Aller au contenu
Logo Caradisiac      

Téléchargez nos application

Disponible sur App Store Disponible sur Google play
Publi info
Société

Pédophiles d'Angers: 66 accusés devant les assises


Invité §Zir680wn

Messages recommandés

Invité §Zir680wn

Un pédophile français résidant en Belgique avoue six meurtres

 

BRUXELLES (Reuters) - Michel Fourniret, un pédophile français résidant en Belgique, a avoué six meurtres d'enfants, replongeant la Belgique dans une nouvelle affaire Dutroux, annonce la télévision belge RTBF.

 

L'épouse de ce forestier de 62 ans arrêté en juin 2003 après l'enlèvement d'une jeune fille dans le sud de la Belgique, avait fait des révélations la semaine dernière en accusant son mari d'une série d'enlèvements, de viols et de meurtres.[/quotemsg]

http://fr.news.yahoo.com/040630/85/3y0h7.html

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 210
  • Créé
  • Dernière réponse
Invité §K -441ty

Il serait impliqué dans la disparition d'Estelle Mougin

 

Putain :(

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §kaz086tA

Pendant 14 ans sa femme n'a rien dis, ça fait d'elle une complice.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Pec174wQ

En plus il avait déjà été condamné pour viol sur mineur, elle le savait ça. Franchement en temps que femme je ne comprends pas du tout ça : ton mec est un violeur d'enfant, tu le sais, tu tombes quand même amoureuse de lui, ensuite il recommence, tu le sais aussi et tu dis rien ????!! :eek:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §K -441ty

En plus il avait déjà été condamné pour viol sur mineur, elle le savait ça. Franchement en temps que femme je ne comprends pas du tout ça : ton mec est un violeur d'enfant, tu le sais, tu tombes quand même amoureuse de lui, ensuite il recommence, tu le sais aussi et tu dis rien ????!! :eek:

 

Comme la femme de Dutroux :(

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §kaz086tA

Selon les experts, il ne représente un danger ni pour lui ni pour la société car il est pleinement responsable de ses actes :eek:

Y a des cons partout surtout chez les experts. Il pourra donc recommenceer en toute connaissance de cause

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §KAL330Vd

Y a des cons partout surtout chez les experts. Il pourra donc recommenceer en toute connaissance de cause

 

Et aprés on viendra pleurer les victimes :mad:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §puf338hx

Dutroux est un psychopathe et Fourniret est sain d'esprit mais le résultat est le même, des tas de victimes innocentes :mad:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §kaz086tA

Dutroux est un psychopathe et Fourniret est sain d'esprit mais le résultat est le même, des tas de victimes innocentes :mad:

Tant que parmi les victimes il n'y aura pas des enfants de politiques ou de juges tout ce petit continuera à ne pas se bouger le cul

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §puf338hx

Tant que parmi les victimes il n'y aura pas des enfants de politiques ou de juges tout ce petit continuera à ne pas se bouger le cul

Par contre, pour les déclarations tonitruantes et les effets de manches :L

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Merci kazouille d'avoir fait resurgir ses faits jounalistiques.

Quand l'on parle de pédophilie, mon sang ne fait qu'un tour et comme je l'ai déjà dit dans d'autres topics, je suis prêt à devenir le bourreau pour ses criminels.

 

j'ai été toucher dans ma propre famille, et personnes (sauf ceux qu'ils ont vecu) peuvent comprendre les dégats auprès d'enfants de bas age.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Zir680wn

ziriako_1100000423_3901265_120x90.jpg.e643b6ccf9e3cb56bae36baf6df6dfed.jpg

 

Une Américaine inculpée pour avoir fait l'amour avec un "petit ami" de... huit ans

 

BRIDGEPORT, Connecticut (AP) - Une Américaine âgée de 29 ans a été inculpée pour avoir eu des relations sexuelles avec un garçonnet de 8 ans dont elle a affirmé aux enquêteurs qu'il est son "petit ami".

 

Tammy Imre a été interpellé vendredi et inculpée d'agression sexuelle sur mineur. Lundi, un juge a fixé sa caution à 250.000 dollars.

 

La police de Bridgeport (Connecticut) dans le nord-est des Etats-Unis avait ouvert son enquête en septembre après que la mère du petit garçon a découvert une lettre qu'Imre lui avait écrit et dans laquelle la jeune femme lui affirmait qu'elle "voulait personne d'autre que toi".

