[Topic Officiel] Actualités Chevrolet: Gamme, Projets et Informations

11 novembre 2005

Photoreportage du Sema 2005

11 novembre 2005

SEMA Show de Las Vegas

Par Vincent Vaillant le 2 novembre 2005

Caliber_002 Si vous n’avez ni les moyens, ni le temps, ni l’envie d’aller au SEMA Show de Las Vegas qui vient d’ouvrir ses portes du 1er au 4 novembre, mais que par curiosité vous souhaitez en avoir une petite idée de ce qu'il s'y passe, voici un premier aperçu des voitures qui s’exposent dans les allées du salon. Grâce à ce site qui sera certainement mis à jour au fur et mesure du show, nos yeux peuvent découvrir avec étonnement ou horreur les joies du tuning américain. Vous y retrouverez chez Jeep un luxueux Grand Cherokee WH "Decoma Edition", un Commander zébré ORV by Skunkwerks et un Commander Polar Edition by Skunkwerks.

Chez Dodge, constructeur très apprécié des tuners américains, sont exposées une extravagante Caliber Rallye Concept, une Charger R/T by Performance West, une Charger R/T, des Magnums à tout va, un duo de Viper ACR SRT-10 coupé / Compétition coupé, et une superbe Challenger HEMI de 510 ch. Enfin, le concept car Chrysler Firepower est aussi de la partie tout comme une tribu de Hummer que l’on dirait tout droit sortis du garage d’un rappeur US.

11 novembre 2005

Une erreur comptable fragilise le PDG de General Motors

LE MONDE | 11.11.05 | 13h38 • Mis à jour le 11.11.05 | 13h38

Rick Wagoner, le PDG de General Motors (GM), a-t-il définitivement perdu la confiance de Wall Street ? L'action du numéro un mondial de l'automobile a dévissé de 4,5 % à 23,51 dollars, jeudi 10 novembre. Le titre a terminé la séance à son plus bas niveau depuis seize ans. A l'origine de cette chute spectaculaire, la révélation, la veille, d'erreurs comptables remontant à 2001.

GM a en effet avoué à la Securities and Exchange Commission (SEC), le gendarme de la Bourse américaine, que son bénéfice net avait été surestimé cette année-là d'environ 300 à 400 millions de dollars. Soit une révision de 25 % à 35 %. L'erreur provient du mode de comptabilisation de crédits accordés par certains fournisseurs.

Une enquête interne doit maintenant déterminer le montant exact de la correction enregistrée sur 2001. Il n'est pas exclu que les exercices suivants soient également concernés.

De son côté, la SEC pourrait être amenée à chercher des preuves que GM a intentionnellement gonflé ses comptes pour se conformer aux attentes du marché.

Quels que soient les résultats de ces enquêtes, ce nouvel incident de parcours pourrait coûter cher à M. Wagoner dont la cote est au plus bas.

DÉCLIN DES PARTS DE MARCHÉ

Sur le plan stratégique, M. Wagoner s'est lancé dans des prises de participation hasardeuses. D'abord dans Fiat, en 2000. GM a englouti 2,5 milliards de dollars en pure perte avant de verser, cinq ans plus tard, au constructeur italien une indemnité de divorce de 1,5 milliard.

La prise de participation de 20 % dans le japonais Fudji Heavy n'a pas été plus glorieuse : GM vient de céder ses parts pour un montant de 35 % inférieur à ce qu'il avait payé à Nissan en 2000.

Egalement au passif de M. Wagoner, sa gestion de la crise de l'industrie automobile aux Etats-Unis. Dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, le PDG de GM a déclenché une guerre des prix qu'il n'arrive plus aujourd'hui à enrayer.

Pire, malgré une surenchère de ristournes, GM ne cesse de voir ses parts de marché décliner. En un an, celles-ci sont passées de 28,5 % à 25,6 %. A force de proposer des remises, le constructeur a fini par assécher une demande déjà affaiblie par la flambée des prix des carburants.

Jusqu'à présent le numéro un mondial faisait illusion grâce à ses ventes de 4 × 4. Mais avec le choc pétrolier, celles-ci sont en train de s'effondrer. GM ne dégage plus suffisamment de trésorerie pour faire face à ses engagements en matière de frais de santé et de retraite. Ceux-ci représentent 1 500 dollars par véhicule vendu. Depuis le début de l'année, le groupe affiche 3,8 milliards de dollars (3,3 milliards d'euros) de pertes.

Cette situation a amené les agences de notation à classer GM dans la catégorie des junk bonds (obligations pourries). Le plan d'économie annoncé par M. Wagoner le 17 octobre n'a pas convaincu les investisseurs. La pression s'est encore accrue depuis que le milliardaire Kirk Kerkorian a ramassé en Bourse près de 10 % du capital de GM.

L'erreur comptable qui vient d'être révélée pourrait être la dernière d'une longue série pour M. Wagoner.

12 novembre 2005

General Motors s'enfonce dans la crise AUTOMOBILE Faillite de son premier fournisseur, erreurs comptables, parts de marché en baisse. En plus, le n° 1 mondial est talonné par Toyota.

Charles Gautier

[12 novembre 2005]

GENERAL MOTORS (GM) mérite-t-il toujours son titre de premier constructeur automobile mondial ? Chaque semaine apporte son lot de doutes et de mauvaises nouvelles. Dernière en date : la révélation des erreurs comptables qui se sont glissées dans le bilan financier de l'exercice 2001. Cette année-là, le groupe dirigé par Rick Wagoner a gonflé artificiellement son bilan en annonçant un bénéfice net de 300 à 400 millions de dollars supérieur à la réalité. Hors éléments exceptionnels, GM avait annoncé un profit de 1,5 milliard de dollars, en chute de 70% par rapport à l'exercice 2000.

Prenant les devants pour tenter d'éviter de sérieux ennuis, GM a adressé hier à la SEC, le gendarme de la Bourse américaine, un document attestant cette erreur. Le groupe a précisé également qu'il menait une enquête interne sur la manière dont les crédits de fournisseurs dont il avait bénéficié avaient été comptabilisés. Le groupe de Detroit a d'ores et déjà annoncé qu'il évaluerait précisément l'impact sur les comptes 2001 et les conséquences éventuelles pour les exercices suivants.

Depuis deux semaines, la SEC s'intéresse d'ailleurs de près à GM, et notamment au financement des retraites de ses salariés. Elle avait également souhaité obtenir des précisions sur certaines transactions entre GM et son ancienne filiale Delphi.

Cette nouvelle affaire a provoqué l'effondrement du cours de l'action de plus de 15% en trois séances en milieu de semaine. Pire, il est en recul de 40% depuis le début de l'année, alors que dans le même temps le Dow Jones n'a cédé que 2%. Le titre est désormais proche de 23 dollars, du jamais vu depuis novembre 1995.

Moins cher qu'Harley Davidson

La capitalisation boursière de GM était jeudi inférieure à celle de la mythique marque de motos Harley Davidson dont le volume d'affaires n'a pourtant rien de comparable. Il est vrai que l'action GM a déjà été ravalée au rang de titres hautement spéculatifs par la plupart des agences de notation.

Contraint de réagir, GM est désormais engagé sur tous les fronts : le groupe a entrepris une vaste restructuration qui devrait lui permettre de réaliser 6 milliards d'économie d'ici à la fin 2006. Grâce à un accord signé avec le puissant syndicat UAW, il réduira les salaires de certains salariés et même partiellement les frais de santé de ses retraités.

De surcroît, l'éventuelle obligation faite au constructeur américain de participer au redressement financier de son ancienne filiale Delphi (et désormais premier fournisseur) inquiète aussi les milieux d'affaires. La situation financière est donc très préoccupante au point que GM pourrait céder le contrôle de sa très rentable branche financière.

En octobre, General Motors a annoncé une perte nette record de 1,6 milliard de dollars au troisième trimestre. Comme la plupart de ses concurrents américains, GM est directement pénalisé par la mévente de ses gros véhicules tout-terrain, consécutive à la hausse du prix des carburants. Et déjà les milieux industriels estiment qu'il ne faudra qu'un peu de patience à Toyota pour devenir le premier constructeur mondial. Au premier semestre de l'exercice 2005-2006, Toyota a gagné 4,8 milliards de dollars alors que sur la même période GM en a perdu 1,88 milliard de dollars.

12 novembre 2005

Nouveauté : Cadillac Escalade (2007)

Un plébéien 4x4 Chevrolet déguisé en Cadillac ? Il aura suffi qu’une star du rap l’adopte pour que la formule connaisse un succès aussi phénoménal qu’inattendu. Il devrait se poursuivre avec cette seconde génération à la présentation plus soignée.

Le Cadillac Escalade constitue un cas d'école. Les professionnels de la mercatique le citent comme l'exploitation parfaite du phénomène de bouche-à-oreille et de parrainage par une star du monde du spectacle.

Né du replâtrage hâtif du Chevrolet Tahoe en 2000, l'Escalade a subitement vu son nom apparaître dans les chansons de rappeurs célèbres tels que Jay-Z, Big ou Da Brat. Un égard, pour ne pas dire un honneur, dont les responsables de la communication de la marque n'auraient même pas oser rêver !

Deux ans après son lancement, le 'Slade est donc devenu du jour au lendemain LA voiture au volant de laquelle il fallait être vu à Los Angeles ou à New York. De préfèrence dans une livrée noire immaculée, idéale pour faire ressortir l'éclat des chromes.

Depuis, la fièvre est retombée. Aussi brève fut-elle cependant, cette notoriété soudaine a permis de lancer la carrière du premier tout-terrain de l'histoire de Cadillac et de l'imposer auprès d'une clientèle friande de Lincoln Navigator.

La découpe du vitrageévoque le TrailBlazer.

Reste qu'un élégant ne peut jamais se départir totalement de ses racines de gueux. Et à mesure que la concurrence se tourne vers des habitacles et des solutions techniques plus raffinées, les origines plébéiennes de l'Escalade font surface. Son châssis en échelle issu du pick-up Chevrolet Silverado et sa planche de bord bâclée sont ainsi en retrait des meilleures réalisations concurrentes.

Voilà pourquoi la foule était nombreuse hier à Beverly Hills pour découvrir en avant-première la seconde génération de l'Escalade. Le choix des lieux n'était évidemment pas anodin, pas plus que celui du nom de la soirée de gala animée par le comédien Adrian Brody : "Chrome Couture" !

