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Politique

Le Topic du quinquennat E.Macron.


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Le 28/05/2023 à 15:24, typo77 a dit :

Ils n'ont pas d'autre choix que de s'adapter (pour ceux qui sont conservés).

C'est la concurrence qui pousse à la modernisation permanente.

 

c'est le lot de l'humanité depuis qu'elle a découvert le feu

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Le 28/05/2023 à 15:26, zygomard a dit :

 

c'est le lot de l'humanité depuis qu'elle a découvert le feu

Saut qu'il y a encore une cinquantaine d'année, beaucoup exerçaient encore leur métier à peu près comme leur grand-père alors qu'aujourd'hui on ne dépasse pas les 4 ans avant de faire des modifications de fabrication (ce qui entraîne la réindustrialisation de l'entreprise).

 

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Le 28/05/2023 à 15:30, typo77 a dit :

Saut qu'il y a encore une cinquantaine d'année, beaucoup exerçaient encore leur métier à peu près comme leur grand-père alors qu'aujourd'hui on ne dépasse pas les 4 ans avant de faire des modifications de fabrication (ce qui entraîne la réindustrialisation de l'entreprise).

 

pas faux

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Le 28/05/2023 à 15:22, zygomard a dit :

 

je trouve que c'est une bonne logique mais là, comme MVL, on cause d'êtres humains

 

 

Modifié par mvl59
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Le 29/05/2023 à 09:27, zygomard a dit :

 

peut pas y accéder, il m'oblige à l'abonnement :triste:

 

 
 