 

Et Imre de poursuivre dans sa lettre: "Demain, il devrait pleuvoir, tu pourrais venir chez moi et on pourrait (tu sais quoi). Je t'aime! Je te veux!"

 

La police a déclaré que le petit garçon, supposé camarade de jeu de la fille d'Imre âgée de 7 ans, a d'abord nié tout rapport avec Imre parce qu'il avait peur d'avoir des ennuis. Il a ensuite reconnu avoir eu des rapports sexuels avec elle et elle lui a donné une clé de son appartement.

 

Quant à Tammy Imre, qui est divorcée, elle a affirmé aux policiers qu'elle avait bien l'intention d'épouser le garçonnet, un jour ou l'autre.

 

Personne ne répondait à la porte de sa maison, lundi.

 

Si elle est reconnue coupable, elle encourt une peine de vingt ans d'emprisonnement. Aucune date n'a encore été fixée pour le procès.

[/quotemsg]

http://fr.news.yahoo.com/041109/5/44u3t.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Zir680wn
Vers un mégaprocès pédophile à Angers

 

Dans un mois, le 3 mars à Angers (Maine-et-Loire), va s'ouvrir un exceptionnel procès où 66 personnes, dont 39 femmes, sont accusées d'avoir violé, entre 1999 et 2002, 45 enfants dont la moyenne d'âge était de 6 ans à 8 ans, et dont le plus jeune était un nourrisson de 9 mois.

 

Ce n'est pas tant par son gigantisme ­ avec un nombre d'accusés jamais atteint en France en matière criminelle ­ que le procès d'Angers est remarquable, mais par sa nature. Aux côtés de pères de famille qui auraient violé, prostitué, agressé sexuellement leurs propres enfants, comparaissent des mères qui ne se seraient pas contentées de fermer les yeux. Treize femmes sont accusées d'avoir elles-mêmes violé et monnayé les corps de leurs enfants à des voisins, copains et relations. Sur le banc des parties civiles, aux côtés des associations de protection de l'enfance, il n'y a qu'une seule mère sur la douzaine de familles impliquées.

 

Le parquet d'Angers a révélé hier le dispositif exceptionnel mis en place. Deux magistrats «référents» sont détachés par la chancellerie à la lourde logistique des audiences, prévues pour durer quatre mois. Une nouvelle salle de 360 m2 a été construite, bâtie dans la salle des pas perdus du vieux palais. Faux plafonds, néons, moquette et sièges bleus accueilleront, outre les 66 accusés, les 51 avocats de la défense, quelque 150 témoins, etc. Un peu partout dans la salle sont disposés des écrans pour transmettre les auditions des enfants enregistrées par la police lors de l'enquête.

 

Pour les 26 hommes accusés et détenus, des geôles ont été construites à l'intérieur de l'ancienne cour d'assises : quatre rangées de cages grillagées évoquent à la fois la prison de Guantanamo et un chenil de la SPA. D'autres geôles sont construites au sous-sol du palais pour les 13 femmes détenues. Les 27 accusés restants, hommes et femmes, comparaissent libres.

 

La cour elle-même change d'échelle : quatre magistrats professionnels au lieu de trois, huit jurés supplémentaires, deux représentants du ministère public. Quatre greffiers se succéderont pour lire les 430 pages de l'acte d'accusation, lecture qui va durer trois jours, à l'ouverture du procès. «Les faits sont proprement répugnants», avertit Hervé Lollic, vice-procureur placé auprès du procureur général. L'ombre d'Outreau, avec sa cohorte d'innocents et ses faux «notables», plane évidemment. Mais ici, à part une assistante sociale et un journaliste, les accusés appartiennent tous, selon le parquet, à des «milieux sociaux défavorisés». Et, surtout, «ce n'est pas un dossier qui repose sur la parole de l'enfant, il y a des dénonciations et des aveux», s'est félicité hier le parquet. Il n'en reste pas moins qu'un tiers des accusés nie énergiquement.[/quotemsg]

Lien de la dépêche

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §err681ph

 

Si tout cela ne se revele pas etre un enorme bide il faudra que notre société

reflechisse sur le permissivisme qui à poussé les bornes du tolerable trés loin.