En fait de chrome, le nouvel Escalade n'en manque pas. Mais les amateurs de tout-terrain n'auront d'yeux que pour la toute nouvelle plate-forme qui se cache sous cette robe noire : il s'agit ni plus ni moins de celle qui servira de fondement à la prochaine génération de Tahoe, de Suburban et de Silverado.

Ce choix mécanique emporte une conséquence irrémédiable pour l'Escalade : malgré l'adoption d'une direction à crémaillère ou d'un train avant triangulé, Cadillac doit de nouveau composer avec une architecture "rustique", faite d'un châssis séparé et d'un pont arrière rigide. A la différence notable de son petit frère SRX qui oppose une structure monocoque au BMW X5 et autres Mercedes-Benz ML et Lexus RX330.

Sans surprise, on trouve sous le capot le V8 maison de 6,2 litres de cylindrée. Un système de calage variable des soupapes permet d'en tirer quelque 403 chevaux. Cette puissance est confiée à une boîte automatique à six rapports.

Il faudra patienter quelques mois pour vérifier que le dessin de la planche de bord ne sera pas "copié" par les frères jumeaux Chevrolet. GM gagnerait sans doute à investir dans un intérieur exclusif réservé à Cadillac, à l'image de ce que Ford à consenti à Lincoln pour ses tout-terrain de luxe.

Le nouveau Cadillac Escalade devrait être commercialisé à l'automne 2006 au titre de l'année-modèle 2007. Car le millésime américain débute à l'été, comme autrefois en France. Les variantes pick-up EXT et à empattement long ESV suivront courant 2007.

13 novembre 2005

Photoreportage de la Cadillac Escalade.

13 novembre 2005

Photoreportage de la Cadillac Escalade (suite et fin).

13 novembre 2005

Cadillac Escalade 2006

L'Escalade offre un niveau de choix inégalé dans la catégorie des utilitaires sport de luxe. La gamme inclut l'Escalade, l'Escalade ESV à empattement allongé, l'Escalade ESV Platinum Edition et l'innovateur Escalade EXT. Choisissez un modèle pour en savoir davantage ou comparez toutes les options et spécifications .

Escalade De : 78 030 $PDSF*

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Véritable Cadillac, l'Escalade est la définition même de tout ce qu'un utilitaire sport de luxe devrait être. Avec un moteur développant 345 HP et produisant un couple de 380 lbf-pi, l'Escalade possède assez de puissance pour accomplir presque toutes les tâches imaginables. Il regorge de caractéristiques de pointe, dont le système StabiliTrakMC, une transmission intégrale à commande électronique, une suspension souple AutoRide sensible à la route et, bien évidemment, le système OnStar °. Dans l'Escalade, tout est orienté en fonction de votre confort. L'habitacle spacieux et bien équipé accueille sept personnes. Les sièges du conducteur et du passager avant sont à réglage électrique, en pas moins de 14 sens. Grâce également aux pédales de freinage et d'accélération à réglage électrique de série, il est facile de trouver la position de conduite idéale. Des sièges à assise en cuir souple, un superbe système sonore Bose et les commandes audio et du centralisateur informatique de bord montés au volant sont des exemples parmi les nombreuses autres caractéristiques de série de l'Escalade. Plus de détails

Escalade ESV De : 80 900 $PDSF*

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Pour les conducteurs qui ont besoin d'encore plus d'espace, il y le Cadillac Escalade ESV - le plus spacieux utilitaire sport de luxe sur la planète. L'Escalade ESV partage la conception robuste de pointe et les caractéristiques haut de gamme de l'Escalade, dont le puissant moteur V8 Vortec 6000, le système StabiliTrak et la suspension AutoRide sensible à la route. La taille constitue la principale différence. L'empattement de l'Escalade ESV mesure 356 mm (14 po) de plus que celui de l'Escalade, et sa longueur hors tout, 572 mm (22,5 po) de plus. Le résultat : une conduite extrêmement confortable, un dégagement aux jambes aux deuxième et troisième rangées nettement supérieur et un incroyable gain de volume utilitaire de 765 L (27 pi cu). Pour dorloter les passagers, tout en transportant une grande quantité de matériel, l'Escalade ESV n'a pas son pareil. Plus de détails

Escalade EXT De : 71 480 $PDSF*

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Escalade EXT est, tout simplement, l'utilitaire sport de luxe le plus innovateur au monde. Évidemment, l'Escalade EXT recèle la puissance, la performance, le luxe et le style qui ont permis à l'Escalade d'occuper la première place dans la catégorie des utilitaires sport de luxe. Toutefois, l'Escalade EXT possède une caractéristique de plus qui lui est propre : une polyvalence inégalée. Lorsque la situation le requiert, il peut se transformer en quelques secondes, pour passer d'utilitaire sport de luxe pouvant accueillir cinq personnes à pick-up sophistiqué, sans outils. Ce qui permet cette remarquable transformation est le système utilitaire amélioré de l'Escalade EXT dont le principal composant est la cloison rabattable Midgate, située derrière la deuxième rangée de sièges. Les autres composants incluent un couvre-caisse rigide en trois parties en matériau composite et des compartiments de rangement intégrés aux parois de la caisse.

14 novembre 2005

Les fournisseurs de la Corvette sont sur ce site :

http://www.autonews.com/page.cms?pageId=431

14 novembre 2005

Lancement de la nouvelle Spark

Une citadine nommée Al Djazaïria

Depuis quelques jours, via un spot télévisé, la nouvelle Spark fait le clin d’œil aux Algériens. Depuis hier, la moins chère des « américaines » -l’ex-Matiz de Daewoo aujourd’hui fabriquée sous la griffe Chevrolet de General Motors- est officiellement lancée sur le marché.

« Son design est moderne, original et européen, ce qui en fait une nouvelle Spark », résume la société importatrice Diamal devant un parterre de professionnels, réunis, hier, à l’hôtel Hilton. Pour la circonstance, Diamal a fait déplacer deux managers représentant le constructeur américain Général Motors (GM), en l’occurrence Steve Koch, président de GM Afrique-Moyen-Orient et Edward Moorman, DG de GM Afrique. « Vous avez devant vous un véhicule qui répond aux normes les plus pointues en matière de sécurité », dira Steve Koch à la question de savoir si cette citadine avait subi les épreuves du « crash-test ». Avec l’ambition de se positionner en véhicule « phare » de la gamme Diamal, la Spark ambitionne également d’être la concurrente directe d’Atos de Hyundai, en se faisant baptiser Al Djazaïria.

En a-t-elle les moyens ? « Les arguments ne manquent pas », rétorque l’équipe dirigeante de Diamal. Et de préciser : « Spacieuse, elle accueille confortablement 5 personnes. Elle est dotée d’un moteur de 3 cylindres 800 cc de 48 cv. Elle a une qualité de fabrication Chevrolet et a été testée sur toutes les pistes du monde. » Côté prix, la nouvelle Spark se targue d’être l’une des moins chères sur le marché, la « base » avec une foule de commodités étant facturée à 560 000 DA. En présentant la nouvelle Spark, Diamal aura relancé, en définitive, une citadine adoptée dès 1999 par le public. En effet l’« increvable » Matiz, pour paraphraser un confrère spécialisé dans l’automobile, « a encore gagné en...robustesse depuis la reprise de Daewoo par GM ». Certaines des « sœurs aînées » de la Spark affiche allégrement 200 000 km au compteur, « sans que le moteur ait été ouvert », soutient un connaisseur. Diamal a été créée en avril 2000 pour distribuer en exclusivité Opel et Isuzu Japon.

En 2003, elle met sur le marché une gamme Chevrolet, suite au rachat du dispositif de Daewoo Corée par le numéro un mondial de l’automobile, Général Motors. Les ventes de Diamal sont passées de 1600 véhicules en 2003, à 6850 unités en 2004, pour passer à 14 000 véhicules en 2005. Au 12 novembre 2005, le carnet des ventes de Diamal, en ce qui concerne Chevrolet, affichait la 11 000e livraison.

18 novembre 2005

A méditer.

La Chine veut maîtriser sa croissance automobile

Shanghaiautomobile Selon les dirigeants de la planification économique, la croissance du marché automobile chinois est inférieure aux investissements engagés sur le secteur. Le risque est d'arriver, à moyen terme, à une surproduction impossible à absorber sur le marché intérieur. Les analystes du gouvernement de Pekin tablent sur une surcapacité dangereuse dès 2010. A cette date, la production est estimée à 20 millions de véhicules alors que les ventes ne devraient pas dépasser les 9 millions.

Cette année déjà, la surproduction est une réalité puisque, des 8 millions d'autos produites , seulement 5.5 seront vendues. Et pourtant l'investissement des compagnies étrangères ne faiblit pas, au contraire.

VW, General Motors et Toyota, par exemple, consacrent 15 milliards de dollars en vue du triplement de leur capacité de production ce qui amènerait ces 3 seuls groupes à fabriquer 7 millions de véhicules dès 2008.

Pour éviter l'emballement, le gouvernement chinois a déjà pris des mesures limitant l'accès au crédit ce qui n'a pour effet que de juguler la croissance aux alentours de 15% par an. Il faut dire qu'en 2003, le marché avait quasiment doublé.

Dans ces annonces, ne faudrait il pas voir un moyen de limiter l'arrivée trop massive des compagnies étrangeres sur le territoire chinois alors que dans le même temps les constructeurs locaux acquièrent une importance qui leur permet de se payer des firmes historiques en difficulté, voire même d'effrayer VW et Porsche qui se sont alliés pour pallier à toute tentatvive de prise de contrôle inamicale venant d'Asie.

Et dans le même temps une surcapacité recurrente justifierait, auprès de l'OMC, une exportation massive des autos chinoises dans les contrées de l'Ouest.

19 novembre 2005

Il faut un petit prix pour tenir la route si l’on est petit.

Automobile - Les nouveaux monospaces de Peugeot et Renault – 1007 et Modus – se vendent mal.

Tristes débuts pour les petits monospaces Modus (Renault) et 1007 (Peugeot). Lancé en septembre 2004 et produit à Valladolid en Espagne, le premier a vu son rythme de production quotidien passer de 1 300 unités à 900, puis à 700. Et, depuis octobre, à 500. Le second est assemblé tous les jours à Poissy (150 modèles). Deux fois moins qu’à son lancement en avril. En un an, quelque 190 000 Modus ont été vendus en Europe, dont 85 000 en France (au départ, le PDG de Renault, Louis Schweitzer, tablait sur 140 000 unités). Peugeot n’a écoulé que 40 000 monospaces 1007 au cours des six premiers mois.