29/05/2023

Comment Anna est devenue prof   de collège en trente minutes  

Par Sophie Filippi-Paolisfilippipaoli@lavoixdunord.fr
 
Anna Benjamin a été journaliste pendant quatre ans à L’Express où elle était en charge, notamment, des questions d’éducation. PHOTO éDITIONS GOUTTE D’OR
Journaliste, Anna Benjamin est devenue prof d’histoire-géo contractuelle pendant une année scolaire dans un collège privilégié des Hauts-de-France puis dans un établissement en réseau d’éducation prioritaire d’Ile-de-France. Une expérience éprouvante et passionnante qu’elle raconte dans, « Prof », un livre écrit pour « casser les clichés et briser les tabous ».  
  • – Quelle a été votre démarche ?
« Comme journaliste, j’avais une certaine frustration de n’avoir jamais passé plus d’une journée dans un établissement. Et, aussi, deux questions : C’est quoi le quotidien des profs aujourd’hui ? Pourquoi la vocation s’essouffle-t-elle autant ? Après tout était ouvert. Avec ma licence d’histoire, je suis passée par le statut de contractuelle – c’est-à-dire non titulaire – et j’ai envoyé une lettre de motivation et un CV. »
– Vous entretien d’embauche est très court…
« J’ai eu une forme d’entretien d’embauche pour l’Île-de-France de 30 minutes ! Avec des questions hyper basiques, j’étais super surprise. Pour les Hauts-de-France, c’était un peu plus corsé : j’ai eu une mise en situation. Mais bon, cela a duré aussi 30 minutes et, trois jours après, je me suis retrouvée en charge de six classes de collège sans formation, c’est assez vertigineux ! Au début, endosser le costume de prof était hyper stressant. »
– Pourquoi comparez-vous ce métier à un marathon ?
« Parce que c’est très physique ! On enchaîne les heures de cours, on reste debout toute la journée… C’est comme une scène de théâtre avec trente élèves qui vous regardent. C’est très engageant physiquement et intellectuellement. Et les élèves ont toujours des questions inattendues, du genre C’était quel roi pendant la Bête du Gévaudan ? »
– Vous montrez que la question de l’autorité est centrale en classe…
« Cela va être ma difficulté et celle des jeunes professeurs que je vais croiser. Je n’ai pas été formée à la pédagogie qui permet de gérer sa classe. Comme contractuelle, on débarque, on ne connaît pas les élèves. On dit qu’il faut cinq ans pour faire un bon prof, même si certains le sont de manière innée. Moi, ce sont mes collègues qui m’ont formée. Par exemple, c’est grâce à un formateur que j’ai appris que quand deux élèves commencent à se battre, il vaut mieux prendre les carnets et régler ça à la fin du cours. »
– La solidarité que vous décrivez entre enseignants est assez incroyable !
« Oui, mes collègues m’ont beaucoup aidée. Ils m’ont donné leurs cours, une collègue a relu les copies de mes élèves… En fait, ils m’ont formée de manière officieuse. Ils l’ont fait pour moi mais aussi pour les élèves. Et je n’ai rencontré que des profs motivés ! Y compris chez les contractuels, alors qu’ils bossent comme des fous ! »
« On ne se rend pas compte de l’aspect multifacettes »
– Vous prenez l’exemple d’une collègue du Nord qui fait quatre heures de trajet par jour et ne sait pas où elle va être mutée le mois d’après !
« Oui, c’est d’ailleurs elle qui dit qu’elle reste parce qu’elle s’attache trop aux élèves ! En moyenne, un enseignant bosse 43 heures par semaine. Moi, j’étais à au moins 50 heures ! Il y a beaucoup de travail invisible de préparation, notamment. »
– Pourquoi écrivez-vous qu’être prof, c’est aussi être psy, assistant social et flic ?
« On ne se rend pas compte de l’aspect multifacettes de ce métier. On stoppe des bagarres, on fait des rapports… Il faut aussi écouter les élèves qui en ont besoin après les cours et détecter les situations personnelles compliquées. »
– Vous dites qu’il est parfois difficile de rester exigeant avec les élèves. Pourquoi ?
« J’ai fait un mois dans un collège favorisé des Hauts-de-France où les parents préparent déjà les enfants aux grandes écoles et cinq mois en REP + où le rapport à l’école des parents est plus lointain. Mais la vraie difficulté, c’est la différence de niveau au sein même de la classe, avec un élève qui enchaîne les 20 et un autre qui ne sait pas lire le mot quatre. Et tout ça sans formation !
Dans le collège en REP+, les troubles de l’apprentissage n’étaient, en plus, pas forcément diagnostiqués. Parce qu’il n’y avait pas d’orthophoniste dans le quartier et aussi parce que mes jeunes collègues, qui étaient majoritaires, n’étaient pas toujours formés pour repérer ces troubles. C’est difficile de faire de la pédagogie différenciée quand on n’a pas eu de formation ! »
« J’ai écrit ce livre
pour briser des tabous »
– Quelles différences vous ont frappée entre les deux établissements ?
« On se rend compte que la République reste très inégalitaire.
Dans le collège en REP +, il y avait beaucoup de contractuels, de jeunes profs avec un nombre d’élèves par classe en augmentation dans un quartier défavorisé. »
– Vous dénoncez aussi un manque de reconnaissance…
« Oui, à la fois de l’Éducation nationale et de la société. Dans les années 1980, un jeune prof gagnait 2,3 fois le SMIC, aujourd’hui c’est 1,3 fois.
J’ai écrit ce livre pour casser le cliché du prof qui a plein de vacances mais aussi pour briser des tabous.
Cela ne se dit pas donc il fallait que je raconte comment j’ai eu du mal à gérer ma classe, que j’étais épuisée et qu’on peut avoir peur des élèves. »
« Prof. Une journaliste en immersion »,
d’Anna Benjamin, éd. Goutte d’Or, 354 p., 19,50 €.
En moyenne,  un enseignant bosse 43heures par semaine. Moi, j’étais à au moins 50heures! Il y a beaucoup de travail invisible de préparation, notamment.  
 