 

Il n'existe presque plus de gardes fous indiquant clairement ce qui est permis et ce qui ne l'est pas encore :bah:

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Zir680wn

Il n'existe presque plus de gardes fous indiquant clairement ce qui est permis et ce qui ne l'est pas encore :bah:

 

C'est vraiment le mal le plus terrible dont souffre la société actuellement et qui explique la plupart des dérives de tous ordres auxquelles nous assistons quotidiennement de manière générale.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Zir680wn
Un livre noir de l'accusation qui s'égrène sur 430 pages

 

Moïse C. , 59 ans ­ viols sur mineurs, agressions sexuelles, corruption ­, a vomi deux fois. Le vieux père Jean-Jacques R., 73 ans ­ viols sur mineurs, agressions sexuelles, corruption ­, a fait sous lui. Une accusée prise de malaise a été évacuée sur un brancard. Hypoglycémie. Elle n'avait rien mangé. C'étaient les incidents de lundi. «Ils ont la trouille, ils commencent à réaliser» ce qu'ils ont fait, commente un de leurs avocats.

 

Hier, l'audience a repris dans un lourd silence pour le dernier jour consacré à la lecture de l'ordonnance de mise en accusation. 430 pages. Ils sont cinq greffiers à se relayer. Page 285 : le cas de Christine B., 37 ans ­ corruption de mineurs, non dénonciation. Une voisine a raconté qu'elle lui avait dit :

 

«Qu'est-ce qu'on peut faire avec un bébé ? Un bébé, à cet âge-là, ça sait sucer.»

 

Page 288 : Pascale G., 25 ans ­ agressions sexuelles, corruption, non-dénonciation. Sa fille, Aude (1), 2 ans et demi, évoque «des vilains bonhommes qui lui faisaient mal au ventre ou du lait pas bon».

[...]

Les greffiers se succèdent. Page 297, scènes dans les toilettes d'un camping entre Eric J., 39 ans, maçon, et une fillette de 5 ans. Page 298, une mère propose à cet homme ses jumeaux de 3 ans. Page 299, le même violente un bébé de 17 mois. Dans les rangs des détenus, un petit homme se lève en hurlant. C'est le frère d'Eric J. Jean-Marc J., 41 ans, menace son principal accusateur, Philippe R., l'un des fils du vieux R. : «Fils de pute ! Enculé !Tu vas voir si je te chope à la promenade ! T'es mort ! Bâtard!»

[...]

[/quotemsg]

Lien de la dépêche

 

C'est monstrueux :roll:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §auj352ct

Lien de la dépêche

 

C'est monstrueux :roll:

 

Si les faits sont avérés, ce sont vraiment des détraqués. Je ne comprends pas comment on peut en arriver là :beuh:

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §MCB785xf

Il y a clairement une grosse défaillance de détection de ce genre de tarés au niveau des services sociaux. :L

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Pec174wQ

Lien de la dépêche

 

C'est monstrueux :roll:

 

Je suis effarée :beuh:

 

C'est donc plus que nécessaire que les enquêteurs et tous les gens qui bossent sur l'affaire bénéficient d'un soutien psychologique....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Zir680wn
Procès d'Angers: examen de la personnalité des membres de la principale famille en cause

 

ANGERS (AP) -- La cour d'assises du Maine-et-Loire à Angers a examiné jeudi la personnalité de plusieurs membres de la famille V., accusés dans le gigantesque procès pour pédophilie qui s'est ouvert le 3 mars dernier.

 

Franck V., l'un des principaux accusés, est arrivé à la barre en milieu d'après-midi, les cheveux mi-longs, mal lavés. Présenté comme déficient mental, il s'exprime avec difficulté. Aux questions du président Eric Maréchal concernant son comportement sexuel, il répond: «Je vais pas être correct, mais je suis pas pédé, moi. Je suis pas comme mon père».

 

Son père, Philippe V., avait effectivement reconnu à la barre avoir violé son fils. Il avait été condamné pour ces faits par la cour d'assises des Bouches-du-Rhône en 1991, à 13 ans de réclusion.

[...]

Sa soeur Lydia lui succède à la barre. Elle évoque d'emblée des problèmes avec ses parents, «surtout avec mon père qui m'a violée de deux à six ans». Le président lui demande pourquoi elle a cherché à le retrouver plus tard. «Je voulais savoir la vérité sur ce qui s'était passé. Il m'a dit que je suçais bien quand j'étais petite», répond-elle. [/quotemsg]

Lien de la dépêche

 

C'est vraiment le quart-monde, je plains les jurés qui vont souffrir :bah:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §kaz086tA

Il y a clairement une grosse défaillance de détection de ce genre de tarés au niveau des services sociaux. :L

Les services sociaux sont pas réputés pour être les plus nets, ils voient jamais rien dans toutes ses affaires, l'affaires des disparus de l'yonne aucune enquête, la bavure d'outreau avec la collusion d'intérêts... Faut pas trop compter sur eux, ils manquent de moyens et de compétence

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si les faits sont avérés, ce sont vraiment des détraqués. Je ne comprends pas comment on peut en arriver là :beuh:

Qu'est-ce qu'un détraqué après tout ?