Ces mauvais résultats tiennent essentiellement à des raisons de prix et à une offre surabondante. Le Modus est vendu entre 12 900 et 21 700 euros, le 1007 entre 13 750 et 17 850 euros. Bien au-dessus des 9 000 euros des C1, 107, Toyota Aygo. Et des 7 500 euros de la Logan. « Les clients sont prêts à payer davantage pour une Mercedes Classe A ou pour une Mini [bMW], souligne Richard Verglas, analyste au cabinet Hemeria. Pas pour une Peugeot ou une Renault. » Et Modus, qui s’est défini comme une voiture-jouet – ce qui fait cher du jouet –, a dû modifier son message décalé Grandir, pour quoi faire ? par le très lisse Nouvelle Renault Modus.

Autre erreur du monospace de Renault, son positionnement. La voiture devait se substituer à la Clio II, avant le lancement de la Clio III en septembre. Or la Clio II a continué à bien se vendre. Modus devait aussi profiter du boom du marché des minispaces (en Europe, les ventes ont doublé, à 530 000 unités entre 2003 et 2004). Problème, celui-ci ne s’est pas poursuivi. Mais certains constructeurs, Opel notamment avec la Meriva, ont continué à cartonner, ce qui a réduit d’autant la marge de manœuvre de Renault.

Le cas du 1007 est un peu différent. Cette citadine urbaine, située entre la petite 107 et la 206, présente un vrai changement avec ses portes coulissantes. Pour le moment cependant, les clients n’accrochent pas. Peugeot veut tout de même lui laisser du temps. Après tout, l’Espace de Renault s’est très mal vendu l’année de son lancement, avant de devenir un hit.

Les mésaventures du Modus et du 1007 illustrent le dilemme des constructeurs. Hier, ils se contentaient de sortir, avec des coûts marginaux, des nouvelles versions de leurs modèles. « Aujourd’hui, la rationalisation de la production, via la politique de plate-forme, leur permet d’opérer des changements plus radicaux en modifiant la silhouette du véhicule » , indique Richard Verglas. D’où la multitude de nouveaux modèles, de segments et de sous-segments. Les constructeurs se sont lancés dans une course effrénée à l’innovation. Un jeu périlleux, dont Renault et Peugeot font actuellement les frais.

Deux lancements décevants

Modus

Production initiale (septembre 2004) : 1 300 par jour

Production actuelle 500 par jour

Peugeot 1007

Production initiale (avril 2005) : 300 par jour

Production actuelle 150 par jour

19 novembre 2005

Les 4 × 4 de loisirs tracent leur route en ville.

Ils polluent, sont impossibles à garer et consomment tant et plus… Pourtant, depuis un an, ces véhicules XXL rivalisent avec les monospaces dans le cœur des Français. Les raisons d’un emballement.

C’est un étonnant phénomène de marché, façon bulldozer ! Jamais les ventes de 4 x 4 n’ont autant progressé que cette année alors que la polémique sur la pollution et les 4 x 4 urbains enfle, que les prix du carburant explosent, et que les menaces les plus diverses se précisent, du dégonflement nocturne des pneus par les anti-4 x 4 des Dégonflés jusqu’à l’interdiction en ville par certains édiles.

Cette vogue irrésistible des SUV (Sport Utility Vehicle, ou 4 x 4 de loisirs) se constate dans toute l’Europe : c’est dans ce segment que la société d’analyse Jato Dynamics a relevé la croissance la plus dynamique sur le Vieux Continent au premier semestre (+ 11 %).

Ringard, le monospace ?

C’est encore plus vrai en France, où la croissance des ventes de SUV dépasse 20 % sur les neuf premiers mois. Et c’est d’autant plus étonnant que les constructeurs français n’en vendent pas un seul, alors qu’ils contrôlent près de 60 % du marché automobile national ! En huit ans, la part des 4 x 4 en France a quadruplé, atteignant 5,5 % du marché, soit plus de 100 000 ventes l’an dernier. Le succès du SUV a ainsi fini par peser sur le marché du grand monospace, dominé par le Renault Espace dont les chaînes de Sandouville connaissent le chômage technique. Du coup, Renault promet un SUV sur base Nissan pour l’an prochain, et PSA deux autres sur base Mitsubishi pour 2007.

En attendant, ce sont trois marques japonaises et une marque coréenne qui mènent la danse. Avec Toyota au premier rang : presque un 4 x 4 vendu sur cinq porte sa griffe. Les Allemands, à la suite de la classe M de Mercedes, ont eux aussi flairé le créneau juteux et se positionnent haut de gamme, grâce à leur expérience et à leurs usines américaines. BMW fait un malheur avec ses X3 et X5, Volkswagen avec son Touareg, et Porsche Cayenne est à peine un cran au-dessous.

Monstres de sécurité

Pourquoi ce succès ? Comme le grand monospace, le grand SUV confère le sentiment de dominer la mêlée, de sortir du lot commun des berlines « ordinaires ». Aux yeux des hommes, il ajoute une note plus sportive, alors qu’aux yeux des femmes il est plutôt gage de sécurité. Et il est vrai que le 4 x 4 change la vie en montagne. Son usage a été boosté par la floraison des gros turbo-diesels, qui ont limité la gloutonnerie de ces engins tout en les dotant de reprises stupéfiantes. Sur dix SUV neufs, plus de huit sont équipés de diesels.

Les défauts de ces monstres ? Ils sont dénoncés de plus en plus vivement par leurs adversaires : l’encombrement, la maniabilité réduite, le poids, la consommation et la pollution, la menace qu’ils peuvent représenter en cas de choc avec des véhicules plus petits… Aux Etats-Unis, la grande vogue des SUV reflue sous l’effet du choc pétrolier. L’Europe suivra-t-elle avec un temps de retard ? Bruxelles et Paris semblent préparer des mesures pour décourager les gros consommateurs de pétrole et gros émetteurs de CO2. Des obstacles que ces gros 4 x 4 auront peut-être du mal à franchir.

Pour - « La polémique autour du 4 x 4 m’énerve »

Alain Prost, quadruple champion du monde de Formule 1

« Je dispose de deux voitures, mais utilise principalement le 4 x 4en montagne, puisque je disputele trophée Andros de courses sur glace. J’apprécie sa sécurité, son confort etson aspect pratique. Et il procure une bonne visibilité, en particulier en conduite de nuit. Sa diabolisation m’énerve un peu. Après tout, il y a des monospaces plus imposants que des 4 x 4 ! »

Contre - « Ce sont des caricaturesde voitures »

Denis Baupin, adjoint au maire de Paris chargé de la circulation et des transports

« Je n’aurai jamais de 4 x 4, car ce sont des caricatures de voitures ! Plus dangereux pour autrui, plus polluants, ils cumulent toutes les nuisances et sont, de ce fait,totalement inadaptés à la circulation en agglomération. Pourtant, c’est bienlà qu’ils circulent ! Constructeurs et consommateurs doivent comprendre qu’ils n’ont pas leur place en ville ! »

19 novembre 2005

Une ville industrielle brutalement confrontée au changement

Sholnn Freeman *

Dans La brèche du mois de novembre 2005 (voir site La brèche) est paru un article sur la «mise en faillite» (utilisation du Chapitre 11 du Code de la faillite censé, durant une période protéger l'entreprise de ses créanciers) de Delphi, un des deux plus grands équipementiers automobile du monde.

L'article analyse la stratégie patronale d'attaque contre les syndicats – en particulier l'United Auto Workers (UAW) – et celle contre le niveau de vie des travailleurs considérés, selon les critères de la sociologie américaine, comme formant un élément des classes moyennes, étant donné leur salaire horaire et, surtout, la couverture médicale et la retraite dont ils étaient pourvus.

Mais, ce monde s'écroule. Un salaire horaire moyen (d'un ouvrier de GM ou de Delphi) plus les bénéfices sociaux se décomposaient ainsi jusqu'à maintenant: salaire et adaptation au coût de la vie (25.58 dollars), heures supplémentaires, primes, vacances (9,78 dollars): soit 35.36 dollars; ensemble des allocations sociales (santé, assurance vie, sécurité sociale): 30.54 dollars, soit un total de 65.90 dollars (source: J.P. Morgan, Center for Automotive Research). La direction de Delphi propose-impose un salaire de 9 à 10.5 dollars. Le choc est rude. C'est ce que décrit un quotidien américain conservateur. Réd.

Comme beaucoup d'autres habitants de cette ville – Lockport dans l'Etat de New-York – Pam Mondello peut sentir le rêve américain lui glisser des doigts.

Mondello, une travailleuse d'usine de 39 ans, s'inquiète des importantes coupes salariales qui pourraient intervenir suite à la mise en faillite, le mois dernier [8 octobre], de Delphi Corporation. Dans ses projets de restructuration, l'équipementier annonce que des milliers d'ouvriers dans tout le pays verront leurs salaires brutalement diminués pour atteindre la piètre somme de 9.50 dollars l'heure. Mondello, qui a des factures à payer et trois enfants adolescents, est abasourdi à l'idée que Delphi puisse penser s'en tirer avec une telle baisse.

«C'est une véritable gifle, quand on sait qu'actuellement ils paient $28 l'heure. On s'attendait à des baisses salariales, mais ne nous faites pas vivre dans la pauvreté» s'exclame Mondello.

Pour les 3'800 travailleurs de l'usine de Lockport, c'est une véritable guerre de classe qui se déroule dans l'industrie automobile. Ils sont nombreux à penser que la mise en faillite de Delphi a été orchestrée par des dirigeants de la branche dans le but d'écraser de manière permanente l'échelle salariale des travailleurs. On a l'impression ici que personne ne demande des comptes à la direction faîtière.

Michael Fredericks, un travailleur de 53 ans qui a commencé à travailler à l'usine de Lockport à l'âge de 19 ans proteste: "L'Amérique des affaires a lourdement investi outremer de l'argent qu'ils auraient dû mettre dans ma caisse de retraite". Il est furieux que son salaire et sa retraite se trouvent menacés alors qu'il a travaillé durant presque 34 ans à Delphi. Il estime que les nouvelles propositions salariales correspondent à des salaires payés par McDonald et Burger King. Cela ne va pas fonctionner. Personne ne va accepter. Nous avons lutté trop durement pour obtenir ce que nous avons".

La question de Delphi n'assombrit pas seulement Lockport. Delphi est le plus grand équipementier automobile des Etats-Unis. Il emploie plus de 50'000 personnes aux Etats-Unis et au Canada. Alors même que l'entreprise est encore couverte par la déclaration de faillite [Chapitre 11], le cas de Delphi contribue à intensifier le débat national autour de la politique de la santé, sur le pouvoir déclinant de l'industrie lourde des Etats-Unis et sur le rôle des syndicats dans le marché global en rapide mutation.