  • Merci 1
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Le 29/05/2023 à 09:36, mvl59 a dit :

 

 
 

29/05/2023

Comment Anna est devenue prof   de collège en trente minutes  

Par Sophie Filippi-Paolisfilippipaoli@lavoixdunord.fr
 
Anna Benjamin a été journaliste pendant quatre ans à L’Express où elle était en charge, notamment, des questions d’éducation. PHOTO éDITIONS GOUTTE D’OR
Journaliste, Anna Benjamin est devenue prof d’histoire-géo contractuelle pendant une année scolaire dans un collège privilégié des Hauts-de-France puis dans un établissement en réseau d’éducation prioritaire d’Ile-de-France. Une expérience éprouvante et passionnante qu’elle raconte dans, « Prof », un livre écrit pour « casser les clichés et briser les tabous ».  
  • – Quelle a été votre démarche ?
« Comme journaliste, j’avais une certaine frustration de n’avoir jamais passé plus d’une journée dans un établissement. Et, aussi, deux questions : C’est quoi le quotidien des profs aujourd’hui ? Pourquoi la vocation s’essouffle-t-elle autant ? Après tout était ouvert. Avec ma licence d’histoire, je suis passée par le statut de contractuelle – c’est-à-dire non titulaire – et j’ai envoyé une lettre de motivation et un CV. »
– Vous entretien d’embauche est très court…
« J’ai eu une forme d’entretien d’embauche pour l’Île-de-France de 30 minutes ! Avec des questions hyper basiques, j’étais super surprise. Pour les Hauts-de-France, c’était un peu plus corsé : j’ai eu une mise en situation. Mais bon, cela a duré aussi 30 minutes et, trois jours après, je me suis retrouvée en charge de six classes de collège sans formation, c’est assez vertigineux ! Au début, endosser le costume de prof était hyper stressant. »
– Pourquoi comparez-vous ce métier à un marathon ?
« Parce que c’est très physique ! On enchaîne les heures de cours, on reste debout toute la journée… C’est comme une scène de théâtre avec trente élèves qui vous regardent. C’est très engageant physiquement et intellectuellement. Et les élèves ont toujours des questions inattendues, du genre C’était quel roi pendant la Bête du Gévaudan ? »
– Vous montrez que la question de l’autorité est centrale en classe…
« Cela va être ma difficulté et celle des jeunes professeurs que je vais croiser. Je n’ai pas été formée à la pédagogie qui permet de gérer sa classe. Comme contractuelle, on débarque, on ne connaît pas les élèves. On dit qu’il faut cinq ans pour faire un bon prof, même si certains le sont de manière innée. Moi, ce sont mes collègues qui m’ont formée. Par exemple, c’est grâce à un formateur que j’ai appris que quand deux élèves commencent à se battre, il vaut mieux prendre les carnets et régler ça à la fin du cours. »
– La solidarité que vous décrivez entre enseignants est assez incroyable !
« Oui, mes collègues m’ont beaucoup aidée. Ils m’ont donné leurs cours, une collègue a relu les copies de mes élèves… En fait, ils m’ont formée de manière officieuse. Ils l’ont fait pour moi mais aussi pour les élèves. Et je n’ai rencontré que des profs motivés ! Y compris chez les contractuels, alors qu’ils bossent comme des fous ! »
« On ne se rend pas compte de l’aspect multifacettes »
– Vous prenez l’exemple d’une collègue du Nord qui fait quatre heures de trajet par jour et ne sait pas où elle va être mutée le mois d’après !
« Oui, c’est d’ailleurs elle qui dit qu’elle reste parce qu’elle s’attache trop aux élèves ! En moyenne, un enseignant bosse 43 heures par semaine. Moi, j’étais à au moins 50 heures ! Il y a beaucoup de travail invisible de préparation, notamment. »
– Pourquoi écrivez-vous qu’être prof, c’est aussi être psy, assistant social et flic ?
« On ne se rend pas compte de l’aspect multifacettes de ce métier. On stoppe des bagarres, on fait des rapports… Il faut aussi écouter les élèves qui en ont besoin après les cours et détecter les situations personnelles compliquées. »
– Vous dites qu’il est parfois difficile de rester exigeant avec les élèves. Pourquoi ?
« J’ai fait un mois dans un collège favorisé des Hauts-de-France où les parents préparent déjà les enfants aux grandes écoles et cinq mois en REP + où le rapport à l’école des parents est plus lointain. Mais la vraie difficulté, c’est la différence de niveau au sein même de la classe, avec un élève qui enchaîne les 20 et un autre qui ne sait pas lire le mot quatre. Et tout ça sans formation !
Dans le collège en REP+, les troubles de l’apprentissage n’étaient, en plus, pas forcément diagnostiqués. Parce qu’il n’y avait pas d’orthophoniste dans le quartier et aussi parce que mes jeunes collègues, qui étaient majoritaires, n’étaient pas toujours formés pour repérer ces troubles. C’est difficile de faire de la pédagogie différenciée quand on n’a pas eu de formation ! »
« J’ai écrit ce livre
pour briser des tabous »
– Quelles différences vous ont frappée entre les deux établissements ?
« On se rend compte que la République reste très inégalitaire.
Dans le collège en REP +, il y avait beaucoup de contractuels, de jeunes profs avec un nombre d’élèves par classe en augmentation dans un quartier défavorisé. »
– Vous dénoncez aussi un manque de reconnaissance…
« Oui, à la fois de l’Éducation nationale et de la société. Dans les années 1980, un jeune prof gagnait 2,3 fois le SMIC, aujourd’hui c’est 1,3 fois.
J’ai écrit ce livre pour casser le cliché du prof qui a plein de vacances mais aussi pour briser des tabous.
Cela ne se dit pas donc il fallait que je raconte comment j’ai eu du mal à gérer ma classe, que j’étais épuisée et qu’on peut avoir peur des élèves. »
« Prof. Une journaliste en immersion »,
d’Anna Benjamin, éd. Goutte d’Or, 354 p., 19,50 €.
En moyenne,  un enseignant bosse 43heures par semaine. Moi, j’étais à au moins 50heures! Il y a beaucoup de travail invisible de préparation, notamment.  
 

