquoi n'as-tu pas chois la vidéo originale pour One Way Wind? Une raison particulière? 

 

@Roland de Gilead, vu qu'on est le 16 août et on a déjà 24 titres, faut-il en proposer 10 au vote, comme la dernière fois? Ou est-ce qu'oin reste avec 5 votes? 

 

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Il y a 1 heure, WildBoar a dit :

@Roland de Gilead, quand tu m'as demandé si je ne voulais pas participer à un concours de musique sur Seat, je m'attendais à tout ...

 

... mais pas à lire des messages sur Joan Baez, encore moins sur Sacco et Vanzetti et surtout pas qu'on me rappelle mon adolescence avec One Way Wind! Putain, ça fait plus de trente ans que je n'ai plus entendu cette chanson! Je ne me souvenais plus du titre, l'intro du message et l'image de YouTube ne me disaient strictement rien, j'ai cliqué pour voir et, dès les premières notes, j'étais transporté dans les années 70. Quel choc sentimental. 

 

Juste pour te dire que tu as bien fait de me "mentionner" et je vais de découverte en découverte ... :lover: 

 

Ceci dit qu'on est un sacré paquet de vieux ici, hein! :buzz:

 

Pas une seule chanson des temps modernes - il faudrait que je vérifie, mais 22 des 24 titres proposés sont (très) antérieurs à 2000!  Augen auf Dein Traum semble être de 2020, Aventura de 2003, puis on a I Will Always Love You et Octobre de 1994; et ensuite, on plonge ... :w: 

 

c'est toi qui a choisi le thème et franchement, j'adore

 

je pense qu'il faudra le refaire un jour d'ailleurs

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Il y a 1 heure, WildBoar a dit :

Ceci dit qu'on est un sacré paquet de vieux ici, hein! :buzz:

Ou alors on a bon goût et c'est la musique d'aujourd'hui qui est de la merde :cyp:

 

 

Pour les votes je te laisse décider mais c'est vrai que vu le nombre de participants on pourrait faire comme Seb le mois dernier et voter pour 10. Si d'autres ont un avis, n'hésitez pas à vous manifester :fleur:

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Il y a 1 heure, WildBoar a dit :

Juste deux questions:

 

@rockerboots, pourquoi n'as-tu pas chois la vidéo originale pour One Way Wind? Une raison particulière? 

 

@Roland de Gilead, vu qu'on est le 16 août et on a déjà 24 titres, faut-il en proposer 10 au vote, comme la dernière fois? Ou est-ce qu'oin reste avec 5 votes? 

 

 

il va te répondre comme pour moi, "fait ce que tu veux, c'est toi qui gère"

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