De manière plus immédiate, si Delphi et ses travailleurs ne parviennent pas à trouver un accord sur les retraites et les prestations sociales, une grève coûteuse menace l'industrie automobile. Même le simple débat sur une éventuelle grève à Delphi est déjà en train de secouer General Motors, le plus grand client de Delphi, et d'ajouter aux soucis des investisseurs qui craignent que General Motors ne finisse par suivre Delphi sur la voie de la faillite. Une grève à Delphi pourrait entraîner la fermeture de toutes les usines d'assemblage des autres fabricants, y compris Ford Motor Co. et Toyota Motor Corp, les deux gros clients de Delphi.

L'Anderson Economic Group LLC, une firme de consultants pour l'industrie automobile basée à Lansing, dans le Michigan, a estimé que, selon les hypothèses les plus optimistes, l'impact de la faillite de Delphi pouvait être estimé à 10 milliards de dollars pour la seule année 2007. Ce chiffre comprend les pertes de revenus par les travailleurs et les retraités de Delphi ainsi que l'impact sur les fournisseurs de Delphi. Les contribuables vont perdre près de 4.8 milliards de dollars, compte tenu de la possibilité de non-paiement des retraites. La firme de consultants s'attend à ce que Delphi supprime au moins 12'500 emplois. N'importe lesquelles des 31 usines pourraient être fermées au cours de la restructuration.

Les pertes d'emploi et les fermetures d'entreprises ont sonné l'alarme dans les officines politiques à Washington et ailleurs dans le reste du pays. Le député Thomas M. Reynolds (Républicain, New-York), qui est le représentant de Lockport, a rencontré la secrétaire à l'emploi, Elaine L. Chao, pour discuter des difficultés de Delphi. Le mois dernier, le patron de Delphi, Robert S. Miller Jr., a rencontré un groupe de congressistes pour défendre sa stratégie de restructuration. Il a été convoqué pour une rencontre avec la sénatrice démocrate de New York, Hillary Rodham Clinton. A la suite de cette rencontre, H. R. Clinton a demandé à l'administration Bush de convoquer une réunion au sommet à niveau national sur la crise dans l'industrie automobile. Le Gouverneur du Michigan, Jennifer M. Granhol, démocrate, et les dirigeants de Toyota et Ford ont également cherché à organiser une rencontre nationale pour discuter des initiatives à prendre pour répondre aux problèmes de l'industrie automobile.

Les patrons de l'industrie disent que le problème est simple: à cause de la concurrence globale, les fabricants d'autos américains ne peuvent plus se permettre de payer les salaires, les retraites et la couverture santé que les travailleurs ont obtenus au cours de décennies de luttes syndicales et des succès à la table de négociation à Detroit. Pour réduire les coûts, les équipementiers automobiles ont accéléré les efforts pour réduire les opérations aux Etats-Unis et en Europe occidentale, tout en poursuivant leur expansion au Mexique, en Honduras, aux Philippines, en Inde, en Thaïlande, en Chine et dans les pays d'Europe de l'Est.

"Je suis fière de mon travail"

Les travailleurs de Lockport sont représentés à niveau syndical par United Auto Workers Local 686 [section locale de l'UAW]. Le local syndical, un bâtiment scolaire en brique rouge qui date des années 1890, est un important centre d'activité dans une localité de 22'000 personnes. Récemment, un vendredi soir, un groupe tenait une vente aux enchères au bénéfice de malades mentaux adultes dans la salle à l'étage. En bas, dans le restaurant, les travailleurs de Delphi étaient regroupés autour du bar et aux tables, en profitant du traditionnel moment de détente du vendredi soir autour d'une friture de poisson. Dehors, sur les marches du local, les gens prenaient l'air en petits groupes. Parmi eux il y avait aussi bien des syndiqués que des personnes venues pour la vente aux enchères.

Les personnes venues pour la vente aux enchères expliquaient qu'il y avait peu de possibilités d'emplois à Lockport, et que les salaires versés pour les emplois convenables représentaient moins de la moitié de ce que gagnaient les travailleurs de Delphi. "Ils gagnent trop d'argent", chuchotait un homme de manière à ne pas être entendu des travailleurs de Delphi qui se tenaient à l'autre bout des escaliers.

Mondello, une travailleuse de Delphi, était appuyée contre la porte, avec sa jeune nièce à côté d'elle. Elle vit juste en dehors de Lockport, à la campagne, où c'est un peu plus tranquille. Mondello, une mère travailleuse, habillée en jeans et chandail, les cheveux coupés à la hauteur des épaules, déclara :"J'aime mon travail, je suis fière de mon travail et de mon poste. Je sais qu'il y a beaucoup de gens ici qui le sont aussi". Elle ajouta que son train de vie avait augmenté drastiquement depuis qu'elle avait commencé à travailler à Delphi, il y a 5 ans. Ce Noël, elle va amener sa famille en Arizona pour visiter son fils adolescent, c'est la première fois qu'elle aura pu se permettre un tel voyage. Sa fille reçoit de Delphi une bourse de 1'500 dollars pour financer ses études au Collège d'Etat de Buffalo. Depuis qu'elle a commencé à travailler à l'usine, elle a pu s'acheter 3 voitures, la dernière était sa première voiture neuve. "Je n'avais jamais auparavant pu m'acheter une voiture toute neuve, et je ne vais pas pouvoir le faire si je ne gagne que 9 ou 10 dollars l'heure", dit-elle.

Mondello essaie de garder son calme en ce qui concerne l'avenir, aidée en cela par le fait qu'elle a déjà traversé une situation semblable. De 1994 à 1999, elle travaillait dans une fabrique de lames, avant que cette entreprise ne ferme pour déménager au Sud. Ensuite elle a travaillé en tant qu'assistante de direction dans un magasin à Yellow Goose. Elle se demande si elle perdra à nouveau son emploi suite à la restructuration. Pour le moment elle essaie de continuer à vivre avec le slogan optimiste: "La vie est trop courte pour qu'on s'attarde sur les mauvaises choses".

Un héritage remis en doute

Presque tout le passé de Lockport est étroitement lié à histoire de l'industrialisation américaine, qui a démarré dans cette ville avec l'ouverture du canal d'Erie, ouvert en 1825. Ce canal était le principal projet d'infrastructure du pays de cette époque, et forgea des liens commerciaux entre l'est et l'ouest en connectant le port de New York avec celui de Chicago et d'autres ports des Grands Lacs.

Lockport a reçu son nom des écluses du canal près de Main Street, qui permettent d'élever et abaisser des bateaux le long des deux marches de 25 pieds pour permettre la traversée de la ville. Des industries se sont installées, d'autres sont parties, certaines ont connu un lent dépérissement à mesure que le travail était transféré outremer ou que de nouvelles technologies rendaient obsolètes les anciennes. Aujourd'hui, la section du canal de Lockport est une attraction touristique.

L'usine d'équipements pour les usines de montage d'automobiles de Lockport est née en 1910. La majorité des habitants de la ville l'appellent encore "Harrison's", d'après Herbert Champion Harrison, qui a été le premier à appliquer le système des lignes de montage pour produire en masse et à bas prix depuis les voitures jusqu'à l'équipement.

Aujourd'hui, l'usine de Lockport fait partie de la division des systèmes thermiques et d'intérieur de Delphi. Les travailleurs fabriquent des radiateurs et des condensateurs, des pièces pour les systèmes de climatisation et la conduite qui seront pour la plupart placés sous le tableau de bord. Selon Delphi, 90% des pièces fabriquées à cette usine sont destinées à des véhicules fabriqués par GM. Les autorités locales estiment que les installations attirent quelque 500 millions de dollars par an dans la région de Lockport. 600 compagnies plus petites de la région comptent sur Delphi pour écouler leurs produits.

Delphi a été créée en 1995 comme une division séparée de GM. La nouvelle division a été détachée en tant qu'entreprise indépendante en 1999. Cette manœuvre était censée permettre à GM de se concentrer sur le design et le montage de voitures et de camionnette. Delphi pourrait de son côté se concentrer sur la fabrication de composantes et sur l'obtention de contrats avec d'autres fabricants de voitures. Delphi s'est efforcé de dégager un profit, et a accumulé 5.5 milliards de dollars de pertes depuis 2000, dont 1.5 milliards durant les trois premiers trimestres de cette année.

Miller, le patron de Delphi, dit que les coûts liés aux contrats de travail passés antérieurement ne lui permettent pas de faire face à la concurrence, en particulier lorsque davantage d'équipementiers s'installent dans d'autres continents, dans des pays où le travail est bon marché. Dans un langage très franc, Miller a dit qu'on ne pouvait pas reprocher aux travailleurs de poursuivre le rêve américain. Il a indiqué que les entreprises ont fait des promesses de sécurité de l'emploi, de fonds de pension et de couverture santé, et qu'elles ne peuvent simplement plus se permettre de payer ces frais. "Nous avons tous été pris au piège de situations économiques qui changent rapidement" a-t-il conclu.

A Lockport, la saison des bateaux de plaisance se termine. Les gardiens des écluses vont bientôt les drainer. La semaine passée, Mondello se préparait à travailler un nouveau samedi. A son travail, elle ne voit aucun signe que GM ou Delphi sont en train de réduire la production. GM est en train d'augmenter la production pour une nouvelle ligne de véhicules de sport utilitaires, en utilisant des composantes fabriquées à l'usine de Lockport. Le fait qu'il y ait du travail supplémentaire durant les week-ends rend Mondello et d'autres travailleurs sceptiques lorsque Delphi crie à la faillite. "Il n'y a pas eu de ralentissement", insiste-t-elle.

20 novembre 2005

Ford va supprimer 4000 emplois supplémentaires aux Etats-Unis

Rédigé le 19/11/2005 à 20:23

DETROIT - Le constructeur automobile américain Ford a annoncé qu'il allait supprimer 4000 emplois, y compris dans son personnel cadre, l'an prochain en Amérique du Nord. Ces suppressions s'ajoutent aux 3000 postes éliminés cette année.

L'annonce a été faite vendredi par le président des opérations Ford Amérique, Mark Fields, dans des courriels aux employés. "La direction a commencé à mettre en oeuvre une décision difficile mais nécessaire pour réduire en moyenne de 10 % nos coûts liés aux salaires en Amérique du Nord", a-t-il affirmé.

"Cela affectera tous les services, y compris de la direction, et cela impliquera une réduction des coûts en salaires et achats de services équivalant à environ 4000 emplois", a-t-il précisé.