 

et bien voilà, ça c'est un véritable document et bien, je suis à 3 réunions PV et j'ai entendu ce genre de situations mais là, c'est pire et même plus tendu, l'écriture n'est même pas journalistique mais professorale, elle encore dans le bain

 

il y a une chose que j'ai souvent défendu ici car via ma clientèle, j'ai souvent vu ses profs travaillés encore chez eux, elle confirme par son témoignage

 

j'ai vraiment envie de lire ce livre

 

tu as du être touché par ce témoignage

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Le 29/05/2023 à 09:48, zygomard a dit :

tu as du être touché par ce témoignage

Cela me conforte surtout dans l'idée que quand on n'est pas dedans, on ne voit pas les choses de la même façon. Et c'est pareil pour tout les métiers.

Alors les à priori... (petite dédicace à qui se reconnaîtra :jap:)

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Le 29/05/2023 à 09:58, mvl59 a dit :

Cela me conforte surtout dans l'idée que quand on n'est pas dedans, on ne voit pas les choses de la même façon. Et c'est pareil pour tout les métiers.

Alors les à priori... (petite dédicace à qui se reconnaîtra :jap:)

 

en gros, ça fait même peur, j'ai lu aussi un truc qui me chagrine et qui est une preuve du délitement du régalien, c'est la chute du niveau de la rémunération et c'est encore plus flagrant en on se compare à nos voisins

 

ce témoignage m'a énormément touché, j'invite tout le monde à le lire 

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"Supprimons les références aux fêtes religieuses dans notre calendrier républicain". Éric Piolle a suscité la polémique la semaine dernière avec tweet dans lequel il proposait de remplacer les références religieuses par d'autres célébrations ou "fêtes laïques" comme la révolution, l'abolition de l'esclavage ou le combat pour le droit des femmes ou des personnes LGBT. (La Dépêche).