 

Quand on se rend compte que dans ce quartier, de si nombreuses familles se livraient à ces actes, peut-on parler de "détraqués" ?

 

Est-il possible que dans un même quartier, tant d'êtres humains soient "détraqués" ?

 

A mon avis, il faut pousser plus loin la réflexion :bah:

 

 

 

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Pec174wQ

Les services sociaux sont pas réputés pour être les plus nets, ils voient jamais rien dans toutes ses affaires, l'affaires des disparus de l'yonne aucune enquête, la bavure d'outreau avec la collusion d'intérêts... Faut pas trop compter sur eux, ils manquent de moyens et de compétence

 

C'est bien de le souligner :jap: et puis il n'y a pas qu'eux, la plupart des enfants étaient scolarisés et personne n'a rien déctecté à ce niveau-là non plus...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §auj352ct

Qu'est-ce qu'un détraqué après tout ?

 

Quand on se rend compte que dans ce quartier, de si nombreuses familles se livraient à ces actes, peut-on parler de "détraqués" ?

 

Est-il possible que dans un même quartier, tant d'êtres humains soient "détraqués" ?

 

A mon avis, il faut pousser plus loin la réflexion :bah:

 

Des pratiques de ce genre, pour moi, sont l'oeuvre de détraqués (si, encore une fois, elles sont avérées) :bah:

 

Cette réflexion n'est certes pas poussée mais bon :D

 

Edit : quels que soient leurs motivations, le contexte, qu'il y ait eu un effet d'entraînement, etc.

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Des pratiques de ce genre, pour moi, sont l'oeuvre de détraqués (si, encore une fois, elles sont avérées) :bah:

 

Cette réflexion n'est certes pas poussée mais bon :D

 

Edit : quels que soient leurs motivations, le contexte, qu'il y ait eu un effet d'entraînement, etc.

Evidemment, tu ne trouveras personne (enfin j'espère) qui n'ira pas dans ton sens.

 

Derrière l'effroi que provoque ce genre de comportement chez l'adulte, il y a quand même les questions que cela amène.

 

Pourquoi cet effet d'entrainement ? quelle est, dans le monde, la réelle part d'adultes attirés par les enfants ? quid de la sexualité de l'enfant ? de l'adolescent, qui semble de plus en plus précoce ? etc.

 

Evidemment, cette affaire à Angers me répugne. Mais quelque part, elle m'intrigue aussi. Surtout du côté psy :jap:

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Zir680wn
Portrait d'une famille décomposée devant les assises

 

[...]

Appelé le premier, Jean-Claude M. s'est présenté devant le président et les jurés en boitant. Agé de 60 ans, les cheveux grisonnant, l'air affaibli, il s'exprime mal et surtout est incapable d'établir une chronologie de sa vie. A propos de sa femme, il explique au président, Eric Maréchal: "Je sais même pas la date quand elle est décédée" (sic). :eek:

 

Incapable de comprendre tout ce que lui demande la cour, l'homme s'enferre dans des mensonges et des absurdités. Au sujet d'une première condamnation en 2001 pour atteintes sexuelles, il lâche: "J'ai touché Marine, il paraît" (sa petite-fille. Le prénom a été changé, NDLR). Pourtant, comme le rappelle l'avocat général, il avait reconnu les faits à l'époque et n'avait pas fait appel. "Pourquoi quand vous dites oui, vous faites non de la tête?", lui demande alors le président. "C'est pas ça, j'ai chaud", répond Jean-Claude M.

 

Interrogé sur sa fille adoptive Patricia, il affirme l'avoir traitée comme sa propre fille, ce que va nier plus tard l'intéressée. Elevée par ses grands-parents, elle a semble-t-il vécu son enfance et son adolescence dans la crainte de sa mère qui l'a "abandonnée à l'âge de neuf mois sous la neige". Elle évoque aussi les viols que lui aurait fait subir Jean-Claude M. de "six ans à neuf ans".