Ces coupes font partie d'un plan de restructuration du groupe qui avait été annoncé le mois dernier par le patron du groupe, Bill Ford. Ce plan devrait inclure la fermeture de plusieurs usines, qui sera probablement annoncée en janvier 2006.

Ford, comme l'autre grand groupe américain GM, est confronté à une diminution de ses parts de marché et à une nette baisse des ventes. Les automobilistes américains se sont brusquement détournés des véhicules 4x4 très gourmands en carburant en raison notamment de la forte hausse des prix de l'essence.

21 novembre 2005

Cobalt 2006

De : 15 710 $ PDSF*

Aujourd'hui, la différence est à la mode. Mais comment se distinguer dans ce monde où les imitations règnent en force? La réponse est facile : Cobalt. Que ce soit « la louve déguisé en agneau » qu'est la berline Cobalt ou « le roi de la jungle » qu'est le coupé SS suralimenté, la Cobalt de Chevrolet rugit sa différence. Elle offre trois moteurs ECOTEC à la technique incroyablement avancée, dont le moteur ECOTEC de 2 L suralimenté développe 205 HP pour avaler la route. Mais la Cobalt ne sacrifie en rien le confort pour la performance. Jugez-en par les commodités dont elle est dotée : lecteur de CD, direction assistée et glaces teintées, ainsi que toutes les options que vous voulez comme un lecteur MP3, un toit ouvrant électrique et le système OnStar °. Une ligne souple, des matériaux de qualité, une conception soignée et un fini impeccable, la Cobalt va au-delà des attentes d'une compacte. Enfin, un véhicule qui affiche sa différence.

La puissance vous branche? Vous êtes capable d'en prendre? La Cobalt a de la puissance à revendre. Vous pouvez même choisir la puissance qui vous branche parmi les trois moteurs ECOTEC perfectionnés. Que votre choix s'arrête sur l'ECOTEC L4 de 2,2 L, l'ECOTEC L4 WT à ISC ou l'impressionnant ECOTEC L4 de 2 L à ISC suralimenté qui développe 205 HP, vous comprendrez en quelques secondes à quel point la Cobalt est différente.

Personnaliser son véhicule n'a jamais été aussi facile. La Cobalt de Chevrolet offre plusieurs niveaux d'habillage et des quantités d'options pour donner une touche personnelle à votre véhicule. Un exemple? Choisissez un coupé SS et vous profiterez d'une chaîne audio Pioneer avec amplificateur de 228 watts et sept haut-parleurs dont un d'extrêmes graves de 10 po, d'une suspension sport, d'antibrouillards, d'un aileron arrière et d'un embout d'échappement chromé. Vous en voulez plus? Ajoutez-y un toit ouvrant électrique livrable et le système OnStar °. Allez-y. Créez votre propre chef-d'_uvre.

Construite sur une structure de bâti rigide, la Cobalt procure une performance dynamique et une sécurité accrue. Les sacs gonflables à déploiement adapté côtés conducteur et passager avant sont de série et des rideaux gonflables latéraux sont livrables. Chaque Cobalt comporte des points d'ancrage supérieurs et inférieurs pour sièges d'enfant (système LATCH). Et pour avoir l'esprit tranquille, ajoutez-y le système de communication et d'assistance embarqué OnStar °, livrable dans certains modèles, avec le programme Sain et Sauf.

21 novembre 2005

Photoreportaga de la Cobalt 2006

21 novembre 2005

Suite photoreportage Cobalt 2006

22 novembre 2005

General Motors supprime 30.000 emplois

NOUVELOBS.COM | 21.11.05 | 16:06

Le géant de l'automobile va fermer cinq usines en Amérique du Nord d'ici 2008 et supprimer 5.000 emplois de plus que ce qui était prévu.

General Motors, le premier constructeur automobile mondial, a annoncé lundi 21 novembre qu'il allait fermer cinq usines en Amérique du Nord d'ici 2008 et supprimer au total 30.000 emplois, soit 5.000 de plus que le chiffre annoncé précédemment. Rick Wagoner, le PDG de General Motors, a annoncé ses fermetures lors d'un discours devant les employés du siège de la compagnie à Detroit avant l'ouverture des marchés financiers.

"Au total, cinq usines d'assemblage vont cesser leur production d'ici 2008. Oklahoma City au début 2006, Lansing Craft Center à la mi-2006, la chaîne d'assemblage numéro un de Spring Hill à la fin 2006 et Dorval en 2008", a annoncé Rick Wagoner, ajoutant que des chaînes d'assemblage seraient également fermées à Oshua, au Canada, entre la mi-2006 et 2008.

Mettre un terme aux rumeurs

"Avec les plans que je viens de vous annoncer, nous estimons maintenant à un total de 30.000 le nombre des suppressions d'emplois" d'ici 2008, a-t-il encore indiqué. Le magazine Automotive News en citant une source au sein du groupe avait révélé plus tôt que General Motors devait dévoiler cette semaine un projet de fermeture de quatre sites d'assemblage aux Etats-Unis.

La décision vise entre autres à mettre un terme aux rumeurs d'une éventuelle faillite du premier constructeur automobile mondial, qui a perdu près de quatre milliards de dollars cette année.

Chute des ventes de 4X4

Elle "incitera beaucoup de gens à se taire", assure la source contactée par Automotive News.

GM avait promis d'annoncer avant la fin de l'année les modalités de suppression d'au moins 25.000 emplois dans la production, dans le cadre d'une vaste restructuration de ses activités. "C'est soigneusement coordonné avec le syndicat UAW et d'autres organisations pour éviter toute explosion", précise la même source.

Les difficultés de General Motors s'expliquent par la conjonction de plusieurs facteurs: la perte de parts de marché face à la concurrence asiatique, la chute des ventes de 4x4 trop gourmands en essence, la hausse des dépenses de santé et de retraite pour son personnel ou celle des matières premières. Rick Wagoner s'est engagé à fermer progressivement plusieurs usines du groupe et à réduire de près d'un quart la main-d'oeuvre industrielle du groupe aux Etats-Unis d'ici 2008.

En juin dernier, il déclarait que ces projets permettraient à GM d'économiser 2,5 milliards de dollars par an. Mais les analystes s'inquiètent du coût de ces restructurations, certains évaluant jusqu'à deux milliards de dollars les sommes à verser par le constructeur pour financer les départs en pré-retraite ou les primes de reconversion.

22 novembre 2005

Caractéristiques principales de la berline Cobalt

Plus qu'un quatre portes. C'est un véhicule qui se démarque. Découvrez toutes les caractéristiques de série de la berline Cobalt. Voilà la preuve évidente qu'une berline compacte peut dépasser son propre concept.

* Moteur ECOTEC de 2,2 L développant 145 HP avec ISC

* Sacs gonflables avant à déploiement adapté côtés conducteur et passager avant

* Points d'ancrage supérieurs et inférieurs pour sièges d'enfant (système LATCH)

* Système antivol PASS-key

* Suspension à roues avant indépendantes

* Glaces teintées Solar-Ray

* Centralisateur informatique de bord

* Colonne de direction inclinable

* Garantie GM TotalMC de 3 ans / 60 000 km et garantie limitée du groupe motopropulseur de 5 ans / 100 000 km

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La berline LS

La berline Cobalt LS a tout pour plaire :

* Roues de 15 po en acier avec enjoliveurs boulonnés

* Sièges baquets inclinables en tissu

* Radio AM/FM stéréo avec lecteur de CD

* Boîte manuelle 5 vitesses Getrag surmultipliée

* Rétroviseurs extérieurs rabattables manuellement

* Miroir de courtoisie côté passager

* Ouverture électronique du coffre

De : 15 710 $ PDSF*

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La berline LT

Un peu plus de style pour votre berline Cobalt? C'est ce que vous promettent les caractéristiques du LT :

* Roues de 15 po en aluminium

* Climatisation

* Régulateur de vitesse

* Système de freinage antiblocage aux 4 roues (ABS)

* Télédéverrouillage

* Verrouillage automatique des portes à commande électrique

* Rétroviseurs extérieurs à réglage électrique

* Lève-glaces électriques

De : 19 795 $ PDSF*

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La berline LTZ

La berline Cobalt LTZ. Pour ceux qui visent le haut du pavé. Découvrez toutes les caractéristiques offertes :

* Groupe habillage LTZ : comprend poignées de portes extérieures chromées, garnitures de calandre chromées et moulures latérales chromées

* Boîte automatique 4 vitesses

* Roues de 16 po en aluminium fini usiné

* Climatisation

* Régulateur de vitesse

* Système de freinage antiblocage aux 4 roues (ABS)

* Télédéverrouillage

* Éléments contrastants intérieurs en similibois

* Radio AM/FM stéréo avec lecteur de CD, lecteur MP3 et antivol TheftLock

* Volant gainé de cuir avec commandes du système sonore

* Pommeau de levier de vitesse gainé de cuir

* Phares antibrouillard

* Sièges avec éléments de cuir

* Système Sonore Pioneer avec amplificateur de 228 watts, 7 haut-parleurs dont un d'extrêmes graves de 10 po

De : 22 995 $ PDSF*

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Groupe habillage sport de la berline Cobalt LT

* Roues de 16 po en aluminium fini usiné

* Aileron arrière

* Pneus performance toutes saisons

* Carénages sport

* Phares antibrouillard

* Embout d'échappement chromé

* Volant gainé de cuir avec commandes du système sonore

* Pommeau de levier de vitesse gainé de cuir

Équipement de série

-

Extérieur

Poignées de porte – couleur de la carrosserie

Glaces – teintées Solar-Ray

Rétroviseurs – téléréglables, repliables manuellement, noirs

Moulures – latérales, couleur de la carrosserie

Pneus – tourisme P195/60R15 toutes saisons

Roues – de 15 x 6 po en acier, avec enjoliveurs boulonnés

Essuie-glaces – 2 vitesses à balayage intermittent réglable

Intérieur

Système de filtration de l’air – filtre à particules/pollen

Prises de courant auxiliaire – deux, dans la console

Console – au plancher avant avec espace de rangement ouvert, porte-gobelets

Dégivreur – électrique de lunette arrière

Bouches de chauffage – au siège arrière

Instruments de bord – analogiques (indicateurs : vitesse, tachymètre et carburant)

Instruments de bord – centralisateur informatique de bord (comprend 2 compteurs journaliers, vitesse moyenne, autonomie, consommation de carburant, indicateur de vidange d’huile GM, affichage de la température extérieure et fonctions programmables)

