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Politique

Le Topic du quinquennat E.Macron.


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[h1]La curieuse idée d'une élue LREM pour continuer à faire tourner sa société de tourisme[/h1]7 sept. 2017, 23:56

 

59b24452488c7b2d248b4567.jpg© JEAN-FRANCOIS MONIER Source: AFP

Pascale Fontenel-Personne alors candidate LREM en mai 2017

 

 

 

Une députée LREM, par ailleurs co-gérante d'une société de voyages touristiques pour seniors, se défend d'avoir profité de son statut pour proposer à ses clients de visiter l'Assemblée nationale en sa compagnie... pour la somme de 119 euros.

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Qui est-ce qui paye cela ?

Quand ils ont été crées , les critiques ont plu a grosse gouttes et maintenant que Macron veut les diminuer , les

mêmes qui ont critiqué la première mesure , critiquent la deuxième , faudrait savoir .

 

 

Ce genre de réaction t'étonne en France? :D

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Invité §fre006jY

C'est vrai qu'il n'y a que des intellectuels qui votent FI . adrig.gif.c537491ec5e4a4556a05426260f72f94.gif

 

les intellos votent écolos c'est bien connu :oui:

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Pour le mieux , l'avenir proche nous le dira . :o

 

Non non non, les chiffres du déficit arrêté au 31 juillet, c'est SA faute, ça faisait au moins trois mois qu'il était aux manettes, oh, tu te rends compte, TROIS MOIS? :buzz:

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Invité §fra155Ms

 

il était en Grèce hier , il a fait son show habituel comme quoi il veut refonder l'Europe changer l'image du monde ....

il n'a pas évoqué par contre les centaines de milliers d'emplois aidés qu'il s'apprête à jeter à la rue dans son propre pays, surement un oubli :(

 

 

 

Pour l'instant il ne fait pas mieux que son prédécesseur ...............

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Non non non, les chiffres du déficit arrêté au 31 juillet, c'est SA faute, ça faisait au moins trois mois qu'il était aux manettes, oh, tu te rends compte, TROIS MOIS? :buzz:

 

 

Faux. Il était aux manettes de l'économie jusqu'en août 2016

 

Ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique

26 août 201430 août 2016

(2 ans et 4 jours)

et principal conseiller de Hollande concernant l'économie

 

Secrétaire général adjoint du cabinet du président de la République françaisea

15 mai 201215 juillet 2014

 

soit 4 ans

 

c'est SON bilan.

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Faux. Il était aux manettes de l'économie jusqu'en août 2016

 

Ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique

26 août 201430 août 2016

(2 ans et 4 jours)

et principal conseiller de Hollande concernant l'économie

 

Secrétaire général adjoint du cabinet du président de la République françaisea

15 mai 201215 juillet 2014

 

soit 4 ans

 

c'est SON bilan.

 

Et on sait bien sûr qu'il a pu faire tout ce qu'il voulait quand il était ministre, que Hollande ne s'est jamais opposé à rien en lui laissant les coudées franches, c'est d'ailleurs certainement pourt ça que Macron lui a claqué la porte à la gueule et que depuis il modifie sévèrement la législation du travail par exemple. :buzz:

 

 

Putain, la vie est si simple chez les bisounours du FN, en politique comme en météorologie on va vraiment arrêter de discuter... :w:

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Invité §tof755tt

 

Faux. Il était aux manettes de l'économie jusqu'en août 2016

 

Ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique

26 août 201430 août 2016

(2 ans et 4 jours)

et principal conseiller de Hollande concernant l'économie

 

Secrétaire général adjoint du cabinet du président de la République françaisea

15 mai 201215 juillet 2014

 

soit 4 ans

 

c'est SON bilan.

 

Et? Le portefeuille de l'économie était dissocié de celui du budget, non? Sapin servait à quoi sinon??

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Et on sait bien sûr qu'il a pu faire tout ce qu'il voulait quand il était ministre, que Hollande ne s'est jamais opposé à rien en lui laissant les coudées franches, c'est d'ailleurs certainement pourt ça que Macron lui a claqué la porte à la gueule et que depuis il modifie sévèrement la législation du travail par exemple. :buzz:

 

 

Putain, la vie est si simple chez les bisounours du FN, en politique comme en météorologie on va vraiment arrêter de discuter... :w:

 

 

Ouais c'est ça, on voit nettement la rupture entre Hollande et Macron :W

On est sous le régime macronien ultra européeiste depuis que Montebourg a été viré hein.

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Et? Le portefeuille de l'économie était dissocié de celui du budget, non? Sapin servait à quoi sinon??

 

 

Sapin a dit à Varoufakis qu'il ne servait à rien, que tout se décidait à Bruxelles ...

d'ailleurs Macron va acter cet état de fait : le budget de la france sera défini par des technocrates de Bruxelles.

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Invité §Jes257LV

Si c'est via un média d'une portée à diffusion significative, tu pourrais oui ;)

 

Fesse Bouc, mais je doute très fort que ma plainte sois retenue anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

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Moralisation : la réserve ministérielle sauvée in extremis

 

Prévue par les projets de loi rétablissant la confiance dans l’action publique et voulue par le gouvernement, la suppression de la réserve ministérielle a été censurée par le Conseil constitutionnel, vendredi 8 septembre.