 

Si certains sont élus, on risque de ne plus avoir beaucoup de jours fériés. 😎

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Le 29/05/2023 à 18:10, mvl59 a dit :

"Supprimons les références aux fêtes religieuses dans notre calendrier républicain". Éric Piolle a suscité la polémique la semaine dernière avec tweet dans lequel il proposait de remplacer les références religieuses par d'autres célébrations ou "fêtes laïques" comme la révolution, l'abolition de l'esclavage ou le combat pour le droit des femmes ou des personnes LGBT. (La Dépêche).

 

Si certains sont élus, on risque de ne plus avoir beaucoup de jours fériés. 😎

décivilisation dans ses propos

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Ils ont visiblement un gros besoin de fric en ce moment,

Ne pouvant difficilement augmenter les impôts ils s'attaquent aux prestations sociales

 

Allocations familiales, carte Vitale, retraités à l’étranger… Le gouvernement présente un plan de lutte contre la fraude sociale

 

On se rappelle qu'il y a encore peu de temps les histoires de très vieux retraités vivant en Afrique du nord et touchant des pensions étaient un fake

( Non, il n'y a pas en Algérie un phénomène de "retraités centenaires" touchant une pension française )

 

Mais maintenant de manière étonnante et de la bouche même du gouvernement il parait qu'on en trouve 😆

 

Bercy veut en outre cibler les retraités vivant hors des frontières européennes afin de mieux identifier ceux qui sont morts mais continuent à percevoir des allocations. Cette annonce fait suite à une expérimentation menée depuis septembre en Algérie, au cours de laquelle 300 dossiers de retraités « quasi-centenaires » sur 1 000 dossiers étudiés ont été déclarés non conformes, affirme le ministre, rappelant que plus d’un million de pensions étaient versées à l’étranger, dont la moitié hors d’Europe.

 

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Le 30/05/2023 à 00:08, calypso1376 a dit :

Ils ont visiblement un gros besoin de fric en ce moment,

Ne pouvant difficilement augmenter les impôts ils s'attaquent aux prestations sociales

 

Allocations familiales, carte Vitale, retraités à l’étranger… Le gouvernement présente un plan de lutte contre la fraude sociale

 

On se rappelle qu'il y a encore peu de temps les histoires de très vieux retraités vivant en Afrique du nord et touchant des pensions étaient un fake

( Non, il n'y a pas en Algérie un phénomène de "retraités centenaires" touchant une pension française )

 

Mais maintenant de manière étonnante et de la bouche même du gouvernement il parait qu'on en trouve 😆

 

Bercy veut en outre cibler les retraités vivant hors des frontières européennes afin de mieux identifier ceux qui sont morts mais continuent à percevoir des allocations. Cette annonce fait suite à une expérimentation menée depuis septembre en Algérie, au cours de laquelle 300 dossiers de retraités « quasi-centenaires » sur 1 000 dossiers étudiés ont été déclarés non conformes, affirme le ministre, rappelant que plus d’un million de pensions étaient versées à l’étranger, dont la moitié hors d’Europe.

 

On parle de 300 dossiers. On est loin du phénomène décrit.

 

Et si on s'attaquait aussi à la fraude à la TVA? Mais là ça dérangerait certainement beaucoup plus.

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Tiens! Ce n'est pas un problème typiquement franco macronien.

https://www.dhnet.be/actu/belgique/2023/05/30/le-nombre-de-faillites-explose-en-2023-les-effets-retard-du-covid-et-de-linflation-O4OGFAG5SZAPJJOZH6B5ABJCA4/

Pourquoi regarder ailleurs? Pour comprendre que la conjoncture actuelle n'est pas le seul fait de la politique française. Mais difficile à accepter pour certains.