Garnitures intérieures contrastantes – gris

Éclairage – plafonnier, entrée/sortie à extinction progressive, s’allume lorsque la clé de contact est retirée, et lampe de coffre

Colonne de direction – inclinable

Pare-soleil – rembourrés, miroir de courtoise côté passager

Ouverture du coffre – à commande électrique

Mécanique

Batterie – ACDelco, avec protection antidécharge

Freins – assistés, à disque avant/tambour arrière

Moteur – L4 ECOTEC de 2,2 L à ISC

Chauffe-moteur

Système d’échappement – en acier inoxydable aluminié

Direction – électrique, assistée en fonction de la vitesse, à crémaillère

Suspension – à roues avant indépendantes/roues arrière semi-indépendantes

Suspension – tourisme

Boîte – manuelle 5 vitesses Getrag à surmultipliée

Sécurité

Sacs gonflables – frontaux, à déploiement adapté côtés conducteur et passager avant, avec capteur de présence côté passager (capteur de présence côte passager non compris pour coupé SS Supercharged)

Verrouillage du levier de vitesses au démarrage (boîte automatique uniquement)

Verrouillage de sécurité pour les enfants – portes arrière (non livrable sur modèles coupé)

Feux et phares – feux de circulation de jour, avec commande automatique

Ancrages inférieurs et supérieurs pour siège d’enfant – aux sièges arrière

Système antivol – PASS-Key III+

Coffre – poignée de sortie d’urgence

Sièges

Baquets avant inclinables, garniture tissu, appuie-tête réglables, hauteur réglable côté conducteur

Repli-siège côté passager avant (non livrable sur modèles berline)

Dossier de siège – arrière, divisé 60/40 et rabattable avec trappe d’accès au coffre

Divertissement

Tous les systèmes sonores des Cobalt comprennent : radio AM/FM stéréo à syntonisation électronique, recherche, balayage, volume autoréglable, préréglages de tonalité, système RDS, montre numérique et système antivol

Radio AM/FM stéréo avec lecteur de disques compacts

Système sonore à 4 haut-parleurs

22 novembre 2005

Caractéristiques principales de la berline Cobalt SS

Nous avons qualifié la nouvelle berline Cobalt de raffinée et puissante. On ne pourrait mieux la décrire. Il suffit de voir la liste des caractéristiques de série pour comprendre pourquoi cette berline se moque de la concurrence.

* Moteur ECOTEC de 2,4 L développant 171 HP à calage variable des soupapes (VVT)

* Freins à disque aux quatre roues avec ABS

* Suspension sport avec amortisseurs monotubes

* Roues de 17 po en aluminium poli

* Aileron arrière

* Système sonore Pioneer avec amplificateur de 228 watts, 7 haut-parleurs dont un d'extrêmes graves de 10 po

* Lecteur de CD compatible MP3

* Volant gainé de cuir avec commandes du système sonore

* Pommeau de levier de vitesse gainé de cuir

* Phares antibrouillard

* Carénage sport avant et arrière

* Climatisation

* Régulateur de vitesse

* Éléments contrastants intérieurs nickel satiné

* Garantie GM TotalMC de 3 ans / 60 000 km et garantie limitée du groupe motopropulseur de 5 ans / 100 000 km

De : 22 195 $ PDSF*

Équipement de série

-

Extérieur

Poignées de porte – couleur de la carrosserie

Glaces – teintées Solar-Ray

Rétroviseurs – téléréglables, repliables manuellement, noirs

Moulures – latérales, couleur de la carrosserie

Pneus – tourisme P195/60R15 toutes saisons

Roues – de 15 x 6 po en acier, avec enjoliveurs boulonnés

Essuie-glaces – 2 vitesses à balayage intermittent réglable

Intérieur

Système de filtration de l’air – filtre à particules/pollen

Prises de courant auxiliaire – deux, dans la console

Console – au plancher avant avec espace de rangement ouvert, porte-gobelets

Dégivreur – électrique de lunette arrière

Bouches de chauffage – au siège arrière

Instruments de bord – analogiques (indicateurs : vitesse, tachymètre et carburant)

Instruments de bord – centralisateur informatique de bord (comprend 2 compteurs journaliers, vitesse moyenne, autonomie, consommation de carburant, indicateur de vidange d’huile GM, affichage de la température extérieure et fonctions programmables)

Garnitures intérieures contrastantes – gris

Éclairage – plafonnier, entrée/sortie à extinction progressive, s’allume lorsque la clé de contact est retirée, et lampe de coffre

Colonne de direction – inclinable

Pare-soleil – rembourrés, miroir de courtoise côté passager

Ouverture du coffre – à commande électrique

Mécanique

Batterie – ACDelco, avec protection antidécharge

Freins – assistés, à disque avant/tambour arrière

Moteur – L4 ECOTEC de 2,2 L à ISC

Chauffe-moteur

Système d’échappement – en acier inoxydable aluminié

Direction – électrique, assistée en fonction de la vitesse, à crémaillère

Suspension – à roues avant indépendantes/roues arrière semi-indépendantes

Suspension – tourisme

Boîte – manuelle 5 vitesses Getrag à surmultipliée

Sécurité

Sacs gonflables – frontaux, à déploiement adapté côtés conducteur et passager avant, avec capteur de présence côté passager (capteur de présence côte passager non compris pour coupé SS Supercharged)

Verrouillage du levier de vitesses au démarrage (boîte automatique uniquement)

Verrouillage de sécurité pour les enfants – portes arrière (non livrable sur modèles coupé)

Feux et phares – feux de circulation de jour, avec commande automatique

Ancrages inférieurs et supérieurs pour siège d’enfant – aux sièges arrière

Système antivol – PASS-Key III+

Coffre – poignée de sortie d’urgence

Sièges

Baquets avant inclinables, garniture tissu, appuie-tête réglables, hauteur réglable côté conducteur

Repli-siège côté passager avant (non livrable sur modèles berline)

Dossier de siège – arrière, divisé 60/40 et rabattable avec trappe d’accès au coffre

Divertissement

Tous les systèmes sonores des Cobalt comprennent : radio AM/FM stéréo à syntonisation électronique, recherche, balayage, volume autoréglable, préréglages de tonalité, système RDS, montre numérique et système antivol

Radio AM/FM stéréo avec lecteur de disques compacts

Système sonore à 4 haut-parleurs

23 novembre 2005

Caractéristiques principales du coupé Cobalt

Retrouvez le plaisir de conduire de petites sportives! Intérieure et extérieure, la conception du coupé Cobalt est tout simplement superbe et vous garantit une expérience de conduite sportive grisante, mais super confortable. Les caractéristiques suivantes vous convaincront :

* Moteur ECOTEC L4 de 2,2 L développant 145 HP à ISC

* Sacs gonflables à déploiement adapté côtés conducteur et passager avant

* Points d'ancrage supérieurs et inférieurs pour sièges d'enfant (système LATCH).

* Antivol PASS Key III+

* Suspension à roues avant indépendantes

* Glaces teintées Solar-Ray

* Centralisateur informatique de bord

* Colonne de direction inclinable

* Ouverture électronique du coffre

* Garantie GM TotalMC de 3 ans / 60 000 km et garantie limitée du groupe motopropulseur de 5 ans / 100 000 km

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Coupé LS

Le coupé Cobalt LS ne laisse rien au hasard avec ces caractéristiques :

* Roues de 15 po en acier avec enjoliveurs boulonnés

* Sièges baquets inclinables en tissu

* Radio AM/FM stéréo avec lecteur de CD

* Boîte manuelle 5 vitesses Getrag surmultipliée

* Rétroviseurs extérieurs rabattables manuellement

* Miroir de courtoisie côté passager

De : 15 710 $ PDSF*

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Coupé LT

Le coupé Cobalt. Mettez-y du style avec les caractéristiques LT :

* Roues de 15 po en aluminium

* Climatisation

* Régulateur de vitesse

* Système de freinage antiblocage aux 4 roues (ABS)

* Télédéverrouillage

* Verrouillage automatique à commande électrique

* Rétroviseurs extérieurs à réglage électrique

* Lève-glaces électriques

De : 19 795 $ PDSF*

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Groupe habillage sport pour le coupé Cobalt LT

* Roues de 16 po en aluminium fini usiné

* Aileron arrière

* Pneus tourisme toutes saisons

* Carénages sport

* Phares antibrouillard

* Embout d'échappement chromé

* Volant gainé de cuir avec commandes du système sonore

* Pommeau de levier de vitesse gainé de cuir

Équipement de série

-

Extérieur

Poignées de porte – couleur de la carrosserie

Glaces – teintées Solar-Ray

Rétroviseurs – téléréglables, repliables manuellement, noirs

Moulures – latérales, couleur de la carrosserie

Pneus – tourisme P195/60R15 toutes saisons

Roues – de 15 x 6 po en acier, avec enjoliveurs boulonnés

Essuie-glaces – 2 vitesses à balayage intermittent réglable

Intérieur

Système de filtration de l’air – filtre à particules/pollen

Prises de courant auxiliaire – deux, dans la console

Console – au plancher avant avec espace de rangement ouvert, porte-gobelets

Dégivreur – électrique de lunette arrière

Bouches de chauffage – au siège arrière

Instruments de bord – analogiques (indicateurs : vitesse, tachymètre et carburant)

Instruments de bord – centralisateur informatique de bord (comprend 2 compteurs journaliers, vitesse moyenne, autonomie, consommation de carburant, indicateur de vidange d’huile GM, affichage de la température extérieure et fonctions programmables)

Garnitures intérieures contrastantes – gris

Éclairage – plafonnier, entrée/sortie à extinction progressive, s’allume lorsque la clé de contact est retirée, et lampe de coffre

Colonne de direction – inclinable

Pare-soleil – rembourrés, miroir de courtoise côté passager

Ouverture du coffre – à commande électrique

Mécanique

Batterie – ACDelco, avec protection antidécharge

Freins – assistés, à disque avant/tambour arrière

Moteur – L4 ECOTEC de 2,2 L à ISC

Chauffe-moteur

Système d’échappement – en acier inoxydable aluminié

Direction – électrique, assistée en fonction de la vitesse, à crémaillère

Suspension – à roues avant indépendantes/roues arrière semi-indépendantes

Suspension – tourisme

Boîte – manuelle 5 vitesses Getrag à surmultipliée

Sécurité

Sacs gonflables – frontaux, à déploiement adapté côtés conducteur et passager avant, avec capteur de présence côté passager (capteur de présence côte passager non compris pour coupé SS Supercharged)

Verrouillage du levier de vitesses au démarrage (boîte automatique uniquement)