La fin de la réserve parlementaire est quant à elle validée.

 

https://www.acteurspublics.com/2017/09/08/moralisation-la-reserve-ministerielle-sauvee-in-extremis

On ne peut pas tout accepter quand même... 857533436.gif

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Moralisation : la réserve ministérielle sauvée in extremis

 

Prévue par les projets de loi rétablissant la confiance dans l’action publique et voulue par le gouvernement, la suppression de la réserve ministérielle a été censurée par le Conseil constitutionnel, vendredi 8 septembre.

La fin de la réserve parlementaire est quant à elle validée.

 

https://www.acteurspublics.com/2017/09/08/moralisation-la-reserve-ministerielle-sauvee-in-extremis

On ne peut pas tout accepter quand même... https://imgfast.net/users/3615 [...] 533436.gif

 

 

Deux poids, deux mesure... 129069364_enduratd90.gif.7514a60ee5f10f835602225377547c2b.gif

 

 

cvieri59.gif.ca1b660c66c56d94f3893e97bffa4750.gif

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Invité §Jes257LV

[h1]Réformes: Macron ne veut rien céder "ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes" anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif [/h1]

[h2]Le président de la République a, à nouveau, estimé que la France n'était pas "un pays qui se réforme". Vendredi soir, l'Elysée a tenté de clarifier son terme "fainéants", afin de désamorcer la polémique.[/h2]

 

 

En déplacement à Athènes ce vendredi, Emmanuel Macron a assumé ses propos polémiques tenus fin août sur les difficultés à réformer la France. S'exprimant devant la communauté française à l'école française d'Athènes, le Président faisait référence à ses déclarations du 24 août à Bucarest. Il avait alors déclaré: "La France n'est pas réformable" et "les Français détestent les réformes."

"Je l'ai souvent dit et je le disais il y a quelques semaines en Roumanie. D'aucuns faisaient semblant de découvrir cette forme de provocation que j'assume. La France n'est pas un pays qui se réforme", a-t-il déclaré au second jour de sa visite d'Etat en Grèce. "Il ne se réforme pas (...) parce qu'on se cabre, on résiste, on contourne. Nous sommes ainsi faits", a-t-il martelé.[h3]Fini les réformes, place aux "transformations"[/h3]

Pour Emmanuel Macron, citant notamment sa politique en matière du droit du travail, l'heure n'est de toutes façons plus aux réformes, "mais à une transformation profonde" de la France, "Nous allons le faire sans brutalité, avec calme, avec explication, avec sens", a-t-il ajouté.

"Je serai d'une détermination absolue et je ne céderai rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes. Et je vous demande d'avoir, chaque jour, la même détermination", a conclu le président français en s'adressant à ses concitoyens réunis dans le jardin de l'école française.[h3]Mélenchon répond, l'Elysée panique[/h3]

Des déclarations qui sonnent comme un avertissement avant une série de manifestations contre la réforme du code du travail. La CGT appelle à la mobilisation le 12 septembre et la France insoumise le 23. Ce vendredi, le syndicat dirigé par Philippe Martinez a annoncé qu'il prévoyait une journée de mobilisation supplémentaire entre ces deux dates, le 21 septembre. Les propos du président ont d'ailleurs fait réagir Jean-Luc Mélenchon.

En avant, marche ou crève anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif
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Invité §Jes257LV

Le roitelet va faire fonctionner en place publique la guillotine travail pour les français,la révolution est en marche.. anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

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Invité §Jes257LV

 

Les fainéants sont ceux qui ne peuvent se payer un costard... :jap:

 

amel_the_white.gif.06df354384975196f3903007ec6ce7c1.gif

Peut-être qu'il parle des nantis qui exigent des rentabilités de mafieux aux salariés diablo591.gif.25bfaed529f73ab2f04a8fd685dce497.gif

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Invité §Jes257LV

Dommage qu'il n'y ait pas une commission de l'attaque à l'assemblée

 

Il aurait pu envisager le poste de président de la commission

 

.

:lol:

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Invité §Jes257LV

[h1]"Président raté", "ego démesuré": une tribune du New York Times assassine Macron[/h1][h2]Dans une tribune, le prestigieux quotidien américain attribue la chute de popularité du président français au "macronisme": cette manie du chef de l'Etat de concentrer sa politique autour de sa personne. Le New York Times met également en doute la pertinence de sa politique économique.[/h2]

 

 

Le 9 mai, au lendemain de la victoire d'Emmanuel Macron à la présidentielle, la presse internationale poussait un soupir de soulagement. Marine Le Pen avait été battue, et pour beaucoup, l'élection d'Emmanuel Macron était de bonne augure. Aux Etats-Unis, le New York Times y voyait notamment "un nouvel espoir pour l'Europe". Quatre mois plus tard, presque jour pour jour, le ton a bien changé.