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Le 30/05/2023 à 00:08, calypso1376 a dit :

Ils ont visiblement un gros besoin de fric en ce moment,

Ne pouvant difficilement augmenter les impôts ils s'attaquent aux prestations sociales

 

Allocations familiales, carte Vitale, retraités à l’étranger… Le gouvernement présente un plan de lutte contre la fraude sociale

 

On se rappelle qu'il y a encore peu de temps les histoires de très vieux retraités vivant en Afrique du nord et touchant des pensions étaient un fake

( Non, il n'y a pas en Algérie un phénomène de "retraités centenaires" touchant une pension française )

 

Mais maintenant de manière étonnante et de la bouche même du gouvernement il parait qu'on en trouve 😆

 

Bercy veut en outre cibler les retraités vivant hors des frontières européennes afin de mieux identifier ceux qui sont morts mais continuent à percevoir des allocations. Cette annonce fait suite à une expérimentation menée depuis septembre en Algérie, au cours de laquelle 300 dossiers de retraités « quasi-centenaires » sur 1 000 dossiers étudiés ont été déclarés non conformes, affirme le ministre, rappelant que plus d’un million de pensions étaient versées à l’étranger, dont la moitié hors d’Europe.

 

moi ce que je vois  avec mon entreprise de vente de matériaux de construction..

c'est que les artisans sont à la ramasse et achetent peu..

heuresement j'ai les particuliers..

eux je leur fait pas les 35% de remises artisan..

la verité vous le savez pas mal de boites vont crever..

que ce soit dans l'automobile et le batiment...  et la plus de rentrées fiscales..

à votre avis macron va trouver ou le pognon?

chez les particuliers attendez vous à une hausse de 20 à 50% sur la taxe fonciere...

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Le 29/05/2023 à 18:10, mvl59 a dit :

"Supprimons les références aux fêtes religieuses dans notre calendrier républicain". Éric Piolle a suscité la polémique la semaine dernière avec tweet dans lequel il proposait de remplacer les références religieuses par d'autres célébrations ou "fêtes laïques" comme la révolution, l'abolition de l'esclavage ou le combat pour le droit des femmes ou des personnes LGBT. (La Dépêche).

 

Si certains sont élus, on risque de ne plus avoir beaucoup de jours fériés. 😎

Si les gens élisent des débiles mentaux , ils n'auront qu' à s'en prendre à eux mêmes . :jap:

  • J'aime 2
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Le 29/05/2023 à 10:13, zygomard a dit :

 

en gros, ça fait même peur, j'ai lu aussi un truc qui me chagrine et qui est une preuve du délitement du régalien, c'est la chute du niveau de la rémunération et c'est encore plus flagrant en on se compare à nos voisins

 

ce témoignage m'a énormément touché, j'invite tout le monde à le lire 

les profs veulent rien foutre sarko voulait leur filer 500 roros en échange de  4 heures de plus passer de 18h à 22h..

sinon cette prof  faut arrete de mentir..

vu son niveau de recrutement c'est vrai que la premeire année  elle a du bosser... et faire 40 heures par semaine pour préparer ses cours..

et souvent  s'investir..

on s'investi quand on fait un nouveau métier..

mais  aprés 2 ou 3 ans  elle fait comme les copines...  allez 25 heures par semaine  preparation comprise..

correction des copies pendant les interros des autres classe...

et surtout à la prérentrée négocier  avec le proviseur pour avoir les bons horaires..

pas bosser le vendredi...  ou le mercredi!!

mes gamins avaient toujours des trous énormes le vendredi.. genre un cours mis entre 4 et 5.. le soir..

bref un emploi du temps pour les profs et pas pour les éleves!!!

 

en gros les gvt ont tout laché aux profs!!

je me rappelle sego qui voulait que les profs fassent 35 h ..  et  soient obligés de faire leur préparation de cours au collége..

donc en gros  faire.. 18h +  17 de présence...

tollé général..

çà veut dire quoi??

c'est qu'ils font pas  45 heures par semaine..

sinon ils accepteraient!! de n'&voir que 35 h à faire au collége!!!