Verrouillage de sécurité pour les enfants – portes arrière (non livrable sur modèles coupé)

Feux et phares – feux de circulation de jour, avec commande automatique

Ancrages inférieurs et supérieurs pour siège d’enfant – aux sièges arrière

Système antivol – PASS-Key III+

Coffre – poignée de sortie d’urgence

Sièges

Baquets avant inclinables, garniture tissu, appuie-tête réglables, hauteur réglable côté conducteur

Repli-siège côté passager avant (non livrable sur modèles berline)

Dossier de siège – arrière, divisé 60/40 et rabattable avec trappe d’accès au coffre

Divertissement

Tous les systèmes sonores des Cobalt comprennent : radio AM/FM stéréo à syntonisation électronique, recherche, balayage, volume autoréglable, préréglages de tonalité, système RDS, montre numérique et système antivol

Radio AM/FM stéréo avec lecteur de disques compacts

Système sonore à 4 haut-parleurs

23 novembre 2005

Caractéristiques principales du coupé Cobalt SS

Plus de puissance au bout des doigts et plus de style dans votre vie. Avec le coupé Cobalt SS, vous obtenez beaucoup de plus, sur tous les plans. Il a l'esprit d'aventure d'un coupé d'importation et la générosité d'un Chevrolet. Ses caractéristiques de série vous convaincront :

* Moteur ECOTEC de 2,4 L développant 171 HP à calage variable des soupapes (VVT)

* Freins à disque aux quatre roues avec ABS

* Suspension sport avec amortisseurs monotubes

* Roues de 17 po en aluminium poli

* Aileron arrière

* Système sonore Pioneer avec amplificateur de 228 watts, 7 haut-parleurs dont un d'extrêmes graves de 10 po

* Lecteur de CD compatible MP3

* Volant gainé de cuir avec commandes du système sonore

* Pommeau de levier de vitesse gainé de cuir

* Phares antibrouillard

* Carénages sport avant et arrière

* Climatisation

* Régulateur de vitesse

* Éléments contrastants intérieurs nickel satiné

* Garantie GM TotalMC de 3 ans / 60 000 km et garantie limitée du groupe motopropulseur de 5 ans / 100 000 km

De : 22 195 $ PDSF*

Équipement de série

-

Extérieur

Poignées de porte – couleur de la carrosserie

Glaces – teintées Solar-Ray

Rétroviseurs – téléréglables, repliables manuellement, noirs

Moulures – latérales, couleur de la carrosserie

Pneus – tourisme P195/60R15 toutes saisons

Roues – de 15 x 6 po en acier, avec enjoliveurs boulonnés

Essuie-glaces – 2 vitesses à balayage intermittent réglable

Intérieur

Système de filtration de l’air – filtre à particules/pollen

Prises de courant auxiliaire – deux, dans la console

Console – au plancher avant avec espace de rangement ouvert, porte-gobelets

Dégivreur – électrique de lunette arrière

Bouches de chauffage – au siège arrière

Instruments de bord – analogiques (indicateurs : vitesse, tachymètre et carburant)

Instruments de bord – centralisateur informatique de bord (comprend 2 compteurs journaliers, vitesse moyenne, autonomie, consommation de carburant, indicateur de vidange d’huile GM, affichage de la température extérieure et fonctions programmables)

Garnitures intérieures contrastantes – gris

Éclairage – plafonnier, entrée/sortie à extinction progressive, s’allume lorsque la clé de contact est retirée, et lampe de coffre

Colonne de direction – inclinable

Pare-soleil – rembourrés, miroir de courtoise côté passager

Ouverture du coffre – à commande électrique

Mécanique

Batterie – ACDelco, avec protection antidécharge

Freins – assistés, à disque avant/tambour arrière

Moteur – L4 ECOTEC de 2,2 L à ISC

Chauffe-moteur

Système d’échappement – en acier inoxydable aluminié

Direction – électrique, assistée en fonction de la vitesse, à crémaillère

Suspension – à roues avant indépendantes/roues arrière semi-indépendantes

Suspension – tourisme

Boîte – manuelle 5 vitesses Getrag à surmultipliée

Sécurité

Sacs gonflables – frontaux, à déploiement adapté côtés conducteur et passager avant, avec capteur de présence côté passager (capteur de présence côte passager non compris pour coupé SS Supercharged)

Verrouillage du levier de vitesses au démarrage (boîte automatique uniquement)

Verrouillage de sécurité pour les enfants – portes arrière (non livrable sur modèles coupé)

Feux et phares – feux de circulation de jour, avec commande automatique

Ancrages inférieurs et supérieurs pour siège d’enfant – aux sièges arrière

Système antivol – PASS-Key III+

Coffre – poignée de sortie d’urgence

Sièges

Baquets avant inclinables, garniture tissu, appuie-tête réglables, hauteur réglable côté conducteur

Repli-siège côté passager avant (non livrable sur modèles berline)

Dossier de siège – arrière, divisé 60/40 et rabattable avec trappe d’accès au coffre

Divertissement

Tous les systèmes sonores des Cobalt comprennent : radio AM/FM stéréo à syntonisation électronique, recherche, balayage, volume autoréglable, préréglages de tonalité, système RDS, montre numérique et système antivol

Radio AM/FM stéréo avec lecteur de disques compacts

Système sonore à 4 haut-parleurs

23 novembre 2005

Une adresse utile pour se retrouver avec la gamme Chevrolet.

Chevrolet From Wikipedia, the free encyclopedia.

Chevrolet Cobalt From Wikipedia, the free encyclopedia

24 novembre 2005

Actualité : Chevrolet Captiva : le futur SUV roulera au Diesel

Lors de son changement de nom, Chevrolet Europe nous avait présenté à Paris une étude S3X qui dévoilait les traits d’un futur SUV dans la gamme du constructeur. On connaît maintenant son vrai nom : Captiva. Dans la logique du groupe GM, la plate-forme utilisée devrait être empruntée à la future Opel Antara. Et grande nouvelle, Chevrolet Captiva pourra rouler au gasoil routier…

2 ou 4, 5 ou 7

Le S3X ne manquait pas de charme sur le stand Chevrolet à Paris en 2004. On a du mal à voir à quoi ressemblera vraiment la Captiva étant donné que Chevrolet ne diffuse pour l’instant qu’une seule photo de face. En attendant, l’on sait déjà qu’il sera possible d’opter pour une version 5 places ou pour une version 7 places. Côté mensurations, cela nous donne 4639 mm de long, 1849 mm de large et 1726 mm de haut. La clientèle pourra aussi choisir sa transmission : traction ou quatre roues motrices. Autre première dans la gamme Chevrolet : l’arrivée de l'ESP.

Dans la course

Le SUV compact coréen, qui fera sa première apparition à Genève en mars 2006, pourra faire un malheur car il sera proposé avec un 2 litres turbodiesel à rampe commune de 150 chevaux. Il ne néglige pas l’essence pour autant avec un 4 cylindre de 2,4 litres et un V6 de 3,2 litres. Le bloc Diesel a été développé par GM Daewoo Auto&Technology Company en coopération avec GM Powertrain et VM Motori. Il se confirme aussi que d’autres modèles de la marque recevront des moteurs fonctionnant au gasoil courant 2006. Donc, la Captiva ne sera pas le premier modèle Diesel de la gamme Chevrolet en vente chez nous…

24 novembre 2005

Photoreportage sur le Chevrolet Captiva

24 novembre 2005

Je rappelle que Chevrolet commercialisera des moteurs diesels à partir de mars 2006. Pour cela, un moteur a été développé par la filiale coréenne, GM Powertrain et VM Motori. Une usine de production est en cours de test. La capacité annuelle de cette unité est de 250.000 moteurs par an.

C'est un moteur 2 litre ayant deux variantes. L'un dévellopera 88KW (120ch) et 100KW (150ch).

Ces moteurs sont compatibles euroIV.

La premiére application sera la Captiva de Chevrolet. Le moteur diesel est un obstacle à la vente dans de nombreux pays européens comme la France et la grande bretagne.

25 novembre 2005

Chevrolet Captiva : pensé pour l'Europe

Le nouveau SUV compact de Chevrolet sera lancé chez nous pour l'été 2006

Dévoilé sous la forme d'un prototype au Mondial de l'auto de Paris en 2004, le Captiva ne rencontrera véritablement le grand public qu'au prochain salon de l'auto de Genève, fin février.

Le Captiva va agrandir la famille des concurrents du Toyota Rav-4 et proposera deux ou quatre roues motrices.

Bonne nouvelle, ce sera le premier Chevrolet à proposer une motorisation diesel. Il disposera en effet d’un moteur diesel à injection directe par rampe commune d’une cylindrée de 2.0 litres de 150 chevaux et, autre bonne nouvelle, sera associé à un Filtre à Particules. Deux versions essence (ou bi-carburation GPL) 4 cylindres 2.4l et V6 3.2 seront aussi au catalogue.

Familial, le Captiva offre grâce à ses dimensions (L, l, h : 4 639mm, 1 849mm, 1 726mm) le choix entre une configuration 5 et 7 places.

25 novembre 2005

Avant d'avoir plus de photo sur la Captiva, on peut déja avoir un apercu avec le proto S3X et la version de chez Opel.

http://media.autobild.de/bild/A/7efe91492185a73a7659938c349e110a_1.jpg

http://media.autobild.de/bild/7/d4feb57d781d8376e7338db6b64e4d77_1.jpg

http://media.autobild.de/bild/8/c5a5dee3329e33603d5b580ad71f6ed8_1.jpg

http://www.km77.com/marcas/chevrolet/2006/captiva/gama/gra/01.asp

http://www.km77.com/marcas/chevrolet/2006/captiva/gama/gra/02.asp

http://www.km77.com/marcas/chevrolet/2006/captiva/gama/gra/03.asp

26 novembre 2005

General Motors vend plus de voitures hors des Etats-Unis

DETROIT (Reuters) - General Motors, qui peine à sortir son pôle nord-américain de l'ornière, aura vendu cette année plus de véhicules à l'étranger qu'aux Etats-Unis pour la première fois en près d'un siècle d'existence, déclare son PDG Rick Wagoner à deux quotidiens de Detroit.

Le premier constructeur automobile mondial devrait vendre environ 4,5 millions de véhicules aux Etats-Unis et 4,6 millions à l'étranger, explique Wagoner au quotidien Detroit Free Press. "C'est une tendance qui va changer la physionomie du groupe", note-t-il.