 

"Un jour, il m'a emmenée dans sa chambre, m'a déculottée et m'a violée. C'est comme ça que j'ai vu qu'il n'avait qu'un testicule". Pourtant, comme le souligne un peu plus tard l'avocat général, à cette époque, Jean-Claude M. ne souffrait pas encore du cancer d'un testicule qui lui a valu son ablation.

[...]

[/quotemsg]

Lien de la dépêche

 

Dénouer les mensonges de la réalité va s'avérer ardu, j'espère qu'il n'y aura pas de bavures comme dans l'affaire d'Outreau :bah:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Lien de la dépêche

 

Dénouer les mensonges de la réalité va s'avérer ardu, j'espère qu'il n'y aura pas de bavures comme dans l'affaire d'Outreau :bah:

En tous cas, de ce qui en ressort dans la presse, à Angers les accusés entendus jusqu'à présent semblent très limités intellectuellement :bah:

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Zir680wn

En tous cas, de ce qui en ressort dans la presse, à Angers les accusés entendus jusqu'à présent semblent très limités intellectuellement :bah:

 

Et encore je te trouve gentil :lol:

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Zir680wn
Au procès d'Angers, les viols et incestes de la famille J.

 

Jean-Marc J., c'est l'intellectuel de la famille : il a un CAP de rempailleur de chaises. D'ailleurs, il sait lire, écrire "et compter", ce qui n'est pas bien le cas de ses neuf frères et sœurs. Il a 40 ans, en fait quinze de plus, et est aussi petit et maigrichon que ses deux frères sont larges et trapus. Tous trois accomplissent la prophétie familiale et, après leur père violeur, agressent des enfants depuis des années. Mais il n'y a que Jean-Marc qui reconnaisse qu'il est pédophile. Son frère Eric est accusé d'être au cœur du réseau de prostitution enfantine jugé à Angers et a fait, vendredi 11 mars, profil bas : il nie avoir touché des enfants depuis les agressions pour lesquelles il a déjà été condamné et s'attarde longuement sur un repentir un peu mécanique.

 

Dans la famille J., "ça ne se passait pas tellement bien", résume Jean-Marc. Bernard, le père, chauffeur routier, buvait sec et frappait sa femme, Marcelle. C'est son aîné, Guy, qui a le plus souffert chez les garçons ; le père l'appelait "le bâtard". Annick, la plus grande des filles, a été violée par le père, Marie-France aussi, et enfin Bernadette : "Ah ben, là, vous me l'apprenez", note avec intérêt Jean-Marc. La maman, que tous ses fils adoraient, n'a jamais porté plainte, "parce qu'elle avait très peur de notre père". Mais quand elle a appris qu'il la trompait, elle a rompu aussitôt. Quand le père est mort, en 1992, il n'y avait pas une de ses filles à l'enterrement.

[...]

Il multiplie les mea culpa. "C'est très mal ce que j'ai fait, s'émeut Eric J. Depuis, j'ai travaillé sur mon délit, vu que j'étais déjà une victime. Qu'est-ce qui m'a pris, alors que j'avais des femmes ?" La cour lui fait observer qu'il y a "presque un calque" entre sa vie sentimentale et sa vie judiciaire, et qu'il est à chaque fois poursuivi pour le viol des enfants de ses deux dernières concubines. Il regrette, pleure à l'audience sur son petit garçon, qu'il a violé. "Qu'est-ce que je vais pouvoir lui dire à mon fils ? S'il a les mêmes mots pour moi que moi pour mon père, ça sera bien fait." Et emporté par l'émotion, Eric J. conclut solennellement : "Mon fils, je lui pardonne de tout le mal que je lui ai fait." :eek:

[/quotemsg]

Lien de la dépêche

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.



Newsletter Caradisiac

Abonnez-vous à la newsletter de Caradisiac

Recevez toute l’actualité automobile

L’adresse email, renseignée dans ce formulaire, est traitée par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.

Cette donnée est utilisée pour vous adresser des informations sur nos offres, actualités et évènements (newsletters, alertes, invitations et autres publications).

Si vous l’avez accepté, cette donnée sera transmise à nos partenaires, en tant que responsables de traitement, pour vous permettre de recevoir leur communication par voie électronique.

Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL). Vous pouvez également retirer à tout moment votre consentement au traitement de vos données. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : www.caradisiac.com/general/confidentialite/

×
  • Créer...