  • Triste 1
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Le 30/05/2023 à 09:20, Lascarinho34 a dit :

Si les gens élisent des débiles mentaux , ils n'auront qu' à s'en prendre à eux mêmes . :jap:

non ce ne sot pas des débilos... non ils appliquent  la politique que leur dictent leur maitres...

vous inquiétez 10% de français sont de plus ne plus riche...

 

macron travaille pour lui en ce moment... il peut pas se représenter..

il sera recasé  et ses maitres  le payent  des millions d'euros  pour le remercier pour service rendus..

le grand  capital vous veut pauvres.. à pince et locataire toute votre vie..

avec une immigration massive pour faire baisser vos salaires..

vous n'aurez plus rien et vous serez heureux...

 

les cocos et les écolos sont leur complices car eux aussi vous veulent à pince et locataire!!

la proprieté individuelle c'est mal!!!

d'ou les normes de construction écolos hors de prix..

la fin de la maison individuelle qui détruit les terrres agricoles... etc..

la fin de la voiture polluante!!

etc..

 

la classe moyenne doit comprendre cela sinon ce sera le grand déclassement et le grand remplacement...

si elle ne veut pas devenir pauvre et locataire à vie ..

elle doit voter à droite toute!!

  • Triste 1
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Le 30/05/2023 à 09:28, gignac-31 a dit :

les profs veulent rien foutre sarko voulait leur filer 500 roros en échange de  4 heures de plus passer de 18h à 22h..

sinon cette prof  faut arrete de mentir..

vu son niveau de recrutement c'est vrai que la premeire année  elle a du bosser... et faire 40 heures par semaine pour préparer ses cours..

et souvent  s'investir..

on s'investi quand on fait un nouveau métier..

mais  aprés 2 ou 3 ans  elle fait comme les copines...  allez 25 heures par semaine  preparation comprise..

correction des copies pendant les interros des autres classe...

et surtout à la prérentrée négocier  avec le proviseur pour avoir les bons horaires..

pas bosser le vendredi...  ou le mercredi!!

mes gamins avaient toujours des trous énormes le vendredi.. genre un cours mis entre 4 et 5.. le soir..

bref un emploi du temps pour les profs et pas pour les éleves!!!

 

en gros les gvt ont tout laché aux profs!!

je me rappelle sego qui voulait que les profs fassent 35 h ..  et  soient obligés de faire leur préparation de cours au collége..

donc en gros  faire.. 18h +  17 de présence...

tollé général..

çà veut dire quoi??

c'est qu'ils font pas  45 heures par semaine..

sinon ils accepteraient!! de n'&voir que 35 h à faire au collége!!!

Du moment que toi tu sais de quoi tu parles. :jap:

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Le 30/05/2023 à 08:14, mvl59 a dit :

On parle de 300 dossiers. On est loin du phénomène décrit.

 

Et si on s'attaquait aussi à la fraude à la TVA? Mais là ça dérangerait certainement beaucoup plus.

 

on en parle, avant, c'était totalement et même ici, on se faisait traiter d'extrême droite, c'est dire le niveau de panique qui régit l'état en ce moment

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Le 29/05/2023 à 18:10, mvl59 a dit :

"Supprimons les références aux fêtes religieuses dans notre calendrier républicain". Éric Piolle a suscité la polémique la semaine dernière avec tweet dans lequel il proposait de remplacer les références religieuses par d'autres célébrations ou "fêtes laïques" comme la révolution, l'abolition de l'esclavage ou le combat pour le droit des femmes ou des personnes LGBT. (La Dépêche).

 

Si certains sont élus, on risque de ne plus avoir beaucoup de jours fériés. 😎

Pourquoi pas revenir au calendrier révolutionnaire pendant qu'on y est?

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Le 30/05/2023 à 11:13, laurent du doubs a dit :

délire,

à quel moment il est question du FN?.

Bassin minier, terre de lutte. A l'époque de l'activité minière, toutes ces communes étaient communistes ou socialistes. Maintenant elles sont presque toutes RN.