De ce côté de l'Atlantique, la popularité du chef de l'Etat s'effrite, forçant nos voisins à s'interroger sur les raisons de ce désamour. C'est ce que fait le New York Times. Dans une tribune publiée ce jeudi, Chris Bickerton, qui enseigne la politique européenne à l'université de Cambridge, assassine le président français et sa politique.[h3]"Son projet politique est trop centré sur sa personnalité"[/h3]

"Emmanuel Macron will be yet another failed french president", titre le quotidien américain, estimant qu'après tout, Emmanuel Macron sera lui aussi un "président français qui a échoué". Le Times rappelle tout d'abord qu'il bénéficie toujours d'une certaine aura à l'étranger, notamment parce qu'il a redonné un coup de jeune à la diplomatie française "en tenant tête à Donald Trump et à Vladimir Poutine". "En France, c'est une toute autre histoire", relève le quotidien, citant les mauvais chiffres du Président dans les derniers sondages. Et il attribue sa chute de popularité au "macronisme".

 

"Son projet politique entier est bien trop concentré sur sa personnalité. Son attrait vient essentiellement de sa jeunesse, de son dynamisme, de son allure et de ses qualités oratoires", estime le New York Times. "Cette approche hyper-personnalisée comporte toujours le risque qu'une fois le charme rompu, il ne reste rien à ses soutiens pour l'apprécier, ce qui est exactement en train de se passer", poursuit le journal, qui évoque notamment l'épisode du Congrès de Versailles et son impact sur les Français, "irrités par ses accents monarchiques".

"Son attitude arrogante à l'égard du pouvoir a détruit l'image anti-establishment qu'Emmanuel Macron a cultivé durant sa campagne", estime aussi l'auteur.[h3]Ego démesuré et vide politique[/h3]

Avant la présidentielle, Emmanuel Macron et son projet avaient parfois été qualifiés de "bulle". Le quotidien américain ne fait pas un constat moins sévère quatre mois après l'élection et estime que le "vide de son projet politique" est en train de se découvrir. Chris Bickerton se montre en particulier sceptique sur la réforme du code du travail menée par l'exécutif et, de manière plus générale, par la politique économique du Président.

"Toute baisse continue du chômage en France serait la bienvenue, mais l'expérience d'autres pays suggère que cela impliquerait de nouvelles formes d'inégalité. En Allemagne, la réforme du marché du travail a mené à la prolifération de "mini-jobs", un travail à temps partiel peu régulé et qui a pris la place du travail à temps plein dans certains secteurs", analyse le quotidien, qui cite aussi l'exemple britannique.

Pour Chris Bickerton, "la politique économique d'Emmanuel Macron favorise les employeurs par rapport aux salariés et ébrèche ce qui reste de l'Etat-providence français". Reprochant au président français son "ego démesuré", il lui reconnaît cependant le mérite d'avoir profondément et pour longtemps renversé un paysage politique moribond. Mais sa conclusion est tout aussi sévère que son analyse:

"Emmanuel Macron est toujours l'enfant chéri de l'élite libérale mondiale, mais son impopularité grandissante nous donne une meilleure image de ce qu'il a à offrir."

"Son projet politique entier est bien trop concentré sur sa personnalité. Son attrait vient essentiellement de sa jeunesse, de son dynamisme, de son allure et de ses qualités oratoires", estime le New York Times. "Cette approche hyper-personnalisée comporte toujours le risque qu'une fois le charme rompu, il ne reste rien à ses soutiens pour l'apprécier, ce qui est exactement en train de se passer", poursuit le journal, qui évoque notamment l'épisode du Congrès de Versailles et son impact sur les Français, "irrités par ses accents monarchiques".

"Son attitude arrogante à l'égard du pouvoir a détruit l'image anti-establishment qu'Emmanuel Macron a cultivé durant sa campagne", estime aussi l'auteur.[h3]Ego démesuré et vide politique[/h3]

Avant la présidentielle, Emmanuel Macron et son projet avaient parfois été qualifiés de "bulle". Le quotidien américain ne fait pas un constat moins sévère quatre mois après l'élection et estime que le "vide de son projet politique" est en train de se découvrir. Chris Bickerton se montre en particulier sceptique sur la réforme du code du travail menée par l'exécutif et, de manière plus générale, par la politique économique du Président.

"Toute baisse continue du chômage en France serait la bienvenue, mais l'expérience d'autres pays suggère que cela impliquerait de nouvelles formes d'inégalité. En Allemagne, la réforme du marché du travail a mené à la prolifération de "mini-jobs", un travail à temps partiel peu régulé et qui a pris la place du travail à temps plein dans certains secteurs", analyse le quotidien, qui cite aussi l'exemple britannique.

Pour Chris Bickerton, "la politique économique d'Emmanuel Macron favorise les employeurs par rapport aux salariés et ébrèche ce qui reste de l'Etat-providence français". Reprochant au président français son "ego démesuré", il lui reconnaît cependant le mérite d'avoir profondément et pour longtemps renversé un paysage politique moribond. Mais sa conclusion est tout aussi sévère que son analyse:

"Emmanuel Macron est toujours l'enfant chéri de l'élite libérale mondiale, mais son impopularité grandissante nous donne une meilleure image de ce qu'il a à offrir."

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