Jusqu'en 2003, GM venait 20% de véhicules de plus sur le marché américain qu'à l'étranger. L'évolution traduit la perte de parts de marché de GM aux Etats-Unis, même s'il est devenu leader sur des marchés à forte croissance comme la Chine.

GM s'est adjugé jusqu'à 50,7% de parts de marché aux Etats-Unis. C'était en 1962. Les analystes estiment que le constructeur terminera l'année avec une part de marché moitié moindre.

Wagoner a annoncé lundi un projet de 30.000 suppressions de postes en Amérique du Nord et la fermeture partielle ou totale de plus d'une dizaine d'usines d'ici trois ans afin d'adapter ses capacités de production à sa part de marché réduite.

GM a perdu quatre milliards de dollars depuis le début de l'année en grande partie à cause de ses activités en Amérique du Nord où il est confronté à des coûts élevés de main-d'oeuvre, de soins médicaux et de prestations sociales.

"Notre sort sera déterminé dans les trois à cinq ans à venir par notre capacité à redresser notre activité aux Etats-Unis et à la rendre profitable", explique Wagnoner à Free Press.

L'action a perdu 2,81% à 22,86 dollars vendredi.

26 novembre 2005

Cet article montre que GM a pris du retard sur Toyota concernant les moteurs hybrides. Dans le projet S3X, l'hybride devait voir le jour. Concrétemnet, quand la Captiva va sortir cette version hybride?

Les ventes de la Toyota Prius décollent

AUTOMOBILE Le constructeur japonais profite de la hausse des prix du pétrole pour imposer sa voiture équipée d'une motorisation hybride.

Elsa Bembaron

[26 novembre 2005]

PLUS DE 500 000 véhicules vendus en huit ans. La performance commerciale de la voiture hybride (mi-essence, mi-électrique) de Toyota peut sembler faible comparée aux 800 000 de la 206 de Peugeot écoulés chaque année depuis quatre ans. Et pourtant la Prius est en passe de devenir un phénomène.

Lancée en 1997, elle a connu des débuts plus que poussifs, peinant à franchir la barre de 20 000 exemplaires commercialisés par an au cours de ses trois premières années de vie. Les ventes ont ensuite très lentement décollé avant de s'envoler en 2005. L'hybride est portée par la hausse des prix du pétrole et par un phénomène de mode. Des stars hollywoodiennes (Cameron Diaz, Leonardo Di Caprio) roulent en Prius. Les ventes de voitures hybrides ont quasiment été multipliées par deux depuis janvier et devraient atteindre 250 000 unités pour l'année entière. En 2010, Toyota espère même vendre 1 million de véhicules par an.

Une gamme complète

Ecologique, le moteur électrique fait rêver. Pour un peu, on en oublierait presque que la Prius roule essentiellement à l'essence. Le mode hybride permet de réduire de 20% la consommation de carburant. «La même économie que celle réalisée avec un Diesel par rapport à un moteur à essence classique», aime à répéter Jean-Martin Folz, le président de PSA Peugeot-Citroën.

Pourtant, les ventes d'hybrides décollent à l'exportation. Depuis le début de l'année et pour la première fois depuis 1997, Toyota a vendu davantage d'hybrides à l'étranger (145 000 unités) qu'au Japon (49 400 unités).

Outre la hausse des prix du pétrole, l'extension de la gamme contribue à soutenir la croissance. Il existe une version hybride de la Camry aux Etats-Unis et le 4 x 4 est devenu «écolo» avec le Lexus RX400 h (la marque haut de gamme de Toyota). En 2006, un nouveau 4 x 4, le Lexus GS 450 heures, viendra grossir l'offre de Toyota, quasiment seul sur son marché.

En effet, la concurrence est timide, voire inexistante. Seul le groupe Honda peut se targuer d'avoir vendu 120 000 véhicules hybrides dans le monde depuis 1999, avec ses trois modèles la Civic IMA, l'Insight et la Honda Accord qui n'est commercialisée qu'aux Etats-Unis. PSA va simplement présenter un moteur hybride-Diesel dans les semaines à venir. Et chez Renault, le président Carlos Ghosn donne le ton : «La technologie hybride n'est pas mûre», a-t-il encore affirmé hier.

27 novembre 2005

Introduction des automobiles Chery remise

Chery, le fabricant d'autos chinois le plus important planifiait son arrivée aux Etats-Unis pour l'année modèle 2007. Avec l'aide de Visionary Vehicles, la compagnie de Malcolm Bricklin, le producteur projetait de vendre 250 000 exemplaires en 2007.

Chery vient d'annoncer que ses plans d'envahir les États-Unis devront être reportés de quelques mois. Sa crainte est que la compagnie aura possiblement plus de difficultés que prévu à convaincre les Américains de se procurer ses véhicules. Bricklin fait allusion au fait que lorsque les Japonaises sont arrivées, personne ne croyait qu'ils allaient demeurer sur le marché. À leurs débuts, les produits japonais n'avaient que deux avantages: ils étaient moins dispendieux et moins gourmands. Les véhicules Chery offriront le même niveau de luxe et de raffinement que les BMW et Lexus mais à un prix inférieur de 30 à 40 %. Les E-U sont le plus gros marché au monde pour l'achat de véhicules neufs. Ils achètent 17 des 70 millions de tout ce qui est assemblé.

En Chine, où GM prend de l'ampleur, la part de marché de Chery continue de croître. Dans la dernière année, elle est passée de 3-4 % à 6-7 %. En ce moment, 10 % des voitures Chery sont exportées. Les projets de la compagnie incluent l'ouverture d'usines d'assemblage en Europe, au Moyen-Orient et en Amérique du Sud.

La compagnie Chery a été mise sur pieds en 1997.

27 novembre 2005

GM et la sécurité

Par Amine MERIEM le 27 novembre 2005

MatizncapPendant que Renault s’amuse à narguer Euro–Ncap en se préoccupant de la sécurité des passages à l’arrière dans ses protocoles de test, chose que ne fait pas encore l’organisme Européen, Chevrolet ne trouve pas mieux que d’obtenir avec sa nouvelle Matiz une note moins élevée que celle qu’avait obtenu sa devancière en 2000.

Chevrolet Matiz a obtenu un score de 17 point (contre 19 en 2000) et trois étoiles dont la troisième barrée, ce qui signifie chez EuroNcap que la troisième lui est contestée car la voiture présente un haut risque d’atteinte à la vie des passagers ; dans le cas de la Matiz c’est sa capacité à absorber les chocs latéraux qui est mise en cause. Ironie du sort, la vieille version de cette voiture s’en était plutôt bien sortie dans ce même test.

Même si les protocoles de test ont été revus en 2004, cette note, la plus mauvaise obtenue par une voiture depuis 2000, nous donne à penser que la sécurité n’a pas été au centre de sa conception.

Rover100Heureusement que les tests Euro-Ncap ne concernent que la sécurité ; nous n’allons pas nous permettre, par ces temps difficiles pour GM, de faire le parallèle avec un autre constructeur qui vivait les mêmes déboires financiers dans les années 90 et dont la citadine avait passé le crash-test avec le même succès ; la Rover 100 avait à l’époque obtenu la plus mauvaise note jamais attribuée par EuroNcap ; neuf ans après, Rover est racheté par un groupe chinois !

27 novembre 2005

AUTOMOBILE : GM compte accroître sa part de marché en Chine en 2006.

"Nous attendons une croissance de 10 à 15% des ventes du secteur et une performance de GM légèrement supérieure, car nous prévoyons d'accroître notre part de marché", a déclaré Kevin Wale le PDG de GM en Chine cité par l’agence Reuters. Selon la même, GM a enregistré une hausse de 27,8% de ses ventes en Chine au cours des neuf premiers mois de l'année, à 472 468 unités soit environ 11% de parts de marché.

COMMERCE : En 2008, la Chine pourrait être la deuxième puissance commerciale au monde.

Dans moins de trois ans, l’Empire du Milieu pourrait supplanter l’Allemagne et devenir la seconde puissance commerciale du monde, selon Gao Hucheng, vice-ministre chinois du Commerce, cité par Chine nouvelle. Le pays pourrait aussi prendre la première place devant les Etats-Unis entre 2015 et 2020, si son commerce extérieur progresse à un rythme de 15 % par an.

Actuellement, d’après Gao, la Chine est numéro un mondial pour la production de 172 articles. Le PIB de la Chine pourra dépasser 15 000 milliards de yuans en 2005, devançant l'Italie, pour se placer en sixième position mondiale.

L'import-export chinois pourra dépasser 1 400 milliards de dollars cette année, une hausse de 20 % en glissement annuel. Les exportations augmenteront de 26 % et les importations de 18 % environ avec un excédent de 90 milliards de dollars.

Future Toy Driver2 · 27 novembre 2005

J'ai eu l'occasion de tester différents modèles de chez Chevrolet lors de voyages aux USA.

La première Chevrolet que j'ai conduite était... une Oldsmobile. Il s'agit de l'Alero, en version "coupé", ou plus exactement 3 portes.

J'ai parcouru à son volant quelques milliers de kilomètres, entre la Nouvelle Orléans et la Californie.

Il s'agissait d'une version équipée du 2.4 de 150 ch, naturellement en BVA.

Malgré la taille de sa carrosserie, l'habitabilité n'est pas la première de ses qualités, surtout à l'arrière. L'intérieur était gris, triste, d'une banalité affligeante. En gros, la voiture bonne à tout faire, mais pas vraiment destinée à l'achat coup de coeur.

La position de conduite se trouvait facilement, et les sièges, comme il se doit dans son grand pays, permettait de longues heures de conduite sans éprouver de fatigue particulière.

Malgré sa cylindrée et ses 150 ch, elle n'était pas bien véloce. Le 4 cylindre était plutôt mou et se mettait à brailler dans les "hauts" régimes, et ce d'autant que la boîte rétrogradait très souvent, dès qu'on demandait à l'auto un peu de reprise. 150ch? Mouais, il faut le dire vite.

La tenue de route était plutôt correcte. La suspension, relativement ferme pour les standards américains, y était pour beaucoup. Malgré celà, elle ne manquait pas de confort sur mauvais revêtement.

Cette voiture a très vite vielli. Après quelques milliers de kilomètres, le voyant "check engine" se mettait à s'allumer sans raison, tandis que la port du côté conducteur ne se fermait plus correctement. Pas très rassurant pour une voiture de moins de 10.000 km. Même s'il s'agissait d'une voiture de location.

Bref, un "déplaçoir", pas plus, banale en tous points. Je ne vois vraiment pas ce qui pouvait pousser un acheteur à la choisir, cette Alero, plutôt qu'un des nombreux modèles concurrents.

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