C'est à cette expression que je réagis.

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Le 30/05/2023 à 11:17, mvl59 a dit :

Bassin minier, terre de lutte. A l'époque de l'activité minière, toutes ces communes étaient communistes ou socialistes. Maintenant elles sont presque toutes RN.

C'est à cette expression que je réagis.

il était question d'une visite mouvementée,comme l'article suivant nous parle aussi du bassin minier👀

https://www.francetvinfo.fr/politique/front-national/propos-d-elisabeth-borne-sur-le-rn-evidemment-lorsque-l-on-regarde-l-histoire-du-rn-on-a-des-affinites-avec-petain-estime-yael-braun-pivet_5856323.html

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Le 30/05/2023 à 11:53, laurent du doubs a dit :

Gros problème de brume sur le topic ce matin :w 

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Le 30/05/2023 à 11:55, cliocampus a dit :

Gros problème de brume sur le topic ce matin :w 

Ne t'inquiète pas, tu vas t'en remettre. Je compte sur ta mauvaise foi.

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Le 30/05/2023 à 11:56, mvl59 a dit :

Ne t'inquiète pas, tu vas t'en remettre. Je compte sur ta mauvaise foi.

Tu sembles bien  seul à ne pas rencontrer de problème de brume ce matin , transmets nous vite ton secret :w 

Modifié par cliocampus
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251.500 euros détournés

 

La semaine dernière, la Cour des comptes estimait à 8 milliards d’euros la fraude aux prestations sociales en France. Si les exemples de fraude relevés par les experts sont nombreux, difficile d’imaginer le ministre en exercice d’un gouvernement étranger détourner des centaines de milliers d’euros. Et pourtant, les conclusions de l’enquête visant Dhoihir Dhoulkamal et son épouse semblent indiquer que le ministre des Affaires étrangères comorien serait l’auteur d’une fraude sociale massive. Les investigations, lancées à la suite des révélations du Journal de l’île de La Réunion en octobre 2020, indiquent ainsi que Dhoihir Dhoulkamal et son épouse étaient notamment bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) et de la couverture médicale universelle (CMU). Il leur est aussi reproché d’avoir perçu de façon indue d’autres prestations sociales, dont les allocations familiales, l’allocation logement, la prime de rentrée scolaire ou la prime de Noël. Selon les enquêteurs, le couple aurait détourné, au total, 251.500 euros. Un montant qui ne prend en compte que les années 2015-2022, du fait de la prescription. Mais en 2020, le Journal de l’île de La Réunion estimait que « depuis au moins 2010, le ministre comorien des Affaires étrangères escroque l’État français ». La fraude pourrait donc être bien plus importante.

Un ministre bénéficiant de la CMU

Pour parvenir à ses fins, Dhoihir Dhoulkamal, qui a obtenu la double nationalité franco-comorienne au début des années 2020 et dont la femme réside à La Réunion, aurait dissimulé ses revenus. Un rapport d’enquête, consulté par Le Monde, >explique ainsi que « les revenus et avantages [du couple] n’ont jamais été déclarés à la CAF de La Réunion ». De plus, « les déclarations trimestrielles ainsi que les différentes demandes de prestations mentionnent une absence d’activité ainsi que des revenus nuls ». Ceci, alors que Dhoihir Dhoulkamal, ministre depuis septembre 2020, a été conseiller spécial du gouverneur d’Anjouan [île des Comores, NDLR] avant de siéger à l’Assemblée. De son côté, Mme Dhoulkamal a reçu 20.000 euros d’une tierce personne en 2017 et 2018. Le couple a également omis de déclarer les revenus de deux de ses trois enfants à charge. Enfin, pour créer encore plus de confusion sur leur dossier, ils auraient fourni des états civils et numéros de Sécurité sociale incohérents.

 

https://www.bvoltaire.fr/fraude-sociale-le-ministre-des-comores-recu-a-lelysee-percoit-le-rsa/

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